Oh oui, qu’elle aimait ça quand il faisait respecter la loi, sa loi, à la pointe de sa queue rigide… La brunette en était d’autant plus excitée. Qu’il soit aussi brutal alors qu’il la sodomisait, elle adorait. Elle sentait les mouvements de son gland qui écartait ses parois sensibles, stimulant quelques zones érogènes aux travers de la fine paroi qui séparait le conduit anal du conduit vaginal, et elle appréciait pleinement cette expérience. La vilaine petite Cata était ravie de se voir remettre dans le droit chemin par un policier si dévoué à sa tâche, à tel point qu’elle ne réfléchissait plus clairement.
Entravée comme elle l’était, elle ne pouvait pas faire grand-chose et tentait surtout de rester offerte à son amant, cambrée comme si sa vie en dépendait. La morsure sur sa nuque l’irradia de mille et un frissons plaisants. La douleur se mêlait au plaisir pour former un cocktail détonnant. Catalina était ainsi trempée de plaisir à mesure qu’il ravageait ses fesses. Les morsures suivantes continuèrent de la faire mouiller, cherchant à se cabrer encore plus pour lui faire plaisir. Et finalement, à force de ces vas-et-viens puissants, l’orgasme finit par la submerger. Elle criait, comme si elle vivait une expérience mystique, et se laissa couler contre le torse du policier derrière elle qui l’enserra de ses bras. Sa main qui vint martyriser son sein ne la gêna pas, au contraire. Alors que le plaisir déferlait en elle, gigantesque vague ravageuse, la douleur occasionnée par cette maltraitance rajouta du piment à l’orgasme qui la possédait.
La veuve savoura la sensation de la virilité en elle qui tressautait à mesure qu’il s’approchait lui aussi de la jouissance, et ces sensations, infimes peut-être, ravivèrent encore les sensations plaisantes qui mettaient ses nerfs à rude épreuve. Elle aurait presque pu perdre connaissance, tant elle se sentait en-dehors de son corps, portée par le plaisir. Elle crut même, un bref instant, avoir fait une expérience mystique, être entrée en transe.
Mais finalement, les sensations de ses genoux contre le sol, de ses poignets entravés à ses chevilles, et surtout, le vide laissé par le policier quand il se retira, tout cela la ramena sur terre. Elle manqua effectivement de tomber, son équilibre ayant été mis à rude épreuve au cours de ces ébats fougueux, mais elle se rattrapa bien vite malgré sa liberté de mouvement réduite. Elle était devenue plutôt douée pour trouver son point d’équilibre, au fil des années, et elle ne fit ainsi que vaciller alors que Gabriel la contournait. Elle secoua rapidement la tête. Le tee-shirt qui lui masquait la vue, déjà mis à mal par leurs ébats déchaînés, finit par céder et retomba dans un froissement de tissu sur le sol à côté d’elle.
Les cheveux ébouriffés, les joues rougies de plaisir et les yeux brillants de contentement, la veuve observa le blond se mettre près d’elle, et renverser la capote sur le sol. Elle ne tenta pas de se pencher en avant, sachant qu’elle risquait plus de tomber sans élégance qu’autre chose, et elle se pourlécha les lèvres avant d’hausser un sourcil joueur.
Ses prunelles se dardèrent sur la flaque qui s’était formée sur le sol, et elle procéda avec précaution, malgré son corps tremblant et son souffle court, jusqu’à ce qu’elle réussisse à pencher le buste complètement, après avoir posé ses fesses maltraitées contre ses talons. Elle mobilisait les dernières ressources de son corps engourdi par l’orgasme, et elle sortit sa langue afin de laper le sperme qui était sur le sol.
« Mmmm… Gémit-elle juste avant que sa langue ne vienne entrer en contact avec le sperme. »
Elle fit son « travail » consciencieusement, nettoyant jusqu’à la dernière goutte qui avait coulé sur le sol, avant de se redresser un peu avec précaution. Elle passa sa langue sur ses lèvres, gourmande, comme pour en effacer jusqu’à la dernière trace. Puis elle tendit la tête avec un air taquin et sa langue vint caresser l’arrondi du gland.
« Comme ça, fit-elle entre deux coups de langue mutin, je suis à nouveau…. Une bonne fille, mm ? »
Et elle continuait son œuvre, venant bientôt faire pénétrer le gland entre ses lèvres, l’aspirant de plus en plus jusqu’à ce qu’elle le tienne entièrement dans sa gorge, jusqu’à ce que ses lippes s’appuient contre l’aine masculine. Elle fit ainsi deux ou trois allers-retours, nettoyant avec joie cette verge « souillée », tout en levant un regard encore troublé par le plaisir vers le policier.