Heureusement pour Corydon, son histoire n'était pas courante sur Terre, par contre sur Terra l mort prématuré des personnes pouvaient arriver, surtout les parents ayant comme fils un ESP.er, un être qui se vendait bien sur le marché des esclaves, mais ce n'est qu'un détail. Le fait qu'il est été accueilli par ce genre de demoiselle et n'est pas fini gigolo était en soi un exploit, de plus quand on était si bien doté de naissance en terme de beauté. Reste à savoir si en bas il est aussi bien doté, mais ça on ne verras que plus tard. Pour faire mine de compatir à l'idée que cette personne n'ai pas connu ses parents, comparé à la cryomancienne que j'étais. Il eut l'intelligence d'arrêter de faire monter la température, sinon on aurait fini dans un four.
C'est alors qu'il se mit à jouer sur mes sentiments, je suivis scrupuleusement le caractère de mon personnage. Me mettant à dire précipitamment.
- Non, pas du tout ... vous avez vécu des choses que je ne peux comprendre, ce serait idiot de ma part de critiquer une personne plus âgée que moi.
Je tourne ma tête vers Corydon et le voit torse nu, immédiatement je rougis un peu mes joues. Mes vêtements étaient trempés de sueur, les garder serait idiot, pourquoi tomber malade, alors que ce professeur pourrait facilement m'éviter la maladie. Je retire ma jupe, en évitant de bouger trop fréquemment, ce qui serait attirer le regard de Corydon, même si cela n'était pas nécessaire pour qu'il me lorgne, je pouvais sentir son regard quelque peu baladeur. Je finis par être debout, en sous-vêtement, du noire avec de la dentelle turquoise, quelques papillons, des arabesque et surtout un tatouage sur la hanche droite, une femme étreinte par une lamia. Ce tatouage n'avait pas été choisit par hasard, la signification ayant été déjà préparé.
Je me tourne très légèrement vers Corydon, pas suffisamment pour qu'il puisse voir toute ma poitrine, mais assez pour qu'il puisse voir la grandeur de mon sein gauche.
- Vous ne sauriez pas où je pourrais trouver un couverture, l'idée de me coucher à même le sol me déplaît fortement de plus ... je n'ai jamais dormit avec une autre personne dans la même pièce.
Vive les clichés à deux pièce de cuivre, enfin sur Terre ce serait à deux balles, drôle d'image. J'allais admirer si le sujet allait bien réagir à ma phrase ou feindre l'indifférence.