Un nouveau pas comme les autres [PV Le seigneur]

-Comme vous dites ici, Yatta! vous verrez truc muche, vous avez eu raison de m’autoriser à m'inscrire ici

Je sort du bureau du directeur de l'établissement Mishima le sourire aux lèvres, quoiqu'un peu déçu de la personne au poste de directeur.. On m'avait parlé d'une femme aux courbes dignes des anges! Meuh bon...
Je suis assigné à la classe de ... Je sais plus mince.. bon enfin, un prof pas trop mauvais selon les dires du dirlo. Je remis mon haut de forme sur ma tête et je réajusta mon foulard blanc avant de me diriger vers la salle B-9 où se trouvait le reste de ma classe. Je marche d'un pas allègre et vif quand je me fait soudain stoppé par un groupe d'étudiant. 

-Hé toi l’aristo!

n'ayant pas compris directement que c'est à moi qu'on parle, je continu a marché, mais un des étudiants jette ce qu'il semble être un objets de forme cylindrique contenant des tiges de bois et d'une sorte de verre. Je me retourne donc vers les jeunes gens ramassant leur objet

-Je crois que vous avez perd..
-Ta gueule! ta l'air nouveau, alors je vais t'expliquer.. Moi c'est Kiro Tabuchi! et c'est moi qui commande ici, ta compris
-En somme, vous êtes une sorte de despote, hum?
-un desquoi? ah oui Une sorte de chef quoi? ouais, c'est ce que je suisfit l’espèce de rat près pubère qui se tenait en face de moi.
-Je vois. fis-je, retirant mon haut de forme, Je me vois donc dans l'obligation de vous expliquez une chose. Là d'où je viens, je lutte contre la reine de mon pays, et je ne vous cache pas que quand on a grandi dans un bordel, le genre de rat de votre engeance, on n'en voit quantité.. Hors voyez vous, j'ai une sainte horreur des rats. Je fit silence faisant apparaitre des flammes dans la paumes de ma main. Je te repose la question est une un genre de despote?

Kiro blêmit voyant les flammes léché ma main sans me brûler, il trembla avant de prendre ses jambes à son coup, pleurant de peur suivi de peu par sa clique.

-Voilà qui est mieux Lâchais-je, un grand sourire aux lèvres

Je trouvai finalement la salle de classe B-9. Je soupira, vérifia que mon chapeau été bien là et Je senti une drôle d'odeur, celle d'une quantité anormal de puissance.. étrange.. J'ouvrai donc la porte, faisant taire les bavardages des mes nouveaux camarades de classes

Je devais dire une chose ... J'étais vraiment intéressé par ce monde. La Terre, si on m'avait dit un jour que je croiserais un autre monde là où des humains avaient un mode de vie beaucoup plus développé que je ne le pensais, j'aurais sans doute fait un petit détour sur cette Terre avant de créer Terra. Mais bon ce qui était fait, ne pouvait être effacer, cela me supprimerais beaucoup de puissance, mais aussi de nombreux sujets d'étude, notamment les espèces extraterrestres, espèce fort intéressante par leurs fabuleuse capacité à s'adapter. Quoi qu'il en soit vivre dans la peau d'un mortel à l'apparence tendancieux avait ses pour et ses contres, par chance mes pouvoir divins avaient encore suffisamment d'effet pour me permettre de changer d'apparence. Je me permis donc de me balader dans les couloirs sous la forme d'un chat, me postant sur un des rebords de la fenêtre, voyant un homme qui était fort bien habillé, on aurait dit un noble, bien qu'étant moins porté sur les dorures et les couleurs flashy, non là il s'agissait d'une tenue du parfait gentil-homme. Quelle ne fut pas l'idée qui vint à traverser ma pensée en apprenant rapidement qu'il s'agissait d'un nouvel arrivant, étant en plus chargé de la classe où j'avais été.

Une idée mauvaise se mit à me traverser l'esprit. Je devais pour cela gagner un peu de temps, croisant un groupe de branleur,je crois que c'est le terme qui est employé sur Terre, pour définir ce genre de personne. Je me mis par lancer un petit sort de confusion, ce qui allait créer des problème à ce bien jeune professeur. Filant dans la classe je pris la première place. Bien sûr l'élève en place émit une opposition. D'un coup de sort divin j'émis la pensée à tout le monde que la super lycéenne que j'étais devenu, était la fameuse Perceval. De quoi m'amuser à voir la tête du professeur en voyant une jeune femme avec un prénom masculin.

Ce sortilège ne fut pas sans conséquence, la magie terrienne aimant moyennement les sort terraniens.  Ainsi j'usa d'un dernier sortilège pour mettre le tampon à craie sur la porte.

Le résultat fut rapide, le pauvre professeur avait un peu de blanc sur son chapeau et sa veste. Immédiatement tout le monde se retint de rire, se demandant qui pouvait être la personne qui allait jouer avec les nerf de cet homme, qui n'était pas un terriens, mon nez ne pouvait être trompé. Immédiatement je me mis à quitter ma place, lui tendant un mouchoir propre, pour qu'il e nettoie un peu. Autant faire bonne impression, une fois saisit du mouchoir je repris ma place en silence.

*shpunk*

Quelque chose venait de tomber sur ma tête, toujours protégé par mon haut de forme, je vis ensuite tomber ce qui me sembla être un objet servant nettoyer le tableau, je vis ma classe se retenir de rire, et je resta interdit un instant, évaluant ce que comment je devais réagir, apparement, le directeur m'avait mal compris et m'avait assigné la classe plutôt que de me mettre comme élève.. Boaf je vais improviser.. j’eus une idée, c'est élève dont certain devait même être plus vieux que moi me jugeaient, savoir si j'étais chiant ou un truc dans le genre, autant aller dans leur jeu,

-ahahahahahah( ceci est un rire sincère) très drôle les gars!bon, donc je suis votre euh... ,je regardai le papier du directeur. Je suis votre professeur d'histoire! Corydon... Je n'avais pas de nom de famille à vrai dire, mais celui de ma mère était Escogriffe  Corydon Escogriffe! Je suis enchanté de faire votre connaissance, juste une petite question avant de commencer... quelqu'un a un livre? que je puisse voir le programme? Leur fis-je ne connaissant pas ce que nous allions faire

Je me mis à observer ce nouvel arrivant, visiblement il se mit à réfléchir s'il devait se mettre en colère ou opter pour une autre méthode. Je fus surpris de voir ce jeune homme se mettre à rigoler à vive voix et presque féliciter mon tour de magie en cherchant visiblement un papier. Cela était assez marrant, un habitant de Terra qui avait visiblement son poste depuis un très court délai, vraiment très, très intéressant. Il vint à se présenter Corudon, un prénom très rare, même sur Terra, quand à son nomil semblait avoir prit un temps avant de le donner, oublie ou invention ? Ne voulant pas tricher en usant de faculté que les mortels appelle grobilesque, je ne pouvais que partir sur des suppositions.

C'est alors qu'il se mit à faire une bien étrange demande, un livre, plus particulièrement le livre de cours. Il n'avait pas été informé du programme ? Hoho, j'aurais put user de ma magie pour changer un peu le programme et le rendre plus intéressant, mais comme "bonne mortelle" je devais vivre en tant que telle. Je lève la main et attends qu'il me donne l'autorisation de me lever pour qu'il est le livre d'histoire entre les mains. Il était chanceux ce Corydon, j'avais la manie de mettre des marques-pages pour savoir où on en était. Mais il valait mieux que l'amusement soit là, aussi je me permis de dire, d'une voix féminine, douce et attirante, sans que cela ne soit pour autant provocatrice ou sensuelle, il vaut mieux se faire passer pour une fille timide et serviable.

- Excusez moi Corydon-senseï, vous comptez faire l'appel ?

La demande n'était pas innocente, la fiche d'appel étant sur le bureau et aussi avec les modification sur mon sexe, il ne restait plus qu'à attendre la suite avec une certaine impatience.

Je remercie l'élève qui m'avait prêté son livre. Une charmante rouquine. Elle me demanda si j'allai faire l'appel, désignant une feuille sur le bureau.

-Je... Oui bien sûr..

J'entrepris la lecture, écorchant la moitié des noms puis j'arriva à un nom des plus étrange, comme sortie d'un conte de chevalier

-Perceval...je butais sur son nom de famille.

regarda le reste de la classe essayant de deviner à qui pouvais appartenir ce nom..

Je le vis répondre positivement à ma question, le pauvre semblait vraiment tout juste de débarquer ici et je ne sais pas comment il a eut e poste mais ce n'est certainement pas en ayant passé le concours pour devenir professeure. Ce Corydon semblait trop ... désorienté ? Cela serait le bon terme en effet, mais je ne fus pas au bout de mes surprises. Comme tout le monde je tendis l'oreille pour attendre mon tour, ceux et celles passé avant moi ne furent pas pointilleux sur le fait que le professeur est du mal avec les noms et prénoms. Intérieurement j'étais écroulé de rire, comment une de mes créations avaient reçu ce poste alors qu'il ne pouvait même pas prononcer un prénom ou un nom correctement. Il était bien trop jeune, il devait avoir des cours de japonais, cette idée me tira un léger sourire, en voilà une idée amusante. Mais je ne fis pas de vague, attendant mon tour.

Le professeur semblait ne pas savoir comment prononcer mon nom, aussi je me lève en douceur et commence à me présenter.

- C'est Perceval Morgelin, Corydon-senseï, mon nom peut se décomposer ainsi Mor-jeux-lin. Mon prénom viens de mon père qui est français et a toujours voulu avoir un enfant qui porte le nom d'un chevalier de la table ronde. Étant fille unique mon père m'a nommé Perceval pour une raison qu'il n'a pas daigné le dire.

Ma présentation avait donné des informations à mon interlocuteur. Libre à lui d'en faire quelque chose d'amusant, qui sait peut-être allait-il trouver une idée qui me surprendrais, mais ne rêvons pas trop. Je me rassis et laissa notre professeur terminer l'appel.

-Oh, je vois.. Et bien vous me semblez moins bourru qu'un chevalier, ce qui est bon signe héhé.

 je m'arrête de parler un instant et je la regarde.. Il émane de cette fille une drôle de puissance.. Je fini l'appel et je regarde les élèves, cette rousse m'intrigue.. Je vais tenter de recolter des informations sûr elle.

-Alors comme je ne vous connais pas assez, vous allez sortir un feuille et vous.  présentez. Je vous laisse dix minute pour cela et puis nous commencerons... J'ouvre le livre de Perceval au hasard et par chance ce fût l'antique Grèce.Des européens qui faisaient de la lutte en slip, les grecques. je referme le livre et j'attend les papiers de ces jeunes gens. Avec la ferme intention de ne lire que celle de Perceval..

Je ne pris nullement sa remarque comme une offense, il est vrai qu'avec ce physique ou celui que j’utilise souvent, ne permet en rien de donner du sérieux  le prénom. Qui puis est le professeur semblait avoir un sacré sens de l'humour. Quoi qu'il me regarde avec un drôle d'air, suis-je bête, cela devait être la magie terrienne qui faisait encore des siennes. Ce cher Corydon se remet à me regarder, intérieurement un large sourire se dessine, avais-je choisi une morphologie qui plaisait à son regard ? Quoi qu'il en soit il se mit à reprendre la parole.

L'annonce fut faites, j'avais à présent pas moins de dix minutes pour faire une fiche de présentation. J'allais devoir agir avec une grande souplesse intellectuelles. Je pris une feuille de papier et me mis à écrire toute les informations.

Je me nomme Perceval Morgelin. Je viens d'avoir 16 ans. Je suis douée pour assimiler les cours, même si je suis beaucoup moins à  l'aise pour l'histoire.  Je suis logée au dortoir, mes parents habitant assez loin, permettant de pouvoir suivre des cours supplémentaires, hormis pour les deux premières heures où je suis dans un club de gymnastique, vous pourrez vérifier auprès de madame Yonosuka, professeur d'anglais.

Si vous désirez me poser des question, je suis disposée à y répondre.

Une fois la présentation faite, je la remis, comme celles des autres élèves au professeur et sortie mon livre. Je pris la page du cours, cela sera amusant de jouer les idiotes. 

Je récupéra les feuilles de mes nouveaux élèves en leur souriant, je m'amusais de voir certaines étudiante rougir quand je les regardé dans les yeux, Puis vint cette fille rousse, elle me rendit sa feuille avec une étrange étincelle dans le regard, décidément, elle était plutôt mignonne, je m’attardai un bref instant sur sa chute de rein mais rien de trop flagrant, une fois toutes les feuilles récupéré, je fin de les mettres dans un sac, que j'avais pris à l'un des demeurés de toutes à l'heure, mais la vérité était que je brulais les feuilles hormis celle de Perceval, J’étouffais un maximum la fumée mais l'odeur parvint jusqu'au narine d'une étudiantes qui ,je crois, se nomme Hinata Sokyuri

-Sensei? vous ne sentez pas comme une odeur de brûler?

je marquis une pause, faisant mine de renifler, je penser surtout à si j'allais profiter de cet opportunité d'évacuer les élève pour parler plus sérieusement avec Perceval car j'étais maintenant persuader qu'elle n'était, tout comme moi, pas d'ici...

-*sniff* *sniff* je crois pas,  les autres, vous sentez quelque chose? je pris un air étonné.

Je me mis à regarder le manège de ce professeur, son sac était assez surprenant. Comprenez par là qu'il semblait assez usé et d'un style trop ... décontracté, pour appartenir à une personne aussi distingué que ce qu'il semblait être. Mais mon attention ne fut pas porté sur son joli minois, comme les pipelettes derrière qui fantasmaient déjà à l'idée de se faire Corydon, j'entendis aussi les remarques de jalousie des autres. Pour moi ce n'était pas tellement son visage qui était la focalisation de mon regard, non, c’était son sac, il y avait un peu de fumée, comme si on brulait du papier. Je sentis que je n'avais pas faux quand cette tendre Hinata se mit à dire que quelque chose brûlait. Il ne faisait dès lors aucun doute que l'origine était ce professeur ... ESP.er ou pyromancien ? Cela n'en demeurait pas intéressant.

son regard se posa sur moi, l'intelligence et le questionnement brillait dans ses pupilles, avais-je été un peu maladroit sur ma feuille pour qu'il estime que je sois aussi une "étrangère" de Terra ? Cela ne m'inquiétait pas tellement et je sentais bien que la situation pouvait aller à son avantage ... on ne fait pas d'expérience sans savoir se mettre en danger. dans ce cas là il n'y avait pas grand chose à craindre, j'avais déjà pensé à ma capacité en tant qu'ESP.er. Il n'y arien de plus amusant pour un pyromancien que de croiser un cryomancien, feu et glace s'aimant beaucoup. L'odeur vint quand même piquer mon nez et je fronça un peu du nez.

- Senseï, je pense que Hinata-san n'a pas tort, nous pourrions faire cours dans la cour, il fait beau et puis étudier en plein air pourrait être amusant.

Comme je le pensais la classe se mit à être d'accord sur cette idée, restait à Corydon de faire ses choix, allait-il écouter la voix de ses élèves ou celle de son "enseignement".

-Et merde.. me dis-je intérieurement..Bien, nous allons allé dehors, il est vrai qu'il fait un temps radieux.. Bonne idée Perceval, et puis, mieux vaut un prendre un bol d'air frais .. je vais ouvrir les fenêtres, ne sait on jamais.. Perceval-san tu pourrais me donner un coup de main? ce sera plus vite fait, prenez vos affaire et attendez nous en bas les autres, ça ne sera pas long, enfin je pense.. Leur dis-je finalement un sourire joyeux sur le visage

Je regardai les élèves sortir un à un, jusque là, je ne faisais pas trop d'erreur.. Mais je me dit soudain que j'allais me confronter à quelque chose de dangereux Bah après tout, une vie sans risque n'est pas une vie.. Je me retourna vers Perceval, resté pour m'aider

Je te remércie Perceval, dis moi, que font tes parents dans la vie? Et as tu des projets?

Ma réponse avait, semble-t-il, porté un sacré coups dans l'esprit du professeur, qui n'était pas suffisamment doué pour me cacher un petit geste qui traduisait bien son échec dans son entreprise. Je pouvais aussi m'attendre à ce qu'il puisse trouver une autre solution pour atteindre son objectif, qui m'étais inconnu, même si son regard pouvait soulever déjà quelque petite réponses. Il vint précisément à demander à mon humble personne de l'aider dans l'entreprise d'aérer la salle, voulant sans doute faire évacuer l'odeur qui l'avait trahit dès l'instant où Hinata en avait fait la remarque.

L'emploi du tutoiement et de la durée plus qu'approximative de la tâche ne laissait place à aucun suspens, ce qui m'ennuyais un peu. Ses créations devraient tout de même être capable de faire un bon scénario bourré de choses subjective ou encore de tension, non là ce n'était rien d'autre qu'un scène qui pourrait servir de base à un manga classique. J'attendis que les élèves se mettent à partir pour commencer à ouvrir les fenêtres. C'est alors que le professeur se mit à me poser des questions légitimes, chiantes, mais légitime.  Je me mis à le regarder, prenant un visage légèrement timide.

- Mon père travail dans le textile, en France. Quand à ma mère ... Mon père m'a dit qu'elle continue à faire les rues.

Je mis en place une atmosphère lourde, il fallait bien que le professeur s'imagine une fille unique un peu perdu tant dans sa situation familiale que futur.

- Je n'ai pas vraiment de projet futur.

L'air été lourd, Je tiqua quand elle me dit que ça mère faisait les rues, parlait-elle de prostitution? Auquel cas, je comprend largement ce qu'elle a dut endurée, puis je me rends compte que je perds ma vigilance, un homme qui se sent en sécurité est un homme mort.

-Je vois... Si tu a besoin de parler, je suis là. lui dis-je avec un sourire, que je perdu pour une expression plus grave, plus sérieuse.Dis moi, tu es sûr de venir d'Europe? J'ai comme une impression, comme si tu venais de plus loin que cela, dis moi si je fais fausse route.. hmm?

Je lui faisais face, il n'était plus question de prendre des manières, j'avais un mauvais pressentiment, pire que celui que j'ai eu quand je me suis rendu dans cette chambre, le soir où je fut amener dans ce monde, cette créature ne venait pas d'ici, j'en suis sûr.. Je m'attarde sur ses cheveux, ils me remémorent les flammes du bordel..

Je riais devant l'apparente niaiserie de mon interlocuteur. Il avait un regard compatissant, ce qui me donna comme information qu'il avait très bien comprit mon "histoire" et qu'il devait avoir eut un fragment qui concordait avec ma divine comédie. Ho ... bien sûr je n'irais pas à tirer les vers du nez de Corydon, non cela était beaucoup plus instructif, s'il se livrait lui-même à la confidence.  Sa première phrases  fut accueillit par deux yeux légèrement humidifié, comme si ses propos m'avaient touché. Par contre la deuxième partie fut accueilli avec le visage d'une demoiselle qui se sentait comme prise au piège. Oui j'incarne une conne, mais faut pas non plus considérer qu'elle n'a jamais sut pour sa capacité de cryomancie, j'allais jouer sur ça et ma "mère" pour me permettre d'en savoir plus sur lui.

Je choisi un tic banal pour une jeune lycéenne, se triturer les doigts des mains dans tout les sens, avec comme combinaison un léger déhanchement, comme pour marquer une indécision. Cela était compréhensible, une personne plus "âgé" demandais à une "jeune" fille des informations sensibles. Pour bien planter le décors ce drôle de couple que nous formions étaient sans le moindre témoin, qui sait ce qui pourrait se passer. Sans doute des choses banale, mais peu stressante. Quoi qu'il en soit je me mis à répondre avec un visage timide, avec une pincette de rougeur.

- Je ne sais pas vraiment ... Mon père m'a dit que j'étaie née en France, quand aux origine de ma mère il a toujours préféré me mettre dans l'ignorance. Mais je ne pense pas être une humaine normale ... J ... Je peux faire de la magie ... de la magie de glace. Je pense que c'est un héritage de ma mère.

Avec un semblant d'hésitation je me mis à faire un origami en forme de signe, le tout en glace. Corydon n'aurait d'autre choix que d'accepter cette capacité, sans doute ira-t-il jusqu'à dévoiler la sienne, pour éviter à une de ses "élèves" d'être perturbée et craintive vis-à-vis de lui. Je me mis à augmenter un peu le son de ma voix, comme pour imposer mes mots, laissant de la peur en découler.

- J ... Je ne suis pas un montre ! J'aimerais bien rencontrer ma mère pour savoir qui elle est, savoir pourquoi elle vend son corps alors qu'elle ne me l'a jamais offert une seule fois. Corydon-senseï ... vous pourriez me dire ce qu'est ma mère ?

Et hop, quelques yeux larmoyant, une petit lumière d'espoir et le professeur se trouvait une nouvelle fois dans une drôle de situation.

-Euh.. Je .. Ne pleures pas Perceval ^^' et bah bravo Cor' tu as réussi à faire pleurer une gamine..

Je la vis faire son espèce de déhanché ce qui lui donnait un air vraiment trognon.. elle leva la tête vers moi, un tentiné rougissante et répondit à ma question, elle vient de France, sa mère, elle ne sait visiblement pas grand chose.. Puis elle me dit une chose étrange, elle aussi aurait un pouvoir, qu'elle pense lui venir de sa mère.. La glace? Étrange pour une gamine aussi chaleureuse... Elle forma ensuite en ses mains, un petit origami de glace, un magnifique cygne..

-J... Je ne suis pas un monstre! J'aimerais bien rencontrer ma mère pour savoir qui elle est, savoir pourquoi elle vend son corps alors qu'elle ne me l'a jamais offert une seule fois. Corydon-senseï ... vous pourriez me dire ce qu'est ma mère ?


ET MEEEERDE.... Je savais ce qu'était sa mère pour avoir grandi aux milieu de femmes comme elle... c'était une putain. Mais je me voyais mal dire à cette gamine que ça mère se faisait troncer par des hommes contre de l'argent.. ,Je décidai d'éviter le sujet de sa mère, de peur de la froisser et je retira mon veston, remontant mes manches et créant des flammes qui couraient sur mes avant-bras et qui se prolongeaient jusque autour de mes mains.

Tu n'est pas un monstre je te rassure, regarde moi, je ressemble à un monstre? fis-je avec la voix la plus chaleureuse possible