Lucrezia
Du sang... du sang... Là... partout... du sang...à la vue de l'hémoglobine la duchesse eu comme un flash, un assemblage complexe d'un tas de visions sombres et macabres, son enfance, sa mère battue, ses victimes... L'espace d'un instant notre tueuse resta figée, les yeux grands ouverts sur sa victime couverte de sang et de bris de verre. Mais cette dernière eu comme un éclat de courage et vint alors donner un grand coup de pied dans l'abdomen de la duchesse qui s'effondra sur le sol jonché de morceaux de verres lui coupant légèrement les avant-bras et les jambes.
La jeune infirmière eut alors le temps de ce relever et de marcher vers la porte en titubant, perdant au passage beaucoup de sang, laissant ainsi plusieurs taches d'hémoglobine assez conséquentes sur le sol. La Duchesse quant à elle reprit ses esprits avant de ce relever à son tour, glissant quelque peut sur le mélange bris de verre/ sang.
Reviens là t...A peine eut elle le temps de finir sa phrase qu'un vacarme monstrueux ce fit entendre dans tout le bâtiment. Un hurlement synthétique qui résonnait dans le crane de la duchesse de façon infernal, oui, quelqu'un venait d'enclencher l'alarme à incendie... Lucrezia s'affolait, l'alarme aller réveiller les patients, mais elle aller aussi rameuter toute la cavalerie, la situation était critique, très critique ! Là, la duchesse n'était pas dans les rues, il lui serait difficile de fuir dans un espace clos comme cet hôpital et même si elle le connaissait par cœur, il y aurait toujours le problème de la foule qui s'agite, Lucrezia devait réagir et vite !
Le regard de la duchesse se dirigeât alors vers sa pauvre victime à l'agonie puis elle glissa rapidement sa mains vers sa sacoche avant d'en sortir plusieurs flacons.
Nan.... nan... pas ça... putain PUTAINS ! IL EST OU ! S'exclamât elle en balançant frénétiquement les flacons contre le sol.
Ah ! Putains ! Le voilà !Sur le flacons qu'elle tenait entre ses mains était inscrit en gros "AMC" pour
Adrénaline,
Morphine et
Caféine pur. Ce mélange permettait à la duchesse de se sortir des situations les plus critique, augmentant fortement son rythme cardiaque et par conséquent son endurance physique, augmentant aussi grandement sa résistance à la douleur en cas d'accrochage avec une quel qu'onc personne. Lucrezia se saisit ensuite d'un élastique à garrot qu'elle enroulât fermement autour de son bras, par la suite elle prit une seringue qu'elle remplie de la dite substance, puis d'un geste violant elle se l'enfonçât dans le bras avant de desserrer le garrot. La pressions exercer par ce dernier permit alors à la drogue de circuler plus vite dans l'organisme de la Duchesse. Suite à cela, notre tueuse se saisit une nouvelle fois de sa hache et d'un pas rapide elle fonça vers sa pauvre victime, faisant abstraction de l'alarme, du sang, de tout, de tout mise à part de sa folie qui venait de monter d'un cran dans son cerveau malade.
Je vais la buter, la buter la buter, lui broyer le crane, lui exploser le bide et répandre ses tripes partout ! PUTAINS JE VAIS LA BUTER !!!!!!!!!!!La pauvre jeune femme titubait, ressassant peu être sa misérable petit existance... La Duchesse elle, était à présent juste derrière elle, les yeux grand ouverts, les pupilles rétractées au maximum avec en prime, un sourire sadique au visage. La jeune infirmière se retournât alors vers sa prédatrice, les larmes aux yeux puis...
Bye...Le coté pointue de la hache s'abattis sur la tête de la pauvre nurse, lui explosant littéralement le crane dans un bruit immonde, un bruit pareille à celui que produit une pastèque lorsqu'ont l'explose avec une pierre, dans le vacarme assourdissant de l'alarme personne n'aurait peut entendre ce son, personne sauf la duchesse, oui ! Elle, elle l'avait entendue ce bruit et ce dernier résonnait encore dans son cerveau.
Ihih... ihihi...ihihahahHAHAHAHA ! ALOR ! TU L'OUVRE MOIN LA, HEIN ! S'exclama la duchesse toute fière d'avoir une nouvelle fois abattue une pauvre jeune fille.
Ce fut ensuite un festival de coup de hache qui s'ensuivit, faisant gicler le sang partout sur les murs avironnant ainsi que sur la duchesse.
TIENS SALE PUTE ! TIEN, TIEN, TIEN ! PUTAIN TU VAS LA FERMER TA GUEEEEEEEEEEULE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Criât elle en s'acharnant de plus en plus sur la dépouille de la pauvre infirmière.
Suite à ce "petit" moment de violence, Lucrezia se stoppa, songeant au fait que le temps lui était comptait. Elle reprit alors sa route vers la sortie, en courant, la hache entre ses mains maculées de sang. Tout aller très vite dans sa tête, très très vite, trop vite ! l'alarme, le sang, la drogue, ces trois éléments formaient une sorte de cercle, un cercle alimentant sans cesse sa folie. Les portes défilait à une vitesse ahurissante, les chiffres se confondaientt, les courbes se déformait et surtout... il y avait cette putain d'alarme !
Bordel... tout ça me rend dingue !Oui lucrezia, tu était entrain de perdre la raison, tu le savais, tu n'était à ce moment là, plus maitresse de ton esprit, seul la folie prédominait, la folie et rien d'autre que la folie...
John
Mais que...Oui, cette jeune femme venait belle et bien d'amorcer l'alarme à incendie, à présent l'horrible sirène résonnait dans tout l'hôpital. John ne savait pas ou ce mettre, cette femme, la Duchesse, l'alarme, bordel ! ce n'était qu'un vigile !
L'espace de quelques instants il resta figé sans rien faire d'autre que de regarder la jeune femme, cette sirène l'abasourdissait, mais au moins l'avantage c'était qu'il n'avais plus besoin d'appeler les forces de l'ordres, ces dernières n'aller d'ailleurs pas tarder à arriver.
L'homme reprit alors ses esprits et il repensa à la Duchesse, ci la jeune femme qui venait de sonner l'alarme disait vrai, la tueuse devait toujours roder dans l'hôpital, Enfin, ça il n'aller pas tarder à en avoir la réponse.
Oui, car à peine eu il le temps de ce retourner qu'une silhouette féminine vint à faire irruptions à l'intersection du couloir, de loin elle semblait portait un grand objet contondant entres ses mains et elle semblait couverte de sang... plus aucun doute ! c'est elle ! John ce devait de réagir !
V... VOUS là-bas ! Arrêtez-vous !mouai... pas super convainquant...
Lucrezia
V... VOUS là-bas ! Arrêtez-vous !Que...Qui était ce, qui c'est ce te type ? Bordel il veux quoi ? Il ne voit donc pas qu'il est face à la duchesse et que cette dernière est complétement défoncée et en pleine crise psychotique ! Lucrezia en entendant la voix de l'homme, eu comme reflexe naturelle de ce tournait vers sa direction et que vit elle ? Un gros con et l'autre potiche prêt de l'ascenseur en panne, bordel ! bordel ! Que les gens peuvent êtres cons des fois ! La duchesse en les voyant avançât de quelques mètres en titubant de gauche à droite puis... Elle se mise à courir d'un seul coup vers le pauvre vigile et l'autre grosse paumée, la hache prête à être enfoncée dans toute personne ce trouvant devant son chemin.
John, vit la duchesse accourir vers lui et la pauvre femme, une hache à la mains, il devait faire quelque chose, mais quoi !?
CREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEVE !!!!!!!!!!! AHAHAHAHAHAHAHAHAHA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Tout est aller très vite, dans son élan de folie, la Duchesse envoya la lame de la hache directement dans l'abdomen du pauvre homme, ce dernier vint par la suite à reculer de plusieurs mètres en arrière, chutant et finissant alors dos au mur, la hache planter dans son ventre. Là, le surplombant, il y avait la Duchesse, les yeux emplis de folie et toujours se sourire malsain collé au visage. john était encore en vie, il respirer difficilement, mais il était encore en vie... mais pour combien de temps encore...
*tousse* Tu...t... tu c.. *tousse* tu cr... crois que cette ville t'appartient.. soufflât il avant de cracher une grosse flaque de sang sur le sol.
Pardon ?L... les g... haa... haaan... *tousse*
Les gens... de cette ville... ont des protecteurs, des personnes bienf.... bienfaisantes... prêtes à ce sacrifier pour... p... pour ne pas laisser au gens de ton espèce la liberté de.. *tousse* de co... continuer leurs atrocités... Mon dieu, comme ces paroles font clichée...
Ah oui ? S'exclama Lucrezia avant de tourner son regard vers un extincteur ce trouvant juste à coter de l'homme.
Tu sais... Les gens de ton éspèce à toi sont... *se saisit de l'extincteur*
... Nan... je n'ais aucune réponse à fournir... Elle prit le dit objet fermement entre ses deux mains couvertes de sang... prit une grande inspiration... Puis enfin elle vint à donner un violant coup d'extincteur au sommet de la tête du pauvre homme, ouvrant la boite crânienne de ce dernier comme une vulgaire noix, l'homme chuta lourdement au sol, et l'ont pus voir alors sa cervelle dégouliner sur le sol, un peut comme une immonde limace informe et rougeâtre.
Là, au milieu du vacarme assourdissant des sirènes, Lucrezia venait de signé sa deuxième victime de la soirée
Eh...éh...éhéh... hihihi...hihihiHAHAHAHAHA ! C'est trop drôle putain ! AHAHAHAH ! Une fois le vigile violement abattue, Lucrezia se retourna vers la jolie jeune femme qu'elle était, à la base, venue violer en cette macabre nuit estivale.
Toi... Toi... Toi tes une pute ! Une grosse pute ! La reine des catins, la déesse des saintes putes de cette salope de ville de putes ! Ouai... vous êtes toutes des putes, et moi les putes, j'les égorge, j'les violes, j'les dissèque comme des putains de salopes de souris... Toutes de la vermines...Salope ! Salope ! Trainée... Connasse de dégénérée...
J'vais enfoncer mes doigt dans ta salle petite chatte de pute... et de là... je te déchirer tes petites muqueuses douces et fragiles... ouai... Voilà ce que souffla notre tueuse en s'avançant lentement vers la jolie Shani, titubant de gauche à droite comme une sorte de zombie, trainant derrière elle l'extincteur maculé d'une grosse giclée de sang, à ce moment là, on aurait pus croire que notre tueuse allait pour la troisième fois de la soirée buter une pauvre âme innocente mais... nop !
Au moment précis ou lucrezia commença à prendre de l'élan pour foutre l'extincteur dans la gueule de la pauvre Shani, un bruit bien trop familier vint à retentir au milieu des sirène de l'hôpital, ce bruit, c'était celui des sirènes de police ainsi que celle des pompiers. La situation devenait critique, très critique, car il fallait ajouter à cela le fait que certains patients commençaient à sortir de leurs chambres, réveillés par le bouquant assourdissant de l'alarme, les patients Et, évidement, le personnel hospitalier. Lucrezia était acculée, son esprit ne Controller plus rien, ça dégénérer totalement, l'Adrénaline, la drogue, le sang la folie, Lucrezia devait fuir cette endroit, au plus vite !
Notre Duchesse mis alors un grand coup d'extincteur en travers du visage de la pauvre Shani puis ni une ni deux elle prit la poudre d'escampette par une des cages d'escaliers ce trouvant à proximité. Elle descendit les marches à toute vitesse, 4 par 4 et cela jusqu'au moment où un de ses talons vint à fatalement se briser sur une des marches en acier, notre Duchesse chuta alors lourdement, déboulent violement une bonne quinzaines de marches avant de d'être durement amortie par un mur en béton, elle se releva, toute branlante sur ses jambes maculées de sang, elle retira ses talons et elle reprit sa course folle vers le parking sous-terrain, seul issue qu'il lui restait.
Dans la tête de la tueuse tout ce mélangait, les marches se déformaient, les étages n'avait plus aucuns sens, c'était comme ci elle était dans un horrible cauchemar, un bad trip sous LSD, un putain d'enfer où, pour une fois, elle était la victime, son souffle s'épuisait mais il était hors de question qu'elle s'arrête, bien des fois elle avais fuis la police, la police et les chiens, putains les chiens ! Lucrezia les haïssait, combiens de ces pauvres clébards la Duchesse avait égorgée, molosses, berger allemands, malinois tous ! PUTAIN TOUS ! Bordel il fallait qu'elle se ressaisie et maintenant !
La carcasse de la tueuse culbutait contre les mur, elle manqua à plusieurs reprise de se rétamer une seconde fois la gueule contre l'acier glaciale des marches, mais au final, elle réussit enfin à atteindre le parking.
En fonçant dans la porte qui menait à ce dernier, Lucrezia s'écroula une deuxième fois, mais là, elle ne put se relever immédiatement, nan, elle eu comme quelques secondes d'inconsciences, comme ci son esprit, l'espace d'un instant, avais quitté son corps. Mais bien vite, elle due se ressaisir, des cris et des aboiements la firent se remettre en route. Branlante et à demi-comateuse, la Duchesse continua sa route hors du parking, une fois sortie de celui-ci, une torche vint à violement agressait ses rétines, cette torche... c'était celle d'un flic ! Bordel ! Cours Lulu, cours !
Et c'est bien ce qu'elle fit notre tueuse, courir à toute berzingue vers le si paisible quartier de la toussaint, sans s'arrêter, sans se poser la moindre question, nan, tout ce qu'elle devait faire à ce moment précis c'était de semer la police...
Poursuivait la ! s'écriât un homme des forces de l'ordres
Mais la duchesse n'avait que faire des paroles, nan, tout ce qu'elle voulait... c'était fuir le merdier dans lequel elle s'était mise...