Un homme dans sa chambre, pas n'importe qu'elle homme, un tueur? Un violeur? On peut dire que dans ce cas, c'était les deux, mais malheureusement pour l’agressée, ses pouvoirs vampiriques faisait défaut, du sang pourrait peut-être l'aider à les ressortir? Elle allait devoir essayer, car sinon la lame sous sa gorge reprendra un célèbre proverbe : Qui se couche avec la fenêtre ouverte se réveille avec la gorge qui rie, mais dans ce cas, ce seras pas la fenêtre, mais la porte.
« Silence ! Pas un mot ! Sinon ta gorge ne sera plus qu'un flot de sang... »
C'était trop tard, mes mains sur ses bras, essayant d'écarter ses bras, elle tremblait, la peur emprisonner dans son ventre. Il la fixe, la lame contre sa gorge, elle sentait l'acier contre sa peau, un coup et sa gorge riait, il enleva sa main, mais la jeune femme ne cria pas, elle savait que sa en valait pas la peine, car il la tuerait, il écarta le drap, dévoilant complétement son corps à nue, sa main vint caresser l'un de ses seins, puis l'autre, elle frissonna à ses contacts et eut l'idée du siècle, elle allait le laisser profiter d'elle, mais d'abord il devait laisser son couteau plus loin et au pire sur la table à coté, elle allait même être gentille et lui laisser l'attacher les mains, elle allait pouvoir s'en libérer une fois ses pouvoirs là, la seule chose qui était important est que sa tête soit libre et que dès que l'occasion se présente, elle le mordra pour boire de son sang et récupérer ses pouvoirs.
« Hum, je vois que la Nature t'a dotée pour mon plaisir ; alors ne me le refuse pas. Cette lame porte encore le sang de celles qui ont dit non, ne l'oublie pas. »
Le drap partie complétement, la jeune femme trembla et elle le regarda l'observer, il allait vraiment la violer, la scène était là, elle allait devoir jouer son théatre, chaque seconde était précieuse. La jeune femme ouvrit la bouche, ses crocs étaient la, mais minime, on pouvait tous croire que c'était des dents normal, ses yeux était bleu avec une légère teinte de rouge et la jeune femme parla à voir basse, une voix qui semblait inviter la luxure à se joindre :
-Tu n'aura pas besoin de ton couteau, je te refuse pas... Si tu as si peur que je m'échappe, attache moi et laisse le couteau, une fois attacher je ne pourrais pas fuir et je serait à ta merci pour tout les supplices que tu va vouloir me faire subir...
Accompagnant ses gestes à sa paroles, elle le lâcha, ses mains allant vers les barreaux du lit, l'endroit parfait pour attacher ses mains. Ses yeux le regardant, un léger sourire sur les lèvres, la luxure dans son regard, le jeux pouvait commmencer.