Bonjour, je suis récemment arrivée ici, et, comme il est de coutume, je me présente, ou plutôt, je présente :
ANAE
Nom : Okuro
Prénom : Anaé
Surnom : "chaud et froid"
Age : 18 ans théoriquement, 16 ans à peine suite à son éducation humaine, beaucoup plus lorsque "Elle" se réveille
Race : humaine (plus ou moins possédée)
Orientation sexuelle : bisexuelle, plutôt à tendance lesbienne
Description physique : De taille moyenne, Anaé pourrait passer pour une fille commune si elle n'avait pas ce "petit quelque chose" de surnaturel. Est-ce le fait de ses yeux aux couleurs rosâtres ou violacées ? De sa peau qui semble luire parfois ? De son odeur douce pouvant devenir bestiale et chargée d'hormones ? Ou encore de ses formes d'adolescente qui semblent se muer en celles d'une femme lorsque le désir pointe son nez ? Dans tous les cas, c'est une fille que l'on remarque en passant, avec un mélange de désir et d'incertitude. Elle aime s'habiller sagement, mais adore porter une jolie lingerie, tantôt stricte, tantôt très affriolante. Anaé a pris l'habitude, chez les moines, de ne porter qu'une vague robe informe et découvre peu à peu que certains vêtements lui vont bien. Candide, elle a tendance à oublier le désir que peuvent inspirer des fesses à peine couvertes d'une jupe trop courte, qu'un bloomer trop serré crée des passions ou qu'un chemisier mal fermé peut révéler son goût immodéré pour la lingerie de qualité mettant sa poitrine en valeur plus qu'il ne faudrait.
Caractère : Anaé a toujours appris à être gentille, serviable et posée. On lui a répété pendant des années qu'il ne fallait pas que les grandes émotions s'emparent d'elle, car des choses mauvaises pouvaient en sortir. Aussi tente-t-elle de se faire discrète, de ne pas s'exposer aux passions qui l'embrasent. Mais si c'est le cas, elle devient sauvage, nymphomane, perverse et exhibitionniste, et se complait dans toute la luxure du monde. Et le pire, c'est qu'à son réveil, Anaé a oublié les épisodes les plus pervers de sa crise de stupre. Anaé est plutôt du genre renfermée, sûrement à cause de son enfance auprès des moines, qui l'ont très vite laissée partir lorsqu'elle s'est mise à "avoir des formes". Elle ne garde aucune rancoeur envers eux, et leur attribue même son goût pour la solitude, la musique classique et zen, les balades en forêt et le souci de faire le Bien. Son plus grand ami est son ours en peluche, Ghul, à qui elle confie ses secrets sans se douter de tout ce que Selena la succube a pu faire avec cette douce peluche.
Histoire : Il y a des années, alors qu'elle ne devait avoir que 11 ans, Anaé fut possédée par une succube qui souhaitait s'incarner en elle, pour prendre le contrôle du village par le sexe, la corruption et la perversion. Heureusement, la jeune fille fut prise en charge par les moines de son village et de grands prêtres firent venir un exorciste, qui lutta jours après jours contre la démone. Ce fut une gigantesque lutte, qui provoqua de nombreuses pertes, car la Succube, Selena, savait semer les graines du désir et de la jalousie. Des moines succombèrent à la tentation, les parents d'Anaé se suicidèrent pour échapper à leurs désirs interdits et l'exorciste lui-même fut frappé de certaines faiblesses, qui furent sûrement la cause de son travail imparfait. Finalement, la succube fut chassée. C'est du moins ce qu'il fut dit, mais l'exorciste révéla aux prêtres que la corruption avait peut-être déjà germée en Anaé, et qu'elle devrait apprendre à maîtriser le démon en elle. Anaé fut élevée par les prêtres, recluse et surprotégée. On lui appris le yoga, la maîtrise de l'art zen, la lecture des agiographies et des haikus zens, et surtout à apprécier le Bien en tout être et en toute chose. Ce furent des années de paix et de sérénité, loin du monde et de ses turpitudes, dans une ambiance molle et paisible, qui prit fin lorsque l'ordre commença à péricliter et que le grand prêtre, voyant que la maturité d'Anaé menaçait la paix des moeurs de son temple, n'envisage de la remettre dans le monde d'aujourd'hui.
Le cas dura un peu jusqu'à ce qu'une inspectrice des services sociaux vienne la placer dans un foyer. Personne n'a su dire comment sa mère adoptive et l'agent des services sociaux en sont venues à s'entretuer et à mettre le feu à la maison, mais l'enquête de police, rapidement classée, fait état d'une crise de jalousie entre les deux femmes, d'un père adoptif un peu trop proche, d'une mère adoptive aux moeurs débridés insoupçonnables, et d'une inspectrice des services sociaux dangereuse pour la santé morale de sa profession.
On trouva plus sain de transférer Anaé dans une école où elle pourrait suivre la vie de n'importe quelle étudiante. Une étudiante normale, comme son aspect le laisse, à tort, croire...
Elle s'est donc installée dans une petite chambre dans les dortoirs du lycée. Tout est heureusement financé par l'état, qui tente de venir ainsi en aide à une fille orpheline dans le besoin, et Anaé a plus d'argent qu'il n'en faut. En découvrant la ville, elle a aussi eu la grande révélation : elle adore flâner dans les centres commerciaux ! En particulier les jolies boutiques, où les filles sont montrées sur de grands posters, à moitié nues. C'est en regardant ces posters qu'elle a ressenti ses propres attirances, les siennes propres. Elle est consciente qu'elle dépense désormais trop d'argent dans sa lingerie et trop de temps à regarder les photos des mannequins, et il lui arrive très souvent de vouloir se punir de ses pensées et de ses caprices. Elle sait qu'elle ne doit pas succomber au feu qui s'agite en elle, mais Anaé commence à comprendre que quelque chose en elle va se réveiller tôt ou tard, et que ce sera plus grave que le sentiment d'humidité qui s'immisce entre ses cuisses lorsqu'elle croise une jolie fille ou lorsque sa nuit a été agitée par des rêves inavouables.
Dernièrement, des rêves étranges et gênants lui viennent, des rêves qui lui font voir des femmes et des hommes, à la fois sinistres et séduisants, qui lui font découvrir un plaisir bestial et condamné, la couvre de fluides brûlants et délicieux, et la font se joindre aux cris de plaisir qui résonnent tels des hurlements de bêtes. Elle s'est réveillée plus d'une fois la main dans sa culotte, ses draps trempés de sueur et de son intimité, son traversin entre ses cuisses, ses tétons dressés et des cris honteux au bord des lèvres. Et bien qu'elle se sente sale de ces pensées, chaque nuit qui vient lui apporte un vague sentiment d'appréhension et de désir d'interdit. Elle a entendu parler de vidéos ou de photos que l'on peut trouver sur Internet, mais Anaé n'y connaît rien en informatique. Elle serait heureuse qu'on lui montre ceci, pour qu'elle puisse savoir ce à quoi ses rêves la pousse. La question est : pour les combattre ou pour les embrasser ?
Situation de départ : Anaé est totalement novice dans l'amour, mais n'est plus vierge, à son grand étonnement. Mais, lorsque la succube en elle, Selena, prend les commandes, elle devient extrêmement expérimentée !
Autre : Toute excitation sentimentale ou sexuelle peut provoquer l'apparition de Selena, qui prend le contrôle d'Anaé. Le changement est immédiat : ses yeux deviennent violacés, sa poitrine semble gonfler, ses fesses s'arrondissent, sa salive devient abondante, de même que sa liqueur intime. Et ses pensées deviennent hautement lubriques. Selena n'a qu'un seul but : regagner sa puissance, mise en sommeil par l'exorciste. Pour cela, elle doit corrompre pleinement Anaé, en faire un réceptacle de luxure et contaminer son esprit par des pensées si condamnables qu'elles rendraient jalouses les pires démons des Enfers. Chaque goutte de désir qui vient s'écraser dans les fonds de culotte d'Anaé est un pas vers la libération de Séléna, qui fait tout pour développer le corps désirable d'Anaé et pour la faire suivre ses tentations perverses.