Le noir, le vide, le néant… tout est brouille dans ma tête. Ce que je sais est que la nuit est là, normale, je ne brule pas et je n’ai pas de cape. Pourtant je suis bien réveiller, mais mon corps ne me réponds plus, je sens le sang qui manque à mon corps, ah. C’est vrai, je manque de sang. Je ne suis pas dans mon état normal, la bête est éveiller, elle réclame son dût.
Je marche, non… Je cours, ou je marche rapidement, je ne sais point. Mais j’avance tout droit dans ses landes dévastées par la mort. Je cherche une proie, une proie pour rassasiée cette soif incontrôlable pour faire taire mon corps qui cri famine! Qu’importe si elle est humaine ou non, je me dois de boire, ma civilité disparaissait dans ses moments, je perdais mes principes de boires que celui des bêtes et j’allais m’attaquer à n’importe qu’elle créature, même la plus effrayante, tant qu’elle donnait du sang chaud à boire! Et c’est alors que je vis
bête!
Un sourire de folie s’empara de mes lèvres et d’un geste deux épées apparurent dans chacune de mes mains, mes fameuses épées, toujours présente dans mes moments de folie, un rire déchira le silence de la nuit et je fonçais sur la bête qui se retourna vers moi avant de rugir férocement. La bête claquant ses appendices bougeant férocement au-dessus de sa tête, et l’instant d’après l’une fut couper, la bête lâcha un cri, le sang coulant légèrement, mais l’odeur suffit à me rendre encore plus assoiffée et encore plus déchainée à boire de son sang!
Le combat dura qu’elle que minute quant finalement sa tête tomba au sol, roulant lentement au sol, la tête couper bien évidemment et je parlais bien de la bête. Lentement je lui coupa une patte, la levant au-dessus de ma tête, laissant couler le sang à ma bouche, lentement le sang coula le long de ma gorge, le brouillard de mon esprit disparaissant progressivement, pour laisser place au retour normal de mon être, léger sourire sur mes lèvres, un doux soupire quittant mes lèvres.
« Mmm… Le goût est fabuleux… »
Puis un rugissement se fit entendre au loin! Je levai ma tête, puis je vis 14 bêtes pareils à celles que je venais d’abattre courir vers moi, ils avaient dû être alerté par le cri de la bête en mourant, un léger grognement se fit entendre de ma bouche et je me levai en avalant une dernière gorgée de vitalité, mes deux épées apparaissant dans mes mains, laissant un doux soupires quitter mes lèvres, le combat arrivait, le sang arrivait… Ma respiration ralentis, mes yeux se fermèrent et la première bête sauta tandis que ma lame leva.
La tête se détachant du reste du corps, dans une giclée de sang qui survint, les bêtes reculant légèrement devant ce spectacle de force, lentement ma langue vint caresser mes douces lèvres pour recueillir le sang qui avait coulé.
« Mmm… Vous avez un sang délicieux… Qui est le suivant? »
Puis les bêtes foncèrent vers moi, le vrai combat débutant, survivrais-je? Ou serait-ce ma mort? Je ne sais pas, mais le coup de griffe que je reçus sur le ventre me fit souffrir intensément souffrir même, mes genoux se posant au sol alors que je bloquais les coups de pattes et d’appendice remplie de crocs. À ce rythmes, je faiblirais et je me ferais tué par ses bêtes, lorsque je faiblirais assez pour ne plus être capable de soulever une de mes armes, je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir résister!
C’est le problème des landes dévastés, quand une bête se fais tuer, le troupeau arrive généralement peu de temps après.