Peut-être que, parfois, les spores de Pamela fonctionnaient trop bien... Tous les verrous avaient sauté, et Harley, à sa manière, exprimait toute la joie qu’elle avait de revoir son amie... Qui était maintenant un peu plus que ça. Elles avaient déjà fait l’amour ensemble auparavant, mais... Honnêtement, Ivy n’avait pas le souvenir que le sexe avec Harley soit aussi intense. Les deux femmes se faisaient l’amour avec une sauvagerie passionnelle qui, aux yeux de l’Empoisonneuse, ne faisait qu’exprimer toute la joie qu’elles ressentaient mutuellement à se retrouver. Harley la pénétrait rudement contre le mur, et Pamela, crispée contre elle, gémissait et couinait, hurlait et soupirait, les cuisses trempées, en sentant l’orgasme se rapprocher. Harley, cette femme forte, endurante, agile et musclée, était en train de rattraper des mois d’abstinence sexuelle entre elles, et elle se débrouillait plutôt bien.
Harley ne se contentait pas juste de la pénétrer, elle ne se bornait pas à envoyer les fesses vertes de Pamela rougir en tapant le meuble, la femme léchait ses tétons et griffait son corps, se faisant plaisir, savourant tout ce que le corps de la belle plante verte avait à lui offrir. C’est ainsi que cette séance se révélait ardente, douloureuse, et que Pamela finit par se retrouver sur le lit, en soupirant de plaisir.
Son corps heurta le lit, et Harley s’allongea sur elle, puis elles s’embrassèrent, les mains de Pamela en profitant pour s’enrouler autour de son dos, l’une de ses mains filant dans les longs cheveux de la femme pour s’y appuyer.
« Hmmmmmm... !! »
Ce fut un beau baiser, un baiser comme Harley les adorait, romantique et plein d’énergie. Pamela avait compris depuis de nombreuses années qu’Harley était sexuellement frustrée avec Le Joker. Certes, elle n’avait jamais posé à Harley trop de questions sur sa relation intime avec lui (parce que le simple fait de mentionner le Prince du Clown lui donnait des envies de meurtres), mais elle avait cru comprendre que le sexe n’intéressait pas trop le Joker. Mis à part torturer Batman, ou manipuler d’autres gens et les faire souffrir, rien, en fait, ne semblait vraiment passionner Le Joker. Harley se rattrapait donc avec Pamela, et il suffisait de voir la manière dont elle se crispait contre elle à chaque fois pour comprendre ô combien elle aimait le sexe. La seul différence, ici, c’était qu’Harley était beaucoup plus énergique, et bien plus entreprenante. Était-ce une manière symbolique qu’elle avait de dire qu’elle avait abandonné pour de bon le Joker, afin de se consacrer entièrement à elle ? Pamela en serait ravie... À Gotham, elle n’avait jamais vraiment pu clarifier leur relation, qui avait toujours oscillé entre la simple camaraderie et autre chose, mais, avec le recul, et l’air calme et apaisé de Seikusu, Poison Ivy voyait les choses différemment.
Le baiser se rompit donc, comme une sorte d’entracte, et Harley opta pour de nouvelles positions. Le sport n’avait jamais véritablement passionné Pamela en cours, c’est un fait... La biologie, voilà ce qui l’avait fasciné. Une matière dans laquelle elle avait toujours eu 20/20 de moyenne. Le sport, en revanche, était pour elle la matière des imbéciles et des frimeurs, de gens qui n’hésitaient pas à saccager les pelouses pour taper sur un stupide ballon. Mais, depuis lors, elle était devenue Poison Ivy, et, devant le sarcasme d’Harley, elle ne tarda pas à lui répondre :
« Je ne suis pas aussi souple que toi, mon petit clown... Mais tu vas voir que je suis loin d’être aussi rigide et tendu que ton bâton... »
Harley n’avait pas encore joui, contrairement à Pamela, qui avait eu un orgasme, et qui avait répandu sur le sol et sur le lit de Félicia sa mouille... Mais bon, elle l’aiderait plus tard à faire le ménage. Pour l’heure, elle sentit Harley relever ses jambes, et Pamela soupira, se pinçant les lèvres en comprenant ce que son adorable clown avait en tête... Et, à sa manière, elle entreprit de l’aider. Des tentacules jaillirent du plafond pour s’enrouler autour des chevilles de Pamela, permettant ainsi d’éviter que ses jambes ne viennent embêter Harley. Le corps d’Ivy était redressé, ses fesses bombant vers Harley, et le clown la baisa ainsi.
« Haaaa... Harley, haaaannn... Tu... Hummm... Je t’avais vraiment manqué, h-h-ein ?! »
Avec cette position, les coups de reins d’Harley étaient encore plus prononcés, et la mouille de Pamela formait comme une petite fontaine, éclaboussant son estomac, en répandant autour d’elle sa doucereuse et végétale odeur.
« O-Ouuuii... Fais... Fais-moi hurler, haaaannn... »
Pamela se tortillait, et elle sentait les tentacules se crisper autour de ses chevilles. Cependant, Poison Ivy était aussi joueuse, et, pendant qu’Harley remuait en elle, un tentacule se rapprochait de son dos, et caressa sa peau, glissant le long de ses courbes pour se rapprocher de ses fesses. Un tentacule en forme phallique, qui remua contre sa croupe, se tortillant dessus.
Ivy n’avait pas encore fini de jouer avec elle, et, lentement, ce tentacule entreprit de s’enfoncer en elle, de se glisser dans le beau petit cul d’Harley... Comme pour lui rendre la politesse.
Et, juste à côté, Félicia continuait à prendre Aoki, et on pouvait entendre les multiples sons que le corps d’Aoki faisait en heurtant l’armoire. Son beau corps remuait d’avant en arrière en heurtant l’armoire, et rebondissait ainsi. La Chatte Noire se faisait plaisir avec cette femme, l’embrassant furieusement, avant de la sentir lécher sa joue. La belle Américaine ronronnait furieusement, en continuant à se tortiller contre elle, enfonçant son membre le plus loin possible, avant de repartir en arrière, puis de revenir en avant, et ainsi de suite. Son corps se tortillait contre elle, et Félicia essayait surtout de conserver les jambes d’Aoki contre son cul. Cette dernière lui avait offert sa « prise koala », consistant à se serrer toute contre elle, et la Chatte Noire savait qu’elle devait avoir mal... Mais ce n’est pas comme si les deux femmes avaient l’habitude de faire l’amour doucement... Ou, plutôt, si elles avaient l’habitude de faire l’amour sensuellement et de manière calme et tendre, elles pouvaient aussi joyeusement et violemment s’envoyer en l’air... Très précisément comme en ce moment.
« A-Aoki, haaa... »
Elle demanda à ce qu’elle jouisse, qu’elle la recouvre de sperme... Mais ça, Félicia ne pouvait pas le faire, et cette dernière répondit en l’embrassant, et enfonça sa queue plus lourdement en elle, puis mordilla sa bouche, tirant sur sa lèvre inférieure, avant de jouir. Elle soupira, basculant sa tête vers l’arrière, et balança dans le corps d’Aoki des filaments de foutre.
« Hnnnnnnnnnnnnnn... Haaaaaaaaaaaaa... !! »
Félicia soupira longuement, puis cligna des yeux, le corps en chauffe. Elle embrassa à nouveau Aoki, et la décolla du mur, pour la balancer sur le grand lit. La tête d’Aoki arriva ainsi sur le torse de Poison Ivy, et Félicia sourit, en se dressant face au lit, ses mains caressant délicatement les jambes de la femme.
« Bien... Il est temps que je viole ton petit cul maintenant, ma chérie, non ? »