Elle voyait qu’il prenait ses aises en elle. Kenza avait beau être timide et toute enfantine, elle adorait toujours autant se faire démonter ainsi. Plus qu’un jeu c’était tout simplement un délice de sentir une verge aussi grosse forcer son étroite intimité et la déchirer par moment. Et plus l’ambiance était torride, et plus elle avait envie de se lâcher, d’être cette adolescente en chaleur qui ne réclamait que toujours plus de sexe.
Totalement possédée par la chaleur, le plaisir et l’excitation, elle détournait son visage quand il voulait l’embrasser incapable, elle, de coordonner ses mouvements. Elle était comme une poupée qu’il désarticulait à chaque coup de pénis qu’il lui mettait. Kenza renversa sa tête en arrière l’appuyant contre le mur, au risque de se cogner, mais la douleur stimulait le plaisir, tandis qu’il levait ses jambes pour s’enfoncer plus loin dans son ventre. Appréciant, elle l’emprisonna de ses mêmes jambes en les entourant définitivement autour de sa taille. Cuisses à présent bien écartées, elle bougeait un peu, faisait gicler eau et mouille contre le pubis de son torride compagnon.
« Oui, tu peux me faire mal….prends ton pied. »
Expression qu’elle avait fraîchement apprise et elle était fier de l’utiliser dans un tel contexte. Kenza ne s’était jamais sentie autant rempli de sa vie, et elle ne désirait que davantage de sensations fortes. Qu’il vienne comme il l’entende, il pouvait tout défoncer, ça ne ferait que la faire crier. Elle se pencha vers son cou pour s’acharner à lui faire de beau sucions, à marquer sa peau au vif pour rendre cette baiser d’autant plus sauvage qu’elle se passait entre deux jeunes presque innocents.