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Visite de courtoisie ? [Lestrange]

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Superbia

Créature

Re : Visite de courtoisie ? [Lestrange]

Réponse 30 dimanche 15 mars 2015, 21:51:27

Superbia n'avait que faire de ce qui se disait entre Lestrange et le conducteur, elle n'avait strictement aucune compassion, si elle en avait vraiment, envers et humain. Selon elle il était totalement inutile. Heureusement le démon permit à cet être répugnant de partir avec les seules créatures méritant réellement des compliments, les chevaux.  Le "maître" vint à proposer de faire un détour dans la zone marchande pour faire quelques achat, l'homonculus vint à grogner un peu quand Lestrange vint à charcuter son prénom et le réduire à Su Chan. Elle n'avait pas apprit la culture japonaise et ne comprit pas le suffixe, comme la tonalité que cela donnait sur les relations entre les deux protagonistes.  Elle fit mine de réfléchir, même si cela était du tout cuit.

- Il est vrai que porter une meilleure tenue serait plus plaisant pour moi que cette ... chose.

Elle suivit son guide, passant sans la moindre frayeur dans les ruelles sombre, elle aurait empalé sans hésitation le premier qui oserait la menacer. Superbia avait quelques plumes de transformée, pour souligner sa dangerosité. Lestrange posa une question qu'elle répondit en prenant une posture fière et séduisante n même temps.

- Un ensemble qui ravivera ma splendeur.

Il s'agissait de la seule réponse, avant que l'homonculus n'avance dans la zone marchande et fasse un par un les étales. L'un d'eux vint à vouloir insister fortement et une plume fusèrent sur l'étale, penant soin de en rien abimer si ce n'est la planche de bois servant à exposer certains articles. Elle se foutait royalement de la législation et vint à parler avec un torrent de colère.

- Je ne suis pas intéressée par des produits n'ayant aucune valeur.

- Comment-ça aucune valeur. Cette robe a des brodures en or ...

- La valeur de cette pièce ne doit pas dépasser 20 pièces d'or au vue du manque de raffinement des bordures, même un aveugle pourrait faire mieux que ça. Il s'agit bien là d'une robe de l'Ordre Immaculée, comme quoi hormis se battre ils ne savent rien faire d'autres.  Maintenant si tu souhaites revoir la lumière du jours, je t'ordonne d'arrêter de vouloir me faire acheter une de tes robes de seconde main.

Elle quitta l'étable, le marchand étant devenu livide, une personne peut après avait profité de l'explication de l'homonculus pour acheter deux fois moins chère la fameuse robe. C'est alors qu'elle se jeta d'un coups sur une robe, prenant soin de toucher les plumes, reniflant l'odeur du tissus et arborant un sourire satisfait.

- Comment tu as pu finir en ce lieu miteux.

Le marchand vint à s'approcher prudement.

- Madame à bon goût, il s'agit d'une robe qui ...

- Il s'agit d'une robe qui m'appartient.

- Vous savez Madame ...

Superbia vint à transformer toute ses plumes en diamant et la tension fut très forte d'un coups.

- Qui serais-je pour ne pas reconnaître les plumes de mes servantes les plus fidèles, les joyaux des dragonnet que j'ai personnellement élevé, du fer des nains que j'ai soumis à mon autorité, du fil des terranide araignée que je gardais dans mes donjon et de la teinture à base de sang de traître. Cette robe m'appartient bel et bien et le vendre dans un tel dépotoir mériterais que je tue quiconque à porté ses yeux dessus.  Je ne vois pas où est le collier, les bas et les bottes.

- Ils ont été vendu à un collègue ...

- Donne moi les noms et les adresses. TOUT DE SUITE !

Superbia n'était clairement plus du genre à se calmer et Lestrange se serait fait de nouveau charcuté s'il osait intervenir. Elle obtint ce qu'elle désirait et dit d'une voix plus calme.

- Bien. J'aime les fourmis obéissante. Lestrange paie le 50 pièce d'or pour les informations et pas une pièce de plus.

Elle fit les autres commerçants, n'hésitant pas une seule seconde à employer la manière forte pour obtenir ses biens. Mais à chaque fois Lestrange avait l'ordre de déboursé une petite somme comparé au prix réel du bien, en gage de leurs coopération qu'elle disait.  Une fois la tenue complète, elle vint à tourner vers une ruelle, ressortant la tête pour lancer un regard qui disait au démon de ne pas suivre.

Deux minutes plus tard, elle ressorti dans sa tenue et avait quand même gardé l'ancienne sous le bras.

- Me voilà bien mieux habillé. J'espère que ses vermisseaux n'iront pas voir la milice, sinon je ferrais un carnage.

Elle bougea un peu, faisant claquer ses talon sur les dalles et balancer sa poitrine visible, en plus de la pierre entre ses seins.
« Modifié: mardi 16 juin 2015, 23:01:25 par Superbia »
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    Un démon invincible et son ultime faiblesse.
    
    Lestrange est le démon du non-sens. Pervers et supérieur, il s'amuse du monde et peux surprendre par son instabilité. Il fut banni des enfers et vit donc sur Terra
    
    Lafol, elle, est une création inconsciente de Lestrange, dépourvue de tout pouvoir et même faible physiquement. C'est une personne coquette mais effacée.

Re : Visite de courtoisie ? [Lestrange]

Réponse 31 jeudi 19 mars 2015, 14:58:52

Il y avait parfois des comportements qu'il ne se comprenait absolument pas. Le fait de proposer à la jeune femme de faire quelques courses pour sa tenue en étais une, notamment parce qu'il s'avait que dés lors qu'il avait ouvert cette brèche dans son caractère, c'était l'occasion pour cette femme d'y plonger et de faire ce qu'il lui plairait après, ce qui était, faut-il l'avouer, une idée bien sotte étant donné le type de demoiselle qu'il avait en face de lui. Enfin bon c'était aussi le moment d'apprendre un peu plus à propos de Superbia, de voir comment elle fonctionnait, ce qu'elle aimait aussi, et du coup l'homme ne se plaignit pas trop intérieurement de devoir supporter la folie des magasins qu'elle allait lui faire subir, considérant que si du moins il allait connaître l'extrême ennui de l'attente au bords des étals, il allait aussi pouvoir en profiter autant qu'il le fallait pour observer sa nouvelle suivante. Même si il devait l'avouer bien malgré lui, ce qu'elle lui disait était loin de le réconforter sur le comportement dépensier de sa camarade.

 - Un ensemble qui ravivera ma splendeur.
 -  Je vois que l'orgueil ne vas pas en chutant ...

Et cela commençait, tout les deux le long des marchandises, l'un en train de regarder distraitement ce qui était vendu, et trouvant d'ailleurs une bonne partie des ventes comme de très mauvais goût, et l'autre en train d'inspecter les étals avec une vigueur d'experte, comme si elle avait cela dans le sang, et que c'était d'ailleurs de son devoir de vérifier la qualité des marchandises, sans oublier de tailler de ses propos acerbes tout ceux qui se risquait à l'embêter de trop durant ses réflexions. Le démon était bien obliger de réparer les pots cassés par moment, et se contentant de rajouter une petite couche sur les menace de son amie généralement, il avait tendance à faire connaître quelques cauchemars de son crû aux plus récalcitrant, histoire qu'ils comprennent bien qu'il était temps pour eux de cesser d'insister. Finalement c'était devenu un jeu, et il avait tendance à faire des paris avec lui-même pour juger en combien de temps les marchants allait craquer et les laisser en paix, et il était plutôt fier d'arborer un bon 75% de réussite pour le moment.

 - Je ne suis pas intéressée par des produits n'ayant aucune valeur.
 -  Comment-ça aucune valeur. Cette robe a des brodures en or ...
 -  La valeur de cette pièce ne doit pas dépasser 20 pièces d'or au vue du manque de raffinement des bordures, même un aveugle pourrait faire mieux que ça. Il s'agit bien là d'une robe de l'Ordre Immaculée, comme quoi hormis se battre ils ne savent rien faire d'autres.  Maintenant si tu souhaites revoir la lumière du jours, je t'ordonne d'arrêter de vouloir me faire acheter une de tes robes de seconde main.
 -  Mon poussin est si mignon quand il se met en colère.

Ouais il jouait un peu les père gâteau par moment, ça l'amusait et il adorait voir le visage des gens quand il prononçait ce genre d'horreur égocentriques, la majorité ayant bien sur une envie folle de trancher la gorge de cette demoiselle qui venait ouvertement de se moquer de leur travail, et qui du coup ne savaient même plus quoi faire en voyant le sourire et le bonheur d'un père satisfait par son adorable fillette. Ils avancèrent donc encore une fois et finir sur l'étal de droite, la femme observant d'abord l'ensemble des marchandises comme à chaque fois avant de se mettre à pratiquer sa minutieuse inspection, cherchant la perle rare, à la fois pour s'habiller, ou pour se moquer du vendeur, dans le cas présent, la vendeuse. Sauf que là sa réaction ne fut clairement pas la même, et l'homme fronça un peu les sourcils en la voyant se jeter comme une furie pour loger ses mains et son visage dans la tenue qui venait de capter toute son attention. Avait-elle enfin trouver le vêtement qu'elle avait tant cherché ? Ça en avait tout l'air.

 -  Qui serais-je pour ne pas reconnaître les plumes de mes servantes les plus fidèles, les joyaux des dragonnet que j'ai personnellement élevé, du fer des nains que j'ai soumis à mon autorité, du fil des terranide araignée que je gardais dans mes donjon et de la teinture à base de sang de traître. Cette robe m'appartient bel et bien et le vendre dans un tel dépotoir mériterais que je tue quiconque à porté ses yeux dessus.  Je ne vois pas où est le collier, les bas et les bottes.
 -  Ils ont été vendu à un collègue ...
 -  Donne moi les noms et les adresses. TOUT DE SUITE !
 -  Allons ne t'énerve pas comme ça poussin, nous allons les retrouver.

La voir s'emballer autant la faisait encore mieux passés pour une jeune femme de la haute, avec tout ce que ça avait d'enfantin et de caprice, Lestrange se complaisant du coup énormément à son jeu de mauvais père d'une fille pourrie gâtée, se moquant ainsi de pas mal de monde, à commencer par Superbia qui n'avait pas encore réagit à sa taquinerie, surement bien trop obnubilée par ses achats pour dénoter le ton cynique avec lequel "papa" parlait de sa fille de manière détournée. En tout cas sa petite fille avait en effet trouver la tenue qui lui plaisait, et souhaitait du coup avoir la collection complète pour être certaine de ne pas avoir des affaires dépareillées lorsque qu'elle paraîtra à nouveau devant ces grandes dames et leurs réunions tricot des plus simples et idiotes. C'est bien avec quelques peurs que la femme alla marquer la position des autres marchands dans la rue, dessinant un plan malheureusement bien maladroit, mais que ce cher Archibald récupéra d'une main légère pour commencer la longue recherche de Superbia, en tant que guide.

 -  Bien. J'aime les fourmis obéissante. Lestrange paie le 50 pièce d'or pour les informations et pas une pièce de plus.
 -  Mais bien sur sucre d'orge, tout de suite.

Pièces déboursées, marche débutée, et voilà que le moment de dépenser arrivait, avec son lot de soucis et de discussions, parce que les marchants ne semblait pas vraiment accepter le ton impétueux de Superbia, ni sa tendance à regarder de bien haut les autres membre en sa présence, même si cela ne marchait pas très bien avec le démon faisant trois têtes de plus qu'elle. Ainsi, ils durent argumenter de long moment pour finalement réussir à obtenir la pièce manquante de l'assortiment qu'ils étaient venus chercher, et ce à chaque fois qu'il changeaient de stand, commençant pour le coup à vraiment déranger le démon qui avait vraiment l'impression de se fatiguer pour peu, malgré le fait qu'il avait déjà considéré cette éventualité au début de leur petit tour de commerce. Mais quand même il ne s'était pas préparer à un tel festival d'emmerdes, promis la prochaine fois il laisse Lafol s'en préoccuper avec Superbia, au moins les deux devraient s'entendre en termes de marchandages et de visites de magasins. Enfin, le tout finit, Lestrange laissa la demoiselle aller se changer, et attendit de la voir paraître à nouveau, dans la merveilleuse tenue qui en effet, soulignait avec élégance la beauté déjà vive de l'homonculus.

 -  Me voilà bien mieux habillé. J'espère que ses vermisseaux n'iront pas voir la milice, sinon je ferais un carnage.
 -  Très honnêtement j'en doute, même moi ça m'a fatigué tout ça, comment peux-tu supporter autant de tension aussi longtemps dans un petit corps tel que le tien, mon poussin ?

Et la demoiselle après lui en voulait de la taquiner un peu sexuellement, mais franchement entre son comportement et ses tenues, il n'avait un peu que l'embarras du choix pour venir la taquiner sur ce point, il était de toutes manières sure de faire mouche avec elle et son orgueil mal placé. En tout cas de voir le résultat rendait la tâche un peu moins dure à vivre, car il était clair que la femme était décidément bien embellie par sa tenue désormais, les drapés de celui-ci ainsi que les accessoires semblant clairement être fait pour cette prisonnière tout juste sortie de derrière les barreaux, et qui avait déjà récupérer tout de ses attributs de reine. Reprenant la route, mais dans le cas présent pour atteindre l'auberge, l'homme ne put s'empêcher de l'observer encore une fois, puis deux, puis trois, se disant que si il l'avait d'abord choisie pour son efficacité, il avait par contre un peu plus de mal à se croire capable de ne pas avoir été influencée par ses goûts esthétiques, l'apparence de l'homonculus étant à même capable de souligner tout les arguments. Encore une pensée qu'elle conspuerait allègrement tiens !

En tout cas ils étaient sur le chemin de retour et désormais elle ne laissait pas les passants si indifférent que cela, la coquetterie dépensière de Superbia ayant clairement nourri sa capacité à se faire remarquer au milieu de la foule, et donc à amuser le démon qui se doutait que la femme devait surtout trouver tout cela bien dégradant et profondément immonde de la part de l'espèce humaine. Lui ne fit que profiter du spectacle quand enfin il vit l'auberge se profiler au bout de la rue, un lieu de grande réputation pour les voyageurs qui traversaient le désert, connu comme étant le meilleur des lieux tout en ne cherchant pas à arnaquer le client, ce qui toutefois pouvait être compris comme étant : n'arnaque pas le client de manière visible, ou toujours capable d'invoquer les pires histoires pour s'en sortir auprès de la loi dorée de ce lieu éloigné. Ceci étant, il rentrèrent à l'intérieur du bâtiment, et l'home soupira un petit coup de contentement avant de se diriger au guichet, et de demander deux chambre simples à son nom.

 -  Monsieur nous n'avons plus de simple...
 -  Comment ...?
 -  Non Monsieur, une caravane est arrivée il y a peu avec de nombreux voyageurs, ils ont tous prit des simples et nous n'avons désormais que des chambres doubles !

Oups, mauvaise nouvelle.

Superbia

Créature

Re : Visite de courtoisie ? [Lestrange]

Réponse 32 dimanche 29 mars 2015, 23:12:50

Superbia vint à arborer un sourire hautain face à la remarque de Lestrange, posant les doigts de sa main droite sur sa pierre.

- J'ai passé de nombreuses années à régner sur un territoire, ce ne sont pas quelque voleur derrière leurs étables qui vont m'empêcher d'obtenir le bien que je désir, d'autant que j'ai le droit de reprendre ce qui me revient de droit  Bien sûr tout récupérer sera bien plus éreintant que discutailler avec cette fourmilière de vermisseau. Mais rassure-toi je ne compte pas te faire dépenser davantage. Sache que le prix de cette robe n'est rien comparé à l'allégement de ta bourse.

Elle soupirait d'aise à sentir ce vêtement si longtemps éloigné de sa peau se réchauffer à la température de son corps. Depuis combien de temps n'avait-elle pas sentit les bottes tenir fermement ses jambe, le bruit des talons ne faisant que rajouter un peu plus de mélancolie à cet époque où elle était la reine de tous, faisant sa loi et tuant de manière imaginative les quelques fous qui osaient s'en prendre à elle. Superbia était à cette époque un peu plus conciliante envers ceux qui avaient le courage de se plaindre, les renvoyant et allégeant momentanément leurs tribut pour leurs courages.

L'homonculus pouvait sentir tout les regard se porter sur elle, sachant que la tenue ne faisait que démontrer la splendeur de son corps et que le bas-peuple est si facilement hypnotisable avec un peu de chair offerte à vue. Cependant quiconque viendrait à s'approcher de trop aura le droit à un commentaire hautain en pleine face. Sa tenue avait ramener chez elle cette démarche séduisante, mais aussi chargé de peur, mêlant beauté du corps et aura d'égocentrisme. Elle ne fit aucune remarque sur le fait que Lestrange lorgnait sur son corps, son indulgence venait qu'il était pour le moment son bienfaiteur et qu'elle avait tout de même une dette envers lui. L’orgueilleuse créature voulait se défaire de cette dette bien vite pour être pleinement libre.

Lorsque l'homonculus entra dans les lieux, elle put se délecter d'une légère odeur de nourriture, un chaudron en fonte sous le feu laissant différents ingrédients mijoter. Superbia n'avait jamais été dans une auberge et ne suivit pas beaucoup la conversation, trop occupée à observer la décoration qui était assez riche, mais pas trop. La créature vint alors à entendre qu'il y avait un problème et perçu qu'il ne restait que les chambres double.

Superbia vint à soupirer d'agacement en disant plus pour elle-même.

- Je présume qu'en tuer un ou deux ne résoudra pas le problème. Lestrange attends moi dis petite minutes je reviens.

L'homonculus vint à sortir de l'auberge et vit à observer jusqu'à trouver sa proie. D'un impulsion elle passa derrière un gamin et fit miroiter ses plumes de diamants sous ses yeux.

- Si tu en veux une gamin, emmène moi à un revendeur, tu dois en connaître non ? Si tu le fais je t'offre une de mes plumes.

Le gamin ne réfléchit guère longtemps et emmena Superbia dans un coin sombre et dégoulinant de malice. L'homonculus vint à arriver à destination et ne perdit pas de temps, elle échangea deux plumes contre une somme assez conséquente, la pureté du diamant constituant la transformation avait permit d'obtenir deux cent pièces d'or. Le gamin eu le droit à vingt pièces pour son boulot et Superbia revint à l'auberge, tuant les voleurs sans souiller ses vêtements ou son corps.

Bien idiot était le revendeur car dès l'instant où le soleil se coucherait la plume reviendrait à sa forme originelle, une simple plume où toute magie aura quitter l'objet, le seul gagnant dans l'histoire sera le gamin qui a servi l'homonculus pendant un temps..  Elle rentra dans l'auberge et jeta la bourse sur le guichet.

- Voilà de quoi acheter certainement ton auberge, aussi je souhaite avoir la meilleur des chambres disponibles, ainsi qu'un peu plus de viande dans le soupé.

L'homonculus n'avait aucunement conscience de l'argent, car poser une pièce de platine dans un tel lieux pouvait attirer bien des convoitises, mais qui serait bien assez fous pour attaquer une créature qui venait de payer un merveilleux soupé à tous les locataires des lieux.
MP : Je vous redirige vers mon compte le plus actif Tomo


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