Cet étuis humide, chaud et étroit… elle avait une chatte divine… et sa voix, sa voix… couines mon cœur, vas y couines encore et encore… Qui te chevauche ? C’est qui ton maître ? C’est qui le patron ? Tiens, prends en encore…. C’est assez paradoxal chez l’Homme d’aimer la Femme, vouloir la protéger, la vénérer, lui baiser les pieds, mordre ses fesses, être à sa botte comme un toutou et l’instant d’après vouloir simplement la briser en deux et la réduire à un simple morceau de viande gémissante, une plaisante compensation pour devoir réprimer ses bas instincts au jour le jour, mais quand la bête est lâchée… deux choix : écartes tes jambes ou prends les à ton cou pour fuir…
« Han tiens !! Tiens !! Tu me sens ? Tu me sens bien bébé ?? » lui gémit il à l’oreille, il lui saisit le cartilage de l’oreille avec ses incisives… Ses fesses se contractaient, transférant son énergie à travers les muscles de son bassin, jusqu’à ses abdominaux, descendant jusqu’à la base de sa queue qui se cambrait en elle, dur comme du bois… Il se balançait d’avant en arrière, glissant hors et en elle, les humeurs chaudes ruisselant sur ses bourses qui venaient cogner contre son clitoris… Qu’est ce qu’elle était bonne… Il voulait se vider en elle, la remplir à ras bord… mais pas avant qu’elle ne jouisse, il voulait sa victoire complète sur elle, ne jouir que quand elle serait devenue une masse tremblotante et exténuée… Il avait laissé un genou sur l’assise du canapé mais avait redressé une de ses jambes pour la caler contre sa hanche, cette position lui assurait plus de tension musculaire et de raideur pour lui fouiller les entrailles, et lui donnait un certains repos dans les reins, lui assurant de ne pas jouir trop rapidement…
« Han bébé…. » siffla t-il… « schlack » ! une vive giffle vint lui rougir une fesse « schlack « ! puis une nouvelle, et un autre revers à nouveau…
« T’es bonne !! » rugit il… il finit par se redresser et commença à s’allonger sur elle, la faisant se plaquer sur le canapé, toujours fiché en elle, il continuait de la baiser bien en rythme… Posant ses lèvres sur sa nuque trempée et son cou, il lécha la sueur au creux de son épaule… Allongé sur elle de cette manière il pouvait la ravager en totalité ! Elle n’était plus qu’un trou offert à sa queue, il avait toute l’amplitude et le repos pour son bassin qui venait s’écraser à la verticale sur ses fesses…
« Bébé… » gémit il de nouveau cette fois au creux de son oreille, les yeux noyés dans sa chevelure… oui il se répétait… oui il n’avait envie de rien dire d’autre… Mais le fallait il ? Il voulait juste lui parler, lui faire sentir son désir et son plaisir dans sa voix éraillée et caverneuse… Ses mains tenaient fermement ses poignets ensembles, au delà de sa tête sur le rebord au bout du canapé, elle ne pouvait plus bouger que ses jambes, prisonnière… la chatte pilonnée… « plak » « plak » »plak »plak » le rythme effréné augmentait progressivement, montant dans la pénombre de la pièce….
« Mmmmmmmniiiiiii !!!! » grinça t-il avec rage alors qu’il lui mitrailla les fesses en une accélération frénétique…
« Hurf…. ! hff ! hfff !! hfff ! » il se stoppa, épuisé, ruisselant… trop bon… se reposant sur elle il lui lacha les mains pour venir la glisser sous son ventre, descendre jusqu’à ses replis de chair et la caresser doucement, sentant du bout des doigts la surface rigide de la base de sa queue bouillante toujours enfoncée en elle…
Embrassant tendrement son oreille et ses cheveux il se redressa, chancelant, extirpant avec un petit bruit humide sa queue engourdie, rougie et visqueuse de ce tas de chair brulant et gluant… il n’avait pas encore jouit, il voulait mériter sa réputation de bon coup et de roi de l’endurance, il devait impressionner ce ravissant petit cul si confortable, qu’elle en redemande….
« Tu me la nettoies un peu bébé ? » fit il dans un râle amoureux… elle put voir u genou se poser sur le canapé à côté de son visage, il était là, la surplombant, main sur la hanche, torse large et ruisselant, yeux brillant, queue souillée et lourde de sang…
« Suces moi bien… » demanda t-il, alors qu’à demi penché, d’une main, il allait trouver entre ses cuisses son sexe pour y plonger de nouveau les doigts et trouvant du bout du pouce sa petite pointe pour la faire vibrer, et la fouetter comme un joystick…
« Jvais te faire jouir… »