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[FINI] Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

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Shani Stevens

Dieu

« Tout va bien, Mademoiselle Stevens ?
 -  Oui... Merci beaucoup.
 -  Je vous en prie. Voici votre repas pour ce soir... »

Clignant des yeux, Shani s’appuya sur les bras, entreprenant de se lever. Elle était allongée sur un lit, et coupa la télévision, mettant fin au journal télévisé, de toute manière sans grand intérêt. L’infirmière était une belle Orientale, une Japonaise polie, qui l’avait salué à l’occidentale. Elle se rapprocha, amenant son plateau-repas, et Shani se redressa, et mangea. Elle avait une chambre individuelle, et n’avait donc pas à se battre pour la télé. L’infirmière en profita pour consulter la fiche du personnel, puis lui indiqua qu’elle reviendrait dans un quart d’heure, afin de récupérer le plat, et de l’inviter à dormir. L’hôpital, c’était vraiment barbant... Mais elle n’avait pas le choix. Elle avait eu un accident qui avait nécessité, il y a deux jours, qu’elle se fasse hospitaliser. Elle faisait tranquillement du vélo quand une voiture avait manqué la renverser, en pleine descente. Déstabilisée, Shani avait perdu le contrôle de son vélo, et avait heurté un mur à l’épaule. Elle s’était fait mal, et avait fini à l’hôpital. Il y avait eu une opération, et quelques points de suture sur son épaule, mais les médecins avaient noté qu’elle se rétablissait extrêmement bien. Shani avait toujours su qu’elle avait une constitution de cheval. Naturellement, quand on avait dans les veines le sang d’Eros, on trouvait là une explication simple.

Elle sortirait demain. L’hôpital avait décidé de la garder encore une nuit, et Shani avait accepté. Elle aurait pu sortir, mais, en ce moment, au boulot, c’était l’enfer. Les examens se rapprochaient, et il y avait quantité de dossiers à gérer, de salles à préparer. Une activité dense et intense qui faisait qu’elle avait de grosses journées particulièrement remplies. Au moins, si l’hôpital était ennuyeux, elle n’avait pas à s’angoisser derrière son bureau en se perdant dans des dizaines de tableaux interminables. Et puis, elle allait mieux. Il y a quelques heures, elle avait couché avec l’une des infirmières. C’était le meilleur signe qu’elle se portait bien, non ?

*Mais, pour autant, j’ai hâte de retrouver mon appartement...*

Elle y songeait silencieusement, et l’infirmière revint. Shani lut ensuite un peu, et, une fois qu’elle fut seule, elle se masturba intimement, en pensant à ces belles infirmières dans leurs uniformes sexy. Elle s’endormit au bout d’une demi-heure, après avoir eu un bel orgasme, léchant ses propres doigts inondés de mouille. Une manière délicieuse de s’endormir, en s’assurant qu’on ferait de beaux rêves.
« Modifié: lundi 14 septembre 2015, 09:32:21 par Shani Stevens »
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 1 lundi 08 juillet 2013, 21:14:08

Le crépuscule laisser peut à peut place à la nuit dans ce petit quartier tranquille.
Au loin une forme sombre avancer en titubant quelque peu, cette ombre c'était celle de la duchesse...

cette douce nuit hivernal l'avait pousser à sortir de son terrain de chasse habituelle, élargissent ainsi ses horizons macabres.
Elle déambula deux longues heures avant de tomber sur un endroit qu'elle ne connaissait que trop bien...

coucou toi ! dit elle avec un large sourire au lèvres

La duchesse était face à l’hôpital qui avait fait sa renommé, la ou la belle avait tuer de sang froid ses 6 premières victimes... cela la rendit d'ailleurs quelque peut nostalgique...

Puis tout à coup, une idée lui traversa l'esprit !
Pourquoi ne pas entrer ? avec un peu de chance seulement quelque internes serait de services...

Un petit regard à gauche, puis à droite, pour enfin avancer vers le lieux ou tout à commencer.

Lucrezia regarda très brièvement à travers la vitre, il y avait une jeune femme à l’accueil... elle sembler plonger dans la lecture d'un bouquin assez volumineux.
Elle entra discrètement dans le hall d'entrée avant de tranquillement avancer vers les étages supérieurs.
L’hôpital était très peu éclairer à cette heure ci, il était donc très simple de se faufiler sans éveiller l'attention de la jeune femme à l’accueil, c'est donc sans mal que lucrezia parvint à montez à l'étage.

La tueuse avançait à pas de loup en regardant par la vitre des chambre, histoire de choisir qu'elle malheureuse victime aller subir ses pulsions malsaines.

après un petit quart d'heure elle finit par enfin trouvée une proie à son gout.
la jeune femme était endormie surement en plein milieu d'un doux rêve qui n'aller pas tarder à se transformer en cauchemars.
Lucrezia jeta un petit coup d’œil aux alentours avant d'entrer dans la chambre de de refermer la porte derrière elle.

Elle s'avança silencieusement auprès de la belle endormie, elle débrancha le fil de l'alarme avant de lascivement s’asseoir sur le bord du lit puis... d'approcher son visage du sien, respirant au passage son parfum

(chuchotement)
Bonsoir ma belle, je viens pour les soins nocturne...


Suite à cela, elle lui lécha l'oreille, avant de se redresser...






 
« Modifié: jeudi 28 novembre 2013, 16:40:47 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Shani Stevens

Dieu

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 2 mercredi 10 juillet 2013, 21:55:47

Les rêves de Shani étaient tortueux, compliqués, incohérents. Un mélange d’images, de courbes, de fantasmes profonds, de soupirs, dont elle ne se rappelait rien de plus qu’une vague torpeur lointaine. Les rêves étaient difficiles à interpréter. Ceux de Shani ne voulaient rien dire. Cependant, elle descendait d’un Dieu. On pouvait donc comprendre que ses rêves soient obscurs. Il y avait néanmoins une chose sur laquelle elle s’accordait : sa chambre lui manquait. Le lit d’hôpital n’était pas spécialement confortable, et elle n’espérait qu’une chose : que la nuit passe vite. Demain, elle rentrerait chez elle, et ce serait bien mieux.

Dormant paisiblement, Shani n’entendit pas la porte s’ouvrir, ni les bruits de pas feutrés sur le sol. Cependant, ses sens aiguisés décelèrent une douce odeur... Pas de quoi la réveiller, mais suffisamment pour que son corps, inconsciemment, remue dans le lit. Elle ne sentit pas non plus la pression que la femme inconnue exerça en s’asseyant sur le rebord du lit. Quand le souffle de ses lèvres heurta son visage, Shani commença lentement à émerger, mais, indiscutablement, l’élément décisif, celui qui l’arracha de ses songes embrumés, ce fut le glissement de la langue de la femme sur l’une de ses oreilles. Ceci entraîna une sorte de frisson, de réflexe inconscient qui créa comme une explosion dans l’esprit de Shani. Son rythme cardiaque s’emballa nerveusement, et elle ouvrit alors les yeux.

Dans l’obscurité de la nuit, il fallut attendre plusieurs secondes pour que ses yeux s’attendent, mais elle sentit d’emblée qu’il y avait quelqu’un d’autre dans sa chambre, et que ce quelqu’un d’autre ne pouvait pas être un membre du personnel-soignant. Un patient s’étant échappé de sa chambre ? Et qui lui aurait... Léché la joue ? Cette théorie était légèrement farfelue, mais, sur le moment, ce fut la seule qui traversa l’esprit de la secrétaire... La seule, jusqu’à ce qu’elle devine des courbes très féminines, moulées dans une robe d’infirmière qui avait plutôt l’air de sortir d’un sex shop, remontant jusqu’à une grosse poitrine. Les yeux de Shani continuèrent leur progression ascendante, de bas en haut, et elle vit, près de son visage, un visage avec des lèvres bleues, et des yeux acérés... Dont elle croyait discerner, dans la nuit ambiante, une lueur de malice.

*Une infirmière ?*

Elle en avait l’apparence, mais quelque chose sonnait faux... Outre le fait d’être réveillée en pleine nuit, bien sûr. Les réflexions que Shani se firent, concrètement, ne durèrent pas plus de cinq secondes, le temps que son regard glisse le long de son corps.

« Qui... Qu’est-ce que vous faites là ? » lâcha-t-elle alors, sur un ton de voix légèrement nerveux.

Mine de rien, même quand on s’appelait Shani Stevens, et qu’on avait la libido d’un babouin en rut,  être réveillée en pleine nuit par une fille qui avait l’air de ressembler à une dingue n’était guère rassurant... Et ce d’autant plus que Shani n’était pas surveillée de manière étroite par le personnel hospitalier, son état de santé né le justifiant pas.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 3 samedi 13 juillet 2013, 12:39:05

Lucrezia était surement l'une des psychopathe les plus dangereuse, voir, LA ! psychopathe la plus dangereuse  de cette ville, certes c'est quelque peut orgueilleux de dire cela, mais au fond il faut bien avouer que son palmarès et particulièrement bien fournie, la police dénombre une trentaine de meurtres, MINIMUM ! à son actif et cela sans compter ses six premières victimes ni même les quelques rares personnes à avoir survécus à ses "soins"
 
Drogues, bistouri, dissections et libido dévorante, voila en quelque mots se qui tournée dans la tête de lucrezia 24h sur 24... ça et quelque autres petites choses...
Pour elle la médecine ne devrais pas s'enticher de sentiments et autres niaiseries dans le même genre, mais peut on seulement parler de médecine ?
Trucider de pauvres femmes et jeunes filles au coin d'une ruelle n'était en rien de la médecine, juste le fantasme morbide d'une pur cinglée.
Cinglée ? certes ! mais une cinglée doter néanmoins d'une incroyable intelligence, capable de retourner l'esprit de bien des personnes et tournée bien des situation dites "critique" à son avantage.
Sans compter ses connaissances sur la chirurgie, la psychiatrie ainsi que sur les drogues et les poisons de se beau monde.
Ces connaissances elle compter une nouvelle fois les mettre en applications ce soir, dans cette hôpital, comme au bien vieux temps...

La jeune patiente surprise par le coup de langue de la duchesse se réveilla d'un bon, la toisant par la suite de bas en haut avec inquiétude.

« Qui... Qu’est-ce que vous faites là ?    

Je viens pour un petit...hmm...comment dire ?... Examen gynécologique, oui ! voilà, s'est ça, un examen gynécologique ! dit elle en enfilant sa paire de gants en latex

Je dirait même un examens très...très...très...approfondie ! ihihihi!  

Puis, dans un grand geste, Lucrezia attrapa violement les joues de la jeune femme de sa main droite avant de lui lécher les lèvres.

T...Tu a peur...hm ? se sont les cicatrices n'est ce pas...t..tu veux savoir comment je les ais eu...hm ? souffla t-elle en glissant légèrement sa mains dans sa petite sacoche afin de se saisir d'un de ses scalpels. 
« Modifié: samedi 13 juillet 2013, 20:56:01 par lucrezia.h.nietzsche »


Shani Stevens

Dieu

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 4 dimanche 14 juillet 2013, 18:29:21

Shani n’avait pas entendu ce que cette femme avait dit. Qu’est-ce qu’elle fabriquait ici ? Un examen ? Impensable ! Pas à cette heure... Et... Gynécologique ? Shani n’était pas enceinte ! Est-ce qu’elle rêvait, qu’elle hallucinait, qu’elle était en plein délire, en train d’être en réalité de train de manger son vomi dans les toilettes ? Non... Non, les sensations étaient bien trop réalistes pour appartenir au monde du songe, et, de plus, elle ne se sentait pas en train de planer. Une femme superbe, avec un air de folle tordue, et des obus à la place de seins, l’avait réveillé en pleine nuit. Pénétrer dans un hôpital public n’était pas exceptionnellement difficile. L’endroit était surveillé, certes, mais l’hôpital central de Mishima était très grand, et il n’y avait pas assez de vigiles pour en surveiller tous les recoins. Shani était avec une espèce de cinglée sexy, qui se mit à lui lécher les lèvres, se rapprochant de très près d’elle.

Un gémissement bref s’échappa des lèvres de Shani, qui remua un peu la bouche. Elle avait une poigne ferme, cette femme. Sa main lui serrait les joues comme si sa tête était prise dans un étau, et l’infirmière n’osait rien faire. La secrétaire cligna des yeux, tout en continuant à observer le corps de la redoutable femme se faisant passer pour une infirmière. Elle se mit à lui parler, et Shani n’osait pas parler. Elle avait effectivement peur, mais était-ce si surprenant ? Une folle venait de la réveiller, et l’esprit de Shani, paniqué, revenait à elle. Lentement, elle prenait peu à peu conscience de ce qui lui arrivait, et poussa un nouveau soupir.

« Je... Euh... »

La femme en blouse avait parlé de « cicatrices ». Quelles cicatrices ? Dans l’obscurité, Shani n’avait rien vu, et ne sentait rien d‘autre que le contact des gants blancs... Ainsi que la salive de la femme, qui avait titillé ses lèvres. Bien malgré elle, Shani ressentait des frissons dans tout le corps. Elle ignorait qui était cette femme, mais elle était plutôt belle.

« J’aimerais savoir... Qui vous êtes, et ce que... Vous me voulez... »

Elle parlait d’une faible voix, anéantie par l’angoisse qu’elle ressentait, et se tortilla un peu sur le lit. Shani n’imaginait pas qu’un vigile viendrait pour l’aider. Elle était seule face à cette mystérieuse femme, un peu cinglée sur les bords, et déglutit à nouveau, avant de reprendre, cillant des yeux à plusieurs reprises.

« Vous... Vous ne faites pas partie du personnel médical, n’est-ce pas ? »

Shani posait la question, mais, en réalité, elle se doutait déjà très bien de la réponse.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 5 mardi 16 juillet 2013, 21:05:31

La duchesse tenait toujours aussi fermement le visage de sa victime, approchant de celle ci la lame de son scalpel.
 La pauvre jeune femme était angoisser par la situation, elle gesticuler vainement dans on lit tendit que lucrezia
commence quant à elle à faire délicatement glisser sa lame contre la joue de la jeune femme.


La jeune femme poussa un léger soupir avant de se remettre à parler d'une voix faible.

« J’aimerais savoir... Qui vous êtes, et ce que... Vous me voulez... »

Lucrezia émit un petit sourire avant de lui répondre tout en  lui caressant le visage de sa main gantée.

Qui je suis ?... Je suis la duchesse voyons ! tout les médias parle de moi et de mes meurtres.
Ce que je veux de toi ?... Te violer.... puis te tuer.


Elle lui fit par la suite un léger baiser sur le front avant de commencer à faire descendre sa main au niveau des seins de sa victime.
Qui quant à elle rétorqua avec une autre question.

« Vous... Vous ne faites pas partie du personnel médical, n’est-ce pas ? »

Lucrezia cessa un instant ses caresse avant de pousser un ricanement lugubre.

J'ai... autrefois fait partie de cette hôpital... ma ne t'en faire pas ma douce, je serais prendre soins de toi et de ta petite chatte.

d'un geste vif elle déchira le soutif de la jeune femme mettant ainsi à nue sa magnifique poitrine.
Puis elle se saisit alors du seins droit de la jeune patient et se mise à le tétais avec avidité.

« Modifié: vendredi 20 septembre 2013, 18:32:40 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Shani Stevens

Dieu

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 6 mercredi 17 juillet 2013, 18:55:52

La Duchesse ? Shani suivait les actualités, bien sûr, et ce nom ne lui était pas inconnu. C’était celui qu’on avait attribué, allez savoir pourquoi, à une tueuse en série. Shani ne savait toutefois pas grand-chose de l’enquête de police. Les serials killers, elle préférait les voir dans les thrillers qu’elle lisait, car elle savait que, à la fin, ils seraient attrapés, et très certainement tués. Dans la réalité, on n’en était jamais sûres, et elle ne tenait pas à se déprimer en devenant paranoïaque. Et puis, la police divulguait assez peu d’informations sur la Duchesse. Mais, quoiqu’il en soit, Shani n’avait vraiment pas de bol... La Duchesse lui annonça qu’elle allait la violer (ce qui était peu probable) puis la tuer (ce dont elle n’avait pas spécialement envie). Shani, muette et circonspecte, eut droit à un baiser sur le front, tandis que le scalpel glissait le long de sa joue, sans l’entailler. La secrétaire faisait preuve d’un sang-froid imperturbable, sans trop comprendre d’où un tel calme pouvait venir. Cette fille avait une lueur de démence dans les yeux, mais Shani ne pouvait pas nier qu’il se dégageait de cette femme un certain charme bestial et dominateur.

Elle sentit sa main se glisser vers ses seins, en arrachant l’extrémité, et Shani se mit à gémir, tout en sentant sa bouche bleue se rapprocher de ses seins. Elle se mit à la téter, et Shani poussa un gémissement, se tortillant sous le lit. Ses mains se redressèrent lentement, et elle caressa les joues de la femme, remontant le long de ses cheveux. Elle était dangereuse, et Shani ne doutait pas qu’elle n’hésiterait pas à l’égorger si elle lui en laissait l’opportunité.

« Haaa... »

Son corps la trahissait, et ses seins se mirent à durcir, les tétons pointant sous l’effet de l’excitation. Cette femme était effectivement douée, et Shani ferma brièvement les yeux, en crispant ses doigts le long des mèches de cheveux de la femme. Elle se mordilla les lèvres encore, remuant ses jambes le long du lit. Elle était écrasée sous le poids de cette femme, ce qui était une chose qui lui plaisait beaucoup.

« Je... Aaaaahhh... »

Difficile de parler, de se contrôler. La violer ? Impossible ! Shani était une véritable nymphomane, quelque chose contre laquelle elle n’avait jamais pu lutter. Son besoin compulsif pour le sexe l’avait amené ici. Elle avait même suivi une cure pour se délester de ça, de son attirance pour les belles fesses, les belles poitrines, mais sans succès... Elle en était au point qu’elle couchait parfois volontiers avec un homme qu’elle voyait dans une épicerie.

Son corps se mettait à se parcourir de vibrations de plaisir. C’était magnifique. Elle retrouvait ce plaisir ancestral qu’elle connaissait tant, le plaisir naturel et intense du sexe.

« En... Encore, hummm... Tu es si douée... » soupirait-elle.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 7 dimanche 28 juillet 2013, 19:46:21

Des gémissement de plaisirs ? voila qui était fort étrange. Habituellement les victimes de Lucrezia pleurer, trembler mais là nan, la "patiente" semblait prendre du plaisir.
Evidament cela n'était pas pour plaire à la duchesse, s'est elle et ELLE seul ! Qui doit prendre son pied, elle arrêta alors deux secondes ses soins avant de violement plaquer le visage de la jeune femme contre le mur et de lui glisser son scalpel sous la gorge.

Ecoute moi bien toi, je sais pas qu'elle genre de trainée tu est pour apprécier te faire violer par moi, mais je peut si tu le désire te refroidir bien vite ma salope !
Je déteste quand mais victimes prennent du plaisirs alors que je ne leurs est en rien autorisé à le faire.


Suite à cela Lucrezia se tus quelque secondes avant de reprendre.

Attend voir... Tu prend du plaisir alors que je te viole ?... Mais c'est génial enf... nan attend...Bordel c'est censée être bien ou mal ?...

Elle lança un léger regard à Shani avant d'esquisser un petit sourire en coins.

Pfff quelle importance après tout, tu vas crever de toute façon...

Lucrezia lâcha la jeune femme avant d'approcher de son doux visage, son intimée gonflée par l'excitation.
On pouvait facilement deviner à travers le tissus de sa culote, ses grosse lèvres juteuses des qu'elle émanait un agréable odeur de cyprine ainsi qu'une douce chaleur animale.

Aller ma pute ! lèche donc le minou à maman ! si tu fait sa bien tu auras le droit à une petite surprise !



Shani Stevens

Dieu

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 8 mardi 30 juillet 2013, 14:55:36

Qui était donc cette folle ? La femme aux gros seins, la Duchesse, sembla s’énerver de voir sa « victime » éprouver du plaisir, et Shani poussa un petit cri étouffé quand la main de la femme se posa sur sa gorge, la plaquant contre le lit, l’étranglant à moitié, avant qu’elle ne sente une lame froide glisser contre sa gorge. La peur s’empara de son esprit... Mais pas de son corps, ce corps qui, comme d’habitude, se dérobait à la volonté de sa propriétaire. Des frissons la traversèrent au contact de cette lame froide, au contact de cette femme belle et forte, une belle dominante qui la battrait et la punirait, exactement comme Shani aimait. Elle ne put ainsi s’empêcher de rougir en se tordant lentement sur le lit, fermant les yeux, appréciant ce moment. La Duchesse... Une femme terrifiante, qui torturait cruellement ses victimes, généralement ramassées dans le quartier de la Toussaint, où il était facile d’obtenir des proies. La voir dans un hôpital, en revanche, c’était bien plus inquiétant... Shani se mit à l’imaginer chez elle, tuant une femme sur son lit, le sang dégoulinant des plaies de la femme, tâchant le sol, avant de lui faire l’amour, baignant dans le sang...

*Mon Dieu, je suis complètement folle !*

Qu’est-ce qui lui arrivait de penser à ça ? Elle devait appeler les secours, on allait la tuer ! Elle était sûre que la Duchesse n’hésiterait pas, mais, au fond d’elle-même, elle était aussi sûre de ne pas mourir. Shani restait après tout une demie-Déesse, et, si elle l’ignorait consciemment, inconsciemment, son esprit savait qu’il y avait en elle quelque chose de puissant, qui lui donnait le sentiment qu’elle ne mourrait jamais... Et pour cause. Shani l’ignorait, mais elle était la fille d’Éros, qu’Hésiode classait parmi les cinq divinités primordiales, au même titre que Nyx, Gaïa, et Érèbe. Ce n’était donc pas n’importe qui, et il avait toujours veillé à entretenir le désir chez sa fille, en faisant une nymphomane ne pouvant rien faire pour lutter contre ses pulsions... Ou, du moins, si elle le pouvait, Éros s’était assuré que ce ne soit pas le cas, court-circuitant à chaque fois ses tentatives de se soigner, se débrouillant pour l’emmener ensuite dans le domaine d’Aphrodite, à Mishima, afin que sa fille ne désespère pas en France.

Était-ce sa volonté que la Duchesse tombe sur elle ? C’était une question à laquelle Shani ne pourrait jamais répondre. Elle était à la fois effrayée et excitée, mais, clairement, l’excitation dominait. Elle se tortillait sous le poids de cette femme, qui venait la perturber dans son sommeil, ressentant un fort désir à son égard, un désir dont elle ne se serait jamais cru capable. La Duchesse était une meurtrière, une psychopathe extrêmement dangereuse, mais elle était aussi belle, et Shani parvenait à trouver, dans sa sauvagerie, un charme fort, qui ne la laissait pas indifférente.

La Duchesse relâcha sa gorge, et Shani se mit à soupirer, n’osant pas bouger, tandis que la Duchesse se déplaçait, lui donnant un ordre qui la fit déglutir :

« Aller ma pute ! lèche donc le minou à maman ! si tu fait sa bien tu auras le droit à une petite surprise ! »

Shani ferma les yeux, sentant la Duchesse se déplacer, son intimité finissant au-dessus de son visage, des gouttes tombant sur son nez et ses lèvres. Ceci provoqua une solide excitation dans le corps de Shani, qui sentait son vagin brûler et la démanger.

« O-Oui... Tout... Tout de suite, Ma... Mad... Maîtresse » se rattrapa-t-elle.

Mourir ne faisait pas partie des plans de Shani, qui se disait qu’en étant servile et soumise, la Duchesse pouvait vouloir l’épargner. Elle avait écarté sa blouse, et Shani pouvait voir son intimité, juteuse, et attirante. Elle n’eut pas grand-chose à faire, car la Duchesse s’assit sur elle. Elle relevait ses mains pour caresser ses hanches, pressant chacune des fesses de la femme, tout en enfonçant sa langue, l’envoyant titiller son clitoris en soupirant de plaisir, se tortillant faiblement sur le lit. Ses jambes remuaient, cherchant à se frotter entre elles pour la soulager.

C’était plus fort qu’elle, cette femme lui faisait un effet fou !
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 9 dimanche 18 août 2013, 20:05:05

La langue de cette jeune femme venait délicatement caresser les lèvres intimes de la duchesse, venant ensuite claquer contre sa cerise, bordel ! Cette salope faisait ça bien ! Par la suite Lucrezia commença devenir un poil plus... spécial !

Il y avait au dessus du lit de la patiente un défibrillateur de secours (manuelle), Lucrezia savait parfaitement comment trafiquer ce genre d'engins afin de le rendre "sexuellement" utilisable, les décharges électrique avait la particularité, ci bien jaugées, d'être un très agréable joujou, certes la pratique était risquée pour la patiente, mais après tout... lucrezia s'en fout pas mal de la vie de cette dernière !

Aller ma belle... ont vas voir ci tu peut supporter se genre de traitements ! C'est un peu douloureux la première fois, mais je t'assure qu'après sa va tellement de détendre que  la cyprine vas coulée à flot sur les draps !

Elle se mis alors à bidouiller vaguement le moniteur afin de légèrement baisser la puissance électrique de ce dernier puis, elle se saisit des deux électrodes, les frottes l'un contre l'autre, allume l'appareil et commence le compte à rebours !

La patiente semble avoir des soucies... il est temps ma très chère lulu de lui foutre dans le cigare une puissante décharge électrique ! Mais voyons docteur... elle risque de pisser sur le draps ! Ont s'en fout... il faut la sauver !Oui... Elle est complétement givrée...

Cet alors qu'un bruit aigue vint signaler que la décharge était prête, lucrezia posa alors les deux électrodes au niveau de la vessie de sa victime.. puis...

1... 2... 3... Lâchez la sauce...

Elle appuya alors sur les deux boutons qui ornaient chacun le manche des deux électrodes, vidant dans la panse de la pauvre shani la décharge !

KA-BOUM-BZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZZ !!!! s'exclama t'elle en sursautant au moment au la décharge fut lancer.


Shani Stevens

Dieu

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 10 mercredi 21 août 2013, 16:39:28

C’était curieux... Très curieux. Shani avait peur, mais... Pas uniquement. Comment décrire ce qu’elle ressentait ? La Duchesse était indiscutablement folle, et sa vie était réellement en danger, mais la peur semblait se mélanger à une sorte d’excitation fiévreuse, à l’idée de coucher avec une aussi belle femme, aussi forte et indomptable. La Duchesse était sans doute folle à lier, mais Shani avait également un zeste de folie, qui se manifestait en ce moment. Elle vit la Duchesse attraper les électrodes du défibrillateur, se mettant à parler toute seule, et, avant que Shani ne puisse comprendre quoi que ce soit, elle les lui fourra à hauteur du sexe.

*Mais que... ?! Non !!*

Shani n’eut pas le temps de réagir, de penser à quoi que ce soit, que les décharges électriques, silencieuses, sifflèrent dans son corps. Tous ses muscles se crispèrent, et elle sentit la douleur exploser dans son corps. La souffrance explosa en elle, terrible, comme elle ne l’avait jamais ressenti auparavant... Et les électrodes explosèrent entre les mains de la Duchesse, alors que Shani se mit à uriner, un réflexe physiologique. Son urine éclata sur le visage de la Duchesse, penchée au-dessus d’elle, tandis que les défibrillateurs étaient, comme par enchantement, détruits. Quand Shani pensait que rien ne pouvait la tuer, elle n’était pas si éloignée que ça de la vérité. Son corps était protégé par l’influence divine de son père, Éros, l’un des plus puissants Dieux grecs, un Dieu primordial. La douleur avait amené l’inconscient de Shani à réagir, car cette douleur n’avait, pour elle, rien de sexuel.

Malheureusement pour la Duchesse, l’explosion des défibrillateurs déclencha une alarme. Dans le bureau des infirmières, un voyant s’alluma, pour indiquer un problème dans une chambre. L’infirmière, qui était en train de lire une revue érotique, sursauta sur place, et se redressa d’un bond.

« Rooh merde ! »

Il y avait visiblement une coupure de courant dans la chambre, mais elle n’en savait pas plus. De son côté, Shani émergeait de la souffrance qu’elle avait reçu. Tous ses muscles tremblaient, elle se releva, clignant des yeux.

« Pou.. Pourquoi t’as... ?! Huuu... »

Ayant tout d’un coup mal au ventre, elle se mit à vomir, balançant son vomi sur le sol. Son estomac lui faisait mal, et elle se redressa ensuite, en sueur, fiévreuse.

« Ohlàlà... Ça... Ça va pas du tout... Laisse-moi... J’ai mal... »

Elle se sentait comateuse, avec une soudaine migraine, tandis que l’infirmière se rapprochait.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 11 vendredi 23 août 2013, 23:32:08

Lucrezia atteignit peu à peu le paroxysme de sa folie, en venant à balancer dans le ventre de sa victime une puissante décharge électrique. victime qui, a cause de la précédente décharge, en vint à uriner sur le lit, allant jusqu'à envoyer, sans le vouloir, de l'urine sur le visage de notre tueuse.

 Houla ! calmos ! ahahah ! moi si je te pisse dessus je sais pas si tu vas apprécier !

 Malheureusement les défibrillateurs ne sont pas des jouets et les modifications que la duchesse avait apportée à ce dernier ne lui avait vraisemblablement pas plus. Cet alors qu'après avoir envoyer la première décharge, les deux électrodes vinrent à exploser, pas une violente explosion, juste un vague bruit à l'intérieur des deux appareil suivie d'une horrible odeur de câble brulés.

 Raaah merde ! ont ne trouve plus de personnelle qualifié de nos jour dit elle en balançant les deux électrodes à terre.

 Cet alors que notre tueuse vit sa patient vider le contenu de son estomac sur le sol de la chambre en se tordant de douleur.

Oh ! se pourrait il je t'ais rendu malade ? ahahahahah !
 Bon... avec tes conneries je sent qu'ont vas devoir se déporter ailleurs... le deuxième sous-sol tu connais ?


 Nan... Lucrezia... tu n'oserais pas aller là-bas quand même... ci ? Aaaaaah le second sous-sol de l'hôpital de Seikusu... Ceux lieu était très spécial pour notre duchesse voyez-vous, c'était comme... le lieu de son baptême... vous avez compris n'est ce pas. Oui ! le second sous-sol était le lieu où lucrezia avait commis son premier meurtre !
 Aaaaaaah que de souvenirs ! le mode opératoire était, en ce temps là, plus... "soft" mais un baptême reste un baptême et notre duchesse frémissait d'avance de pouvoir y retourner...
Dans le coin de la pièce, lucrezia apercue un fauteuil roulant, elle s'empressa alors de glisser ses bras sous ceux de la jeune femme comateuse afin de la trainer sur le fauteuil, pour ensuite discrètement ouvrir la porte et aller vers l'ascenseur qui était tout au bout du couloir.

Une fois dans ce dernier, elle appuya sur le boutons qui menait au second sous sol puis...


Shani Stevens

Dieu

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 12 samedi 24 août 2013, 02:43:58

Shani avait l’estomac tout retourné. C’était une mauvaise blague, c’est ça ? Un sinistre cauchemar. Cette folle l’avait électrocuté ! Elle ne se sentait vraiment pas bien, et avait une sourde envie de pleurer, mais rien ne ressortait, si ce n’est ses tripes, qu’elle avait craché sur le sol. Pâle, un teint cadavérique, elle ne pouvait rien faire contre la Duchesse, se sentant aussi inerte qu’une poupée. Elle voulait repousser cette salope, lui foutre ses électrodes dans le cul, mais elle était vidée, ayant étrangement froid, tout en frissonnant, des spasmes musculaires nerveux la traversant. Elle se retrouva sur un fauteuil, et sentit la Duchesse l’amener. La lumière du couloir l’agressait, et Shani secoua la tête. Non, elle ne voulait pas... Elle cherchait à s’enfuir, mais, à chaque fois que son corps semblait remuée, la Duchesse la ramenait contre le fauteuil. Avait-elle parlé d’un sous-sol ? Shani imagina un musée des horreurs, et ferma les yeux. La lumière l’agressait, alors qu’elle voyait un ascenseur... Elle se mit à prier qu’il s’ouvre, qu’il tombe sur un vigile. Il verrait son état, et il sortirait son arme à feu. Elle pria si fort qu’elle crut même voir la porte s’ouvrir... Mais il n’y avait rien, et elle se retrouva à l’intérieur, tandis que l’ascenseur filait.

Il n’alla pas bien loin, et s’arrêta un étage en-dessous, s’ouvrant sur une infirmière, qui écarquilla les yeux de stupeur en les voyant.

« Mais qu’est-ce que... ?! »



Janet était une belle infirmière qui avait tout à fait conscience de sa beauté. Elle avait toujours voulu faire infirmière, comme toutes les petites filles. Ce souhait avait évolué en grandissant. Initialement, elle avait voulu faire docteur, mais, n’ayant pas reçu les difficiles études, elle avait préféré se reconvertir en infirmière. Aujourd’hui, elle avait eu son diplôme depuis six mois, et avait réussi à atterrir à Seikusu, non sans un certain soulagement. Étudiante étrangère, métisse, elle avait rejoint le Japon suite au divorce de ses parents, un père américain, et une mère japonaise. Elle avait été élevée par sa mère, qui s’était depuis lors remariée avec un policier, Koda. Les deux vivaient à Tokyo, et Janet était une grande travailleuse... Mais également une grande fêtarde, et, depuis qu’elle était devenue une infirmière, elle ne se gênait pas. Dans son bel appartement de Seikusu, elle s’était laissée aller, et avait un petit copain.

Et elle était enceinte depuis moins d’une semaine. Ceci suffisait à la combler de bonheur, et les projets de Janet étaient d’obtenir des aménagements de travail auprès de son supérieur, ce qui ne serait pas très facile, car ce type était un vieux vicelard. Et Janet, avec ses jolis cheveux roses qu’elle entretenait depuis qu’elle avait enfin pu quitter un système scolaire étouffant et conformiste, se heurtant à son éducation d’Américaine, était dans son collimateur. Elle espérait qu’il n’y aurait rien de bien grave dans la chambre où un problème avait été signalé.

Janet avait hésité entre l’escalier et l’ascenseur, et la flemme l’avait emporté. On était à une heure avancée de la nuit, et elle avait envie d’en finir rapidement. Foutu règlement... À coup sûr, c’était encore un vieux qui avait oublié d’éteindre sa télé. Hier encore, le vieux de Mishima lui avait fait le coup. Un professeur complètement pervers, qui avait cherché à lui mettre sa main au cul. Mishima était un endroit que Janet avait en horreur, car il avait la sinistre réputation d’être un lycée de débauche. Honnêtement, elle ne comprenait pas pourquoi un tel lycée n’avait pas encore été fermé, ou pourquoi personne n’en parlait. Il ne fallait pas s’étonner, après ça, que les jeunes préfèrent passer des heures à jouer à des jeux vidéos insipides et bruyants, ou à errer sur Internet, plutôt qu’à travailler.

*C’est décidé, je vais voir Kushizo demain...*

Kushizo était son employeur, et, si ce type était un salopard, Janet connaissait la loi. Même au Japon, les congés maternités existaient. Ce gros con de Kushizo était dans la ligne philosophique d’une bonne partie du Japon, où la femme était vue comme une bonniche ayant pour fonction unique de faire le ménage et la cuisine, et d’être asservie à son mari. Non, Janet n’était pas une féministe convaincue, mais, quand on tombait sur un connard de machiste hypocrite qui dissimulait son envie de vous labourer le cul avec sa vieille queue ramollie derrière ses sourires de plastique et sa condescendance envers les femmes, ça lui donnait envie d’hurler.

*Ça y est, Janet, tu t’énerves encore toute seule ! Ne t’étonne pas que Kenji soit épuisée après toi, tu es une vraie pile sur pattes...*

Elle espérait que leur enfant ne serait pas aussi explosive qu’elle... Bébé, Janet avait été impossible, refusant d’aller dormir, réveillant ses parents à des heures pas possibles en hurlant fort.

L’ascenseur ouvrit, et Janet, qui se croyait seule, eut un sursaut en voyant une femme aussi pâle qu’un zombie... Et une femme avec une tête de psychopathe, des seins énormes, et une blouse d’infirmière.

« Mais qu’est-ce que... ?! » s’exclama Janet.

Elle fronça les sourcils, rajoutant rapidement, en sentant son cœur s’accélérer rapidement dans sa poitrine :

« Mais qui êtes-vous ?! »
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 13 samedi 14 septembre 2013, 17:21:58

Ding dong ! à quel étage désirez vous descendre ? euuuuuh.... en enfer !

Lucrezia appuya sur le bouton marqué des lettres " SS-2". Les lourdes portes de l'ascenseur coulissèrent, enfermant les deux jeunes femmes dans la cage de ce dernier. Lucrezia émit un petit frisson au moment de la mise en marche de l'ascenseur, surement due à cette étrange sensation qui vous traverse le corps à chaque fois que vous mettez ce genre d'engin en marche.

Brrr ! cela faisait bien longtemps que je n'était pas montais dans ce genre de truc... en y repensant bien... je me demande si ce n'est pas dans cette même cage d'ascenseur que j'ai taillée une pipe à un des chirurgiens que j'accompagnais...

En disant cela lucrezia posa son index sur le bout de son menton, prenant un air songeur. Mais le moment de réflexion de notre tueuse fut bien vite interrompu par la secousse qui annonçait l'arrêt de l'engin au premier étage.
Notre tueuse repris alors les poignées du fauteuil roulant entre ses mains gantées, fronçant au passage ses sourcils.

hmmm Pourquoi que ça s'arrête aussi vite ?

Les porte se mirent alors à coulisser, mais... un étrange événement vint interrompre notre tueuse dans sa folie nocturne. Là, juste devant notre duchesse, une jeune infirmière à lunette était plantée comme un poireau en plein milieu du passage. La première réactions de lucrezia fut bien évidement d'écarquiller grand ses yeux d'un turquoise délavé, Qu'est ce que venait foutre cette greluche ici à une heure pareille ?


« Mais qu’est-ce que... ?! »
« Mais qui êtes-vous ?! »
s'exclama la jeune femme.

Oh...oh... je... Je suis une collègue  ! tu vois, comme toi ! lui répondit lucrezia avec le sourire au lèvres et les yeux emplis de folie. Évidement cela sonnait faux, même ci lucrezia portait une tenue d'infirmière, cette dernière était maculée d'innombrable taches de sang fortement incrustées dans le tissue ainsi que la taille trop courte pour le corps de notre tueuse montrant avec indécence les courbes et formes de lucrezia n'aurait surement pas était acceptée si elle travaillait réellement à l'hôpital. Mais cesse de blabla, notre duchesse avais du pains sur la planche et ne devait en aucun cas perdre du temps avec des broutilles. Elle sortie alors sont immense couteaux de boucher de sa sacoche, avant de violement planter ce dernier dans le moniteur de l'ascenseur, arrêtant net la fonction de ce dernier. Bordel ! Des fois elle a vraiment pas les idées claire notre tueuse...

je peut voir l'angoisse dans tes yeux ma petite... tu sais... j'aime bien les jeunes femmes avec des lunettes... tu connais le dictions, "femme à lunette, femme à quequettes" ?
Elle s'avança alors lentement vers la pauvre jeune femme, dans un silence macabre où seul le couinement des roues du fauteuil se faisait entendre. Le couteau à la mains et le regard fixe, lucrezia continua sa sinistre avancer vers cette jeune infirmière.

Je... vais... t'éventrer ♥
« Modifié: mardi 17 septembre 2013, 17:41:26 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Shani Stevens

Dieu

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 14 mardi 17 septembre 2013, 10:54:23

Ses oreilles sifflaient et bourdonnaient, et Shani devait ventiler pour lutter contre la panique, et revenir peu à peu à la normale. Elle avait les yeux clos, et respirait lourdement, n’entendant que très difficilement que la Duchesse lui disait. Elle allait certainement la tuer, et la secrétaire devait donc réfléchir. Inutile de paniquer, de hurler, de s’égosiller, elle avait vu ça dans les films d’horreurs, et ça ne marchait pas. La panique était bel et bien là, forte et ardente, mais essayer de la calmer en hurlant ne servirait à rien. Elle devait au contraire réfléchir. La Duchesse n’était qu’une femme, une psychopathe qui comptait sur la peur qu’elle influait aux gens pour les torturer. Shani n’était pas encore morte, mais il ne faisait aucun doute qu’elle allait mourir sous peu... Et qu’elle allait souffrir avant de le faire. La police disait peu de choses sur le modus operandi de la Duchesse, mais la secrétaire n’était pas idiote. Elle ne se contentait pas de les tuer avec une balle en pleine tête. Elle infligeait des tortures sexuelles et physiques, et Shani n’avait pas spécialement envie d’y assister.

Aucune sangle ne la retenait sur le fauteuil roulant. La seule chose qui l’empêchait de fuir était sa migraine, cette torpeur qui s’emparait d’elle, et cette irritante voix dans sa tête qui lui disait que s’enfuir ne ferait qu’abréger sa vie de quelques secondes, qu’elle devait rester ici, qu’il y avait des caméras de sécurité partout dans un hôpital, et que la sécurité allait débarquer. Elle s’imaginait déjà la scène : des commandos d’élite, les lampes-torches dans la figure, des voix viriles qui hurlaient à la Duchesse de se rendre, une myriade de points-lasers, l’ultime rire de cette cintrée avant que les balles ne la fauchent sur place... Elle y croyait si fort qu’elle pensait presque à une vision, lorsque les battants s’ouvrirent.

Shani vit une femme, et crut, sur le coup, à une complice, mais la lumière du couloir lui indiqua qu’elles n’étaient pas encore à l’endroit où la Duchesse voulait la conduire. Elle vit qu’il y avait une femme, une belle petite poulette avec des lunettes et des cheveux roses, qui observait la scène, médusée, ses yeux louchant sur le couteau de boucher interminable de la Duchesse.

*Fous le camp !* voulait lui hurler Shani.

Elle sentait ses forces revenir.



« Je... vais... t'éventrer »

Ce fut ce mot, ainsi que la vue de ce couteau interminable, qui réveilla Janet, dont les jambes lui semblaient comme coulées dans du béton. Elle n’arrivait pas à croire à cette scène. Une folle dans une tenue d’infirmière trop sexy pour être un uniforme règlementaire, et une patiente qui avait l’air de planer, dans un ascenseur... Janet comprit rapidement qu’elle avait affaire à ce genre de choses qui n’arrivait que dans ces slashers stupides que les Occidentaux adoraient regarder. Cette tarée avait bousillé le panneau de contrôle de l’ascenseur, et se rapprocha d’elle, une lueur de démence dans les yeux. Elle était aussi belle que tarée, mais, en l’état actuel des choses, Janet était plus préoccupée par ce couteau que par la vue de ses seins interminables.

« Non, ne... Ne vous approchez pas, non ! »

Elle recula, faisant quelques pas en arrière, et manqua trébucher... Fort heureusement, la vie n’était pas aussi absurde qu’un slasher. La peur ne rendait pas immobile : elle donnait des ailes. Or, Janet n’avait nullement envie de mourir. Elle tenait encore un peu trop à sa petite vie sans intérêt pour mourir. Janet se retourna donc, et se mit à courir. Cette femme avait une prisonnière, et son cerveau affolé se mit à réfléchir à toute allure, carburant comme une Ferrari lancée à pleine allure. L’hôpital était grand, et elle pouvait donc se cacher... Mais l’hôpital était son chez elle, l’endroit où elle travaillait.

Il fallait qu’elle donne l’alarme, et elle ne voyait qu’un seul moyen de le faire. L’alarme incendie. Cette dernière se déclenchait, soit lorsque les détecteurs de fumée étaient atteints, soit en appuyant sur le bouton rouge, recouvert par une petite vitre. Elle pouvait aussi rejoindre la loge du gardien, mais ce dernier devait faire une ronde dans une autre partie de l’hôpital. Janet se mit donc à courir, cherchant d’abord à semer son adversaire, filant sur un couloir à droite. Quand elle serait à l’abri, elle déclencherait l’alarme. La procédure standard impliquait l’intervention des pompiers, mais les vigiles se rendraient aussi vers l’endroit où on avait appuyé sur le bouton, afin d’aider à l’évacuation...

Mais, pour l’heure, Janet devait échapper à cette folle tordue !
« Modifié: mardi 17 septembre 2013, 16:52:38 par Shani Stevens »
DC d’Alice Korvander.

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