Exhibitionnisme et bonnes moeurs ! [Pv]

Gabriel était encore une fois dans la merde. IL commençait à avoir l'habitude, d'une certaine manière, en effet, cela concernait en général des pépins de pognon en fin de mois, mais cette fois-ci, c'était un peu plus grave. Suite aux derniers débordements dans son appartement, Gabriel avait eu un énorme problème, en effet, il avait reçu un avis d'expulsion pour son appart', car les frais de réparation étaient trop souvent au rendez-vous, entre les impactes de balle et les bruit de lutte. IL n'en pouvait plus ! C'était donc avec ce putain de papelard en main qu'il avait reçu l'ordre de vider les lieux d'ici la fin du mois, et donc d'ici une quinzaine….

Il avait donc décidé de se rendre dans le parc pour prendre un bol d'air, et il trouvait toujours quelque chose à faire pour s'amuser à cet endroit… le nombre de personne qu'il avait pris en atteinte à la pudeur… et parfois, un dealer qu'il avait déjà amoché lui filait un peu de came grtis contre l'esquive d'une nouvelle séance de passage à tabac…

Il regarda alentour alors qu'il finissait sa clope. Il avait changé de marque et celles-ci, les nouvelles, étaient beaucoup plus âcres… bon dieu… il fit tomber sa cigarette en toussant à s'en décoller les poumons, avant de finalement faire passer son mal avec la fin de sa canette de bière… il inspira à fond après cela et jeta la canette dans un fourré… bière de merde !

Il regarda alentour dépité et leva même le regard vers le soleil pour le fustiger du regard. Même lui se foutait de sa gueule… salopard. Infâme salopard ! Il montra son majeur à celui-ci avant de jeter un regard mauvais à la petite vieille qui donnait des miettes de pain à une cohorte de pigeons sur le banc d'à côté. Il regarda les piafs et prit une pierre pour la leur lancer… et s'attira les foudres de celle-ci…

Gabriel se leva, s'étira en grommelant et s'approcha d'une autre partie du parc ou plusieurs personnes semblaient parler d'une scène qui se déroulait sous leurs yeux. Il s'en approcha alors qu'il voyait les mères cacher les yeux des enfants. Plusieurs personnes, en voyant le badge de Gabriel  qui lui pendait autour du cou, lui indiquèrent un autre coin du parc, ; lui demandant d'intervenir. Il soupira et s'y dirigea. Il n'était pas de service. Mais qu'avait-il de mieux à foutre ? Clairement, non.

« Bon, et ben, puisqu'on s'emmerde... »

Il soupira et regarda dans la direction suggérée…. Il y avait deux personnes, nues. Deux jeune femmes, même plus des jeunes filles que des jeunes femmes… elles étaient sans doute lycéennes. IL s'approcha et les reluqua sans vergogne… elles étaient mignonnes. Suffisamment pour qu'il ait moyen de se défouler un peu…

Il se racla la gorge en approchant des deux jeune femmes. En effet, il était des forces de l'ordre. IL obtint l'attention de l'une plus vite que de l'autre… qui semblait avoir les yeux, légèrement vitreux… voilà qui était étrange. Il montra son badge qu'il mit en évidence…

« Alors, qu'est-ce qu'on a là… bon, je peux avoir des explications ? Et ta copine, elle va bien ? »

"Chère Lizzie, aujourd'hui je vais te confier une mission un peu spéciale. J'ai remarqué qu'une de tes camarades de classe, Tomoe Hitsuo, était particulièrement timide et peu sûre d'elle. Gâcher le potentiel d'un tel corps avec ce genre d'états d'âme est un crime, le même crime que le tiens. Je veux vous voir expier vos fautes ensembles, tu trouveras dans cette enveloppe un petit cachet rose, c'est une puissante drogue aphrodisiaque qui lui donnera une envie incontrôlable de se mettre toute nue et de se masturber. Je veux que tu fasse exactement comme elle, si elle se déshabille tu te déshabille, si elle se masturbe tu te masturbe, si elle suce une queue ou qu'elle se fait tringler idem et je t'interdis de la retenir, quoi qu'il arrive. La mission ne sera validée que si vous le faites dans un lieu public et ne prendra fin que lorsque les effets de la drogue disparaitront, soit environ trois heures après la prise du cachet.

PS : Au fait, cette drogue n'efface pas la mémoire, elle se souviendra de tout. Elle se souviendra que tu l'a droguée, puis que tu t'es servie d'elle pour réaliser tes fantasmes dégoutants. Ne crains rien, elle est trop timide pour aller raconter quoi que ce soit, va savoir elle pourrait même y prendre goût."

C'est ce que je redoutais le plus, c'est exactement le type de missions que je ne voulais pas faire. Impliquer mes camarades de classe et devenir une perverse folle à lier à leurs yeux, ce que j'aurais voulu éviter à tout prix. Tomoe était une fille douce et gentille en plus, je n'avais pas du tout envie de lui faire du mal. Mais les ordres étaient les ordres, si je ne m’exécutais pas Hitomi et sa mère risquaient de subir bien pire entre les mains de ce malade. Il fallait que je trouve un prétexte pour entrainer ma victime en ville, elle était plutôt serviable, si je lui demandais de l'aide elle ne refuserait pas.

Au lycée la journée s'est déroulée normalement, je guettais une occasion de lui parler seule à seule. Comme elle trainait souvent à sortir des salles de classe j'avais juste à attendre la fin d'un cours. L'occasion se présenta après un cours de mathématique, le prof était pressé, les élèves sortaient rapidement pour profiter de leur pause et elle trainait comme d'habitude. J'ai attendu que tout le monde sorte en faisant semblant de chercher quelque chose dans mon sac, puis je me suis dirigée vers ma proie :

"Salut Tomoe. Dis, ce soir tu pourrais venir m'aider à réviser pour le contrôle de demain ? Ça nous permettra de faire un peu connaissance en plus."

Elle était trop mignonne, à peine lui avais-je adressé la parole qu'elle rougissait déjà. On voyait qu'elle était sincèrement touchée que je m’intéresse à elle. Vraiment désolée Tomoe, tu étais bien la dernière personne que j'avais envie de maltraiter, mais je n'avais pas le choix, c'était toi ou ma seconde famille.

"S-Salut A-Aya-san ! J-Je suis désolée, je ... j'ai déjà quelque chose à faire ce soir, je suis désolée. M-Mais c'est gentil de proposer ..."

Jamais je n'ai été aussi démotivée de toute ma vie, j'avais furieusement envie de la laisser partir et de foirer ma mission.

"Aucun problème Tomoe, je vais me débrouiller. Ça te dit qu'on rentre ensemble toutes les deux ce soir ? J'aimerais quand même qu'on fasse un peu connaissance sur le chemin."

"O-Oui bien sûr Aya-san ! A-Avec plaisir !"

À la fin des cours, comme prévu, Tomoe m'a rejoint, ne se doutant pas encore de ce qui l'attendait. Nous avons commencé à marcher direction le parc, un endroit public, pile ce qu'il me fallait. Lorsque nous avons longé le parc, j'ai dis à Tomoe en l'entrainant par la main :

"Viens par là, il faut que je montre quelque chose."

Je l'ai entrainée dans des buissons, à l'abri des regards, puis je l'ai plaquée au sol. Surprise, elle n'a pas eu le temps de comprendre ce qu'il lui arrivait lorsque j'ai enfoncé mes doigts dans sa bouche avec le cachet. J'ai plaqué ma main sur sa bouche pour l'empêcher de recracher, maintenant fermement l'un de ses bras tandis que sa main libre essayait de retirer celle que j'avais plaquée sur son visage. Elle s'est débattue, poussant de petits gémissements de panique étouffés, moi je lui répétais :

"Chuuuut ... Laisse toi faire Tomoe ... Tout va bien ... J'ai besoin que tu sois une gentille fille ce soir."

Puis elle s'est totalement relâchée, le regard vide, je l'ai lâchée et elle a immédiatement commencé à se déshabiller et est sortie nue des buissons pour aller se masturber devant les passants. Rouge de honte je l'ai imitée, je me sentais horrible de lui faire subir ça alors qu'elle avait toujours été adorable avec moi. Nous avons passé ainsi dix bonnes minutes à nous toucher devant les passants, même lorsque des enfants nous regardaient la drogue poussait Tomoe à se caresser devant eux et je n'avais pas d'autre choix que de l'imiter. Lorsque le policier est arrivé et a posé des questions je n'ai pas répondu, si ma victime ne parlait pas je ne devais pas parler non plus. Elle a commencée à se masturber devant lui, les yeux perdus dans le vague, sa langue pendait hors de sa bouche, un filet de bave coulant dans son cou. Moi je faisais exactement comme elle, tout en essayant d'éviter de penser et de regarder les visages des gens qui nous mataient. Elle s'est retournée vers moi, la substance lui donnait une envie irrépressible d'exciter les autres, or quoi de plus excitant pour un policier que deux vilaines filles se touchant juste sous son nez. Elle m'a embrassée sur la bouche, malaxant ma poitrine d'une main tandis qu'elle enfonçait les doigts de l'autre entre mes cuisses. Comme on me l'avait ordonné j'ai fais exactement comme elle. J'étais horriblement gênée, mais je devais tout de même reconnaitre qu'on éprouvait un plaisir très particulier à se lâcher de la sorte en public.

Le regard vitreux de la châtaigne avait de quoi perturber, qu'elle soit droguée n'aurait pas été plus étonnant que cela, et il aurait été surpris qu'elle soit capable de faire quoique ce soit de sensé…. Et l'autre qui ne lui répondait pas…. Il y avait un sérieux problème semblait-il ! Même si dans son état de lassitude actuelle, le flic – qui n'était pas en services, rappelons le – n'était même pas d'humeur à les bousculer du pied… d'habitude, il ne se serait jamais gêné !

Il regarda les deux filles s'embrasser en se touchant mutuellement sous son nez comme si de rien n'était, comme s'il n'avait rien dit, comme si il ne s'était pas pointé en les prenant en flagrant délit d'atteintes aux bonnes mœurs… comme s'il n'avait pas ce joli insigne qui lui pendait autour du cou… le jeune homme se sentait quelque peu déboussolé par le fait que l'on puisse l'ignorer ainsi… Il saisit les deux jeunes femmes par les épaules et les sépara un peu brusquement.

« Hého !  Je vous parle les filles !  On écoute et on me répond ! »

Gabriel les secoua un peu avant de les lâcher. En effet, il ne servirait pas à grand-chose de continuer à les secouer comme des pruniers. Elles n'allaient pas parler si il continuait comme ça, aussi stoppa-t-il ses brusqueries pour finalement s'intéresser de plus près à elles et à leur identité.

« Bon, allez les filles, répondez-moi, un minimum, au moins vos noms car sinon, ça va mal aller pour vous… le trou pour mineur, il est pas des plus intéressants, et vous y passerez un mauvais moment, croyez-moi ! »

Pas de réaction de la chataigne qui, isolée des doigts de sa camarade avait commencé à reprendre un peu le plaisir solo…. Gabriel chassa sa main, alors elle tenta d'y mettre l'autre, comme si c'était tout ce qui comptait, comme si c'était plus fort qu'elle et qu'elle n'avait pas le choix de ses actes… il regarda l'autre qui semblait lucide.

« Bon, tu vas me dire ce qui se passe ? Elle a quoi bon sang ? »

Et alors qu'il chassait ses mains au fur et à mesure qu'elles s'approchaient de son intimité il ne se rendit pas compte qu'elle lui avait saisit la main, mais il retira brutalement sa main quand il sentit ses doigts entrer en contact avec l'intimité de la miss :  elle s'était emparée de sa main pour se masturber avec faute d'avoir pu utiliser ses propres mains….

« Putain mais... »

Elle se ressaisit de la main pour recommencer. Il soupira et la laissa faire un peu amorphe alors qu'elle semblait presque sourire, la bave dégoulinant et venant goûté sur son sein mignonnement rebondi.IL commença à bouger un peu les doigts parce que bon, vous savez-ce que c'est :  on ne crache pas non plus dans la soupe…

« J'imagine que c'est mort pour les explications... »

Bon Lizzie ne s'était jamais attendue à une drogue douce, mais là la pauvre fille était complétement zombifiée, elle ne pensait plus qu'à se masturber devant des gens, c'était devenu son seul et unique objectif. Et puis, elle allait vraiment se rappeler de tout ? Se rappeler de tout ça, savoir qu'elle s'était ainsi donnée en spectacle ? Il aurait été moins cruel de lui effacer la mémoire au passage, juste histoire de la préserver au moins un minimum. Elle regardait Tomoe impuissante, obligée tout comme elle de se servir de la main du policier pour se masturber. Oh le pauvre avait bien tenté de communiquer et j'avais une furieuse envie de lui répondre pour qu'il mette fin à tout ça mais : "Je veux que tu fasse exactement comme elle" ; "et je t'interdis de la retenir, quoi qu'il arrive". La lettre avait été très claire à ce sujet, interdiction formelle d'intervenir ou de ne plus l'imiter, elle n'avait pour ainsi aucun contrôle sur la situation. C'était Tomoe qui décidait et la pauvre jeune-fille n'était pas en état de prendre des décisions.

Le policier ne semblait pas vraiment pressé de les arrêter, il profitait même de la situation, se servant de ses doigts pour donner à Tomoe ce qu'elle voulait et pour me donner ce que j'avais demandé sans le vouloir. Intérieurement je pensais : *Pitié, arrête nous, embarque nous, donne nous des vêtements, garde nous enfermées le temps que la drogue se dissipe et on n'en parle plus. Fais ton boulot quoi merde !*. Tomoe se pressait lubriquement contre l'épaule du policier, poussant ses doigts plus profondément en elle tout en faisant glisser son bras entre ses seins et encore une fois j'étais forcée de faire comme elle.

Après quelques secondes ainsi elle s'est mise en tête de déshabiller l'agent, lui retirant d'abord les habits du haut pour le mettre torse nu. Et avant qu'il n'ait eu le temps de comprendre ce qu'il lui arrivait, elle s'empara d'une paire de menottes dans la poche de son pantalon, la lui passa au poignet gauche et s'attacha à lui avant de jeter la clé au loin. *NON ! Espèce d'abrutie !!! Pourquoi ?* Pendant qu'il était sous le choc j'en ai profité pour prendre la deuxième paire de menottes et faire pareil avec moi du côté droit. On formait maintenant une jolie chaine humaine, sans la clé on restera liés et torse nu et ça allait devenir difficile de la retrouver dans la pénombre. Mais Tomoe ne se laissait pas abattre, c'était une battante, raison pour laquelle elle s'employait à défaire la ceinture du policier pour voir son petit soldat au garde à vous.

Faisant totalement fi de ce que le policier pouvait bien raconter, nous nous sommes employées à le débarrasser du bas qui vola bien vite quelques mètres plus loin. À peine ceci fait, Tomoe s'empressa d'avaler son sexe pour le sucer, utilisant sa langue pour stimuler son gland et le prenant parfois en gorge profonde pour lui faire apprécier l'étroitesse de sa gorge et les bruits obscènes que cela provoquait. À cet instant je suis restée sur le côté, horrifiée : *Je dois vraiment imiter ça ? Sérieusement ? Pitié qu'une autre patrouille nous coffre avant ... Je veux aller en prison ! Arrêtez nous !*.

Bien vite, Gabriel s'était retrouvé avec les deux mains occupées, chacune de ses mains allaienta vec l'intimité de l'une des deux filles… comme cé'tait étrange, celle qui avait le regard le plus vif, et donc sans doute celle qui était sobre, semblait attendre de voir l'autre faire quelque chose pour l'imiter, sans chercher à la faire revenir à la raison… il ne comprenait pas ce qui se passait, mais maintenant qu'il était dans le feu de l'action, il se doutait bien d'une chose :  que ça allait se révéler être particulièrement amusant pour lui, particulièrement plaisant. En effet, il n'était pas en service, donc il avait très bien le droit d'en profiter sans les arrêter…. Ou plutôt, non, c'était inexact ! Il avait le droit de ne pas les arrêter, mais en profiter, c’était déjà beaucoup plus discutable, il le savait pertinemment… mais le coin était suffisamment corrompu pour qu'un flic ne s'emmerde pas avec ce genre d'histoires et passe son chemin…

Préoccupé, pris entre ses pensées sur le fait qu'il avait un sacré pot lt l'exercice manuel, si l'on pouvait dire, qu'il exécutait, il ne fit pas attention au reste, au du moins, il semblait s'en ficher. Aussi, il se décida à même les aider à virer le haut…. La suite le surprit un peu plus, en effet, elle avait réussi – la rouquine -  à lui piquer ses menottes et avant qu'il n'ait eu le temps de réagir elle avait menotté un de ses poignets à l'un des siens… et alors qu'il s'intéressait à cela, il se retrouvait avec le deuxième poignet entravé de la même manière que le premier, sauf que c'était juste avec la deuxième fille. Il ouvrit les yeux ronds comme des soucoupes et finalement, renonça à lutter en voyant les menottes voler dans deux directions différentes… bon et bien, il allait devoir s'en accommoder, semblait-il …

Il reprit ses petits exercices tactiles entre les cuisses des deux jeunes filles… dont l'une s'attaquait à sa ceinture… la shootée, ce qui était impressionnant 'était qu'elle puisse faire quelque chose comme ça alors qu'elle était complètement défoncée… il la laissa faire et ne l'empêcha pas de libérer sa turgescence qui n'avait rien de colossale, qui était même, il fallait le dire, tout à fait classique niveau taille… et bien vite, Gabriel cessa même de la masturber. Pour lui laisser plus de liberté au niveau du poignet, même si elle semblait assez bien partie pour ne pas en avoir particulièrement besoin, aussi, il ne se gêna pas pour l'utiliser à sa guise, venant la poser sur l'arrière de la tête de la rouquine pour l'encourager à y aller plus franchement, savourant chacun des bruits que procurait le contact entre les parois de sa gorge et sa verge, soupirant d'aise et de plaisir…

« Putain, pas mal, on dirait que tu as fais ça toute ta vie... »

Après cette légère insulte (autant la traiter de pute, ça aurait été plus simple), il donna quelques coups de bassin en même temps que ses gorges profondes, allant assez vite pour multiplier son propre plaisir personnel en plus de profiter des sonorités peu ragoutantes de la verge qui raclait la gorge de la jeune fille… Puis, avant de sortir de sa bouche, il la bloqua, au fond de la bouche de la jeune femme et lui boucha le nez.

« Allez, on tient, on tient, on tient… et on relache ! »

Il l'avait fait tenir une petite dizaine de secondes et il se tourna vers la deuxième, non sans un petit sourire en coin alors que la rouquine avait repris ses attouchement buccaux, mais cette fois-ci sur les testicules de Gabriel. Il attira la main de la deuxième pour la poser sur sa verge, comme pour lui faire signe qu'il attendait…

« Et bien, puisque tu la singes, je crois que c'est ton tour ma belle… t'as intérêt à sucer aussi bien que la décérébrée... »

De sa main « libre » attachée à la droguée, il massait, pétrissait même, l'un des seins de celle-ci... »

Tomoe était très, surprenante. Le policier avait clairement sous entendu qu'elle avait l'habitude mais, je commençais également à me poser des questions à son sujet. Même soumise aux effets de la drogue cela ne pouvait pas suffire à la transformer aussi radicalement, elle avait clairement de l'expérience dans ce domaine, sans pour autant disposer du caractère adéquat. Une autre victime des enveloppes peut-être ? Mais pourquoi la droguer dans ce cas ? Peut-être une sorte de punition ? Non ça ne collait pas, elle avait été réellement surprise lorsque je lui avais enfourné le cachet de force dans la bouche. Pourquoi l'avoir choisie elle et pas une autre élève de ma classe ? Je commençais à croire que ce choix n'avait rien à voir avec son caractère, que la vraie raison était moins évidente que celle-là. En tout cas, j'allais avoir du mal à reproduire exactement ce qu'elle avait fait, je n'avais aucun entrainement pour ce genre de choses. Rien que de la regarder faire j'avais déjà envie de vomir, alors avaler tout ça moi aussi, non je n'allais pas tenir je le savais déjà. Et pourtant je n'avais pas le choix.

Soudainement elle s'est rabattue sur les testicules de l'homme, me laissant le champ libre. Celui-ci avait compris que je la copiais quoi qu'elle fasse, il n'avait surement pas compris pourquoi, mais il avait compris les règles du jeu. Pire, il avait décidé de jouer et d'en profiter au lieu de mettre un terme à tout ça. Je me suis donc mise à genoux, face à son sexe, tout baveux grâce à ma camarade. J'ai posée mes mains sur les hanches de l'agent, hésitant quelques secondes avant de sucer son gland tandis que mon visage virait au rouge. Elle l'avait pris en gorge profonde donc je devais réussir à faire pareil, le plus dur étant de réussir à tenir dix secondes comme ça. Le tout en priant pour qu'il n'éjacule pas, je n'avais aucune envie de devoir avaler sa semence en plus du reste.

J'ai tenté de l'enfoncer dans ma gorge une première fois, je n'ai pas réussi à aller jusqu'au bout et j'ai eu un mouvement de recul incontrôlable. Je me suis mise à tousser, ne comprenant pas comment faire pour tenir comme elle. J'ai dû m'y reprendre à de nombreuses reprises, léchant le sexe du policier entre deux tentatives. Je le soupçonnais de prendre plaisir à me voir galérer de la sorte tout en prenant du plaisir, il savait que tant que je n'arrivais pas à imiter Tomoe je ne pouvais pas passer à autre chose. Après de nombreux échecs j'ai finalement réussi à l'avaler en entier une fraction de secondes, mais à ce rythme là je n'allais jamais réussir à tenir 10 secondes. Puis le policier m'a attrapée par les cheveux et m'a empalée de force sur sa queue, faisant de rapides allers retours. Mes larmes coulaient toutes seules, j'avais envie de vomir et je n'arrivais pas à respirer correctement, produisant des bruits particulièrement obscènes au passage. Il allait éjaculer dans ma bouche, je le sentais venir, je sentais bien qu'il n'allait pas s'arrêter. Après quelques minutes qui parurent une éternité il a enfoncé son sexe le plus profondément possible, maintenant fermement ma tête le temps de se vider. Je me sentais horriblement faible à cause du manque d'air, ma gorge me faisait mal et j'étais complétement écœurée. Lorsqu’il a éjaculé, une partie de sa semence m'est ressortie par les narines tandis que je tapais sur ses fesses pour lui signaler que je n'avais plus d'air.

Puis finalement il m'a relâchée, j'ai toussé et repris mon souffle comme je le pouvais, mes joues couvertes de larmes. Ma bave se répandait sur le sol, tandis que je reprenais mes esprits. Je n'avais rien le droit de dire, même pour protester je ne devais pas dire un mot et pourtant je mourrais d'envie de le traiter de malade. Ceci dit, je n'avais pas le temps d'y penser, Tomoe était encore en train de lui sucer les testicules et je devais faire comme elle jusqu'au bout, quoi qu'il arrive. Et le pire arriva. Ma camarade de classe s'est relevée pour pousser le policier à s’allonger et s'est mise à califourchon au-dessus de lui, caressant lentement son sexe, tendu juste derrière elle, du bout des doigts. Puis elle s'est mise à rire et a dit :

"Bébé, je veux bébé. Tout de suite."

Puis elle s'est empalée sur le sexe de l'agent, bien déterminée à recevoir sa semence entre les cuisses. Pendant que moi j'étais en train de paniquer. *Elle veut ... Elle veut tomber enceinte ? C'est une blague ? Non ! Non, non, non, non et non ! Hors de question que j'imite ça ! Je ... En fait je n'ai pas vraiment le choix ... Pitié que quelqu'un nous arrête, n'importe qui ! Mettez fin à ce cauchemar !* Là c'était trop pour moi, ce n'était plus juste une humiliation. Elle semblait prendre du plaisir à chevaucher l'homme, elle n'avait absolument pas conscience de ce qu'elle faisait et prenait juste son pied. Sauf que moi je n'avais pas eu droit au cachet, j'étais obligée de tout subir en direct.

Il fallait reconnaître que la première des deux jeunes femmes étaient très douée, il attendait de voir ce que sa complice et (sans doute, vu qu'elle était lucide) initiatrice avait sous le coude, ou plutôt dans la bouche. Il regardait celle-ci avec un regard appuyé, comme pour lui faire comprendre qu'il n'y avait pas de temps à perdre à ce niveau là. Il avait clairement des attentes de sa part, mais elle devait vraiment se dépêcher où il allait finir par vraiment la forcer, cette belle châtaigne aux traits plus européens que beaucoup de japonais...

Il la regarda poser les mains sur ses hanches, comme pour s'y attaquer, quoique cela soit hésitant et peu enthousiasme. Mais il n'avait rien à faire de son enthousiasme, qu'il soit présent ou pas. A vraie dire, la seule donnée d'importance concernait davantage le fait qu'elle le fasse. Le reste n'avait aucune importance. Et si elle ne l'avait pas compris et ne se dépêchait pas, il le lui ferait comprendre bien assez vite, trop peut-être à son goût. Mais il n'eut pas besoin d'en arriver là, commençant de délicieux vas et vieux légers, lêchant son gland pour commencer, le suçant un peu. Il trouvait assez amusant de la voir rougir, comme si ça la gênait. Elle n'avait qu'à ne pas  venir jouer ici avec sa copine aux exhibitionnistes…

Il la vit tenter une gorge profonde, sans succès en effet, elle ne put s'empêcher  de reculer, comme une raie débutante, et il ne put s'empêcher de lui lancer quelques moits là dessus.

« Ben voyons, si tu ne'y mets pas du tien, je vais devoir te forcer un peu la glotte... »

Autre manière de dire qu'il allait un peu lui forcer la main… mai comme si cela ne suffisait pas, elle et d'autres échecs et il prit un peu les choses en main, l'aidant, avec très grand plaisir, à n'en pas douter, elle mit du temps à y arriver, mais elle y parvint, finalement, non sans s'y reprendre à de nombreuses reprises, sans se décourager pour autant. Voilà qui était tout à son honneur… mais il n'allait pas pouvoir tenir des heures à ce rythme sans la moindre attente… et sans scrupule… et finalement excédé par ses échecs, il lui saisit les cheveux et commença à forcer avec sa verge pour jouer à chasse taupe contre sa glotte, avec des coups de bassin lents dans un premier temps, et plus longs ensuite, peu à peu…. Il continua ainsi et finit par lui bloquer la tête contre son bassin, la forçant à garder lapose le temps qu'il lui fallait pour se laisser aller à une jouissance longue et bien méritée, avec une telle bouche…

« Putain, c'est bon... »

Et ce n'est qu'après cela, qu'il se décida à la klâcher alors que du foutre lui sortait par le nez et que la bave coulait de sa bouche non sans  toucher sa poitrine en plus du sol, il avait un petit air satisfait… et sans vraiment faire attention, il se sentit basculer à même le sol, tomber sur le dos… gérer deux filles en même temps, ce n'était pas simple que ce que l'on pouvait croire, surtout qu'elles ne collaboraient pas vraiment….

La réaction de la jeune femme était étrange, elle se mettait à rire, à califourchon sur lui alors qu'elle s'empalait sur son chibre encore baveux et court de sa propre semence… il en eut un gémissement de plaisir alors qu'il sentait son antre brûlant et assez étroit  enserrer sa virilité… Gabriel ne l'en empêcha pas et se contenta de tendre le bras qui était attaché à elle derrière la jeune femme pour lui saisir une fesse et la malaxer sans réelle douceur avant de se mettre à caresser son petit anneau rectal, très doucement.

« Putain, ta copine est une vraie salope, hein, et toi ? »

IL n'attendait pas de véritable réponse alors que Tomoe se penchait sur lui et qu'il se mettait à lui mordiller un mamelon, sous les couinements de la jeune femme, et pas tous de plaisir. IL la laissait maîtresse du mouvement. ET se détourna vers l'autre et profita du lien qui les unissait pour la faire venir à lui  et recommencer à introduire des doigts dans son intimité.

Tomoe n'était pas en reste, bien au contraire. En effet elle avait commencé à rouler patins sur patins à sa camarade de classe...