Dispute un jour de marché [PV: Ahri]

Il faisait beau ! Les oiseaux chantaient ! Les gens étaient souriant en ce début d’après-midi plus qu’ensoleillé. Pourtant il y avait bien une personne qui ne souriait pas. Une elfe pour être précis. Une elfe qui visiblement n’appréciait pas la cité de Nexus, dans laquelle elle déambulait. Arillë était en ville pour une raison précise, acquérir une nouvelle esclave docile qui ne broncherait pas à la servir et à accomplir le moindre de ses désirs. Afin de ne pas attirer l’attention des gardes, elle s’était habillée à la mode locale, mais restait relativement sexy. Elle avait aussi décidée de laisser ses armes chez elle. Un choix qui l’angoissait car elle avait toujours peur que Luna ne tombe sur son pistolet et ne blesse quelqu’un, pensant jouer.

Arillë avait beau ne pas porter Nexus dans son cœur, elle saluait néanmoins le large choix d’esclave que la cité proposait sur son marché aillant cependant une prédominance pour les esclaves sexuelles, en majorité, les humaines et les nékos. L’elfe n’arrivait pas à trouver son bonheur, les nékos n’étaient généralement plus que des sacs à foutres à l’esprit brisé, prête à servir dans n’importe quel bordel de bas étage, et aucune humaine ne tapait dans l’œil de l’elfe. Elle faillit trouver son bonheur, avec une succube qui était vendue. A peine eut-elle le temps de donner un prix que l’offre de l’elfe fut écrasée et il lui était impossible de concurrencer. Enervée, Arillë alla voir ailleurs, décidée à trouver une esclave relativement exotique. Elle faillit jeter son dévolue sur une terranide lapine, avant d’apprendre que la lapine n’était qu’un lapin avec une carotte entre les cuisses. Dire qu’elle faillit mettre une fortune dans cet esclave la répugnait.
 
Plus les heures avançaient, et plus Arillë grinçait des dents. Elle fit une halte dans une brasserie le temps de soulager son estomac, ainsi que sa bourse. « Coucher avec la meilleure prostituée de la ville aurait été moins cher » songea-t-elle. L’Elfe reprit sa quête de trouver une créature digne d’être promenée en laisse. Soudain, les dieux avaient été bon avec Arillë, elle entendit, un esclavagiste qui vendait une elfe noire, dressée, vierge et pour un prix médiocre. Arillë porta son regard sur la drow et tomba sur le charme. Aussitôt elle se précipita vers l’estrade afin d’hurler son offre.

« 100 pièces de platines et 60pièces d’or ! »

Comme elle s’en doutait, la bataille allait être rude, et on se pressait autour de l’estrade pour voir la dite créature. L’offre d’Arillë fut dépassée, et alors que les offres ralentissaient, l’elfe allait faire une offre pour être sûre de rafler la mise. Quand soudain, quelqu’un la bouscula d’un violent coup d’épaule. L’elfe trébucha et se releva pour faire son offre.
« Adjugé vendu à l’homme au haut de forme ! Bravo monsieur, je vous invite à récupérer votre lot ! »
Hurlait l’esclavagiste qui se frottait les mains. Pour ce qui est d’Arillë, elle regarda en direction de la personne qui l’avait fait chuter en fendant la foule. Elle fixait une femme, rien qu’en la regardant de dos on pouvait deviner qu’elle était d’une grande beauté. Arillë s’en fichait, elle était responsable de ce qui venait de se passer. En réalité, c’était un homme bien pressé et qui jugea bon de semer les gardes en fendant la foule. Ahri dû surement prendre la place de quelqu’un pour regarder l’esclave qui allait être vendue. Pour l’elfe, elle allait lui faire regretter un acte qu’elle n’avait pas commis. Elle la poussa violement.

« C’est à cause d’une putain comme toi que j’ai perdu ce lot ? Sac à foutre ! Tu devrais t’excuser et implorer mon pardon devant un être qui t’est supérieur ! »

Ordonna-t-elle à Ahri. La demoiselle sembla vouloir se justifier, mais Arillë, qui était au bord de la crise de nerf ne lui laissa pas l’occasion, lui coupant tout simplement la parole.

« Silence ! Chienne ! Putain de bas-étage ! Vas vendre ton herpes vaginale ailleurs ! », Arillë cracha sur Ahri, au niveau de son cou. « Tes parents devaient être jumeau pour que tu sois assez conne pour chercher à te faire corriger par une elfe ! Sous-être ! Tu es la reine des salopes ! Je sens l’odeur du foutre sortir de ta sale gueule de chienne d’ici ! »

Je ne changeais en rien ses habitudes, toujours occupée à regarder la file d'esclave sans qu'aucune présentée ne me convienne. Si je le voulais, je pourrais acheter toutes les nekos présentée sur la place publique, mais ce n'est pas un quartier de fille de joie que je voulais monter, simplement une maison de joie. Et je privilégiait la qualité à la quantité. Ahri disposait d'un somme coquette qu'elle accumulait sans cesse, en prévision d'un gros coup pour une esclave sensass' ♥

j'étais sur les lieux d'une vente particulièrement intéressante... Pour quelqu'un d'autre, bien sûr. Je regardais un beau terranide mâle bien en muscles où l'on pouvait voir, à travers le slip, que ce qui s'y cachait n'était pas du coton. Rien que cela pouvait me faire frémir de plaisir.
 
Juste à coté d'elle commencait une autre estrade où l'on parlait d'une efle noire vierge et tout. Mais à l'écoute du mot "vierge" je l'ai trouvé sans intérêt. Je l'avais déjà eue, ma vierge, et l'humaine s'en souviendrait encore un moment...  Mais la dessus, une voix féminine et forte dit:
- 100 pièces de platines et 60pièces d’or !

Inconsciemment, je me suis mis à faire le compte 100 pièce de platine et 60 d'or... 106 pièces de platine, 1060 pièces d'or, 106000 pièces de bronze. Je me tourne vers la fille, et je peux reconnaître les oreilles pointues d'une elfe. Fallait bien être surhumaine pour avoir autant et ne rien risquer.

Et les sommes montaient encore, astronomique. J'avais encore de beaux jours devant moi pour assécher le portefeuille de certains, ici. Retournant à nouveau à l'esclave d'à coté, j'allais proposer une offre qui allait sans doute signer la fin de la vie d'un terranide quand on me bouscula violemment.

- C’est à cause d’une putain comme toi que j’ai perdu ce lot ? Sac à foutre ! Tu devrais t’excuser et implorer mon pardon devant un être qui t’est supérieur !

je me rattrape uniquement avec mes queues, je me retourne pour voir l'elfe de tout à l'heure, celle qui possédait au moins 106000 pièces de bronze sur elle. Elle semblait m'en vouloir, mais pour quoi? J'aurais piqué son mec? Pas encore, j'avais même pas levé la main. Avant que je dise quoi que ce soit, elle poursuit.

- Silence ! Chienne ! Putain de bas-étage ! Vas vendre ton herpes vaginale ailleurs !, Elle pestit sur moi, me crachant même dessus. Cele, elle allait le payer d'une manière qu'elle trouverait peut-être surprenante... Tes parents devaient être jumeau pour que tu sois assez conne pour chercher à te faire corriger par une elfe ! Sous-être ! Tu es la reine des salopes ! Je sens l’odeur du foutre sortir de ta sale gueule de chienne d’ici !

Si elle continuait, on allait avoir des ennuis, on pourrait même être en prison, ce que je ne souhaite vraiment pas. Il ne me reste plus qu'une solucion pour la faire taire. La main sur mon orbe, je pose deux doigts sur mes lèvres avant de lui envoyer le baiser , aussi près, elle ne pouvait éviter. Une fois sous mon charme, c'est moi qui attaque. La jetant au sol, je dis:
- C'est toi, mon esclave, n'inverse pas les roles. Il va falloir que je revoie ton comportement, et tout de suite.

je la prend par l'épaule, et la relève brusquement. La tenant par les épaules, des mes mains comme de mes queues, je dis:
- Tu vas devoir me suivre jusqu'à la maison, ma chère...

J'entraîne donc de force l'elfe, qui est de toute façon trop sonnée pour pouvoir réagir, jusqu'à chez moi, ce qui n'est pas très loin.
À peine le seul de la porte franchi, et le charme anti intrusion actif, que je me retire ma veste, dévoilant mes seins, sur lequel tronait encore la crachat, et que j'ordonne:
- Ta maîtresse t'ordonne de laver ce que tu as fait. Si tu le fait bien, je consentirais à ne pas te faire trop mal.

J'attends donc qu'elle s'exécute, et vite. Une de mes queue dans son dos la forçait à avancer...

Arillë remarqua qu’Ahri lui envoya un baiser. Aussitôt l’elfe se sentait… Etrange. Elle n’avait jamais ressenti cela auparavant. Soudain, elle se retrouva au sol, Arillë leva doucement ses yeux bleus sur la personne devant elle.

« C'est toi, mon esclave, n'inverse pas les roles. Il va falloir que je revoie ton comportement, et tout de suite. »

C’est vrai ! Comment Arillë avait pu oublier qu’elle devait servir sa délicieuse maîtresse. Se rendant compte de l’erreur qu’elle venait de faire, Arillë chercha à se faire pardonner, elle se mit naturellement sur ses quatre pattes et passa sa langue sur les pieds de sa maîtresse, bien qu’il lui était impossible de mettre un nom sur son magnifique visage.

« Désolé Maîtresse ! Pitié ! Cette misérable esclave demande votre pardon Maîtresse ! »

L’elfe continua de lécher son pied jusqu’à ce qu’Ahri remit Arillë sur ses deux jambes. Elle sentait les douces mains et queues de sa maîtresse sur ses épaules.

« Tu vas devoir me suivre jusqu'à la maison, ma chère... »

Ca sentait mauvais pour l’elfe qui sanglotait comme une enfant. Elle savait qu’elle avait fait quelque chose de particulièrement vilain.

« Pardon Maîtresse ! Pardon d’avoir déçue la Maîtresse »

Dit-elle entre deux sanglots. Un gros chagrin exagéré qui devait attendrir la Maîtresse. Ce qui fût l’effet inverse, elle pressa le pas jusqu’à la maison, visiblement agacée par les jérémiades d’Arillë. Dans la demeure de la maîtresse, Ahri retira sa veste, dévoilant son opulente et délicieuse poitrine à l’Elfe.

« Ta maîtresse t'ordonne de laver ce que tu as fait. Si tu le fait bien, je consentirais à ne pas te faire trop mal. »

Aussitôt dit, aussitôt fait ! L’Elfe mit délicatement sa tête au niveau du crachat. Ses mains se mirent à caresser délicatement les côtes et les hanches de la femme. Elle passa doucement sa petite langue le long du sillon qu’avait créé le crachat, lapant le sein gauche d’Ahri. La langue fit deux fois le trajet, toujours aussi lentement et sensuellement. Arillë entreprit de baiser le haut du sein souillé, et cela, tout en gémissant tendrement. Avant l’enchère elle venait de se remaquiller, et les lèvres de l’elfe laissèrent une trace rosé à l’endroit où elles s’étaient posés. Elle passa à nouveau sa langue à l’endroit où elle avait souillé sa poitrine.

« Maîtresse est-elle satisfaite ? »

Aussitôt, Arillë posa ses lèvres sur le téton gauche d’Ahri, le suçant doucement, n’oubliant pas de gémir sensuellement. Elle regardait sa Maîtresse, ne fermant les yeux que pour gémir. Arillë sentait la queue d’Ahri contre son dos, et autant appeler un chat un chat, sous sa jupe, l’elfe mouillait, aux anges. Mais au fond d’elle, elle trouvait cela bien étrange, elle s’arrêta et se mit à hauteur du visage d’Ahri. L’Elfe fronçait les sourcils, le charme affaiblit allait cesser d’une seconde à l’autre.

Je n'avais point idée de l'origine de l'elfe, je m'imaginais cette fille comme une petite bourge prude, sans grande expérience, mais ce qu'elle offait comme prestation fut surprenante. Sans pour autant me déplaire.

- Maîtresse est-elle satisfaite ?

Je pouvait sentir son ame se troubler tandis que séduction commencait à perdre effet. J'eut l'idée la plus tordue actuellement. J'allais emprisoner l'elfe dans le lit. je retire l'elfe de mon sein pour lui offrir un baiser,avant de poursuivre:
- Ta Maîtresse est fière de toi, sans être satisfaite. Viens par ici.

Entraînant l'elfe vers la grande et voluptueuse chambre, je la jette sur le lit et lui ote son haut. Je la couche ensuite et glisse sur chacun de ses bras des menottes, car oui, cette chambre devrait assouvir tout les désirs humains où autres, et nombres d'homme aime les femelle dominante. C'était concu pour résister, l'elfe ne sortira pas de sitot.
- Ta Maîtresse va pouvoir s'occuper de toi.♥

Ce fut à mon tour de caresser et delécher ses seins, qui sans être aussi gros que les miens, étaient à une taille respectable. Mes queues, elles, dansèrent sur le corps de leur proie elfique.

Deux d'entre elles s'occupaient à dénouer le noeud de la jupe, en tirant dessus, en l'abaissant, afin de montrer l'intimité humide de l'elfe.
- Tu y prend ton pied, à ce que je sens...

Cette phrase n'avait pas de réponse. Je continue le massage des seinstout en laissant cinq queues s'occuper de l'entejambe de la petite. Pas pour la pénetrer, mais pour caresser les parties sensibles tout en englurant volontairement ses queues dans la cyprinede l'elfe...

Arillë était entrainée par la renarde dans une chambre confortable. Attachée au lit par de solides menottes, en cuir. Pour le coup Arillë était sonnée, le charme venait de s’arrêter. L’Elfe mit un petit moment à comprendre ce qui venait de se passer. Elle recomposait le puzzle avec les pièces des dix dernières minutes.

« Ta Maîtresse va pouvoir s'occuper de toi.♥ »

Arillë comprit qu’elle allait se faire violer. Enfin, violer était un grand mot puisque la femme-renarde plaisait à l’elfe et elle allait même réaliser un de ses fantasmes. Elle regretterait presque de l’avoir insulter, bien qu’en y repensant, cet échange verbale était l’objet de leur rencontre. Ahri s’occupait de jouer avec ses seins. Arillë se mordillait la lèvre inférieure en regardant sa tortionnaire. En sentant les queues d’Ahri sur sa peau, elle était parcourue par un léger frisson. Ces queues avaient visiblement de l’expérience, et étaient très habiles. La jupe de l’elfe avait disparu et elle sentait de délicieuses caresses vers son entre jambe qui ne cessait d’être de plus en plus humide.

« Tu y prend ton pied, à ce que je sens...

- J’ai été très vilaine Maîtresse.»

Dit-elle dans un soupire. Arillë poussait des gémissements afin d’exciter Ahri, gémissement qui se transformèrent en petits cris qui mourraient en soupires. Arillë se forçait à moitié, et ce, uniquement dans le but d’être désirée par la tortionnaire aux attributs plus que généreux.

« Je vais être punie Maîtresse ? »

L’elfe, bien que soupirant, insista sur ce dernier mot. Elle dit cela sur un ton innocent, et qui appelait au vice. Il faut dire qu’une partie de jambes en l’air avec elle ne lui dérangeait. Peut-être allait-elle apprécier Nexus ?

« Eduquez-moi Maîtresse… Punissez la catin qui est dans votre lit…».

Arillë affichait un demi-sourire provocateur et soupira encore une fois.

- Ta Maîtresse va pouvoir s'occuper de toi.♥

Les caresses que je procurais à l'elfe lui faisait plaisir,et cela se sentait sur mes parties du corps,à savoir, mes queues qui commençaient à se tremper de plus en plus.
- Tu y prend ton pied, à ce que je sens...

Puis, l'elfe répond:
- J’ai été très vilaine Maîtresse.

Elle gémissait, pour me rendre plus tendancieuse. Tandis que je pincait les mamelons de l'elfe, mes queues glissèrent en tentant de rentrer en elle, que ce soit par les lèvres intérieures ou le derrière. L'elfe me dit:
- Je vais être punie Maîtresse ?

Elle semblait insister sur le dernier point, car elle assura ses paroles en disant:
- Eduquez-moi Maîtresse… Punissez la catin qui est dans votre lit...

Je m'arrêtais un instant. Cette elfe souhaitait vraiment avoir mal, pour plus de plaisir? Pouvait-on avoir plaisir en ayant mal? Enfin, la remarque venant de la bouche d'une femme m'avait rendu songeuse.  Obéissant à son ordre implicite, une de mes queues ouvre l'armoire à coté du lit, et en sort quelques cravaches. Prenant en main la plus plate, je lui dit:
- Une vilaine petite fille n'a pas a me dire quoi faire. ♥

Je fis claquer la cravache sur son sein droit, y laissant une marque rouge qui s'effaca rapidement. Je n'avais pas vraiment de plaisir à faire cela, mais ça semblait exiter l'elfe. Je m'occupe d'un autre partie de son corps. Écartant ses jambes avec mes mains, j'entreprend de nettoyer son abricot le plus lentement possible, m'attardant bien en profondeur, tandis qu'avec mes queues, je fouettais à tour de rôle ses seins où son ventre. Une fois même, elle reçut un coup de fouet sur la joue. À chaque coup, elle eut un sursaut, mais mes mains placées sur ses cuisses ouvertes- qui carressaient la zone sensible des cuisses- et deux queues retenant ses jambes au niveau du genoux ne m'empêchait pas de dévorer son utérus. Une queue était toujours en train de se ballader sur le corps de l'elfe, cherchant à lui procurer encore plus qu'elle ne semblait pouvoir sentir. La queue solitaire s'approcha de la bouche de l'elfe...
- Tu aimes ce que je t'offre? Lèche la queue qui se présente à toi, vilaine, et peut être que je t'offrirais le loisir de me faire à nouveau plaisir.♥

Donnant à nouveau un coup de langue sur son intimité, je giffle sa fesse gauche, assez difficilement, car l'espace entre le lit et sa fesse était plutot étroit. Je m'y reprend une seconde fois, qui émet un claquement un peu plus satisfaisant. Tandis que l'elfe exécutais mon ordre, j'enfonce deux doigts dans son intimité. Les remuants, je lui dit:
- J'ai les doigts profondément installés dans ta chatte et je te bat sans ménagement. Maintenant... Redis-moi qui est supérieur à l'autre? ♥

Je commençais une masturbation rapide, mes doigts glissaient facilement dans son être. Si facilement que ça en paraissait anormal... Sans l'être.

L’Etrange Terranide délaissa sa proie quelques instants pour exhausser la requête d’Arillë. Elle sortit d’une armoire, dont le contenue intéressa grandement l’elfe, une cravache à l’extrémité plate. La prisonnière ne put s’empêcher de réprimer un sourire et souhaitait essayer les autres jouets dans l’armoire. C’était soit une prédatrice sexuelle, soit une prostituée, ou peut-être les deux. Mais il était sûr qu’Arillë reviendrait la voir.

« Une vilaine petite fille n'a pas à me dire quoi faire. ♥

- Pardon Maîtresse. »

Ahri fit claquer sa cravache sur la poitrine d’Arillë. Un petit gémissement s’échappa de sa bouche entrouverte. Le souffle lourd, elle mouillait comme une petite folle. La vue des lèvres humide attira Ahri, qui, probablement élevée dans le but ne pas gaspiller, n’en perdit pas une goutte. Les cuisses grandes ouvertes par les queues de la renarde, elle cherchait à caresser son dos avec l’aide de ses talons aiguilles et de ses bas de la même couleur, retenus par des porte-jarretelles en dentelle. Légèrement maladroite, elle piqua les côtes avec un de ses talons. Ahri n’avait pas apprécié, et fouetta les deux tétons percés de l’elfe, le gauche en premier, puis l’autre. Suite aux coups, ses seins durcissaient, et les bouts percés étaient au garde à vous. Un sursaut parcourait Arillë quand le cuir de la cravache mordait sa peau. D’ordinaire, elle détestait qu’on touche son visage, mais le coup n’était pas si fort que ça, et elle pardonna Ahri. Cette dernière lapait les lèvres de l’elfe, ce qui n’était pas pour lui déplaire. Le serpent poilu qui se déplaçait sur son corps était aussi doux qu’une trainée de baisers promulgués par les lèvres les plus pulpeuses du monde et l’elfe frissonnait. La renarde savait y faire pour faire plaisir aux créatures qui passaient dans son lit. Doucement la queue s’approcha du visage d’Arillë

«  Tu aimes ce que je t'offre? Lèche la queue qui se présente à toi, vilaine, et peut être que je t'offrirais le loisir de me faire à nouveau plaisir.♥

-  Tout de suite… Maîtresse. »

Arillë déposa ses lèvres sur le bout de la queue d’Ahri, elle hésita cependant un petit moment avant de lécher la queue poilue, mais finalement, sa petite langue caressa dans le sens du poil, motivée par un coup de cravache sur le ventre. Ahri entretenait son corps, puisqu’elle n’avait aucun poil dans la bouche. Elle recommença une nouvelle fois, puis un nouveau coup de langue et encore un. Elle déposa un nouveau baiser sur le poil humide et prit le bout de sa queue en bouche. Elle la libéra dans un mouvement de tête proche d’une fellation. Pendant ce temps, Ahri tenta de fesser Arillë. La première frappe ne toucha qu’à moitié la cible, et Arillë posa ses pieds sur le matelas, avant de soulever ses fesses. La deuxième fessée fut plus convaincante et le bruit résonna jusqu’aux oreilles de l’elfe. Mais tout ceci n’était qu’une diversion, pendant que l’arrière garde était attaquée, Ahri en profita pour pénétrer le sexe d’Arillë avec deux doigts.

« Haaaaaaan…

- J'ai les doigts profondément installés dans ta chatte et je te bat sans ménagement. Maintenant... Redis-moi qui est supérieur à l'autre? ♥

- V- Vous maîtresse… Vous êtes s-supérieure à cette petite salope. »

C’était faux, Arillë pouvait à tout moment à tout moment apparaitre dans le dos de la demoiselle et lui brisait la nuque. Mais cette envie meurtrière passa rapidement quand les doigts d’Ahri s’activèrent. La poitrine d’Arillë se balançait d’avant en arrière suite à cette pénétration énergétique. Les gémissements avaient laissé place à des petits cris d’excitation en rythme avec le doitée de la renarde, et la lèvre inférieure de l’elfe était partiellement couverte par sa langue, qui humectait ses lèvres.

-  Tu aimes ce que je t'offre? Lèche la queue qui se présente à toi, vilaine, et peut être que je t'offrirais le loisir de me faire à nouveau plaisir.♥

-  Tout de suite… Maîtresse.


Elle semblait hésitante au début, en regardant la fourrure de la queue, elle y goûta finalement. grand bien lui en prit. Mes queues sont bien plus sensibles que mon corps lorsqu'ils s'agit d'être touchées, embrassées ou autres. Ce ne fut donc réelement à ce moment là que je commencais à mouiller. Dommage qu'elle ne jouait pas plus longtemps avec, mais pour l'heure je venais de planter mes doigts dans son intimité:

- Haaaaaaan…
- J'ai les doigts profondément installés dans ta chatte et je te bat sans ménagement. Maintenant... Redis-moi qui est supérieur à l'autre? ♥
- V- Vous maîtresse… Vous êtes s-supérieure à cette petite salope.

Elle dit cela, mais sans vraiment y croire. Elle persistait à croire qu'elle était supérieure, mais souhaitais que je continue.  Le truc, c'est que si Arillë pouvait se dégager et sortir en quelques instants, je pouvais fuir à n'importe quel moment, avec Assaut Spirituel.

Mais trêve de parlotte, passons à la pratique. Tandis que les premiers mouvements de main s'effectuent, Arillë se secoue violemment. Je pourrais me poser sur elle pour la maîtriser, mais je ne change rien. Elle commençait à crier doucement d'exitation,et je pouvais voir qu'elle en redemandait encore. puis, je sent à nouveau une certaine fraîcheur sur mon entrejambe. J'avais oubliée que la cyprine avait déjà coulé et que pour le moment, je ne recevais pas grand chose en plaisir.
Il m'est donc venu à l'idée de retirer ma jupe de fourrure, qui dévoile immédiatement mon intimité non velue, pas question pour Ahri de s'encombrer de culotte, sauf lorsqu'elle à affaire aux clients. Sans oter mes doigts de l'intimité de l'elfe, je la chevauche. Cuisses écartées et entrejambe brillante face au visage de l'elfe. Tenant da la main libre la cravache, je lui dis:
-  Tu reçois beaucoup, ce n'est pas dans mes habitudes. Tu va lécher mes cuisses bien correctement, sinon ... ~♥

Je fais claquer la cravache sur le petit espace entre l'intimité de l'elfe et la cuisse, étant une zone peu ordinaire, cela n'était que plus sensitif. Je ne pouvais pas taper l'entrejambe en plein, à cause des mes doigts qui s'y trouvaient et qui continuaient leur va-et-viens. Rapidement, je recommence à fouetter en divers endroit, mais souvent dans ce petit espace original entre la cuisse et l'entrejambe. Je lui dit (les "Spaf" étant les coup de cravache):
-  Allez, commence. *spaf* Bien... Hmm... Plus vite. *spaf* Héhé... Enfonce ta langue, maintenant. *spaf* Bien, très bien... Allez, remue. *spaf* Plus fort. *spaf* Hmm...♥ Parfais, continue...

Mes deux doigts dans l'intimité de l'elfe venaient de gagner quelques alliés supplémentaires dans leurs va-et-viens effrénés (les deux autres doigts, le pouce jouant avec la zone sensible au dessus des lèvres).  Peu après, ce fut à moi de mouiller sur le visage de l'elfe. Je la laissais continuer quelques temps, puis, je me retire, disant:
- Il suffit. ♥

Sortant du lit, je me dirige vers l'armoire en disant:
- Tu es douée, mais nous allons nous y mettre, vraiment. ♥

Je reviens vers le lit, non pas avec des cravaches supplémentaire, mais avec une ceinture particulière. elle pouvait faire office de culotte et possedait deux jouet sexuels en forme de verge. L'un était gros, long et visible de l'extérieur, le second était plus petit, mais positionné astucieusement pour entrer dans le vagin de la porteuse. Il y avait un peu en dessous de la verge extérieure un anneau en métal, dans lequel je pouvais à tout moment faire tenir une autre verge en silicone pour la pénétrer en deux endroit à la fois.  Je commence à l'enfiler devant ses yeux. La verge en silicone me pénètre assez vite, en raison du fait que je me hâtais rien que pour l'elfe, mais rien de bien sensible pour le moment.

Je remonte sur le lit, la chevauche normalement cette fois, la banane en plastique tendue vers ses seins et pointant son visage. Je lui dit:
- elle est apétissante, n'est-ce pas? Elle va te pénétrer sous peu, tu souhaite peut-être avant cela la goûter?

Je lui laisse le gode visible un temps, mais si elle n'y touche pas, j'attaque directement son intimité...

Le corps d’Arillë ondulait aux rythmes des vas et viens de la main d’Ahri. Cette dernière voulait aussi s’amuser. Cela devait faire un moment qu’elle attendait, car lorsqu’elle retira sa jupe, l’intimité de la femme-renarde luisait. Chevauchant l’elfe, elle mit son sexe à « portée » de langue. Arillë aurait pu tremper ses lèvres, mais elle attendait le feu vert de sa maîtresse.

«  Tu reçois beaucoup, ce n'est pas dans mes habitudes. Tu vas lécher mes cuisses bien correctement, sinon ... ~♥ »

La cravache s’abattit sur l’un des adducteurs de l’elfe, qui par reflexe, tenta de refermer ses jambes maintenues par les queues aussi douce que du velours.

« Oui maîtresse

-  Allez, commence. *spaf* Bien... Hmm... Plus vite. *spaf* Héhé... Enfonce ta langue, maintenant. *spaf* Bien, très bien... Allez, remue. *spaf* Plus fort. *spaf* Hmm...♥ Parfais, continue... »

Elle répondit sensuellement, entre deux gémissements et posa sa langue sur les cuisses d’Ahri, lapant le liquide d’échappant de  son sexe imberbe. A chaque coup de cravache, un gémissement plus aigu sortait de sa bouche collée contre son intimité. Arillë aspirait les fluides qui sortaient tant bien que mal et quand la femme renarde se releva, le visage de l’elfe était humide. Elle se léchait littéralement les babines. Arillë se sentait sale, et ça l’excitait. Ahri venait de la quitter pour récupérer quelque chose dans le placard des merveilles.

«  Tu es douée, mais nous allons nous y mettre, vraiment. ♥ »

Elle fit marche arrière, avec une ceinture que l’elfe connaissait bien, bien qu’habituée à la porter avec ses esclaves. Ahri était hâtive, elle ne prit pas le temps de lubrifier sa partie qu’elle l’avait fait disparaitre entre ses cuisses. Elle bondit vers Arillë, non pas pour la pénétrer avec violence, mais pour lui montrer l’objet en silicone violet.

« Elle est appétissante, n'est-ce pas? Elle va te pénétrer sous peu, tu souhaites peut-être avant cela la goûter?

Elle a l’air délicieuse maîtresse. »

Arillë posa ses lèvres roses sur le bout de la verge en silicone, et laissa une petite trace de ses lèvres. Elle ne se fit pas prier pour commencer à sucer la verge factice, serrant à chaque allé ses lèvres pour laisser une trace, désirant d’aller encore un peu plus loin. Elle fixait Ahri pendant son exercice. Au bout d’une dizaine de traces de rose à lèvres, elle finit par gober la verge dans une gorge profonde qui se finit rapidement. Arillë eu un petit haut de cœur, peu habituée à ce genre d’exercice. Un léger filet de salive reliait encore le sexe factice fièrement tendu aux lèvres de l’elfe.

« Ce spectacle vous à plus maîtresse ? »

Je n'avais pas attendu de mettre de la gelée pour me rentrer la verge en plastique, en particulier parce que mon intimité était encore suffisament luisante pour permettre l'entrée facile à l'objet. Devant l'elfe, je lui dit:
- Elle est appétissante, n'est-ce pas? Elle va te pénétrer sous peu, tu souhaites peut-être avant cela la goûter?

-Elle a l’air délicieuse maîtresse.

l'elfe embrassa alors la banane en plastique, en allant doucement de plus en plus loin à chaque fois. On pouvait parler de vraie fellation au lieu de dire que l'elfe emrbrassait, mais à chaque succion, l'écho se répercuta directement dans mon utérus. Puisqu'il se faisait de plus en plus fort, je laissait faire. L'elfe termina docilement sa fellation un peu difficile - puisqu'elle n'avait pas ses mains- Par une gorge profonde qui fit pratiquement vibrer le jouet en plastique que je tenais captif.
Ce spectacle vous à plus maîtresse ?

Je lui répond rapidement:
- Je vais te faire recommencer ce dernier mouvement.

Me retirant temporairement de mon siège, je la relève effectivement, Mes queues lui enroulaient les poignets, et les souleva, faisant glisser les menottes vers le haut, et les bras de l'elfe par la même occasion. Si elle pouvait se relever seule ainsi, je lui met volontairement quatre doigts dans son intimité, et je pousse ses jambes avec les miennes, sans oublier mes queues à divers endroit pour rendre la position bien plus saugrenue. Désormais, elle était à moitié assise, dos au mur. Je me mis dans une position assez burlesque, je glisse mes jambes derrières les omoplates de l'elfe, me met à genoux. La tête de l'elfe était très près de la base de la verge, je la force à lever sa tête, sans pour autant empoigner ses cheveux, sauf si elle résistait. ♥ La verge en plastique rentra une nouvelle fois dans la bouche de l'elfe, le premier coup n'allat pas loin, cene fut que pour mieux caler ma position, j'était, à ce moment, presque plaquée au mur, le bassin reculé n'allait pas tarde à s'approcher davantage du mur.
Le second coup est porté dans son intensité. Le jouet sexuel s'enfonca jusqu'à la gorge, je retenais la têtede l'elfe à la base du gode, pour une gorge bien profonde. Puis après quelque secondes, je relance mon bassin vers l'arrière, pour recommencer plusieurs fois. À chaque fois, le jouet emprisonné dans ma chair m'offrais les sensations plus qu'étranges que l'elfe provoquait, les moindres hoquets dus au mauvais traitements étaient transformés en vibrations se transmettant dans toute mon intimité.  Ce ne fut que lorsque l'elfe fut quelque peu sonnée par le traitement spécial que je lui ote la verge se sa bouche et me retire de cette position inconfortable. Les coudes rougis, je m'approche enfin de son intimité. Souriante, je lui dit:
- Maintenant que tu l'as bien goutée de ta bouche, nous allons voir si ton minou est, lui, un fin gourmet ou une dévoreuse de queues.♥

J'approche la verge en plastique de son intimité à nouveau humide. Le mauvais traîtement avait apparement bien excité de nouveau l'elfe, m'épargant ainsi le besoin d'aller chercher du liquide.

Et c'est sans prévenir que j'entre en elle. Tachant d'aller le plus profondément possible. Après quelques instants de blanc, je commence le premier va-et-viens. Je lui dit:
- Je suis persuadée que tu aimes ça, pas vrai? Je pourrais aller plus vite encore...

J'allais encore lentement, il est vrai. Environs un coup par seconde, ce qui était peu. Ahri pouvait doubler la cadence sans soucis, voire la quadrupler, momentanément. Pour l'heure, je voulais voir ses réactions ou attentes...

« Je vais te faire recommencer ce dernier mouvement. »

Ahri releva doucement Arillë. Les queues de la créature étaient à la fois douces et fermes. L’elfe avait l’impression d’être une poupée taille grandeur nature. Arillë regardait Ahri, la bouche entrouverte pendant qu’elle se faisait manipuler. Allongée et légèrement relevée, elle s’appuyait sur les jambes d’Ahri, qui étaient contre le dos de l’elfe. Ahri attrapa la crinière de son jouet pour en faire une queue de cheval, et guida les lèvres roses sur le sexe factice d’Ahri. Elle donna un coup de reins et enfonça la verge dans sa bouche jusqu’au troisième cran qu’Arillë avait fait avec son rouge à lèvre. Ahri redonna aussitôt un coup de buttoir, enfonçant le godemichet dans la gorge d’Arillë. Son nez s’écrasa contre son pubis, et la femme renarde bloqua la tête de l’elfe, pendant de longues secondes. Elle manqua de s’étouffer et au moment où Ahri donna un coup de bassin en arrière, l’elfe reprit une respiration bruyante. Malheureusement, elle ne put reprendre son souffle, la femme renarde était en train de littéralement violer sa bouche. Arillë tenta de freiner la queue en plastique avec ses lèvres, ce qui eut pour effet d’étaler le rouge à lèvres qu’elle portait le long du sexe en silicone. La « violée » poussait des gémissements et des bruits de sussions  pendant l’acte. Arillë mouillait comme la pire des salopes, mais dans le même temps, elle commençait à tourner de l’œil. Puis, Ahri se retira, laissant l’elfe reprendre doucement ses esprits. Quand elle reprit ses moyens, Ahri était en elle, faisant de lents vas-et-viens avec son bassin.

« Je suis persuadée que tu aimes ça, pas vrai? Je pourrais aller plus vite encore...

-Faites… Faites durer le plaisir Maîtresse ! Hmm…  Baisez-moi… Aaah… Avec passion… C’est… Si bon… J’aimerai caresser votre corps maîtresse ! »

Pour l’heure, Arillë voulait prendre son temps. Mais il n’y avait aucun doutes que plus tard, elle souhaiterait que ce soit plus violent, ou recevoir une sodomie. Ce qui lui manquait ? Le droit de caresser le corps d’Ahri, de jouer avec sa propre poitrine, et d’être traitée comme la putain qu’elle a toujours été. Arillë avait croisée ses jambes derrière le dos d’Ahri, afin de l’aider à bien la pénétrer et à aller le plus loin possible.

« Je reviendrai surement te voir… Belle terranide… » dit-elle entre deux gémissements et dans un sourire comblé.

Je ne m'étais pas trompée. En regardant l'entrejambe de l'elfe après avoir arrêté la fellation plus que violente, la mouille qu'elle avait produite n'avait rien à envier aux chutes du Nyagara. Tout cela pour prouver qu'elle avait bien apprécié ce traitement.  Cependant, je crois l'avoir un peu trop sonnée sur cette action, car elle n'eut pas grande réaction quand je la pénètre, elle ne réagit qu'une minute plus tard, lorsque que je lui ai parlé:
- Je suis persuadée que tu aimes ça, pas vrai? Je pourrais aller plus vite encore...
- Faites… Faites durer le plaisir Maîtresse ! Hmm…  Baisez-moi… Aaah… Avec passion… C’est… Si bon… J’aimerai caresser votre corps maîtresse !

L'elfe semblait sur le point de jouir, elle avait croisé les jambes autours de mes hanches pour l'inciter à continuer, cependant. Sous sa demande, je n'accélère pas tout de suite. Puis elle sussura en souriant:
- Je reviendrai surement te voir… Belle terranide...

Je pourrais lui dire que suis plus qu'une terranide, mais je ne dis rien. Pour l'heure, je trouvais moi aussi que l'elfe avait été suffisament "bien" traitée pour lui faire un peu confianceet être un peu généreuse. Deux de mes queues libererent donc ses poignets. Lui montrant ma poitrine, je lui dit:
- Je t'offre un peu de liberté, montre-toi digne de ma générosité. ♥

En contrepartie, j'accélère un peu le rythme. Environs quatre coups de hanche toute les trois secondes. La banane en plastique dans mon être vibrait violement à chaque coup que je portais, mais tout cela était encore gentillet. Qu'à cela ne tienne, je pourrais grimper plus rapidement encore.   Et si l'elfe le voulait, Ahri pourrait aller inspecter son joli petit cul avec la verge en plastique, après tout l'elfe étant désormais libre de mouvement, libre à moi de la retourner...

Ahri détacha les poignets d’Arillë sans se faire attendre et mit sa poitrine bien en évidence, montrant clairement ce qu’elle désirait.

«  Je t'offre un peu de liberté, montre-toi digne de ma générosité. ♥
- Tout de suite maîtresse ! »

Arillë se releva légèrement, embrassant la poitrine généreuse d’Ahri. Elle massait en même temps ses seins, pendant qu’elle mordillait un de ses tétons, inversant plusieurs fois de suites le traitement pour chacun de ses seins. A chaque fois qu’elle posait ses lèvres, elle laissait une trace de rouge à lèvres plus ou moins intense. Arillë s’amusait à mordiller ses tétons plus ou moins intensément. Mais Arillë s’ennuya rapidement, elle était occupée, mais se lassa bien rapidement. Elle décida alors d’agripper Ahri et la retourna violement. Maintenant, c’était elle qui était au-dessus, chevauchant la femme renard. Elle s’empala sur le sexe en silicone jusqu’à la garde, et ondulait son bassin comme une danseuse du ventre, ses mains malaxant sans ménagement la poitrine de son amante.

« On pourrait échanger les rôles, vu que tu as été assez vilaine pour m’enlever chez toi. Mmmh… J’ai bien envie de te prendre comme une chienne… Et tu sais ce que l’on fait aux chiennes ? On les encule. »

Elle glissa cette dernière réponse dans le creux de l’oreille touffue d’Ahri, murmurant sensuellement ces trois derniers mots. Couchée sur Ahri, Arillë l’embrassa sur les lèvres, caressant tendrement sa langue avec la sienne. L’elfe rompit le baiser et mordilla la lèvre inférieure de la renarde, puis, elle passa sensuellement sa langue sur son cou. Pendant ce temps, elle n’avait cessé d’onduler son bassin occupé, et de pincer les seins d’Ahri. Elle avait profité de la petite morsure pour donner des petites claques sur le bout de la poitrine déjà rouge d’Ahri.

« Mais avant d’échanger nos rôles, finis ce que tu as commencé… Est-ce que je t’ai déjà dit que j’étais ta chienne ? Et qu’est-ce que l’on fait aux vilaines chiennes comme moi ? »

Arillë insinuait clairement qu’elle voulait qu’Ahri visite son fondement. Elle préférait clairement les parties de jambes en l’air avec une sodomie, laissant son sexe être lapé par ses esclaves, s’ils avaient été sage.

-  Je t'offre un peu de liberté, montre-toi digne de ma générosité. ♥
- Tout de suite maîtresse !

L'elfe ne se fit pas prier pour palper mes seins et les mettre en bouche, d'une manière singulièrement différente de quand elle était possédée par mon sort de Séduction.
Pendant un petit moment, on jouait un peu, plus elle mordillait fort, plus j'allais vite et loin en elle. Puis elle décroise les jambes, voulant peut-être me laisser du mou. Mais avec une d'entre elle, elle me fait basculer, se retrouvant dans ma position, et moi dans la sienne. L'elfe souriait en continuant le va-et-viens tout en continuant de toucher ma poitrine. Satisfaite, elle dit:
- On pourrait échanger les rôles, vu que tu as été assez vilaine pour m’enlever chez toi. Mmmh… J’ai bien envie de te prendre comme une chienne… Et tu sais ce que l’on fait aux chiennes ? On les encule.

Ces derniers mots ont étés glissés doucement à mon oreille. Peu après, elle m'embrasse langoureusement, baiser auquel je répond sans problème. Nos deux langues s'entrechoquaient, se frottaient le mieux possible. Puis, elle se retira, laissant un petit fil de salive qui retomba par la gravité dans ma bouche. Elle me mordilla doucement la lèvre inférieure avant de glisser jusqu'à mon cou, le tout en continuant de se pénétrer du mieux possible. Elle s'occupa de me caresser les seis de ses mains, n'hésitant pas à pincer les mamelons. Si le geste était intentionnellement sensuel, mes mamelons usés par l'utilisation ne sentèrent pas grand chose, mais l'acte était là.

Enfin, elle dit:
- Mais avant d’échanger nos rôles, finis ce que tu as commencé… Est-ce que je t’ai déjà dit que j’étais ta chienne ? Et qu’est-ce que l’on fait aux vilaines chiennes comme moi ?

huhu... Elle venait de dire qu'elle voulait me dilater la rondelle, mais seulement après la sienne, si je comprend bien.  Pas de soucis, si c'est ce qu'elle souhaite. Je la retourne donc une nouvelle fois, c'est donc de nouveau moi la dominante, avant d'ôter mon sexe en plastique de son intimité. À l'aide de mes queues, je la retourne comme une crêpe, laissant ses fesses visible. Profitant de les avoir bien en vue, je lui met une fessée bien comme il faut, histoire de voir des fesses bien rougies. Une fois fait, je plie ses jambes, pour que ses genoux soient en dessous de son ventre, ses pieds sous son intimité, qu'elle relève le derrière à cause de la douleur au fesses et que sa rondelle soit du coup très bien exposée.
- Bien... Tu es bien placée, maintenant, mais il manque une chose...♥

Je quitte un instant le lit, retournant une fois de plus à l'armoire, pour y chercher cette fois une petite fiole. Je reviens sur le lit, et je prend son bassin pour relever son derrière le plus haut possible. Une fois ceci fait, j'ouvre la fiole, et je plonge deux doigts dans son cul. La mouille précédente ayant rendu l'endroit humide, ce fut assez simple. Une fois ceci fait, j'écarte les doigts pour que le trou soit bien ouvert et visible. Je verse le contenu de la fiole dans son deriière, malgré les gestes saccadés de l'elfe qui devait se demander ce qui se passait. Cette fiole contenait non pas de l'eau, mais un certain aphodisiaque qui transmis directement dans le fion donnait une curieuse impression de plaisir intense au moindre passage, autrement dit, son cul était devenu une zone érogène.
La fiole faisait aussi office de lubrifiant, pour le coup. Maintenant que c'est fait, je laisse agir un peu en refermant le trou, en caressant l'exterieur du derrière d'une main et en lèchant son intimité une nouvelle fois.
Puis, je repasse enfin au chose sérieure, en rabaissant son derrière au niveau de ma verge, j'enfonce sans attendre plus encore la banane en plastique dans son fondement le plus loin possible. Une fois ma hanche sur ses fesses, je lui dit:
- Tu aimes? Je t'ai donné un produit pour... ~~♥

Sans attendre de réponse, je bouge le sexe en plastique, commencant le premier va-et-viens. Elle pouvait toujours tenter de parler... Si elle en était encore capable...