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[FINI] Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 15 vendredi 20 septembre 2013, 20:58:01

Cette petite infirmière incongrue sentie tout de suite le danger, reculant de quelques pas en arrière, manquant presque de se rétamer au sol. La duchesse quant à elle, avançait d'un pas sinistre vers cette jeune femme.

« Non, ne... Ne vous approchez pas, non ! »

Allez... viens... viens donc voir maman...

La jeune femme se retourna d'un coup, avant de partie à toute berzingue, espérant vainement fuir notre duchesse qui, rappelez vous, Connait elle aussi l'hôpital. Cette dernière fronçât les sourcils avant de violement envoyer le fauteuil roulant par terre, faisant lourdement chuter la jolie Shani contre le sol.

Naaan ! toi tu reviens ! S'exclamât elle en partant à la poursuite de la jolie nurse aux cheveux roses.

Les couloirs interminables de cette établissement n'avais aucuns secrets pour lucrezia qui se rappelait parfaitement de chaque recoin de cette hôpital qui l'eut accueilli il y à de ça quelque temps. Si cette petite pouf aux cheveux roses croyait pouvoir semait notre tueuse, elle s'enfoncer le doigt dans le cul jusqu'à l'os. Lucrezia n'eu d'ailleurs aucun mal à rattraper cette petite salope, ne la lâchant pas d'une semelles, ne laissant à peine quelque mètres entre elle et ça proie. Lucrezia gagnait du terrain, agrémentant sa course frénétique de violent coups de lames dans le vide, manquant à bien des reprises la jeune infirmière, frôlant sa belle chevelure, raccourcissant cette dernière au passage. Puis... Lucrezia fini par acculer ça jeune proie dans une impasse, serait ce donc là la fin de cette course poursuite ?

Ahah, ih, oh ,uh ,eyh ! Te voilà au pied du mur ! Dit elle en avançant vers la jeune incongrue d'un pas sinistre. Mais voyons, je ne te ferais aucun mal... Je te le jure... Tu es un soleil, une fleur, une ange ! Nan je ne te ferait aucun mal... Voyons, tu ne m'as laisser le temps de finir ma phrase. J'ai dit que je n'allais te faire aucun mal, Nan, je vais juste te faire un énorme trou dans les entrailles, trou par le quel je me ferais un joie de t'enfiler ! AHAHAHAH ! S'exclamât elle avant de donnez un grand coup de couteaux en directions de la jeune femme, cette dernière esquivant in extremis le coup, laissant alors au couteau, la joie d'aller se planter dans un tuyaux.

Put... Rétorquât elle en enlevant d'un coups sec la lame du tuyaux, laissant s'échapper un grand nuage de vapeur.
« Modifié: vendredi 20 septembre 2013, 21:06:23 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Shani Stevens

Dieu

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 16 dimanche 22 septembre 2013, 02:34:22

La peur donne des ailes. Janet n’était pas une grande sportive, mais elle courait comme un lapin, la panique l’amenant à filer dans tous les couloirs sans réfléchir à autre chose que mettre de la distance entre elle et la psychopathe qui voulait la planter. Elle se croyait dans un film d’horreur ! Et, dans les films d’horreurs, les belles adolescentes n’avaient pas vraiment le bon rôle. En attendant la tortionnaire se rapprocher, Janet en oublia totalement son plan initial, passant ainsi devant plusieurs alarmes incendies. Elle filait dans les couloirs, cherchant une porte, un abri. Tous les patients dormaient, et elle ne pouvait décemment pas les réveiller. Il lui fallait rejoindre le centre de sécurité, ou espérer que ces idiots regarderaient les bonnes caméras pour envoyer des renforts. Elle voulait qu’une armée entière débarque pour la plomber, mais, pour l’heure, elle était toute seule, poursuivie par une tarée.

Elle courait si vite qu’elle s’épuisait, ce qui permettait à la femme de la rapprocher, cette dernière remuant son poignard dans tous les sens. Loin de là, Shani, elle, était vautrée sur le sol. La Duchesse l’avait bousculé en poursuivant l’infirmière, ce qui avait eu pour effet de réveiller la secrétaire. Sans ses lunettes, tout était flou, mais elle y voyait suffisamment assez pour se relever. Sa tête lui donnait l’impression d’avoir fait une pause en plein milieu d’un échangeur autoroutier. Elle s’appuya sur le rebord, et réussit à se soulever.

*Bon... Réfléchis... Cette cinglée a bousillé l’écran de l’ascenseur...*

Cependant, il existait peut-être un bouton d’appel, un bouton d’urgence, qui permettrait de contacter la sécurité. Tous les ascenseurs avaient ce genre de dispositif, a fortiori dans un hôpital. En espérant qu’il fonctionne... Shani commença donc à se retourner, et entendit alors un hurlement, qui remonta à travers les couloirs.

Janet avait bien cru mourir quand elle avait été coincée entre le mur et la tarée. Cette dernière avait un couteau interminable, et l’avait abattu sur elle. Janet l’avait évité, et aurait sans doute pu profiter de son avantage pour repousser la femme, voire même la frapper, mais elle préféra fuir. Le couteau avait frôlé sa joue, laissant une traînée de sang, et elle courut vers une porte, l’ouvrant en grand. Elle menait au réfectoire, qui était silencieux, et elle fila s’abriter sous une table, profitant de l’obscurité ambiante, en retenant sa vessie, et en mordillant son poing, pour s’empêcher de gémir. Janet tremblait comme une feuille un jour d’automne, ses poumons lui donnaient l’impression qu’ils allaient éclater.

*Ne dis rien, ne dis rien, il ne faut pas l’alerter ! Ferme-là, elle ne peut pas te voir dans l’obscurité !*

Le réfectoire était plutôt grand, et elle n’avait aucune arme. Ses yeux s’étaient embués, les verres de ses lunettes étaient sales. Bien qu’elle savait que c’était complètement idiot, elle avait envie de supplier cette femme, tout en sachant que cette tarée ignorait ce qu’était la pitié. Elle se recroquevillait sous la table, sans bouger, en espérant que la folle tordue s’en irait. Elle en était presque à souhaiter qu’elle retourne s’occuper de l’autre femme en fauteuil roulant, mais, vu comment cette dernière avait l’air stone, elle ne risquait pas d’être une menace...

Ladite fausse menace venait d’entrer dans l’ascenseur, et avait manqué tomber à plusieurs reprises. Sa vision était floue, et elle sentit son estomac remonter. Shani déglutit, et vomit sur le sol, dans un coin de l’ascenseur. Elle manqua à nouveau tomber, et se força. Il fallait qu’elle appelle les renforts, qu’un beau chevalier vienne la sortir de ce pétrin ! Il paraît qu’il y avait des super-héros en ville, ce serait bien que l’un d’entre eux débarque par ici !
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 17 lundi 30 septembre 2013, 20:27:47

                                                   
Lucrezia

La jeune femme venait tout juste de se réfugier dans le réfectoire, espérant échapper à notre tueuse... Lucrezia quant à elle, faisait face au deux porte du réfectoires en question, se remémorant vaguement l'endroit, puis... sont regard fut attirer par un objet des plus... comment dire... drôle ! oui, c'est ça, drôle ! Là, accrocher au mur, une hache à incendie était mise en évidence, si la jeune nurse n'avait pas était aussi pressée, peu être aurait elle put s'en emparer, mais que voulez vous, les gens sont stupides de nos jours... Lucrezia regarda vaguement son couteau, puis la hache, puis le couteaux, puis encore la hache, bordel lulu ! Décide toi ! Du coup Lucrezia remballa son couteau dans sa sacoche, afin de s'emparer de la hache d'un rouge vif.

Petit chaperon... Voilà qu'arrive le bucheron !

Lucrezia fit alors son entrer dans le réfectoire plonger dans les ténèbres. Elle avança lentement dans la pénombre en faisant trainer la lame de la hache sur le sol, produisant un bien sinistre son se mélangeant à merveille avec l'ambiance de la scène.

Loup y'es tu ? Me vois tu ? M'entend tu ?

Elle se stoppa quelques secondes...

Aller mon lapin... sort de ton terrier...

Un lourd silence pesait sur l'endroit, Lucrezia chercher la moindre faute, la moindre petite erreur de la part de sa proie. Après une petite quinzaines de secondes, Lucrezia reprit sa route dans le réfectoire. Les talons de la duchesse résonnait dans toute la pièce, accompagnée du sinistre bruit que faisait la hache raclant sur le sol, Puis... elle s'arrêta une seconde fois... juste à coter d'une des tables qui ce trouvait au centre de la pièce.


Tu veux jouer à cache-cache ?... hm ?... Très bien... ont vas jouer...



                                                             
John sheffield


John était un vigile d'une quarantaine d'année, large d'épaule et de forte constitution. il vivait dans un petit quartier résidentiel non loin de l'hôpital avec sa femme et sa fille. Ce soir était plutôt tranquille, seulement quelques internes étaient en service, oui, c'était vraiment tranquille.

Cela devait faire une bonne heure et demi que l'homme déambulais dans les interminables couloirs de l'hôpital, saluant les rares infirmières qu'il croisât d'un geste de la tête, toujours accompagné d'un sourire sincère et de son habituel "est ce que tout va bien ?", ce sur quoi elles lui répondaient bien souvent par un "oui, merci." là aussi accompagné d'un grand sourire emplie de gentillesse. Tout ce passait pour le mieux, il marcher tranquillement, faisant tournoyait son trousseaux de clé du bout de son index, quand... des bruits se firent entendre, l'homme se précipita alors vers l'origines de ses derniers. En  premier lieux il vit un fauteuil roulant renversé sur le sol, il s'en approcha, histoire d'inspecter l'objet, mais son attention fut bien vite détourner par le bruit glauque d'un vomissement.  le bruit provenait de la cage d'ascenseur, l'homme se précipita alors vers cette dernière et sur quoi tombât il une fois à l'intérieur ? Sur une pauvre jeune femme vraisemblablement mal en point. John alla alors de suite lui porter secours.


Qu'avez vous mademoiselle ?! Vous avez besoin d'un médecin !?

Son regard s'arrêta vaguement sur le panneau de contrôle complètement détruit... ce qui le fit quelque peut s'interroger sur la situation.

Que s'est il passé ici ?
« Modifié: lundi 30 septembre 2013, 21:55:51 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Shani Stevens

Dieu

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 18 jeudi 03 octobre 2013, 00:41:28

JANET

Sa vessie ne vint pas la démanger, fort heureusement. Elle n’avait pas envie de se faire dessus, mais elle commençait à avoir mal au ventre. La peur qu’elle ressentait n’avait rien à voir avec les angoisses qu’elle avait déjà ressenti auparavant. Si on lui avait posé la question hier, elle aurait dit que le plus grand moment de stress de toute son existence fut à la veille d’un Oral avec un professeur particulièrement exigeant. Elle angoissait tellement qu’elle avait passé presque l’essentiel de sa nuit aux toilettes. Mais, maintenant, elle avait une approche très différente de la peur. Son adversaire n’était plus un professeur hors d’âge cherchant à humilier ses élèves en leur posant des questions particulièrement fourbes, c’était une folle tordue, une psychopathe qui la découperait en morceaux, comme dans tous ces slashers insipides et ces romans sur des tueurs en série qui découpaient leurs proies, et leur faisaient vivre mille tourments avant de mourir. Cette situation était tout simplement atroce, et Janet avait encore du mal à croire que c’était sur elle que ça arrivait.

Dissimulée sous la table, dans l’obscurité, elle savait que son plan était totalement farfelu, et espérait que cette femme s’en aille, qu’elle s’éloigne. Qu’un ange vienne la sauver. Elle n’avait plus la force de se déplacer. Un vigile finirait bien par arriver, ou bien la police.

*Ne rêve pas, tu n’es qu’une misérable infirmière. T’attends-tu vraiment à ce que des troupes d’élite se déploient pour TE sauver ? Tu es toute seule, ma grande, alors, si j’ai un bon conseil à te donner, remue-toi le cul ! Sérieusement, tu t’attends à quoi, en te planquant sous une table ? Tu joues à cache-cache ? Tu te crois à un putain de goûter d’anniversaire ?*

Janet mordilla ses lèvres, ordonnant à cette maudite voix de se taire... Quand la porte du réfectoire s’ouvrit. Elle sentit la peur, vive, s’égayer en elle, comme une plaie à vif. Un rectangle de lumière éclaira une partie du réfectoire, et elle entendit la femme s’approcher. Ses talons claquaient sur le carrelage, et, surtout... Janet entendait le raclement d’un objet contondant sur le sol. Un grand classique des films d’horreurs. Si un spécialiste aurait été là, à regarder la scène, il aurait probablement poussé un soupir devant le geste. Cependant, quand on était acteur de la propre scène, on ne pouvait pas s’empêcher de trouver que le bruit de cette hache raclant le sol était crispant... Comme une mauvaise note perpétuelle sur une partition de piano.

« Aller mon lapin... sort de ton terrier... » glissait la femme

Des tremblements nerveux agitaient son corps. Ce n’était pas possible, ce ne pouvait être qu’un cauchemar. Pourquoi vouloir la torturer, elle ? Qu’avait-elle de si spécial ? Elle n’était rien de plus qu’une fille ordinaire ! Pourquoi diable est-ce qu’une psychopathe la poursuivait ? Janet ne pouvait s’empêcher de frissonner, alors que la Duchesse se rapprochait du centre de la pièce, près de l’endroit où Janet s’était dissimulée. Pour son malheur, Janet avait laissé son téléphone portable dans sa loge. Elle n’avait aucun moyen de prévenir qui que ce soit.

*Elle joue avec toi, elle sait très bien où tu es, tu es aussi visible qu’un éléphant dans un magasin de porcelaine... C’était vraiment une idée stupide ! Tu tiens donc tant que ça à nous faire mourir ? Tu avais cinquante mille moyens de contacter les autres : les téléphones internes, les alarmes incendies... Et tu pouvais aussi fuir ailleurs que dans le réfectoire ! Elle va te tuer, ouvrir ton ventre, et répandre tes intestins sur...
LA FERME !
*

Janet aurait pu, en d’autres circonstances, se demander pourquoi l’esprit humain, dans des moments aussi difficiles, s’amusait à vous torturer... À moins que ce ne soit juste elle ? Dans tous les cas de figure, la situation actuelle lui provoquait des fourmillements dans le ventre. Sa propre mort ne la tentait guère, mais ce scénario paraissait d’autant plus plausible. La femme avait rejoint le coin où Janet se tenait, et se tenait face à une table. En réalité, Janet était juste derrière elle, dans son dos, et fut saisie par l’envie de fuir. Elle voulait le faire, elle le voulait vraiment. Elle aurait pus ‘armer d’une chaise et la balancer sur la tête de la femme, mais tout son corps semblait figé. Elle était en train de pleurer, des larmes silencieuses roulant de ses yeux, et elle avait presque cessé de respirer, son cœur battant la chamade avec la force d’un tambour à percussion.

Cette femme était le Diable en personne, tout simplement. Une sorte de démone qui allait la tuer, ça ne faisait maintenant plus l’ombre d’un doute. Janet pouvait déjà la voir pousser la table, et la voir, puis abattre sur elle la lourde hache.



SHANI

Le fait de vomir l’avait rendu nerveuse, fébrile. Des gouttes de sueur glissaient le long de son front, et elle appuyait stupidement sur tous les boutons. Le panneau de contrôle émettait des couinements électriques, et même le petit écran digital ne répondait pas, restant éteint. Shani entendait maintenant des bruits de pas précipités, et était sûre que c’était elle. La folle tordue qui l’avait électrocuté, et qui cherchait à la découper en rondelles. Elle savait que Shani s’était relevée, qu’elle allait appeler à l’aide, et elle intervenait donc pour l’en empêcher. Elle allait l’égorger ! Shani se surprit à paniquer, et regarda autour d’elle. Une arme quelconque, un objet, n’importe quoi d’autre de plus efficace que ses propres ongles... Il n’y avait cependant rien.

Une forme indistincte entra, et Shani poussa un hurlement... Qui mourut dans sa gorge. Elle bondit en arrière, son dos heurtant la paroi. Son cœur était sur le point d’exploser dans sa poitrine, mais l’être devant elle... Ce n’était pas la Duchesse !

*Pas elle, pas elle, pas elle !* hurlait une voix dans sa tête, comme pour l’encourager à se détendre.

C’était un homme... Trapu, plutôt âgé. Shani cligna des yeux, l’observant comme s’il s’agissait d’une apparition. Elle n’avait pas encore pleuré, mais elle n’en était pas loin, et l’expression de terreur indicible dans ses yeux suffisait d’emblée à lui enlever tout doute de mentir.

« Que s'est il passé ici ? » demanda l’homme.

En clignant des yeux, Shani remarqua alors le petit badge épinglé sur le torse de l’homme : « SÉCURITÉ ». Elle bondit alors vers lui, l’attrapant par le col, essayant de le secouer comme un prunier... Ce qui, bien sûr, revint à dire qu’elle ne fit pas grand-chose, car Shani était relativement frêle, et cet homme était plutôt costaud.

« Elle... Elle va revenir, elle va nous tuer, il faut partir, Monsieur, il faut partir, vite !! La Duchesse... La Duchesse est ici !! »

Le ton était précipité, presque hystérique, et Shani sentit alors ses résistances fondre. C’était un sinistre cauchemar, et elle se mit à pleurer, enfouissant sa tête contre le torse de l’homme... C’était si réconfortant... Mais, si elle en croyait son expérience des films d’horreurs, les preux chevaliers en armure avaient la désagréable manie de mourir de manière brutale et précipitée, offrant un espoir salutaire à la victime, avant de la replonger dans le calvaire dans lequel elle était. Cette histoire invraisemblable prenait de plus en plus l’allure d’un slasher pour adolescents libidineux.

« Il faut partir vite, vous comprenez ?! Elle va REVENIR !! »
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 19 lundi 07 octobre 2013, 17:33:22

Lucrezia resta silencieuse quelques instants, ne faisant rien de plus que d'attendre un faux pas de la part de la jeune femme. Puis, elle discerna dans l'obscurité ambiante une très légère lueur provenant des grandes fenêtres qui, lui faisaient face. Un léger sourire naquit sur son visage de cinglée... puis ses pas se remirent à retentirent dans toute la pièce, toujours accompagnés du sinistre raclement de la hache sur le sol.

 Allons ma douce enfant, allumons donc la lumière... et tout tes cauchemars s'en iront... à jamais ! dit elle en s'avançant vers les stores qui découpaient en fines lamelles, la lumière de l'astre lunaire. Et si nous Laissions entrer l'étincelante brillance de la pleine lune en ces lieux... qu'en dis tu ?

 Lucrezia fit délicatement glisser sa mains sur l'interrupteur qui dirigeait la levé et la descente des stores, ce qui eu bien évidement pour effet, d'amorcer la montait de ces derniers, irradiant ainsi toute la pièce de l'apaisante lumière lunaire. Lucrezia tourna délicatement sa tête vers en direction de la jeune nurse qui s'était vraisemblablement cachée sous une misérable table. Les yeux turquoises de la duchesse semblaient luirent dans la nuit, reflétant ainsi toute la folie de cette dernière.

 Trou-vée ♥ soufflât elle en esquissant un large sourire.

 Notre tueuse tournât alors les talons, puis avec toujours la même expressions de cinglée elle s'avançât vers sa pauvre proie, faisant racler sa hache sur le sol tout en titubant légèrement. Elle émit un petit ricanement de joie, que dit-je ! d'excitation ! Puis... elle prit la hache à deux mains, la souleva du sol, dressant cette dernière au dessus de sa tête... puis...

 Bonne nuit... mon étoile...

 

 
John

A la vue du vigile la jeune femme vint violement attraper le col de ce dernier, essayant vainement de le secouer.
John put lire au fond des yeux de la jeune femme, la terreur mêlée à la peur, mais peur de quoi ? L'homme n'allait pas tarder à le savoir.

« Elle... Elle va revenir, elle va nous tuer, il faut partir, Monsieur, il faut partir, vite !! La Duchesse... La Duchesse est ici !! »

La duchesse ? John ne connaissait que trop bien se nom, les journaux, les médias, la police, tous véhiculait l'image de cette tueuse. La froideur de son regard, son sourire sinistre, ses deux cicatrices, oui ! Seikusu toute entière connaissait se visage, celui d'une psychopathe, d'une folle violant, tuant, éviscérant de pauvres putes au coin d'une ruelle sombre. La pauvre Shani vint alors coller son visage contre le torse de John. Cette pauvre fille était complétement déboussolée, au fond, qui ne le serait pas dans une telle situation. De fines gouttelettes vinrent légèrement tachaient l'uniforme de John, ce dernier posa alors sa mains sur la tête de la jeune femme, caressant délicatement sa douce chevelure d'un geste doux et réconfortant.

« Il faut partir vite, vous comprenez ?! Elle va REVENIR !! »


John posa ses deux mains sur les épaule de la jeune femme, écartant doucement cette dernière de son torse, tout en plongeant son regard dans celui de la pauvre fille.

Calmez-vous, je vais appeler les autorités, elle seront là d'ici à une quinzaines de minutes, en attendant rester là je...

Cet alors qu'un hurlement de femme ce fit entendre, faisant légèrement frissonner le vigile qui, se retourna rapidement, la mains poser sur son revolver.

Que...


Shani Stevens

Dieu

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 20 mercredi 09 octobre 2013, 00:38:40

SHANI STEVENS

Est-ce que ce type était aussi con que musclé ? Dans son état de détresse, Shani avait tendance à s’emporter contre n’importe qui. C’était ce vigile qui allait prendre. S’il voulait la rassurer, qu’il cesse de lui caresser les joues, et qu’il appelle les flics ! Vite ! Que des camions blindés remplis à ras-bord d’une armée d’armoires à glaces suréquipés débarque pour neutraliser la tarée qui l’avait électrocuté dans sa chambre ! Shani n’arrivait pas à croire que ce qui lui arrivait était réel, tant elle avait l’impression de voguer dans un rêve... Ou, plutôt, dans un cauchemar, un putain de cauchemar, le genre de cauchemar qui vous prenait aux tripes, qui vous amenait à vous tortiller dans le lit en priant pour que quelque chose vous en sorte, que ce maudit réveil, pour une fois, se mette à sonner pour vous sortir du cauchemar abyssal dans lequel vous étiez plongés... Mais nul réveil ne viendrait la sortir de là, nulle sonnerie salvatrice ne résonnerait à ses oreilles pour annoncer la fin du show. Elle avait pris un ticket pour un train fantôme infernal, et, dans un tour de manège, on devait rester sagement assis jusqu’à la fin du tour.

« Calmez-vous, disait l’homme, ce qui donnait envie à Shani de lui gueuler dessus, je vais appeler les autorités, elle seront là d'ici à une quinzaines de minutes, en attendant rester là je... »

Shani entendit alors un hurlement suraigu. Elle sursauta, comprenant qu’il s’agissait de la fille aux cheveux roses, celle que la Duchesse avait poursuivi.

*Oh non, c’est pas possible, elle est morte !*

Ceci signifiait surtout que la Duchesse allait revenir. Certes, Shani était triste pour cette pauvre fille, dont le visage avait l’air de témoigner d’une certaine forme de gentillesse, mais elle ne pouvait pas faire taire les voix dans son esprit, qui lui disaient que ça allait être son tour, maintenant.

*Crois-tu vraiment que ce lourdaud pourra te protéger ? C’est un vigile, Shani, un VIGILE ! Tu as vu suffisamment de films pour savoir que ces gens-là ne sont que de l’esbroufe, du flan. C’est sûrement un type qui a voulu rejoindre la police, et qui a été recalée, ou qui a été licenciée parce qu’il buvait trop ! Il bosse dans un hôpital ! Il n’est pas apte à te défendre contre une cinglée pareille ! Mais tu n’en as fait qu’à ta tête, tu as voulu attendre, au lieu de fuir, de prévenir les secours. Tu t’es crue dans un jeu vidéo où un bel homme en armure d’albâtre viendrait te secourir, et, tout ce que tu as, c’est un pauvre type qui se fera décapiter sous tes yeux ! Merde, mais il te faut quoi de plus pour comprendre qu’il est temps de FOUTRE LE CAMP ?!*

Le vigile était surpris, regardant vers l’origine du cri.

« C’est ELLE ! Il faut appeler les flics ! Remuez-vous, merde ! »

Curieusement, entendre ce cri semblait avoir réveillé Shani, la galvanisant. Ce cri était la preuve qu’elle risquaitde mourir, et qu’implorer la pitié de la Duchesse ne servirait à rien. Il lui fallait donc réagir, prendre le taureau par les cornes, et sortir de ce cauchemar. Pour ça, il fallait appeler la police. Cependant, le temps pressait. Le vigile mettrait du temps à réagir, et Shani regarda autour d’elle.

*Une idée, une idée, une idée, une idée, vite, vite, remue-toi, Shani, allez, allez, fais fonctionner tes méninges !*

Et l’idée s’imposa d’elle-même.



JANET

La hache avait défoncé la table en deux, la fendillant comme du petit bois... Et c’est ce qui, indéniablement, sauva Janet d’une mort certaine. La hache s’était abattue avec rage, mais cette femme, aussi folle soit-elle, n’avait pas la carrure d’un bûcheron. Si ça avait été le cas, il est probable que la hache n’aurait pas ralenti lors de sa chute. Une hache était bien plus lourde que ce qu’on pouvait s’imaginer, et, même si les haches à incendie de l’hôpital étaient moins lourdes que celles que les bûcherons utilisaient pour abattre d’immenses arbres, ils pesaient quand même leur poids. La tueuse l’avait trouvé, et avait abattu la hache sur la table. C’était probablement un miracle. Elle aurait pu repousser la table, Janet savait que la peur l’aurait tétanisé, et qu’elle aurait sombré dans le cliché habituel de tous les slashers du genre : supplier son bourreau.

Au lieu de ça, elle entendit la hache exploser la table en verre, provoquant une explosion de cristal qui s’abattit sur le corps de Janet, la faisant hurler. La hache perdit énormément de sa vitesse, et Janet se déplaça sur la gauche. Le bout tranchant de la hache heurta son corps, déchirant sa blouse et son chemisier, en laissant une traînée sanglante qui partit de sous son sein droit, alors que la hache se mit à heurter le sol, produisant un bruit infernal qui lui explosa les oreilles.

Pour Janet, ce fut comme un déclic. Elle avait failli crever, et ne devait son salut qu’à une table en verre qui lui avait écorché le corps. Des bris de verre s’étaient abattus sur elle, fendillant ses joues, laissant des traînées de sang ici et là. Le sang explosa dans ses veines, l’adrénaline la réveilla, et elle leva son pied, frappant le ventre de la Duchesse, la repoussant en l’envoyant s’étaler sur le sol.

« Ne me touche pas, salope !! »

Elle fut tentée de se saisir de la hache, alors que son adversaire était au sol, mais elle n’avait pas la force nécessaire pour le faire. Elle essaya de se relever, mais ses doigts glissèrent sur les bris de verre, et elle se coupa. Janet manqua glisser à nouveau, et, alors qu’elle s’était relevée, elle remarqua qu’il y avait de grosses tâches rouges sur le sol.

Le sang coulait de sa longue plaie, et elle réalisa alors qu’elle avait été ouverte sur plusieurs centimètres.

*Oh non...*

Elle posa une main sur sa plaie, se sentant incapable de courir, et se mit à avancer lentement. Elle n’eut le temps que de faire quelques pas avant qu’une alarme tonitruante ne se mette à résonner, et que des sirènes orangées se mettent à tournoyer dans les coins, annonçant un incendie nécessitant l’évacuation de tout le site.



SHANI STEVENS

« Mais que… ?! »

Le vigile était surpris. Shani venait en effet de lui prendre son arme de service, et l’avait utilisé par la crosse, l’abattant sur la petite vitre de l’une des alarmes anti-incendie à proximité d’eux, dans le couloir. Ce faisant, elle avait pu écraser le bouton d’urgence, et l’alarme se mit à résonner.

Shani n’avait jamais entendu un son plus merveilleux de toute sa vie.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 21 lundi 18 novembre 2013, 22:50:50

                               
Lucrezia



Du sang... du sang... Là... partout... du sang...

à la vue de l'hémoglobine la duchesse eu comme un flash, un assemblage complexe d'un tas de visions sombres et macabres, son enfance, sa mère battue, ses victimes... L'espace d'un instant notre tueuse resta figée, les yeux grands ouverts sur sa victime couverte de sang et de bris de verre. Mais cette dernière eu comme un éclat de courage et vint alors donner un grand coup de pied dans l'abdomen de la duchesse qui s'effondra sur le sol jonché de morceaux de verres lui coupant légèrement les avant-bras et les jambes.
La jeune infirmière eut alors le temps de ce relever et de marcher vers la porte en titubant, perdant au passage beaucoup de sang, laissant ainsi plusieurs taches d'hémoglobine assez conséquentes sur le sol. La Duchesse quant à elle reprit ses esprits avant de ce relever à son tour, glissant quelque peut sur le mélange bris de verre/ sang.

Reviens là t...

A peine eut elle le temps de finir sa phrase qu'un vacarme monstrueux ce fit entendre dans tout le bâtiment. Un hurlement synthétique qui résonnait dans le crane de la duchesse de façon infernal, oui, quelqu'un venait d'enclencher l'alarme à incendie... Lucrezia s'affolait, l'alarme aller réveiller les patients, mais elle aller aussi rameuter toute la cavalerie, la situation était critique, très critique ! Là, la duchesse n'était pas dans les rues, il lui serait difficile de fuir dans un espace clos comme cet hôpital et même si elle le connaissait par cœur, il y aurait toujours le problème de la foule qui s'agite, Lucrezia devait réagir et vite !
Le regard de la duchesse se dirigeât alors vers sa pauvre victime à l'agonie puis elle glissa rapidement sa mains vers sa sacoche avant d'en sortir plusieurs flacons.

Nan.... nan... pas ça... putain PUTAINS ! IL EST OU ! S'exclamât elle en balançant frénétiquement les flacons contre le sol.

Ah ! Putains ! Le voilà !

Sur le flacons qu'elle tenait entre ses mains était inscrit en gros "AMC" pour Adrénaline, Morphine et Caféine pur. Ce mélange permettait à la duchesse de se sortir des situations les plus critique, augmentant fortement son rythme cardiaque et par conséquent son endurance physique, augmentant aussi grandement sa résistance à la douleur en cas d'accrochage avec une quel qu'onc personne. Lucrezia se saisit ensuite d'un élastique à garrot qu'elle enroulât fermement autour de son bras, par la suite elle prit une seringue qu'elle remplie de la dite substance, puis d'un geste violant elle se l'enfonçât dans le bras avant de desserrer le garrot. La pressions exercer par ce dernier permit alors à la drogue de circuler plus vite dans l'organisme de la Duchesse. Suite à cela, notre tueuse se saisit une nouvelle fois de sa hache et d'un pas rapide elle fonça vers sa pauvre victime, faisant abstraction de l'alarme, du sang, de tout, de tout mise à part de sa folie qui venait de monter d'un cran dans son cerveau malade.

Je vais la buter, la buter la buter, lui broyer le crane, lui exploser le bide et répandre ses tripes partout ! PUTAINS JE VAIS LA BUTER !!!!!!!!!!!

La pauvre jeune femme titubait, ressassant peu être sa misérable petit existance... La Duchesse elle, était à présent juste derrière elle, les yeux grand ouverts, les pupilles rétractées au maximum avec en prime, un sourire sadique au visage. La jeune infirmière se retournât alors vers sa prédatrice, les larmes aux yeux puis...

Bye...

Le coté pointue de la hache s'abattis sur la tête de la pauvre nurse, lui explosant littéralement le crane dans un bruit immonde, un bruit pareille à celui que produit une pastèque lorsqu'ont l'explose avec une pierre, dans le vacarme assourdissant de l'alarme personne n'aurait peut entendre ce son, personne sauf la duchesse, oui ! Elle, elle l'avait entendue ce bruit et ce dernier résonnait encore dans son cerveau.

Ihih... ihihi...ihihahahHAHAHAHA ! ALOR ! TU L'OUVRE MOIN LA, HEIN ! S'exclama la duchesse toute fière d'avoir une nouvelle fois abattue une pauvre jeune fille.

Ce fut ensuite un festival de coup de hache qui s'ensuivit, faisant gicler le sang partout sur les murs avironnant ainsi que sur la duchesse.

TIENS SALE PUTE ! TIEN, TIEN, TIEN ! PUTAIN TU VAS LA FERMER TA GUEEEEEEEEEEULE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Criât elle en s'acharnant de plus en plus sur la dépouille de la pauvre infirmière.

Suite à ce "petit" moment de violence, Lucrezia se stoppa, songeant au fait que le temps lui était comptait. Elle reprit alors sa route vers la sortie, en courant, la hache entre ses mains maculées de sang. Tout aller très vite dans sa tête, très très vite, trop vite ! l'alarme, le sang, la drogue, ces trois éléments formaient une sorte de cercle, un cercle alimentant sans cesse sa folie. Les portes défilait à une vitesse ahurissante, les chiffres se confondaientt, les courbes se déformait et surtout... il y avait cette putain d'alarme !

Bordel... tout ça me rend dingue !

Oui lucrezia, tu était entrain de perdre la raison, tu le savais, tu n'était à ce moment là, plus maitresse de ton esprit, seul la folie prédominait, la folie et rien d'autre que la folie...



John

Mais que...

Oui, cette jeune femme venait belle et bien d'amorcer l'alarme à incendie, à présent l'horrible sirène résonnait dans tout l'hôpital. John ne savait pas ou ce mettre, cette femme, la Duchesse, l'alarme, bordel ! ce n'était qu'un vigile !
L'espace de quelques instants il resta figé sans rien faire d'autre que de regarder la jeune femme, cette sirène l'abasourdissait, mais au moins l'avantage c'était qu'il n'avais plus besoin d'appeler les forces de l'ordres, ces dernières n'aller d'ailleurs pas tarder à arriver.

L'homme reprit alors ses esprits et il repensa à la Duchesse, ci la jeune femme qui venait de sonner l'alarme disait vrai, la tueuse devait toujours roder dans l'hôpital, Enfin, ça il n'aller pas tarder à en avoir la réponse.
Oui, car à peine eu il le temps de ce retourner qu'une silhouette  féminine vint à faire irruptions à l'intersection du couloir, de loin elle semblait portait un grand objet contondant entres ses mains et elle semblait couverte de sang... plus aucun doute ! c'est elle ! John ce devait de réagir !

V... VOUS là-bas ! Arrêtez-vous !

mouai... pas super convainquant...



Lucrezia

V... VOUS là-bas ! Arrêtez-vous !

Que...

Qui était ce, qui c'est ce te type ? Bordel il veux quoi ? Il ne voit donc pas qu'il est face à la duchesse et que cette dernière est complétement défoncée et en pleine crise psychotique ! Lucrezia en entendant la voix de l'homme, eu comme reflexe naturelle de ce tournait vers sa direction et que vit elle ? Un gros con et l'autre potiche prêt de l'ascenseur en panne, bordel ! bordel ! Que les gens peuvent êtres cons des fois ! La duchesse en les voyant avançât de quelques mètres en titubant de gauche à droite puis... Elle se mise à courir d'un seul coup vers le pauvre vigile et l'autre grosse paumée, la hache prête à être enfoncée dans toute personne ce trouvant devant son chemin.

John, vit la duchesse accourir vers lui et la pauvre femme, une hache à la mains, il devait faire quelque chose, mais quoi !?

CREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEVE !!!!!!!!!!!  AHAHAHAHAHAHAHAHAHA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Tout est aller très vite, dans son élan de folie, la Duchesse envoya la lame de la hache directement dans l'abdomen du pauvre homme, ce dernier vint par la suite à reculer de plusieurs mètres en arrière, chutant et finissant alors dos au mur, la hache planter dans son ventre. Là, le surplombant, il y avait la Duchesse, les yeux emplis de folie et toujours se sourire malsain collé au visage. john était encore en vie, il respirer difficilement, mais il était encore en vie... mais pour combien de temps encore...

*tousse* Tu...t... tu c.. *tousse* tu cr... crois que cette ville t'appartient.. soufflât il avant de cracher une grosse flaque de sang sur le sol.

Pardon ?

L... les g...  haa... haaan... *tousse*
Les gens... de cette ville... ont des protecteurs, des personnes bienf.... bienfaisantes... prêtes à ce sacrifier pour... p... pour ne pas laisser au gens de ton espèce la liberté de.. *tousse* de co... continuer leurs atrocités...

Mon dieu, comme ces paroles font clichée...

Ah oui ? S'exclama Lucrezia avant de tourner son regard vers un extincteur ce trouvant juste à coter de l'homme.

Tu sais... Les gens de ton éspèce à toi sont... *se saisit de l'extincteur*
... Nan... je n'ais aucune réponse à fournir...


Elle prit le dit objet fermement entre ses deux mains couvertes de sang... prit une grande inspiration... Puis enfin elle vint à donner un violant coup d'extincteur au sommet de la tête du pauvre homme, ouvrant la boite crânienne de ce dernier comme une vulgaire noix, l'homme chuta lourdement au sol, et l'ont pus voir alors sa cervelle dégouliner sur le sol, un peut comme une immonde limace informe et rougeâtre.
Là, au milieu du vacarme assourdissant des sirènes, Lucrezia venait de signé sa deuxième victime de la soirée

Eh...éh...éhéh... hihihi...hihihiHAHAHAHAHA !  C'est trop drôle putain ! AHAHAHAH !

Une fois le vigile violement abattue, Lucrezia se retourna vers la jolie jeune femme qu'elle était, à la base, venue violer en cette macabre nuit estivale.

Toi... Toi... Toi tes une pute ! Une grosse pute ! La reine des catins, la déesse des saintes putes de cette salope de ville de putes ! Ouai... vous êtes toutes des putes, et moi les putes, j'les égorge, j'les violes, j'les dissèque comme des putains de salopes de souris... Toutes de la vermines...Salope ! Salope ! Trainée... Connasse de dégénérée... 
J'vais enfoncer mes doigt dans ta salle petite chatte de pute... et de là... je te déchirer tes petites muqueuses douces et fragiles... ouai...
Voilà ce que souffla notre tueuse en s'avançant lentement vers la jolie Shani, titubant de gauche à droite comme une sorte de zombie, trainant derrière elle l'extincteur maculé d'une grosse giclée de sang, à ce moment là, on aurait pus croire que notre tueuse allait pour la troisième fois de la soirée buter une pauvre âme innocente mais... nop !

Au moment précis ou lucrezia commença à prendre de l'élan pour foutre l'extincteur dans la gueule de la pauvre Shani, un bruit bien trop familier vint à retentir au milieu des sirène de l'hôpital, ce bruit, c'était celui des sirènes de police ainsi que celle des pompiers. La situation devenait critique, très critique, car il fallait ajouter à cela le fait que certains patients commençaient à sortir de leurs chambres, réveillés par le bouquant assourdissant de l'alarme, les patients Et, évidement, le personnel hospitalier. Lucrezia était acculée, son esprit ne Controller plus rien, ça dégénérer totalement, l'Adrénaline, la drogue, le sang la folie, Lucrezia devait fuir cette endroit, au plus vite !
Notre Duchesse mis alors un grand coup d'extincteur en travers du visage de la pauvre Shani puis ni une ni deux elle prit la poudre d'escampette par une des cages d'escaliers ce trouvant à proximité. Elle descendit les marches à toute vitesse, 4 par 4 et cela jusqu'au moment où un de ses talons vint à fatalement se briser sur une des marches en acier, notre Duchesse chuta alors lourdement, déboulent violement une bonne quinzaines de marches avant de d'être durement amortie par un mur en béton, elle se releva, toute branlante sur ses jambes maculées de sang, elle retira ses talons et elle reprit sa course folle vers le parking sous-terrain, seul issue qu'il lui restait.

Dans la tête de la tueuse tout ce mélangait, les marches se déformaient, les étages n'avait plus aucuns sens, c'était comme ci elle était dans un horrible cauchemar, un bad trip sous LSD, un putain d'enfer où, pour une fois, elle était la victime, son souffle s'épuisait mais il était hors de question qu'elle s'arrête, bien des fois elle avais fuis la police, la police et les chiens, putains les chiens ! Lucrezia les haïssait, combiens de ces pauvres clébards la Duchesse avait égorgée, molosses, berger allemands, malinois tous ! PUTAIN TOUS ! Bordel il fallait qu'elle se ressaisie et maintenant !

La carcasse de la tueuse culbutait contre les mur, elle manqua à plusieurs reprise de se rétamer une seconde fois la gueule contre l'acier glaciale des marches, mais au final, elle réussit enfin à atteindre le parking.
En fonçant dans la porte qui menait à ce dernier, Lucrezia s'écroula une deuxième fois, mais là, elle ne put se relever immédiatement, nan, elle eu comme quelques secondes d'inconsciences, comme ci son esprit, l'espace d'un instant, avais quitté son corps. Mais bien vite, elle due se ressaisir, des cris et des aboiements la firent se remettre en route. Branlante et à demi-comateuse, la Duchesse continua sa route hors du parking, une fois sortie de celui-ci, une torche vint à violement agressait ses rétines, cette torche... c'était celle d'un flic ! Bordel ! Cours Lulu, cours !
Et c'est bien ce qu'elle fit notre tueuse, courir à toute berzingue vers le si paisible quartier de la toussaint, sans s'arrêter, sans se poser la moindre question, nan, tout ce qu'elle devait faire à ce moment précis c'était de semer la police...

Poursuivait la ! s'écriât un homme des forces de l'ordres

Mais la duchesse n'avait que faire des paroles, nan, tout ce qu'elle voulait... c'était fuir le merdier dans lequel elle s'était mise...
« Modifié: mardi 19 novembre 2013, 21:27:50 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Batgirl

Légion

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 22 mardi 19 novembre 2013, 23:50:53

« ...Signale problème à l’hôpital de la Toussaint, déclenchement de l’alarme-incendie... »

Ce morceau de phrase capta l’attention de Barbara Gordon, qui délaissa son attention sur les deux dealers qu’elle venait de neutraliser dans une ruelle de la Toussaint. Il faisait relativement froid ce soir, et, depuis ses lèvres, son souffle s’expulsait en formant de la buée. Elle porte la main à son casque, enfonçant ses doigts dans une sorte de mollette dissimulée dans ce dernier, afin de mieux capter les ondes radios de la police que Batgirl recevait. Tendant sa main en hauteur, elle se servit de son Bat-grappin pour le ficher en hauteur, près du sommet d’un immeuble, et put ainsi rejoindre le toit. L’hôpital apparaissait juste devant elle. Seikusu comprenait plusieurs complexes hospitaliers, dont un important pôle universitaire, mais la police avait mentionné celui-là. Il était plutôt petit, et faisait plus office d’hôpital de quartier qu’autre chose. Barbara, qui connaissait un peu les hôpitaux, savait par exemple que le service urgentiste ne figurait pas dans cet hôpital-là, ce qui faisait que, la nuit, il n’y avait personne.

Par conséquent, comment l’alarme-incendie avait-elle fait pour se déclencher ? Batgirl réfléchit un peu, tout en utilisant la vision de son casque pour avoir un zoom. Elle ne voyait aucune fumée, aucune trace d’incendie, mais beaucoup de lumières étaient allumées... Beaucoup trop. Elle réfléchit brièvement. Intervenir ? Repartir ? Ce n’était qu’une alarme-incendie, probablement un gosse qui, sans faire attention, avait allumé cette dernière en se promenant dans les couloirs.

*Probablement...*

Elle s’envola vers un autre toit, un peu plus élevé, afin de prendre de la distance, et courut vers le rebord. Barbara plongea alors dans le vide, tout en tendant ses bras, ce qui eut pour effet de déployer ses ailes. Flottant dans les airs, planant littéralement, Barbara se rapprocha ainsi rapidement de l’hôpital. Un petit jardin l’entourait, et, quand elle atterrit sur l’un des toits des bâtiments annexes de l’hôpital, elle posa à nouveau sa main sur son communicateur radio.

Ce soir, Barbara était de sortie. Elle venait de faire un exercice physique intense, ainsi que de suivre son traitement spécial, pour lui permettre d’enfiler à nouveau l’armure, et de ne pas être cloîtrée dans son fauteuil roulant. En son absence, c’était Kate qui se chargeait de l’ordinateur, du rôle de soutien.

« Kate ? Essaie de te connecter au réseau de sécurité de l’hôpital de la Toussaint, l’alarme-incendie vient de s’allumer, je veux tirer ça au clair. »

Barbara passa par une fenêtre, arrivant dans un couloir de l’hôpital. L’alarme continuait à hurler, et elle s’avança rapidement. Les lumières nocturnes des couloirs semblaient s’être automatiquement allumées, donnant à l’ensemble une lueur rouge qui donnait aux couloirs l’impression d’appartenir à un vaisseau spatial issu de « Stark Trek ». La sonnerie stridente lui agressait les oreilles, et, dans certains couloirs sur sa droite ou sur sa gauche, elle pouvait voir des patients inquiets.

Sa radio crépita, et elle posa sa main dessus, afin d’entendre ce que Kate avait à lui dire, par-delà le son strident de l’alarme :

« Tout ce que j’ai pu repérer, c’est l’endroit où l’alarme-incendie a été déclenchée. »

Ce serait toujours mieux que rien. Barbara avait vaguement conscience que ce qu’elle faisait tenait probablement de l’excès de zèle. Initialement, elle n’était pas venue à Seikusu pour se substituer à la police, mais pour poursuivre des trafiquants. Or, entre chercher à démanteler un trafic et se rendre dans un hôpital parce que l’alarme-incendie avait été enclenchée, il y avait un pas... Il fallait voir ça comme une déformation professionnelle. Quand on venait d’une ville comme Gotham, on avait tendance à considérer que rien n’était vraiment acquis.

Barbara fut donc partiellement soulagée quand elle vit qu’il se passait effectivement quelque chose de grave. Elle arriva devant un ascenseur, et vit un cadavre. La moitié de sa cervelle était en train de ressortir sur le sol, une hache plantée dans son ventre. Une femme était étalée dans l’ascenseur, du sang coulant de son nez. En s’approchant, Batgirl tâta son pouls, et constata qu’elle était en vie... Simplement K.-O.

L’alarme-incendie daigna enfin se couper.

« Il y a eu un homicide... Probablement un vigile, vu sa carrure.
 -  Un homicide ? Dans un hôpital ?
 -  À moins que cet homme ne se soit ouvert le crâne lui-même avec un extincteur, je pense qu’on peut considérer, sans trop se tromper, qu’il s’agit d’un meurtre. »

Kate ne dit rien, sentant l’irritation dans le ton de Barbara. Le meurtre était tout récent, car le sang continuait encore à couler du corps de l’homme. Barbara réfléchit rapidement, se mettant dans la tête du tueur. Pourquoi avoir abattu le vigile, et pas la femme ? Elle avait été frappée avec l’extincteur, qui était resté à côté d’elle. La femme avait du entendre les sirènes de la police. Deux voitures de patrouille venaient d’arriver. Impossible de partir par devant sans se faire repérer.

*Minute... Et ces traces de sang, là ? Elles sont trop éloignées pour appartenir à la victime, et trop petites pour suggérer qu’il a été traîné...*

En une poignée de secondes, Barbara finit par comprendre que le tueur s’était enfui, filant vers le parking. En tuant le vigile, son sang avait du lui éclater sur le corps, et le tueur avait laissé des traînées derrière lui... Comme des petits morceaux de pains , qui menaient vers le parking.

Quand Barbara le rejoignit, le tueur n’était pas là, mais elle entendit des policiers parler dans leur radio.

« ...Avons aperçu... Femme en fuite… Couverte de ce qui apparaît être du sang... »



La fuite de la Duchesse la conduisit près d’un immeuble en construction depuis plusieurs mois. La clôture qui l’entourait avait été ouverte par endroits, afin de permettre aux gamins du quartier de s’y amuser. En fouillant bien, on pouvait d’ailleurs toujours voir, dans un tuyau de canalisation en hauteur, un ballon de foot crevé. D’autres utilisaient cet endroit pour fumer. L’immeuble en construction était censé abriter un pôle commercial et être le siège social de plusieurs sociétés d’affaires, s’inscrivant dans un programme public plus large de redynamisation du quartier de la Toussaint. Ce terrain vague appartenait autrefois à une usine qui avait été rasée. Devant les ralentissements de la construction, les responsables du chantier étaient en train de songer à s’offrir la protection de clans yakuzas, celle de la police apparaissant comme largement insuffisante.

Le bâtiment en construction était vide ce soir, et le cadavre de Janet fut rapidement découvert. La police, qui connaissait plutôt bien la Duchesse, du fait des carnages sinistres qu’elle laissait dans la ville, déclencha rapidement le branle-bas de combat général. Laisser deux cadavres dans un hôpital public, c’était s’attaquer à l’État en personne, violer le caractère sacré de ses institutions, ces sanctuaires que constituaient les établissements publics, comme les commissariats, les hôpitaux, ou les casernes de pompiers. De deux voitures de patrouille, il y eut bientôt plusieurs hélicoptères survolant la zone, venant depuis le commissariat central de la ville, ainsi que de nombreuses autres voitures, animant joyeusement le quartier. Traverser les rues du quartier sans se faire relever relevant du miracle, le choix logique était de passer par les ruelles, et, à partir de l’hôpital, on pouvait très rapidement atteindre le chantier, qui constituait un bon moyen de s’enfuir, car il y avait plusieurs accès faciles vers les égouts.

La manière dont la Duchesse était partie, sans achever la patiente, signifiait clairement qu’elle était pressée, paniquée. Elle cherchait donc à fuir. La nuit, le chantier était éclairé par quelques lampes électrogènes, qui avaient été mises en place pour essayer, vainement, de dissuader les jeunes d’entrer.

Quand la Duchesse pénétra dans la cour, et commença à s’avancer, il y eut un petit craquement, et, d’un seul coup, toutes les lampes s’éteignirent. Ce n’était pas du au hasard, bien entendu. Depuis sa position, Barbara posa son détonateur sur le sol. Elle avait trouvé le groupe électrogène de l’éclairage du chantier, et avait posé un appareil sur le générateur, qui allait, provisoirement, désactiver les lampes. Elle se trouvait en hauteur, et se redressa lentement.

« C’est la Duchesse, annonça-t-elle dans sa radio.
 -  Tu veux que je t’envoie quelqu’un ?
 -  Je peux m’en charger.
 -  Mais ton dos... »

Barbara coupa court à la conversation, et consulta brièvement sa montre. Elle approchait de la zone dangereuse, celle à partir de laquelle tout effort physique intense sur son dos pouvait à nouveau contracter ses muscles et ses os, et l’empêcher, à nouveau, de se déplacer. Ce ne fut toutefois pas ça qui l’empêcha de se laisser tomber. Elle plana dans les airs, silhouette invisible, la nuit étant son manteau, tandis qu’elle décrivait des cercles de plus en plus rapprochés en s’abaissant, son objectif étant de frapper la Duchesse à la tête avec ses jambes.

Le risque était toujours qu’elle la perçoive, mais il n’y avait aucune source d’éclairage dans le chantier, et ce n’était pas la pleine lune. Barbara estimait donc que ce risque était plutôt réduit.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 23 lundi 25 novembre 2013, 20:32:44

Dans la tête de la Duchesse, tout était entrain de ce mélanger, il fallait qu'elle parte le plus loin possible de l'hôpital, qu'elle se mette à l'abris des autorités policières bordel, qu'ont la laisse tranquille à la fin, ! Lucrezia entendais les sirènes de polices retentirent de part et d'autres du quartier, les chiens aboyaient, les hommes vociférants qu'ils allaient l'avoir, elle, la Duchesse, la tueuse la plus meurtrière de tout Seikusu. Cette dernière courait comme une folle au travers de la nuit noire, glacial... meurtrière. Lucrezia n'en pouvait plus, son regard ne savait plus ou se posait, ses yeux roulant sans cesses, son corps culbutant dans le moindre obstacle devant elle, mais à force de culbutait, notre Duchesse fini par se prendre les pied dans une vieille poubelle reversée sur le sol, chutant ainsi sur l'asphalte craquelé et crasseux d'une petite ruelle s'entent l'urine à plein nez.

Lucrezia crachat sur le sol avant de difficilement commencer à ce relever, mais bien vite, deux gentils compagnons vinrent à lui rappelaient à quel point les canidés sont rapides, oui, deux beau bergers malinois accoururent sur la Duchesse, habillés de leurs harnais de sécurité, l'un d'eux vint alors à sauter sur la tueuse qui eu à peine le temps de se relever en vitesse avant d'être bien rapidement mordue au mollet par le dit foutu clébard.

AAAAARG PUTAIN CASSE TOI DE LA FILS DE PUTE ! S'écriât elle en donnant un grand coup de pied dans la truffe du pauvre animal.

Mais cet alors que l'autre chien vint à bondir sur Lucrezia, faisant chuter cette dernière sur le dos, Les deux chiens tentaient d'immobiliser la Duchesse, mais cette dernière se débâtait comme une diablesse, à grand rendort de coup de poings. Lucrezia devait ce sortir de là, au plus vite ! malheureusement dans l'agitation, il lui était impossible de se saisir de son couteau, deux clebs, c'était trop dur à gérer ! Cet alors que sont regard fut attiré par une vieille bouteille de bière qui trainait là, juste à coter d'elle, Lucrezia se saisit alors du dit objet avant de le fracasser contre le sol puis de violement venir le loger dans l'abdomen du chien ce trouvant au dessus d'elle, ce dernier poussant alors un grand couinement qui résonna dans toute la ruelle.

Tient sale clebs ! lâchât elle avant de repousser l'animal sur le coter.

Elle donna ensuite un violent coup de pied à l'autre chien avant de lui enfoncer le tesson de verre dans l'œil et de partir à toute vitesse. La police était à présent juste derrière elle et des hélicos avaient était déployés, ces derniers braquant leurs énormes projecteurs dans toutes les directions. Autant dire que la situation était critique pour notre chère Duchesse, mais cette dernière vint alors à ce souvenir d'un endroit non loin de là, un chantier à l'abandon, certes, cela n'était pas le Ritz, mais au moins là-bas il y avait pas mal d'endroit où ce cacher, le petit combat avec les deux chiens avait quelque peut remit les idées de notre tueuse en places et c'est sans se poser de question qu'elle alla illico presto rejoindre le chantier. 

Une fois au sein de se dernier, lucrezia soufflât un bon coup avant de faire un pas en avant, mais bizarrement, les lumières se mirent à s'éteindre, d'un coup, comme ça... La tueuse haussa son sourcil balafré avant de regarder tout autour d'elle, au cas où elle aurait était secrètement suivie... mais non, rien à signaler. Au fond, le fait que les lumières ce soit éteintes était plus un avantage qu'un inconvenant car là, au moins, personne ne pouvait la voir.
Au loin les sirènes retentissaient toujours et les hélicos patrouillaient encore, la Duchesse quant à elle, elle se contenta d'avancer dans la pénombre en boitant légèrement, titubant de temps à autre, son souffle était court et son cœur battait la chamade. Dans sa tête résonner l'incessant bruit d'une life-line au bord de l'explosions, cela lui arrivé souvent lorsqu'elle prenait trop de drogues d'un coup.

Putains... faut que je pisse... soufflât elle en posant sa mains contre son abdomens.

La duchesse n'y voyais pas très bien, mais dans la nuit elle peut tout de même distinguer les forme d'une cabine de toilette, notre tueuse se précipita à l'intérieur avant de rapidement enlever sa culotte pleine de sang et de cyprine puis de s'assoir. Notre tueuse lâcha un faible soupir en fermant les yeux au moment ou le flot de liquide jaunâtre vint à sorte de son intimité, certes c'était pas l'endroit rêver pour faire une pause, mais au moins là, elle pouvait être tranquille, au moins le temps de faire son pissou. Lucrezia égale à elle même, passa langoureusement sa main droite sur son clitoris, avec tous ce qu'elle venait de vivre, une petite douceur ne serais pas de refus, mais bon... Elle n'était pas encore tout à fait tirée d'affaire, il fallait encore qu'elle rejoigne son Sanatorium pour pouvoir ce permettre ce genre de choses, c'est donc dans un grand soupir d'insatisfaction qu'elle due se résigner à arrêter là sa petite séance de papouilles nocturnes, c'est triste, mais c'est ça la vie de fugitive.

Une fois sa petite pause fini lucrezia se releva lentement, l'esprit encore embrumé par les drogues. Tellement embrumé qu'elle en oublia de remonter sa culotte et de ce fait... elle failli se ramasser la gueule dans la cabine, heureusement elle se rattrapa de justesse avant de grommeler toute seule.

Raaaah put... vasi c'est bon tu me pète les couilles toi... dit elle en enlevant sa culotte avant de la balancer dans les toilettes.
Lucrezia une fois cela fait, sortie alors de la cabine, mais au moment où cette dernière vint à ouvrir la porte...

Qu...
« Modifié: lundi 25 novembre 2013, 20:47:07 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Batgirl

Légion

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 24 mercredi 27 novembre 2013, 02:08:43

Oiseau de nuit, Batgirl tournoyait dans les airs, descendant progressivement, décrivant des cercles. La cible était en bas, et elle la vit se diriger vers une cabine de toilette. La Duchesse, cette tueuse sans aucun scrupule, semblait blessée à la jambe. Elle avançait rapidement, nerveusement, et entra dans une cabine de toilette.

*Petit besoin intime, Duchesse ?*

Barbara continuait à virevolter dans les airs, ralentissant sa course, tout en se rapprochant, très lentement. Elle atterrit ainsi délicatement sur le toit de la cabine, un genou plié, sa cape glissant de part et d’autre de son corps. La jeune femme attendit silencieusement, réfléchissant à une stratégie d’attaque. Elle savait que la Duchesse était une femme redoutable, rapide, nerveuse, et athlétique. La sous-estimer serait une erreur, et Batgirl allait devoir frapper fort, afin de la neutraliser. Au loin, la police hurlait. Les policiers ne tarderaient plus à venir ici, mais Barbara espérait tout de même bien réussir à appréhender cette femme avant que les policiers ne débarquent. Réfléchissant donc vite, elle sortit un gadget de sa ceinture, et dessina sur le toit de la cabine un symbole. C’était un gel explosif, qui parvenait à faire exploser les plus faibles structures... Comme le toit d’une cabine préfabriquée d’un chantier. Elle rangea le gel à sa ceinture. Il suffisait d’appuyer sur un autre bouton de l’appareil pour le faire exploser.

La Duchesse n’allait plus tarder à sortir, et, dès que Barbara vit la porte s’ouvrir, elle agit rapidement. Une main en appui sur le toit de la cabine, elle bondit dans le vide, décrivant un arc de cercle avec son corps, et logea ses deux pieds joints dans le torse de Lucrezia, repoussant cette dernière, l’envoyant atterrir sur le pot de la cabine. Barbara bondit ensuite en arrière, et enclencha le gel explosif. Il y eut un petit bip, et le toit explosa, tombant sur le corps de la femme, tandis que les parois latérales de la cabine se mirent également à tomber.

« La Duchesse, vous êtes en état d’arrestation... La loi m’oblige à vous demander de vous rendre sans résistance, mais, si vous voulez vraiment me faire plaisir, offrez-moi l’occasion de vous casser la gueule. »

Barbara avait souffert des psychopathes. À cause du Joker, elle avait failli perdre la vie, et son père avait, pendant des mois, fait des cauchemars incessants. Elle s’était retrouvée enfoncée dans un fauteuil roulant, et, même maintenant, ses jambes continuaient à la faire souffrir, et à constituer son principal défaut. Elle ne pouvait pas tolérer les gens comme ça, ceux qui voyaient la vie humaine comme un jeu. Restant à distance prudente de la cabine détruite, Barbara avait le corps légèrement fléchi, une main tenant l’un de ses Batarangs.

Au moindre geste suspect, la super-héroïne était prête à le balancer.
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 25 jeudi 28 novembre 2013, 17:37:43

Tout est aller très vite, à tel point que la Duchesse ne put rien faire d'autre que de subir, un coup, une explosion, des débris, bordel ! Que venait il de ce passer !? Ca, Lucrezia n'aller pas tarder à le savoir. Cette dernière était recouvertes par deux grands morceaux de plaquo, visiblement la légère explosion avait quelque peut sonnée  le meurtrière mais... que pour peut de temps malheureusement...
Dans la tête de Lucrezia un horrible bourdonnement venait de naitre, mais ce bourdonnement ne l'empêcha pas d'entendre une voix, une voix féminine... Malheureusement elle ne peut pas concrètement discerner ce que l'inconnue disait.

Gnnnhh... gémit Lucrezia en faisant racler ses ongles contre le sol du chantier.

Un toussotement, un crachat puis enfin, la tueuse daignât se relever en se tenant la tête de la mains droite. Lucrezia tituba d'avant en arrière, reprenant bien difficilement son équilibre, elle était visiblement encore très amochée, mais la psychopathe était du genre robuste. Elle resta sur place quelque temps, histoire de reprendre ses esprits puis... Elle commença enfin à comprendre... Là, efface de notre tueuse, se dressait une silhouette sombre et féminine, Lucrezia laissa un regard à la dite silhouette, Le genre de regard qui trahis tout de suite la folie sous-jacente d'une personne comme La Duchesse, le regard bien sombre, vide de toute émotion, les yeux mornes et sans aucune lueur, la folie... rien que la folie...
Tel un zombie, Lucrezia semblait manquer d'équilibre, elle flanchait, titubait ce qui rendait d'ailleurs ses mouvement très imprévisibles, L'étrange silhouette devait à présent faire très attention, même si La Duchesse était dans un état lamentable, elle restait toujours une menace.

T... Tu me veux quoi toi... t'est qui ? Casse toi ou je t'égorge sale pute... Dit elle en faisant lentement glisser sa main dans sa sacoche, afin de se saisir de son couteau de boucher.


Batgirl

Légion

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 26 vendredi 29 novembre 2013, 15:04:45

Restant à bonne distance, Barbara était en position de combat, les genoux fléchis, les jambes légèrement écartées. La Duchesse était une femme dont Barbara, qui se tenait informée, connaissait. Une tueuse psychotique que la police essayait désespérément de coincer. Savoir comment cette folle avait pu échapper à la police était toujours un exercice intellectuel très difficile. Barbara, qui avait étudié bon nombre de tueurs en série, savait cependant que son cas n’était pas unique. La plupart des psychopathes, sous une apparente folie pouvant laisser deviner un esprit irresponsable, témoignait en fait d’une intense perversion et d’une puissante paranoïa qui leur permettait de continuellement échapper à la police, et même, pour les plus pervers d’entre eux, de se concocter une image d’être noble et saint aux yeux des autres personnes. Des démons incapables de ressentir la moindre émotion autrement qu’en infligeant la mort, de la manière la plus atroce qui soit. Il ne s’agissait pas tant pour eux que de tuer une personne, que de la détruire, aussi bien psychiquement que physiquement. Des individus abominables, qui ne méritaient pas de vivre.  Qu’ils aient été martyrisés pendant leurs enfances ne suffisait nullement, à ses yeux, à les exonérer de leurs responsabilités. Si ça ne tenait qu’à elle, il y aurait bien longtemps que le Joker aurait fini sur la chaise électrique, ainsi que tous les autres tueurs qu’elle avait pu croiser. Elle ne les pensait pas vraiment malades, elle les pensait irrécupérables, cruels, et monstrueux. Mis à part donner du boulot à des hommes et des femmes en combinaison moulante, elle ne voyait aucune autre raison de garder de telles personnes en vie.

Lentement, la Duchesse émergeait, titubant à moitié, sonnée. Barbara espérait bien qu’elle allait encaisser. Elle n’avait jamais vraiment eu l’occasion de déverser sur le Joker toute la rage qu’elle avait accumulée à l’idée d’être coincée dans un fauteuil roulant. Cette cinglée, qui n’hésitait même pas à s’en prendre à un hôpital, allait payer pour les autres.

« T... Tu me veux quoi toi... t'est qui ? Casse toi ou je t'égorge sale pute... »

Barbara esquissa un sourire. Elle vit la Duchesse glisser l’une de ses mains vers sa sacoche, et, à peine eut-elle le temps de saisir le manche d’un couteau, que Barbara bondit vers elle. Elle aurait pu envoyer son Batarang, mais elle voulait la frapper en personne. Avant de finir en fauteuil roulant, Barbara Gordon s’était révélée être très redoutable dans l’art des combats de rue. Contrairement à Bruce Wayne, sa taille frêle lui permettait d’être particulièrement véloce, et se couplait avec sa bonne mémoire visuelle et son sens de l’observation. Elle avait une très bonne lecture visuelle de l’environnement et de ses adversaires. Filant vers la Duchesse, Barbara roula sur le sol, et se servit de ses mains, posées à plat sur le sol pendant sa roulade, pour se catapulter en hauteur, deux pieds joints. Elle atteignit la femme au visage seulement deux ou trois secondes après sa question.

La justicière se remit sur pied, et, sans laisser le temps à la Duchesse de réagir, enchaîna par un coup de pied levé et frappé à hauteur du poignet tenant le couteau de boucher, faisant sauter ce dernier, puis par un direct en pleine tête. La Duchesse s’affala sur le sol, et Barbara eut l’intense satisfaction de voir des gouttes de sang éclairer fugacement son gant.

« Je suis venue mettre un terme à ton existence pathétique, Duchesse... L’existence d’une minable qui finira grillée sur la chaise électrique quand les flics viendront te serrer, ce qui ne saurait tarder. Mais fais-moi plaisir, relève-toi, j’ai encore envie de te cogner. »

Prudente, Barbara s’était légèrement écartée, car elle ne voulait pas se recevoir un coup de pied en se ruant sur elle. Cette femme était aussi retorse que d’autres tarés comme le Joker. S’il ne fallait pas surestimer leurs capacités de combat, en revanche, sous-estimer leur esprit retors était une grossière erreur d’analyse, une erreur que Batgirl entendait bien ne pas commettre.

Malheureusement, alors qu’elle se tenait face à la Duchesse, elle commença à sentir des picotements le long de sa colonne vertébrale, et une vive pointe de douleur vint la traverser, déformant ses lèvres.

*Oh non, pas maintenant !*

Les vertèbres de sa colonne vertébrale recommençaient à la faire souffrir, ce qui, très certainement, était une conséquence de la roulade et du saut périlleux qu’elle venait d’accomplir. Elle respira lourdement. La pointe de douleur passa, mais Barbara n’était plus assurée qu’avant. Si elle n’en finissait pas rapidement, elle risquait d’avoir de gros problèmes.
« Modifié: samedi 30 novembre 2013, 00:11:56 par Batgirl »
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 27 dimanche 08 décembre 2013, 20:40:07

Les coups ? Lucrezia ne les avait pas vue venir, à ça non, la pauvre avait l'esprit bien trop embrumé par les drogues, l'explosion et la folie, c'est donc sans opposer aucune résistance qu'elle se mangea un bat-combo en pleine face, ce dernier laissant notre pauvre Duchesse au sol, presque inconsciente... Nan, son épopée meurtrière ne pouvait s'arrêter là, pas comme ça, pas avec une fin aussi minable... Et pourtant...

"..."

Encore une fois Lucrezia eu un vide, un de ces moments où l'esprit de la tueuse s'assombri, où tout ce noirci... ne laissant que le néant monstrueux d'une femme habitée par la folie et le meurtre, les ténèbres insondables d'une âme bercée dans le chaos et le sang...



Flashback de Lucrezia

Tu les entends... Ses poings qui chutent lourdement sur son corps si fragile... Sa voix dur qui l'insulte, qui la menace... Tu l'entends... Elle... Elle pleure... Elle l'implore... tu l'entends souffrir
Toi... Toi Tu ne comprend pas, tu est trop jeune... trop faible... Tu ne comprend pas pourquoi... est ce un jeux ?... Une simple dispute ? Pour toi tout cela est obscure... obscure mais... au plus profond de ta chair... tu sais qu'elle a mal...

Tu es emmitoufler dans ta couette, tu regarde la porte de ta chambre d'un regard inquiet... Tu n'entend plus rien... juste le pesant silence d'une nuit comme il y en à eu tant d'autres auparavant... puis... Tu entends ses pas, lourds, sinistres... une démarche lente et maladroite... Il est saoul... Ce monstre avance vers toi... Vers ta chambre...
Tu sers contre ton corps si frêle, ta peluche Favorite... Tu à peur... Une nouvelle fois le silence marque une pause... puis tu voix la poignée se tourner... puis la porte s'ouvrir... Toi, tu ferme tes yeux turquoises, pareil aux lapis lazulis... pareil aux hortensia qui fleurissent dans le jardin... pareil à tant de chose magnifiques en ce monde... chose qui sont pourtant si loin en cette sinistre nuit...


Viens petite pute... papa vas t'apprendre la vie... Toi et ta salope de mère... Vous êtes minables...



"... Minable..."

Ce simple mot sembla résonner à l'infini dans le cerveau de la Duchesse, extirpant cette dernière de son flashback. Mais malgré cela, notre tueuse était toujours aussi sonnée, elle cracha du sang sur le sol, sang qui provenait vraisemblablement de ses lèvres, bordel... qui était l'odieuse connasse qui venait de lui lapider la tronche, ça Lucrezia aurait bien aimée le savoir. Cette dernière tâtonna le sol de sa main droite, recherchant désespérément son couteau ou n'importe qu'elle autre putain d'objet pouvant faire office d'arme blanche, afin de casser la gueule à l'autre grognasse de merde ! Par chance, La tueuse tomba sur un vieux tuyau rouillé, elle s'en saisit alors avant de TRES difficilement se relever... Elle était mal en point notre Duchesse, ont peut pas dire que le combat tourner en sa faveur, mais malgré tout elle devait continuer.

Elle se tourna vers l'inconnue puis d'un ton sinistre, elle lui réadressa la parole.

Fous moi la paix bordel... t'es quoi, Une justicière ?...  Lâchât elle en avançant vers la jeune femme visiblement moins assurée qu'avant... pourquoi ? Lucrezia l'ignorait... Et puis au fond, elle s'en foutait, tout ce qu'elle voulait, c'était en finir au plus vite pour ce barrer loin d'ici.
 




Batgirl

Légion

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 28 mardi 10 décembre 2013, 01:21:56

Comment quelqu’un finissait par devenir un tueur en série, l’un de ces psychopathes dont la démence et la cruauté défrayaient la chronique ? C’était une question à laquelle aucune réponse fiable n’était apportée, et qui faisait couramment l’objet de nombreuses études, aussi bien gouvernementales que privées. Le FBI s’intéressait de très près à toutes ces questions, et également Barbara. Après que le Joker lui eût ôté l’usage de ses jambes, et ait mentalement torturé son père, Barbara avait assisté à de nombreuses conférences livrées par les spécialistes du genre, généralement des agents du FBI, des avocats, ou des psychiatres qui avaient eu la « chance », pour ainsi dire, d’avoir des tueurs en série comme patients. De manière générale, tous ces gens soutenaient qu’on pouvait difficilement considérer les serials killers comme étant uniquement des victimes. Elles étaient conscientes de ce qu’elles faisaient, et elles l’étaient d’autant plus qu’elles ne pouvaient ressentir du plaisir qu’ainsi, en infligeant la souffrance. Ces tueurs avaient généralement eu des enfances difficiles, très difficiles, mais il existait quantité d’enfants maltraités, battus, humiliés, qui ne finissaient pas par devenir des sadiques cruels. Où se situait le curseur ? Beaucoup des spécialistes évoquaient souvent le nazisme et les camps de la mort pour montrer que, parfois, certaines personnes n’étaient soumises par aucune autre motivation que faire le mal, et infliger la souffrance. C’était un point de vue très manichéen. Ces spécialistes ne soutenaient pas que les individus naissaient forcément mauvais, mais que toute personne avait une prédisposition naturelle à faire souffrir son prochain, et que, selon certaines circonstances qui n’étaient pas encore clairement déterminées, cette prédisposition finissait par supplanter tout le reste. Après toutes ces années d’étude, Barbara en était arrivée à la conclusion qu’elle ne pourrait pas faire preuve de pitié envers des gens comme ça. Son avis était largement subjectif, influencé par tous les détraqués et les malades qu’elle avait neutralisé et envoyé à Arkha, et dont elle avait ensuite suivi, par la suite, les efforts inutiles de guérison et de réhabilitation. Des gens comme le Joker ne devaient pas être soignés. Des gens comme la Duchesse devaient être éliminés. Tout ce que Barbara souhaitait, c’était que cette femme agisse de telle sorte que l’Oracle pourrait la tuer en invoquant la légitime défense, et ainsi avoir la conscience tranquille.

L’Oracle savait que la Duchesse avait déjà été arrêtée. Elle avait été placée dans un asile psychiatrique, dont elle avait réussi à s’échapper... Exactement comme le Joker, et comme d’autres. Barbara n’arrivait pas à comprendre pourquoi on ne les mettait pas en cellule. C’était le seul endroit qu’ils méritaient, la cellule... En attendant de finir sur la chaise électrique.

Elle fut donc rassurée quand elle vit la Duchesse se relever, et agripper un vieux tuyau rouillé. Elle le souleva lentement, tout en avançant, d’une démarche mal assurée, vers elle. L’Oracle, elle, savait qu’elle devait faire preuve de prudence : ses vertèbres risquaient de flancher si elle faisait encore trop d’acrobaties.

« Fous moi la paix bordel... t'es quoi, Une justicière ?... »

Batgirl ne répondit pas, en position de combat. La Duchesse s’avança, ayant visiblement pour arme son tuyau. Barbara attaqua à nouveau. Elle attrapa un Batarang, et fit preuve de sa redoutable rapidité. Le Batarang fila, et frappa le poignet tenant le tuyau, mais la véritable attaque ne vint pas de là. Il s’agissait juste d’une diversion, un moyen de forcer la Duchesse à se concentrer sur le tuyau, car, pendant ce temps, Batgirl fondit sur elle, et opta pour un coup de pied retourné. Elle atteignit la Duchesse à la tempe, mais sous-estima la réactivité de cette dernière, car sa prise sur le tuyau était raffermi, et le tuyau la heurta dans le bas du dos.

Barbara se mit à tituber, et posa la main à son dos, tombant à quatre pattes, sentant une onde de douleur aiguë la traverser. Son pied avait fait mouche, mais la Duchesse aussi.

*Ah, bordel, putain ! Ça fait mal !*

Elle soupira, clignant des yeux à plusieurs reprises, avant de se redresser, des fourmillements dans son dos. Elle se retourna, de la sueur s’échappant de sa tête, glissant sous son casque. Barbara aurait du se replier, attendre que les renforts arrivent. Mais, si elle faisait ça, il y avait une chance, même infime, pour que la Duchesse réussisse à s’échapper... Et ça, Batgirl ne le voulait pas.

« Je suis venue mettre un terme à tes exactions, Lucrezia »

Barbara ne pouvait plus se permettre d’attendre, et décida de mettre en rage la femme, d’énerver son agressivité pour la forcer à se ruer sur elle, et ainsi pouvoir plus facilement la neutraliser.

« Tu ne me connais pas, mais moi, je te connais. J’ai lu ton dossier, les enregistrements à l’époque où tu étais internée, je me suis renseignée. Tu aimais ta mère, hein ? C’était une ‘‘ange’’, comme tu le dis si bien. C’est qui qui l’a tué ? Ton père ? Ou toi ? Ou vous l’avez fait ensemble ? Il la battait, et toi, tu as achevé le travail ? »

Dans l’enregistrement audio que Barbara avait réussi à se procurer, elle avait vu que, quand le psychiatre en charge de Lucrezia avait mentionné la mort de sa mère, cette dernière était entrée dans une rage folle. Elle décida d’enfoncer le clou, en se mettant en position de combat, sans tenir compte des légers craquements dans son dos :

« Tu drogues tes victimes pour qu’elles apprécient ton contact. Tu es aussi impuissante que l’était ton père. Tu es comme lui, et c’est pour cette raison que je vais mettre un terme à tes agissements. »
DC d’Alice Korvander.

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Traitement médical particulier [Lucrezia H. Nietzsche]

Réponse 29 lundi 16 décembre 2013, 18:35:19

La justicière accourue vers Lucrezia et c'est un nouveau coup de pied qui fut violement décoché en pleine face de notre tueuse, mais cette dernière eu assez de réactivité pour donner en retour, un violent coups de tuyau dans le bas du dos de la jeune femme en tenue moulante, la faisant ainsi tomber à quatre pattes. La justicière semblait en difficulté, le coup que venait de lui asséner Lucrezia aurait il était critique ?
 Disons que la tueuse n'eu pas vraiment le temps de se poser la question car la justicière, bien que quelque peut amochée, revint bien vite a l'assaut, faisant face une nouvelle à la Duchesse.

 « Je suis venue mettre un terme à tes exactions, Lucrezia »

 Lucrezia ne répondis pas, elle s'en foutait pas mal enfaite, Combien de fois les flics ont put crier qu'ils "aller l'avoir", avant de repartir la queue entre les jambes. La duchesse fixait froidement l'inconnue, parant à toute éventualité, se préparant psychologiquement à n'importe qu'elle coup... A n'importe quel coup... sauf peut être a celui qui allait suivre...

 « Tu ne me connais pas, mais moi, je te connais. J’ai lu ton dossier, les enregistrements à l’époque où tu étais internée, je me suis renseignée. Tu aimais ta mère, hein ? C’était une ‘‘ange’’, comme tu le dis si bien. C’est qui qui l’a tué ? Ton père ? Ou toi ? Ou vous l’avez fait ensemble ? Il la battait, et toi, tu as achevé le travail ? »

 BAM ! Heart-shot !

 Lucrezia ne put rien dire, ce monologue la figea d'un coup, notre tueuse fut comme paralysée à l'écoute de cette remarque, elle ouvrit grand les yeux, ravala sa salive et se tut. Batgirl venait de toucher un point très sensible... Trop sensible... Mais cette dernière n'en resta pas là, oh grand non ! Elle poussa le vice bien plus loin...

 « Tu drogues tes victimes pour qu’elles apprécient ton contact. Tu es aussi impuissante que l’était ton père. Tu es comme lui...b]

 Là... Batgirl venait d'outrepasser les limites qu'il ne fallait pas franchir...

 Qu...

 Les mots ce bloquaient, il n'arrivaient à sortirent, Batgirl avez osez faire ce que bien des psychiatres en charge de Lucrezia évitaient... Parler de sa famille... Comme ça, sans aucune retenue ni aucune pincettes, les paroles étaient crues... Lucrezia elle, en étaient troublée.

 Qu'est s'tu viens de de... dire... Sale pute...

 Le visage de la Duchesse se contracta de colère tendis que ses poings se resserrèrent, la jolie justicière était loin d'imaginer à quel point ce qu'elle venait de dire aller changer la donne. Lucrezia se mise alors à avancer lentement vers Batgirl, laissant trainer derrière elle son arme de fortune.

 Comment... comment ose tu... parler d'elle...

 La Duchesse se rapprochait dangereusement de la justicière qui quant à elle, restait sur ses gardes, attendant le moment propices pour frapper... Lucrezia prit alors le tuyaux à deux mains puis...

 J'vais... T'BUTEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEER !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 Notre tueuse se ruât alors sur sa proie à toute vitesse, son arme à la mains, prête à assener à la pauvre femme un violent coup en plein dans la boite crânienne, mais... Faut il vous rappelez contre qui Lulu ce bat ? Contre bat-girl ! Cette dernière, au moment même ou Lucrezia était prête à lui balancer le tuyaux en travers la face, rétorquas par un violent coup de pied dans l'abdomen suivis d'une multitude de coups de poings qui furent clos par un magnifique Uppercut, uppercut qui fit reculer la duchesse de plusieurs pas en arrière.

 Malheureusement, Batgirl eut une nouvelle fois un violente pointe de douleur au niveau du dos, Bloquant cette dernière dans sont superbe combos. il fallait que le combat se close, et vite ! Sinon... Lulu allait avoir la chance de pouvoir mettre "tueuse de justicière" dans son curriculum vitae de psychopathe.

 En parlant de Lucrezia, cette dernière avait la tête penchée en arrière, la tueuse titubait... mais bizarrement... elle ne semblait pas du tout sonnée ni même affectée par l'enchainement de la chauve-souris... La Duchesse remise alors, si je puis dire, sa tête en place, accompagnant son geste d'un roulement d'yeux... Visiblement, le combos de la justicière n'avait en rien déstabilisée notre tueuse. Cette dernière revint par la suite à l'assaut, pour une nouvelle fois ce faire rembarrer à grand renfort de coups de pieds... mais rien n'y fit, La Duchesse semblait comme... insensible à la douleur... Elle ne sentait plus rien, la morphine, la colère et sa folie l'immunisait contre toute forme de douleur, la seul chose qu'elle voulait à ce moment précis c'était de la tuer... elle... Batgirl.

Cette dernière était visiblement extenuée... vainement elle essaya une fois de plus d'assener à la tueuse un coup, mais Lucrezia n'eu cas légèrement se déporter sur le coter pour esquiver le coup, ensuite... La Duchesse souleva son tuyaux au dessus de sa tête... avant de donner un grand coup de ce dernier dans le dos de la justicière, justicière qui s'effondra sur le sol...

Alors... Elle est ou ta "justice" maintenant ?



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