Et voilà… Sans rien dire tu t'en allas… à Pieds. Une main dans la poche, l'autre tenant ta clope.
Tu savais pas quelle heure il était, tu n'avait plus de caisse et par on ne sais quelle putain de circonstance, tu avait aussi paumée ton flingue, te retrouvant alors avec ton couteau et ton poings américain comme seules armes de défenses. Mais tous ça… Tout ça te passait totalement au dessus de la tête. Tu était à moitié paumée, t'avais toujours pas le reste de ton frics, les Guramu t'en voulais à mort et comme une cerise pourri sur un tas de fumier, t'avais niquer deux de tes très honéreuses bagnoles.
« Putain… Faut que je me sorte de ce merdier… »Un bref soupir s’échappa de tes lèvres tendis que tu marcher tranquillement sur le bord du port de Seikusu, remontant ce dernier jusqu'au quartier de la toussaint. Tu marcha quoi… Une heure ? En réalité, t'en avait un peu rien à foutre, au point eu tu en était maintenant… Jethro pouvait bien t'attendre, toi tu en avais ras-le-cul et, comme pour couronner cette soirée complètement merdique, la pluie revint à te tomber sur le coin de la gueule. Et alors que tu t'enfonçais progressivement de la Toussaint, tu vis les prostituer rentrer petit à petit dans les bar qui longer ce misérable quartier… Le rendant définitivement désert.
« Putain quelle heure il est… ? »Cet alors que dans un rue adjacente, le bruit irrégulier de talons aiguilles vint à t'interpeller…
Sans vraiment te méfier tu recula de quelque pas, voyant alors à quatre ou cinq mètre de toi une silhouette féminine entrain de marcher lentement…
« Eyh ! T'aurais l'heure ? »La femme ce stoppa… Elle tourna légèrement sa tête vers toi puis… Sans rien dire… Elle continua sa route… Toi, tu haussa un sourcil tout en fronçant l'autre… Putain, mais même les putes t'envoyer chier maintenant ?
« pfff… Il y a vraiment des gens louches dans cette ville... »Et hop, tu reprit ta route. Avec le sentiment d'être totalement abandonnée… L'espace d'un instant, l'image de cette « pute » vint à te faire sourire car, dans la pénombre, certes tu n'y avait pas vue grand-chose, mais cependant avec le peu de luminosité qu'il avait ton regard acéré t'avais permis de distinguer les reflet d'une combi en latex rendue luisante par la pluie… Les japonais et leurs penchant sexuels déviant… ça auras toujours le don de te faire rire, Même dans une situation aussi désastreuse que celle là. C'est donc en était pas plus avancée que ça que tu te remis à marcher dans les rues merdique du quartier de la toussaint, tantôt plongée dans la pénombre, tantôt irradié par les néons des bar à putes, salles de shoot et autre sexshop… Il y avait de tout. Les gens qui était devant les enseigne était généralement trop défoncée pour te voir mais, en passant devant certains bars tu sentie et tu vis les regard accusateurs e courroucés de certains loubards ou vigiles… Tes tatouages Frau ! Merde ! Une croix de fer sur l'épaule droite, une croix gammée sur la gauche et ton signe SS sur le cou… Merde… T'en avait à ce point rien à foutre sérieux ? Et bien… Ouai, pour être tout à fait franche avec toi même, tu voulais qu'il t'arrive des bricole, t'avais cette sensation acre en toi depuis que t'avais foutu le feu à cet entrepot…
Aussi loin que tu t'en souvienne, t'avais toujours aimé te foutre sur la gueule. Ton père, ces potes et… Enfin, t'aimer te battre, le soucis c'est que… Et bien que quand les choses prenaient une tournure comme celle là, une sorte de « sécurité » venait à péter en toi, un truc qui te faisait passer de femme calme a… Sociopathe en recherche de défouloir et, quoi de mieu a ton avis pour te défouler ?
« Putain faut que je frappe… »Ouai… T'en avait les mains qui tremblait… Pourtant, une petite voix diffuse au fond de toi te disait de te contrôler, de pas faire de vague, de pas péter un câble… Et puis… Il y eu cette phrase…
« Allez poupée… Viens a l'intérieur, cette boite appartient au Guramu... »Tu t'arrêta net, t'était entrain de regarder le sol quand cette phrase avait atteint tes oreilles… Les guramu ? Un léger sourire s’affichât sur sa tête de dégénérée, un sourire qui s'effaça au moment même ou tu leva les yeux vers l'enseigne de ce barre miteux…
Est ce que tu es une putain de psychopathe, Frau ? Hm ? A dire vrai, même toi tu savais pas trop si t'était saine d'esprit… Pour à ce point vouloir frapper dans de la viande, fallait pas être net. Surtout que partit comme c'est là, ça vas pas être du « feutré » nan… Toi, ton kiff, c'est quand sa gicle, que sa crack, un son et lumière de bâtard avec des bruit sale et des chicot éclater… Ton truc, c'était la bonne baston bien grasse et salasse, le combat de chien qui en fout de partout… Ouai.. Rien qu'dit penser t'en avait les yeux qui brillait.
Avec toujours une mains dans la poche, tu vint à attraper une clope que tu alluma ensuite avec un calme presque tibétain et puis… Tu avança tes guêtres vers le bar. Au début, les gens te regardais… Enfin, ceux qui était encore un minimum sobre, mais personne ne broncha… C'était pas un bar grand luxe, il y avait pas vraiment grand monde de bien sappé, cependant, une fois à l'intérieur, tu aperçus ici et là quelque table plus « chic » que d'autre, dans le sens ou il y avait des gens plus « costumé » attablés autour desdites tables. Tu sentis plusieurs regard sur toi mais.. rien à foutre, tu traça ton chemin en direction de… Des toilettes tiens… C'était calme, exiguë et avec un peu de chance, il n'y aurais personne. Tu allas donc calmement vers les toilettes qui était d'ailleurs mixtes et, une fois dans ladite pièce relativement mal éclairée, tu fit le tour du proprio pour voir s'il y avait du monde et… Personne… Pas un rat… Ce qui t’amena à légèrement sourire, avant de finalement te mettre à faire face au miroir.
Là… Tu contempla ta tronche marquée par deux trois hématome et une coupure à la lèvres. C'était ça ta vie, des nions dans la tronche… Qu'est ce que t'as put t'en prendre… C'était avec sa que ton daron, paix a son âme, te corrigés en te disant
« Tu vois ma fille, c'est comme ça que mon père ma après la vie, en me foutant des taquet dans la gueule et t'as vus ? Je suis devenue un homme ! »Ce bref souvenir te fit légèrement sourire avant que le grincement des gond de la porte menant au bar vienne a t'interpeller… Tu resta bien évidement calme, cependant, le miroir qui te faisait face annonça trois types en costard noir apparemment pas super commodes.
« Eyh… C'est quoi ton problème à toi ? T'aime bien ce genre de connerie là… hein ? »« De quoi tu parle rébus de rizière ? Sérieux, retourne tabasser des chien et viens pas m'emmerder... »« Qu'est ta dit là ? Dixit le type qui qui semblait être le chef de cette bande de rat.
Tu… Veux bien me répéter ce que ta dit ? »« Je pense pas que tu soit sourd… Non quoi d'ailleurs Oh… Quoi que… » enchaînât tu alors en gardant les yeux rivés sur ton reflet. Tendis que le gars, apparemment piqué a vif fit mine de rire avec ses potes… Avant de s'approcher de toi et de t'attraper l'épaule.
« Eyh sale pute… Tu sais a qui tu parle là ? Hein ? »tes poings ce restèrent d'un coup et, avec un calme toujours aussi flippant, tu vint à lui dire :
« Enlève ta mains de mon épaule… »« J'fait ce que je veux salope… ok »« ah… Toi aussi ? »ET crac ! Sans cris égard tu vint à te saisir de la mains de ce type afin de lui tordre pour mieux lui envoyer ton poing dans sa gueule. Ses potes, bien que surpris ne mirent cependant pas longtemps a te sauter dessus, l'un d'eux ce mettant a te charger pour mieux de plaquer contre le murent en t'envoyant trois droites dans le gueule. Mais rien a foutre, t'en a manger des plus salasse que ça et là, t'était bien chaude ! Alors sans ménagement, tu balance ton pied dans le ventre du type qui recula de plusieurs pas, bousculant son pote au passage. Toi, tellement sous tension, tu chope les deux coté de la tête du mec en prenant soin d'enfoncer tes pouces dans ses orbites afin de bien le faire hurler et BLAM ! Tu envoya sa tête contre le miroir, un fois, deux fois, trois fois avant de finalement lui écraser le pif et les chicot sur le rebord du lavabos avec un violence inouïe. Malheureusement, l'autre type revint à la charge, bien décidé a te faire morfler, ce dernier envoyant alors dans ton estomac un jolie coup de savate qui vint a te faire chuter au sol contre la porte d'une cabine, porte qui s'ouvrit d’ailleurs en grand. Cet alors que tu vint à faire une balayette à l'autre bâtard qui s'affala a son tour sur le sol. Sur ce, tu te mise alors a lui latter la tronche a grand coup de bourre pif et, une fois que le type fut suffisamment sonné, toi, du haut de ta fury de malade, tu vint à l'attraper par le coltar pour l’amener face a la cuvette des chiotte, en jetant un regard au deux autres types… Enfin un, l'autre étant sûrement mort.
« kof ! Fof ! Je... »« Ta gueule ! Putain voilà ta place fils de pute ! La tête dans les chiottes ! »Hop ! Un petit plongeon un ! En générale, quand tu faisait ça, c'était pour soutirer des infos mais là… Nan, c'était purement de la violence gratuite. L'homme ce mit alors a blobloter en remuant et en gémissant, avant que tu ne dédaigne lui sortir la de là.
« Bleurg ! Kof ! Reuh haa.. Raaah.. Je… Putain… C'est BonBlLLLeurrrrgg ! »« Ta gueule sale merde, les merde sa parle pas ! OK ! » Et hop, voilà que le type était de nouveaux entrain de barboter dans la flotte en gémissant et en bullant comme un poisson. Sauf que là, prise d'une folie plus que meurtrier, tu vint à légèrement te redresser, avant de finalement envoyer ton pied à l'arrière du crane de type, écrasant ce dernier au fond des chiotte, son sans ce mélangeant alors à l'eau pour former une souper rougeâtre absolument sinitre.
« CREVE ! CREVE ! CREVE ! »Tu t'acharna sur lui pendants plusieurs secondes, avant de finalement te stopper net… Là… Dans ce moment de silence, ton ouïe vint à l'alerter que l'autre mec, celui du démon, était entrain de bouger… Et toi, calmement… Tu sortis de la cabine pour alors lui faire face, le gars était toujours au sol, le nez en sang et le poignée gonflé.
« Pudin… Arrede bordel… Ong a combri… »« ... »T'était entrain de regarder ce type avec un sale regard bien vide et cruel… Avant de lui envoyer sans aucun somation ton pied dans la tronche… Une fois… Deux fois… Trois fois… La quatrième ? C'est simple… Tu lui écrasa contre le sol. Là… T'avait vraiment craquée Frau… Mais putain… Comment tu pouvais te sentir bien ! T'avais du sang sur la gueule, les mains, les bras… T'était légèrement essoufflée mais… Dieu que c'était bon. Calmement mais rapidement, tu te mise à fouille les poche du type qui t'avais accosté en premier, récupérant alors les clé de sa caisse, son couteau et un flingue. Tu regardas bien évidement si ce dernier était charger puis, en voyant qu'elle l'était, tu le mis dans ton futal et te releva. Le temps de te passer la mais dans le cheveux et de souffler un coup et puis… Go !
D'un pas rapide tu sortis alors des toilettes afin de quitter le plus rapidement possible cet endroit, car, a peine avait tu remit un pas dans la boite que d'autres mecs, dans le fond de la salle, ce mirent à parler entre eux en te désignant de la tête.
« pas le temps de jouer plus longtemps... »Sur ce, tu sortit de la boite, tu prit la clé que t'avait récupérée sur le type, tu appuya sur le bouton et..
yup ! Yup !« bingow ! »Fort heureusement pour toi, le gars avait pas garée sa
caisse trop loin. Sans perdre de temps, tu grimpa dedans, tu alluma le contacte et…
« Butez la !!!! »
Et hop, tu fis crisser les pied en faisant un beau démarrage et viooooom ! Tu quitta la scène du crime aussi vite que possible, enchaînant ensuite les petite ruelles et autres passage de merde afin d'être sur de semer ses bandes d'enfoiré et ce, en gardant une vitesse relativement haute.
Finalement, tu arriva enfin a quitter le quartier de la Toussaint pour revenir dans une zone plus calme de la ville. Cependant, ta vitesse ne désemplissait pas et cet à toute allures que tu te mis a tracer vers le repaires de Jethro, une belle et riche propriété dans les hauteur de la ville.
Un atome de violence… Voilà ce que tu était, es et seras toujours… Frau.