Installé dans les fins fonds de la forêt d’Hurk, au cœur des terres gelées. Le roi bouc est un anarchiste indépendant qui s’auto proclama lui-même seigneur de ses terres et maître de ses armées. Il parvient avec l’aide d’une prophétie ancestrale à liguer les divers clans encore sauvage de ses terres. Unissant leur force autour d’un objectif commun, la suprématie du peuple terranide et la libération des frères et sœurs esclaves.
Les origines du roi bouc sont méconnu, il se dit affranchi, on le pense esclave libérer. Sa force et sa taille laisse supposer d’un travail éreintant, mais son expérience du combat sans explication pousse à croire qu’il était gladiateur ou lutteur pour le plaisir de riches humains.
Aujourd’hui il se drape de belle étole crasseuses qu’il fait passé pour de la soie, porte des bijoux volés qu’il fait passé pour des joyaux. S’entoure d’esclave humaine qu’il torture et humilie à sa guise, toute en se pavanant dans une luxure et une sauvagerie qui rappellent les deux facettes de sa personne à la fois homme et bête.
Pour l’assister dans sa cause, il s’est entouré d’élément fort, qui est l’une des réelles causes de la coalition entre les différentes tribus sous ses ordres.
Jorg, roi des buffles, maître taureau des régions du grand nord. Sa force n’a d’égal que sa rage, et il voit en le roi bouc un messie capable d’imposer leur suprématie violente et sauvage. Lui aussi né esclave, il fut entraîné à Ashnard pour servir de bête de somme le jour et de coq dans des arènes clandestines la nuit. Son art de la guerre se résume bien par ses deux aspects de sa vie intérieure, brutale, puissante et sauvage.
Il s’imposa comme maître incontesté des siens par la force de l’épée, découpant l’ancien chef de la harde pour devenir leur maître. Ses connaissances du monde des hommes poussa sa tribu à se civilisé dans leur manière de combattre, formant des régiments plus ou moins ordonné. S’équipant de lourde armure rendant leur corps encore plus dur, et affûtant leur arme, rendant leur furie encore plus meurtrière.
Khellios, seigneur cavalier du peuple des centaures des contrés reculés du sud. Intelligent, charismatique et empreint d’une science de la guerre impressionnante. Il est conseillé, bras droit et ami du roi bouc. C’est lui qui l’épaula en premier, louant ses faits d’armes et sa valeur auprès des autres clans. Comme tout centaure, son côté lunatique fait de lui un être méprisé et craint des autres peuples plus primitifs. Lui et les siens rappellent les tactiques de combat humaine, ce qui freine les autres races à les imités, les considérants comme des traîtres à la mère sauvage qui leur insuffle à tous leur force et leur détermination. Par de nombreuse fois, Khellios dans sa sagesse et son savoir, empêcha une guerre intra-clan, mais sans s’en vanter. Agissant dans l’ombre du roi bouc, comme le gardien secret de l’union des peuples terranide.
Gurzak, maître de guerre du roi bouc. Il fut promu à se rang pour sa violence, sa cruauté et son autorité quasi incontesté parmi les siens. Il se fait également appelé le roi esclave, esclave du roi bouc, et esclavagiste de surcroit. Il aime à fouetter la piétaille à la traine, ceux qui le contre dise ou ne lui plaise tout simplement pas. Gurzak est loyal à la cause, bien qu’un peu trop belliqueux et rasciste pour concevoir une telle union entre les peuples. Si cela ne tenait qu’à lui, il ferait massacrer ses centaures et ses rhox, n’estimant que les buffles comme alliés… les cornues sont la seule race de valeur selon lui.
Ophelia, shamane et prophétesse du roi bouc. Elle est douée d’une forme de magie primitive… divinatrice, lisant dans les entrailles d’oiseaux morts. Son savoir des sciences occultes et ses visions régulières en font une bête appart. Nul ne la considère comme une terranide ou comme une humaine mais plus comme une entité semi-divine, envoyé sur Terra pour mener la prophétise du roi bouc à son terme. Ophelia reste calme, sans avis, observant plutôt que de parler… Laissant le jeu du pouvoir et de la folie s’emparer de tous, alors qu’elle ne sort pas de son rôle de divinatrice.
Rahor, seigneur rhox incontesté… les rhox sont un peuple presque disparu, terranide d’une grande valeur marchande à cause de leur défense. Ce qui poussa les peuples humains à les traquer comme des bêtes plutôt que d’en faire des esclaves. Très fier de se passer de guerre loin de l’esclavage humiliant des autres terranides, les rhox se considèrent comme un peuple élu par les dieux primaux. Resté sur Terra afin de libérer les peuples inférieurs du joug de l’oppresseur humain. Rahor à l’image de son peuple n’aime parler ou se mélanger avec les autres terranides, il nie assez régulièrement les autres généraux de l’armée du roi bouc pour ne s’entretenir qu’avec lui.
Leur tactique de guerre est restée extrêmement primitive, n’usant d’aucune arme autre que leur longue défense et portant de temps à autre un bouclier. On dit d’ailleurs qu’un rhox dont la corne est brisée est un rhox sans âme. La plus part se laisse mourir, partent en exile ou tente de s’adapter à leur clan, faisant office de paria, de première ligne qu’on pousse à se suicider sans aucune ambition tactique.
La grande harde.
Armée composite formé par divers clans, avec leur propre organisation militaire, hiérarchie et leur propre tactique. Il est donc impossible de la détaillé avec précision. La stratégie globale est la charge massive et violente, et chaque entité militaire se démerdent un peu comme elle le peut. Seuls les centaures se plaisent à s’adapter à la situation, formant aussi bien une première ligne tenace qu’une série d’unité de soutien se glissant sur les flancs des armes adverses.
Les buffles, comme expliqué plus haut, forment les fantassins lourds de la harde. En nombre important, ils se mélangent volontiers avec leurs petits cousins, les hommes boucs. Les deux races s’entendent assez bien pour combiner leur effort sur leur adversaire. Brutal, écervelé et d’une grande violence, ils sont paré d’armure lourde et d’arme tranchante, afin d’en faire de parfaite machine à tuer.
Les hommes boucs sont la race faible de la harde mais leur nombre excessif vient rapidement pallier à ce problème. Malgré tout ils sont un peu plus hauts qu’un homme et bien plus fort. Leur manque de tactique et d’organisation en font des éléments peu maniable et peu efficace sur les champs de bataille. On les équipes mal et leur consigne sont souvent très basique… Leur courage n’est pas particulièrement impressionnant et ils sont souvent épaulés d’unité plus hardie afin de les porter vers l’avant.
Les centaures sont la race détestée de la harde, encore plus que les rhox qui sont assez imposant pour lier les langues. Mais les disputent entre centaure et autre membre de la harde sont monnaie fréquente. A-t-elle point que le roi bouc établi leur campement en dehors de la forêt d’Hurk, afin d’assuré un double rôle. Protégeant les alentours de la forêt comme des éclaireurs rapides et discrets, et renforçant les rangs de la harde lorsqu’elle part en guerre. Leurs méthodes sont très humaines, ils se comportent comme une cavalerie lourde ou comme des archer monter. Usant d’un matériel d’excellente facture, attisant d’avantage la jalousie et donc la haine des autres races.
Les rhox, grand guerrier d’élite souvent comparé à des chars d’assaut. Ils sont plus grands que le plus imposants des buffles et bien plus fort qu’eux. Leur tribu semble ressurgirent d’une époque révolu et leur style de combat également. Mais leur force est si précieuse que le roi bouc accorda à Rahor plein pouvoir sur les siens et sur la tactique a adopté en temps de guerre.
Cette différence n’est pas sans passé inaperçu, et les rhox sont sujet de moquerie ou de raillerie. Leurs coutumes guerrières sont incomprises et leur sens de l’honneur démesuré ne fait qu’écho dans le cœur des centaures qui prennent bien souvent leur parti.
La harde est grande et ses différentes composantes ne pourraient toutes être mises en avant. Il existe donc une série de minorités ethniques, issues de clans inférieusr et trop peu nombreux pour s’imposer dans le jeu territorial des autres races. La harde reste à domination ongulé et les autres formes d’espèces sont si mal vu qu’elles sont bien souvent éliminées. Les seules minorités acceptées sont le peuple presque disparu
des hommes sangliers. Ou plus exceptionnellement, certains hommes cerfs qui louent leur service comme mercenaire… et il n’est pas rare de retrouvé d’autre espèce de terranide, souvent noyé dans les rangs des hommes boucs.