Un sourire épanoui ornait les lèvres de Pamela, non seulement parce qu’elle défonçait un joli cul, mais aussi parce qu’elle voyait
sa Harley épanouie et heureuse. L’amour avait toujours agi de manière très particulière sur Harleen. Elle adorait les couples amoureux, et Pamela était bien placée pour le savoir. Il y a quelques années, l’un des périples d’Harley avait conduit les deux femmes à Métropolis. Harley était alors en situation compliquée à Gotham City. Le Joker avait encore tenté de la tuer, et elle s’était attirée les foudres d’un riche magnat de l’immobilier, qui avait voulu fonder un parc d’attractions à Gotham ayant pour thème les prisonniers incarcérés à l’Asile d’Arkham. Pour lutter contre eux, Harley avait décidé de prendre le costume de Batgirl, à une époque où la vraie Batgirl venait à peine de ressortir de ses troubles liés au tir du Joker. La petite Harley s’était ainsi retrouvée en quelques semaines
persona non grata à Gotham, traquée par le Joker, la Mafia, et la Bat-famille au complet. N’ayant pas d’autres solutions, elle avait entrepris de fuir en allant voir la seule personne à Gotham qui ne lui ferait jamais de mal : Poison Ivy. Pamela, après quelques hésitations, avait décidé de suivre Harley, craquant comme toujours quand son Arlequin faisait sa petite tête toute triste… Leurs périples à Métropolis n’avaient guère été plus reposants, vu que Pamela avait fini en prison quand Harley et ses manigances leur avaient amené, dans leur appartement, Bizarro, Jimmy Olsen… Puis Superman. Une fois arrivée à Métropolis, Harley avait utilisé les spores d’Ivy pour rejoindre le
Daily Planet, où elle avait séduit le rédacteur-en-chef, White Perry, pour qu’il l’embauche afin qu’elle fonde une chronique spéciale, dans laquelle les lecteurs (et lectrices) demanderaient des conseils pour leurs relations… Harley avait toujours aimé les gens amoureux, et ce même si ses conseils n’étaient pas toujours très orthodoxes. Ainsi, face à une femme soupçonnant son amant, qui rentrait tard, d’être Superman, elle avait choisi de débarquer dans leur appartement, en menaçant la femme avec un pistolet, afin que son mari manifeste ses super-pouvoirs latents ou non.
Harley sentait qu’il y avait entre Aoki et Félicia quelque chose de fort, et elle en jouait, en profitait. Elles s’étaient longuement embrassées, elle et la Chatte Noire, puis Harley alla la provoquer, glissant sa main sous sa combinaison en cuir. Les ronronnements de Félicia glissaient sur les crissements de sa combinaison, ses mains se serrant le long des tentacules immobilisant le chaton. Elle sentit les doigts d’Harley se rapprocher de son sexe, se tortillant au milieu de la langue de la jeune femme.
«
Haaaan… Rrrrrrrrrrrrrrr… Haaaaaannnn !! »
Elle gémissait, en sentant désormais la langue d’Aoki se poser contre son intimité, plus accessible. Sa combinaison était trempée par la salive d’Aoki et par sa mouille, moulant cette dernière, permettant ainsi d’accéder plus facilement à son sexe. Sa tête bascula en arrière, et elle soupira à nouveau, se tortillant lentement. Harley jouait avec elle, en demandant à Félicia de prononcer quelques mots, tout en jouant avec elle, menaçant d’aller baiser Aoki à sa place si elle ne le faisait pas. Ivy, elle, souriait. Ses mains étaient toujours posées sur la croupe de la femme, et elle remuait d’avant en arrière, déflorant le beau petit cul d’Aoki, sa verge végétale glissant lentement en elle. Même si elle restait silencieuse, c’était elle qui dirigeait tout… Mais elle laissait à Harley le soin d’être la chef d’orchestre de cette séance à quatre.
Pamela posa ses mains sur le corset rose d’Aoki, et, dans un long soupir, se mit à jouir en elle.
«
Haaaaaannnn… !! »
Elle gifla ensuite sa croupe, et se retira d’elle. Son intimité et son fondement ne furent toutefois pas seuls trop longtemps, car, tandis que le sperme d’Ivy coulait un peu de ses fesses, deux tentacules vertes arrivèrent, et s’enfoncèrent en elle.
S’écartant du lit, Pamela, avec une peau qui était maintenant toute verte, s’approcha de Félicia et d’Harley, arrivant de l’autre côté de Félicia. La verge végétale de Pamela avait disparu, et la femme vint malaxer l’un des seins de la femme.
«
Mon beau petit chaton… »
Pamela mordilla son cou, léchant sa peau, et embrassa ensuite sa joue, tandis qu’Aoki continuait à lécher avec appétit.
«
J-Je… Haaaaaannnn… Ha… Harley, j-je… Huuuunnn… Li… Haaaaaaaaaaaa… Miaaaaawwww… »
Ce miaulement qui s’échappa des lèvres de Félicia fit sourire Pamela. Sa main se tendit pour caresser et empoigner les cheveux d’Aoki, tandis qu’elle reniflait ce cuir. C’était vraiment une texture qu’elle adorait, une texture qui confirmait qu’il y avait des choses que, chez l’être humain, Pamela adorait.
«
Harley, je… Hunnn… Libérez-moi, haaaaannnn… Je… Je veux baiser Aoki !! Je veux la baaaaaaaaaaaaaaiii-haaaaaaaannnnn-ser… FORT ! Car… Haaaa-haaaaaann !! C’est… C’est ma… Hunnnnn !! Petite… Chienne… Hooooooooooooooo… »
Pamela sourit.
«
Très bien… Mais, pour ça, il faut que tu jouisses, Félicia, je vais te faire une petite surprise… »
La Chatte Noire soupira à nouveau, et Pamela alla l’embrasser, répandant dans son corps un aphrodisiaque très fort. La Chatte Noire gémit, et il s’écoula encore quelques minutes de caresses, de baisers, et de soupirs, pour que Félicia finisse par jouir. Pamela tendit alors une curieuse boule verte, et, en souriant, la glissa dans l’intimité de Félicia.
«
Je te présente l’une de mes nouvelles plantes, Harley… Elle se nourrit des fluides sexuels, comme la mouille de notre charmante chatte, et pousse alors… »
Les liens retenant les bras de Félicia se retirèrent, et la Chatte Noire retrouva enfin l’usage de ses membres. La boule verte se mit alors à pousser dans deux directions : à l’intérieur de son intimité, donnant ainsi le sentiment qu’un sexe était planté en elle, et devant, formant une belle verge qui se mit à déformer sa combinaison, poussant sur cette dernière. Félicia gémissait et soupirait, et sa main agrippa les cheveux d’Aoki.
«
Lèche, ma chérie… »
Pour l’heure, son sexe était recouvert par la combinaison en cuir… Mais ce n’était qu’intermédiaire. Pamela, elle, en profita pour se rapprocher d’Harley, et la prit dans ses bras, venant l’embrasser sur les lèvres.
«
Est-ce que tu veux l’essayer, ma puce ? »
Dans sa main, Pamela tenait une autre boule verte, la posant devant le visage d’Harley, une lueur espiègle dans les yeux.
* :
l’embauche d’Harley Quinn au sein du Daily Planet figure dans le numéro #15 de la série « Harley Quinn », « Metropolis Mailbag ».