Une déesse comme maîtresse ? [PV Kalianna]

Tout avait commencé lorsque j'avais décidé de me faire esclave. Malheureusement, j'avais eu peu de chance, ma propriétaire était d'une cruauté illimitée, mais, avec l'aide d'autres esclaves, nous sommes parvenus à nous sortir de son manoir, et à repartir chacun de son côté. Or, j'avais toujours autant de problèmes financiers qu'avant, voire plus, puisque j'avais du donner tout mon argent à mon ancienne maîtresse. Je tentai donc ma chance une seconde fois, en m'auto-vendant sur la place publique. J'eus d'abord un très maigre succès, car la plupart des clients venaient surtout pour voir les marchands d'esclaves réputés, et surtout pour voir de jolies esclaves à acheter, ou seulement à regarder nues sur la place. Moi, je n'avais pas grand-chose à montrer. Certes, j'aurais pu dévoiler mon membre imposant, mais je préférais garder un certain suspense vis-à-vis de mon prochain propriétaire.

Je n'eus heureusement pas à attendre trop longtemps. En effet, quelques heures après ma mise en vente, un homme de haute taille aux dents clairsemées était arrivé, et m'avait interpellé. Il m'avait rapidement expliqué que sa maîtresse désirait m'acquérir, et qu'il voulait m'amener jusqu'à elle pour que je puisse m'entretenir avec elle... J'acceptai donc ce marché, suivant l'homme à travers toute la ville de Nexus, jusqu'à arriver à une magnifique résidence. Si l'extérieur ne ressemblait en somme qu'à un manoir relativement commun, une fois que j'entrai dans le bâtiment, je me retrouvai confronté à un intérieur tout simplement magnifique. Les yeux écarquillés, totalement abasourdi, j'entendis à peine l'homme de main me glisser à l'oreille :

« Ça surprend la première fois, n'est-ce pas ? »

Surprendre ? Le mot était faible. En cet instant, j'étais ahuri, déconcerté, ébahi, éberlué, émerveillé, étonné, hébété, stupéfait, majs en aucun cas je n'étais "surpris". C'était un bel euphémisme. La bouche bée, je me retournai vers l'homme, en quête d'une quelconque directive. Il se contenta de me dire en souriant :

« Ma maîtresse vous demande de vous mettre à l'aise en attendant son retour. La chambre est au sommet de cet escalier. Je vous laisse, j'ai du travail. »

Et il partit d'un bon pas, me laissant seul avec mes interrogations. Je gravis donc les marches de marbre blanc dans lesquelles je pouvais voir mon visage tant elles étaient brillantes. L'entretien d'un tel bâtiment devait être une quantité de travail énorme. Et si elle désirait m'acheter, cette tâche risquait bien de me revenir. Une fois devant la porte de la chambre, je frappai trois coups, bien que l'homme de main m'ait prévenu qu'il n'y avait personne. Après une bonne minute d'attente, je finis pas rentrer dans la pièce, la découvrant dans toute sa splendeur. Désirant faire bonne impression sur ma possible future maîtresse, je ne me mis pas "à l'aise", mais je m'agenouillai sur le sol, face à la porte, le visage baissé en signe de soumission, de sorte qu'elle me voie dès qu'elle passerait la porte.

Je suis la tentation à son état pur, succombé à mes vices est de là ma ligne directrice. Depuis mon retour sur terre et terra, des disciples en sont sortie, m'offrant tout et je pouvais m'abreuver de leurs tentations, mes pouvoirs lentement revenait et c'était pour le mieux, comme on le dit souvent, rien n'est trop beau pour une déesse, alors je m’acheta une maison autant sur Terre et Terra, l'argent je garde mon secret de la posséder, il le faut bien, je ne veux pas que vous vous m'étiez à user de cette astuce...

En ce jour de chaleur sur Nexus, mon regard vagabondait sur le reflet du miroir magique, ce miroir me permettait de voir ce que je voulais, quand je le voulais, alors j'observais les marchandises, aujourd'hui je désirait avoir une proie facile, rien de mieux qu'un esclave pour cela, j'en eu un rire, puis alors que mes recherches avançaient je trouvais ma perle, un garçon. Mon sourire s’agrandit, il allait être parfait pour moi, les humains étaient fait pour être esclave! ♥

J'appella mon serviteur préférer des enfers, Lükis, un démon au allure normal lorsqu'il était sous sa forme humaine, qui me servait au doigts et à l’œil, rien n'est plus beau pour sa déesse favorite, vous avez entendue, pour sa déesse favorite! C'était si beau quand il me disait sa à mon oreille, j'en ai encore les frissons. J'ordonna à Lükis d'aller me chercher l'esclave que j'avais vue et qu'il me l'emporte à ma résidence spacieuse en attendant mon arriver, il fit une courbette vers l'avant et disparue. Je me mit à rire et je me leva de mon lit si confortable des enfers, j'étais nue, comme à mon habitude, je m'observa tranquillement dans un autre miroir et je prit une robe courte au couleur d'or et l'essaya, elle m'arrivait un peu plus bas que les fesses, mais beaucoup plus haut que mes genoux, je sourit et plaça mon collier d'or et d'émeraude dans mon cou, une chaine de pierre d'émeraude tombant lentement jusqu'à mes seins qui se faisait plus tenteur grâce à cette robe.

Je n'avais pas mon apparence de succube, je n'allais pas faire peur à cet humain, en arrivant sous mon apparence normale, j'allais rester sous le normal, je restait tout de même une magnifique créature à la beauté remarquable. Je ferma mes yeux de mon repère et les r'ouvrit arrivant à mon domaine, ingénieux les démons avec des petits procédés très simple pour permettre la téléportation, partout où on voulais! J'adore cela, c'est si pratique! Je suis apparue dans mon domaine que je désire éclatant de beauté, bientôt sa seras à l'extérieur de rénovée...

J'eus un sourire en regardant les marchent, mon esclave m'attendais, mieux valait que je m'y rende. Je me mit à monter les marchent, lentement, on pouvait entendre le son de mes talons hauts à chaques marches. Puis j'arriva à la porte de ma chambre, je pris un grand sourire et ouvrit la porte pour voir cet esclave qui m'attendais, je fronça les sourcils sur sa manière de se place, puis je trouva cette position parfaite pour un humain devant son être supérieur.

- Esclave, à présent tu m'appartient, c'est décidée, je te garde au moins une semaine pour t'essayer, oui oui tu auras un salaire, mais il faut que tu le mérite!

Je marcha à coté de lui pour aller en direction du lit où j'alla m'assoir à son extrémité et je continua à parler :

- Relève toi et regarde moi! Avant de passer au chose sérieuse, je désire que tu me parle de toi, oh! Et que tu ne porte pas de vêtement, tu n'en auras pas besoin pour la suite des choses, et c'est mieux ainsi, il fait chaud! Tu me nommeras : Déesse, car tout le temps dire Déesse Kalianna, sa devient redondant, donc tu pourras autant dire Déesse que Déesse Kalianna! Mais pas trop du deuxième!  Oh et je veux aussi que tu me décrive, tout tes talents que tu as au lit! ♥ Voilà! ♥

Je lui sourit, j'espère qu'il se rendait compte de la chance de servir une Déesse était un grand privilège et qu'il était chanceux! Je croisa mes jambes et l'observa.

J'avais entendu le son de ses talons hauts qui martelaient le sol avant même qu'elle ne rentre dans la chambre. Du coin des yeux, je vis la porte s'ouvrir, mais je ne levai pas le regard, ne sachant du coup pas à quoi ressemblait ma nouvelle maîtresse. Oui, nouvelle maîtresse, parce que la phrase qu'elle venait de prononcer voulait bien dire cela :

« Esclave, à présent tu m'appartient, c'est décidé, je te garde au moins une semaine pour t'essayer, oui oui tu auras un salaire, mais il faut que tu le mérite ! »

C'était ne peut plus clair. Mais avec elle, pas de contrat, pas de blabla, elle commença directement à me donner des ordres. Ordres auxquelles je m'empressai d'obéir, d'ailleurs. Il fallait lui montrer que je méritai bien de belles récompenses... Elle poursuivit donc :

« Relèves-toi et regardes-moi! Avant de passer aux choses sérieuses, je désire que tu me parles de toi, oh ! Et que tu ne portes pas de vêtement, tu n'en auras pas besoin pour la suite des choses, et c'est mieux ainsi, il fait chaud ! Tu me nommeras : Déesse, car tout le temps dire Déesse Kalianna, ça devient redondant, donc tu pourras autant dire Déesse que Déesse Kalianna! Mais pas trop du deuxième!  Oh et je veux aussi que tu me décrives tout les talents que tu as au lit ! ♥ Voilà ! ♥ »

Plutôt exigeante, la patronne. J'avais intérêt à ne pas la décevoir. Je m'exécutai donc, retirant mes vêtements un à un, à commencer par son T-shirt blanc, puis son pantalon bleu ciel, et puis il termina par le petit caleçon noir, révélant à ma maîtresse mon membre qui, au repos, ressemblait au plus commun des pénis. Sa surprise si jamais elle commençait à m'exciter... Elle serait très fière de son esclave ! Je lui répondis donc, même si j'avais peu à dire...

« Oui, Déesse. Je n'ai à dire vrai que peu à vous raconter à mon sujet... Je me suis réveillé un jour, à la rue, sans doute abandonné par ma famille, et j'ai finis par comprendre que pour avoir un toit et une vie convenable, je devais me faire esclave auprès des plus fortunés... Vous m'avez trouvé. Je ne peux rien vous dire d'autre, malheureusement... Par contre, en ce qui concerne mes talents au lit... Je peux faire absolument tout ce que vous désirez, le moindre de vos fantasmes peut être réalisé sur ou avec moi, je ne refuse rien. Et vous serez ravie d'apprendre que je suis très endurant. Et euh... Je ne sais pas si je suis autorisé à vous le dire, mais... Mon fantasme, c'est la branlette espagnole...

Voilà. Elle était servie, j'espérais secrètement que cette maîtresse exauce mon souhait, un jour... Mais pour l'instant, c'était elle que je devais satisfaire !

Mes yeux observèrent cet esclave, j’observai sa démarche pour enlever ses vêtements, sa marchait pas du tout, je devrais lui apprendre qu'il doit allumer sa ou son partenaire, il doit réussir à la tenter encore plus de son corps, et comme sa, sa exciterait même pas une une poule. J'allais devoir lui enseigner, l'art de la tentation, surtout pour un esclave, c'était primordiale!

J'observa son membre, normal comme beaucoup d'humain, sa me déçoit un peu... Dommage, pas de gros lot à soir. Il n'ose pas me regarder, il a bien été dresser, mais il manque quelque choses, il a l'air de celui qui se fait que donner des ordres avant d'oser qu’elle que chose, mais peut-être je me trompe? Les humains ont cette particularité, celle d'étonner quand on s'y attends le moins, j'espère que c'est son cas.


« Oui, Déesse. Je n'ai à dire vrai que peu à vous raconter à mon sujet... Je me suis réveillé un jour, à la rue, sans doute abandonné par ma famille, et j'ai finis par comprendre que pour avoir un toit et une vie convenable, je devais me faire esclave auprès des plus fortunés... Vous m'avez trouvé. Je ne peux rien vous dire d'autre, malheureusement... Par contre, en ce qui concerne mes talents au lit... Je peux faire absolument tout ce que vous désirez, le moindre de vos fantasmes peut être réalisé sur ou avec moi, je ne refuse rien. Et vous serez ravie d'apprendre que je suis très endurant. Et euh... Je ne sais pas si je suis autorisé à vous le dire, mais... Mon fantasme, c'est la branlette espagnole...

La branlette espagnole... Mmm si plaisant petit plaisir, s'il fait bien l'affaire, je le gâterait un peu. Sa voix est douce, tranquille, un peu de sauvagerie, sa ferait moins mal à personne, non? Je l'observa et me leva tranquillement, le bout de mes doigts frôlant sa peau de son torse, je fis lentement le tour de lui, tout en le caressant du bout de mes doigts, je le regarda, l'analysa de mes yeux verts et je m'arrêta face à lui, je posa ma main sur son menton et le poussa pour relever son menton et pour le forcer à me regarder.

Sur mes lèvres j'avais un grand sourire dévoilant mes dents clairs et blanche, ma peau basanée me donnait un air exotique et mes cheveux noir encadraient mon visage, mes yeux verts éclatant fixait cette humain.

-La branlette espagnole, j'aime bien sa, mais pour que t'a nouvelle maîtresse veulent bien t'en faire une juste d'abord, je désire voir tes talents... de meneur, de dominant, j'aime bien les dominants et ceux qui se font tenteur, impressionne moi et ordonne moi presque tout ce que tu veux, ta déesse désire voir ta valeur, car un bon esclave, peut autant dominer qu'être dominer! J'attends! Impressionne moi.


Je le regardait, qu'allait-il faire? J'attendais de voir, la tentation me prenant, je m'en mordit la lèvre et regarda mon esclave droit dans les yeux, nos souffles se mêlant et s'accordant, moi j'attendais...

La maîtresse ne me laissa pas le choix. Elle saisit mon menton entre ses longs doigts fins et le souleva. Elle était magnifique. Subjugué par sa beauté stupéfiante, j'eus beaucoup de peine à refermer la bouche. Lorsque j'y parvins finalement, elle prit la parole de sa voix que j'avais déjà commencé à aimer. Cette voix qui donnait ses ordres auxquels moi seul pouvait obéir... Oui, je l'aimais déjà.

« La branlette espagnole, j'aime bien ça, mais pour que ta nouvelle maîtresse veuille bien t'en faire une juste d'abord, je désire voir tes talents... de meneur, de dominant, j'aime bien les dominants et ceux qui se font tentateur, impressionnes-moi et ordonnes-moi presque tout ce que tu veux, ta déesse désire voir ta valeur, car un bon esclave, peut autant dominer qu'être dominé ! J'attends ! Impressionnes-moi. »

J'étais doublement impressionné. Premièrement parce que je ne m'imaginais pas un instant qu'elle aurait ne serait-ce qu'envisager de m'offrir ce que je lui demandais... Et là, elle avait clairement dit qu'elle pourrait me faire une branlette espagnole si je lui obéissais correctement... Galvanisé par la possibilité d'enfin assouvir mon fantasme, j'en arrivai à mon second étonnement. Elle me demandait de jouer au maître avec elle. C'était plutôt perturbant, puisque je n'avais jamais été le maître de personne. La dominer serait certainement difficile, mais la possibilité qu'elle exauce mon souhait me donnait des ailes. Je modifiai mon regard, passant de l'air soumis à des sourcils froncés, un regard profond. Je me relevai, lui montrant ainsi que je la dominais déjà rien que par la taille, la toisant du haut de mon mètre-quatre-vingt-trois. Enfin, tout cela n'était qu'un rôle, évidemment... La perspective de pouvoir dominer une aussi belle femme m'excitait beaucoup, et mon membre commençait déjà à se dresser, se durcir et s'allonger... Je commençai donc à jouer mon rôle de meneur.

« À genoux. Tout de suite. Et dénudes-toi les seins, j'ai toujours rêvé d'avoir une servante en topless... »

Mensonge, évidemment. Je n'avais tout simplement jamais songé à avoir une esclave... Mais je ne devais pas laisser passer l'occasion que me donnait la Déesse...

« Ensuite, tu viendras me lécher les pieds. Doucement, orteil par orteil, avant de remonter lentement tes lèvres le long de mes jambes, et venir t'occuper de ma bite. Et si je t'ai dit de te mettre seins nus, ce n'est pas pour rien, alors sois créative ! »

J'avais employé toute mon énergie à chercher quelque chose de dégradant pour elle mais que j'oserais quand même lui dire... Parce que après tout, c'était moi l'esclave, et elle avait bien dit que je pouvais lui demander "presque" tout... Maintenant, j'allais voir si ça rentrait dans la catégorie des choses qu'elle acceptait...

Je ne suis tout de même point idiote, je ne suis pas une esclave, je n'allait pas tout faire ce qu'il me disait de faire, juste, ce que je veux, je le regardait tenter de prendre un air de meneur, si vous saviez combien il était dure de ne pas rire, devant cet air qu'il tentait de prendre, être un bon dominant peut se faire même si on a l'air gentils de nature. J'allais devoir lui enseigner cela, je le regarda se lever, il est grand, j'aime ça, je l'observa et vit son membre commencer à durcir, la tentation se fit prenante de me mettre à le caresser, mais je résista.

« À genoux. Tout de suite. Et dénudes-toi les seins, j'ai toujours rêvé d'avoir une servante en topless... »

Le rire, à ce qu'il était prenant, mais au combien il aurait été parfait, lentement je descendit pour m'agenouiller devant lui, mon regard se leva vers l'homme et je posa mes mains sur le bas de ma robe, car je portait une robe et m’apprêtant à enlever celle-ci avec sensualité qu'il se remit à parler.

« Ensuite, tu viendras me lécher les pieds. Doucement, orteil par orteil, avant de remonter lentement tes lèvres le long de mes jambes, et venir t'occuper de ma bite. Et si je t'ai dit de te mettre seins nus, ce n'est pas pour rien, alors sois créative ! »

Non, il y a des choses que j'accepte, mais ça je n'accepterait pas, surtout de lécher les pieds de mon esclave. Donc je le regarda avec un petit sourire pervers, mes mains se posèrent sur le bas de ma robe et lentement je l'enleva avec sensualité pour y dévoiler mes seins avantager de nature, rare était les fois que j'avais un sous-vêtement, mais cette fois-ci j'avais seulement un string au couleur d'or, je l'observa, laissant le temps à mon esclave de voir ma poitrine que je caresse un peu et je m'approcha de lui, son membre proche de ma bouche, je sortie la langue et alla caresser le bout de son gland puis doucement je m'avança un peu plus, ma bouche englobant son membre avec avidité, sa langue le caressant tandis qu'elle venait caresser le bout de sa verge au bord de sa gorge, une gorge profonde, pas tout de suite en tout cas. Mes lèvres firent des vas et viens long et envoutant, ma langue le caressant, mes lèvres arriver au bord du gland que je commençait à faire des succions pour qu'il ressente une plaisir extrême. Puis je m'arrêta, lentement me releva pour faire face à lui, je ne voulais pas le faire jouir tout de suite, il le méritait pas encore. Je l'observait puis un sourire naquit sur mes lèvres et du bout de mes doigts je le poussa sur mon lit au matelas moelleux, puis lentement j'embarqua sur lui, je le regardait droit dans les yeux :

-Je vais devoir t'apprendre à être un dominant, car tu est un mauvais dominant! Mais pas tout de suite... Nous avons tout notre temps...

Je m'approcha doucement de sa tête, mes lèvres proches de ceux de son esclave, si proche qu'il pouvait en sentir le frottement de la peau de ceux-ci. Je glissa doucement ma tête vers son coté gauche de la tête, j'alla lui murmurer à l'oreille :

-Ta déesse veux voir ce que tu sais faire avec ta bouche, sans tes doigts et sans ton membre, fait moi le plus de bien jusqu'à je décide quand arrêter, seulement avec ta bouche, je te laisse carte blanche sur ce que tu veux faire, peut-être après cela t'auras une surprise.


Je porta ma main à mon string, mais j'arrêta, j’allai tout de même laisser à mon esclave la chance de l'enlever. J'étais encore par dessus de lui, il devras changer de bord avec moi, s'il voulait me faire du bien, sa langue doit être parfaite pour elle, la langue était une chose qu'elle adorait user, une si petite chose qui est capable dans faire gros.

Je la regardais d'un air fiévreux, son sourire pervers ne servant qu'à m'exciter plus encore... Lorsqu'elle retira sa robe, mon membre fit un bond, galvanisé par ce corps rempli de promesses... Ses seins étaient gros, ils feraient très bien l'affaire si elle décidait de me récompenser... Elle portait un petit string doré, qui cachait juste assez pour m'octroyer une étrange excitation frustrée, mélange de plaisir par anticipation et d'impatience qu'elle l'enlève aussi... Mais dans l'immédiat, c'était elle qui devait être gâtée. Me regardant toujours, elle caressa un instant sa poitrine, me faisant déglutir, puis elle s'approcha de mon sexe et donna un coup de langue dessus. Ce n'était pas prévu, elle était censée commencer par mes pieds ! Je tremblai, surpris, comprenant qu'elle n'accepterait pas tous mes caprices, loin de là. Elle fit plusieurs va-et-vients sur mon membre, le suçant avec ardeur. Et ses efforts étaient récompensés. Mon pénis avait atteint la taille d'un membre banal en totale érection, or il n'était levé qu'à moitié, la preuve qu'il pouvait encore grandir... J'espérais que cette surprise allait la satisfaire...

Quand elle cessa de me sucer le gland, je ne pus retenir un léger grognement. Comprenez-moi, c'était si bon que j'en étais presque triste qu'elle s'arrête. Mais je n'étais que son esclave, je n'avais pas mon mot à dire. Je fis donc semblant de rien. Elle me poussa alors et ma jambe buta contre un objet dur. Je tombai en arrière et réalisai alors que j'étais arrivé sur le lit. Ensuite, lentement, me regardant toujours alors que mon regard à moi était plus orienté vers sa poitrine, elle grimpa sur moi, prenant garde d'éviter mon membre à moitié dressé, certainement pour ne pas me donner du plaisir que je n'avais pas mérité.

« Je vais devoir t'apprendre à être un dominant, car tu es un mauvais dominant ! Mais pas tout de suite... Nous avons tout notre temps... »

Un mauvais dominant ? Elle avait refusé d'accéder à mon ordre, ça ne faisait pas de moi un mauvais dominant ! Mais je ne pouvais pas me plaindre à ma maîtresse. Vexé, je me tus donc. Elle approcha doucement son visage du mien, ses lèvres presque au contact des miennes, mais au moment où j'allais l'embrasser, croyant que c'était ce qu'elle voulait, elle changea de direction et vint me chuchoter à l'oreille :

« Ta Déesse veut voir ce que tu sais faire avec ta bouche, sans tes doigts et sans ton membre, fais-moi le plus de bien jusqu'à ce que je décide quand arrêter, seulement avec ta bouche, je te laisse carte blanche sur ce que tu veux faire, peut-être après cela t'auras une surprise. »

Intéressant... Je devais lui montrer comment je me servais de ma bouche... Je la vis faire mine de retirer son string, puis s'arrêter. Je compris rapidement qu'elle préférait me laisser cette tâche. La position étant plutôt inadéquate pour cela, je lui montrai par la même occasion que je n'étais pas dépourvu de force physique. J'empoignai ses fesses nues, en profitant pour palper sa peau douce, puis la soulevai et la retournai à la seule force de mes bras, la laissant retomber sur le dos, sur le lit. J'espérais qu'elle ne jugerait pas ça comme une tricherie, parce que j'avais quand même utilisé mes mains pour la soulever. Pour ne pas la faire attendre, je m'approchai d'elle, et plus spécialement de sa poitrine. J'engloutis immédiatement le mamelon de son sein droit dans ma bouche, inspirant de l'air pour donner un effet d'aspiration très agréable, mordillant légèrement son téton pour augmenter graduellement le plaisir. Je fis ensuite des ronds autour de son téton qui commençait à durcir, ce qui voulait dire qu'elle aimait ce que je lui faisais ! Motivé par cette observation, je fis ensuite de même avec l'autre sein, jusqu'à ce qu'elle soit dans le même état d'un côté et de l'autre, sa poitrine luisante de ma salive.

Une fois que j'eusse correctement gâté la superbe poitrine de ma maîtresse, je redescendis légèrement ma tête, m'arrêtant devant ce string si tentant... La Déesse savait comment captiver ses amants. J'approchai mon visage de son sous-vêtement puis d'un mouvement habile du cou et de la mâchoire, je coinçai le bout de tissu entre mes deux rangées de dents, avant de tirer doucement vers le bas, retirant lentement la lingerie, le bout de mon nez caressant son bas-ventre durant toute la manoeuvre... Je déposai précautionneusement le string sur la table de nuit, prenant garde de ne pas abîmer un bien si précieux, avant de revenir à ma tâche. L'intimité de ma maîtresse était magnifique, et si je n'étais pas aussi soumis, je n'aurais certainement pas résisté à l'envie d'y fourrer mon gros membre.

Tiens, à propos de cela... Belle surprise pour la Déesse : complètement tendu, mon sexe atteignait enfin sa véritable envergure, de dimensions impressionnantes. Même à la Déesse des Péchés, cela devait lui faire un petit effet... Revenant à mes obligations en tant qu'esclave, j'entrepris alors de lui lécher soigneusement la vulve dans son ensemble, pour ensuite m'attarder tour à tour sur son mignon clitoris et sur ses lèvres intimes tentatrices...

Mon regard observait mon nouvel esclave, il manquait qu’elle que chose, dans sa dominance qui ne m'avait pas plus, il n'était lui-même, il semblait essayer de se changer pour être une autre personne et sa je n'aime pas, on peut si bien dominer en restant nous-même. J'observais cet humain avec avidité, je le regardait, j'attendais de voir ce qu'il feras, j'en étais impatiente. Je sentie ses mains sur mes fesses, j'eus un frisons et il me souleva pour inverse la position, moi en dessous et lui au dessus. De mes yeux verts je l'observa tranquillement, il alla à l'un de mes seins qu'il empoigna le bout entre ses lèvres, mordillant,suçotant,léchant celui-ci. J'en eu un frison, j'aimais ces traitements, la pointe de mon seins se durcissant, il sauta alors sur l'autre seins qu'il en fit le même traitement.

Il se mit à la tâche d'enlever mon sous-vêtement avec ses dents, qu'il enleva délicatement, j’eus un frison, je l'observait toujours avec un sourire sur mes lèvres et j’aperçus alors son membre, tendu, long et au forme impressionnante, j'en eux un rire, il cachait bien son jeu derrière son air innocent, il avait un beau trésors, cela allait être très plaisant et j'avais déjà bien hâte.

L'esclave s'approcha de ma partie intime, ses lèvres y arrivèrent et sa langue vint commencer le travail, chaque coup de langue cela me provoquait une douce excitation, j'aime cela, il était habile, il devait avoir beaucoup fait cela, tant mieux, j'aime pas les inexpérimenté dans se domaine, ils font des choses tout croche.

Je le laissa faire pendant un instant, juste assez pour que je me sente tenter de le baiser solidement. Je me retira de ses caresses de langue et le retira vers moi avec ma main, je suis plus forte de ce que j'en ai l'air. Je l'observa dans les yeux et m'approcha de sa bouche pour l'embrasser et entrer ma langue dans sa bouche pour capturer sa langue pour entrer dans une valse endiablée, j'avais un large sourire dans mon visage et j'arrêta le baiser :

-Tu est très surprenant esclave, tu cachait un véritable bijoux sous ses vêtements et dans cette bouche, tu mérite une surprise...

Lentement, je me descendit, mes seins se faisant sentir sur son torse et lentement baissait et arriva à son membre, oui, j'allais réaliser son fantasme, je suis une bonne déesse, j’exauce le souhait de ceux qui deviendront mes pions, un esclave c'est une bonne machine à tentation. Lentement je mit son membre entre mes seins et le coinça pour en soit bien confortable et je fit des mouvements avec ma poitrine pour le masturber avec ceux-ci, ma langue caressant le bout de son membre, je lui envoyais des regards coquins de temps en temps, la marchandise était bonne juste qu'à maintenant, nous y verront plus tard, s'il est parfait.

Je sentais tout le corps de ma maîtresse frémir sous les assauts de ma langue. Elle tremblait de plaisir, je le ressentais : ce que je faisais lui plaisait, assurément. Cependant, après un instant, elle se recula légèrement, mettant son sublime vagin hors de portée de ma bouche... Déçu, je la regardai pour comprendre son attention, mais elle me tira par le bras avant que j'aie le temps de voir ce qui n'allait pas. C'est alors que je croisai son regard, et comprit qu'elle avait vraiment bien aimé ce que je venais de lui faire. D'ailleurs, la preuve était cette première récompense qu'elle venait de m'offrir : un doux baiser qui mit les compétences de ma langue à rude épreuve, une fois encore... Ensuite, une fois ce ballet lingual rompu par ma maîtresse, elle me sourit et prit la parole :

« Tu es très surprenant esclave, tu cachais un véritable bijou sous tes vêtements et dans cette bouche, tu mérites une surprise... »

J'écarquillai les yeux, perplexe. Était-elle en train de me dire qu'elle allait déjà exaucer mon souhait ? Je m'attendais à devoir la servir quelques jours avant d'avoir la moindre chance d'obtenir cette si douce récompense... Je ne tardai pas à réaliser que j'avais effectivement bien deviné : s'agenouillant devant moi, la Déesse frotta sa poitrine contre mon torse, puis ses jolis seins englobèrent mon membre. Elle pouvait sentir à l'intense chaleur de mon pénis que j'étais déjà très excité. Ensuite, elle commença à me masturber lentement avec ses seins, en faisant des mouvements lents mais efficaces, des va-et-vients avec sa poitrine tout en la pressant sur mon membre des deux mains. Elle était douée... Divinement douée. Évidemment, vous me direz, puisque c'est une déesse. Et en effet, elle faisait honneur à sa réputation... Puis, sa langue se joint à la fête, léchant avec gourmandise le bout de mon gland. C'était terriblement bon... J'avais envie de jouir là, tout de suite, mais c'était impossible... Car j'avais encore un autre talent : j'étais exceptionnellement endurant. Je mettais souvent de longues, de très longues minutes avant de jouir... Mais lorsque j'arrivais enfin à cette délicieuse issue... J'éjaculais tant que j'aurais pu remplir un verre d'eau en un seul orgasme. De quoi ravir ma propriétaire...

« Oui... C'est bon, maîtresse... C'est – Haan ! – C'est formidable... Je n'ai jamais rien senti d'aussi agréable !

Soutenant tout mon corps avec mes mains pour ne pas tomber du lit, je remarquais à peine les regards coquins dont me gratifiait ma belle Déesse...

Je continuais mes caresses avec mes seins sur son membre, j'étais bien gentille quand on m'écoutait bien ou qu'on réussissait à faire qu’elle que chose de bien envers moi. Mon esclave avait été doué avec sa langue, je pouvais bien lui faire une gâterie, c'est comme sa que les esclaves restaient, on se doit de les gâter quand il font quelques chose de bien, comme un animal.

« Oui... C'est bon, maîtresse... C'est – Haan ! – C'est formidable... Je n'ai jamais rien senti d'aussi agréable !

C'est bien, c'était sa qu'il devait ressentir, je lâcha son gland de ma langue, je continua mes mouvements de va et viens avec mes seins pour arrêter soudainement, je ne voulais pas le faire venir, tant que je ne lui avais pas ordonner je le défendrais à jouir et justement j'allais l'avertir, lentement je remonta, mon corps par dessus le sien, j'observa sa figure, ne le touchant pas, j'étais simplement par dessus lui, mes yeux verdoyant l'observant droit dans les yeux.

-Tu n'a pas le droit de jouir tant que je ne t'en donne pas l'autorisation, si je te permet de jouir, se seras que dans le pot de métal à coté du lit, une seule goûte sur moi et tu peut dire adieu à ton salaire d'une journée.

J'accrocha une mêche de cheveux que j'avais pendante devant derrière mon oreille pointue, mes yeux continua de l'observer le visage et décendue sur son torse, oh oui, si je devais le marquer se seras là, sur le torse, il aura si mal pendant un instant, entendre son petit cri pourrait être si excitant à mes oreilles.

Puis j'eus le goût de m'amuser, j'aime usez de mes pouvoirs de tentations pour faire sortir tout les vices cachés de mes partenaires et si j'usais de mes pouvoirs contre lui? Je pourrais, mais sa serais pas amusant, il me résiste déjà pas, mais je sens en dedans de lui de la tentation, c'est déjà un bon début, je le tentais. Le bout de mes seins frollant légèrement son torse, ma respiration chaude et douce en même temps caressais le visage d'Evan, une de mes jambes pouvant se faire sentir coller contre l'une d'Evan. Je voulais le tenter, le faire céder sous la tentation.

-HRP: désoler pour le retard et le post pourri :/ -

Je savourais ce moment comme jamais. J'avais presque l'impression que c'était moi le maître, dominant Kalianna de toute ma taille, la déesse agenouillée devant moi, branlant délicieusement mon gros membre entre ses seins... J'étais au paradis. Et les coups de langue qu'elle donnait sur mon gland ne faisaient que renforcer encore mon bien-être. À ce moment-là, elle cessa cette douce étreinte autour de mon pénis et se redressa, reprenant son rôle de maîtresse. Elle prit la parole d'une voix que je trouvai alors extrêmement sensuelle :

« Tu n'as pas le droit de jouir tant que je ne t'en donne pas l'autorisation, si je te permet de jouir, ce ne sera que dans le pot de métal à côté du lit, une seule goutte sur moi et tu peux dire adieu à ton salaire d'une journée. »

Cela avait le mérite d'être clair. Mais si elle disait cela, c'est parce qu'elle ne me connaissait pas encore. Elle allait bientôt découvrir que je pouvais être très résistant, pour cela... En effet, j'étais très doué pour retenir mon orgasme jusqu'au moment où cela en devenait intenable. Car je ne relâchai la pression que lorsque mon membre palpitait à m'en faire mal, que je sentais que la totalité de contenu de mes testicules était stockée dans mon gland et n'attendait plus qu'une chose : une incroyable éjaculation qui pourrait remplir ma maîtresse comme il faut. Elle serait ravie. Donc, pour lui montrer que nous étions d'accord, je marmonnai :

« Entendu... Sublime... Déesse... »

« Le "sublime" était totalement gratuit. Un petit compliment ne faisait jamais de mal, après tout. J'observai ma maîtresse, attendant la suite de ses instructions. Elle repoussa une mèche de cheveux derrière son oreille, puis s'accroupit, la pointe de ses tétons frôlant mon torse, son souffle chaud se faisant ressentir dans mon cou, me faisant tout à coup remarquer que j'avais vraiment très chaud... Je la regardais toujours, mais il y avait quelque chose de différent. Je la trouvais beaucoup plus séduisante que tout à l'heure, comme si c'était une autre Déesse, plus magnifique encore, qui se tenait devant moi. L'une de ses longues et douces jambes était plaquée contre la mienne. J'avais tellement envie de... De tellement de choses ! Son corps me donnait mille et une idées salaces, et je n'attendais que son feu vert pour lui offrir définitivement mon corps ! Cependant...

Cependant je n'ai pas pu attendre jusque là. Tout à fait hypnotisé par ses superbes courbes, je l'embrassai d'un long baiser langoureux, aggripai ses fesses de mes bras puissants, la soulevant de terre avec force. Mon membre en érection frottait contre sa jambe, non loin de sa belle intimité... Tentant de me maîtriser, j'eus la politesse de demander la permission.

« Maîtresse... Puis-je ? »

J'observais mon esclave droit dans son regard, je sentais sa tentation vouloir craquer, j'adore voir cela, voir sa tentation grandir, mais il n'était qu'un esclave, il ne fallait pas qu'il craque, là était la beauté de la chose, j'observais son attitude et disons qu'il répondait bien à ce que je lui disais, son sublime était parfaitement bien placer, j'adore les compliments, même si je les mérites de plein droit, je suis tout de même une magnifique Déesse et dans un futur près, une puissante Déesse.

Puis surprise, il succomba à ma tentation, un lourd frison parcourut mon corps, lourd de plaisir. Ses lèvres se posèrent sur les miennes pour y apposer un long baiser langoureux, ses mains sur mes fesses pour me soulever un peu plus, son membre frottant contre ma jambe, il avait craqua à la tentation, mais il tentait quand même de résister, mais je sentais en lui une excitation intense, j'en avais un grand sourire, sérieusement j'adore découvrir des merveilles comme ça à des endroits que je m'attendais point.

« Maîtresse... Puis-je ? »

Il hésitait, sa voix contenais une pression d'excitation, de plaisir et d'impatience à ma réponse, je pensais rapidement, est-ce que je continuais à m'amuser à le tenter ou je me laissais aller, ou peut-être les deux? Ah j'ai toujours aimer mélanger mes options pour en faire un choix... Ma main glissa sur le visage de mon esclave et doucement je le caressa et il put continuer à sentir de plus en plus de sentiment de luxure et d'envie l'habiter, elle grimpait doucement pour le tenter.

-Si je n'est rien dit, je crois que c'est positif...Esclave

Je ne connaissais pas son nom, alors tant qu'a l’appeler par quelque chose, mieux vaut l’appeler par son rang, pour qu'il se rappelle ce qu'il est. Je l'observait toujours, le dominant par ma position, ma caresse sur son visage, descendit et vint sur son cou, puis ses épaules. Et lentement les doses de tentation, luxure et tout augmenta plus rapidement, je voulais voir sa limite d'envie pour qu'il ne puisse plus résister, qu'il en soit presque fou par la tentation que mon corps lui fait subir, j'aime quand le monde sont tenter, grâce à cela, mes pouvoirs augmentes!

J'hésitais encore. J'avais peur de lui déplaire si je la pénétrais sans prévenir, ou même sans demander la permission. Et lui déplaire était bien la dernière chose que je souhaitais en ce bas-monde. La Déesse Kalianna était presque tout pour moi, moi qui n'avait rien. La satisfaire encore et encore devenait peu à peu mon seul et unique objectif dans la vie, je ne pouvais donc décemment pas tenter quelque chose qui pourrait la fâcher contre moi... Même si elle voulait me rendre "tentateur". Elle leva une main aux doigts longs et fins, beaux, et me caressa doucement la joue. Mon pénis était dressé comme jamais, d'une longueur rare et parcouru de pulsations. Honteux, je baissais le regard. En effet, si elle continuait de m'exciter comme cela, je pourrais bien éjaculer sans même la pénétrer. Aussi, c'est avec soulagement que j'entendis son murmure :

« Si je n'ai rien dit, je crois que c'est positif... Esclave. »

Enfin. La délivrance. Je pouvais enfin couper court à ma frustration. Enfin. Je guidai le bout de mon gland contre son vagin et, d'un solide coup de rein, m'enfonçai finalement en elle. C'était une sensation... Divine. Et c'était le mot le plus approprié, évidemment. Je n'avais jamais couché avec une déesse, et, même après une demi-seconde plongé dans son intimité, j'étais subjugué par les multiples sensations qui parcouraient mon sexe. Une intense chaleur, et une humidité constante, sans être froide, comme l'humidité des caves en hiver, plutôt comme une sorte de transpiration à la fois parfumée et lubrifiante. Un délice.

Me remettant peu à peu de mes émotions, et ne désirant pas faire attendre ma Déesse vénérée, je commençai à bouger, donnant de rapides coups de hanche, faisant aller et venir mon membre en elle, prenant garde à toutes les petites erreurs que je pourrais commettre, de sorte qu'elle ne puisse se plaindre d'aucune de mes attitudes. Je me devais d'être irréprochable. Me maîtriser était certes difficile, car je voyais clairement qu'elle utilisait ses pouvoirs pour rendre son corps des plus attirants. Démarche inutile, elle avait déjà l'un des plus beaux corps qu'il m'ait été donné de contempler. J'étais fasciné. Je penchai ma tête vers l'avant pour venir lécher ses tétons, pour faire en sorte qu'elle prenne du plaisir à plusieurs endroits à la fois.

Je prenais mon rôle d'esclave sexuel très à coeur.

Vous ne pouvez vaincre la tentation, même si vous vous refuser à l’avouer, vous êtes tenté et ne pouvez sortir de ses chaînes à l’allure délicieuse, une fois qu’elle vous tient, vous pouvez résister, mais tôt ou tard vous serez emportées sans possibilité de couper ses chaînes, seulement subir la tentation qui vous est offerte, comme un cadeau divin. Je me souviendrais toujours des premiers humains que j’ai tenté par moi-même pour faire des tests, c’était au moyen-âge, j’avais pris au hasard un chevalier et une paysage et je les avait manipuler pour qu’ils soient de plus en plus tenter de se voir et même de ce prendre, malgré qu’ils soient tous les deux mariés et tout, cela avait pris du temps, mais ils avaient céder, c’était si bon de sentir cet abandon à la tentation….

L’enfer est une magnifique place pour m’installer, j’avais réussie à me faire une panoplie d’esclave diabolique à mon service, qui refuserait de servir la déesse de la tentation? L’olympe est pénible comparer à là! Mais quand ma force seras de retour, je transformerais l’olympe pour qu’elle soit un endroit parfais! J’en eus un frison juste à cette pensée, puis je fus déranger, ah oui c’est vrai… Mon esclave…

Mon attention se reporta sur lui, il semblait heureux que j’aille permis à celui-ci d’entrer et de faire taire cette tentation qui l’habitait… Mais il n’était qu’un simple humaine, banal et sans artifice, à part ce membre, sinon rien d’extraordinaire, s’en était décevant, je fus légèrement déçue de mon choix, mais bon! Faut faire avec, je vais quand même me gâter en espérant être surprise! Mais les humains sont tous pareils, il ne faut pas que je me fasse trop d’attente… Les humains, je me demande si c’est réellement une bonne chose de vouloir m’intéresser à eux… Je ne sais pas vraiment s’il mérite de la confiance ou un quelconque intérêt… Enfin, brève de penser, il y a le moment présent aussi à m’attarder, n’est-ce pas?

Voilà que son membre en main il l’emporta à mon entre si chaleureux qui attendais que de se sentir écarter par ce morceau de chair et n’y alla point par quatre chemins et l’enfonça en moi sans attendre et presque sans finesse, ah les humains… Tous des impatients… Il semblait subjugué par le plaisir qu’il y trouva dans cet entre chaud de plaisir, mes yeux l’observèrent et il commença à faire de long mouvement de va et viens, un soupire sortie de ma bouche, sans plus, c’est ce que je me m’attendais, ses lèvres vinrent se coller à mes seins pour venir les caresser de sa langue, qui les attaqua de manière qu’un esclave normal ferais à sa maîtresse… Ce qui est dommage, c’est que tout ce ressemble, oui ce membre était plus long que beaucoup j’avais vue, mais il manquait qu’elleque chose, oui une chose importante… Faut que je réfléchisse… Attendez…

Je lâchais de doux soupires, mais pas assez puissant, juste de simple soupire, montrant que j’aimais ça, mais que ce n’était pas incroyablement magique! Il manquait cet artifice qui fait d’un homme un homme! Son coté sauvage! Oui c’est ça! Ce côté masculin de prendre une femme, plus sauvagement pour faire de lui ce mâle docile parfais! Je m’en mordis la lèvre à cette pensée et mes mains se posèrent sur les épaules de mon esclave que je repoussai doucement et le fit glisser sur le dos, moi sur lui, son membre en moi, je le regarda, mouilla l’un de mes doigts pour glisser doucement ce doigts humide sur son menton et je le fit lentement glisser jusqu’à son torse, je faisais de léger va et viens avec mon bassin.

-Mmmh…. Mon cher petit esclave… N’est-tu point capable de faire plus… Pour ta chère Déesse?

Je me mordit la lèvre, un air aguicheur sur mon visage, me mordant la lèvre sensuellement, donnant de léger coup de va et viens sur le membre de mon esclave, je voulais qu’il me montre ce qu’il était capable de faire, qu’il ne soit pas gêner, je voulais que ça un peu de dominance masculine, c’est si bon de temps en temps, surtout quand on à été enfermer pendant si longtemps!