Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Mais pourquoi ? (PV Cyscek)

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Laelia Heartlie

Terranide

Mais pourquoi ? (PV Cyscek)

jeudi 03 octobre 2013, 02:09:16

Allez, réveilles-toi pétasse ! Ça fait déjà plusieurs heures que tu somnoles.

 Cognait quelqu'un contre ma cage en métal, en criant assez fort, un sourire carnassier aux lèvres. Il avait crié tellement fort que j'avais sursauté à environ trente centimètres de ma belle cage ... Mais attendez une seconde. Une seule petite seconde où j'ai le temps de comprendre un peu ce qui se passe. Une cage, en métal ? D'où, il y a quelques secondes, quelqu'un venait de piocher dessus ses vingtaines de barreaux avec une sorte de matraque. Une matraque en métal ? Donc ce n'était pas une matraque mais un pied de biche. Un pied de biche ?! Mais il était fou ou quoi . Je regardais aux alentours. Je n'étais pas dans ma chambre, en train de rêver entourer de mes oursons et lapins en peluche ... C'était vraiment réel alors . J'approchais doucement, hésitante des barreaux y posant mes mains autour pour observer les décors de plus près. Mais j'avais fait une erreur, la scène devant mes yeux était terrible. Horrifiante ? Seulement pour moi, car quelqu'un d'autre aurait trouvé ça moins grave. D'autres cages, où étaient enchainées d'autres femmes, d'autres hommes. Oh bordel de merde. Dans quoi m'étais-je embarqué ?

NON ! Ne me touchez pas ! P-pitié ... AAAH ! ÇA BRÛLE !

Hurlait au meurtre une jeune ange qui avait brutalement été brulé au tisonnier chauffer à blanc, laissant une jolie - en fait, pas jolie du tout - marque sur sa fesse droite d'où s'évaporait encore de la fumer. Attendez encore un peu ... C'était bien un ange . AVEC DES AILES ? De vrais ailes ? Avec de vraies plumes ?! Je pris ma tête entre mes deux mains, sentant de la fourrure sur mes mains. J'avais encore un de mes oursons en peluche avec moi . Non ... pas tout à fait ... J'avais simplement des oreilles et une queue de chat, tout ce qu'il y a de plus normal quoi ! Ou pas, j'étais presque paniqué, mais quand même anxieuse, très anxieuse. C'était quoi toute cette comédie ? Comment avais-je abouti là ? Ah oui ... Ça me revient tout d'un coup !

VINGT HEURES AUPARAVANT

Allez Laelia ! Cours ! Plus vite ! Il ne te reste que quelques tours !

Je courrais, comme mon professeur de sport me l'avait indiqué, sprintant à toute allure. Et enfin, j'arrivais quelques minutes plus tard au chrono du professeur, il m'indiquait mon temps. J'étais folle de joie car oui, j'avais enfin dépassé ma limite, ce qui me faisait une meilleure note ! Le professeur, rigolant à plein coeur de ma joie, ébouriffait mes cheveux argentés et souriait, narquois.


Allez ! File dans les douches ! Tu sens la sueur à plein nez !


Me faisant une dernière tape sur l'épaule, me disant que j'avais bien travaillé, je me rendais enfin dans les douches, retirant mes vêtements de sport, encore un peu étourdie de ma course à pied. Je laissais cette eau froide coulée contre mes courbes, mes cheveux. Enfin, après quelques minutes de relaxation sous cette eau plus que relaxante, je me fis interrompre par une voix.

Tu as bien couru, LaeLae !

Aaah ! Ce surnom, ma meilleure amie, Naomie, venait d'arrivée dans les douches, une serviette autour de son magnifique corps. Oui elle était assez jolie ! Elle la laissait tomber contre les sols humides des salles de douches, je ne prêtais pas plus attention à son corps dénudé, lui laissant une intimité, continuant de me savonner jusqu'à en arriver au dos.

Tu me savonnes le dos Nana ?
Bien sûr mais ... Oh mon Dieu ... C'est quoi ses traces dans ton dos ? Des cicatrices ? Qui t'a battu ?!
Battre ? Mais tu rigoles ? Riais-je. Mais elle, avait l'air sérieuse.
Non, je rigole pas ... Des traces ... Des cicatrices... Comme si l'on t'avait lacéré le corps !

Je retournais ma tête vers mon dos, perplexe, voyant quelques cicatrices. Elle avait bien raison. Mais où avais-je attrapé ça ? Me demandais-je, rentrant chez moi, ma tête bombardée de deux millions de questions. M'avait-on battu un jour ? Si oui ... Je ne m'en souvenais plus ! Je cours, je cours. Il faut que je me rende à la bibliothèque, pour faire des recherches. Rendu-là, je feuillette un livre sur la médecine cherchant avec mes genres de "' symptômes ". De grande cicatrice, comme si j'avais été brûlé lors d'un incendie ou autre chose mais après mûres heures de recherche ... Rien ! Alors je resors de la bibliothèque, saluant la femme qui s'en chargeait, boudeuse.

Je marchais depuis plusieurs minutes et puis, je ne reconnaissais pas les alentours d'où j'étais. C'était bizarre, c'était plein de sable, un genre de désert. Du désert à Seikusu ... Mais où suis-je ? Je commence à vachement avoir peur. Il fait sec dehors et j'entends les loups hurler à la lune. Je me mets de nouveau, à courir à toute vitesse. J'ai peur, je m'affole, soudain ma vision devient floue, je suis de nouveau étourdi par mon effort physique. J'avais trop forcé, je m'effondrais au sol. Heureusement, un groupe de gens passait par là.

Dieu soit loué ... Vous êtes venue pour me sauvez ?
Wow, t'a vu ça ?
Elle est sacrément belle !
En plus, c'est une Terranide ... Beau corps ... On pourrait ... Bon prix !
Nous ... Riche !

Et puis,plus rien.

REVENONS AU PRÉSENT


Un bon prix ? Riche ? Je regardais autour de moi, inquiète quand un autre coup vint atteindre ma petite cage poisseuse. Le même homme de tout à l'heure s'était arrêté devant ma cellule, s'acroupissant. Me cernant de son regard froid.

Tes mignonnes ... Je t'achèterais bien si je le pouvais !

Mais ... Où suis-je ? Pourquoi m'acheter ?
Où es-tu ? Ohoh ! AHAHA ! Ça c'est la meilleure ma belle chatte, tu as été capturé !
Mais pourquoi ?
Pour être vendue !
Mais pourquoi ?
POUR ÊTRE ESCLAVE ! J'EN EST ASSEZ DE TES POURQUOI !
Es-esclave ?
Oh oui et une chance qu'ils t'ont attrapé ... Tes un sacré spécimen ... Il prit mon poignet, venant s'approcher de mon uniforme scolaire pour le déchirer lorsqu'il fut interrompu par une voix plutôt sec, ou morne. Une autre silhouette venait de s'approcher de la cage, je la regardais en hauteur cette silhouette ... Cette silhouette de mâle. Et ce regard. Bon sang, j'étais où ?


Cyscek

Humain(e)

Re : Mais pourquoi ? (PV Cyscek)

Réponse 1 jeudi 03 octobre 2013, 18:34:45

Cyscek employait rarement des rabatteurs, pour deux raisons : la confiance et le prix. Le premier était largement plus important que le second. En effet, tout se monnayait, et il arrivait toujours à un compromis. Par contre, la confiance se gagnait, et ça n'était pas en un jour. Il fallait déjà être sûr que le rabatteur n'allait pas vouloir garder la prise pour lui, et qu'ensuite il sache exactement ce qu'il avait à faire. Parfois, certains revenaient en ayant abîmer une proie. Ce n'était pas admissible, quand on voulait vendre des esclaves de qualité.

Néanmoins, avec le peu de prises qu'il avait en ce moment, il avait demandé les services de deux jeunes hommes, pas encore très aux faits de ce trafic, et qui partaient à la chasse de leurs premières esclaves. Cyscek avait dû tout leur répéter plusieurs fois, pour être certains qu'ils comprennent : pas d'armes blanches, pas de brutalité outre mesure et pas de sévices corporelles.

L'attente avait été dure, car il désespérait qu'ils rentrent bredouille, ou avec une femme ni attirante ni jeune. Ce n'était pas le choix qui manquait, mais encore fallait-il réussir sa prise. De plus, ils leur avaient interdit de profiter sexuellement des proies. Il comptait les former lui même, et pas les brusquer à l'aide de deux lourdeaux prêts à violer tous les orifices qu'ils trouveraient.

Installé chez lui, Cyscek déjeunait. Il entendit bien du bruit au dehors, mais sans s'en soucier au départ. Puis, un cri monta de la rue, et il se mit debout. Qui pouvait bien crier ainsi ? Ouvrant la porte en grand, il tombait face à la carriole utilisée par ses deux commis. Ils venaient de décharger 6 caisses, et Cyscek ne tarda pas à voir la marque rouge sur la fesse d'une ange, en train de chialer toutes les larmes de son corps. Mais son regard se porta bien vite sur ce qu'était en train de faire l'un des deux hommes, essayant de tirer une terranide hors de sa cage.

Est-ce ce que je t'ai demandé ?

Cela eut le don de couper l'homme dans son élan. L'autre le rejoint, aussi fier que le premier.

Vous avez vu patron, 6 d'un coup ! Et pas des moches !

Il avait relâché la terranide, montrant les caisses. Cyscek les passa en revue d'un regard, avant de revenir vers eux, retenant sa colère.

Ca, des bonnes prises ? Celui là et celle la, vous pouvez les relâcher, ils ne valent rien. Ils sont rachitiques et probablement malades ! Et vous avez abîmer une ange ! Les acheteurs font ce qu'ils veulent, vous, vous ne les marquez pas !

Le ton est dur et sans appel. Les deux hommes bredouillent quelque chose d'inaudible, manifestement peu content d'être réprimandés comme deux garçonnets.

Amenez l'ange dans une cage au sous sol, ainsi que ces deux là. Et aucun mauvais traitements ! Vous nettoierez vos bêtises ensuite et vous me rangerez tout ça.

Prêt à écouter, l'un des deux hommes prit pourtant à parti l'esclavagiste, en désignant la neko.

Et celle là ? On en fait quoi ?

A voir le regard lubrique qu'il lançait à l'hybride, il en aurait bien fait son quatre heure.  Mais Cyscek coupa court aux idées vicieuses de l'homme, en prenant d'une main l'anneau sur le dessus de la cage et la soulevant de terre.

Celle ci, je m'en occupe.

Il fit volte face, la caisse tenue d'une main, pour entrer dans la demeure. Pour la porter ainsi, il devait avoir sacrément de force. Il la déposa sur le sol, et attendit patiemment que ses hommes descendent les autres esclaves, puis ressortent de la maison. Là, il ouvrit la cage, puis se recula pour se rasseoir dans un fauteuil. Elle pouvait se relever, et même sortir de la cage.

Je m'excuse pour le traitement de ces hommes. Ils ont déchiré tes habits, je t'en donnerai des neufs. Tu peux les enlever s'ils te gênent en attendant. Ce qu'ils ont dit est néanmoins vrai, tu es une esclave à partir de maintenant, et sous mes ordres. Tu peux te montrer docile et avoir une vie douce, ou te rebeller et en subir les conséquences. Libre à toi de choisir.

Laelia Heartlie

Terranide

Re : Mais pourquoi ? (PV Cyscek)

Réponse 2 mercredi 23 octobre 2013, 14:27:34

Un seul mot pouvait décrire la situation dans laquelle je me trouvais. Délire. Tout simplement ! C'était du vrai délire ! Premièrement, l'esclavage n'avait donc pas été abolit il y avait, à peu près, une centaine d'années tout au plus . Mais c'était sûr ! J'avais suivi mon cours d'histoire et tout dans le livre avait été écrit. Absolument tout ! Comment que les esclavagistes s'y prenaient et tout le bataclan ! Mais disons que l'histoire avait été inventé, car les hommes devant moi étaient en train de s'obstiner sur la qualité d'esclave. Dans le bouquin, tout était écrit noir sur blanc que belle ou moche, la personne était vendue pour labourer des champs, faire le repas, s'occuper des cadets de famille ... Mais à ce qui paraissait, la beauté avait maintenant de la grande importance ! Et le fait d'avoir un esclave en santé aussi. Ou je devais tout simplement un rêve. Oui, haha... Un rêve ! C'était une bonne idée non . Je n'avais qu'à me pincer et tout allait entrer dans l'ordre ! Je retournerais dans mon joli appartement, en fait, peut-être petit mais chaleureux ! Et je retournerais dans mes draps propres. Tout pour éviter cette cage de merde avec plein de rouille contre les barreaux, grugeant le métal. Avait-elle servi à noyer quelqu'un dans les années précédentes ? Peu importe ! Je tends mon bras et je me pince ... Aïe ! Bon, décidément peut-être qu'une seule pincette sur le bras ne me réveillerait pas d'un seul coup ... Réessayons ... Aïe ! Bon, clairement, ça ne semblait pas être un rêve.

Celle ci, je m'en occupe.

Bon ! Super, avec la bonne fois de l'homme qui me trainait dans ma cage avec un seul bras allait peut-être me laisser partir, me montrer le droit chemin. Ou allait-il me garder pour lui. Mais bon, ça m'étonnerait tout de même puisqu'il venait de punir l'homme qui avait presque tenté de me violer ... Ou bien agresser, reluquer le corps. Était-il un hypocrite ? Je pouvais bien le découvrir ... Un bon jour, ou je serais libéré. Ah non ! Laelia ! Reprend toi bon sang ! Soit optimiste. Tu rentreras bientôt ... Ou pas. En ce moment même, j'avais du mal à voir le positif de la situation. Après tout, qui serait positif enfermer dans une cage ? Nous étions maintenant entré dans l'endroit secret- ou pas si secret que ça en fait- de mon kidnappeur, ou mon sauveur ? Non, mon kidnappeur puisqu'il venait de m'expliquer, en ouvrant ma cage, que j'allais être vendu puis que j'étais sous ses ordres. Il m'avait même sournoisement dit que je pouvais retirer mes vêtements si cela me gênait. Pfft, dans tes rêves mon grand ! Mais je restais silencieuse et inquiète en ce moment, sortant la tête de ma cage regardant les alentours.

Je pourrais peut-être m'enfuir . Par l'une des portes ou des petites fenêtres de l'endroit. Elle était surement trop petite pour que j'y passe. Et c'était très certainement une mauvaise idée vu la force qu'il avait dans les bras ... Mais des questions me passaient par la tête, j'en posais quelques-unes, ou plusieurs ...

- Je suis où ?
Pourquoi ne me laisser vous pas partir ?
L'esclavagisme n'était pas abolit depuis 1865 environ ?
Pourquoi j'ai des oreilles ?
Pourquoi j'ai une queue ?
Je suis quoi bon sang ?!


Au fur et à mesure de mes questions, j'avançais vers lui. Mais bien loin d'être menaçante. J'avais peur, j'avais froid. Je frottais mes bras espérant me donner de la chaleur un peu ... Du moins, je n'étais pas sortie du pétrin, et ça ne s'avançait pas très bien pour mon cas. Je le fixais des mes yeux remplient de questions et d'interrogation.

Cyscek

Humain(e)

Re : Mais pourquoi ? (PV Cyscek)

Réponse 3 mardi 12 novembre 2013, 11:50:00

Cyscek observait la jeune esclave, attendant de voir son comportement. Les quelques secondes qui allaient suivre seraient déterminantes quand à juger la mentalité de l'esclave. Qu'elle essaie de fuir, et il savait qu'il devrait la "matter" afin de la faire obéir. Elle ne s'enfuierait pas car il la rattraperait avant ça, mais certains essayaient quand même. Non, elle sortait de la cage, sans chercher à partir. Il avait vu les coups d'oeil autour d'elle, mais rien qui vaille la peine d'être réprimandé. Seulement, les questions qu'elle lança pêle mêle le troublèrent. Jouait-elle l'innocente ? Avait-elle perdu la mémoire ? La raison ? Plusieurs hypothèses étaient possibles, mais il ne pouvait déterminer laquelle était la bonne. En premier lieu, il décida de partir du principe qu'elle ne lui mentait pas. Elle semblait réellement effrayée, et surtout elle avait eu un débit de parole bien trop rapide et troublé pour que ce soit feint : elle se posait réellement ces questions.

Je vais tenter de répondre à tes questions du mieux que je peux.

Il se redressa, dominant la jeune femme de plus d'une tête. Un instant il se détourna afin de rejoindre une armoire où se trouvait de nombreux paquets. Il s'en saisit d'un, qui se révéla être un paquet de vêtements ficelés. Il se tourna à nouveau vers elle, et le lui tendit. Difficile de dire ce qu'il comportait tant qu'elle ne l'avait pas défait. Une fois le paquet entre les mains de l'esclave, il se décala vers la cheminée, tout en gardant un oeil sur elle. Il s'accroupit et commença à déposer des bûches et des brindilles dans l'âtre éteinte.

Tu es dans la ville de Nexus, et je ne te laisse pas partir car tu es une esclave. Et non, l'esclavage est toujours en vigueur, vu que j'en vis.

Les mots sortaient calmement de sa bouche. Il avait de la patience et expliquait à la demoiselle ce qu'elle voulait savoir. Peut-être que la mettre en confiance aiderait à son adaptation, surtout si elle n'était pas esclave auparavant comme elle le laissait suggérer. Le briquet d'amadou dans la main, il alluma les brindilles, et les flammes commencèrent à lécher les bûches, se propageant lentement dans le bois. Sous peu il y aurait une belle flambée dans l'âtre.

Et tu es une neko. Une hybride entre femme et chat. As-tu perdu la mémoire ?

Il retourna vers le canapé et s'installa à nouveau, lui faisant signe de venir le rejoindre. Difficile d'imaginer cet homme comme un esclavagiste tant il se montrait calme et posé. Mais en fait, elle ne voudrait pas le voir en colère.

J'espère que tu as bien saisi ce que je t'ai dit depuis tout à l'heure. Tu m'appartiens. Je vais faire de toi une esclave modèle, dévouée au sexe. Tu ne le sais peut-être pas mais les nekos sont très douées pour cela. Et quand tu auras fini ton apprentissage, je te trouverai un gentil maître. Mais pour ça, il faut que tu te montres dévouée et docile. Penses tu pouvoir y arriver ?

L'homme tendit sa main, effleurant de sa paume la joue de la demoiselle. Elle était à croquer, littéralement. Sa main descendit un peu, venant soupeser l'un des seins de la neko. Il était toujours tendre avec elle jusqu'ici, guettant le moment où elle se rebellerait, si jamais cela arrivait.

Passe ta tenue et rapproche toi du feu, tu auras moins froid. As-tu une quelconque expérience sexuelle ?

Il voulait bien laisser du temps d'adaptation à la jeune neko, mais il devait aussi en apprendre sur elle, sur ses capacités et sur ce qu'il allait devoir lui inculquer. Au dehors, on entendit ses hommes de main repartir en tirant la carriole, chargée des cages vides. Il continuait à darder son regard sur la jeune femme, attendant de voir ses réactions et son avis sur la situation présente.


Laelia Heartlie

Terranide

Re : Mais pourquoi ? (PV Cyscek)

Réponse 4 samedi 01 mars 2014, 22:07:31

Bon, ça y est. Une autre hypothèse se rajoute à ma liste. Cet homme doit être un malade mental. Penser que l'esclavage est encore à son apogée, c'est du délire ! Mais je le regarde allumer le feu avec des allumettes ... Pourquoi ne prenait-il pas un briquet ? Puis, je cligne des yeux tout doucement. Mais, le briquet, dans ses temps là cela n'existait pas ! Mon cœur fait un bon. Il ne mentait pas ? L'esclavage était encore une pratique récente pour s'enrichir ? Ooooh, punaise. Pourquoi je n'étais pas simplement entré chez moi, sans faire la curieuse à propos de ses marques dans mon dos ! Je suis bien trop jeune pour être une esclave voyons ! Mais là, je me rappelais déjà d'une des prises dans une des cages. Un jeune garçon d'environ six ans. Oh seigneur, que c'était horrible ! Que vont-ils faire à ce pauvre garçon, ce garçon qui pleurait à chaude larmes en appelant sa mère ? J’espérais qu'il s'en sortirait bien ... Enfin, je priais même pour lui, en pensée pendant que j'écoutais d'une oreille l'esclavagiste devant moi. Cet homme me faisait vraiment peur, je ne peux pas m'empêcher de déglutir lorsqu'il se lève, me dépassant côté grandeur d'au moins une tête et demie. Je reculais lorsqu'il s'approchait de moi, mais en fait, il voulait simplement aller vers une armoire où il en sortit un paquet puis me le tendit. Je le pris dans mes mains en écoutant tout ce qu'il disait.

J'étais donc ... Un hybride ... Un hybride mi-chat. Mais non, c'était impossible. Je tirais un peu sur ma queue en exprimant un petit couinement de douleur. Eh bien, c'était relié à mon corps donc je commençais de plus en plus à le croire. Je baissais le regard. Non, je n'allais pas pleurer, par pour l'instant en fait, j'étais trop perturbée. J'allais devenir une esclave ... Dévouée au sexe en plus. Et puis, une autre hypothèse, très improbable vint à mon esprit. Peut-être que je faisais partie d'un piège d'une émission télé ! Mais, il n'y avait aucune caméra nulle part ... Je devenais de plus en plus apeurée et anxieuse. C'était la stricte vérité toute ce qu'il disait ! Je m'assois sur le sofa avec lui puis sans le vouloir je rougis lorsqu'il me caresse la joue du revers de la main. Mais je me retire très vite de ce canapé pour me lever lorsqu'il vient me prendre un sein en main. Comment avait-il osé ? Je protégeais ma poitrine à l'aide de mon bras, le dévisageant. Je jetais un coup d’œil au paquet et je le jetais au sol, soudainement et très agressivement. J'étais folle de rage et une seule chose me vient en tête. Je dois partir d'ici, au plus vite même !

- Je refuse d'être une esclave, je ne porterais pas ses vêtements, c'est trop ... Dévergondé ! Je veux simplement entrer chez moi et c'est ce que je vais faire. Tout humain où ... autre créature comme je suis au droit à la liberté ! Vous croyez que c'est saint de capturer un petit gamin de six ans pour en faire un esclave sexuel ! Vous êtes dégoutant, et barbare aussi ! De marquer au fer chauffé à blanc une ange si jolie et pure ! De plus que ma vie sexuelle ne vous concerne pas ! Allez ... Allez ... ALLEZ VOUS FAIRE VOIR. Que je dis, je n'avais jamais insulté quelqu'un de la sorte et ça me faisait vachement du bien.

Je me retournais, marchant vers la porte et l'ouvrant. Le désert s'offrait devant moi. Je m'apprêtais à sortir.


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