Myumi continuait à former Elia. C’était ce qu’elle aimait faire, ce qu’elle adorait faire, même. Si elle était devenue professeur au lycée, c’était avant tout dans le but de former et de dresser de jeunes lycéens, de leur enseigner la voie du sexe, et de les entraîner. Pour Myu’, ça n’avait rien de profondément immoral. La puberté était en train de se développer chez ces jeunes corps. Ils avaient conservé la beauté de leur jeunesse, tout en laissant pointer celle du corps adulte. C’était le meilleur âge possible pour le sexe, celui où le corps humain était le plus beau qui soit. La senseï formait donc ses élèves, et Elia était la prochaine sur la liste... Et elle était très prometteuse. Soumise, elle avait une queue caudale plantée dans les fesses, qui pilonnait son petit cul, et elle recevait ses ordres, miaulant lentement, se plaisant dans son rôle de chatte soumise.
Elia se déplaça lentement, se glissant dans le dos de sa Maîtresse. Myumi avait eu le temps de la cravacher, de la battre, et elle ne l’avait pas encore pénétré... En somme, tout était encore à faire. Elia se glissa dans le dos de la femme, et s’attaqua à sa culotte, défaisant le lacet avec ses dents. Myu’ se mit à gémir, se pinçant les lèvres, des frissons traversant sur tout son corps. Ses seins se mettaient à lui faire mal, ses tétons pointant le long de sa robe. L’odeur du latex suintait dans toute la pièce, formant un délicieux background sensoriel. Elle s’appuya contre le bureau, aidant ainsi Elia à agir, à défaire le nœud de sa culotte.
« Haaaa... Bien, bien, ma petite pute... »
Elia revint ensuite devant Myumi, et s’attaqua à sa culotte, venant tirer dessus, en couinant et en se tortillant. Myumi s’appuya encore contre son bureau, facilitant la tâche de sa belle chatte en écartant les jambes, afin que la culotte glisse plus facilement. La professeur ne pouvait décemment pas le cacher : ce spectacle l’excitait énormément. Elia tira sur la culotte, et, lentement, très lentement, Myumi sentit cette dernière se décoller de son corps, tirant sur sa peau, avant de se désolidariser de cette dernière, et de glisser lentement sur ses jambes. La culotte tombe progressivement sur le sol, Elia peinant un peu à s’agenouiller. Myu’ aurait pu l’aider, bien entendu, mais elle préférait la laisser faire, et se contenta juste de relever les jambes quand Elia eut terminée.
La femme se redressa ensuite, toute contente, et poussa un miaulement satisfait. La main de Myu’ se tendit alors, et caressa la tête d’Elia, pila entre ses oreilles pointues.
« Brave petit chaton... Elia va avoir droit à sa récompense... »
Myumi ferma les yeux, se concentra un peu... Et la magie rose parla. Elle en avait naturellement hérité de la part de sa mère, et, si Myumi n’était pas une praticienne de la magie, elle savait instinctivement utiliser certains sorts fondamentaux, propres aux succubes. Quelque chose se forma dans son intimité, et, au bout de quelques secondes, dans un long soupir de la vampire, un phallus ne tarda pas à jaillir, bondissant en formant une pointe de chair, crachant de la mouille, qui atterrit notamment sur le nez d’Elia.
« Haaa... Viens me lécher, Elia... Hummm... Montre-moi tous les talents de ta bouche... »
Le sexe qui venait d’apparaître était un véritable membre, avec une verge et des testicules. Tendu et gonflé, il attendait qu’Elia se rapproche pour s’occuper de lui...