Bon pour elle ou pas, elle n'en avait aucune idée mais ses manières lui faisaient peur. Elle n'avait jamais rien fait de mal, alors pourquoi s'acharnait-on sur elle ? Parce qu'elle était différente ? Ce n'était pas de sa faute si elle était née, avec son "problème" gravé dans ses gênes qui avaient surgi dès son plus jeune âge.
Elle n'en était en rien responsable, alors pourquoi la considérait-on comme si c'était elle la fautive ? Le monde était vraiment cruel de jeter son mal vers elle, elle qui ne voulait que le bonheur des autres. Mais peut-être fallait-il recevoir le mal des autres pour leur donner le bonheur... Mais alors, où était le sien, de bonheur ? Pour l'instant, il semblait presque impossible à rattraper. Il était loin, très loin, car Don la tirait dans les ténèbres de la tristesse.
" N-non ! Lâchez-moi, je vous en prie ! Ce n'est pas de ma faute si je suis comme ça, je ne l'ai jamais voulu ! "
Elle continuait de s'agiter en faisant frotter d'elle-même, et ce indépendamment de sa volonté, sa poitrine entre les mains de l'esclavagiste et ses fesses sur l'entrejambe de l'homme. C'était à peine croyable mais, pour autant que son mal de tête avait disparu, un espèce de plaisir malsain commençait à prendre place, une chaleur bizarre dans tout son corps, la même chaleur que quand elle avait inspecté pour la première fois sa poitrine, ce qu'elle n'avait jamais recommencé d'ailleurs. Mais cette fois, elle n'avait pas le choix: elle en avait eu peur, mais là elle devait le subir de force. C'était bon, incroyablement bon, mais elle ne pouvait pas s'arrêter de se dire que c'était mal, profondément mal.
Elle poussa un gémissement plaintif, témoignant de son plaisir et, pire que tout, Don put sentir couler entre ses doigt un liquide en abondance... De la poitrine d'Armelle sortait doucement du lait en très grosse quantité, plus qu'une mère bien portante pourrait en avoir, provoqué par les pétrissements de Don, on n'avait même pas besoin de téter pour que ça sorte... Elle n'avait jamais revu "ça" depuis son unique inspection, et elle se remit à gémir, en rougissant fortement.
" N-non, c'est trop étrange, arrêtez ! J'ai l'impression que c'est mal, tellement mal... "
Elle sentit une main se poser sur son short, et l'arracher avec autant d'aisance qu'on déchire une feuille de papier. Sur le coup, elle sursauta vers l'avant, comprimant sa poitrine entre les mains de Don et provoquant un petit jaillissement de lait.
" NON !! "