Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Plouf plouf plouf [Ketake]

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Darkred Zero

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Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 15 mardi 16 juillet 2013, 02:46:39

Ses agissements contrastaient avec ses paroles, ce qui me faisait bien sourire! Ses mains étaient habiles, rendant mon barreau bien dur et long, juste pour elle, dont le corps réclamait ce genre d’attention plus tôt, dans la piscine.

-Tu me dis de ne pas faire ça, mais ce n’est pas moi qui te force à faire ce que tu fais…

D’un mouvement soudain, sans être trop brutal, je la retournai dos à moi, avant de coller ses seins contre le mur le plus près. L’œil magique du pommeau de douche, détectant notre mouvement, fit actionner l’eau chaude, coulant sur nos corps, déjà bien humides et chauds.

-Les gestes sont souvent plus éloquents que les mots, chère Anasthasia!

Mon phallus glissait entre les cuisses de ma partenaire, caressant les lèvres intimes, cachées derrière le vêtement de natation, m’arrachant quelques soupirs de satisfaction. Une main sur sa hanche, l’autre contre sa nuque, je lui fis tourner la tête vers l’arrière pour l’embrasser goulument, violant l’intimité de sa bouche avec ma langue.

-Ose me dire que ce n’est pas ce que tu veux, de m’avoir en toi!

Soudain, des voix s’étaient élevées un peu plus loin.  Des hommes. Ils n’étaient pas encore dans les vestiaires, mais ça allait venir. Mes caresses de bassin s’arrêtèrent, alors que  je me mis à mordiller son lob d’oreille, lui murmurant en toute confidence :

- Tu veux continuer ça ici avec l’excitation du risque de se faire prendre? Ou tu préfèrerais qu’on continue ça  ailleurs?

Maelie

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Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 16 mercredi 17 juillet 2013, 22:10:18

Maelie ne résista pas lorsque Ketake la fit pivoter et la plaqua contre le mur de la douche ; les gestes assurés et autoritaires de cet homme ne faisait qu'augmenter encore sont désir, tout comme l'imminence de la fornication. Elle porta les fesses en arrière, dans le but de les frotter au sexe dressé dans son dos. Le propriétaire de l'organe, ayant une intention similaire et compatible, glissa celui-ci entre les cuisses de la jeune fille. L'eau se mis à couler sur eux, arrosant le bas de son dos et sa queue de cheval, tandis que le haut de son corps, plaqué contre le mur, restait pour l'instant au sec. Le va et viens de la verge sur son entre-jambe caressait agréablement ses lèvres à travers son une-pièce ;  elle ne tarda pas à abaisser la main gauche et à la poser sous le sexe qui taquinait le sien, appuyant sur la verge et en accompagnant le mouvement, afin d'accentuer le frottement de leurs intimités. Sur la pointe ses pieds pour tenter vainement de compenser sa petite taille, le cul tendu, elle bougeait lentement les hanches, en rythme avec celles de Ketake. Les gestes étaient en effet plus éloquents que les mots.

Elle ferma les yeux lorsqu'il tira sa tête en arrière, pour se protéger du jet d'eau, et répondit à son baiser avec passion, le laissant pénétrer à sa guise dans son orifice buccal.

"Je... je veux t'avoir en moi..."

Elle avait prononcé cette phrase d'une voix tremblante qui mêlait provocation et timidité. Oui, elle le voulait, là tout de suite, plaquée contre cette parois de carrelage froid... des voix masculines la firent sursauter ; elle redressa la tête, tout son corps tendu, immobile, tel un animal aux aguets. Elle répondit finalement, d'une voix à peine audible où pointait la panique :

"Ils vont nous voir ! ... Il faut... une cabine..."

Darkred Zero

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Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 17 jeudi 18 juillet 2013, 00:56:57


-Une bonne idée... Malheureusement, il n’y a aucune cabine dans le vestiaire des hommes! Mais viens, on va aller chercher tes vêtements!

D’un petit sourire je la quittai, causant un léger manque au niveau du bassin, pour sortir la tête de l’entrebâillement de la douche, faisant un signe à Anasthasia d’attendre une minute. Un petit ‘’Salut’’  sortit de ma bouche, m’adressant à deux mecs qui passaient par là. Mecs qui s’arrêtèrent aux urinoirs, nous faisant dos.  D’un petit geste rapide, j’attrapai le poignet de la fille russe,  l’entrainant rapidement à ma suite et en silence, laissant les deux mecs évacuer en paix.

D’un rapide geste, j’attrapai ma serviette, l’accrochant autour de ma taille, pouvant ainsi cacher mon érection d’enfer… Laissant la jeune femme ajuster son maillot de bains, il faut dire que je lui avais découvert ses montagnes alors que nous étions seuls, je sortis des vestiaires,  marchant près de la piscine.

Alors que nous marchâmes côte à côte,  je glissai ma main dans la sienne… Un humain moyen aurait pu croire que j’étais romantique, mais il n’en était rien. La nature bestiale d’un animal doit toujours exposer ses trophées, mais aussi assurer sa dominance sur sa partenaire. Comment peut-on dominer en prenant simplement la main d’une femme? Simple : la main sur le dessus caractérise la domination, le pouce sur le dessus aussi… Et j’avais les deux positionnements du dominant.

Après nous être assurés de ne pas avoir été vus,  nous entrâmes dans le vestiaire des femmes. Vide. Après m’être assuré qu’il n’y aurait personne, fermé et verrouillé les portes, je me retournai vers la jeune femme, laissant tomber ma serviette au sol.

-Je crois que nous n’aurons pas besoin de nous cacher dans une cabine… Alors, où en étions nous?... Oh et une dernière chose...

Je m'approchai, retirant les lunettes accrochées à mon visage, je les retournai, les apposant devant les yeux de ma partenaire.

- Comme dit, je trouve qu'elles te vont mieux à toi!

Maelie

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Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 18 jeudi 18 juillet 2013, 11:26:07

La jeune fille attendit que Ketake fasse les repérage, tout en remontant nerveusement son maillot de bain. Lorsque celui-ci l'entraina, elle s'élança derrière lui sur la pointe des pieds, et lorsqu'ils furent sortis du vestiaire, elle laissa échapper un rire de soulagement, repensant à la situation à laquelle ils venaient d'échapper. Ketake se saisit de sa main, et elle fut quelque peu surprise par ce geste empreint de douceur qui contrastait avec son attitude précédente. Elle s'y abandonna un peu, et tout en marchant au côté de son mâle, elle agrippa son bras à l'aide de sa deuxième main et déposa une série de baisers sur son épaule.

Une fois dans le vestiaire féminin, Ketake laissa retomber sa serviette, attirant le regard de la petite succube sur son sexe toujours en érection ; leur calme relatif à tous les deux donnait à la scène quelque chose de très simple et explicite. Maelie, elle, ne se découvrit pas ; elle aimait trop la sensation d'être mise à nue par des mains étrangères pour prendre cette initiative.

Ketake posa à nouveau les lunettes sur son nez, et elle se mit à glousser ; amusante référence à leur jeu précédent. Soudain, elle était prise d'une furieuse envie de sentir leurs lèvres se caresser : elle posa ses avants bras sur les épaules de son homme et se hissa pour embrasser ses lèvres, presque timidement, puis avec de plus en plus de fougue, alors que son désir s'embrasait à nouveau à ce contact. Elle se serra à lui avec force, et se mit à frotter le bas de son ventre sur le sexe en érection coincé entre leurs deux corps. Elle finit par rompre le baiser, et, se cambrant en arrière pour pouvoir le regarder, elle lança avec un sourire provocateur :

"C'est vrai, mais j'ai peur de ne pas me sentir vraiment nue quand tu m'auras déshabillée..."

Maintenant qu'elle se sentait en relative sécurité, son vêtement lui semblait plus que superflu : tout juste bon à atténuer les sensations de leurs corps glissant l'un contre l'autre et celle, délicieuse, d'être vulnérable face à l'homme qui allait bientôt la prendre.

Darkred Zero

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Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 19 mardi 23 juillet 2013, 17:09:50

Mes bras autour de sa taille, je rendis son baiser tantôt délicat, tantôt fougueux. Séparés, je ne pus retenir un soupir d’aise, alors que je pouvais sentir chaque veine de mon membre pulser sous la pression qu’Anasthasia  exerçait avec son bas-ventre…

Peur de ne pas se sentir nue à cause de mes lunettes? Je me mis à rigoler… En espérant que ce soit une blague, car elle se sentira très nue une fois que je lui aurai retiré son maillot, et ce sera beaucoup plus plaisant…

-T’inquiète, tu seras tout aussi nue, et ça ne changera rien au plaisir que tu vas ressentir!

Mes deux mains prirent les extrémités supérieures de son maillot, avant de les glisser vers le bas, doucement. À chaque morceau de peau découvert, je l’embrassai. Pour un humain, c’est doux, c’est plaisant, mais pour une bête comme moi, cette lenteur est l’équivalent d’enfoncer une épée rouge de chaleur dans la chair, rendant chaque douceur insupportable, tant le coït est la seule chose que je désirais.

Je m’étais arrêté au niveau des seins, les pétrissant, suçotant chaque mamelon pendant quelques secondes,  puis reprenant mon chemin de baisers jusqu’à ce que j’atteigne le pubis, passant ma langue dessus.  Par la suite, je laissai simplement tomber le maillot jusqu’aux chevilles.

Je me relevai et, sans grands efforts, je la soulevai, son vêtement retombant sur le sol sans bruit. Dans cette position, je pouvais sentir mon gland frotter contre l’intimité de la rouquine, mais je n’avais pas l’intention de la prendre ainsi… Enfin, pas pour l’instant.

Il y avait un banc en bois… Bon, rien de bien confortable, mais pour ce que nous allions faire, il aurait pu y avoir un tapis de clous remplaçant le parquet que ça serait aussi confortable. La déposant sur le dos, je glissai une nouvelle fois ma langue dans sa bouche, dans un nouveau baiser fougueux et bestial.

Je descendis d’un étage, me retrouvant au niveau de ses cuisses, écartant légèrement ses genoux. Un regard vers la jeune femme, un sourire amusé aux lèvres, je me mis à embrasser les cuisses, de chaque côté, histoire de la rendre folle d’impatience. Je glissai aussi ma langue sur les lèvres, de manière douce… La passant autour de son intimité.

Je pouvais voir qu’elle avait envie, elle avait de la difficulté à ne pas hurler qu’elle en voulait plus… D’un petit sourire, je passai un doigt sur le dessus de son intimité, pouvant constater que c’était déjà bien chaud et humide, ici bas…

-J’espère que tu n’es pas trop impatiente? Que veux tu que je te fasse? J’aimerais te l’entendre dire!

Maelie

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Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 20 mercredi 24 juillet 2013, 15:37:14

Maelie abaissa ses bras le long de son corps pour permettre à Ketake de la dépouiller de son maillot de bain. Elle frémissait à chaque baiser qu'il déposait sur sa peau fraichement découverte, et lorsqu'il s'attaqua à sa poitrine, elle ne put retenir des soupirs d'excitation, fermant les yeux pour mieux sentir ses tétons aspirés. Lorsque son vêtements fut retroussé jusqu'à sa taille, elle put enfin libérer facilement ses bras pour aller caresser avidement la nuque et les épaules de Ketake : elle haletait et tremblait un peu plus à chaque centimètre suplémentaire qu'il dévoilait de son corps. Sa bouche se promena sur son bas ventre avant d'atteindre son sexe ; elle poussa un petit gémissement suppliant lorsque Ketake y passa sa langue avant de se retirer.

Il la souleva, et elle se laissa porter, nue à présent ; elle pouvait sentir son organe tendu par le désir frotter son sexe tandis qu'il la maintenait contre son buste puissant ; il la déposa sur un banc, et tandis qu'il l'embrassait elle l'enlaça à nouveau pour le serrer contre elle. Elle pensait qu'il avait l'intention la prendre tout de suite, et en vérité elle était prête à l’accueillir, mais il se dégagea de son étreinte pour jouer encore avec elle, se glissant entre ses cuisses pour les embrasser. La chatte offerte, elle le fixait à travers ses verres teintés, tandis qu'il embrassait ses cuisses, lui arrachant de brefs gémissements d'incitation. Il porta enfin la bouche au sexe de la jeune fille pour le provoquer à nouveau, sans vraiment en toucher les chairs sensibles. Le visage rosi par le désir, elle attendait qu'il se décide enfin à passer aux choses sérieuses, quelles qu'elles soient.

-J’espère que tu n’es pas trop impatiente? Que veux tu que je te fasse? J’aimerais te l’entendre dire!
-Je veux que tu me ... tu me..."


Ils savaient tous les deux pertinament ce qu'elle voulait, cependant, pour une raison étrange, le dire clairement était réellement intimidant. Elle n'osait pas terminer sa phrase, mais il continuait à la regarder en souriant et ne semblait pas avoir l'intention de céder.

-Je veux que tu me... lèche... la chatte...

Difficile de dire les choses autrement, à moins d'employer des tèrmes médicaux ; elle n'avait pas employé des mots aussi crus depuis des années, à une époque où il ne s'agissait que de blagues de récréé. Pourtant elle en retirait une excitation terrible, comme s'il continuait à la déshabiller alors qu'elle était déjà nue. Elle remonta la paire de lunettes au dessus de son front à la manière d'un serre tête : maintenant il pouvait voir ses yeux tendis qu'elle les plongeait dans les siens.

-S'il te plait... je suis à toi.

De sa main droite elle s'agrippait au banc pour ne pas perdre l'équilibre, tandis que sa main gauche, machinalement, s'était posée sur sa poitrine et commençait à la masser.

Darkred Zero

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Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 21 vendredi 26 juillet 2013, 16:16:47


-Que de mots crus pour une si belle femme....

Voilà comment faire un petit clin d’œil à la première fois qu’on s’est parlé, il y a de ça quelques heures.  Un petit sourire amusé aux lèvres, j’embrassai une dernière fois chaque cuisse. J’avais bien aimé l’hésitation à dire sa dernière phrase, la timidité qu’il y avait eut dans sa voix. Pour moi, symbiote, dire ce genre de chose n’est rien, la libido et la vulgarité d’un membre de mon espèce dépasse largement celle d’un acteur de films pornos.

-Bien, si c’est ce que tu veux!

Après avoir passé ma langue quelques coups sur ses lèvres, j’entrai dans le vif du sujet. Caressant les parois à l’aide de ma langue, je stimulai le clitoris avec mon index droit, pour mettre encore plus de rouge sur ses joues, et de mouille ici bas!

Désormais, elle ne pouvait plus voir ma langue, alors je lui fis gagner quelques centimètres, lui permettant d’atteindre une profondeur légèrement plus lointaine qu’une langue normale. La sensation devait être bonne pour la rouquine, car je la sentais se cambrer sous mes mains qui caressaient son abdomen.

De temps à autres, je sortais ma langue de son intimité pour titiller sa petite boule de chair orgasmique, passant le bout de ma langue dessus, ou encore en l’entourant de mes lèvres…

D’un coup, je me relevai quittant son entre jambe pour me retrouver debout, à côté d’elle. Je me penchai, l’embrassant de manière bestiale. Peut-être n’aimerait-elle pas le goût de sa cyprine, mais je m’en contrebalançais. Puis, après le baiser, je me relevai, brandissant mon barreau de chair à son visage.

-Tu as aimé ce que je t’ai fait? Maintenant c’est à ton tour de me donner du plaisir… Suce ma queue… S’teuplait?

Les formes de politesses n’avaient pas vraiment lieu d’être, mais j’aimais bien dire ça, histoire de mettre une note de légèreté, une plaisanterie qu’on dirait pendant un froid lors d’un dîner de Noël avec la famille.

Ma main droite avait glissé le long de son corps, pour se retrouver à caresser son intimité, particulièrement humide d’un mélange de salive et de mouille, qui me donnait envie de me foutre directement dedans… Mais tout viens à point à qui sait attendre, non?

Maelie

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Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 22 vendredi 26 juillet 2013, 21:56:38

Il plongeait enfin dans son intimité ; elle laissa sa tête retomber et ferma les yeux, tandis que la langue de Ketake caressait l'entrée et l'intérieur de son sexe, lui arrachant des soupirs de bien-être. Un doigt stimulait son clitoris, tandis que la langue s'enfonçait de plus en plus profondément... comment ?... comment une langue pouvait-elle entrer aussi loin ? C'était la première fois qu'elle subissait une telle caresse, étrange et jouissive : elle ondulait légèrement les hanches en poussant de doux grognements pour manifester à son amant le bonheur qu'elle retirait de ses attentions. Celui-ci s'arrêta un peu trop vite à son goût, venant l'embrasser, lui faisant goûter à sa propre intimité, dans une attitude dominatrice face à laquelle elle s'abandonnait avec joie.

Il approcha son sexe fièrement dressé et, avant même qu'il ait prononcé le moindre mot, elle l'avait déjà saisi d'une main et s'était redressée pour poser ses lèvres sur le gland offert. Elle sourit à sa remarque et leva les yeux vers lui, sans répondre, à la fois trop intimidée et trop excitée pour faire de l'humour ; bien sûr qu'elle allait faire ce qu'il souhaitait. Elle ne voulait surtout pas le décevoir.

Elle sortit sa petite langue rose et la fit glisser sous la pointe de la verge, effectuant de petits aller-retours qui amenaient chaque fois le gland un peu plus dans sa bouche, jusqu'à ce qu'elle puisse le capturer entièrement. Elle referma enfin les lèvres, enrobant cette chair sensible le plus délicatement qu'elle pouvait, tandis que sa main commençait à masturber lentement la partie émergée de la verge. Tandis qu'elle le suçait avec précaution, elle sentait ses doigts la caresser à nouveau, et elle soufflait bruyamment par le nez, produisant des gémissements étouffés dans sa bouche par la queue qui obstruait la sortie. Donner du plaisir dans ces conditions était difficile : elle était en position précaire sur le banc, déconcentrée par les attouchements... elle décida de sacrifier son propre plaisir, et se mit à genoux en face de son homme, avant de gober à nouveau son sexe.

Elle ne devait pas être la plus douée pour ça, c'est vrai, car elle n'avait pas tellement d'expérience dans le domaine. Mais elle espérait bien compenser tout cela par la force de la bonne volonté ; elle le suçait avec dévotion, à l'écoute de la moindre de ses réactions, se délectant de sentir son gland gonfler lentement dans sa bouche. Tandis que la jeune succube, les yeux fermés, poussait de petits gémissements à peine audibles, elle même emportée par le plaisir qu'elle s'appliquait à donner, sa main bougeait de plus en plus vite, accélérant par à-coups avant de ralentir, pour repartir de plus belle.

Tout en s'activant, elle glissa amoureusement sa main gauche sur le buste de Ketake, jusque sous ses pectoraux, comme si elle l'invitait à s'en saisir.
« Modifié: mercredi 21 août 2013, 19:25:40 par Maelie »

Darkred Zero

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Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 23 mercredi 21 août 2013, 18:06:07


Un gémissement sortit de ma bouche aussitôt qu’elle se mit à lécher ma hampe. J’attendais depuis si  longtemps qu’elle me semblait beaucoup plus sensible qu’à son habitude. Cependant, quelque chose semblait tracasser la jeune femme; elle s’arrêtait fréquemment, poussant des gémissements étouffés, je pouvais même sentir son corps se balancer, comme si son équilibre n’était que plus ou moins stable…

Ce devait être ça, car elle quitta sa position sur le banc pour se retrouver à genoux, en face de moi, mon sexe toujours dans sa bouche. Elle se mit alors à reprendre sa besogne,  faisant des va-et-viens plus constants. Elle ne semblait pas avoir l’habitude de faire ce genre de chose, la technique était quelque peu brouillonne, mais elle y mettait tout son cœur, changeant de vitesse par moments aléatoires, me faisant pousser quelques soupirs d’aise.

Alors que ma main gauche était sur sa nuque,  je pus sentir sa main venir caresser mon abdomen, pour redescendre à mes cuisses. Mon regard s’orienta vers le visage de la jeune femme, où le sien était déjà vers le haut, le visage allongé et les joues creuses de la fellation pratiqué.

Elle se mit à caresser ses seins, toujours me regardant, pour m’inviter à m’en saisir, chose qu’elle ne me demanda pas deux fois! Ma main occupée libéra la nuque de ma partenaire, pour aller se poser sur sa poitrine, à l’aide de sa comparse. Je dus fléchir les genoux pour les prendre dans mes mains, pour finalement étendre les jambes, remontant les seins fermes d’Anasthasia.

Je les malaxais comme je pouvais, à bout de bras…  Certes, j’aurais pu allonger mes bras de quelques centimètres, mais ça n’aurait pas aussi bien passé qu’avec la langue, vu qu’elle ne l’a pas vu s’allonger, mais les bras…

-oh…oh… pas bon… J’vais venir!

Le visage crispé, je levai la tête au ciel, alors que mon barreau de chair relâcha l’épais liquide blanc, ma bouche sortant un gémissement. Alors que je baissais la tête vers la rouquine,  je lui souris, l’attrapant par les hanches pour la soulever, nos visages se rencontrant enfin une nouvelle fois.

-Désolé, j’ai foiré…

D’un petit mouvement vers l’arrière de sa tête, je murmurai au creux de son oreille :

-J’espère que ça ne t’as pas déplu au point que tu ne veuilles plus de moi?

Maelie

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Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 24 lundi 26 août 2013, 10:02:30

La petite succube continuait son office avec plaisir, gémissant, du fond de sa gorge, en rythme avec Katake. Elle se sentait grisée par le plaisir qu'elle lui procurait, heureuse d'être la responsable de son bien-être, totalement dévouée à son homme et à ses réactions. Elle récoltait sur sa langue et avalait chaque goutte du liquide salé qui s'échappait de ce sexe turgescent comme le plus sincère de compliments...

Dans cette situation, une palpation mammaire effectuée avec délicatesse ne pouvait être qu'un bonus appréciable, et qui plus est, lorsque cette caresse nécessitait de sacrifier une position confortable pour une plus précaire, touchant. Le professeur d'éducation physique semblait lui aussi mettre un point d'honneur à combler la jeune fille, et celle-ci n'en était que plus disposée à s'offrir à lui de son mieux. Les tétons gonflés d'excitation au creux des paumes de son partenaire, elle se mit à accélérer ses mouvements de plus belle, plus fébrile qu'auparavant, comme si le temps lui était compté.

L’avertissement de Ketake vint un peu tard, et Maelie se laissa surprendre par le premier jet de semence, qui se déversa dans sa bouche ; elle se retira, par réflexe, l'orgasme du jeune mâle souillant son visage de sa substance chaude. Elle n'avait pas cessé de le masturber, et l'astiquait maintenant avec passion et frénésie ; elle avait dans un premier temps cédé à un réflexe d'hygiène en interrompant sa fellation, mais son amour du travail bien fait la rappela vite à son devoir, et elle goba à nouveau le gland qui déversait encore son liquide crémeux, accompagnant son amant dans ses derniers sursauts de jouissance. Elle voulait que cet orgasme soit le meilleur possible, qu'importe si pour cela elle devait avaler un peu de sperme - ce qu'elle fit sans trop de peine, malgré le goût et la texture peu encourageants, trop heureuse de sentir son amant jouir dans l'intimité de sa bouche.

Enfin elle relâcha son emprise sur la verge et se laissa relever, souriant à l'excuse de Ketake, émettant un petit gloussement en sentant son souffle sur son oreille. Elle ne lui en voulait pas, bien sûr. Elle même, prise dans le feu de l'action, n'avait pas tenu compte de son propre plaisir, même si une minute auparavant elle n'aspirait qu'à être saillie sauvagement. Maintenant elle était plus calme, un peu comme si elle avait joui à travers lui, mais son désir n'en était pas moins présent. Elle lui répondit sur un ton amusé :

"C'est pas grave... mais je suis toute sale maintenant..."

A vrai dire elle n'avait pas vraiment envie de voir à quoi elle ressemblait, avec ses larmes de pine sur les joues. Elle se pencha un peu en arrière pour s'essuyer la frimousse, avec autant de soin qu'il est possible de le faire en trois secondes et du revers des doigts, puis elle enlaça la taille de Ketake pour mieux se coller à son corps athlétique. Elle aurait menti si elle avait affirmé ne pas être légèrement frustrée, mais elle savait d'expérience que les hommes, après avoir lâché la sauce, n'étaient plus bon à grand chose pour un moment. Même lorsqu'ils tentaient de "terminer le travaille" avec la bouche ou les doigts, la jeune succube pouvait sentir que la passion n'y était plus. Mais elle ne comptait de toute façon pas laisser son prédateur lui filer entre les doigts ; elle en avait encore trop envie. Pour l'heure elle se contentait du contact de leurs corps nus en embrassant passionnément son cou, mais elle espérait bien qu'au final il la baiserait avec la sauvagerie qu'elle avait cru déceler en lui ; chez elle, chez lui, ou dans n'importe quel autre lieu approprié, peu importait.

"J'attend quand même que tu te rattrapes hein, dès que tu t'en sentiras prêt..."

Elle lui adresse un sourire joueur, avant de déposer un bref baiser sur sa lèvre inférieur, puis le fixe de ses yeux brillants de convoitise.

Darkred Zero

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Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 25 jeudi 31 octobre 2013, 06:52:31

Cette vision d’elle devant moi, dans un tel état  me rendait moi aussi dans un autre état  très différent de celui que j'étais plus tôt  c’était un tout autre niveau de luxure. Ce n’était plus que j’avais envie d’elle, j’avais besoin d’être en elle, a un point tel que tout mon être en tremblait.
 
Le problème, c’était que je ne pouvais pas la prendre maintenant; aucun homme normal n’aurait pu, après avoir joui autant, entrer en érection avant une bonne dizaine de minute, minimum. Autant cette envie pouvait être puissante, autant les chances de me faire prendre pour une simple imbécillité comme celle-la étaient grandes… Alors, bien que ce soit dur a réprimer  une érection  je devais faire en sorte qu’on degage d’ici, qu’on se retrouve seul, plus loin.
 
 
C’est a ce moment qu’elle m’offrit d’aller ailleurs, histoire de finir nos ébats  Merci, Anasthasia!  Un sourire étira mes lippes et une lueur reconnaissante alluma mes yeux, pour une pauvre fille qui ne savait pas de quoi j’étais reconnaissant, ni même qu’elle serait peut être sur ma carte des repas, et pas de la manière qu’elle voudrait… Mais ca reste encore a voir, si j’ai vraiment si faim.
 
 
-Bonne idée! Allons chez m…. toi. Si ce n’est pas trop loin!
 
J’allais vraiment l’inviter a venir chez moi, mais je me suis remémore la grande évasion de Scurry, mon rat expérience sur le symbiote… Je n’avais pas encore termine de réparer les murs défoncés qu’il avait fait… Restait juste a espérer qu’elle ne trouve pas mes paroles trop bizarres…
 
-Faudrait juste que j’aie chercher mes vêtements dans les vestiaires des hommes… Tu sais, l’endroit ou tu es venue me chercher pour qu’on s’amuse encore un peu?

Maelie

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Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 26 mardi 04 février 2014, 15:24:15

"Oui ! Allons chez moi !"

Simplement, oui. Allons chez moi. Une phrase simple, ponctuée d'un baiser simple, pour réclamer la chose la plus primaire au monde ; Allons nous accoupler dans ma tanière.

Elle en profite encore un peu, tout de même, de son mâle. Elle ne le lâche pas immédiatement. Elle enfouit son visage dans son coup et l'embrasse sans but précis. Elle ne veut pas desserrer son étreinte, c'est tout, alors elle essaie de lui donner des raison de la garder encore un peu contre lui.

"Faudrait juste que j’aie chercher mes vêtements dans les vestiaires des hommes… Tu sais, l’endroit ou tu es venue me chercher pour qu’on s’amuse encore un peu?"

Elle relève la tête, la bouche en O, l'air à demi offusqué et plaque ses deux paumes sur les pectoraux du jeune homme pour le repousser en gloussant ( en fait, elle recule tout autant que lui, mais peu importe, après tout ).

"Tu parles ! Si j'avais su ce qui m'arriverait..."

Serait-elle venue quand même ?... Oui. En courant. Elle ne le précise pas, cela ne sert pas vraiment son propos...

"En fait, c'est toi qui a commencé..." ajoute-t-elle avant de lui tirer la langue d'une manière parfaitement mature. Et pour se donner un air détaché, elle lui tourne lentement le dos en roulant des hanches ; "Allez, file... je dois me laver et faire pleins d'autres trucs qui prennent du temps. Je suis une fille je te rappelle."

Elle jette encore un regard rieur par dessus son épaule et se dirige vers la douche sans se retourner. Ketake peut regarder ses fesses ou sa queue de cheval frétillante ( selon ce qu'il préfère ), pendant quelques secondes, avant qu'elle ne disparaisse derrière la cloison de la salle d'arrosage.

Arrivée là... elle se sent tout de suite moins maligne, ayant oublié de prendre son savon et son shampoing dans son casier. Pas question de se laver avec le savon qui pue de la piscine, surtout sachant ce qui l'attend après. Et pas question non plus de faire le chemin inverse sous les yeux de Ketake et d'avoir l'air d'une cruche. Elle appuie donc sur le bouton de la douche, pour faire comme si. Et puis elle attend une bonne minute, pour être sûre qu'il soit parti, avant de passer la tête dans le couloir du vestiaire ; la voie est libre. Son excitation n'est pas encore retombée, et c'est toute tremblante qu'elle va ouvrir son casier pour prendre ses affaires, puis retourne sous le jet.

...il faut bien frotter chaque endroit, surtout la tignasse. Que tout soit parfait. Rincer abondamment, relaver une deuxième fois, pour être sûre que cette odeur de chlore s'en va. Rendre au visage sa douceur, et au sein son gout original. Son cœur tambourine contre ses côtes. Dans une trentaine de minute ils seront chez elle. Ce sera comme une deuxième première fois, oui. Il y aura un jeu du chat de la souris, ils se tourneront autour, sachant très bien qu'à la fin... à la fin la souris se laissera attraper. Parce qu'elle n'a qu'une envie, depuis le début, c'est d'être mangée. Elle lui offrira chaque parcelle de son corps, et elle espère qu'il les traitera bien. Elle se savonne le ventre, imaginant que ses mains sont grandes et larges comme celles de son nouvel amant. Est-ce qu'il va aimer ce petit corps ? Évidemment, il y a déjà cédé la première fois. Elle sent déjà la bouche de son amant remonter le long dans son torse, depuis le nombril jusqu'à...

Oh putain, vite.


Elle frotte les moindre recoin de son anatomie avec frénésie, martyrise son cuir chevelu du bout de ses doigts, et se rince avec tout autant d'impatience. Ceci fait, elle use de son astuce habituelle : la téléportation. *Tchac* L’espace d'un dixième de seconde, deux jeunes filles se trouvent côtes à côtes dans la douche. L'une, de chaire et de sang, et l'autre, sa sculpture en gouttelettes, qui s'affaisse immédiatement et se désintègre sur le sol dans un *SPLASH*. Totalement sèche, elle se précipite vers son sac et en sort ses vêtements ; un short en jean près du corps, coupé en haut des cuisses , un débardeur blanc et une paire de sous vêtements assortis aux débardeur. Elle s’apprête à enfiler ces derniers, et puis... et puis non. Finalement, elle enfile la toile denim par dessus ses fesses nues, de même pour le débardeur, qui, en pleine lumière, pourrait laisser voir le rose de ses tétons à un observateur attentif. Heureusement, le jour commence à décliner, aucune des personnes qu'ils croiseront en chemin ne devraient s'en apercevoir... Un coup de peigne, puis elle refait sa queue de cheval en tirant tous ses cheveux en arrière, laissant uniquement sa frange lui chatouiller le dessus des sourcils ; on lui a souvent dit que cette façon de se coiffer lui donnait un air sexy... et sexy, c'est justement l'air qu'elle cherche à avoir. Enfin, elle enfile ses sandales à semelles plates ( elle va vraiment avoir l'air petite à côté de lui... ) et se précipite vers la sortie, les lunettes de Ketake accrochées par une branche dans son décolleté et le sac sur l'épaule. A chaque enjambée, le frottement du jean contre ses fesses et son pubis lui donnent la sensation qu'elle s'apprête à sortir de la piscine totalement nue... son rythme cardiaque s'emballe lorsqu'elle passe devant le guichet.

"Bonne soirée !
-Vous aussi mad'moiselle !"


Elle aperçoit le jeune homme à travers la porte vitrée ; elle pousse le battant et s'approche de lui, le rouge aux joues, en souriant comme une idiote. Lorsqu'elle arrive à sa hauteur, elle se met à tripoter ses poches du bout des doigts, hésitante, comme si elle avait peur d'avoir simplement rêvé leurs ébats d'il y a quelques minutes.

"Hum... je-j'ai récupéré tes... tes lunettes enfin tu les as laissées et-et les voilà. Hm. Onyvaenfinchezmoi ? C'est pas très loin. C'est euh genre, tu vois la rue qui fait euh genre...? Enfin non c'est bête j'vais te montrer. Huhu... Я глупый, чертов"

Darkred Zero

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Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 27 mardi 04 février 2014, 20:27:42


Alors que j’étais dans les vestiaires des hommes, je ne pus m’empêcher  de repenser à tout ce qu’on avait fait… Peut-être devrais-je aller moi aussi prendre une douche? Enlever l’odeur de sueur, de sperme et cyprine qui me caractérisaient, en ce moment. De plus, Anasthasia devait aussi aller sous la douche, et je n’avais pas vraiment envie de l’attendre trente minutes, sinon plus, juste devant l’entrée de la piscine municipale, alors aussi bien reprendre ce que j’avais commencé avant cet ébat…

L’eau coulait sur mes cheveux, et l’image de la jeune femme, nue, le corps légèrement satiné due à la sueur qui perlait sur sa peau, revint hanter ma tête. L’idée de la prendre me vint à l’esprit, sentir ses jambes enroulées autour de ma taille, ses gémissements de plus en plus rapprochés entrer en écho dans ma tête et, au moment de l’orgasme, mes dents noires lui déchirant la gorge… Le sang tachant les draps et les murs, mon corps entier galvanisé par cette sensation satisfaisante de remplir mon estomac avec de la chair fraîche… Mais aussi un sentiment de culpabilité, un sentiment humain restant, comme je n’avais pas réussi à encore me débarrasser de toutes ces émotions humaines.

Une fois bien rincé, le gel douche Axe Kilo aspiré par le conduit d’égout, je m’essuyai avec une serviette, avant de me rhabiller, et finalement quitter les vestiaires.

Quelques minutes plus tard Anasthasia sorti elle aussi  des vestiaires, saluant un employé de la piscine… Nous étions sortis du bâtiment, et la jeune femme tenta de me donner les indications de sa maison… Pour finalement ponctuer sur sa stupidité. D’un petit rire, je déposai un doux baiser sur ses lèvres.

- Нет, ты мило …

Lui tendant la main, un sourire rassurant aux lèvres, je me mis à marcher dans la direction qu’elle m’avait pointé

-On y va?

Une petite marche de santé plus tard, nous nous retrouvions devant sa porte.  Alors qu’elle s’affairait à chercher ses clefs pour déverrouiller la porte, je me permis d’être plus entreprenant; alors que ma main gauche était contre ses hanches, ma droite avait glissé sous son débardeur massant l’un de ses seins, alors que ma hampe à moitié dure était collée contre sa croupe… D’un petit air coquin, je lui murmurai à l’oreille avant de l’embrasser dans le cou.

-Aucun sous-vêtement? Tu ne dois pas avoir envie de trop faire traîner ça… Je me trompe?

Maelie

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    des fautes de participe-passé.
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Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 28 mercredi 05 février 2014, 16:16:10

La succube se sent encore plus gênée à ces mots ; elle avait complètement oublié qu'il parlait le russe. Elle rit, un peu malgré elle, en grimaçant à moitié, détournant le regard.

"On y va?
-Oui !"


Elle prend sa main et se met à marcher avec lui, en direction de son appartement. La chaleur de sa grande main sur la sienne, le frottement de leurs bras l'un contre l'autre la font frissonner. Elle aurait voulu parler, mais sa gorge reste nouée, et à chaque fois qu'elle prend la parole pour indiquer la direction, elle ne peut empêcher sa voix de chevroter. "Par là...". Les battement de son coeur accélèrent, de même pour sa respiration : elle aurait du mettre des sous-vêtements. Un angoisse, à la limite de la panique, l'étreint à chaque fois qu'un piéton a le malheur de croiser leur chemin. Ce quidam , en les voyant, en la voyant elle, dans son état, rouge et essoufflée, au bras du jeune mâle à l'air si possessif... il ne peut que deviner ce qui se trame ; "cette fille... elle va se faire prendre dans deux minutes, c'est sûr. Elle n'attend que ça, je peux voir ses tétons pointer son son haut, même d'ici. Regarde comme elle respire. Il suffirait qu'il l'effleure pour qu'elle perde les pédales. Je suis sûr qu'elle porte pas de culotte. Elle doit être trempée, en dessous. Elle en rêve hein, de sentir un vrai mâle la prendre contre un mur. Elle adore ça, se sentir tout petite... salope."

Elle secoue la tête. Elle se fait des idées, il faut qu'elle arrête. Ils seront bientôt arrivés, tout va bien. Tout va très bien. Ses jambes semblent peser 200 grammes, elle flotte au dessus du sol. Elle ne cesse de jeter des regards timides à l'homme qui tient son bras, tandis que des bouffées de chaleurs inondent régulièrement son visage et sa gorge.

Enfin, ils y sont ! Ils se dirigent devant la porte d'entrée, et une main vient se poser sur la hanche de la jeune femme, qui cherche ses clefs dans une poche de son sac.

"Ah, les voi-"

Les phalanges de Ketake glissent sous son débardeur, et Maelie sent soudain son ventre se nouer. Elle jette des coups d’œil paniqués autour d'elle ; pourvu que personne ne voit ça, bon sang...

"A-attend..."

La main est déjà sur son sein, faisant remonter son haut et découvrant le bas de son ventre. Les hanches du mâles se retrouvent plaquées contre son postérieur. Elle en meurt d'envie, putain. Elle plonge la clef dans la serrure, tourne, puis se dégage brusquement de l'étreinte du jeune homme en bondissant en avant, poussant la porte dans son élan et courant quelques pas dans l'entrée du bâtiment, tandis que son rire nerveux et le claquement de ses sandales résonnent dans les couloirs. Elle se retourne et lui fait face, essuyant avec son index une goutte  de sueur qui commence à perler sur son front ; elle lui sourit, reprenant un peu sa contenance et son côté joueur.

"Pas de sous-vêtement... nulle part..." ponctue-t-elle d'un haussement de sourcils.

Et elle tourne aussitôt les talons pour s'élancer comme une flèche dans les escaliers. Elle va vite, mais elle ne doute pas que Ketake la suivra aisément, d'autant qu'elle n'habite qu'au troisième étage. Elle ne s'arrêtera qu'une fois devant sa porte, à moins que le fougueux séducteur ne la rattrape carrément et ne la stoppe en plein milieu des escaliers.

Darkred Zero

Créature

Re : Plouf plouf plouf [Ketake]

Réponse 29 mercredi 05 février 2014, 20:05:11


Se dégageant de mon emprise pour entrer dans la cage d’escaliers, elle se retourna vers moi, son petit sourire alors qu’elle semble reprendre des forces, sa timidité s’évanouissant, et elle voulait jouer à nouveau… Elle lâcha alors une phrase qui me mit dans tous mes sens, avant de tourner les talons pour se mettre à monter les marches, quatre à quatre.

-Cours, au final je vais t’attraper et te dévorer!

D’un rapide mouvement de jambes, je m’élançai à sa poursuite dans les escaliers. Je ne devais pas aller trop vite, pour pouvoir faire durer le plaisir, mais grimper les escaliers m’exaspérait, et je devais lutter contre mes instincts pour ne pas me mettre à quatre pattes,  courir sur les murs irait beaucoup plus vite… Non, je devais lutter contre ce que je ressentais, mais juste assez pour avoir encore cette envie de jouer dans les yeux.

La moitié des marches étaient derrière Anasthasia, puis le trois-quart… Elle était tout juste à portée de la poignée de son chez elle, alors qu’un bras vint la saisir par la taille, la soulevant pour la ramener vers le corps de son propriétaire. D’un petit sourire, je lui soufflai à l’oreille :

-T’es rapide, mais on n’échappe pas si facilement à un prof de gym !

Elle réussi rapidement à se dégager de mon étreinte, c’était par ailleurs mon but, pour monter les quelques marches qui menaient au pallier de son étage, où sa porte trônait… Nous entrâmes en trombe dans son appartement où, à la suite de la rouquine je refermai la porte dans un grand claquement, digne de plaintes des voisins de la jeune femme… J’irai faire mes excuses demain!

La plaquant contre le mur du couloir, je posai mes mains à plat sur les feuilles de pierre, à la hauteur de ses épaules, lui arrachant un baiser, goulûment,  puis je soufflai, mes lèvres frôlant les siennes.

- Le chat a attrapé la souris… Est-ce qu’elle va encore essayer de se sauver?


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