Nom/Prenom/Surnom : Maya Da Silva
Âge : 25 ans d’âge
Sexe : Femelle
Race : Mutante (ou E.S.P.E.R si vous préférer)
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle de base, mais il n’est pas impossible qu’elle devient bi.
Description physique : Niveau beauté et charme physique, Maya ne manque pratiquement de rien. Si bien qu’on se demande si son gène mutant n’aurait pas favorisé à enjoliver ses formes en plus de sa croissance. Elle laisse une bonne image qu’elle laisse derrière elle ; celle d’une femme souriante, gentille, aimant rire et croquant la vie à pleine bouchée quand l’occasion s’en présente. Mais également d’une demoiselle qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et qui ne met pas longtemps à longtemps à le faire savoir pour ceux qui la côtoient régulièrement, en plus d’être une femme au caractère trempé. On a devant la une Maya arborant un corps respirant la féminité pure et dure, dégageant un doux pardum d’exotisme au travers de sa douce peau mate de Brésilienne métissé trahissant ses origines Amazonienne. Sous ses vêtements on peut apercevoir de magnifiques tatouages sur ses bras représentant des motifs floraux. Un autre sur sa jambe droite est un tatouage aztec et le dernier une petite croix chrétienne sur le côté gauche du ventre. Disposant d’une silhouettes en sablier parfaitement épurées avec un buste où une jolie pair de seins généreux s’y greffe, accompagner de hanches évasées laissant derrière elles des fesses rebondies et volumineuse faites pour qu’on ne quitte pas des yeux ces magnifiques armes de séductions massives que nos mains galopeuses meurent d’envie de palper ces parties irrésistibles. Se terminant part des jambes fuselées se déplaçant avec une démarche lui faisant rouler du cul par un balancement dans ce qui a de plus sensuel. On n’a presque oublié de mentionner ses bras proportionnels à ses formes opulentes, ni trop filiforme, ni trop gros, un juste milieu plus que favorisant. Au bout, des mains finissant par des doigts fins pourvus d’ongles longs. On pourrait presque ne pas faire attention à son poids avoisinant la tonne résultant de la densification extrême de son corps, ce qu’on a du mal à croire avec son mètre soixante-cinq. Pourtant, le fait de sentir ses muscles aussi durs que du béton armée nous donne l’impression que son poids démentiel soit faux. Cela dit, il faut reconnaître que cela peut se montrer handicapant dans certains aspects minimes de sa vie quotidienne. Comme le fait de n’pas pouvoir porter des chaussures à talon sans éclater ces deniers par son poids anormalement élevée.
Un cou fin supportant une tête et une mâchoire arrondie pour un visage aux traits adoucis lui donnant une bouille juvénile qu’on aimerait caresser sans jamais s’arrêter. Mais c’est rien en comparaison de ses lèvres pulpeuses transpirant la luxure torride où un arrière fout de fraise se sent à force de lécher des sucettes qu’elle porte fréquemment dans sa bouche. Filtrant Uue voix chaude et douce teinté d’un fort accent brésilien vite repérable. Un nez épaté dont l’arrête nasale remonte entre une paire d’yeux de velours d’une couleur noisette clair avec de longs cils arborant le bord de ses paupières. Par-dessus lesquelles se trouvent deux cils fins légèrement recourbés lui donnant un certain charisme naturel. Suivit d’une longue chevelure d’ébène luisante pourvue d’une frange sur le devant de son front, pour ensuite venir cascader juste au-dessus de ses jolies fesses. Dissimulant un dos charnu aux reliefs mouvants accompagnés d’une cambrure naturellement courbée. Pour finir, ses longues mèches sur le côté cachent des oreilles collées aux lobes percées par des boucles d’oreilles en or qui pendent timidement.
Caractère : Marta est le genre de fille qui est très chevale a certaines valeurs et règles morales familial inculquées dans son enfance tels que la sincérité, la politesse, le sens des responsabilités et le sens de l’effort. Elle est croyante mais non pratiquante et sa conception de Dieu lui est propre qu’elle garde pour elle, différente des dogmes monothéistes. Une Déiste en quelque sorte.
Fonder une famille aimante est un projet à long terme que Marta souhaite réaliser plus que tout au monde. Malheureusement elle n’a pas encore trouvé le compagnon rassemblant le strict minimum pour être l’époux correspondant à ses attentes, sans tomber dans le mythe du Prince Charmant qu’elle n’y croit plus depuis belle lurettes. La majeure partie des hommes qui souhaitaient sortir avec elle était soit des montagnes de muscles sans cervelle, soit de potentiel proxénète pervers ou bien d’hommes trop moches pour être à son gout. En attendant, elle continue sa vie quotidienne tout en restant optimiste à l’avenir. Ça fait d’elle une femme presque inaccessible à conquérir, réservée. Chose est sure, celui qui atteindra cet exploit verra chez elle quelqu’un de confidente et amante. Le genre de femme ou l’on se sent faible et vulnérable et pourtant en parfaite sécurité dans ses bras aimants. L’une des rares personnes où l’on s’endort dans ses bras pour se réveiller le lendemain toujours enlacé avec elle. Qui sait remercier a son homme qu’il peut la rendre heureuse. Aucune phobie ne l’habite, pas même une arachnophobie. Elle qui a côtoyé de près des mygales très jeunes et qu’elle a caressée. C’est aussi une femme courtoise qui se montre douce et calme de nature en conversant avec autrui. Social, elle est à l’écoute des autres et se sent à l’aise dans n’importe quel sujet de conversation, qu’il soit politique, social ou d’un simple échange d’avis personnel. Une femme ouverte qui a su faire tomber les barrières dressées par l'éducation judéo-chrétienne et les tabous de la société. Nulle étroitesse d’esprit avec elle. On est loin du cliché de la garce bimbo qu’on les gens d’elle en raison de ses tenues suggestives.
Elle n’est pas non plus une bourrine qui fonce dans le tas en abordant des sujets ou questions brulante tout en se foutant que cela choque ou non la personne. Elle préfère se montrer discrète et y aller en douceur tout en restant honnête dans ses propos, avec un franc-parler personnel qui lui donne du charisme. Sans oublier un sens de l’humour légèrement impertinent sans être cassant. Fine d'esprit, jamais vulgaire, elle sait gagner la confiance de ses amis par son honnêteté. Sa beauté certes, mais aussi et surtout son intégrité. Maya est aussi quelqu’un de patiente, qui ne s’énerve pas pour un reproche ou une broutille, sauf si l’on tente de l’enquiquiner au bout d’un certain temps à coup de remarques machistes et lourdingues de camionneurs ivrogne et crasseux. En effet c’est une femme de caractère qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et sait remettre les gens à leurs places sans nécessairement passer par la case bagarre pour autant par un sens de la répartie pour le moins acerbe. Lorsque ça ne marche pas, ce qui arrive peu souvent en règle générale, donner une bonne correction s’impose et passe irrémédiablement par une castration des plus magistrales. Simple, efficace.
C’est surtout une femme insouciante de rire en plein air, doublée d’une joueuse dépourvue de complexes et bien dans sa peau qui aime les regards complices en jouant sur son corps, ses yeux, son décolleté ainsi que sa gestuelle à replacer une mèche qui la dérange ou à caresser une partie de son cou. Qui sait titiller en finesse sans passer dans le vulgaire pour son plus grands plaisir d’attirer l’attention de la gente masculine. La mutante est et reste une femme qui met un point clair sur le fait de vivre comme un être libre, indépendante et n’étant l’esclave de personne.
Malgré tout, notre chère Maya n’est pas exempte de défauts et il y a bien des choses à dires. Si d’habitude elle n’est pas revancharde, elle fait une exception à la règle lorsqu’on ose faire souffrir ses êtres chers. Dans cette situation elle est consumée par une colère sourde et aveugle où toute tentative de raisonnement est vaine, tant elle est possédée par un malstrom de folie furieuse. Dans les cas les plus extrêmes, elle peut même se montrer sadique envers ses ennemies en faisant en sorte de prolonger leurs agonies en jouant de la musique avec le son des os et osselet qu’elle brise. Cas exceptionnelle, sans être improbable pour autant. Toujours dans ce même défaut, il n’est pas rare non plus qu’elle cause dommages collatéraux et victimes innocentes derrière elle dans son excès de rage, avant de sombrer dans la culpabilité et les regrets une fois ses pulsions assouvies, calmées. Car c’est aussi une bornée têtue comme une bourrique. Une fois une idée en tête c’est presque impossible de la faire changer d’avis. Mais attendez, ce n’est pas tout. Elle peut se montrer égoïste sur les bornes où sa propre personne passe avant les autres, pour le simple motif de ne pas se mêlée a des affaires qui ne la regarde pas ou tout simplement ne pas s’attirer d’ennui, sauf dans certaines situations particulières avec les membres de sa famille tant que c’est justifiable. Râleuse, elle ne supporte pas qu’on la face changer ses habitudes et aura tendance à faire chier la personne qui s’obstinera à lui ôter ses habitudes, même mauvaises.
Histoire : On n’peut pas dire que l’histoire de Maya a de quoi faire une épopée totalement épic à la superman. Bien au contraire, sa vie a été ce qu’il y a de plus banale au monde. Issue d’une famille Brésilienne vivant à deux pas de la forêt Amazonienne, Maya a grandi dans un petit village tellement paumé que même le pays ne savait pas qu’il existait sur son territoire. Mais c’était également et surtout le genre d’endroit où tout le monde connaissait tout le monde au point que les disputes du voisinage était rares et tenait plus à des broutilles vite réglé autour d’un qui pro quoi. A deux cents kilomètres de Manaus il se trouvait (le village). Le bled était composé exclusivement d’Indien d’Amazonie ayant mélangé modernité et vie traditionnelle. Parmi les valeurs traditionnelles on trouvait le matriarcat, la matrilinéarité, la matrifocale et les cellules familiales dites Avonculat. Maya n’aura jamais connue son père biologique qui n’avait pas une place importante au sein du village. Pourtant c’était peuplé d’au moins un bon millier de vies humaines. La seule chose qu’elle aura su de lui venant de sa mère c’est que c’était un Indien d’Amazonie et c’est tout. L’ongle maternel en revanche avait une place importante dans l’éducation familiale des enfants de leurs sœurs. Il y avait donc sa mère, son oncle et elle. Chose étonante, c’était la seule famille du clan familial auquel ils appartenaient où il avait un enfant unique. Les autres familles avaient au moins une bonne dizaine d’enfants et encore c’était le stricte minimum !
Mais ce qui différentier Maya de tous les enfants de son âge, soit 6 ans était ses capacités physiques hors pairs lui permettant d’effectuer des exploits qui impressionnaient tous les gamins et gamines du village. Le fait de labourer les terres à une vitesse affolante ou encore d’aider les membres de son clan à effectuer des tâches pénibles avec une efficacité équivalant à celle de milliers d’ouvriers. C’était un mystère étrange pour son père et son oncle de ce qu’avait leur fille et pourquoi elle n’était pas comme les autres. Mais d’un autre côté c’était pas une si mauvaise chose. Bien au contraire, c’était même vu comme un signe évident des dieux et de leur existence, ce qui n’empêchait pas malgré tout de se faire tirer les oreilles par sa mère pour les dégâts causées dans certaines zones du village en s’amusant à faire des ricochets avec des cailloux sur le sol qui devenait aussi létale que des boulets de canons. A la fin, le terrain avait des airs de tranchées des baïonnettes tellement il avait morflé, et encore elle n’était très loin d’être à fond dans ses lancées. C’est sans compter sur l’interdiction aux enfants de lui faire des câlins, sous peine de finir avec le cou broyer. Parce que oui, la pauvre Maya ne contrôlait pas totalement sa force monstrueuse à l’époque. Ce n’était pas très gaie faut l’avouer……
Dans sa scolarité se déroulant en ville, elle excellait dans tout à tel point qu’elle sauta de nombreuses classes et recevait des félicitations avec encouragement de ses profs pour faire de hautes études, au grand détriment de ses camarades vomissant leurs jalousies entre eux. Mais pour Maya, cela ne l’intéressait guère. Elle n’aimait pas l’école de base, du coup elle a vite arrêté l’école à peine son premier diplôme acquis à l’âge de 12 ans avant de continuer à vivre chez ses parents. Parce que ouais, si elle avait un diplôme, elle n’avait pas l’âge l’égale pour bosser. Et puis ce n’était pas ses parents qui allaient la forçait sachant ce dont elle est physiquement capable. Ce qui intéressait principalement la jeune donzelle était l’origine de ses pouvoirs dont elle ne savait pas grand-chose, pour ne pas dire rien là-dessus. Mais avant d’entamer cette quête personnelle, il fallait avant tout savoir maitriser ses capacités inhumaine afin d’éviter de causer des dommages collatéraux ou encore de rameuter tous les médias avec toutes les organisations mondiales tel que le S.H.I.E.L.D, Weapon X ou autres en prime. Heureusement que les derniers dégâts environnementaux ont été causé bien loin de la ville…..
Parallèlement à la maitrise de ses pouvoirs et à l’aide de son clan familial, elle préparait une formation de chef cuisinière dont elle a toujours rêvé de faire depuis toute petite. Elle s’y donnait de tout son cœur et niveau gastronomie s’était un cordon bleu chevronnée apte à vous faire des plats dont leur gout était une explosion de saveur exquise et presque divin. Si bien qu’à 16 ans, elle fit l’exception sur les hautes études en se préparant à devenir une chef cuisinière de renommée mondial en allant étudier dans une grande école de Gastronomie. Pour en ressortir à l’âge de 19 ans avec le diplôme en poche. Elle n’aura malheureusement pas eu la chance d’avoir de relation sexuelle avec le moindre partenaire. La raison ? Soit trop beauf, soit trop moche, soit trop con pour son gout. Quelques-uns trop obstiné de vouloir la pénétrer ont finalement réussie à pénétrer la stratosphère de la terre plus vite que la Team Rocket.
Elle retourne aussitôt dans son pays natal pour aller bosser dans un restaurant étoilé à Rio de Janeiro en tant que chef cuisinière prestigieuse. Restaurant où elle ne passera que 6 ans avant de poster sa lettre démission et quitter l’endroit sans plus attendre, à cause du bridage de sa créativité culinaire imposé par son boss ainsi que pour sa répulsion pour le luxe outrageux de l’endroit et la mentalité gerbant des clients. Ce n’est que quelques semaines plus tard qu’elle reçoit le courrier d’un anonyme qui savait où elle pourrait trouver les réponses à ses questions et qu’il savait son Nom comme son Prénom. Cette lettre lui informait qu’elle trouverait ce qu’elle cherche dans une ville appeler Seikusu, situé au Japon. Elle se méfiait beaucoup des étrangers, son père et son oncle lui ont bien fait entrer l’idée de ne jamais parler aux étrangers. Mais comme c’était une bourrique et que LA grande question qui l’obsédait avait une importance, elle traversa le pays puis l’océan pacifique en sprintant à une vitesse hypersonique : direction Seikusu.
Situation de départ : Grosse néophyte Over 9000.
Autres : La mutation de Maya fait que son gène mutant soit un portail relié à une dimension parallèle remplie d’énergie auquel la mutante est alimentée par un flux d’énergie extra dimensionnelle de couleur jaune or en quantité illimitée. Invisible à l’ œil nu, non soumise aux lois physiques de notre univers et ne générant pas de chaleur. Ayant pour effet de nourrir ses cellules et ceux à l’échelle Submoléculaire, avec pour effet de fortifiée, stimulée et booster les caractéristiques de son corps tout comme son organisme, lui conférant des capacités physiques a même de tutoyer le semi-divin. Elle demeure contenue dans le corps de Marta, n’ayant donc pas le moindre impact sur l’environnement. Il n’est pas impossible que le portail puisse s’agrandir par le biais d’un pouvoir capable d’amplifier son gène mutant ou par l’intervention d’une technologie très avancée, pour ainsi augmenter l’approvisionnement en énergie et provoquer par la suite une amplification de ses capacités physiques déjà immense. Chose importante à retenir : sa source d'énergie n'est pas à l'abri d'une tentative de prélèvement forcé de son énergie, un vol ou une absorption à travers une technologie hautement avancée et de quelqu’un à même d’influencer les dimensions parallèles ou influencer l’énergie psionnique.
Super-force :
Pour commencer, n’espérer pas un instant à voir en Maya une demoiselle en détresse. Sa force rivalise facilement avec celle de Hulk et Superman réunie tant elle est disproportionnée. En frappant le sol ou en tapant des mains avec puissance, elle peut générer de monstrueuses ondes de chocs dont la force équivaut à des explosions nucléaires dévastatrices. De sa force brute, elle peut faire des bonds dont les plus puissants peuvent la faire quitter la stratosphère et la faire rejoindre l’espace. Comme le fait de soulever facilement des gratte-ciels, des supertankers, des plates-formes pétroliers et portes-avions américains à elle seule. Pulvériser des flottes de cuirassées spatiales à mains nues. Et arrêter en pleine course des astéroïdes aussi imposant que la pyramide de gizeh (en gros, dans les 500 000 tonnes maximum). Pour le moment, sa force se limite à ça (et c'est plus que suffisant !).
Super-resistance :
Les os, la peau, les muscles, tout ce qui constitue Marta s’est densifiée à tel point qu’elle possède une invulnérabilité presque absolue de toutes attaques conventionnelles. En plus d’être à même de résister à sa propre force, toutes mes armes à feux de tout calibre comme de toutes catégories, aux mêmes tires que les armes plasmiques et ioniques ne lui feront aucun effet, pas même une égratignure. Vous aurez beau lui envoyer une bombe atomique sur elle et suffisamment puissante pour détruire une planète, la seule chose qui aura été détruit seront ses vêtements, rien de plus. On peut également mentionner sa résistance incroyable à résister aux températures extrêmes. Elle peut se balader à poil au noyau du soleil ou dans une zone plonger dans le zéro absolue aussi longtemps qu’elle le veut, au même titre que de résister à la pression de ce même noyau. Ou encore celle d’encaisser des éclairs sans broncher. Seule des armes blanches fait dans de l’adamantium ou matériaux équivalent peuvent pénétrer sa chair et lui faire mal, tout comme les armes magiques. On peut également mentionner les armes soniques capable d'outrepasser sa résistance surhumaine et la neutraliser par la suite de manière simple et efficace.
Endurance illimitée :
Du fait que l’energie extra-dimensionnelle approvisionne constamment les cellules de Maya, Cette dernière est pour ainsi dire...... infatiguable. Dans le sens où elle peut maintenir des efforts colossaux indéfiniment, sans éprouver la moindre once de fatigue. Cela affecte également son organisme, puisqu’elle n’a plus à remplir la moindre fonction vitale telle que manger, boire, dormir, respirer et déféquer. Bien que dans le cas de respirer, elle ne peut plus communiquer oralement dans le vide spatial du fait qu’il n’y a pas d’air pour faire vibrer ses cordes vocales (et c’est bien logique). Pour finir, cela confère à notre beauté fatale une jeunesse éternelle qu’aucune force temporelle ne pourra altérer. Cela signifie par conséquent qu’elle dispose d’une énergie vitale illimitée.
Régénération :
Comme si cela ne suffisait pas, cette énergie extra-dimensionnelle booste la capacité de régénération de ses cellules. Il ne faut pas une fraction de secondes pour régénérer des blessures béantes et profondes, moins d’une demi-minute pour reconstituer entièrement des membres organes détruits et autour de 1 minute pour reconstituer l’intégralité du corps de maya, tant qu’il reste une cellule neuronale intacte. C’est sans compter une immunité totale de n’importe quelles drogues, poisons et maladies connue ou inconnues.
Super vitesse :
Maya peut se déplacer vite, TRES VITE….. En quelques secondes elle peut sprinter à une vitesse hypersonique comme élan de départ, pour que peu de temps après elle aille tellement vite qu’à pleine puissance sa vitesse de course atteint presque celle de la lumière (soit 290 000 km/h). A pleine vitesse, ses coups peuvent facilement générer des bangs supersoniques destructeurs capables d’infliger dégâts aux gens autour d’elle et endommager objets et construction d’ordinateurs par les vibrations de l'air. Le fait de produire des bourraques et autres raffales surpuissante en faisant tournoyer ses bras sur eux-mêmes est également à la portée de Maya. Couplée ça avec ses réflexes adaptées ainsi qu’une concentration intense, elle perçoit son environnement ralentir brusquement et devient quasi intouchable
Super sens :
On poursuit avec ses cinq sens affecter par la fortification démentielle, en commençant par une ouïe. Cette dernière est très sensible aux ultrasons comme aux infrasons, doté d’une très large spectre auditif. Dans une situation de calme absolu ou presque, elle peut entendre le bruit d’un pas de quelqu’un sur de longues distances. Car son ouïe est pour la plupart du temps pollué par l’ambiance sonore.
Un odorat apte à capter des odeurs présentes 24 heures après le passage d’un humain, animaux ou autre. Capable de distinguer une cible parmi un large panel d’odeurs et de la distinguer dans toutes situations que ce soit par décomposition les odeurs dans un spectre de couches successives, qui lui permettent de fragmenter un parfum global en une somme de senteurs distinctes. Mais elle demeure totalement dépendante de la trace laissée temporellement par les odeurs. En effet, disparaissant au fil du temps, elle reste dépendant de la présence d’une infime odeur sur les lieux. La plus infime senteur permet toutefois à Maya de se lancer sur une piste. Néanmoins, fonctionnant en principe comme les plus grands chasseurs animaux, elle reste également dépendante du vent qui peut porter ou déporter les odeurs.
Une vision parfaite et adaptée pour voir aussi bien à plusieurs centaines de kilomètres tout comme pour observer à l’échelle microscopique par un effort de concentration.
Super mémoire :
Toujours dans le domaine du cérébrale, Maya dispose d’une capacité de mémorisation des plus monstrueuse, à même de se souvenir avec une haute précision et de restituer la dite information dans une liste exhaustive de détails clarifiés qui lui sont rattachée. Sa mémoire est pour ainsi dire comme une gigantesque bibliothèque où tout est classé et trier, que Maya peut consulter afin de retirer ce dont elle a besoin dans une situation particulière. Toute information est prise en compte : sensation, livres, textes, photos, images, histoires. Ainsi, elle peut se souvenir avec exactitude de moments et événements qui se sont passé il y a de cela plusieurs décennies. Ça le serait un peu moins si l’ont comptait plusieurs siècles et encore beaucoup moins en millénaires, mais cela reste que théorique étant donnée qu’elle n’est pas vécue aussi longtemps.
Résistance télépathique :
Qui dit amplification des ondes cérébrales dit également augmentation des longueurs d’ondes psychique émise par son cerveau. Il en découle alors d’une protection redoutable contre toute tentative psychique/télépathique de quelqu’un ou de quelque chose contre elle : intrusion mental, contrôle psychique, lecture de pensée, illusions mentales et suggestions. Une défense psychique apte à contrer de puissants mentalistes et hypnotiseur.
Comment avez vous connu le forum : En tapant sur forum rpg hentai sur google.
Avez vous des moyens de faire connaître le site autour de vous ? Si oui lesquels : Aucun