Des cours particulier [Myumi Ichtora]

La cloche du lycée sonne et elle annonce la fin de ma première semaine de cours. Je range mon livre d'histoire dans mon sac en ayant acquis pas mal de connaissances en une semaine de cours ! Maintenant je suis beaucoup moins perdue et il sera plus dure de me débusquée ainsi. Car en une semaine je me suis tapée le programme de plusieurs niveaux d'un coup, mais la contrepartie à été lourde et je n'ai pas beaucoup dormi...   

Une fois avoir ranger mes affaires dans mon sac je quitte tranquillement la salle de classe et me dirige non pas vers la sortie, mais vers une autre salle de classe. Une certaine Myumi Ichtora veut me voir dans son bureau et je me demande ce qu'elle me veut, enfin je le verrai une fois sur place ! Je crois qu'il est questions de cours de rattrapages, car certains élèves dans mon cas bénéficient de cours supplémentaires de remise à niveau. En m'inscrivant j'ai pris cette option, parce que vu mon niveau même si j'ai travaillée de dingue tout une semaine ce n'est pas suffisant. Cette aide pourrait m'être précieuse, mais j'ignore totalement quel genre de cours il s'agit. 

Je monte alors l'escalier du troisième étage après avoir croisée une amie de lycée. Qui ma fait des sous entendus bizarres quand je lui est dis que j'allais aux cours de Myumi.  Je commence à me poser des questions, mais de toute façon je ne peux pas changer d'avis et laisser tomber un professeur serait mal vu pour le dossier scolaire.  Me voila arrivée devant la porte de la salle de cours de Myumi-sensei alors que la seconde sonnerie arrive. Désormais le lycée doit-être vide et il ne reste que les élèves ayant des cours en plus.    J'hésite à frapper à la porte... Je lève ma main sur la porte, mais ne frappe pas et la repose.  Puis je me décide enfin à cogner dessus.

*Toc toc toc* 

-J'entre...   

Dis-je en poussant la porte de la salle de classe. Voyant qu'il  n'y a personne à part moi je décide de rentré et de fermer la porte à clé derrière moi, puis de m'installer sur la chaise en face du bureau de la professeur à la table la plus proche et j'attends patiemment qu'elle arrive.  Pendant ce temps je fais le tri dans mes feuilles et les ranges et jette les inutiles.  Puis lorsque j'entends du bruit se rapprocher je range mon classeur dans mon sac et attend comme une élève sage la venue du professeur.   

-Bonjour mademoiselle...  Je m'appelle  Elia Nelyn,  je suis l'élève que vous aviez demandée pour les cours particulier.   

Le lycée Mishima prévoyait, pour les élèves rejoignant l’établissement en milieu d’année, des cours particuliers avec des professeurs référents pour les mettre à jour dans les matières où ils avaient le plus de mal. C’est de cette manière que Myumi Ichtora se retrouva avec une série de cours particuliers dans sa chambre, après l’heure de fin des cours, en compagnie d’une jeune fille qui venait d’arriver, Elia Nelyn. Myumi avait réussi à consulter son dossier scolaire, et avait rapidement compris qu’il était faux. Bien des élèves du lycée avaient des dossiers faux, soit intégralement, soit partiellement. L’administration le savait, mais les secrétaires avaient des ordres émanant de la Directrice du lycée pour accepter n’importe qui. Les dossiers scolaires suffisaient à satisfaire les curieux, et à donner l’impression que l’administration du lycée fonctionnait bien. Myumi était donc curieuse, et même doublement curieuse. Elle avait vu cette Elia, sur la photo qu’elle avait versé dans le dossier, mais aussi en cours. Elle était très mignonne. Et, outre ça, elle désirait aussi savoir d’où elle venait, et quel(s) secret(s) elle cachait.

*Venant de la part d’une professeur à moitié succube, c’est une question légitime…*

Myu’ attendait donc patiemment dans son bureau, portant son tailleur gris coupé court. Elia l’attendrait dans la salle, attenante au bureau, et, tout en attendant, elle était en train de corriger quelques copies. Elle enseignait les mathématiques à Seikusu, une matière barbante par excellence, et il fallait bien que ce soit servi par une femme comme elle pour que les élèves raffolent de cette discipline. Elle était donc en train de corriger quelques copies, faisant, pour une fois, une activité normale d’enseignement. La fin de journée commençait en effet à se faire sentir pour elle, car elle n’avait encore eu aucune activité sexuelle depuis Midi, heure à laquelle un lycéen l’avait pénétré dans son bureau. Ça avait été rapide, suffisant pour assouvir brièvement sa soif, mais, maintenant que la sonnerie avait annoncé la fin de la journée, les pulsions de Myumi commençaient à nouveau à se réveiller.

Avant d’aller accueillir Elia, Myumi réfléchissait donc. Le mieux aurait voulu qu’elle porte l’une de ces culottes spéciales, arborant des vibromasseurs orientés vers l’intérieur, afin de se soulager, ce qu’elle faisait parfois quand elle était de surveillance d’examens. Mine de rien, ce genre de petit appareil facilement trouvable dans n’importe quel sex-shop avait le don de l’aider à se détendre. Cependant, le temps lui manquait, et elle reposa son stylo sur la dernière copie, celle d’une belle petite brunette qui s’était fait prendre en sandwich par ceux camarades sous le regard émerveillé et adouci de Myu’. Que de jolis souvenirs !

*Ah, si je me mets à penser à ça, autant abandonner tout de suite !*

Elle avait arrêté de corriger, car son stylo la démangeait de plus en plus… Elle pouvait se servir de ses doigts pour se caresser, bien sûr, mais il était fréquent qu’elle utilise son stylo, notamment sur les élèves, en caressant leurs culottes avec le bout du stylo, le petit bouton qu’on enfonçait pour pouvoir écrire. Il remuait contre leurs fines culottes, et Myu’ aimait bien faire ça avec celles des filles, car elle pouvait l’enfoncer… Et puis, les couinements des filles étaient toujours délicieux à entendre.

Devant vraiment se calmer, Myumi se redressa, et sortit rapidement de son bureau. Elle tenait dans la main dans son stylo, et fit face à Elia, qui se leva rapidement et poliment, avant de la saluer :

« Bonjour mademoiselle...  Je m'appelle  Elia Nelyn,  je suis l'élève que vous aviez demandé pour les cours particuliers. »

Un autre professeur qu’elle, plus strict, aurait pu se familiariser qu’elle prenne elle-même la parole, ou ne l’appelle pas senseï, mais Myu’ se contenta de sourire, ses doigts remuant sur son stylo, son pouce s’enfonçant contre le capuchon. Elle se mordilla légèrement les lèvres, et s’assit sur son bureau, face à Elia, croisant ses longues jambes sous son nez, et lui sourit tendrement, sa longue chevelure rousse glissant dans son dos.

« Salut, Elia ! Je t’en prie, tu peux te rasseoir ! »

Vraiment mignonne, cette petite !

« Alors, dis-moi, comment se passe tes premiers jours à Mishima ? Tout va bien, pas de soucis en particuliers ? »

Myu’ était une professeur qui s’inscrivait dans l’anormale norme des professeurs de Mishima : sympathique et très proche de ses élèves…

Très proche.

Le cours ne va pas tarder à commencer, car la prof me dis alors d'aller m'assoir à la chaise ce que je fis donc.  Un premier détail me trouble. Pourquoi porte t-elle un vêtement noir si court ? C'est toléré au lycée ?  Visiblement oui. Voyant que la prof me regarde je la regarde aussi et elle est plutôt jolie avec ses cheveux roux et ses yeux bleus. Puis dans les cinq minutes qui suivent la voila qui vient  lancer le débat entre elle et moi et me demande si ça va à Mishima.

-Oh euh oui bien sur ça va très bien pour le moment.  Je vous remercie professeur.

ça allait même plutôt bien, car une agente d'un système secret m'a engagé en milieu de semaine. J'ai donc par conséquent déjà un nouvel emploi, mais ça je ne peux pas le dire, car c'est top secret aussi bien pour moi que pour eux, mais au lycée mieux vaux ne pas donner mon nom de code, car  je sera vite démasquée.  Je prends alors un air songeur et lui demande d'une voix charmeuse. 

-Quel matière allez vous m'enseigner mademoiselle ?

Un détail qui me tracasse aussi c'est de savoir ce qu'on va enseigner, car si il s'agit des  mathématiques ce n'est pas la peine parce que je suis  douée en arithmétique comme il le disent sur Terra.  La ou ça me serait le plus utile ce serait en histoire ou en Français. Mais qu'importe ! Je ferai semblant d'avoir des difficultée si le cours me plait bien.  Puis je viens alors poser une autre question. 

-Pouvons nous commencer ?  Ah et quel matériel je dois emmener pour les prochains cours s'il vous plait ?

Dis-je en la regardant en souriant.  Quoi de plus normal de ce renseigner sur la matière et le nécessaire à avoir pour bosser dans de bonnes conditions, mais mon petit doigt me dit que ce n'est pas que la matière du prof qu'elle enseigne, car à Mishima tout le monde semble parler d'elle comme prof très proche des élèves, mais proche à quel point ? Je ne vais pas tardé  à le savoir...    De plus on verra bien la liste si je dois apporter du matériel ou non pour pouvoir apprendre cette matière. A moins que la prof est déjà le nécessaire.

Elle était vraiment très mignonne. Assise sur son bureau, Myumi ne pouvait s’empêcher de faire cette réflexion. Son stylo, lui, continuait à jouer avec ses nerfs. Perdue dans ses pensées, la senseï savait ce qui lui arrivait. Les pensées se mélangeaient, des désirs contradictoires qui tourbillonnaient dans son esprit. Il fallait qu’elle fasse le vide dans sa tête, qu’elle clarifie ses pensées dans la mesure du possible.

« Pouvons nous commencer ?  Ah et quel matériel je dois emmener pour les prochains cours s'il vous plait ? » lui demanda alors Elia.

Myu’ s’humecta les lèvres, et descendit de son bureau, se rapprochant de la femme. Ses talons claquaient sur le sol, et elle ondulait légèrement des hanches en se déplaçant, belle et sensuelle.

« J’enseigne les mathématiques, Elia... Tout ce dont tu as besoin, c’est d’une calculette, d’un paquet de feuilles, et des stylos... Mais tu peux m’appeler Myumi, Elia. Professeur, c’est bon pour quand nous sommes en cours. Là, il n’y a que toi et moi. »

En se rapprochant d’Elia, elle pensait encore plus au stylo. Elia était plutôt belle, avec une agréable chevelure, et une petite bouille adorable. Elle la voyait bien susciter un stylo... C’était le genre de trucs qui faisaient fantasmer Myumi. Quand elle voyait une belle petite élève jouer avec son stylo, le faire rouler dans sa bouche, elle s’imaginait lui fourrer sa queue en elle, et la prendre fermement, avant de la baiser sèchement. En matière de sexe, Myumi pouvait être aussi tendre que violente. La senseï n’était pas une demie-succube pour rien.

Sa main se tendit naturellement vers les cheveux d’Elia, les caressant. Elle voulait rassurer cette jeune fille, car elle craignait que cette dernière ne soit nerveuse. Lors des transferts de lycée, c’était généralement le cas, et ça l’était encore plus quand votre dossier scolaire était truffé de mensonges. Myumi respectait sa vie privée, et elle n’essaierait pas d’en savoir plus là-dessus.

Revenant à des préoccupations plus professionnelles, elle sortit un formulaire, et le montra à Elia.

« C’est un ensemble de questions que j’ai moi-même concocté, afin d’essayer d’avoir une idée du niveau de mes élèves en mathématiques. Je te demanderai de bien vouloir le remplir... Et tu as le droit de prendre ton temps, bien sûr. »

Elle lui montra le formulaire, qui comprenait deux pages, puis, après le lui avoir déposé, retourna s’asseoir sur le rebord du bureau, conservant sur les lèvres un sourire malicieux.

La professeur répond alors à ma question et mon sourire s’efface en entendant les mathématiques, car je suis déjà relativement douée en cette matière ! Quant au matériel utile pour l’arithmétique il faudra prendre une calculette, des feuilles et de quoi écrire. Le matos classique quoi rien de bien folklore. Puis la prof me donne alors son prénom "Myumi" c'est un joli prénom et m’explique des règles de politesses élémentaires vu qu'il n'y a que elle et moi dans cette salle.   De plus sa façon de se mouvoir était très particulière, car sensuelle à souhait.   

-C'est un joli prénom Myumi-san.   

Dis-je en la regardant à nouveau en souriant.  Mais quelque chose me  perturbe alors la voila qui vient me caresser les cheveux avec une telle délicatesse qui me fait presque rougir.  Puis je la vois s'avancer vers son bureau et fouiller dans les tiroirs et en sors une copie avec des choses écrites dessus, mais elle revient très vite me le montrer et je vois alors qu'en fait c'est un formulaire surement pour tester mes compétences. C'est d'ailleurs ce que me dis  Myumi-san et en plus elle l'a elle même fabriqué ? Je suis curieuse de lire ça, mais je risque de le regrettée très vite, car il ne contient pas que des questions de maths ordniaires. D'ailleurs je rougis en lisant certaines questions demandées. Je craque je ne peux plus restée  moi même. 

-B...bien je vais faire de mon mieux  Myumi-san. 

Je me saisis d'un stylo et commence à remplir ce questionnaire en commençant par les questions de mathématiques. Je vois que la première page est normale, mais en revanche quand j'arrive au verso, la ça commence à être assez curieux comme question, mais vu que ça fait parti de la chose je suis bien obligée d'y répondre et je note tout. JE commence à comprendre pourquoi mon amie m'a regardée de traviole quand je lui est dit que j'allais la bas! Mais qu'importe. Je me contente d'écrire avec une écriture très soignée et pour l'instant je n'ai pas fait d'erreur et je lui rends le questionnaire une fois fini. Ainsi que le stylo qu'elle m'a prêtée pour que je le remplisse.   Il ne m'a fallut qu'un total de dix minutes pour le faire c'était donc plutôt rapide au final j'espère que je suis à la hauteur de ses attentes. 

-TIens j'ai terminée le formulaire. Cela te convient comme ça ?

Je me lève pour aller lui apporter à son bureau et m'assoit sur la chaise en face de lui d'ailleurs, car vu qu'il n'y a personne autre dans la salle autant me mettre proche d'elle. Donc me voila face à face avec ma professeur et j'ai du mal à ne pas être mal à l'aise je dois bien l'avouer ce questionnaire m'en a fait voir de toutes les couleurs, mais mon cerveau me laisse penser que je ne suis pas au bout de mes surprises avec elle. Je met donc mes bras le longs du corps et je prends une posture confortable face à elle ce qui fait rebondir un peu ma poitrine.   

Les formulaires de Myumi étaient très spéciaux. Outre des questions portant strictement sur les mathématiques, il y en avait aussi certaines qui étaient bien plus intimes, et qui constituaient d’autres questions intéressantes. Elles portaient sur l’expérience sexuelle de l’individu réalisant ce test. « Avez-vous pratiqué une sodomie ? » était le genre de questions qu’on pouvait par exemple lire. Autant dire que, quand une prof’ vous posait ce type de questions, on pouvait s’attendre à tout. Elle était donc impatiente de lire le contenu du formulaire, que la jeune élève finit par lui fournir au bout d’une dizaine de minutes, après avoir rougi comme une tomate. Myumi l’avait évidemment vu, car, sur ce point, elle était terriblement observatrice.

« Bravo ! Laisse-moi le temps de consulter ça... »

Myumi faisait comme si de rien n’était, et récupéra le papier, ainsi que le stylo qu’elle avait donné à Elia pour accomplir le test. La senseï s’humecta les lèvres en lisant le contenu. Les réponses portant sur les maths étaient toutes excellentes, indiquant qu’Elia avait un bon niveau. Sur la base de ce formulaire, Myu’ pouvait savoir que les cours particuliers en mathématiques ne seraient pas très longs. Elle n’en avait pas besoin. C’était toujours bon à savoir. Elle consulta bien entendu les autres questions, et constata qu’Elia était... Totalement vierge. Pas de sodomie, pas de fellation, pas de gorge profonde, ni de coït. Elle se tenait devant elle, cette belle petite perle, avec sa belle poitrine, et ses joues toutes rouges. Myumi lui sourit en coin, et déposa le formulaire à côté de son corps, avant de se décoller du bureau.

La jeune femme marcha à nouveau vers Elia, d’une démarche lente et sensuelle, et s’assit désormais en plein sur son bureau. Sa main retourna caresser les cheveux de la belle.

« Je crois que tu n’auras pas besoin de mon aide en ce qui concerne les mathématiques, Elia... Tu es donc libre de partir, mais... »

Sa main continuait à caresser ses cheveux. Myumi était assise de côté, et elle pivota lentement, soulevant sa jambe gauche pour la faire passer par-dessus sa tête. Ses deux jambes se retrouvèrent ainsi mutuellement à gauche et à droite de sa tête, Myu’ face à Elia, les fesses posées sur son bureau. Ses mains caressèrent à nouveau son visage. Elle encerclait littéralement la jeune élève avec ses jambes et avec ses mains. La senseï n’était pas une demi-succube pour rien, et elle agissait pour séduire Elia. Une petite vierge... Une délicieuse petite vierge ! Pour Myu’, c’était particulièrement excitant. Cependant, elle ne voulait pas contraindre la petite. Ce qu’elle faisait, ce n’était rien de plus qu’une forme assez poussée de séduction.

Elle rajouta rapidement, terminant la phrase qu’elle avait laissé en suspens :

« ...Il faut avouer que ce serait dommage que notre séance se termine de manière si abrupte, n’est-ce pas ? Car, ma foi, je pense pouvoir encore utiliser mes talents pour t’initier quelques petites choses... »

Restait à voir si Elia en aurait envie.

La professeur regarde alors les réponses et elle m'a félicité pour mon temps de réaction qui est rapide. Je la regarde lire et quand elle tourne la page vers les questions  érotiques je baisse un peu mes yeux, car je me demande pourquoi elle a besoin de savoir cela. De toute façon je suis dans son cours et je suis donc obligée de faire ce qu'elle me donne comme travaux.  Je la regarde alors poser le formulaire à coté d'elle et venir vers moi d'un pas extrêmement sensuel et charmeur.  Puis elle s'assoit sur mon bureau et me caresse les cheveux...

-Mais ?   

Demandais-je intriguée, car elle semble vouloir que je reste et je suis bien curieuse de savoir ce qu'elle enseigne autre que les mathématiques. Cela me permettra de découvrir d'autres domaines et vu le questionnaire je pense que c'est le genre de prof érotique par derrière. Je comprend pourquoi   Myumi-sensei est très appréciée de la gente Masculine au sein de l'établissement.  D'ailleurs en parlant de ça je me retrouve avec les jambes de la prof  sur mes épaules et je rougis à mort en voyant sa posture actuelle. Mais quelque chose fait que je suis séduite par elle  et je ne peux pas bouger de ma chaise ! De plus mon coeur s'accélère un petit peu sous l'excitation.  Puis la sensei me caresse le visage en plus de ça et me dit  alors.

-M'initier des choses ? C'est avec plaisir professeur...   

D’autres femmes auraient sans doute pu avoir des scrupules, ou éprouver des remords, à l’idée de se rapprocher ainsi de leurs élèves. Ce n’était pas le cas de Myumi. Elle considérait même que la formation sexuelle de ses élèves était une fonction inhérente de sa condition de professeur. Son rôle était d’apprendre à ses élèves à vivre, à savoir se débrouiller en société, et, si les mathématiques pouvaient avoir une certaine utilité, elle savait très bien que, à cet âge, à ce moment de la vie où le corps était en train de se développer et de mûrir, on avait tendance à faire n’importe quoi. Les parents réagissaient souvent en interdisant à leurs enfants de faire ce qu’ils avaient envie de faire, et, parfois, il y avait des catastrophes. Myumi intervenait en amont, pour les guider, pour satisfaire la curiosité... Et, en retour, elle recevait son propre plaisir. La petite Elia rougissait devant elle, son corps entouré par celui de Myu’. Elle aurait tout à fait pu refuser, la repousser... Mais ce n’était pas ce qu’Elia avait envie, et, en un sens, Myumi le savait. Son intuition féminine, sans doute.

La réponse d’Elia ne tarda pas à venir, de sa petite voix fluette, et qui semblait légèrement teintée par l’excitation :

« M'initier des choses ? C'est avec plaisir professeur... »

Myumi lui sourit, et pencha légèrement son corps en arrière, soupirant alors.

« Bien, bien... Mais, dans ce cas, il va falloir que tu m’appelles ‘‘Maîtresse’’, dorénavant. »

Il était temps de commencer les choses sérieuses. Myumi se releva à nouveau, délaissant le bureau d’Elia. Ses talons violets claquaient sur le sol, et elle se rendit dans le dos de la femme. Ses deux mains massèrent généreusement les épaules de la femme, et elle les remonta jusqu’à sa nuque, tout en continuant à parler :

« Mon rôle n’est pas que d’enseigner les maths, Elia... À partir de maintenant, tu es mon élève sexuelle. Ceci revient à dire que j’ai un droit de regard sur ta sexualité, sur ta vie sexuelle... Et que je te formerai là-dessus, afin que tu deviennes la meilleure amante possible pour les garçons... Ou pour les filles. »

Elle parlait sur un ton calme, plein d’assurance, et rejoignit ses mains sur la nuque d’Elia, avant d’appuyer, faisant basculer son visage en arrière. Myu’ se pencha sur elle, et, sans rien dire de plus, entrouvrit ses lèvres, et l’embrassa. Ses lèvres tirèrent sur la lèvre supérieure de la fille, et elle prolongea le baiser, pendant de nombreuses secondes, avant de finir par le rompre, un sourire sur le coin des lèvres. La Maîtresse s’écarta un peu, et s’assit sur le coin du bureau d’Elia, caressant l’une des joues d’Elia.

« Si tu veux assister à ce cours privé... Embrasse ma main, et jure d’être la fidèle élève de ta Maîtresse. »

Dans le sexe, Myumi ne sous-estimerait jamais le poids des mots.

Jamais.

La professeur se penche en arrière en soupirant d'aisance avant de m'adresser une phrase qui ne m'étonne pas du tout. Je dois la nommée Maitresse ? Ce n'est pas dans les jeux à caractère sado-masochiste que ce terme est utilisé ? Il me semble que si, mais qu'importe je lui répond d'un faible sourire, car je suis timide. 

-Maitresse ? D'accord... Je vous appellerai comme ça dorénavant... 

Dis-je en la regardant se relever et quitter mon bureau pour se rendre dans mon dos. Maintenant je ne la vois plus du tout et je l'entend encore   me dire tout en me massant les épaules.  que son truc à elle c'est les choses érotiques et sexuelles. Mais moi je suis attirée par les filles! Elle le précise d'ailleurs et c'est tant mieux, mais une fois n'est pas coutume je ne suis pas étonnée de voir que la spécialité de la prof est tout ça. Puis elle me dit dans sa même phrase que je lui appartiens sexuellement parlant. Soit... 

-Oui je vous appartiens Maitresse.     

Je constate que sa voix est douce et que ses mains sont sur ma nuque et elle fait basculer ma tête  en arrière et m'embrasse tranquillement.  Je lui rend son baiser maladroitement, car elle sait y faire, mais pas moi ! De plus confier ma sexualité à ma prof de "mathématique" ne me dérange pas du tout parce qu'elle à l'expérience que je n'ai pas et aussi parce que c'est un professeur de l'établissement. Si la direction ne dit rien alors ça doit être autorisé ici.  Car je pense que certains élèves ont dut aller a la direction, mais vu qu'il n'y a rien alors c'est autorisé. Puis elle s'assoit sur un coin de mon bureau et me caresse la joue d'une main avant de me dire d'une voix sensuelle que je dois lui jurer obeissance et fidélité ou quelque chose comme cela. 

-Oui maitresse

Je me lève alors de ma chaise et m'avance vers la maitresse d'un pas lent avec un faible sourire, puis je prend délicatement sa main en faisant attention de ne pas aller trop vite ou de faire n'importe quoi et je penche ma tête pour lui embrasser le dos de sa main droite pendant quelques secondes, puis je la tiens toujours en disant d'une voix douce et tranquille. 

-Je vous jure d'être fidèle à ma Maitresse et je lui jure obéissance.

De ce fait me voila soumise à  ma professeur et cela m'enlève aussi le droit de coucher avec qui je veux, mais ce n'est pas bien grave, car je suis attirée par les filles et pour l'instant je ne suis pas expérimentée du tout. Mais cela va changer parce qu'elle va m'apprendre tout un tas de choses la dedans même si je suis devenue son esclave pour une durée indéterminée.   

Officiellement, bien entendu, les rapports sexuels entre un professeur et un élève, au lycée Mishima, étaient totalement proscrits, et interdits, sous peine de lourdes sanctions. Pour autant, si on s’intéressait un peu à Mishima, on apprendrait que l’établissement avait déjà fait l’objet de problèmes avec des associations d’élèves, et qu’il était au cœur de multiples scandales. Ces derniers n’avaient jamais abouti, pour d’obscures raisons liées à la personnalité de sa directrice. Officiellement, Mishima était un lycée tout à fait normal avec une réputation sulfureuse qui n’était pas méritée. Officiellement... Car, en réalité, le lycée avait une politique sexuelle qui était fortement encouragée. Les professeurs semblaient tous être recrutés selon des critères physiques prononcés, et, plus ils étaient pervers, et plus leur dossier était retenu. Myumi savait très bien comment les choses marchaient ici, elle savait qu’il existait des clubs sexuels ne se cachant presque pas. Myu’ dirigeait le sien... Et peut-être bien qu’Elia y serait admise, vu son engouement à la satisfaire.

Le baiser était une petite invention personnelle, comme une sorte de cérémonie, de perversion du baiser que le vassal faisait envers son suzerain, lui jurant fidélité. C’était ici une idée similaire, mais appliquée à une vision sexuelle d’une relation de servitude. Les lèvres d’Elia se posèrent tendrement sur ses doigts, et Myumi regretta de ne pas avoir mis de gants en latex. Il fallait tout de même qu’elle prépare un peu la cérémonie, que ce soit... Grandiose. La senseï y réfléchissait, et elle se disait que le mieux serait sans doute de prendre tout son temps.

*Oui... Oui, ce serait sans doute le mieux... Ensuite, nous aurons tout el temps de passer aux exercices pratiques, mais je tiens à ce que sa première fois soit... Longue et inoubliable.*

Myumi lui sourit alors, et récupéra ses doigts.

« Très bien, très bien... J’accepte de t’avoir comme esclave sexuelle... Et je décide de t’enlever ta virginité... Ce soir. »

Elle ne voulait pas qu’Elia se sente trop forcée, car ça pouvait aussi se retourner contre elle. Et puis, la faire attendre, lui laisser un peu d’imagination, voilà qui n’était pas mal. Myumi ne manquait pas d’idées, et elle devait aussi faire le tri dans sa tête, clarifier certaines choses... Et trouver une tenue appropriée pour une Maîtresse.

« Tu iras chez moi ce soir, pour 22 heures... Passe-moi ta culotte, maintenant, jeune esclave. »

Une fois que Myumi l’eût, elle nota sur cette dernière son adresse. Elle trouvait ça excitant. Les adresses japonaises étaient différentes des adresses occidentales, se composant d’une série de numéros correspondant à des circonscriptions administratives. Elle le lui remit ensuite.

« Viens chez moi à cette heure-là... Si tu n’y viens pas, alors notre pacte sera oublié, tu pourras reprendre une vie normale... Et je ne t’importunerai plus jamais. »

Elle lui caressa à nouveau les cheveux, et l’embrassa une énième fois sur les lèvres.

« À toi de voir, ma chérie... En attendant, le cours est fini. »

*
*  *

La maison de Myumi était une maison japonaise urbaine typique, avec un toit en tuiles, et un élégant jardin à l’entrée, ainsi qu’un perron. En s’approchant à l’heure indiquée, Elia remarquerait que la porte était entrouverte.

Myumi l’attendait à l’intérieur, confortablement assise sur un fauteuil noir occidental... Et elle avait choisi une tenue à se mettre.

Une belle robe avec des collants noirs.

La professeur me regarde et reprend alors sa main en affichant un sourire en vers moi. Je ne sais pas si il est veillant ou bienveillant, mais la  voila plongée dans ses pensée avant de me répondre qu'elle veut bien de moi comme esclave sexuel. Je lui répond alors avec une voix troublée et mon rythme cardiaque accélère un petit peu sous l'excitation sexuelle.   

-D'accord... Maitresse 

Mais quelque chose retient mon intention c'est le mot ce soir ! On ne va pas jouer tout de suite alors ? Je brise mon sourire par une tête un peu déçue et je rougis alors. Ce soir cela veut dire que je vais être probablement invitée chez elle pour qu'on passe aux choses sérieuses, mais le hic c'est que je ne sais pas ou elle habite dans Seikusu moi, mais la prof vient alors me donner un ordre assez  particulier. Celui de lui donner ma culotte. Aussi elle me donne une heure de rendez vous qui n'est autre que 22 heures du soir.  Visiblement on va jouer la bas.

-Oui Maitresse. 

Je me baisse alors pour défaire mes chaussures et  une fois fait je les enlèves et les poses à cotés du bureau de la prof et  de mes petites mains je viens alors baisser ma culotte et  la retirer après avoir lever mes jambes  puis je lui tends toute gênée et rouge et je la vois écrire quelque chose dessus!  Je la regarde  alors d'un air intriguée et je lis l'adresse, puis je remet ma culotte puis le reste de mes fringues puis mes chaussures!     Elle m'explique que si je ne viens pas  a cette heure la le début du pacte sera brisé et la vie reprendra son cours normal, mais je suis bien curieuse d'apprendre. Je quitte alors ma salle de cours  pour  rentrer chez moi et j'allume alors mon ordinateur afin de visualiser, puis une fois fait je vais faire me faire a manger pour ce soir et ensuite je vais jouer un peu aux jeux vidéos vu que c'est le weekend ce soir ! Par conséquent je vais pouvoir passer 3 jour complet avec elle ! Ce sera intéressant 

Une fois avoir mangée je me contente d'aller regarder dans mon placard  pour voir quelle tenue je vais mettre et mon choix se porte sur un débardeur bleu marine avec une jupe noire. Je  prend un sac avec deux ou trois vêtements de rechanges au cas ou et je me dirige alors vers la sortie en pensant à verrouiller la porte de chez moi.  Je m'engage dans les rues vu que ce n'est pas très loin et arrivé à 21h50 j'arrive devant lla maison de myumi qui est très atypique des japonais et je vois la porte qui est entre ouverte!  Je m'avance vers elle et j'entre en fermant la porte derrière moi. Pour que personne d'autres ne puisse rentrer. Je dépose mon sac et m'avance vers elle en la saluant respectueusement. Je suis donc a genoux face au fauteuil et je remarque sa tenue de fétichiste et je rougis en la voyant...   

-Bonsoir maitresse je suis venue.
 

Allait-elle venir ou pas ? La question remontait dans l’esprit de Myumi. Elle s’était assise sur son fauteuil après avoir passé une soirée relativement tranquille. Elle s’était masturbée une fois en pensant à Elia, et s’était habillée, en enfilant la tenue qu’elle portait maintenant. Myumi avait, grâce à sa mère, une multitude de tenues. Erelda était une femme extrêmement riche, et qui usait une partie non négligeable de sa fortune dans le sexe. C’était une succube, après tout, encore plus perverse que Myumi. Toute la garde-robe de Myumi et tout son équipement sexuel venaient de la fortune de sa mère, et la jeune femme allait avoir l’opportunité de l’utiliser ce soir.

Le décor avait été dressé, à l’aide de chandelles dans les coins, et d’encens. Dans le salon, l’ambiance était ainsi intime, sensuelle, tendre et chaude. Elle était assise, jambes croisées, et l’échéance approchait. Il était possible, et même très probable, qu’Elia ne vienne pas. Bien des lycéens se méfiaient de leurs professeurs, et l’avantage de Myumi était sa grande beauté, qu’elle n’hésitait pas à utiliser... Ça, ainsi que son charme complice envers les élèves de sa classe. Cependant, elle ne connaissait pas beaucoup Elia, et cette dernière était encore assez imprévisible. Au vu de ses réactions tantôt, Myumi avait envie de croire qu’il était très probable qu’elle franchisse cette porte... Au pire, elle avait toujours un moyen de sauver sa soirée. Pour Myumi, passer une soirée sans sexe était perdre une journée. Ayant une origine partiellement succube, Myu’ avait un besoin vitalde sexe. Comme on avait besoin de manger, elle avait besoin de faire l’amour, ce qui soulageait ses tensions, et la maintenait de bonne humeur, évitant de la rendre folle. Elle continuait à rester assise, laissant le temps passer, jusqu’à ce qu’elle entende des bruits de pas.

Les battements de son cœur s’accélèrent légèrement, et elle laissa Elia entrer. Ce ne pouvait être qu’elle, et Myu’ esquissa un léger sourire, entendant la porte se refermer derrière elle. Elia traversa le vestibule et arriva rapidement au salon. Elle s’était changée, optant pour des vêtements plutôt classiques : un débardeur avec une jupe. Myumi allait devoir lui trouver une tenue plus adaptée. Elia s’agenouilla devant elle, en position de soumise :

« Bonsoir maitresse je suis venue. » lui dit-elle.

Myu’ se contenta d’un léger sourire. Elle le voyait bien, tout comme elle voyait les joues rouges d’Elia. Myu’ décroisa les jambes, puis se redressa.

« Alors, nous allons commencer, ma chérie... Reste agenouillée, je vais chercher une tenue qui conviendra mieux à la petite soumise que tu es. »

Tandis que Myu’ marchait, on pouvait entendre ses talons claquer sur le sol. Elle s’avança tranquillement, jusqu’à ouvrir un placard, et observa ses tenues. Le choix était plutôt difficile, et elle hésita de longues secondes. Finalement, Myu’ finit par prendre une tenue, la sortant du placard, et se retourna, un sourire pervers sur les lèvres. D’une démarche fluette et maîtrisée, elle se rapprocha ensuite, et s’assit à nouveau sur son fauteuil, balançant la tenue sur le sol.

« Relève-toi, puis déshabille-toi, petite catin, et enfile cette tenue. »

Le ton était intransigeant, quoique teinté d’un ton sensuel. Entre ses mains gantées, Myumi tenait une sorte de curieuse queue caudale. La combinaison était recouverte par une housse protectrice, mais, quand on retirait cette housse, on comprenait vite l’intérêt de cette queue. La tenue en question était en effet une tenue de neko.

« Allez, allez, enfile-là, et mets-toi à quatre pattes devant moi... Tu es ma petite chatte, maintenant. »

Sa petite chatte... Entre autre.

« Alors, nous allons commencer, ma chérie... Reste agenouillée, je vais chercher une tenue qui conviendra mieux à la petite soumise que tu es. »

-Oui Maitresse. 

Je dois rester agenouillée en face du fauteuil en position de soumise et je dois bien avouer que cela me met un peu dans l'embarras, mais ce n'est pas grave. Je la vois ce lever et marcher d'un pas très sensuel et attrayant, puis passée derrière mon dos c'est dur de voir, mais au bruit je dirai qu'elle est en train de prendre  quelque chose dans une armoire et elle referme la porte tranquillement en revenant en face de moi. Elle se rassoit et m'ordonne de me relever et d'enfiler la tenue qui vient de tomber à mes pieds. Je la regarde et je rougis aussitôt, mais on discute pas les ordres de sa maitresse. 

-Bien Maitresse.

Je commence alors à enlever mon débardeur en faisant passer les fils sur le coté de mes bras et je l'enlève ensuite par le haut libérant ainsi ma grosse poitrine. Je retire ensuite mes chaussettes et ma jupe, ensuite il ne me reste plus qu'a enlever la petite culotte rose que je fais glisser le long de mes jambes. Me voila nue face à elle et je commence à enfiler la tenue bizarre, mais elle me maintient à quatre patte celle la. Pour les lanières derrières c'est Myumi qui vient finir mon travail et je suis donc immobiliser à quatre patte avec une tenue de neko.  Cela me fait encore plus sentir à quel point je suis soumise, mais elle ne m'a pas mise la boule rouge toute suite. Je me demande à quoi cela sert, mais je pense que j'aurai la réponse en temps voulu.

-Oui Maitresse je suis votre chatte maintenant.

Dis-je alors que mes bras semblent bloqués devant et je suis obligée de marcher avec mes genoux, car mes jambes sont maintenues avec des lanières en cuire. Cela ressemble plus a une ceinture qu'autre chose, mais tant pis. Me voila bien  bloquer maintenant même si l'envie m'en prenait je ne pourrai plus faire marche arrière, car elle peut me mettre une laisse si elle le voulait. Mes seins sont peu pratiques, car très volumineux et elle doit bien se rincer l’œil d'ailleurs.  Je me contente de regarder en face de moi, car le collier me bloque un  peu les mouvements de la tête également. 

-Qu'allons-nous faire maintenant Maitresse ?

Je suis bien curieuse de savoir ce que je peux faire dans cette posture très contraignante pour moi, mais elle offre  pleins de possibilités à ma Maitresse de plus elle ne m'a pas mise cette boule rouge donc je pense qu'elle le fera pls tard et vu les lanières que ça à cela doit ce mettre au visage et donc dans la bouche. Cela doit certainement servir de baillons boules.   De quoi encore plus humilier une chienne. Enfin chatte dans ma position. 

Myumi aida Elia à enfiler cette tenue, notamment au niveau des sangles qu’il fallait serrer dans le dos. Sur ce point, l’imagination débordante de sa mère et de ses artisans était toujours, pour la jeune professeur, un véritable régal. Le sexe stimulait fortement l’inventivité de cette dernière, et Myu’ espérait bien avoir hérité un peu de ça. Telle mère, telle fille, disait-on, mais il fallait bien reconnaître, à son corps défendant, qu’elle était bien moins perverse que sa mère... Ce qui laissait peu dire sur ce que sa mère faisait de son temps libre. Myu’ attacha les sangles, en serrant, puis se redressa, observant cette scène. Elia était proprement attachée, devant se tenir sur ses genoux. C’était inconfortable, au début, mais, pour avoir déjà utilisé cette tenue sur d’autres soumis, Myumi savait que, après quelques essais, on s’en sortait bien. Les pieds d’Elia étaient immobilisés par de solides ceintures en cuir reliées à ses hanches, et sous la tenue proprement en cuir, Elia portait une fine combinaison moulante, couvrant l’intégralité de son corps, à l’exception de son visage et de ses fesses, laissant un trou pour parfaire le déguisement... Avec la queue noire que Myumi tenait dans le creux de ses mains.

Elle savourait cette scène, elle appréciait grandement cette situation. Myumi s’en mordilla les lèvres, puis caressa les cheveux d’Elia, glissant sa main gantée sur sa tête, caressant ensuite ses petites oreilles pointues. Elia avait enfilé cette tenue sans rechigner, même si Myu’ avait cru discerner, dans ses yeux, un soupçon de méfiance. Savait-elle vraiment ce qu’elle faisait là ? N’allait-elle pas trop loin ? le doute était normal, et, en toute honnêteté, la senseï aurait été surprise de ne sentir aucune hésitation dans les réactions d’Elia... Mais, quoi qu’il en soit, sa servitude était très agréable. Myumi ignorait quelle avait été l’éducation de cette femme, mais il était manifeste qu’Elia était faite pour obéir, et qu’elle ne pourrait s’épanouir que dans la soumission et l’obéissance.

« Qu'allons-nous faire maintenant Maitresse ? » demanda-t-elle.

Fléchissant les genoux, Myumi releva le visage d’Elia, et posa un doigt sur ses lèvres.

« Elia, tu es ma chatte, maintenant... Et les petites chattes ne parlent pas. Tu vas devoir miauler pour t’exprimer, maintenant. »

Elle retira son doigt, et tira sur la lanière en cuir glissant le long de son nez, un sourire sur les lèvres.

« Montre-moi... Miaule. »

Myumi se releva ensuite. Quand elle disait à Elia qu’elle serait sa chatte, ce n’était pas qu’une simple image. Certes, elle n’allait pas la transformer en animal, mais Elia allait devoir miauler... Myumi trouvait ça excitant.

C'est alors que la prof passe derrière moi  pour m'aider à serrer les sangles dans mon dos et aux jambes. Je suis totalement à sa merci et la position n'est pas spécialement confortable, mais je pense que je devrai m'y faire, car je ne suis plus qu'une  objet à ma maitresse. Je  regarde  Myu  et je vois qu'elle a une espèce de queue noire dans sa main je me demande ce qu'elle va faire avec ? Me fouetter ? Me l'enfilé ?  Je ne sais pas et j'attends de voir en tout cas ce qui est sur c'est qu'elle semble aimer la scène. Toutefois elle pose son index   sur ma bouche et je la regarde faire.  Elle me dit que si je veux pouvoir lui parler je dois miauler... ?  Soit ! après tout ma maitresse me transforme en neko il semblerait.. Je baisse ma tête pour m'excuser de ma bavure et me met à miauler.

-Meoow.....

C'est pas facile du tout de marcher dans cette posture, car je suis à quatre pattes et solidement attachée en plus !  Elle peut faire ce qu'elle veut de son nouvel animal de compagnie de plus  le collier me fait étrange, mais je devrai certainement m'y habituée, car je ne suis pas prête de le voir enlever et je n'ai pas  très envie remarque. Je veux gouter à la soumission pour voir ce que ça fait d'être le jouet sexuel de quelqu'un en  plus ce n'est pas n'importe qui c'est ma prof de mathématique au départ et ça me fait vraiment bizarre ! 

Je tente de m'avancer, mais j'ai du mal à marcher en plus ces lanières en cuir sur mon visage, cela me perturbe assez  ! Tout ce que je peux faire c'est tiré sur les ceintures de mes jambes qui sont immobilisées et cela me fait trembler un petit peu, car je ne suis pas encore habituée a ce genre de position.  J'ai du mal a marcher vers ma maitresse du coup je reste immobile comme une bonne chatte, car il ne faut pas non plus gaspiller  mes forces à tenter de faire des gestes inutiles.   Comme ça  on aura toute les deux plus de plaisir également...  En attendant je me remet a  miauler

-Miaouw...  ?   

J'ai un regard interrogatrice, car je suis bien curieuse de savoir ce qui va se passer maintenant que j'ai lâchée mes trois premiers miaulement pour m'adresser a Myu. Myu ? miaouw ? Ca se ressemble presque!  Peut-être que son attirance  pour les nekos vient de la ? Qui sait  ! De toute manière je suis parée pour la suite et que je le veuille ou non je suis coincée.