Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Gang bang sauvage [The xXx Gang]

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Shani Stevens

Dieu

Gang bang sauvage [The xXx Gang]

jeudi 24 octobre 2013, 01:26:32

Shani étouffa un bâillement en quittant, sous un ciel d’encre, le secrétariat du lycée Mishima. L’administration du lycée était assez élaborée, comprenant une sorte de bureau central regroupant toute l’administration principale du lycée. Une sorte de sanctuaire infranchissable pour les élèves, où Shani passait l’essentiel de sa journée. Il était 23 heures, et le lycée, comme elle pouvait s’y attendre, était désert à cette heure-là. Toutes les lumières étaient fermées, que ce soit l’éclairage extérieur, les lumières des fenêtres... Plus aucun cour du soir, plus aucune réunion des différents clubs du lycée, le couvre-feu s’était abattu sur le complexe, et Shani avançait rapidement dans un décor sombre, sinistre, le décor typique pour un film d’horreur pour adolescents américains. Le lycée était tellement grand que, quand on s’y promenait le soir, on pouvait avoir cette impression qu’un tueur en série avec un masque de hockey ou un masque d’Halloween vous espionnait dans un coin, prêt à vous égorger avec vos propres intestins.

La belle secrétaire, pour se protéger du froid, portait un long manteau beige recouvrant partiellement ses formes élégantes. Sous ce manteau, elle portait sa tenue de travail habituelle : une chemise blanche, une petite jupe, et un corset noir. Au lieu de ses traditionnels bas, elle avait opté pour des jarretelles, car elle savait que son supérieur hiérarchique fantasmait dessus. En venant travailler ce matin, elle les lui avait montrées de manière subtile, en croisant les jambes à son passage, relevant légèrement l’ourlet de sa courte jupe. Il avait vu, et elle savait qu’il avait eu une érection. Tandis qu’elle tapait un rapport, il l’avait appelé, pour, officiellement, se renseigner sur le dernier rapport qu’elle avait rendu, afin de préciser plusieurs corrections. Les corrections avaient duré trois quarts d’heure, dans un bureau fermé à clef, aux murs capitonnés. Trois heures où elle avait senti le sexe de l’homme lui pilonner le cul tandis que ses mains grasses s’accrochaient à ses jarretelles, et qu’elle devait ensuite nettoyer les tâches qu’elle avait fait sur le sol, et sur la queue de son supérieur. Kimiyasu-san était un homme avec un léger embonpoint, qui usait de son autorité pour satisfaire des pulsions sexuelles qu’il n’arrivait pas à satisfaire dans sa vie privée. Le rectorat l’avait repéré, et il avait été muté d’Osaka à Seikusu. Il l’avait partiellement violé quand elle avait, en déposant un rapport dans son bureau, vu un carton rempli de magazines érotiques, des hentaïs assez trashs où de jeunes lycéennes étaient violemment gang-bangées par des mâles en rut et par des monstres inesctoïdes. Il avait initialement cherché à négocier, à dire que ces livres avaient été pris dans des casiers d’élèves, et qu’il comptait les remettre au service adapté (un mensonge partiel ; les livres appartenaient bien aux élèves, mais Kimiyasu les conservait pour lui), mais, quand il avait réalisé que la petite secrétaire mouillait en s’imaginant à la place d’une lycéenne subissant un bukkakedans les règles de l’art, son sexe avait jailli de sous son estomac légèrement poilu à hauteur du nombril, et il l’avait baisé.

Shani y pensait alors qu’elle s’écartait des cours, se dirigeant vers la station de métro. Kimiyasu-san lui avait demandé de boucler un dossier important, ce qui l’amènerait à finir tard. En échange, comme on était Vendredi soir, elle ne travaillerait pas de toute la semaine. En effet, Shani avait passé toutes ses soirées à finir assez tard, afin de rattraper le retard accumulé dans les préparations aux examens d’entrée aux universités. Un travail compliqué et de longue haleine, et elle n’était pas fâchée d’en avoir fini. Certes, elle avait fait l’amour tous les jours avec son supérieur, mais elle aimait bien aussi se retrouver chez elle, et profiter du confort de quelques amies le soir pour partager son lit, Shani n’aimant pas dormir toute seule.

Elle savait que ce quartier était mal famé. Mishima n’était pas dans les profondeurs de la Toussaint, mais le lycée était encore assez éloigné du centre-ville. Elle savait qu’il y avait fréquemment des agressions sexuelles, ou des tags. Des bandes de délinquants n’hésitaient pas à balancer des pierres sur les portes vitrées du lycée, ou à tagguer les murs. La police évitait de passer par là. Atteignant le trottoir, Shani se dépêcha d’avancer. Ses talons claquaient sur le trottoir, alors qu’on pouvait percevoir les quelques flagrances du délicat parfum parisien qu’elle se mettait le main, un parfum que Kimiyasu adorait renifler tout en lui bourrant le cul comme une « chienne ».

*Au moins, demain, je pourrais faire la grasse matinée...*

C’était une bien maigre récompense.

Shani s’avançait en soupirant, se rapprochant de la station de métro, quand son cœur se mit à trembler en voyant deux individus en sortir. Ils portaient des jeans sombres, des débardeurs, des lunettes de sport, et louchèrent rapidement sur les jarretelles et les talons de Shani, avant que leurs regards ne montent lentement, devinant l’ourlet de ses seins, sa longue chevelure, et sa paire de lunettes si sexy sur elle. Elle baissa la tête, tremblant en se rapprochant des deux hommes

*Dépêche-toi, dépêche-toi, ne t’arrête pas, ne les regarde pas...*
Elle se mit presque à espérer qu’elle pourrait passer sans anicroche, et elle dépasse en effet les deux hommes... Avant de voir qu’il y en avait deux autres, dans l’escalier menant à la station de métro, et que l’un d’eux, avec un sourire prétentieux sur les lèvres et une longue crinière noire, jouait avec la lame d’un couteau à cran d’arrêt, la frottant légèrement contre son pouce.

« Vous allez quelque part, Madame ? » lâcha l’homme.

Le cœur de Shani s’emballa, et elle se mordilla les lèvres, continuant à fixer obstinément le sol. Elle allait les dépasser quand la main de l’homme au couteau se posa sur son épaule, dans son dos.

« Hey, c’est pas très poli de nous snober ainsi...Tu crois que, parce que nous, on a été recalés aux examens d’entrée à la fac’, on mérite pas le respect d’une professeur du lycée ?
 -  Je... Je ne suis pas professeur, et je... Lâchez-moi, s’il-vous-plaît... »

Elle parlait d’une voix faible, et se retourna subitement, voyant les quatre hommes s’avancer vers elle.

« Hey, relax, on fait que causer, toi et moi ! J’sais pas, moi, genre comme deux personnes adultes, et tout, et tout. C’est beau d’être dévoué à son travail, c’est une tâche qu’on apprécie, nous, surtout quand on sait combien les gaijins ont tendance à rien branler et à se mastiquer le poireau en glandant sur des sites pornos au lieu de travailler comme ils devraient le faire. »

L’humour de cette phrase échappa à Shani, mais pas aux comparses de l’homme, qui rigolèrent doucement. Il n’y avait pas d’agents de sécurité à cette heure, et la caméra de sécurité était probablement en panne, ou débranchée, comme d’habitude. Shani se rapprochait des guichets automatiques, où il fallait normalement composter son billet. Elle avait évidemment peur, car elle savait de quoi les bandes du coin étaient capables. L’homme au couteau se rapprochait d’elle, un sourire amusé sur les lèvres.

« Alors, Madame est pas prof’ ? ‘Vrai que t’es un peu jeune pour être une prof’... Même si je sais que le corps enseignant de ce lycée est rempli de filles plutôt canons... Mais, tu sais, joli cœur, c’est pas parce que tu te trouves au Japon que tu peux t’habiller comme une pute... C’est quoi l’histoire de ce conte, déjà ? Avec la salope habillée en rouge qui se fait défoncer la chatte par un loup, ou un truc comme ça ? Ouais, j’suis sûr que tu vois le parallèle, trésor... »

Shani se mordilla les lèvres, et releva la tête, essayant de retrouver son calme.

« Écoutez, je n’ai pas d’argent, alors... »

Elle se reçut une gifle qui l’envoya sur le sol. Des mains attrapèrent alors son manteau, et l’arrachèrent. Elle se mit à avancer à quatre pattes, essayant de se relever, mais un homme tomba sur elle, s’asseyant à califourchon sur elle.

« Lâchez-moi !! Lâchez-moi !!
 -  TA GUEULE, SALOPE !!! »

La lueur qu’elle vit dans les yeux de l’homme l’incita à se taire... Ainsi que le contact froid de la lame sur sa gorge.

« Bien, c’est mieux... Tu vois, tu sais te la fermer quand il faut, ma chérie... On discute gentiment, comme des personnes raisonnables, et toi, tu nous prends pour de vulgaires voleurs ? Je voulais juste flirter un peu, moi... Mais, puisque tu veux agir comme une pute, alors, c’est que tu dois aimer ça, qu’on te fourre des queues dans le corps.#

Shani écarquilla des yeux, terrorisée par cette idée. Ces quatre types n’étaient pas très beaux, et elle avait surtout peur qu’ils ne l’égorgent par la suite et ne balancent son cadavre dans le métro. L’homme se redressa, et l’attrapa par les cheveux. Elle hurla en se débattant, alors que le quatuor se rendait vers les toilettes. Il y avait un homme à l’intérieur, qui urinait tranquillement, ses oreilles bouchées par son baladeur. Il entendit la porte claquer violemment, et eut à peine le temps de tourner sa tête qu’une puissante main s‘agrippa à sa tête, et l’envoya heurter douloureusement le rebord de l’urinoir. Il y eut des traces de sang, et l’homme s’affala sur le sol, inerte. Shani, recroquevillée sur le sol, poussa un hurlement de terreur. Elle se reçut une nouvelle gifle, forte, tandis que les malfrats observèrent les cages des toilettes. Il n’y avait aucun témoin compromettant, et celui que le chef avait assommé en envoyant sa tête s’écraser contre l’urinoir, s’il n’était pas mort, était toutefois dans le coma.

« Bon... On va passer aux choses sérieuses, ma salope... Vu que tu caquètes comme une pute de gaijin, je crois qu’il va falloir t’apprendre le respect, avant de te montrer ce qu’est un vrai homme, pas comme ces puceaux de lycéens que tu dois te farcir à longueur de journée, comme n’importe quelle salope. »

L’homme porta la main à son ceinturon, afin de la fouetter avec.

« AU SECOURS !! QUELQU’UN, AU SECOURS !! » hurla alors Shani.
DC d’Alice Korvander.

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The xXx Gang

Légion

Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]

Réponse 1 jeudi 24 octobre 2013, 18:24:48

Dans les rues mal famées de Seikusu, il ne faisait pas bon être une belle femme sans défenses. Mais la jeune femme brune qui arpentait les rues était loin d'être sans défenses. Belle, elle l'était, il ne fallait cependant pas compter sur elle pour jouer les proies. Non, cette fille qui faisait claquer ses talons sur le bitume crasseux, c'était Mistress Magician, une sorcière perverse, une dominatrice dont les veines renfermaient une puissance démoniaque. Ce soir, la bibliothécaire corrompue était de sortie, chargée de trouver et de capturer des spécimens afin de les faire passer de l'autre côté du miroir, au travers d'un des portails menant à Terra, dans le but de les vendre. Mais elle avait fait chou blanc, personne ne disposant de la plastique adéquate. Dans les faits, il n'y avait aucun réel critère de sélection, mais le Gang xXx avait tendance à kidnapper de beaux jeunes hommes ou de ravissantes jeunes femmes. La raison ? Les membres du gang se servaient allègrement des corps de leurs proies, afin de satisfaire leurs pulsions primaires et corrompues. Ainsi, n'ayant décelé personne d'assez beau pour éveiller son intérêt, Mistress Magician retournait à la planque du groupe. Cette planque, en l'occurrence, était un squat situé dans ce quartier abandonné des forces de l'ordre. Il était évidemment plus facile de se cacher dans une zone de non respect des lois que dans un voisinage bien propret...

Sur le chemin du retour, la sorcière perverse eut un étrange relent. Au milieu de la crasse ambiante, elle sentait une odeur suave, captivante... De toutes les maîtresses, Magician n'était pourtant pas celle qui disposait du meilleur odorat, cette qualité étant réservée à la bestiale Mistress Feral. Pourtant, ce délicieux fumet lui parvenait malgré tout. S'arrêtant au milieu de sa marche, la bibliothécaire corrompue analysait la situation. Etant versée dans la pratique de la magie noire, ayant des notions étendues des flux magiques et de leur perception, il ne faisait aucun doute à ses yeux que cette odeur n'en était pas une. En réalité, ce que son corps analysait comme une fragrance délicieuse n'était autre que les pulsations ésotériques d'un être surnaturel. Mistress Magician était curieuse de savoir ce qui était à l'origine du phénomène. Elle était certes perverses jusqu'à la déviance, mais c'était malgré tout une chercheuse, quelqu'un qui aimait se perdre dans les mots et le papier, quelqu'un qui avait commencé à pratiquer la sorcellerie avant même qu'une blonde démoniaque ne lui injecte de la puissance infernale par son étoile sombre. En l'occurrence, ses deux passions se mêlaient l'une à l'autre, car ce parfum surnaturel avait quelque chose de sensuel. Se laissant porter par ses perceptions ésotériques, Mistress Magician marchait à l'aveuglette, tournant instinctivement ici, prenant ce virage là sans le savoir. Au final, ce fumet suave la conduisit jusqu'au métro, puis vers des toilettes publiques, des toilettes pour hommes. L'endroit puait la pisse au travers même de la porte fermée. Mais la piste que notre perverse bibliothécaire demeurait très claire.


- AU SECOURS !! QUELQU'UN AU SECOURS !!

Un voyou levait son ceinturon, prêt à fouetter une pauvre femme sans défenses avec.

- Ce n'est pas très gentil ce que vous vous apprêtez à faire là...

L'homme au ceinturon se retourna, grognant son déplaisir : T'as choisis les mauvais chiottes, gro... Wow ! Il s'arrêta net dans sa phrase, le sifflet coupé par ce qu'il voyait. Cette femme sur le seuil qui l'avait interrompu avait sa parka ouverte, ne reposant même plus sur ses épaules. Lui et ses petits camarades pouvaient tous voir cette brune sculpturale, vêtue d'un unique corset de cuir un peu trop serré et de bottes montantes à talon. La poitrine de cette nouvelle venue était si opulente que ses mamelons dépassaient largement des bonnets, percés de bijoux d'or et de rubis. Et plus bas, son cul nu, sa chatte rasée, ornée d'un tatouage rappelant vaguement un cœur stylisé doté d'ailes de chauve souris, avaient de quoi dérouter. Là où leur victime première était habillée de manière trop sexy pour son propre bien, la brune sur le seuil des toilettes était vêtue de manière carrément vulgaire. Un silence pesant recouvrit la scène, l'espace d'une minute. Même des violeurs comme eux étaient capable de reconnaitre une prédatrice sexuel quand ils en voyaient une. Mais les hommes sont si aisément aveuglés par les attraits féminins. La tenue de Mistress Magician n'avait rien de subtile, mais elle était diablement efficace.

- En fait, quand j'te vois comme ça, j'dirais qu't'as choisis le bon endroit. Tu veux t'amuser avec nous hein ? Avec une tenue pareille, tu ne peux être qu'une chaude du cul qui cherche à se faire défoncer par de vrai mecs ?

Ses comparses, tout autour, ricanaient bêtement. La bibliothécaire se délectait de cet effet qu'elle avait sur les hommes : Moins subtile était sa séduction, plus idiots ceux qui y répondaient étaient. Et les idiots étaient si facilement manipulables. Analysant rapidement la situation, Mistress Magician n'eut aucun mal à comprendre qu'ils s'apprêtaient à violer la pauvre fille qui était recroquevillée dans le fond. Les propos du chef de la bande tendaient d'ailleurs à le confirmer :

- On s'apprêtait à apprendre à cette gaijin ce que c'est qu'un vrai mec. Mais je crois qu'on va même pas avoir besoin de te donner du ceinturon sur les fesses pour que tu nous les présente genti...
- Les vrais mecs n'ont pas besoin de s'y mettre à quatre pour soumettre une femme sans défenses. Tout ce que je vois, c'est une bande de tocards qui vont bientôt me supplier de les épargner.
- PARDON ?! Choppe la toi, elle aussi a besoin d'apprendre sa place apparemment.

L'air mauvais, l'un des types s'approcha de la brune à demi nue, trop sûr de lui. Il y avait deux choses que les hommes pouvaient accepter sans réfléchir, concernant les femmes : C'était qu'elles étaient faibles et qu'elles les trouvaient attirants. Persuadé que ses muscles virils suffiraient à avoir le dessus. Mais il ne pouvait pas savoir que cette bibliothécaire perverse disposait d'une puissance surnaturelle. A peine avait il levé le bras, dans le but d'attraper les cheveux de Mistress Magician, que celle ci lui attrapa le poignet. Tirant dessus, elle le fit avancer vers le mur, où elle lui écrasa le visage en appuyant derrière sa tête. Un craquement sinistre retentit - probablement le nez du malheureux - avant que le présomptueux ne s'écroule à terre, inconscient. La surprise passée, les trois autres violeurs sortirent tous une lame, visiblement pas plus impressionnés que ça.

- Ok, ma poule, j'vois qu'tu fais un peu d'arts martiaux. Mais tu comptes faire quoi ? On est trois, avec des couteaux et moi aussi j'fais d'la boxe !
- On ne vous a jamais dit ? Fumer tue.
- Hein ?

Ils ne pouvaient pas comprendre, ils ne pouvaient pas imaginer. Pourtant, instinctivement, les deux types non fumeurs se tournèrent instinctivement vers celui qui avait une clope au bec. Tandis que la sorcière effectuait un curieux mouvement de la main, le bout rougeoyant du tube de tabac s'enflamma, avant de devenir une véritable boule de feu qui englobait la tête du malheureux. Hurlant sa douleur, le malheureux se jeta vers l'urinoir le plus proche, y plongeant la tête, avant d'actionner la chasse d'eau. Mistress Magician eut un autre geste ésotérique et, répondant à son ordre, l'eau qui s'écoulait faiblement de la chasse d'eau se changea en torrent, avant de geler, emprisonnant la moitié supérieure du corps masculin. Ses jambes gigotaient, il essayait de se libérer mais sans les mains et dans une position qui diminuait sa force, c'était peine perdue. Réalisant alors leur erreur, les deux voyous restants reculèrent de quelques pas. Ils avaient totalement oublié la pauvre Shani, dans l'histoire, plus concentrés sur leur survie désormais.

- Putain mais qu'est ce que t'es ?
- Si tu sais lire l'anglais... Commença la bibliothécaire corrompue, en tirant un peu sur son collier frappé du mot Mistress, pour le mettre en évidence. ...alors tu devrais savoir que je te suis supérieure.
- Maî-maîtresse ?
- Maintenant supplie moi de t'épargner, petite merde, ou je te noie dans les chiottes.

Terrifié, le violeur tomba à genoux, la voix tremblotante.

- Pi-pitié mai-maitresse... Je... je ne savais pas... je ne recommencerais plus, promis.
- En effet.

Sa main pivota à nouveau, signe que Mistress Magician faisait appel aux forces obscures qui existaient dans son corps, afin de manipuler les éléments. Les deux hommes, déjà à genoux, tournèrent en même temps la tête vers les cabines qui venaient de s'ouvrir sur le côté. Sortant des trônes de faïence, l'eau obéissait à la sorcière, pour se diriger vers les malheureux. Ils avaient beau crier, se débattre, le liquide infâme s'insinua par leurs bouches et leurs narines, trouvant le chemin vers leurs poumons, où il s'installa, les faisant étouffer. Les pauvres violeurs convulsaient encore sur le sol que la terrible brune enjambait le corps de l'un d'eux, allant à la rencontre de Shani. Se penchant un peu en avant, sa remettre sa parka en place, elle lui tendit la main pour l'aider à se relever, un sourire carnassier aux lèvres.

- Bonsoir, ma belle. Je m'appelle Mistress Magician... mais tu peux m'appeler Maîtresse, tout simplement. Ca t'embêterait de me conduire dans un coins moins puant de ce métro pour me montrer toute ta gratitude d'avoir été sauvée ?

Cela ne sonnait pas vraiment comme une question. Shani ne le savait pas encore, mais la femme qui lui faisait face, sa sauveuse, était probablement pire que ces mâles en rut qui l'avaient coincée dans ces toilettes publiques.
Magician - Futa - xXx - Feral - Leather - Willpower
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Fiche du Gang - Trames du Gang

Shani Stevens

Dieu

Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]

Réponse 2 vendredi 25 octobre 2013, 00:30:02

Shani leva les mains, recroquevillée, s’attendant à se faire battre. OIh, elle n’était pas une petite femme sensible qui n’aimait pas se faire battre lors du coït, mais ces types-là l’effrayaient, et ne l’excitaient pas, car elle savait qu’ils allaient la tuer, pour éviter un témoignage par la suite... Ou pire, la droguer, et en faire une esclave sexuelle qui se retrouverait défoncée à de puissants narcotiques dans un sinistre bordel. Cette perspective ne la tentait pas du tout, et elle poussa un petit cri... Mais le coup de ceinturon ne s’abattit jamais.

Quelqu’un venait d’entrer, et Shani, instinctivement, se recroquevilla au fond de la pièce. Était-ce un hasard que cette femme soit là ? Ou est-ce que la mystérieuse « bonne étoile » de Shani était encore intervenue ? Une femme dans un long parka venait d’entrer. Elle était musclée, très belle, habillée comme une prostituée de nuit, avec des lunettes de sport, un corset tellement serré que ses tétons ressortaient, de longs gants, un collier, le tout en cuir et en latex. Ses longues bottes avec des jarretelles firent frissonner Shani. Est-ce que c’était leur chef ? Une super-héroïne ? Vu la réaction des types, elle penchait à une femme venue la secourir. Cependant, Shani ne voyait pas ce qu’elle comptait faire contre ces quatre individus à la fois. Celui avec le ceinturon s’approcha d’elle, et Shani avait pu discerner la forme de sa bosse. Une belle érection. Il avait un sourire sur les lèvres, et une lueur prédatrice, de dominateur. Il devait déjà s’imaginer lui pilonner les fesses en la plaquant contre la cuvette des toilettes, avant de plonger sa tête dans son vomi. Elle faillit dire à la femme de se méfier, de surmonter sa peur pour lui conseiller d’appeler la police, mais, à sa grande surprise, elle la vit bondir sur l’homme, l’empoigner, et, avec une force surhumaine, l’envoyer contre le mur des toilettes. Il y eut un craquement sinistre, un soupir. Le choc délogea l’une des tuiles du mur, et l’homme heurta violemment l’accoudoir de l’urinoir, s’écroulant sur le sol, lâchant son ceinturon, ayant laissé une traînée de sang sur le mur et sur le rebord de l’urinoir.

Muette de stupeur, Shani vit ensuite la femme utiliser des sorts magiques. Elle enflamma la tête d’un autre voyou, qui poussa un hurlement terrorisé en se rendant vers un lavabo pour s’asperger la tête, alors que des flammes dansaient autour de lui. Shani vit alors l’eau le recouvrir, et congeler une partie de son corps, le plongeant dans le coma.

*C’est... C’est une magicienne ?!*

Bien malgré elle, elle écouta la conversation, et entendit la référence à la « maîtresse ». Elle remarqua alors l’inscription sur le collier sadomaso en or qu’elle portait autour du cou. Il avait des clous, mais, en caractères d’imprimerie, elle voyait clairement la mention « MISTRESS ». Les deux hommes implorèrent sa pitié, mais la femme n’avait pas envie de les satisfaire. Shani entendit des grondements sinistres venant des canalisations, et, en tournant sa tête, elle entendit la porte d’une cabine s’ouvrir violemment, des trombes d’eau heurtant les bouches des hommes, qui poussèrent des couinements étouffés, avant de s’affaler sur le sol, et de se tortiller, leurs jambes glissant inutilement sur le sol. Ils se débattaient comme des poissons sortis hors de l’eau, se tortillant frénétiquement, les corps agités de spasmes nerveux. De leurs bouches, des bulles d’eau ressortaient parfois, alors que leurs yeux étaient écarquillés, des vaisseaux sanguins explosant à l’intérieur. Ils en pleuraient, l’eau sortant de leurs narines, se massant la gorge, puis les côtes.

*Elle les a noyés...*

Muette de stupeur, Shani réalisa qu’elle venait d’assister à un carnage. Leur chef, celui au couteau à cran d’arrêt, ne bougeait plus, probablement mort. Il avait du avoir une commotion cérébrale, et l’autre avait la tête en piteux état. Ses cheveux avaient disparu, laissant un crâne noirci avec des bouts rouges et blancs, probablement des morceaux d’os. Les deux autres cessaient lentement de se débattre... Et il ne restait plus qu’elle. Un témoin... Un témoin trop horrifié pour oser s’enfuir pendant ce combat. La femme laissa son parka ainsi, sans la remettre, couvrant ainsi la vue de ses seins proéminents, tout en s’avançant lentement vers elle. Shani ferma les yeux, s’attendant à se faire tuer sur place. Elle espérait juste que ce serait rapide, qu’on ne chercherait pas à l’étouffer, car elle trouvait que c’était une mort atroce... Shani ignorait qu’il existait en ce bas-monde une force supérieure qui avait toujours veillé, à sa manière, que sa progéniture ne meure pas. Cette force ne s’opposait nullement à ce qu’elle se fasse violer, mais trouvait toujours un moyen de la sauver.

C’est donc à sa réelle surprise que Shani vit la main gantée s’arrêter près de son visage, tendue vers elle, comme pour l’aider à se relever. Le sourire de cette femme n’était pas vraiment le gentil sourire hospitalier qu’un moine franciscain pouvait faire quand il accueillait une bohème devant sa paroisse, mais il collait au charme de la dame.

« Bonsoir, ma belle. Je m'appelle Mistress Magician... mais tu peux m'appeler Maîtresse, tout simplement. Ca t'embêterait de me conduire dans un coins moins puant de ce métro pour me montrer toute ta gratitude d'avoir été sauvée ? »

La gratitude d’avoir été sauvée... Un délicieux euphémisme. Shani l’observa, surprise, pendant quelques secondes... Avant qu’un soulagement indicible ne s’échappe sur ses lèvres. Sa tête s’adossa contre le rebord, alors qu’elle réalisait que cette femme en cuir et en latex n’allait pas la tuer sur place. Elle en fut soulagée, comme si elle avait un poids en moins, et tendit sa main, l’attrapant, frissonnant au contact du cuir et du latex. Les gants comme ça, longs et moulants, ça l’excitait toujours comme une petite pucelle. Elle se releva rapidement, et épousseta sa minijupe. Ses collants n’étaient pas déchirés, et elle remit ses lunettes en place, tête baissée. En la relevant, elle s’arrêta en louchant sur la poitrine de la femme, rougissant légèrement.

« Je... Euh... Merci beaucoup... » réussit-elle à dire.

Elle tourna la tête sur la droite, s’observant brièvement dans le miroir. Ses mèches de cheveux n’étaient pas trop décoiffées, et elle se racla la gorge, repensant à ce que la femme avait dit. Mistress Magician... Sûrement un nom de scène.

« Je... Je crains fort que tout ce métro soit... Soit puant... Je... Je peux vous ra... Ramener chez moi, si... Si vous voulez, Maî... Maîtresse... »

Elle la vouvoyait instinctivement, ce qui trahissait une certaine expérience du sadomasochisme, où on ne tutoyait jamais la femme qui s’appelait « Maîtresse ». La femme ne portait pas de culotte, découvrant un curieux tatouage noir. Shani soupira lentement, revenant peu à peu elle, et posa ses mains sur le corset de la femme. Elle n’alla pas embrasser ses lèvres, mais suça plutôt, brièvement, l’un des clous dorés de son collier. Un geste de soumission, tout simplement, la forme de remerciement qu’elle attendait.

« Il.. Il faudra cinq à dix minutes pour retourner chez moi, c’est... Près d’une station de métro... »

Elle s’avança alors, hésitante, évitant soigneusement les cadavres. La femme la suivait, et Shani avait les joues rouges en descendant les marches menant à la station. Il n’y avait pas un chat, et le métro s’approcha rapidement. Il fonctionnait de manière automatique, sans chauffeur, et elle rentra dans la rame. Cette dernière fila ensuite, et Shani observait la femme, tête basse, observant à vrai dire surtout ses bottes.

*C’est une magicienne... Pourquoi est-ce que je l’invite chez moi, ça pourrait être très dangereux...*

Et ça le serait sûrement, mais Shani était ainsi, paradoxale. Ce viol l’avait terrifié, mais elle savait que, si les hommes l’avaient pénétré, elle aurait joui comme une catin. Elle était ainsi, tout simplement. Une infâme traînée. Trois à quatre stations plus tard, Shani sortit. Il y avait quelques badauds, qui jetèrent des regards étonnés vers Mistress Magician, mais sans oser la voir. Shani sortit de la station de métro, arrivant à une rue assez proche du centre-ville, où on pouvait déjà noter qu’il y avait plus d’animation. Elle se hâta vers un petit immeuble à six étages, l’ouvrit, et fila dans l’ascenseur. Elle appuya sur le bouton menant à son étage.

Shani vivait dans un modeste appartement. Ce n’était pas un studio, mais pas non plus une suite. La chambre était à part du salon, et elle avait une remise, qui contenait, dans des cartons, divers jouets sexuels. La garde-robe de sa chambre abritait également des tenues assez érotiques, le genre de trucs qu’on ne montrait à son petit ami qu’après lui avoir fait faire le tour du propriétaire. C’est dans le salon que Shani conduisit l’énigmatique Mistress, la tueuse de sang-froid.

Elle retira alors son manteau, finissant dans sa tenue de secrétaire, tenue qui, tout en étant respectable selon les normes en vigueur, si on faisait exception de la minijupe un peu trop courte, la rendait terriblement exquise.

« La chambre est par là, Maîtresse... Je... Pardonnez-moi si je me répète, mais je vous remercie vraiment de m’avoir aidé, ces individus m’auraient probablement tué. Je... je suis prête à faire tout ce que vous voudrez pour... Vous satisfaire... »

Et également se satisfaire, en vérité.
DC d’Alice Korvander.

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The xXx Gang

Légion

Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]

Réponse 3 vendredi 25 octobre 2013, 20:42:35

Mistress Magician se délectait de voir le trouble de celle qu'elle venait de sauver, remarquant le regard de cette dernière, captant le ton hésitant de sa voix. Shani se révéla tout de suite très obéissante envers sa sauveuse. Était-ce de la gratitude, de la peur, une excitation à l'idée de la soumission ? Peut être un peu des trois. A vrai dire, la bibliothécaire corrompue n'était pas la plus fine psychologue de toute sa bande de dominatrices. Son expertise, c'était la littérature et la recherche d'informations dans les écrits et sur internet. Des années à vivre au milieu de livres, à pratiquer en secret de la petite sorcellerie qu'elle espérait un jour voir fonctionner pour de vrai, l'avait rendue plutôt asociale. Mais le gain d'une puissance réelle et l'accentuation d'une perversion latente lui avait permis de surmonter sa timidité. Maintenant, c'était elle qui créait la gêne, elle qui poussait les gens à détourner le regard. Aussi ne se posa-t-elle pas plus de question face à la docilité de sa vis à vis, se contentant d'apprécier.

La surprise la gagna, cependant en voyant jusqu'où cette professeur allait pour montrer sa soumission, en se penchant pour suçoter un des clous de son collier. Instinctivement, la brune glissa une main caressante dans sa chevelure. Lorsque Shani lui proposa de l'emmener chez elle, Mistress Magician répondit d'un doux :


- Mais avec plaisir.

Shani la conduisit alors en direction des rames de métro, décidée à lui faire découvrir son domicile. En sortant des toilettes, la bibliothécaire perverse remet son manteau sur ses épaules, cachant ses formes aux éventuelles caméra ou passants que l'étrange couple pourrait croiser. Pendant que le train souterrain avançait, la brune se laissa aller à détailler un peu plus sa prise : Shani était belle, son corps était admirablement bien sculpté... certes moins voluptueux que la dominatrice elle même, mais non moins séduisant. Mistress Magician n'avait pas encore eu l'occasion de détailler les traits du visage de la divine professeur, cette dernière gardant la tête basse. Une fois sorties du métro, quelques badauds se retournaient sur la sorcière. Bien que son manteau cachait l'aspect le plus vulgaire de sa tenue, on pouvait facilement l'imaginer nue sous ce vêtement, prête à l'ouvrir telle ces nudistes cherchant à choquer les passants. Ses bottes montantes, accessoire peu commun, laissait aisément courir l'imagination. Mais la belle brune ne s'en souciait pas le moins du monde : Son attention était focalisée sur le délicieux postérieur de Shani, qui marchait devant elle. D'une certaine manière, Magician fut déçue de ne pas emprunter l'escalier, pour pouvoir jouir davantage de cette vision enchanteresse.

Une fois dans le petit appartement, la bibliothécaire corrompue regarda distraitement autour d'elle, observant le mobilier, la disposition... s'imaginant déjà prendre son hôte sur contre chacun d'eux. Puis, revenant vers l'hôte elle même, Mistress Magician s'en rapprocha doucement, glissant son index sous le menton féminin pour lui relever doucement le visage. Puis, sans un mot, elle approcha ses lèvres de celles de la professeur, l'embrassant avec une tendresse qui ne collait pas bien avec le personnage. Puis, à mesure que le baiser s'échauffait, que la sorcière insinuait sa langue plus avidement entre les lèvres de Shani, les corps des deux femmes se collaient un peu plus l'un à l'autre. Sans rompre ce ballet de langues, la bibliothécaire fit glisser sa main gantée sur le dos de la belle, la laissant descendre jusqu'à une des fesses féminines puis, plus pas encore, avant de tirer la mini-jupe vers le haut, dévoilant ce cul sublime encadré par de jarretelles affriolantes.

Et puis, mettant brusquement un terme au baiser, tout en se décollant de son hôte, Mistress Magician se dirigea vers le canapé comme si elle était en terrain conquis. Retirant son manteau qu'elle laissa négligemment tomber sur un des accoudoirs, la brune provocante s'avachit au milieu du sofa, croisant les jambes le plus naturellement du monde.


- Bien, bien... Fais moi un strip-tease, trésor. Danse un peu et caresse toi un peu aussi. Garde tes lunettes... j'adore les femmes à lunettes.
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Shani Stevens

Dieu

Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]

Réponse 4 samedi 26 octobre 2013, 00:06:54

Le cœur de Shani s’emballait rapidement, alors que la femme, Mistress Magicien, se rapprochait d’elle. Cette femme était aussi dangereuse qu’attirante, aussi redoutable qu’exotique. Shani déglutit en sentant es mains gantées sur son menton, puis releva la tête, croisant son regard. Elle vit le visage de la femme se rapprocher, et Shani entrouvrit ses lèvres, acceptant son baiser, soupirant de plaisir, sentant les mains de la femme remuer sur son corps, provoquant une multitude de frissons sur tout son corps. Elle sentait la main gantée glissa jusqu’à sa minijupe, la relevant pour caresser ses fesses. Shani soupira tendrement, fermant les yeux, sentant les seins de la femme s’écraser contre sa poitrine. Elle n’avait jamais dénigré la taille de sa poitrine, deux beaux seins qui lui permettaient volontiers d’enchaîner les cravates de notaire, mais il fallait bien reconnaître que, par rapport à l’opulente poitrine de sa Maîtresse, ses seins avaient l’air ridicules. Les mains de Shani ne restaient pas en reste, caressant le corset de la femme, remontant le long de ce dernier. Il était serré, mais, honnêtement, Shani doutait qu’il existât, même aux Etats-Unis, un corset suffisamment volumineux pour un tel tour de poitrine. Cette femme n’avait rien de naturelle, et c’était peut-être ce frisson de magie, de surnaturel, qui l’excitait autant... Comme une espèce de valeur ajoutée à sa beauté ambiante, une sorte de sentiment qui l’amenait à courber l’échine, à frissonner devant cette femme puissante... Ça, ou le fait de l’avoir vu commettre en quelques secondes un quadruple meurtre sans aucune hésitation, et faire ensuite l’amour à Shani comme si rien d’anormal ne s’était passé auparavant. Cette femme était une tueuse, potentiellement dangereuse, et, sans oser se l’avouer, Shani adorait ça.

Elle sentit les doigts de la femme caresser ses jarretelles, et elle gémit à nouveau, mordillant tendrement l’une des lèvres de la Maîtresse, qui s’écarta ensuite. Shani rouvrit les yeux, et la vit s’écarter. Sans rien lui dire, Mistress Magician s’avança lentement, faisant glisser son manteau, qui atterrit sur un accoudoir, avant que la gravité ne le fasse négligemment tomber sur le sol. Le cœur de Shani tambourinait encore dans sa poitrine, prêt à exploser. La femme avait un fessier magnifique, et elle s’assit au milieu du sol, croisant les jambes de manière sexy.

« Bien, bien... Fais-moi un strip-tease, trésor. Danse un peu et caresse-toi un peu aussi. Garde tes lunettes... j'adore les femmes à lunettes. »

C’est en l’entendant parler que Shani réalisa qu’elle était en train de mouiller. Elle déglutit, les joues légèrement rouges, et porta sa main sur ses lunettes, les remettant en place. Si elle devait les retirer, ça risquait d’être problématique. Certes, ses lunettes étaient sexy, tellement sexy que, la dernière fois qu’elle avait été voir son opticien pour les régler, elle lui avait fait une fellation dans son atelier, avant qu’il ne la prenne contre le mur, mais, sans elles, elle était aussi myope qu’une taupe.

« Très... Oui, Maîtresse... »

Elle s’avança un peu, et commença par allumer sa lampe de chevet, éteignant l’éclairage central, permettant ainsi d’avoir une ambiance tamisée. Elle avait tout de même besoin d’un peu d’ambiance pour ça. Elle alla ensuite devant sa chaîne Hi-Fi, et, en essayant de calmer les tremblements nerveux de sa main, liés à cette onde d’excitation qui la traversait, elle sortit un CD. Il ne comprenait qu’une piste, qu’elle avait trouvé sur Internet, et qu’elle mit dans le lecteur optique, avant de le refermer, et d’appuyer sur le bouton « PLAY », ainsi que sur »REPEAT ». Elle se replaça ensuite devant la femme, debout, et, lorsque la musique se mit en marche, elle put se laisser aller.

Shani avait déjà fait des strip-teases, notamment à l’époque où elle était à Paris. Elle se mit à faire des déhanchés avec son bassin, pour commencer. Rien de bien choquant, mais il fallait y aller crescendo, et il fallait qu’elle se dégourdisse, qu’elle commence à sentir le sang remuer en elle pour se laisser aller. Elle voyait le strip tease comme une sorte de danse érotique, et la danse était une lente machine, un moteur cahoteux qui, une fois lancée, ne s’arrêtait pas. Elle dansait sur une musique lente, aux sonorités sensuelles et basses, et ondulait des hanches, remuant devant la femme, dansant, essayant de ne pas trop l’observer, comme une artiste qui ferait un numéro. Lentement, ses mains glissaient sur ses collants quand elle fléchissait les genoux, et elle se laissait aller.

Elle avait du faire un strip tease dans un bel appartement parisien du 16ème arrondissement, une fois. Une petite soirée étudiante où elle avait perdu à un jeu stupide, et avait du faire uns trip devant l’assemblée. Sa danse avait terminé en orgie. Elle dansait lentement, remuant ses jambes, puis bougeant sa tête, déplaçant ses mèches de cheveux, prenant tout son temps, pliant les genoux en s’abaissant, ses mains glissant de ses jambes pour heurter ses seins. Elle connaissait ses instructions, et, plus elle dnansait, plus ses doigts se rapprochaient des boutons de sa chemise. Parfois, elle devait glisser un doigt près de ses cheveux pour remettre ses lunettes.

Petit à petit, elle tournait également sur elle-même, défaisant petit à petit ses boutons de chemise, commençant par ceux du haut, puis ceux du bas, tirant à chaque fois sur sa chemise blanche pour les retirer. Sa minijupe, quant à elle, était retenue essentiellement par des boutons qu’on pouvait déclipser sur les côtés, et, alors qu’elle se retournait, elle commençait à se pencher en avant, dans une position très gymnastique, puisque son dos finissait à la perpendiculaire de ses jambes, soulevant ainsi son minishort pour permettre à la femme de voir sa croupe, ses deux mains touchant le bout de ses chaussures.

Elle se relevait alors, se tournant sur le côté, souriant délicatement à sa Maîtresse, et continua à jouer avec les boutons de sa chemise. Peu à peu, tous les boutons sautèrent, et elle la replia alors, en continuant à remuer ses hanches. Elle la replia en plusieurs endroits, au niveau des manches, du ventre, et du torse, ce qui amena sa chemise à se retrouver dans son dos, le col autour du cou. Ses bras étaient immobilisés, mais ça ne l’empêchait pas de remuer. Elle en avait profité pour déclipser quelques boutons de sa minijupe, et, en remuant, les ouvertures s’élargissaient, permettant de voir un peu mieux sa culotte.

Shani se retourna ensuite, et se pencha en arrière, faisant lentement glisser sa chemise. Elle finit par se retrouver le dos orienté vers le sol, la tête en arrière, observant le corps de sa Maîtresse, avant de se retourner, soulevant bien haut ses jambes pour frotter son corps contre le sol, ses seins heurtant le parquet. Bénies soient ses leçons de gymnastique quand elle était une petite fille, elle en avait conservé la souplesse. Elle se mit à frotter le sol, d’avant en arrière, mimant de manière grossière un coït, ses yeux plantés sur celui de sa Maîtresse, avant de se relever rapidement. Elle s’était ainsi rapprochée de sa Maîtresse, et remua des hanches juste devant elle, ses mains empoignant ses seins, les malaxant, le bout de ses doigts jouant avec les boutons de soncorset.

Un strip tease était quelque chose qui ne lui faisait pas honte du tout, et elle se laissait pleinement aller. Après tout, c’était une danse érotique, une exaltation des plaisirs sensuels. Peu à peu, elle écarta le corset, en tirant sur les boutons, déchirant à moitié le corset, et, tout en le laissant tomber, elle continua à remuer, et glissa ses mains dans les ouvertures de sa minijupe, et retira sa culotte, sans pour ôter défaire la minijupe. Elle la fit lentement glisser, et, comme elle pouvait s’y attendre, elle était trempée. Shani fit lentement glisser le sous-vêtement, relevant ses jambes, puis serra le sous-vêtement dans sa main, sans le laisser tomber. Elle se rapprocha encore un peu, et leva bien haut son bras, celui qui tenait sa culotte noire, et ouvrit sa bouche, avant de le lécher, l’approchant de ses lèvres. Elle le mordilla, et entreprit petit à petit de l’avaler, de l’enfoncer dans sa bouche, et, pendant ce temps, avec son autre main, elle fit tomber sa minijupe. Elle se retrouva avec son caleçon roulé en boule, et bondit alors sur le sofa, ses jambes de part et d’autre du corps de la femme.

Debout sur son sofa, sa moule proprement taillée et rasée un peu au-dessus de la tête de Mistress Magician, elle entreprit de se doigter devant elle, avec deux doigts qui s’enfonçaient alternativement en elle, répandant un peu de mouille qui glissait le long des jambes de Shani, des gouttes allant tomber sur le nez de la femme, tandis que, avec son autre main, elle se frottait un sein.

Elle estimait que c’était un beau final.
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Légion

Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]

Réponse 5 samedi 26 octobre 2013, 19:51:31

Quand la belle professeur commençait à préparer le lieu pour sa petite danse, Mistress Magician, elle, tendait la main vers son manteau laissé sur un des rebords du sofa. A tâton, ne pouvant pas détacher son regards du corps de cette délicieuse miss Stevens, la bibliothécaire glissa ses doigts dans une des poches du vêtement, pour en tirer un joli téléphone cellulaire. Après tout, il fallait vivre avec son époque, être une sorcière n'empêchait pas d'avoir un portable. Oh, bien sûr il existait des rituels pour contacter les gens à distance, mais ça restait bien moins simple que d'appuyer sur un ou deux boutons, puis composer un numéro. Aussi, la musique commençait à peine que la plantureuse brune portait l'appareil à son oreille. Pouvant ainsi communiquer tout en profitant du spectacle, elle soufflait :

- Ouais... C'est Leather ? Ouais... J'suis dans un joli appartement, en compagnie d'une fille... Quoi ? Non, celle là est d'un autre calibre, crois moi. Vous devriez venir, les filles, on va s'amuser. Hmmmm ? Dis lui qu'elle a une odeur que seul elle et moi pouvons sentir. Ouais. Je vous envoie l'adresse, à toute.

Et puis elle raccrocha. Ouvrant dès lors le panneau des SMS, la sorcière eut toutes les difficultés du monde à en écrire un, même s'il s'agissait simplement de noter l'adresse et le numéro de l'appartement où habitait Shani. Son regard passait davantage de temps à observer la danse sensuelle de la femme à lunettes que sur le petit écran... dans ses conditions, inutile de dire que le temps d'écriture du SMS s'étirait de manière déraisonnable. Mais, une fois qu'elle eut fini, la bibliothécaire corrompue jeta son téléphone sur le manteau, sans prendre le temps de le ranger dans une poche. Le spectacle captait toute son attention. A mesure que Shani ondulait, Mistress Magician décroisait et recroisait les jambes. Cette vision l'enfiévrait, détrempant son entre-cuisses, lui chatouillant le sexe. La brune avait furieusement envie de glisser quelques doigts entre ses lèvres intimes, pour calmer cette délicieuse démangeaison. Mais elle ne pouvait se le permettre : C'était une Mistress du Gang xXx, une dominatrice. Pour espérer pouvoir être la maîtresse de quelqu'un, notre ravissante bibliothécaire devait avant tout être maitresse de son propre corps.

Outre l'aspect érotique de la danse, le corps de rêve de miss Stevens, le côté acrobatique qu'elle avait décidé d'y donner plaisait à Mistress Magician. Certains auraient pu trouver ça ridicule, y préférer davantage de sobriété... mais la brune perverse se projetait déjà dans le futur, un futur proche où les deux femmes danseraient une autre danse, moins chaste, plus animale. La souplesse dont faisait preuve la jolie professeur était une promesse supplémentaire des délices que serait ce moment. La bibliothécaire s'humectait régulièrement les lèvres, impatiente de pouvoir les faire glisser sur le corps féminin. La vision d'un fessier ici, une pression sur un sein là... Magician était impatiente.

Et puis l'effeuillage s'acheva. Shani vint coller son sexe juste au dessus de la tête brune de sa sauveuse, y insinuant ses doigts, afin de lui offrir un autre genre de spectacle. Cette fois, la bibliothécaire corrompue ne se contentait pas de s'humecter les lèvres, y passant régulièrement une langue avide. N'y tenant plus, elle décroisa ses jambes, posant ses mains sur l'intérieur des cuisses de cette petite nymphomane à lunettes. Se penchant en avant, le cou tordu, visage relevé, Mistress Magician vint déposer un baiser sur le sexe féminin. Sa langue se coupla aux doigts de Shani, s'insinuant entre eux, jouant avec eux, avant de partir à la recherche du petit bourgeon de chair. La brune adorait ce goût sur sa langue, sentir ce jus d'excitation échauffer ses papilles. Plus elle buvait ce liquide chaud, plus la sorcière avait soif. Plus la sorcière avait soif, plus elle léchait passionnément... Au final, Mistress Magician avant les mains refermées sur les hanches féminines, pour mieux attirer le bassin de sa docile partenaire à elle, ses lèvres pulpeuses collées aux lèvres intimes de Shani, comme si elle ne voulait perdre aucune goutte de ses sucs érotiques.

Mais toutes les bonnes choses ont une fin et ce cunnilingus, aussi délicieux fut il prit finalement fin. Reculant le visage, un sourire carnassier éclairant son visage, la bibliothécaire se léchait les babines. Détachant une de ses mains de la hanche de Shani, elle murmura quelques paroles ésotériques, que la professeur était bien incapable de comprendre. Ses mots semblaient vibrer dans l'air, remontant jusqu'à la poitrine de miss Stevens pour y prendre forme solide. Faisant appel à sa magie, la magicienne venait de conjurer deux petites pinces ouvertes, reliées par une longue chainette d'onyx, noire, scintillant à la lumière. Les dents des pincettes se refermèrent d'elles mêmes sur les mamelons de la femme à lunettes, tandis que Mistress Magician crochetait son doigt à la chaînette. Tirant un peu dessus, par à coups, la brune intimait l'ordre à la belle de descendre. Chaque traction étant un peu plus forte à chaque fois, Shani était forcée d'obéir sous peine de subir une souffrance graduelle. Et, au moment où elle finirait à genoux, les jambes écartées de part et d'autres des cuisses musclées de la dominatrice, la divine professeur aurait une petite surprise : Le gland épais d'un membre virile et, n'ayons pas peur de le dire, de gros calibre, n'attendait qu'un orifice à explorer... et, en l'absence d'instructions de la part de la bibliothécaire perverse, miss Stevens avait tout le loisir d'enfouir ce vit où bon lui semblait.


- Je sens que toi et moi allons beaucoup nous amuser, avant que mes copines n'arrivent. Tu vas encore devoir bouger tes si jolies petite fesses, pour récupérer la sève au fond de moi... Une main gantée toujours posée sur la hanche féminine, l'autre tenant la chaînette comme on le ferait des rennes de sa monture - bien qu'en réalité, c'était Mistress Magician qui était chevauchée - la brune ajouta :[/b] Allez, trésor, fais jouir ta maîtresse.
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Shani Stevens

Dieu

Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]

Réponse 6 dimanche 27 octobre 2013, 01:44:25

Toute la difficulté d’un strip tease était, pour l’observateur, de ne pas pouvoir agir, ni toucher. C’était une véritable torture, mais Mistress Magician n’y était évidemment pas soumise. En sauvant les fesses de Shani dans la station de métro, elle bénéficiait d’un droit sur elle, une sorte de pouvoir que Shani reconnaissait et admettait. Elle se soumettait d’autant plus volontiers à l’autorité de cette femme que sa perversion et sa beauté étaient redoutables. Elle se masturbait sous ses yeux, tendrement, sans rien simuler, agissant avec l’énergie de la passion et du désir, avec la force de l’érotisme. Elle savait que sa Maîtresse ne pourrait pas résister, et sa satisfaction fut donc d’autant plus grande quand elle sentit la bouche de la femme se rapprocher de son intimité, pour que sa langue se mêle à ses doigts. En sentant cet appendice caresser ses doigts, Shani ressentit un léger frisson, des picotements le long de ses doigts. Les joues légèrement rouges, elle soupira à nouveau, sentant la langue de la femme s’immiscer dans sa fente, cherchant son bouton de plaisir, titillant sa fleur intime. Ce contact fit gémir Shani, qui serra les dents, finissant progressivement par écarter ses doigts, afin de ne sentir rien d’autre que la langue et les mains gantées de la femme.

Silencieusement, la musique s’était tue, et Shani, lentement, posa ses mains sur les longs cheveux de la femme, les pressant. Elle se demandait vraiment qui était cette femme. Elle avait entendu quantité de rumeurs et de légendes à propos d’habitants surnaturels vivant à Seikusu, comme les super-héros, mais elle n’avait jamais pensé que ces légendes existaient réellement. Était-elle une magicienne vieille de plusieurs millénaires ? Ou une femme menant une double vie ? Bimbo perverse et tueuse la nuit, caissière la journée ? Cette idée excitait Shani... Tout comme le coup de téléphone que cette femme avait appelé. Est-ce qu’elle faisait partie d’un gang ? Shani aurait probablement du se sentir nerveuse à l’idée de voir toute une bande débarquer chez elle, mais, si les autres femmes étaient du même gabarit qu’elle, elle se sentait surtout plus excitée qu’autre chose.

Pendant un certain temps, Mistress Magician lécha ainsi le sexe de Shani. C’était un beau cunnilingus, qui témoignait de l’expérience de la femme dans ce domaine. Shani ne se faisait pas d’illusions : elle ne devait pas être la première femme que la femme sauvait ainsi. Si elle avait été un peu plus paranoïaque, elle se serait même demandée si les minables qui l’avaient agressé n’avaient pas été initialement envoyés par elle. C’était une théorie farfelue, car Shani était ce genre de femmes qui croyait aux coïncidences, qui pensait que le hasard, le hasard pur et simple, jouait un rôle fondamental dans l’existence. Oh oui, cette femme, vu l’assurance dont elle avait fait preuve, avait déjà du exiger de la part d’autres femmes ce genre de paiement. Fort heureusement, Shani n’était pas une jeune vierge effarouchée.

Mistress Magician la faisait mouiller, et Shani se laissait aller, soupirant de plaisir, frissonnant au contact des mains de la femme sur son corps. Elle n’avait pas retiré ses jarretelles, estimant qu’elle était plus sexy ainsi, et, vu que la femme ne lui avait pas reproché ceci, c’est qu’elle devait également aimer ça. Après tout, il suffisait de voir comment elle s’habillait pour constater qu’elle avait bon goût.

*Le goût de sa langue est divin...*

Divin, c’était bien le mot, mais tout plaisir avait une fin... Avant que Shani n’eusse vraiment l’occasion de jouir, la femme écarta sa langue, et, tout naturellement, Shani libéra ses cheveux. Elle baissa la tête, le visage légèrement crispé, car son sexe l’élançait, comme si son intimité était en feu. Le sourire malicieux sur les lèvres de sa Maîtresse n’était pas de très bon augure, et Shani sentit alors quelque chose s’activer à hauteur de ses seins. Quelques instants après, elle eut l’impression que deux petites mâchoires venaient mordre ses tétons, et elle poussa un couinement, mélange de surprise et de douleur.

« Haa ! »

Une sorte de pinces à poitrine venait de se former comme par magie ! Et c’était bel et bien de la magie. Shani observait la chaîne noire. Les pinces évoquaient vaguement des morsures, et la douleur allait en s’intensifiant graduellement. La secrétaire soupirait et se dandinait sur place, et, alors qu’elle couinait et gémissait, l’un des doigts gantés de la femme s’agrippa à la chaînette, imposant une traction. Shani se laissa tomber petit à petit, son visage rougi, contorsionné par la douleur, glissant le long des seins, de son corset... Pour finir plus ou moins accroupie devant elle.

Les yeux de Shani s’écarquillèrent de stupeur en voyant que quelque chose venait de pousser entre les cuisses de sa Maîtresse. Une verge énorme venait d’apparaître. Tout chez cette femme était disproportionné, il en allait donc de même pour...

*Sa verge ?!*

Shani avait vu des trucs bizarres à Seikusu, même une élève hermaphrodite disposant d’une verge, mais c’était bien la première fois qu’elle voyait un sexe pousser depuis un vagin, et ce de la manière la plus naturelle possible ! Elle était incrédule, alors qu’elle sentait la douleur sur ses seins s’atténuer, se stabiliser. Elle observait cette queue massive et tendue devant elle. Les veines saillaient le long de la verge, des lignes bleuâtres qui semblaient pulser sous la surprise de la jeune secrétaire. Devait-elle lui faire une fellation ? À cette idée, elle avait soif, mais, comme pour l’orienter, les ordres de sa Maîtresse fusèrent alors à ses oreilles.

« Allez, trésor, fais jouir ta maîtresse. »

Shani déglutit, comprenant l’ordre. Elle aurait pu faire une fellation, et même une belle gorge profonde, mais elle était gourmande. Le cunni’ de Maîtresse l’avait échauffé, et elle voulait aussi en profiter pour palper un peu son corps. Elle posa donc une main sur la verge de la femme, la pressant, en éprouvant la fermeté. Ses doigts avaient du mal à s’enrouler tout autour, et elle eut un léger frisson, de peur ou d’excitation, en se demandant s’il était vraiment raisonnable de vouloir s’enfoncer un tel pieu dans le corps. Sa gourmandise prit rapidement le dessus, et elle se hissa un peu, avant d’abaisser lentement son bassin, ses genoux s’enfonçant dans le sofa, de part et d’autre du corps de la femme. Elle planta son regard sur celui de sa Maîtresse, avant de lentement s’empaler en elle, utilisant sa main pour que la verge de la femme ne bouge pas.

« Huuuuuuu... !! »

Shani serrait les dents en sentant le sexe écarter ses parois vaginales, et respira longuement, des plaques rouges de sueur éclairant son corps. C’était un membre vraiment très imposant, et elle se força à descendre, gémissant et soupirant, jusqu’à ce qu’il soit enfoncé jusqu’à la garde. En sueur, Shani haletait, et entreprit de se relever. Elle mouillait bien, fort heureusement, ce qui allait rapidement rendre cette pénétration plus lisse, plus élastique.

« Aaaaah, Maî... Maîtresse... Elle... Si grosse, haaaa... »
DC d’Alice Korvander.

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Légion

Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]

Réponse 7 dimanche 27 octobre 2013, 19:10:14

La bibliothécaire corrompue retint un gémissement de plaisir en sentant l'intimité ruisselante envelopper son vit nouvellement crée. Dieu que cette professeur était serrée... Bien sûr, l'épaisseur du membre viril devait être pour quelque chose dans l'étroitesse du sexe féminin qu'il perforait. Mistress Magician trouvait cet étau chaud et soyeux parfaitement délicieux. Elle aurait bien besogné cette femme ravissante tout de suite, mais la brune était d'un naturel joueur. De plus, les efforts et la docilité dont faisait preuve Shani poussait sa maîtresse du moment à se montrer plus douce, plus aimante, qu'avec une femelle récalcitrante. Aussi, prenant son mal en patience, la sorcière laissa sa cavalière s'habituer à la taille du sexe qui la remplissait. Ce temps de latence fut d'ailleurs mis à profit par Mistress Magicia, à qui il vint une idée subite. Le sourire carnassier accroché à ses lèvres se mua en un sourire mutin, trahissant le fait que quelque chose se passait dans sa jolie tête. Shani n'eut d'ailleurs pas beaucoup à attendre avant que le plan de la dominatrice ne lui fut révélé.

Sa main gauche toujours accrochée à la chaînette d'onyx, la sorcière abandonna le flanc féminin de la droite, pour agiter ses doigts à la vue de la demoiselle à lunettes. Subissant de nouveau les intonations surnaturelles d'une formule magique, l'air sembla se troubler, s'étirer et s'assombrir dans la paume gantée. Peu à peu, des formes rondes, reliées par un trait noir, se tracèrent dans la main féminine. Au bout de quelques secondes, l'objet conjuré avait pleinement prit forme entre les doigts experts de Mistress Magician : Il s'agissait d'un chapelet fait d'une dizaine de boules noires, semblant faites de la même matière que la chaînette, reliées les une avec les autres par une ficelle sombre. Chacune de ces petites sphères d'onyx n'était, en définitive, pas si petite : Leur diamètre avoisinait les six centimètres. Portant l'instrument à ses lèvres, la bibliothécaire perverse suça la première de manière provocante, avant de faire disparaitre l'instrument dans le dos de la professeur. Cette dernière put rapidement sentir le contact froid de cette boule humidifiée dans la cambrure de ses reins, avant que celle ci ne descende le long du sillon de ses fesses, pour s'arrêter devant sa petite porte. Restant là l'espace d'une seconde, une pression progressive la fit écarter l'anneau culier, avant que l'orifice ne "gobe" la petite sphère. A peine fut elle bien au chaud que la grosse bille se mut à vibrer délicieusement, mue par une étrange magie. Mistress Magician prit son temps avant de ce saisir de la suivante, pour la presser à son tour contre l'étoile serrée. Une fois encore, le muscle anal se détendait lentement sur la surface lisse avant de laisser passer l'intrus et, une fois encore, l'onyx se mit à vibrer à l'intérieur du fondement féminin. Chacune des boules du chapelet subit le même sort, enfoncées une à une dans ce petit trou, commençant à trembler une fois au chaud, jusqu'à ce que celle la poignée qui permettrait plus tard de retirer le tout ne dépasse.


- Bien... Je vais bien m'amuser avec toi, le temps que mes petites copines arrivent. Je vais tacher de ne pas trop te fatiguer d'ici là... Fufufu...

Sans lâcher la longue chaînette qui reliait les mamelons de Shani, Mistress Magician replaça sa main droite sur la hanche de cette dernière, lui intimant un rythme. Dans un même temps, son bassin commençait un doux mouvement de va et viens. Sa verge, tendue à tout rompre, sortait lentement du sexe ruisselant de la professeur, avant qu'une puissante pression sur de sa main gantée ne la fasse retomber de tout son poids sur l'épieu. Pour l'instant, la sorcière pouvait se contrôler. malgré le plaisir intense que lui prodiguait cette chatte serrée, la bibliothécaire corrompue ne laissait échapper aucun gémissement. C'était tout juste si les pénétrations lui arrachaient quelques soupires de plaisir. La dominatrice contemplait le corps de sa partenaire, jouissant aussi bien de la vision de ce ventre plat et de cette somptueuse poitrine, de ce visage aux traits harmonieux et aux expressions qui les déformaient, qu'au coït lui même.

Mais Mistress Magician était une jouisseuse assez égoïste. Si le plaisir de Shani lui importait, c'était surtout parce qu'il flattait l'égo de la sorcière. Elle aimait faire jouir ses proies, car elle aimait l'idée d'avoir un contrôle si total sur elles que même les réactions de leurs corps lui appartenaient. Mais, bien sûr, son propre plaisir passait en premier et, bien vite, la bibliothécaire lubrique ne se contenta plus juste des déhanchés de la professeur, même si ceux ci n'étaient que l'obéissance à un ordre non prononcé. Son bassin se mit à onduler plus franchement, faisant remonter ses hanches à la rencontre de celles de Shani lorsque cette dernière retombait, remplissant le petit salon des bruits de chairs qui s'entrechoquaient. Au bout d'un moment, le déhanché de Magician suffisait à assurer seul la pénétration : Quand les pubis des deux femmes se retrouvaient collés l'un à l'autre, après que le vit massif ai buté contre la matrice féminine, la sorcière donnait un coup de reins assez puissant pour propulser la dame à lunettes, assez haut pour que seul la pointe du vit magique reste prisonnier des parois vaginales. En d'autre termes, Shani n'avait plus besoin de rien faire : Sa croupe rebondissait, le vit raclant ses parois intimes à chaque rebond. Même le maintien de l'équilibre n'était pas requis, car si la professeur tombait en avant, la poitrine moelleuse de la bibliothécaire pouvait aisément supporter son corps et, si elle basculait en arrière, la chaînette reliée aux bouts de ses seins l'empêchait de chuter. Bien sûr, cette dernière éventualité impliquait une bonne dose de douleur...


- Hmmmm... hmmmm... aaaah... Ton... oooouh... ton con est... délicieux... tésor !

Emportée par son plaisir, Mistress Magician laissait enfin sa voix tinter dans l'air, trahissant le plaisir qu'elle ressentait, ce plaisir qui montait pas saccades dans son bas ventre, injecté dans son corps par le biais de cette verge qui coulissait entre les cuisses de Shani, par le frottement de ses muscles intimes couplé aux vibrations du chapelet, perceptible au travers de la fine paroi séparant ses deux puits à plaisir.

Puis, alors même que la chevauchée battait son plein, la sorcière glissa son bras au creux des reins de la belle, gardant sa verge plantée au plus profond. Se redressant, elle fit basculer Shani vers l'arrière, utilisant sa prise dans son dos pour empêcher que sa poitrine ne soit inutilement martyrisée. Se déplaçant de quelques pas, Mistress Magician allongea la divine professeur sur la table basse, avant que le coït ne reprenne de plus belle. Dans cette position, la brune avait davantage de contrôle sur le rythme, la cadence des pénétrations, ce qui lui autorisait davantage de rapidité dans ses déhanchés... et ce fut très ce qui en découla : La bibliothécaire corrompue lançait son mandrin plus fort, plus vite, faisant grincer le pauvre meuble sous la pression de leurs corps, sous l'impact de chaque coup de reins.

Se courbant, devenant un peu plus animale, la brune plantureuse coinça la chaînette d'onyx entre ses dents afin d'avoir les mains libres. Se saisissant alors des hanches féminines, les soulevant pour pouvoir leur imposer un rythme encore plus soutenu, Mistress Magician s'en donnait à coeur joie. Des gouttelettes de sueur se formaient sur sa peau claire, ruisselant sur ses seins, sur son front et ses temps, s'accumulent sur ses mamelons et son nez, pour perler sur le ventre et la poitrine de Shani.

Il n'y avait pas besoin d'être particulièrement observateur pour comprendre que la sorcière arrivait au bout de sa chevauchée et que, bientôt, elle se répandrait dans le ventre de sa partenaire.
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Shani Stevens

Dieu

Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]

Réponse 8 lundi 28 octobre 2013, 01:51:12

Ce sexe était atroce. Il était particulièrement gros, et Shani se sentait sur le point d’imploser en le sentant en elle. Rien à voir avec ses amants parisiens, celui-là était à la hauteur des proportions gargantuesques de la femme. Soupirant lentement, Shani était en sueur, haletait et gémissait, en remuant lentement, s’empalant sur cette queue en essayant d’activer le rythme. Elle avait souvent été pénétrée comme ça pour savoir que les trous féminins étaient relativement élastiques. Il suffisait de donner le bon rythme, et son sexe finirait par s’adapter à la présence de ce membre énorme. Elle se sentait comme écartelée, haletant et couinant en essayant de se faire à la présence encombrante de cette queue. Le plaisir était là, oui, mais il se noyait dans un océan de souffrance. Elle avait terriblement mal entre les cuisses, comme si ces dernières étaient en feu, et elle savait que ce n’était qu’un avant-goût. De manière explicite, sa Maîtresse lui avait dit que ses « petites copines » allaient arriver... Or, Shani doutait qu’elles soient de proportion normales. Ce qu’elle vivait s’apparentait à une espèce de rêve, de fantasme éveillé, ce genre de fantasmes qu’on caressait au lycée sans oser se l’avouer, de peur de passer pour la nymphomane de service... Être prise dans une tournante de cuir, de latex, et de sexes brutaux, être l’attention d’une dizaine d’hommes qui vous feraient jouir comme la pire des putes. Les hommes étaient ici remplacés par des femmes membrées, leurs muscles saillants par des poitrines évoquant vaguement de confortables coussins. Shani y prenait d’ailleurs appui, chacune de ses mains en appui sur les tétons de la femme.

La douleur était intrinsèquement lié au plaisir sexuel. Shani était en train de l’approfondir. Ses tétons la démangeaient, car les dents la mordaient, et cette douleur, pourtant, n’était rien par rapport à celle que la brave secrétaire ressentait entre les cuisses. Elle se laissait lentement aller, afin de s’accommoder à ce membre, à cette queue turgescente, mais sa Maîtresse avait visiblement envie de continuer à torturer Shani. Elle la vit faire apparaître une sorte de chapelet en remuant les doigts devant elle.

« Haaa... ? »

C’était bien une question, mais Shani n’arrivait pas à formuler ses mots. Ses lunettes glissaient, et elle bascula rapidement la tête en arrière, afin de les remettre à leur place, et continua lentement à s’empaler sur le corps divin de cette femme. Elle vit la femme sucer l’une des grosses boules de ce collier, en se demandant ce qu’elle avait derrière la tête. Elle eut sa réponse quand elle glissa le chapelet dans le creux de son rein. Instinctivement, Shani s’était rapprochée de la femme, frissonnant. Le chapelet se mit à rouler le long de son dos comme un serpent, atteignant son bassin. Ses fesses s’écartèrent alors, et Shani se crispa, serrant les dents, avant de sentir quelque chose forcer le passage dans son anus. Les grosses boules se mirent à rentrer, et elle se mit à couiner, fermant les yeux, des gouttes de sueur roulant le long de ses joues, ainsi que quelques larmes. Les doigts experts de Mistress Magician, qui ne tremblaient pas, restaient dans le dos de Shani, tenant le chapelet, et elle sentit la boule remuer en elle, vibrant, comme si elle se tortillait, remuait et enflait dans l’étroit corridor de ses fesses. Shani eut un nouveau soupir, s’écrasant contre le corps de la femme, son sexe glissant le long du pieu de sa Maîtresse.

« Haaaaaaaaaaa... »

Elle réalisa que de la salive coulait, et entreprit de la ravaler, quelques gouttes glissant le long des seins de la femme. Instinctivement, elle entreprit de la lécher, la nettoyant, avant de sentir les doigts de la femme, très lentement, enfoncer les autres boules en elle, la faisant hoqueter à chaque fois. Une par une, la femme les enfonça dans le corps de Shani, ne laissant plus qu’une petite queue. Shani était en sueur, sentant les boules remuer en elle... Cependant, elle savait qu’elle devait faire jouir la femme. Elle soupira, devant se forcer, et commença donc vraiment à s’empaler sur elle, à danser. En soi, ce n’était pas une danse compliquée : haut, bas, haut, bas. Une litanie assez classique. Elle faisait généralement son numéro sans la moindre difficulté, mais, ici, elle affrontait une sacrée spectatrice. Outre sa queue démesurée, l’absence de réactions notables sur le corps de la femme la surprenait également. Oh, Shani pouvait sentir l’excitation de la femme, mais il n’y avait pas de grands soupirs, ni de couinements. Il n’y avait qu’elle qui gémissait et se tortillait sous l’effet du membre avide de sa partenaire.

Shani mouillait follement... Et elle prenait son pied, dans tous les sens du terme. Son cul était en feu, ses seins lui donnaient l’impression d’être des tisons, et son sexe lui faisait un mal de tous les diables. Pourtant, elle ne pouvait s’empêcher d’être excitée, et de se dandiner toujours un peu plus sur le corps de la femme. C’était une expérience tellement intense, tellement énorme qu’elle était savoureuse. Cependant, Shani était restreinte par des limites physiques, et ne pouvait pas danser aussi bien qu’elle l’aurait voulu. C’est probablement ce qui amena Mistress Magician à devoir agir par elle-même, posant ses mains gantées sur les hanches de Shani, la soulevant, presque à la limite de sa verge, avant de la laisser s’écraser dessus.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNN !!! HAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNNNN !!!! HOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO !!!! »

Comme on pouvait s’y attendre, se faire ainsi défoncer la chatte mettait Shani dans un état second, et elle se mit à hurler, à hurler de douleur et de plaisir, ses cheveux remuant dans tous les sens. Son corps partait parfois en arrière, et, alors, une douleur particulièrement vive lui donnait l’impression qu’on lui dépeçait les seins. Elle eut un orgasme avant de se rapprocher sur la table basse, à sentir la femme lui labourer la chatte. Shani haletait et gémissait, se tortillant sur sa table, qui craquait. Elle se mit même à craindre que cette dernière ne se brise. La table, fort heureusement, sembla supporter son poids.

Shani eut un second orgasme. Mistress Magician la défonçait, et elle adorait ça, sa mouille venant éclairer sa table, glissant le long du rebord pour tomber sur le sol.
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Légion

Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]

Réponse 9 lundi 28 octobre 2013, 21:31:31

Le moins qu'on puisse dire, c'est que le petit salon de Shani était devenu plutôt bruyant. Entre les cris de plaisir et de douleur de la professeur, les gémissements fiévreux de celle qui lui ramone l'entre-cuisses et les craquements sinistres de la table basse, l'endroit n'était pas particulièrement tranquille. La bibliothécaire ne se laissait pas de sentir son vit aller et venir dans ce fourreau de velours, chaud et soyeux. Elle se délectait des éclats de voix de son hôte à chaque coup de reins et, la première fois que le délicieux étau vaginal convulsait autour du chibre magique, Mistress Magician manqua de l'accompagner dans son orgasme. Mais la folle cavalcade n'était pas finit et, chaînette entre les dents, fermement cramponnée aux hanches féminines, la sorcière continuait son office pénétrant, élargissant sans pitié l'orifice orgasmique. Ce traitement eut bientôt raison de Shani qui, à nouveau, subissait l'explosion du plaisir, l'ultime jouissance qui, bien que souvent terminal pour les hommes, n'empêchait pas une femme de continuer ses ébats. Cependant, les contractions des muscles intimes autour d'un vit rendu déjà hypersensible par le plaisir finit par pousser la brune au delà du point de non retour. Soudant ses hanches sour le bas ventre féminin, s'affalant sur le corps de son hôte, Mistress Magician laissait échapper la chaînette d'onyx de sa mâchoire.

- Aaaaaaaaaaah ! hnnnnnnnnn...

L'épaisse queue gonfla un peu, l'espace d'une seconde, tandis que la sève montait à l'intérieur. Shani put bientôt sentir l'onctueux fruit de l'orgasme de sa partenaire remplir son puits à plaisir, retapissant un peu plus ses parois vaginales à chaque giclée. Bientôt, le liquide visqueux débordait de la chatte investie, coulant le long de la raie fessière de la professeur, pour venir gouter sur le parquet, formant une petite flaque blanchâtre. Même si l'intimité de la femme à lunette ne pouvait accueillir la colonne de chair en même temps que la semence qui en sortait, Mistress Magician refusait obstinément de se retirer tant qu'elle n'avait pas finit de se vider...

- Hmmmm... Si bonne... J'espère que les autres vont mettre du temps à arriver, que je profite encore un peu de toi pour moi toute seule.

Tout en prononçant ces paroles, la sorcière restait allongée sur le corps de Shani, savourant le contact de sa poitrine sur ses propres seins, caressant lal chevelure châtain d'une de ses mains gantés. Le déversement de son vit s'était arrêté, déjà, mais la bibliothécaire lubrique profitait encore quelques instants de la chaleur accueillante de cette petite chatte, savourant les vibrations issues du chapelet qui, lui, n'avait toujours pas arrêté son office. Puis, après avoir déposé un rapide baiser sur les lèvres pulpeuses de sa partenaire, Mistress Magician se redressa, quittant le fourreau humide de Shani. Malgré l'intense chevauchée, malgré l'importante quantité de sperme déversée et malgré sa peau luisante de sueur, la sorcière ne semblait pas fatiguée : Sa respiration était normale, son vit toujours tendu, prêt à l'emploi. Au certes, il était poisseux de cyprine des jus mêlés des deux femmes, mais cela ne sembla pas gêner la brune le moins du monde.

- Repose toi, trésor, tu vas avoir besoin de force pour ce qui t'attends Ses lèvres s'étirèrent à nouveau pour former un sourire carnassier. Et je ne parle pas de l'arrivée de mes copines. Pendant ce temps, je vais m'amuser un peu avec tes jolis seins.

Posant un genou sur la table basse, la bibliothécaire corrompue avançait au dessus du corps féminin, jusqu'à se retrouver à califourchon sur sa partenaire. Son vit bien lubrifié fut glissé sous la chaînette sombre, posé au centre du délicieux canyon mammaire de Shani. Sans se départir de son sourire, Mistress Magician leva sa main à hauteur de sa tête, pour claquer des doigts. Tandis que la note sèche raisonnait dans la pièce, les petits maillons d'onyx commencèrent à grincer, avant de disparaitre un à un, en partant du centre. Mais, plutôt que de libérer la poitrine féminine en s'effaçant, la chaînette se raccourcissait, rapprochant toujours un peu plus les deux globes charnus de l'épieu vulgaire qui reposait entre eux. Bientôt, le vit magique était comprimé dans un étau tout aussi chaud et soyeux que précédemment, mais bien moins humide. Heureusement, les sécrétions qui le couvraient permettrait à ce membre de glisser convenablement. Il y eut un moment de flottement, quelques secondes de silence et d'immobilité, avant que la table basse de recommence à grincer sous les déhanchés de la sorcière.

Cette dernière faisait aller et venir son sexe entre les seins de la professeur avec une vigueur renouvelée. Renouvelée ? En réalité, elle ne lui avait pas fait défaut. Ayant les mains libres, la chaînette se chargeant seule de maintenir sa verge comprimée par cette succulente paire de seins, Mistress Magician jouait avec sa propre poitrine. Du bout des doigts elle avait saisit le bijoux relié à son téton droit, tirant dessus, le faisant tourner pour torsader son mamelon, tandis que son autre main malaxait énergiquement la mamelle gauche. De nouveau, la voix de Mistress Magician remplissait la pièce, couvrant les protestation du pauvre meuble qui devait souffrir de subir tant d'efforts. Ainsi, Shani pouvait voir cette brune muscler la chevaucher sans retenue en se triturant la poitrine, toute à son plaisir. Plus bas, le gland épais la narguait, se rapprochant et s'éloignant de son visage, menaçant de buter contre son menton si elle ne faisait pas attention.

Au bout de quelques minutes, la bibliothécaire perverse posa sa paume contre le crâne de sa monture, resserrant ses doigts dans sa crinière pour lui ramener le visage vers ce gland taquin. Un ordre simple, entrecoupé de gémissement, claqua dans l'air :
Hmmm... Aaah... Ouvre la bouche.... ouuuh... Mistress Magician n'attendait même pas que Shani ai obéit, la pointe de son vit venait buter contre cette bouche pulpeuse, prête à s'engouffrer à la moindre ouverture. Et c'est ce qu'elle fit, dès que les lèvres de tentatrice de la professeur furent écartées, la sorcière augmenta la pression sur la tête de sa servante du moment, afin d'être sûr que Shani commence à sucer. Rabattant sa propre tête en arrière, la brune corrompue exhala un profond soupir de plaisir, sans cesser de se déhancher. La fille à lunette pouvait sentir, juste en dessous de sa poitrine, la cyprine de sa cavalière s'étaler sur sa peau tendre, les lèvres intimes de Magician glissant dessus comme sur une patinoire. Mistress Magician avait une curieuse conception du repos.

D'un autre côté, même s'il était massif, il ne s'agissait que du gland de la sorcière. Shani pouvait le sucer, l'aspirer et le lécher, il n'allait jamais trop loin, permettant ainsi à la divine prof de respirer comme bon lui semblait. Alors certes, le chapelait vibrait toujours entre les fesses de la professeur, mais ces vibrations n'étaient pas assez intense pour se révéler réellement fatigantes. Mistress Magician se masturbait presque littéralement entre les seins et dans la bouche de sa partenaire et, contrairement à précédemment, où elle savourait un coït et le faisait durer pour son plus grand plaisir, l'objectif ici était de jouir le plus vite possible. Malgré tout, l'endurance inhumaine de la bibliothécaire fit durer cette cravate de notaire de longues minutes. Mais la sorcière arriva finalement jusqu'à l'orgasme, maintenant le crâne féminin immobile à l'aide de ses deux mains, le pubis écrasé contre le dessous des seins de Shani. Les jets onctueux furent à nouveau expulsés, remplissant la bouche féminine.


- Hmmmmmmmmmaaaaaaaaaaaaah... Avale tout ! Je ne veux pas voir une goutte dépasser de la commissure de tes lèvres !

Plus facile à dire qu'à faire. Malgré la bonne quantité libérée précédemment, Mistress Magician semblait disposer d'autant de sperme. Oh, la quantité n'était pas suffisante pour remplir l'estomac de Shani, fort heureusement, mais ça n'avait quand même rien à voir avec un orgasme de mâle humain normal. Une fois encore, la bibliothécaire lubrique ne relâcha pas sa vis à vis tant que son vit n'avait pas cessé de décharger son foutre. Puis, comme précédemment, la brune se retira, avant de poser un pieds à terre, pour se mettre debout. Et une fois encore, Mistress Magician semblait en pleine forme, prête à remettre le couvert avec la même fougue, la même force.

- Boooon. Les filles ne devraient pas tarder. Va sur le balcon et penche toi sur la rambarde, comme ça, on pourra les voir venir, tout en s'amusant... fufufu...

Si toutes les "copines" de cette brune insatiable étaient comme elles, Shani avait du soucis à se faire...
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Shani Stevens

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Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]

Réponse 10 mardi 29 octobre 2013, 01:49:07

Se faire pilonner par cette femme était une expérience incroyable. Shani était littéralement transportée ailleurs, dans un autre monde. Une humaine normale aurait probablement atteint un coma, sous la pression d’un tel membre. Shani avait toujours su qu’elle avait, dans ce domaine, une résistance exceptionnelle, et ceci se justifiait en ce moment. En réalité, elle avait une résistance divine, puisque son père était Éros, ce qu’elle ignorait. La secrétaire était défoncée par la magicienne, et elle entrouvrait les yeux, les joues rouges, en sentant cette dernière s’écraser sous elle. La femme comprimait ses seins, les chaînes dorées de ses tétons heurtant ses seins. Soupirant, Shani leva ses mains, et les enroula autour du cou de la femme, afin d’accompagner ses mouvements. Sa table basse gémissait encore, sous le poids épais de Mistress Magician. Indéniablement, cette dernière, avec une telle poitrine, ne devait pas peser 50 kilos. Elle s’écrasait sous Shani, l’étouffant sous un cocon de plaisir, et finit par s’abandonner en elle.

La secrétaire la sentit jouir, et hoqueta silencieusement, glapissant en sentant son bas-ventre se remplir. Comme elle pouvait s’y attendre, Mistress Magician jouissait à la hauteur des proportions de son corps : son énorme chibre se contractait en expulsant des jets de sperme en elle. La masse de sperme vint bien évidemment à déborder, glissant entre les cuisses de Shani, qui relâcha le cou de sa Maîtresse en s’écrasant contre la table basse, ses cheveux étalés de part et d’autre de sa tête. La femme continuait à éjaculer, et Shani eut bien l’impression qu’elle mit plusieurs minutes à se vider. Le bas des jambes de Shani flottait dans une espèce de petite flaque qui s’égouttait sur son parquet. La secrétaire soupira en sentant ce gros membre se retirer de son corps, ayant presque l’impression qu’on lui arrachait un organe, tant ce membre était encombrant. Quand il se retira, un jet de sperme, que son organisme n’avait pas pu ingérer, jaillit. Soupirant, la secrétaire se redressa lentement, appuyée sur ses avant-bras. Ses jarretelles étaient partiellement bonnes pour une bonne séance dans la machine à laver, mais son regard était surtout fixé sur le sexe de la femme.

Comme elle s’y attendait presque, il n’avait pas décru, continuant à se dresser, tacheté ici et là de traces de sperme et de cyprine. Toujours tendu, il observait le plafond avec avidité. Shani reprenait son souffle, sachant que ce moment de pause ne durerait pas... Si on pouvait toutefois parler de pause, car les pinces continuaient à torturer ses seins, et elle avait toujours les boules qui remuaient dans son fondement. Cependant, après avoir subi un tel coït, ces instruments étaient très supportables. La secrétaire soupirait lentement, avant que la femme ne retourne vers elle.

La table basse dut à nouveau supporter le poids de la femme, alors que Shani sentit un long frisson la traverser quand la femme s’assit sur elle, son sexe heurtant son estomac, tandis que Shani retournait docilement s’allonger. Elle avait du mal à parler, se contentant d’hoqueter et de soupirer. La magicienne avait dit qu’elle comptait jouer avec ses seins. La secrétaire savait ce qu’elle avait en tête, en sentant son sexe glisser contre son ventre, remontant près de ses seins. Seulement, il y avait la chaîne qui gênait, et la magicienne, semblant le réaliser, posa ses doigts gantés cette dernière, la transformant légèrement. Shani se demanda si elle ne comptait pas la supprimer, mais, au lieu de ça, elle sentit la chaîne se relever et se raccourcir légèrement, permettant d’accomplir deux choses : permettre à son chibre disproportionné de se glisser entre ses seins, et à ses derniers de se rapprocher, arrachant au apssage des gémissements de douleur entre les lèvres de la brave secrétaire.

« Haa... »

Elle n’avait pas grand-chose à faire, car la femme se mit à remuer elle-même son corps, glissant sur le corps de Shani, un corps qui, sous le mélange de fluides sexuels et de sueur, était devenu très élastique, très glissant. Le corps de la Maîtresse remuait donc sans difficulté, et Shani se tortillait sous le corps de cette dernière. Elle était sa prisonnière, indéniablement. Une sorte de prisonnière sexuelle qui se félicitait de la bonne isolation de son appartement. Autrement, elle risquait fort d’être l’objet d’une pétition pour expulsion, ou de voir les flics débarquer pour tapage nocturne. Ses mains moites vinrent s’agripper aux hanches de la femme, remontant pour se glisser près des fesses de Mistress Magician. Insatiable aussi. Elle se pressait contre les fesses de la femme en gémissant, observant son plafond. L’une des mains de la femme ne tarda pas à agripper ses cheveux, soulevant son visage, la maintenant.

« Hmmm... Aaah... Ouvre la bouche.... ouuuh... » ordonna-t-elle, entre deux soupirs.

Le temps que Shani reçoive cette information, le gland du membre heurtait ses lèvres entrouvertes, déposant un filet de sperme dessus. Elle ouvrit alors sa bouche un peu plus grand, et soupira quand le bout du sexe entra en elle. Sa queue était si longe qu’elle formait comme un bâton de chair découpant son corps en deux à hauteur de ses seins. Gémissant et soupirant, Shani entreprit donc de sucer l’extrémité du gland, son regard oscillant entre le corps de la Maîtresse, la manière dont elle titillait ses seins en jouant avec les espèces d’anneaux dorés, les soupirs qu’elle faisait, et sa queue enfoncée en elle. Shani sentait la queue glisser sur son ventre, et décala progressivement l’une de ses mains pour caresser le haut de cette queue, glissant ses doigts dessus, recueillant une texture qui était un mélange de plusieurs liquides corporels.

Les minutes s’écoulèrent ainsi. Shani suçait tendrement, remuant sa langue contre le gland, sentant la main de la Maîtresse posée fermement sur ses cheveux. Cette dernière finit par jouir, et Shani eut l’impression que quelque chose explosait dans sa bouche, tant son orgasme était puissant. Shani sentait le sperme filer dans sa gorge, et essaya de ne pas perdre le rythme. Elle savait que cette femme allait longuement éjaculer, et le risque était qu’elle s’étouffe, que sa gorge soit irritée, et qu’elle se mette à éternuer. Il ne fallait pas aller trop vite, et se faire à l’idée qu’elle allait devoir conserver du sperme dans sa bouche, et respirer par le nez. Elle avait de l’expérience, mais ça n’empêchait pas qu’elle recevait en elle une quantité assez impressionnante de sperme. Shani avalait goulument, jusqu’à ce que Mistress Magician ait visiblement largué toute la sauce.

Les joues de Shani étaient alors gonflées et tendues, et elle ferma la bouche, ressemblant à une espèce de gros hamster joufflu :

« Hmmmmmmmmmaaaaaaaaaaaaah... Avale tout ! Je ne veux pas voir une goutte dépasser de la commissure de tes lèvres ! »

Shani hocha lentement la tête, remuant surtout du nez pour marquer son approbation, et avala donc, lentement, déglutissant faiblement. On pouvait voir son cou remuer à chaque fois qu’elle en avalait une gorgée. Elle retenait le sperme dans sa bouche pour mieux le diluer, les joues toutes rouges, et déglutissait longuement, jusqu’à tout avaler. Comme pour marquer son approbation, en souriant légèrement, elle frotta son estomac.

Mistress Magician lui demanda alors d’aller sur le rebord de la terrasse, en attendant que ses copines arrivent. Shani hocha la tête, et se laissa glisser le long de la table basse, en se disant que se relever risquait d’être difficile. Elle tomba sur les genoux, et sa tête arriva à côté du sexe de la femme. Il était toujours aussi tendu, ce qui, vu les litres de sperme que la femme avait balancé, tenait du prodige. Des traces de sperme éclairaient le dos de Shani, et il y avait plusieurs flaques sur le sol. Shani se rapprocha, et lécha un peu le sexe, tendrement, avant de déposer un baiser dessus.

« J’y... J’y vais, Maîtresse... »

Elle entreprit de se redresser, sentant ses fesses et ses seins la faire souffrir. Shani s’avança lentement, constatant que le sort qui lui torturait les seins quand elle s’éloignait de la femme semblait rompu. Oh, les chaînes continuaient à la mordre, mais pas de manière insoutenable. Elle respirait lourdement, et tituba un peu, devant s’appuyer contre le dossier d’une chaise. Elle respira lourdement, puis recommença à marcher, plus normalement. Sa main se posa sur la porte de la baie vitrée, et elle l’écarta. Un vent frais l’accueillit. Elle avait une petite terrasse avec un transat, et la terrasse donnait sur la rue. Plusieurs voitures circulèrent en bas, ses cheveux remuaient dans le vent, et elle se pencha donc, observant plusieurs piétons qui passaient par là. Elle était aussi gênée qu’excitée, à l’idée que des passants puissent la voir, la photographier... Il y avait des lumières en face, et, en s’attardant, elle put discerner des silhouettes affalées dans leurs sofas, probablement à observer la télévision.

Shani se hissa un peu, et glissa une main dans ses cheveux, se tournant face à sa Maîtresse, pour l’attirer :

« Il fait bon dehors ! Aérer l’appartement ne peut pas faire de mal, surtout si vos... ‘‘Copines’’... Sont aussi énergiques que vous. »

Mine de rien, elle avait quand même envie de se renseigner.

Après tout, c’était son appartement.
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Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]

Réponse 11 mardi 29 octobre 2013, 22:15:20

Mistress Magician prenait plaisir à observer la prise de ce soir, appréciant cette nudité qui n'était tempérée que par ces portes jarretelles. Portes jarretelles qui ajoutaient une note coquine à ce corps déjà plus qu'attirant. La sorcière ne put retenir un sourire amusé en voyant ses difficultés à se déplacer. Shani était une fille courageuse et docile, qui ne désobéissait ni ne répondait aux ordres de sa sauveuse pour dire autre chose que "Oui maîtresse". Cette obéissance plaisait à la brune, lui donnant envie de faire elle même des efforts pour satisfaire son hôte. La bibliothécaire corrompue avait deviné que cette femme a lunette aurait probablement jouit avec autant de force si Mistress Magician s'était montrée plus sadique, plus rude, mais cela n'éteignait pas son envie de faire preuve de douceur. Après tout, elle était Magician et non Leather, son plaisir était de jouir d'une servante, plutôt que de la martyriser. Et la lubricité de la divine professeur devait probablement avoir un rapport avec ce parfum ésotérique, cette odeur de luxure qui émanait de son corps parfait...

Tandis que le regard de la sorcière détaillait le fessier de Shani, cette dernière tira sa sauveuse de sa rêverie en pivotant, avant de poser une question apparemment innocente, mais où l'on décelait la pêche aux informations. Reprenant son sourire carnassier, Mistress Magician rejoignit l'esclave consentante sur le balcon en répondant tout naturellement :


- Oui, mes copines sont toutes aussi... énergiques que moi. La sorcière se pencha un peu en avant, après être arrivée au niveau de la femme à lunettes, susurrant : Et toutes aussi bien membrées que moi, quand elles veulent. Se redressant, tout en reprenant un ton plus naturel, la bibliothécaire corrompue poursuivit : Mais si tu veux des jouets pour t'amuser, je suis la seule à pouvoir te les fournir. D'ailleurs, en parlant de ça...

D'un claquement de doigts, Mistress Magician fit totalement disparaitre la chaînette d'onyx, ainsi que les petites pinces refermées sur les tétons féminins. La poitrine ne fut pas libérée longtemps car, déjà, les mains gantées empoignaient ces globes ronds et fermes, les écartant avec douceur. La brune se penchait sur la poitrine de la divine professeur, appliquant sa langue en son milieu, pour récolter les sécrétions orgasmiques des deux femmes déposées là au cours de la masturbation mammaire. Consciencieusement, la sorcière nettoyait l'endroit, avant de diriger ses lèvres avides vers un des mamelons martyrisé, l'enrobant avec amour avant de le lécher et de le suçoter. Magician prenait soins de ces pointes meurtries, faisant preuve d'une douceur en total décalage avec sa précédente fougue. La donzelle corrompue comptait bien récompenser Shani pour sa docilité et il était bon de commencer par effacer les douleurs qui lui avaient été infligées. Une fois que la sorcière fut suffisamment amusée avec la pointe du premier sein, elle s'attaqua à la seconde, lui infligeant le même délicieux traitement, avec une expertise qui collait bien avec le caractère pervers du personnage. Curieusement, alors que Mistress Magician cajolait les mamelles de Shani, cette dernière pouvait sentir les vibrations du chapelet augmenter en intensité dans son fondement. Etait ce le simple effet d'une excitation renouvelée ou bien est ce que l'objet vibrait réellement plus fort. Au bout d'un moment, l'intensité de ces tremblements ne laissait plus aucun doute : L'objet vibrait plus fort.

Finalement, la bibliothécaire lubrique abandonna la poitrine de son hôte, glissant une main sur son épaule. D'une pression douce, mais ferme, la brune intima l'ordre à sa vis à vis de se retourner pour être de nouveau face au vide. D'une pression entre ses omoplates, la sorcière la poussa à s'accouder contre la rambarde. Laissant ensuite sa paume glisser le long du dos féminin, tout en collant son autre main sur le ventre de Shani, Mistress Magician descendait lentement vers la partie inférieure du corps de son hôte. La professeur pouvait sentir des doigts se frayer un chemin jusqu'à ses lèvres intimes, les écartant pour s'attaquer à son petit bouton de chair, tandis que d'autres s'insinuaient dans son sillon fessier. Tout en s'occupant du sexe féminin, la bibliothécaire lubrique s'était saisie de la poignée du chapelet, tirant lentement dessus. La première boule vibrante ralentit sa course en rencontrant la barrière des sphincters de Shani, sans pour autant arrêter sa course. Ecartelant doucement l'anneau musculeux, la sphère d'onyx finit par sortir, expulsée à l'extérieur par la pression sur sa surface lisse. A peine arrivée à l'air libre que cette boule s'arrêta de vibrer, comme si elle avait perdue toute vie. Une seconde suivit bientôt son chemin, puis une troisième, une quatrième et une cinquième... Mais, alors que le rythme lent et fiévreux avait été imposé à l'expulsion du chapelet, Mistress Magician tira d'un coup sec sur la poignée, faisant ressortir les cinq boules restantes en une fois, couplant cette surprise avec l'insertion de plusieurs doigts dans le sexe encore visqueux de sperme. Jetant négligemment le sex-toy dans le vide, la sorcière abandonna également l'entre-cuisses de Shani pour se placer derrière elle.


- Cambre toi bien, trésor, que je puisses t'enculer comme il se doit.

Mistress Magician ne doutait pas que sa servante du soir obéirait bien sagement à son ordre, mais ses pulsions dominatrices la poussaient malgré tout à la saisir par les hanches pour bien s'en assurer. Frottant son membre tendu entre les fesses de sa vis à vis dans toute sa longueur, la brune ne tarda pas à reculer le bassin pour aligner le gland sur la rosette plissée, se mettant directement à pousser. Bien qu'elle en avait la force, la bibliothécaire perverse y allait tout en douceur, ouvrant lentement l'anus de la pointe de son vit. Petit à petit, le rectum féminin se retrouvait envahit par cette longue et grosse queue jusqu'à ce que, enfin, Shani puisse sentir les hanches de sa sauveuse toucher la peau tendre de ses fesses. Une fois enfoncée à son maximum, Mistress Magician laissa à sa partenaire un peu de temps pour s'habituer à l'intrus. Elle profitait d'ailleurs de ce temps pour se courber, allant recueillir un peu du sperme présent sur le dos de la professeur, remontant jusqu'à son oreille qu'elle mignotait du bout des lèvres, avant de murmurer :

- J'espère que tu aimes, mas jolie esclave à lunettes, parce que moi j'adore.

Puis, une fois cette phrase lancée, la sorcière commença à faire ressortir son épieu viril de l'étroit boyau, avec une lenteur toute calculée, pour le renfoncer tout aussi lentement. Son rythme était volontairement doux, pour épargner un maximum de douleur à sa partenaire. Mais, bien vite, la brune perverse accentua la puissance de son déhanché, augmentant la cadence. Dans un premier temps, Mistress Magician conservait une extraction lente du vit d'entre les fesses féminines puis, lorsqu'il ne restait plus que le gland à l'intérieur, se replantait avec rudesses, laissant ces même fesses claquer sous au contact des hanches de la sorcière. A chaque coup de reins, cependant, la rapidité du retrait phallique augmentait, jusqu'à ce que, finalement, le déhanché se révèle fluide, homogène.

Mistress Magician burinait joyeusement le cul de Shani, ululant son plaisir à la lune, sans pudeur aucune. Elle ne se souciait pas de savoir si on la verrait, si on la filmerait ou la photographierait. Au contraire, cette idée l'excitait même davantage, augmentant son ardeur à défoncer l'arrière train de la belle. Et, les mains fermement cramponnées à sa taille elle la défonçait sans s'arrêter. Allant et venant en elle, encore et encore.

Plus bas, dans la rue, une camionnette noire se garait. Mais Mistress Magician, trop occupée à enculer la divine professeur, ne s'en rendait pas compte. De cette camionnette, sortit tout un lot de femmes toutes aussi vulgaires les unes que les autres. Si Shani faisait attention, elle pouvait compter la présence de quatre femmes : Deux couvertes de cuir de la tête aux pieds et coiffées de casquettes - l'une rouge, l'autre noire - une autre engoncée dans une combinaison de chat qui ne laissait à l'air libre qu'une énorme paire de seins - encore plus énorme que celle des autres filles, s'entend - et, enfin, une autre qui, bien que portant elle aussi une casquette, ne semblait vêtue que d'un T-shirt trop petit pour elle. L'une d'elle leva la tête dans leur direction et sourit, avant de dire quelque chose à ses camarades. Puis, après que toutes aient regardé dans la direction du couple, ce petit groupe s'engouffra dans le hall de l'immeuble.

Bientôt, l'appartement serait envahit par les "copines" de Mistress Magician. Mais cette dernière était à des lieues de ce genre de considérations... ou, plutôt, elle était enfouie dans un cul qui n'avait pas finit de se faire élargir. La soirée ne faisait que commencer...
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Shani Stevens

Dieu

Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]

Réponse 12 mercredi 30 octobre 2013, 01:52:49

L’air frais lui faisait du bien. Vraiment. Elle la refroidissait, l’électrisait, la ramenait à la réalité. Elle sortait d’une douce rêverie érotique, intense et passionnée. Son esprit revenait à la réalité, et elle se cramponnait au rebord, entendant les voitures passer. N’importe qui pouvait la voir en tournant la tête. Elle n’était pas à un étage particulièrement élevé, et elle observa à nouveau la rue, en entendant la femme arriver. Sa Maîtresse répondit à sa question, en lui expliquant que les autres étaient aussi bien membrées qu’elle, une information qui était aussi effrayante qu’excitante... Shani se demanda si le frisson qui la traversa à cette information témoignait de sa peur, ou d’une sorte de forte et latente excitation. Elle se mordilla en tout cas les lèvres. Elle était l’objet sexuel de cette femme, un objet de désir que la femme prenait sans chercher à savoir si elle était consentante ou non. C’était une forme de viol, un viol consentant. Shani acceptait pleinement d’être la poupée de cette femme, ainsi que de ses copines. Dans quel état finirait-elle ? Cette idée l’intriguait. La femme lui expliqua qu’elle était la seule du gang à pouvoir créer des objets magiques... La seule magicienne ? Shani ne savait pas trop comment l’interpréter, et sentit alors la douloureuse pression sur ses seins disparaître. Shani se mordilla les lèvres, et sentit la Maîtresse la retourner. Ses fesses heurtèrent le rebord, et elle vit alors les lèvres tendres de sa Maîtresse s’attaquer à l’un de ses tétons endoloris.

« Haa... »

Elle soupira de plaisir, s’attendant à ce que la femme la mordille... Mais elle se contenta simplement de sucer son téton. Clignant des yeux sous l’effet de la surprise, ainsi que de son désir, qui se réveillait lentement, s’égayant comme un feu de cheminée qui se réveillerait en soufflant sur les braises, elle tendit ses mains, et caressa les mèches de cheveux de la femme, en soupirant lentement. La jeune femme s’appliquait à presser ses seins, voulant visiblement montrer à Shani qu’elle pouvait alterner entre la sauvagerie des ébats précédents et une sorte de tendresse infinie. Elle suçait divinement bien, et les seins de Shani restèrent tendus, alors que la secrétaire soupirait lentement. La Maîtresse s’attaqua à ses deux seins, prenant tout son temps, comme pour effacer la douleur qui y traînait, comme si sa salive et ses belles lèvres agissaient comme un baume. La secrétaire soupirait silencieusement, recommençant à mouiller, à sentir son intimité la titiller... Ainsi que ses fesses. Les boules en elle continuaient à remuer, à vibrer, la faisant soupirer et gémir, alors que les minutes passaient. Shani hoquetait et gémissait silencieusement, jusqu’à ce que sa Maîtresse s’abaissa, fléchissant les genoux, en entreprenant de lui retirer le chapelet, tout en la doigtant.

Gémissant, Shani la laissa faire, crispant ses mains sur le rebord de la terrasse. Elle soupira à nouveau, remuant un peu, sentant sa mouille glisser le long des doigts experts de la femme, des doigts qui se concentraient sur son clitoris, pressant son bouton d‘amour, tandis que l’autre main jouait avec le chapelet. Shani émit un couinement quand la femme enleva la première boule... Et un cri quand elle retira d’un coup sec tout le reste. Sa maîtresse se releva alors, et continua à donner ses ordres à une pauvre secrétaire qui avait les joues rouges, tendues par l’excitation.

« Cambre toi bien, trésor, que je puisses t'enculer comme il se doit. »

L’intéressée hocha lentement la tête.

« Oui... »

Elle s’avança alors, le haut de son corps passant par-dessus la rambarde, tandis qu’elle sentait les mains gantées de la femme glisser sur ses hanches, afin d’amener ses fesses. Shani savait désormais ce qui allait se passer. Une belle sodomie, bien comme elle les aimait. Elle avait honte de le dire, mais Shani avait toujours adoré qu’on lui défonce le cul. Elle savait qu’elle allait prendre cher, et, curieusement, ce phénomène l’excitait. Le chapelet avait légèrement dilaté son anus, mais elle savait que, vu la taille de ce membre, sentir ce chibre en elle allait la perforer.

Elle appréhenda donc, fort logiquement, ce moment, et, si la douleur fut bien au rendez-vous, Mistress Magician choisit d’y aller avec douceur, pour autant qu’on puisse parler de douceur dans une sodomie. Le sexe de la femme s’enfonça en elle, et Shani poussa un couinement, avant de respirer lourdement. Ses lunettes glissèrent à nouveau sur son nez, et elle releva la tête en inspirant, remettant, par ce mouvement, ses lunettes sur son nez. Elle put alors voir que plusieurs voitures roulaient en contrebas. Un scooter portant des pizzas, ou de la nourriture japonaise, passa rapidement. Shani se sentait dans cette situation paradoxale où elle craignait et souhaitait qu’on la remarque, qu’on l’observe, qu’on se masturbe en la voyant. Le sexe parlait, les inhibitions tombaient, et les soupirs de Mistress Magician la guidaient. Elle poussait des espèces de feulements en la prenant, et le corps de Shani glissait contre la rambarde. Shani s’appuyait à cette dernière pour se maintenir, haletant silencieusement.

Ce sexe était énorme, et la femme accélérait progressivement le rythme, donnant à Shani l’impression qu’on lui enfonçait une torpille dans le corps. Shani hoquetait et gémissait. Le sexe de la femme sortait de son fondement, avant d’y retourner, la faisant bondir à chaque fois. Ses pieds manquaient même de toucher le sol, tant ce membre épais arrivait à la soulever. Même avec l’air frais, Shani ne tarda pas à avoir de nouveau chaud. Elle aurait presque pu tomber dans le vide, et entendait le défilement des voitures, les klaxons au loin, les quelques hurlements que les piétons passaient dans d’autres rues. Shani n’arrivait plus à retenir ses hurlements, et il était désormais certain que les riverains pouvaient les voir. Elle soupirait et gémissait, ne sentant plus les minutes passer, hurlant dans la rue, sa mouille glissant le long du garde-fou pour s’égoutter faiblement le long du mur, tombant en contrebas.

Baissant la tête en entendant une voiture se garer, Shani vit une camionnette noire. Plusieurs femmes en sortirent, et elle sut que les autres arrivaient.

« Maî... Maî... Aaaaaahh... »

Elle avait essayé de lui dire que le reste du groupe arrivait, mais elle en était désormais incapable, ne pouvant que soupirer et gémir, sous la présence de ce membre qui la torturait joyeusement.
« Modifié: jeudi 31 octobre 2013, 00:07:21 par Shani Stevens »
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Légion

Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]

Réponse 13 mercredi 30 octobre 2013, 20:36:40

Les couinements et les cris des deux femmes continuaient de résonner dans l'air nocturne, tandis que la queue magique perforait impitoyablement l'arrière train de Shani. Cette vigueur surnaturelle qui habitait Mistress Magician était de nouveau à l’œuvre et la sorcière savourait les plaisirs de cette sodomie, oubliant tout ce qu'il se passait autour. Seul comptait ce cul sublime dans lequel elle s'enfonçait, ces fesses divines sur lesquelles elle abattait ses hanches et cette jouissance graduelle qui montait de son bas ventre. L'immeuble aurait pu prendre feu que la bibliothécaire corrompue ne se serait pas arrêtée. La brune perverse enculait la secrétaire nymphomane... et c'était tout.

Vraiment tout ? Non. Toute à son bonheur, Mistress Magician n'entendit pas la poignée de la porte, pas plus que le chuintement des gonds de cette dernière. Les autres maîtresses entraient dans l'appartement de Shani en terrain conquis, s'arrêtant un peu pour regarder la décoration, observer l'agencement des meubles. Mais, très vite, ce petit groupe de femmes se dirigea vers le balcon. Mistress Willpower fut la seule à mettre les pieds dehors, cependant, laissant les autres s'installer dans le petit salon. Un sourire amusé étirant ses lèvres rouges, la chatte de latex vint s'accouder à la rambarde, laissant son regard tomber directement sur ce vit qui coulissait dans le postérieur féminin. Après s'être humecté les lèvres, Willie tourna la tête vers l'intérieur, soufflant d'un air victorieux :


- J'avais raison les filles, elle est en train d'l'enculer !
- T'étais la seule à parier hein. Répondit aussitôt une voix venant de l'intérieur. Y a qu'toi qui s'rait pas en train de défoncer la rondelle d'sa dernière prise à l'heure qu'il est.
- Ouais, moi j'suis pas une sauvage comme vous autres.

Ce petit échange terminé, la blonde en costume de chat revint vers l'intérieur, pour commencer une conversation enjouée. Mistress Magician s'en moquait, elle ne lâcherait pas sa servante du soir tant qu'elle ne lui aurait pas repeint les boyaux en blanc crème. Se penchant un peu en avant, sans cesser de buriner le cul de la divine prof, la sorcière abandonna les hanches féminines pour se saisir des seins de Shani, les malaxant fiévreusement. Son visage s'enfouit dans la crinière ondulée de la femme à lunettes, respirant son odeur. La rambarde commençait à grincer elle aussi, comme la table basse le faisait précédemment, sous les assauts passionnés de la brune. Personne d'autre ne vint déranger le couple dans ses ébats, comme si le reste du gang respectait le plaisir de chacune de ses membres. Elles papotaient tranquillement, ne parlant pas assez fort pour que Shani ou celle qui lui ramonait le fion ne puisse entendre, leurs voix couverte par les grincements du métal, les claquements de la chair et les couinement des amantes. Peut être savaient elles qu'elles ne pourraient de toute façon pas décoller la sorcière de sa monture tant que la chevauchée n'arrivait pas à son terme ? Au bout d'un moment, la voix chantante de la petite Willie raisonna à nouveau, voilée de quelques intonations taquines.

- Eh, ça fait une demi-heure qu'on attend qu'vous ayez finis dehors.

Mistress Magician n'avait que faire des remarques de sa camarade, quelle importance le temps pouvait il avoir dans pareille situation ? Les fesses de Shani commençaient à rosir un peu, à force de recevoir le choc du bassin corrompu. En face, ceux qui regardaient la télé avaient quitté leur canapé, collés à leur fenêtre, ils observaient la scène en se passant une paire de jumelles à tour de rôle. Puis, enfin, la sorcière donna un ultime coup de reins contre le fessier de sa partenaire, gardant son sexe tendu bien au chaud, avant de lâcher sa copieuse semence. Les jets onctueux remplissaient peu à peu le colon de la professeur, sans déborder, cette fois... Après tout, les capacités de stockage du conduit anal n'était pas si limité que celui d'un vagin. Une fois la sauce envoyée, Mistress Magician se retira de l'orifice élargit, donnant une tape affectueuse sur une des fesses de Shani.

- Aaaaaah ça fait du bien ! Suivante !

La pauvre secrétaire n'avait pas le temps de souffler que, déjà, des mains féminines se posaient sur ses hanches et un gland épais - aussi épais que celui de sa précédente sodomite - se présenta devant l'entrée lubrifiée. Sans autre forme de procès, ce petit cul ravagé fut de nouveau investit par un chibre d'une taille invraisemblable. Si Shani tournait la tête pour voir qui s'occupait à présent de son cas, elle pouvait constater qu'il s'agissait d'une femme vêtue d'une tenue de cuir moulante et d'une casquette noire. Comme la brune, celle là pourtait un collier ras du cou orné d'une plaque d'or frappée du mot "Mistress" et, comme sa sauveuse, cette fille était dotée d'une poitrine des plus conséquentes. La taille de ces seins était d'autant plus évidente que le costume de la nouvelle maîtresse était ouvert jusqu'à l'entre-cuisses, laissant apparaitre un tatouage sur son pubis glabre, deux Z en miroire situés autour d'un 8 ou d'un B au tracé anguleux. Autre différence notable, outre la tenue et le tatouage, entre Mistress Magician et cette fille, se situait dans la couleur de leurs cheveux : Si Magician était brune, celle là était blonde. Et cette blonde, sans laisser le temps à la pauvre Shani de souffler, commença à l'enculer puissamment.

Si elle était encore en état de remarquer ce genre de choses, la divine professeur put remarquer une différence dans le déhanché : La blonde défonçait méthodiquement son cul plutôt que passionnément. Le rythme était sensiblement plus lent lorsque le sexe coulissait hors de son boyau anal, pour s'y replanter avec une force légèrement supérieure. La différence était subtile cependant et un spectateur pouvait très facilement penser qu'il s'agissait de la même chose. Loin de se laisser aller à ululer son plaisir comme la bibliothécaire lubrique, cette blonde se révélait également plutôt silencieuse. Oh, bien sûr, les vibrations du vit ainsi que sa tension trahissaient le désir de cette femme, mais elle semblait davantage observatrice... comme si elle analysait celle qu'elle était en train de sodomiser. Et, après une bonne minute de pilonnage anal, la femme tourna la tête en direction des autres filles.


- Tu avais raison, Magician, cette fille a une odeur particulière...

Même dans sa voix, Mistress xXx ne semblait pas à l'effort. Pourtant, elle était bel et bien en train de défoncer Shani. Pourtant, elle n'y allait pas de main morte. Mais la patronne du Gang xXx n'était pas du même calibre que ses subordonnées, l'énergie démoniaque qui l'habitait était supérieur à celle de toutes les autres maîtresses réunies. Mais, une fois cette phrase lancée, la leader de ce petit groupe de dominatrices commençait à exhaler quelques soupirs fiévreux. L'analyse terminée, la sodomite se laissait enfin aller à son plaisir. Elle gardait malgré tout un certain contrôle, caressant le dos féminin d'une main sans cesser ses coups de reins. Ses doigts, après avoir un peu joué avec les reliefs sensuels de ce dos, vinrent glisser sur le flanc de Shani pour, finalement, venir taquiner un sein. Compte tenu de la puissance avec laquelle elle défonçait le popotin de la professeur, la douceur avec laquelle elle titillait la mamelle était remarquable.

Désormais sur le seuil du balcon, les autres filles discutaient librement. De par leur proximité, Shani pouvait tout entendre... si elle y prêtait l'oreille. Il fallait croire que le spectacle de leur patronne sodomisant une pauvre femme les intéressait plus que lorsqu'il s'agissait de Mistress Magician. La fille munie d'une casquette pourpre et engoncée dans une parodie d'uniforme militaire en cuir tourna la tête vers la brune encore luisante de sueur, avant de demander :


- Dis moi, Magician, elle s'appelle comment cette fille ?
- Heu... Ben... Il me semble qu'elle s'appelle... Heu...
- Tu vois Willie, moi j'ai parié sur quelque chose de moins évident. Tu étais curieuse de savoir ce que ressentent mes proies ? Et bien ce sera l'occasion, quand on en aura finit avec cette fille, tu seras à moi pendant une heure.
- Méééheeeeu c'est pas juste ! Puisque c'est ça, j'te suce pas ce soir !
- En voilà une idée qu'elle est bonne ! Viens par là toi...
- Eeeeeeeh ! Bas les pattes espèces d-huck ! Haack ! Guuuck ! Gheeerrrk !

La situation évoluait. Juste à côté du couple sodomite, un autre couple s'était formé. Mistress Magician avait coincé la petite à forte poitrine - plus forte que celles de ses camarades, s'entend - contre la rambarde et, après l'avoir assise par terre, s'était enfournée sans douceur entre ses lèvres purpurines. Et, tandis que Mistress xXx baisait le cul de Shani, Mistress Magician baisait la gorge de Willie. La pauvre en pleurait, ses doigts se crispant sur les sangles du corset de cuir de la bibliothécaire à la recherche d'un échappatoire.

- Vraiment, Magician, tu n'as aucun savoir vivre.
- Aaaah... ooooh... hmmmm... Et c'est... hmmm... celle qui prend son pied à... aaaaah... fouetter les... les gens qui... hnnnnn... dit ça ?
- L'un n'empêche pas l'autre.

De son côté, Mistress xXx ralentissait un peu la cadence, sans pour autant cesser le mouvement. Son vit continuait son travail d'élargissement du conduit étroit, coulissant entre les fesses féminines avec une remarquable aisance. D'une voix un peu enfiévrée par le plaisir, elle souffla à l'oreille de Shani :

- Comment t'appelles tu... hmmm... ma douce ?
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Shani Stevens

Dieu

Re : Gang bang sauvage [The xXx Gang]

Réponse 14 jeudi 31 octobre 2013, 01:14:51

Le membre de cette femme était du genre envahissant. Shani ignorait si elle avait mal, ou si elle était tout simplement surexcitée. Quand, lors d’une sodomie, on dépassait le stade de la douleur, on atteignait une nouvelle conception de ce que le plaisir signifiait. Il fallait être joueur pour apprécier un rapport anal... Et avoir aussi une certaine expérience de la chose, surtout quand on avait un sexe aussi lourd et tendu dans le corps. Shani était incapable de déterminer combien de centimètres de chairs tendus et durs s’enfonçaient en elle, mais il y en avait assez pour la transformer en cul-de-jatte. Elle continuait à heurter la rambarde, et ne voyait pas le public qui se formait depuis les fenêtres des riverains, ainsi que des quelques passants qui, en marchant, ne pouvaient qu’entendre les hurlements de Shani. Cette dernière se faisait tringler comme une hyène, et n’arrivait plus à retenir sa salive, crachant cette dernière par dessus la rambarde, l’envoyant tomber en contrebas. Elle n’entendit pas la porte s’ouvrir, ni les autres femmes entrer chez elle. Ce membre lui labourait bien trop le cul pour qu’elle puisse les entendre. Shani se forçait à cesser de hurler, à soupirer longuement, mais elle recommençait à couiner, haletant, se crispant à la rambarde.

C’est quand Willpower se rapprocha que Shani tourna la tête. Elle cligna les yeux en voyant une espèce de femme dans une tenue noire, en latex, lui recouvrant presque intégralement le corps, à l’exception de deux seins volumineux, et de son visage. Elle avait des oreilles de chat, et Shani comprit alors que les femmes qu’elle avait vues sortir de la camionnette étaient là. Elle s’était demandée si sa Maîtresse allait cesser de la prendre pour les accueillir, mais il aurait fallu une bombe pour la stopper. Mistress Magician ne décrut nullement son rythme, ce qui, en réalité, rassura Shani. Que cette sodomie royale soit inachevée aurait été une véritable souffrance, quelque chose d’inacceptable. Elle entendait la femme en latex parler, mais sans pouvoir comprendre vraiment ce qu’elle disait. Shani gémissait et haletait, et, de manière générale, elle était dans un tel état second qu’il lui était impossible de faire fonctionner son cerveau pour ressentir autre chose que les coups qui lui défonçaient le cul. Le sexe avait pour lui d’être un sentiment très monopolisateur : quand il s’instaurait en vous, progressivement, il vous coupait de tout le reste. Savoir que Shani avait un public ne faisait que l’exciter davantage, lui donnant l’impression d’être une artiste, et de devoir offrir une belle prestation, afin que ces femmes ne se soient pas déplacées pour rien.

*Rends-toi compte, Shani, des femmes membrées rien que pour toi ! Tu risques de battre des records ce soir !*

Et probablement de finir à l’hôpital. Shani était désormais certaine que les femmes étaient là, car elle pouvait percevoir les relents sonores de sa télévision. Elles prenaient leurs aises, tandis que sa Maîtresse continuait à la prendre, sans s’arrêter. Depuis combien de temps est-ce que cette sodomie durait, au juste ? Cinq minutes ? Une heure ? Sa perception du temps était floutée, mais elle commençait à se sentir anesthésiée, comme si son cul arrivait, petit à petit, à se faire à la présence encombrante de ce membre. C’était à croire que les capacités d’adaptation sexuelle de Shani étaient surhumaines... Ce qui, évidemment, était le cas, même si elle l’ignorait. Elle sentait sa Maîtresse se presser, remuant son membre énorme de manière plus vigoureuse en elle, avant de finir par jouir en elle. Shani hoqueta, poussant des petits soupirs, en sentant le sperme de la femme en elle. Elle la sentait jouir, son sperme filant dans son corps, l’inondant progressivement. Ce fut une longue éjaculation, comme elle pouvait s’y attendre. Shani était convaincue que, si elle regardait encore le membre de la femme, elle constaterait qu’il était toujours aussi tendu.

Mistress Magician se retira donc, et Shani s’appuya contre la rambarde, ses pieds retombant sur le sol. Elle tourna brièvement la tête, et eut juste le temps d’apercevoir une femme ressemblant à une nazie, avant qu’une autre femme ne vienne lui pilonner le cul. Shani poussa un cri en sentant un nouveau sexe s’enfoncer en elle, et se crispa à nouveau à la rambarde. Cette fois, ce n’était plus Magician... Elle ignorait quel était le surnom de cette femme. Cette dernière lui labourait le cul, et Shani se laissa pleinement faire. Elle ne pouvait pas vraiment tourner la tête, sous l’effet des pénétrations, mais sentit un rythme différent. Cette femme y allait différemment, mais, quoiqu’il en soit, l’effet restait le même : Shani avait une lance dans le cul, et se contentait de subir, sans pouvoir rien faire d’autre. Shani sentit des doigts gantés remuer sur son corps, avant de pincer l’un de ses seins.

« Haaa... »

Elle bascula sa tête en arrière, la glissant dans le creux du cou de cette femme. Elle savait, pour l’heure, trois choses sur cette créature :

  • Elle était membrée, avec un pieu à la place d’une verge ;
  • Elle avait des seins énormes ;
  • Elle avait de longs gants en latex.



Il fallait croire que c’était l’apanage de ce petit gang. En se fourrant dans le creux de son cou, Shani sentit des mèches blondes, et une sorte de col. Elle glissa son nez dessus, et entendit alors une conversation, mêlant sa Maîtresse, la femme nazie, et celle en tenue de chatte noire en latex. Une espèce de variante sexy et vulgaire de Catwoman, qui se retrouva rapidement à avoir une fellation, le sexe énorme de Mistress Magician s’engouffrant dans sa bouche. Du peu de ce que Shani avait réussi à comprendre, Catwoman (Shani ignorait son patronyme) n’avait pas l’air trop consentante, mais ces femmes étaient tellement hors-normes que la question du consentement ne devait pas se poser. Shani avait toujours un sexe planté dans son cul, et cessa donc assez rapidement d’observer cette délicieuse fellation, son regard glissant ailleurs.

La tête proche de celle de la femme, Shani entendit alors cette dernière lui demander, sur un ton relativement calme, son nom. La secrétaire soupira, et tendit une main derrière elle, s’agrippant à la longue chevelure de la femme, y trouvant un appui. Elle cherchait surtout à ménager un peu la rambarde de sa terrasse, car elle avait le sentiment que cette dernière devait être en train de souffrir.

« Je... Haaa... »

Elle déglutit, peinant à parler, et dut respirer longuement pour se concentrer.

« Sha... Sha... Nii... Shaaa-ni-haaaannn... »

Remuer les lèvres était toujours très difficile pour elle, dans cet état. Sa mouille se répandait le long de ses cuisses. Elle aurait aimé savoir comment appeler cette femme, mais il lui était difficile d’articuler. Elle émettait des espèces de borborygmes, ne cherchant même plus à déglutir, laissant sa salive glisser de sa bouche.

C’était si bon, de se faire ainsi défoncer le cul, qu’elle ne voulait surtout pas que ça s’arrête.
DC d’Alice Korvander.

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