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V.I.P. [Soara Succubis Reginae]

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Mélinda Warren

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    Petite vampire qui aime mordre des fesses <3

V.I.P. [Soara Succubis Reginae]

jeudi 03 juillet 2014, 08:19:03

Les crocs s’enfoncèrent dans le cou de la femme, et la verge s’enfonça en elle, rejoignant sa partenaire, glissée dans le dos de la femme aux longs cheveux dorés. Les crocs vampiriques de Mélinda connaissaient ce chemin, et s’enfoncèrent sans difficulté en elle, atteignant sa veine, qu’elle se mit à frôler. Cette délicieuse veine véhiculait la vie de sa porteuse, et elle l’effleura du bout de ses canines, l’ouvrant délicatement, et aspira son sang, sa partenaire faisant de même sur l’autre côté. Entre elles, la femme gémissait. Nues toutes les trois, les deux vampires se régalaient contre l’heureuse victime.

« Hummm-hummmmm... !! *SLURP !!* Haaaannn !! »

On pouvait entendre Mélinda gémir, tout en continuant à ponctionner ce sang revigorant. Elle avait toujours eu un sang vif, délicieux, non seulement parce qu’elle avait une excellente hygiène de vie, mais aussi parce que, durant son adolescence, elle avait suivi un rituel qui avait mélangé son sang à celui d’un ancestral dragon doré, ce qui avait très nettement anobli la qualité de son liquide écarlate. Mélinda était heureuse de lui prendre son sang, et elle sentit les mains de la femme se crisper contre ses fesses, alors qu’elle soupirait et gémissait, probablement plus excitée par la double pénétration qu’elle subissait que par la sensation d’être mordue par deux vampires en même temps.

C’était la chambre de Mélinda, une grande pièce au sommet de sa tour, à Ashnard, avec un immense lit aux draps de soie, sur lequel Mélinda Warren, une vampire esclavagiste ashnardienne dirigeant un harem de luxe, faisait l’amour à une amie et à sa femme, Alice & Sakura Korvander. Le couple princier avait organisé une visite « diplomatique » au harem de Mélinda, afin de s’assurer, probablement sur requête de Sakura, que les esclaves envoyés par Sylvandell étaient bien traités. En vertu d’une vieille convention, toujours, les prisonniers de guerre de Sylvandell, un royaume guerrier qui envoyait souvent ses troupes dans d’autres royaumes et provinces, étaient dans leur grande partie transmis au harem de Mélinda Warren, afin d’y être traités. Sylvandell en récupérait une partie, et Mélinda conservait le reste. Les esclaves renvoyés finissaient généralement majordomes, pages, ou secrétaires, assistant les administrations publiques du royaume, voire quelques entreprises privées. Quant au reste... Et bien, le reste finissait dans le harem de Mélinda. C’était un marché profitable pour les deux parties, mais, conformément au contrat, les parties pouvaient, à tout moment, organiser des visites dans les locaux de l’autre. La transparence était chère à Mélinda, et elle savait que, avec une femme comme Sakura, il valait mieux être transparente, et ne rien cacher.

Sakura Korvander était une ancienne esclave originaire de la Terre, qui, après avoir été torturée par son ancien propriétaire, Hiro Atayoshi, avait fini par être récupérée par Alice Korvander, qui l’avait libéré de sa servitude... En l’épousant*. Ce mariage entre une noble et une esclave avait défrayé la chronique, mais avait été autorisé. Récemment, le couple princier s’était instauré dans la vie de Mélinda, quand elle avait, par mégarde, mis en esclave Sakura, transformée en neko, et rendue amnésique par une Drow, ennemie de Sylvandell**. Sous sa forme de neko, elle était redevenue esclave, mais son asservissement s’était bien mieux passée que chez Atayoshi, Sakura ayant été une neko choyée et câlinée, que ce soit par Mélinda, ou par les autres femmes composant le harem.

Cet évènement était arrivé il y a des mois, et, depuis lors, le couple royal avait encore connu quelques déboires supplémentaires, lorsque Sylvandell avait été envahi par des Formiens***. Mélinda ne connaissait pas toute l’histoire, mais elle savait qu’Alice s’était provisoirement séparée de Sakura. Cette dernière était maintenant revenue, et les deux femmes étaient arrivées à Ashnard il y a environ une semaine, pour une intense tournée d’inspection... Et, manifestement, Sakura n’était plus aussi hostile que ça à l’esclavage. Elles avaient vu dans leur chambre toutes les esclaves originaires de Sylvandell, et avaient fait l’amour ensemble à la plupart. La dernière en date était une belle esclave noire qui, au milieu de ses hurlements hystériques, avait su convaincre n’importe qui du bonheur qu’elle ressentait.

Maintenant, elles étaient à nouveau là, dans ce lit, à se faire l’amour. Mélinda ne cachait pas son intention d’embaucher Sakura dans le harem. Ses capacités terramorphiques étaient magnifiques, et elle changeait continuellement de formes, que ce soit pour sa femme, ou juste pour impressionner Mélinda. En ravissante Lamia, elle avait pris sa femme dans sa queue, la pénétrant ainsi, puis leur avait fait l’amour pendant toute la nuit en adoptant sa dernière apparence en date celle d’une ravissante Formienne.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNN !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNN !!! »

La Princesse ne pouvait guère que hurler au milieu de cette double pénétration, de cette sensation d’être remplie, sa mouille continuant à se déverser entre ses cuisses. Sous elle, sa femme avait sa verge dressée, enfoncée dans ses fesses, et Mélinda la ramonait de l’avant, remuant son bassin de gauche à droite pour accompagner les mouvements crispés de la tête blonde sur ses fesses. Depuis quelques jours, le harem vivait dans une tournante de sexe, et Mélinda avait le sentiment que ce n’était pas prêt de s’arrêter.

Il fallait bien dire qu’elle espérait beaucoup que Sakura accepte de rester ici. Les autres filles l’aimaient beaucoup, et il en serait autant pour les futurs clients.



Loin du dernier étage du harem, tout en bas, l’accueil des clients était assuré par un standard. C’était un bureau ovale à l’entrée du harem, dans le hall d’accueil, et il comprenait deux personnes chargées, en ce moment, de l’accueil : Fanny, une superbe femme à lunettes dans une robe moulante, et sa fille, Sabrina, qui avait les mains croisées dans le dos en observant, à côté de sa mère, ce qui se passait. Esclave de Mélinda depuis des mois, Fanny avait été engrossée par un client, et il était fréquent qu’elle porte cette robe... Tout simplement parce qu’elle était sexy dedans.

« Tu vois, Sabrina, ça, c’est le registre d’accueil... Il y a toutes les chambres disponibles, et, sur ce tableau, une indication des hôtesses occupant chaque chambre. »

Hôtesses... C’était le terme spécifique pour désigner ce que Sabrina serait d’ici quelques années : une prostituée de luxe. Il fallait bien commencer à la former, et tout se faisait en douceur. Sabrina était jeune, et elle n’avait encore rien vu de foncièrement sexuel... Du moins, personnellement. Elle baignait dans un univers de sexe depuis qu’elle avait été conçue. Une heure avant de perdre les eaux, Fanny offrait ses fesses à un client furieux, et, à chaque fois qu’elle avait allaité Sabrina avec ses seins généreux, soit on lui faisait une fellation, soit on la pénétrait. Le sexe était omniprésent dans le harem, et les enfants nés à l’intérieur y baignaient depuis leur enfance, se contentant d’observer et de voir pendant une bonne partie de leur existence, avant de progressivement se mettre à toucher, et à participer. Cette éducation sexuelle faisait qu’ils n’avaient aucun scrupule à faire du sexe, et pouvaient facilement adopter n’importe quel rôle.

Le harem était plutôt bien organisé. C’était une entreprise florissante, et il fallait former les esclaves au management et au secrétariat. Fanny montrait à sa fille les différents documents nécessaires à faire à chaque fois qu’un client arrivait : le registre d’accueil notait les noms des clients, la durée pour laquelle ils avaient payé, et avec quel(s) esclave(s) ils voulaient passer leur temps ici. Tout en lui parlant, Fanny se mordillait parfois les lèvres. Sabrina savait ce que sa Maman avait, car Fanny s’était habillée devant elle ce matin. La femme ne pouvait pas s’imaginer passer la journée sans sentir le moindre coup de trique en elle, et elle s’était glissée une culotte noire en cuir abritant deux godes en elle, et avait confié à Sabrina la télécommande permettant d’alimenter les vibromasseurs. Parfois, Sabrina s’amusait à les augmenter quand Fanny accueillait des clients, ce qui la faisait se crisper sur le bureau. Elle avait même joui tantôt devant un client.

Sabrina apprenait vite, pour le plus grand plaisir de sa mère, et cette dernière était loin de se douter de l’identité prestigieuse de la prochaine personne qui passerait la porte d’entrée du harem...



* : RP "L'esclave du Joyau" ;
** : RP "Une amnésie Contraignante" ;
*** : RP "L'épidémie de Sylvandell".
« Modifié: jeudi 03 juillet 2014, 08:28:28 par Mélinda Warren »

DC d’Alice Korvander.

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Soara Succubis Reginae

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Re : V.I.P. [Soara Succubis Reginae]

Réponse 1 jeudi 03 juillet 2014, 13:26:47

Depuis qu'elle était revenue de son séjour chez les Formiens, Sakura avait pas mal changée. En apprenant ce qu'elle était réellement, à savoir, que sa nouvelle forme n'était ni plus ni moins que sa véritable forme, elle voyait désormais les choses différemment. Certes, il était toujours hors de question pour elle de se soumettre à qui que ce soit, cependant, elle n'était plus dérangée par l'esclavage, à la seule condition qu'il y est une relation d'amour et non de peur entre la Maîtresse et l'esclave. Oui, la Maîtresse, car la terramorphe ne supportait toujours pas les hommes, en bonne lesbienne qu'elle était.

Pour l'heure, Sakura faisait délicieusement l'amour à sa femme, aux cotés de Mélinda, dans le grand et confortable lit de cette dernière. Avec les Karistal, Mélinda faisait partie des rares esclavagistes qui ne frappait pas leurs esclaves par pur sadisme, parmi les connaissances de la jeune femme. Avec elle, les deux princesses de Sylvandell avaient visitées chacune des esclaves en provenance du royaume, et y avaient goutées, vérifiant par la même occasion qu'elles étaient en bonne santés. Sakura avait également fait la connaissance d'Akira, la fille de Mélinda et également une vampire atypique, particulièrement dans un tel endroit. Akira n'aimait pas énormément le sexe et, si elle s'entendait plutôt bien avec sa mère, ne semblait pas vraiment pressée de coucher avec cette dernière. Elle n'aimait pas non plus planter ses dents dans le cou des gens, préférant les poches de sang à la place. Il va sans dire que Ayano c'était plutôt bien attachée à elle, et la jeune vampire s'occupait d'elle avec plaisir pendant que son aînée couchait à droite à gauche avec sa femme. La petite Ayano lui rappelait beaucoup sa petite soeur disparue après tout.

Si Sakura avait choisie la forme vampirique ce soir là, c'était avant tout d'ordre pratique. Le sang d'Alice avait la particularité de la revigorer lorsqu'elle sentait la fatigue s'emparer d'elle, mais elle savait également que sa femme adorait être mordue au cou pendant qu'elle se faisait délicieusement prendre, et avec deux vampires pour elle, Alice ne pourrait qu'être au comble du bonheur. Malgré son statut de princesse, la blonde était, au fond d'elle même, une femme qui aimait se faire soumettre par de belles et puissante créatures. Sakura l'avait bien compris, ainsi que les nombreux fantasmes de sa chérie. Ponctionnant de faibles quantités de sang, à intervalle réguliers, Sakura la sodomisait profondément et langoureusement, ses mais massant amoureusement la poitrine de sa femme, pendant que Mélinda ramonait sauvagement son minou humide de jus intime. Sakura adorait entendre sa femme hurler de plaisir et ce seul son suffisait à l'exciter. La terramorphe soupirait de plaisir dans le creux de son oreille, léchant parfois le lobe, lorsqu'elle ne suçait pas son sang. Elle avait déjà jouis deux fois dans son fondement, mais son délicieux sang l'aidait à tenir le rythme...

- Hmmmmm.... Hmmmm.... Haaaaaa.... Ouuuuiii.... Hmmmm....



Pendant que le couple princier forniquait avec leur hôtesse, une autre femme de sang royal marchait sensuellement dans la cour du harem et s'apprêtait à entrer dans ce temple de la luxure. Cette femme, ce n'était autre que Soara, la princesse du royaume des succubes. La créature, après avoir explorée en long en large et en travers Terra, avait finalement décidée de s'installer à Ashnard. Pour quoi ici, alors qu'elle aidait tout les esclavagistes, sans distinction de nationalité ? Après tout, elle aurait très bien pu s'aménager une tour dans les terres sauvages ou les landes dévastées. Et bien a vrai dire, la belle succube avait bon nombre de ses connaissances démoniaques dans l'empire, des demi-soeurs, des cousines éloignées, comme c'était le cas pour la fille de l'empereur, ou même encore des amies de sa mère. Bref, s'installer ici, c'était comme d'être avec sa famille, sans être en enfer. Soara s'était installée dans une riche demeure et y avait fait venir quelques succubes et incubes, pour entretenir celle-ci. Il y avait bien une cuisine, mais étant donné le mode alimentaire de ces créatures, elle ne servait que lorsqu'il y avait des invités extérieur à cette race. Autant dire jamais pour le moment.

Pour fêter son emménagement, Soara avait invitée bon nombre de ses connaissances Ashnardiennes, pour une grande orgie dans sa demeure. Les invitées étaient autorisées à venir avec deux de leurs connaissances ou esclaves, mais qui devront venir en tant que soumis, dans une tenue adéquate. Hors, si elle avait envoyée les invitations aux concernées, la succube avait décidée de remettre la dernière invitation en main propre à celle qu'elle souhaitait revoir, après des siècles de silence. Il s'agissait bien entendu de Mélinda Warren. Lorsqu'elle l'avait rencontrée, la jeune vampire venait de reprendre la direction du Harem, et avait peinée à relancer l'entreprise, notamment pour dresser ses esclaves. Sans l'aide de Soara, le harem appartiendrait aujourd'hui à l'Etat.

La succube franchit finalement la porte d'entrée et marcha, d'une démarche lente et sensuelle, presque provocante, vers le guichet d'accueil. Elle observa la décoration et les nombreuses filles emmurées, uniquement là pour faire patienter les clients, mais décorant merveilleusement bien le hall. Sans aucun doute, l'entreprise était aujourd'hui florissante, et Soara ne pouvait que se sentir fière d'y avoir participé. Elle put également voir, derrière le guichet, qu'une femme enseignait l'administration à une plus jeune. Sans doute sa fille, vu leur ressemblance physique. Elle nota également l'odeur de luxure, signe qu'il n'y avait aucun tabou en ces lieux, et que l'inceste était une chose tout à fait concevable, ce qui fit légèrement sourire la succube.

Soara s'appuya sur le comptoir, ses lourds seins s'écrasant sur le marbre, sa tête soutenue par une main, alors qu'elle s'accoudait sensiblement dessus.

- Bonsoir mes belles, je désirerais m'entretenir avec votre petite patronne vampirique. Ne la prévenez pas de ma visite, j'aimerais lui faire la surprise.

Lorsque la femme lui demanda son identité, la succube se fit une joie de lui répondre.

- Je suis Soara, la Succubis Reginae. Mélinda est une connaissance de longue date, à l'époque où ce harem n'avait pas encore sa notoriété d'aujourd'hui.

Soara voyait également, du coin de l'oeil, que la fille de cette femme s'amusait à jouer avec une télécommande, qui, visiblement, servait à varier l'intensité du plaisir que la femme ressentait. La succube estima toutefois que celle-ci ne devait pas être la seul à s'amuser et usa imperceptiblement de sa magie pour que la télécommande influe également  le plaisir de la jeune fille, même si elle n'avait rien en elle, contrairement à sa mère. En toute logique, elle devrait donc rapidement mouiller sa culotte elle aussi.

Mélinda Warren

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Re : V.I.P. [Soara Succubis Reginae]

Réponse 2 samedi 05 juillet 2014, 02:05:19

MÉLINDA WARREN

L’un des fantasmes de Mélinda était d’amener Akira dans leurs ébats à trois. La vampire cherchait toujours à se rapprocher de sa fille. Si cette dernière ne la haïssait plus, c’était encore nettement insuffisant. Akira avait encore du mal à accepter sa filiation, ainsi que sa nouvelle nature. Les esclaves avaient beau se dévouer, l’embrasser, la peloter, plaquer leurs cous contre ses lèvres, Akira restait ferme. C’était à croire que la seule chose dont elle avait hérité de Mélinda était son caractère buté. Elle était têtue, et Mélinda trouvait ça dommage, car les poches de sang qu’elle s’enfilait ne valaient clairement pas les ébats que Mélinda était en train de faire avec Sakura et Alice Le sang magique de la Princesse de Sylvandell était un véritable régal, et les deux vampires le ponctionnaient très lentement, savourant cette femme, comme si c’était le plus délicieux, le plus onctueux, des mets. Mélinda le suçait depuis de nombreuses minutes, en compagnie de Sakura, ce sang grossissant leurs verges, durcissant leurs érections. Elles étaient en train de défoncer la belle Alice, remuant simultanément en elle, haletant et soupirant. Fonctionnant comme un désinhibiteur, le sang stimulait la perversion de Mélinda et ses idées.

Ce qu’elles faisaient était une véritable ode à la luxure et au sexe. Elles couchaient ensemble, sur ce lit, depuis le début de l’après-midi, et, dehors, le soleil s’était couché. Il fallait aussi dire que Mélinda était heureuse de revoir Alice et sa femme. Quand cette dernière était partie pour la Fourmilière, la Princesse avait eu tendance à se rapprocher de Mélinda, en allant sur Terre, probablement dans l’espoir d’obtenir des informations supplémentaires sur elle. Mélinda lui avait proposé différentes activités avec ses esclaves pour l’aider à penser à autre chose, tout en menant, elle aussi, une enquête de son côté. Elle n’avait rien donné de concluant, et elle s’était consolée en prenant Alice en levrette. Plus elle lui faisait l’amour, et plus elle comprenait pourquoi, dans les fantasmes ashnardiens, « Le Joyau de Sylvandell » arrivait souvent dans la tête du classement. Sa belle petite tête blonde la faisait ressembler à une princesse nexusienne, et son expérience sexuelle en faisait une redoutable amante. Mélinda jouissait également en elle, à plusieurs reprises, et elle sentait les bras d’Alice se serrer contre ses cheveux, tandis qu’elle remuait parfois la tête, cherchant à embrasser sa femme.

Incapable de parler, la Princesse hurlait, Mélinda haletait, et Sakura gémissait aussi, sa grosse verge plantée dans les fesses de sa femme, la ramonant sans ménagement. Mélinda avait déjà eu l’occasion de faire sa voyeuriste en voyant Sakura la prendre comme une chienne, sous sa forme de Formienne. Cette dernière étant sa forme naturelle, c’est celle qu’elle avait naturellement tendance à prendre quand elles étaient seules, mais, sous cette forme, l’appétit sexuel de Sakura était renforcé… Un autre argument justifiant le fait que Mélinda souhaite l’embaucher.

« Hunnnn… Huuunnnn !!
 -  Haaaaaaaaaaaaaaaaa !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !! HAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN !!! »

À chaque fois qu’Alice jouissait, son organisme s’affolait, et c’était assez fréquent, pour le coup. Se faire ponctionner le sang entraînait une sorte de sensation névralgique, presque euphorique, et, avec une double pénétration, perpétrée par des femmes qu’elle aimait beaucoup, la Princesse ne pouvait être que comblée. Elle mouillait donc énormément, jouissant sans relâche.



FANNY

Quand la nouvelle cliente arriva, d’une démarche sensuelle et langoureuse, délicieusement provocante, Fanny venait de jouir. Comme toujours, elle avait soulevé sa robe, et avait laissé Sabrina lécher ses cuisses, la nettoyant en avalant sa cyprine. Les joues légèrement rouges de Sabrina trahissaient son excitation sexuelle, et, en tant que bonne  mère attentive, Fanny la laissa lécher sa culotte, sa langue faisant légèrement remuer les vibromasseurs. Le regard de Fanny se portait sur les femmes emmurées, avec un zeste d’envie dans le creux de ses reins.

Initialement, être mise en vitrine constituait une punition pour les esclaves les plus rebelles. On les attachait en les ligotant fermement, mais ce qui n’aurait du être qu’une punition était devenue un fantasme, indiquant que Maîtresse Mélinda avait engendré un monstre sexuel qui la dépassait. Fanny avait déjà été mise en vitrine, et elle adorait ça… Le mieux était quand les clients venaient vers vous, vous touchaient, vous caressaient, vous insultaient. Elle avait aussi été mise en toilette, et avait senti des clients uriner dans sa bouche. Autant de choses qui auraient dégoûté n’importe qui, mais qui n’avaient fait qu’exciter davantage la redoutable prostituée. La langue de Sabrina remuait contre sa culotte, et Fanny lui caressa les cheveux, tendrement. Elle jouit ainsi, contre elle, et c’est ensuite que la succube arriva.

Sabrina se retira rapidement, et passa tout aussi rapidement sa langue sur ses lèvres, avalant la mouille qui y restait, tandis que la femme à la peau sombre marchait. Fanny fut immédiatement sous le charme de cette beauté ténébreuse, portant une tenue plus qu’indécente. Elle se baladait en petite culotte, avec un corset noir et de longs gants de la même couleur, le tout formant un appareillage affreusement sexy.  Ses petites ailes et ses cornes confirmaient sa nature démoniaque, et Fanny comprit rapidement avoir affaire à une succube… Seule une succube pouvait se promener ainsi dans la rue sans se heurter aux redoutables gardes impériaux. Le regard de l’invitée dériva sur les femmes mises en vitrine, qui gémissaient en se contorsionnant faiblement.

Elles étaient toutes attachées contre le mur, avec un gag ball sur les lèvres, et un bandeau sur le nez. Elles portaient des gants en latex, relativement longs, ainsi que des bottes, et des chaînes. L’habillage n’était pas forcément le même à chaque fois. Là, on pouvait utiliser des électrodes sur le corps d’une esclave ; ici, on pouvait augmenter la densité des vibromasseurs. Chaque esclave avait en effet des godes plantées dans son vagin et dans ses fesses. Certaines étaient ici depuis plus d’une semaine, jouissant perpétuellement, caressées et humiliées par les clients attendant leur tour. Ils pouvaient embrasser, peloter, caresser, mais n’avaient pas le droit de pénétrer.

La succube se rapprocha de Fanny et de Sabrina, et s’empressa de les saluer en se penchant vers elles. Fanny huma son odeur en lui souriant, une lueur perverse brûlant derrière ses lunettes. Elle voulait s’entretenir avec la Maîtresse, mais sans qu’on la prévienne, et leur expliqua être Soara, la Succubis Reginae. Fanny s’était renseignée sur l’histoire du harem, et on put voir sa bouche s’entrouvrir sous l’effet de la surprise, de même que ses yeux.

« La… La Succubis Reginae ?! » s’exclama-t-elle.

Fanny savait que, quand Maîtresse Mélinda avait récupéré le harem, il était prévu, par ceux et celles qui l’avaient aidé, qu’elle l’abandonne, et que le harem devienne une possession impériale, soit revendue aux enchères publiques, et que Mélinda devienne une esclave. Contre toute attente, la vampire avait réussi à maintenir son activité à flot, et Fanny savait qu’elle avait été énormément aidé par la Succubis Reginae, la Princesse de la Luxure et du Plaisir. On disait qu’elle avait gagné le droit de séjourner perpétuellement sur Terra après avoir passé 5 siècles au service des Princes infernaux, prise sans arrêt, sans relâche… Un récit qui frôlait la légende.

Sans prévenir, Sabrina se mit alors à gémir, serrant les jambes. Fanny tourna sa tête vers elle, et, étant une bonne mère, comprit rapidement ce qu’elle avait… Sûrement un tour de la succube. Sabrina avait les joues rouges, et Fanny reporta son attention vers Soara.

« Je… Hum… Maîtresse Mélinda acceptera de revoir la Succubis Reginae en n’importe quelle circonstance, car elle lui est redevable, mais… Comme elle reçoit actuellement une visite importante, vous comprendrez bien que je ne peux pas la déranger sans être totalement certaine de votre identité… »

On pouvait sentir le désir vibrer dans la voix de Fanny. La preuve qu’elle voulait, c’était tout simplement un appel à ce que la succube la prenne.

DC d’Alice Korvander.

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Re : V.I.P. [Soara Succubis Reginae]

Réponse 3 dimanche 06 juillet 2014, 12:23:20

- Je… Hum… Maîtresse Mélinda acceptera de revoir la Succubis Reginae en n’importe quelle circonstance, car elle lui est redevable, mais… Comme elle reçoit actuellement une visite importante, vous comprendrez bien que je ne peux pas la déranger sans être totalement certaine de votre identité…

Soara avait entendue son appel, à peine voilé, et elle ne détendait pas un tel titre pour des prunes. Outre le fait d'être de descendance royale, la succube possédait bien évidement les pouvoirs qui allaient avec, principalement les magies roses et noires. Tandis qu'elle fit lentement et sensuellement le tour du guichet, elle fit un mouvement de la main et Sabrina se retrouva délicieusement ligotée dans une étreinte de ténèbres, bras et jambes en crois, condamnée à se contenter de regarder ce que sa mère subira, mais en ressentant toutefois son plaisir durant ce petit moment.

Lorsque Soara se retrouva du coté des deux standardistes, Fanny pouvait voir qu'un long sexe, de 25cm environs, dépassait désormais du petit string noir de la succube. Toutefois, celle-ci n'attendit pas que la femme à lunettes se mettent à genoux pour la sucer, et se pencha vers elle pour l'embrasser à pleine bouche, d'un baisé si profond et si langoureux, que la femme ne darderait pas à jouir de ce simple contact. Bon, pour dire les choses franchement, Soara usait là encore de magie rose, influant directement la libido de la femme, l'exacerbant, doublée de sa salive fortement aphrodisiaque. Durant cinq longues minutes, elle l'embrassa ainsi et, durant tout autant de temps, mère et filles jouir ainsi sans interruption. Lorsqu'elle se retira finalement, Soara eu la satisfaction de voir que les deux femelles affichaient de beaux ahegao.

- Maintenant, femelle, met toi à quatre pattes, que je défonce ta rondelle. Et profite en pour lécher la chatte de ta chère fille ma belle...

Tout en parlant, la succube lui avait caressée ses seins, pinçant fermement ses tétons. Et lorsque la femme se fut exécutée, Soara perfora ses fesses d'un grand coup de queue, avant de lui ramoner son derrière, claquant son cul lorsque la femme ne gémissait pas assez fort. Bien entendu, il allait de soit que la fille ressente les même sensations, alors que sa mère s'occupait de son intimité.

Mélinda Warren

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Re : V.I.P. [Soara Succubis Reginae]

Réponse 4 mardi 08 juillet 2014, 01:24:01

Une succube était toujours une cliente redoutable. Dans la mesure où l’énergie sexuelle était leur force, plus elles faisaient l’amour, et plus elles se revigoraient, ce qui promettait, en temps normal, de longs et d’inoubliables ébats. Cependant, parmi toutes les succubes qui peuplaient l’Empire d’Ashnard, la renommée de la Succubis Reginae était à la hauteur de sa beauté et de ses talents. Tant de légendes circulaient sur ses frasques sexuelles qu’il était impossible de démêler le vrai du faux. En revanche, il était certain que la Princesse Soara avait réellement aidé Mélinda Warren lors de ses premiers jours. Elle revenait voir son investissement, et les deux humaines face à elle louchaient sur son corps, tremblant sur place, avant de sentir la terrible magie de Soara s’emparer d’elles. Des tentacules noirs immobilisèrent Sabrina, qui gémit de plaisir en sentant ses bras et ses jambes être fermement cramponnés et tirés. La prise était solide, redoutable, restreignant durablement ses mouvements, la faisant gémir et soupirer. Elle se débattait faiblement, plus pour sentir la résistance des tentacules que pour vraiment chercher à se délier, et vit sa mère embrasser à pleine bouche Soara.

Ce fut un baiser magnifique, et Fanny gémit, en sentant l’orgasme venir, tout en posant ses mains sur les hanches délicieuses de la femme, pressant son tendre corset. Leurs lourds seins se heurtaient l’un à l’autre, et elle fermait les yeux, sentant la longue langue de la succube s’enfoncer en elle, sentant sa présence l’écraser… Sa verge heurtait sa culotte-gode, et elle se mit à mouiller follement, jouissant sans relâche, rejointe par sa fille, qui sentait son intimité la démanger. Elle haletait et gémissait en se tortillant, mais jouissait, encore et encore, salissant le sol. L’une des deux mains de Fanny se déplaça pour aller presser les fesses de Soara, s’appuyant dessus. Oh, ce baiser était divin ! Il était encore plus impressionnant que ceux de Maîtresse Mélinda, ce qui n’était pas peu dire, vu les performances de sa Maîtresse ! Soara lui montrait tout l’art qu’il y avait à rouler une pelle, et Fanny goûtait avec merveille à ses lèvres, se serrant contre elle, appuyant sur ses fesses, sentant cette tendre et chaude peau noire, jouissant également quand elle entendait Sabrina hurler. Le sol de leur bureau se recouvrit de mouille, tout comme leurs jambes, jusqu’à ce que Soara, en parfaite Maîtresse sexuelle, ne finisse par rompre le baiser, un sourire satisfait sur les lèvres en les voyant en transe.

La Succubis Reginae aurait tout à fait pu s’en arrêter là, mais, semblant visiblement tenir à sa réputation, elle dicta un ordre à Fanny, tout en pinçant ses tétons durcis par le plaisir, faisant gémir Fanny :

« Maintenant, femelle, met toi à quatre pattes, que je défonce ta rondelle. Et profite en pour lécher la chatte de ta chère fille ma belle... »

Elle hocha lentement la tête.

« Oui… Baisez-moi comme une chienne, Maîtresse ! »

Il n’y avait absolument aucune forme de résistance dans les propos de Fanny. D’un geste rapide, elle se débarrassa de sa culotte, libérant une quantité supplémentaire de mouille, puis obtempéra rapidement, fléchissant les genoux, sa tête finissant à hauteur des jambes de Sabrina. Sa chère fille la regardait en rougissant, puis hocha la tête vers la longue verge noire de Soara. Elle allait baiser sa mère, la défoncer comme une chienne, la faire hurler, et sa mère devrait lui lécher sa culotte… Sabrina en mouilla encore, n’arrivant plus à parler, comblée par le plaisir et par une excitation dévorante qui s’insinuait dans tout son être. Tout ça, pour elle, c’était… C’était trop. C’était bien trop de plaisir en un coup, et tout son corps tremblait nerveusement, accusant le coup.

Sans plus de préparation, Soara glissa son énorme verge dans son cul, et Fanny poussa un hurlement de plaisir et de douleur, rapidement rejoint par une grosse claque sur son cul. Fanny hurla encore, et leva l’une de ses mains, tirant sur la culotte de Sabrina, dévoilant sa belle intimité. Sabrina était suffisamment grande pour s’épiler elle-même, et Fanny vit donc son pubis, sa peau proprement rasée. Elle sourit… Et se reçut une autre gifle, forte, tandis que Soara remuait d’avant en arrière.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN-Maîtresse !! »

Fanny posa ses deux mains sur les fesses de Sabrina, et pencha sa langue, l’enfouissant dans son intimité, la léchant vigoureusement, gémissant en tremblant, Soara continuant à la claquer, tout en remuant en elle. Sabrina se mit à gémir, remuant les lèvres, ses bras continuant à être retenus par les tentacules, la restreignant dans ses options. Elle sentit un doigt intrusif se glisser alors dans sa rondelle, et gémit à son tour, guère habituée à se faire sodomiser.

Le plaisir était fort chez la mère et sa fille, mais également chez les spectatrices. Elles sentaient l’impact de la magie rose sur leur corps, et toutes les femmes emmurées étaient également en train de multiplier les orgasmes, remuant contre leurs chaînes en gémissant, ce qui provoquait un excellent fond sonore pour accompagner cette partie à trois. La verge énorme de Soara défonçait Fanny dans sa belle robe chinoise, et ses claques faisaient rougir son cul. Se sentant être une parfaite salope, Fanny léchaitr avec avidité l’intimité de sa fille, jusqu’à sentir cette dernière jouir, déversant son jus dans sa bouche. Sa mère ne la laissait toutefois pas, et continuait à titiller son clitoris, la sentant jouir à nouveau.

Soara venait de passer avec brio son test d’admission dans le harem Warren.

DC d’Alice Korvander.

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