Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Gymnase en plein air et piscine => Discussion démarrée par: Maelie le jeudi 13 juin 2013, 00:56:10

Titre: Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le jeudi 13 juin 2013, 00:56:10
C'était une bonne journée pour aller à la piscine ; il faisait une chaleur étouffante à l'extérieur, et une petite tête ne pouvait que faire le plus grand bien à la demi-succube. Elle s'y rendit donc en milieu d'après midi, prit une cabine pour se changer, déposa ses affaires dans un casier et fixa la clef à sa cheville grâce au bracelet de plastique prévu à cet effet. Impossible de se téléporter en urgence, du coup, mais après tout les gens normaux vivent très bien sans, et elle ne risquait rien à aller faire quelques longueurs à la piscine, si ? Elle traversa le bain de pieds dans son maillot de bain une pièce noir, les cheveux attachés en queue de cheval. L'endroit était relativement peuplé mais pas autant qu'elle aurait pu le craindre, vu la saison.

Elle s'accroupit au bord du grand bassin - le plus grand, celui où nul n'a pied ! - et y plongea la main pour se mouiller la nuque. Brr, un peu froide... Elle se mit ensuite en position et plongea, dans un mouvement fluide et maitrisé. La natation, c'était son truc... En quelques brasses, elle avait parcouru toute une longueur en apnée, passant sous les quelques nageurs et autres enfants à brassards gonflables qui croisaient son chemin. Elle émergea à l'autre bout, et s'accrocha au bord le temps de reprendre son souffle, tandis qu'elle balayait l'endroit du regard, s'arrêtant un peu sur un ou deux hommes au physique avantageux. Sans plus. Elle s'élança à nouveau et fit quelques longueurs. Puis d'autres. Et encore quelques unes pour la route, jusqu'à ce qu'une crampe lui saisisse un orteil. Elle rejoignit péniblement le bord et se hissa hors de l'eau en grimaçant ;

"Mppppffff...Ебля мудак его расы ног кон !!"

Pinçant les lèvres, elle attrapa ses orteils d'une main pour les étirer.
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le jeudi 13 juin 2013, 02:51:45
Ahhh... Quel beau temps! Des lunettes d’aviateur  (http://us.123rf.com/400wm/400/400/gatordawg/gatordawg1009/gatordawg100900003/7759815-un-crane-vieux-homme-portant-en-miroir-aviateur-type-lunettes-de-soleil.jpg) sous le nez, je me prélassais sur une chaise longue de couleur bleu criarde, les yeux dans le ciel. Bah quoi? Même les monstres psychopathes ont le droit d’avoir un jour de repos, non? Et puis, c’était plutôt bon de goûter à la liberté, un monde où au moins l’une de mes facettes n’était pas remarquable, comme tout le monde, où l’homme que j’étais aurait pu agir de manière totalement libre et autonome… Si j’étais né dans ce monde, probablement que la folie qui naquit en moi en même temps que Zero, n’aurait jamais vu le jour...

Enfin bref, là n’était pas le temps pour ressasser de douloureux souvenirs de ma présence de semi-esclave à Tékhos, j’étais là pour mater!... Quoiqu’aujourd’hui, la piscine municipale était beaucoup moins peuplé que d’habitude, et les seules créatures qu’il y avait ressemblaient plus au monstre du Loch Ness, et non pas les canons que j’avais espéré voir!

Voilà pourquoi j’étais ici, mais je n’avais plus envie de voir des baleines semi-échouées se vautrer avec leurs petits garnements qui couraient ça et là, arrosant âme qui vive, donc j’avais levé les yeux…  Je n’oserais même pas mettre l’une de ces personnes sur mon menu du jour, de peur de devenir ventripotent!

Jusqu’à ce que j’entendis un ‘’plouf’’! Non pas une grosse éclaboussure d’un enfant qui a fait une bombe ou encore d’un de ses adultes de qui le corps couvrait une trop grande surface au moment de toucher l’eau, mais bien le bruit caractéristique d’un plongeon bien réussi. Baissant les yeux, légèrement surpris qu’une personne de ce standing ne vienne ici, il faut dire qu’il n’y avait pas beaucoup d’athlètes, si on ne comptait pas les maîtres nageurs, qui semblaient s’emmerder comme pas permis!

Une femme… Belle. Voilà qui est intéressant! Puis, je pus entendre son cœur accélérer… Que pouvait-il bien se passer? À voir son visage grimaçant, elle devait être en douleur. Elle finit par sortir de l’eau près de ma chaise,  se tenant le pied et lâchant une injure bien sentie… En russe.

Pendant une escarmouche contre un groupe de paramilitaires, des ex-spetsnaz,  j’avais réussi à apprendre ce langage pour le moins compliqué. Je m’étais levé, les deux mains sur les hanches.

- Какое сырье слова из уст красивой женщины
Que de mots crus pour une si belle femme

D’un sourire, je posai un genou au sol.

- Судороги, я думаю? На самом деле, я Ketake Urominy
Une crampe, j’imagine? Au fait, je m’appelle Ketake Urominy
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le jeudi 13 juin 2013, 12:41:27
Maelie étirait donc ses orteils dans l'espoir de soulager sa crampe, quand une voix la fit sursauter ;

"Que de mots crus pour une si belle femme."

Du russe ?! ... elle leva les yeux vers l'inconnu qui la toisait en souriant. Sa flatterie, bien que quelque peu balourde, et laissant clairement transparaitre des arrières pensées, fit mouche, et Maelie lui rendit malgré elle un sourire quelque peu gêné.

"Oh, désolée... merci... enfin je ne pensais pas que quelqu'un me comprendrait ici."

L'homme s'agenouilla à côté d'elle

"Une crampe, j’imagine? Au fait, je m’appelle Ketake Urominy."

Les contractions s'étant calmées, elle lâcha son pied et étendit la jambe, posant ses mains derrière elle pour s’asseoir plus confortablement. Elle n'avait pas eu l'occasion de discuter dans sa langue natale depuis plusieurs mois, et ce simple fait rendait déjà la conversation des plus agréables. Pour avoir un accent aussi parfait, il était forcement un compatriote. Elle lui répondit, toujours en russe :

"Oui... ça m'arrive parfois quand je nage... ça a tendance à me gâcher mon plaisir. Moi c'est Anastasia Boukavitskaia. T'es Russe toi aussi ? J'habitais à Moscou avant, dans un quartier juste à l'extérieur du MKAD (http://fr.wikipedia.org/wiki/MKAD)..."

 Elle continuait de sourire, tout en parlant avec un enthousiasme grandissant, agitant parfois la tête pour ponctuer ses phrases, faisant danser sa queue de cheval humide derrière elle.
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le vendredi 14 juin 2013, 23:51:47
D’un sourire, je m’assieds sur le bord de la piscine, les jambes dans l’eau jusqu’aux mollets. Le langage russe n’était pas le plus mélodieux de tous, mais ça faisait changement du japonais moyen qu’on retrouvait sur l’île… Et beaucoup moins saccadé que le démentiel langage tékhan!

-Ai-je  l’air d’un russe? Surtout que mon nom ne fait pas trop européen! En fait, j’ai une passion pour les langues. C’est un des premiers langages que j’ai appris!

En fait, je n’avais pas vraiment l’air d’un japonais… La race dont je faisais appartenance n’avait que très peu de ressemblance avec les indigènes de l’île… Les tékhans n’ont qu’une faible appartenance avec les japonais, raison de plus pour moi de croire que Tékhos n’était que le futur Japon!

-Ce que je me demande, moi, c’est ce que fait une russe à Seikusu? Si tu étais en voyage, Tokyo, Kyoto ou même Hiroshima seraient des villes plus propice au tourisme… Ou aurais-tu déménagé?

L’eau avait la couleur du fond de son récipient; bleu, et le peu de technologie que les humains ont développé en quelques milliers d’années d’existence aidait le soleil à garder la température de l’eau à une température que chacun trouve agréable…
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le samedi 15 juin 2013, 01:04:39
Maelie se sentit un peu bête, sur le coup. Bien sûr que son nom était japonais, elle aurait du le relever... Par contre son visage n'était pas celui d'un asiatique. Donc il devait avoir des origines européennes, et être né au japon ? Ça ne collait pas non plus; puisque son nom de famille restait japonais. En plus... même en y prêtant attention, elle ne trouvait aucune trace d'accent dans sa manière de parler le russe. Alors quoi bon sang ? Quelque chose ne collait pas. Il devait bien y avoir une explication qui donnerait une cohérence à toutes ces observations contradictoires.

"C'est vrai que tu as un nom japonais... mais tu ne ressembles pas à un asiatique. Faudrait que tu m'expliques ! Tu viens d'où ? Tu connais quelles autres langues ?"

Une expression enjouée sur le visage, elle s'assit à côté de Ketake pour patauger avec lui. Sa question coupa un peu son enthousiasme, rappelant des souvenir peu agréables à sa mémoire ;

"Disons que j'ai plus ou moins fugué, et j'ai été là où mon instinct me portait... et ici je me débrouille, pour l'instant..."

Elle termina sa phrase en tapotant nerveusement le bord du bassin avec ses main. Son "instinct"... c'était une explication débile, mais c'était toujours mieux que parler des portails dimensionnels. A moins que... se pourrait-il que cet homme vienne de Terra ? Elle était peut être parano... il y avait genre une chance sur... "beaucoup" - Maelie n'était pas une matheuse de toute façon - que cela soit le cas. Elle scrutait maintenant son interlocuteur, curieuse. Drôle de bonhomme...
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le dimanche 16 juin 2013, 01:39:39

Bon sang... J’ai faim...

S’il n’y avait personne, je me serais contenté de me changer, et de la dévorer, ça aurait été le meilleur moyen, le plus rapide, mais surtout le moins chiant… Bon sang ce que je détestais avoir à faire la causette à ma victime, l’amener à trouver un lieu sûr pour la manger… Quoique je n’avais pas encore décidé si elle allait être sur mon menu!

Enfin, la donzelle attendait une réponse!

-Je ne sais pas d’où je viens, je ne sais pas qui sont mes vrais parents.  J’ai grandi dans un orphelinat, tout ce que je sais de mon passé, ce sont eux qui me l’ont appris. Urominy, c’est le nom du directeur de l’orphelinat…

J’en parlais comme si de rien n’étais. Pour moi, ce genre de passé était un peu comme la norme, car c’était véritablement mon passé, avant la rencontre avec Zero, et Shino…

-Pour les langues, je parle le japonais, le russe, l’allemand et l’anglais!

Aussi bien donner toutes les réponses à ses questions en terminant par une note un peu plus joyeuse… Oui, je connaissais toutes ses langues, en plus du Tékhan et de la langue officielle sur Nexus, mais celles là, je devais les garder pour moi.

- Oh, et j’apprends le français!
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le dimanche 16 juin 2013, 23:28:40
La jeune fille observait Ketake avec une admiration grandissante ; ça n'avait pas du être tous les jours facile pour lui, et pourtant il avait l'air d'être devenu quelqu'un de bien et d'instruit... il devait être vraiment intelligent, et avoir de la volonté... et en plus il avait de la prestance. Il n'était pas un intello barbant ou prétentieux, il savait discuter...

"Ca doit être dur de retenir tout ça... ça fait partie de ton métier ? Tu fais quoi dans la vie ?"

Elle lui sourit et se pencha vers lui, jusqu'à ce que leurs épaules se touchent brièvement

"Oh le français... j'ai toujours voulu apprendre mais j'ai jamais eu le courage de commencer... t'y as déjà été en France ? J'aimerais bien visiter Paris un jour moi ! Enfin quand j'aurais assez d'argent pour faire le voyage !"

Elle termina sa phrase presque en riant, les yeux pétillants d'enthousiasme. La petite russe était fascinée par la France de la même manière que les lycéennes françaises sont omnubilées par le japon, c'est à dire sans y connaitre grand chose. Elle pencha la tête de côté en souriant, agitant à nouveau ses cheveux. Il avait vraiment de la classe... si seulement ses lunettes ne cachaient pas ses yeux.
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le mardi 18 juin 2013, 03:35:05

D’un petit rire je secouai légèrement la tête… Le monstre en moi commençait à hurler famine, mais je ne devais pas l’écouter, sinon j’allais faire un nouveau faux pas.

-Non, ce n’est pas pour le travail, et ça n’est pas non plus pour le travail; je suis enseignant d’éducation physique à Mishima. Et toi? Ton ‘’instinct’’ t’as mené à beaucoup d’endroits?

Je n’ai rien vu, je n’ai été nulle part sur Terre, mais ma tête était pleine de souvenirs. Je connaissais le japon et la Russie comme si j’avais toujours habité dans ses deux pays. Le Japon, comme j’avais eut la chance d’absorber plus d’indigènes, j’en connaissais les moindres recoins…

-Sinon, je t’ai entendu dire que tu te débrouillais… L’argent ne tombe pas du ciel et ne pousse pas dans les arbres… Comment fais-tu?

L’une de ses épaules était venue toucher la mienne, signe d’une certaine attirance. J’avais beau ne pas être un humain, j’en savais assez sur les signes que les humains laissaient entre eux pour en reconnaître les raisons. Aussi bien jeter un peu d’huile sur le feu, non?

-Je te demande ça, car je ne sais pas comment tu fais… Pour moi, la vie se résume au boulot et au dodo… Mis à part mon apprentissage des langues, évidemment! J’aurais beaucoup de mal à délaisser mon boulot et mon pays pour me mettre à voyager, même si ça me paraît intéressant!

Avec un petit sourire, je déplaçai ma main en sa direction, laissant le côté de mon pousse contre la peau de sa cuisse, à mi-chemin entre le genou et la fesse.
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le mardi 18 juin 2013, 12:18:11
Enseignant d'éducation physique. Ça devait expliquer son allure sportive plus que plaisante... quoi que ; il ne devait pas être le genre d'homme à se laisser aller. Après tout, il apprenait diverses langues pendant son temps libre, il ne pouvait pas être du genre à se laisser aller.

"Oh d'accord ! Eh bien on va dire que j'ai eu l'occasion de traverser la Russie depuis Moscou, en train principalement... ensuite je suis passée par la Chine - c'était terrible, je ne comprenais rien à rien... - et j'ai traversé la mer jusqu'à Otaru. J'y ai erré jusqu'à avoir des ampoules au pieds, là bas... ensuite je suis venue ici, et je ne sais pas pourquoi, je m'y suis sentie un peu mieux. Donc j'y suis restée pour apprendre le japonais. J'ai un peu été visiter Tokyo aussi !"

Le sourire de la jeune fille ne disparaissait pas. Parfois il diminuait jusqu'à être à peine perceptible, puis s'élargissait à nouveau lorsqu'elle voulait souligner un passage amusant.

C'est vrai, l'argent ne tombait pas du ciel... en général, elle achetait des bijoux sur Terra, avec l'argent gagné grâce à son pouvoir de téléportation, et les revendait au Japon. Elle récita le mensonge qu'elle avait préparé en regardant ses pieds faire des clapotis ;

"J'ai commencé en faisant des petits boulots. Au début je n'arrivais même pas à m'exprimer correctement, donc j'ai juste vécu sur mes économies. Maintenant que je parle assez bien Japonais, je donne des cours particuliers de Russe."

Voilà, rester vague et légère, c'était le meilleur moyen qu'un bobard tienne la route. La main de Ketake effleura soudain sa cuisse et son cœur en fit un petit bond ; est-ce que c'était volontaire ? Involontaire ? Ou juste volontaire mais innocent ? Non, surement pas innocent, vu le compliment qu'il lui avait fait des son arrivée.

"... euh oui, c'est vrai. Moi je n'ai pas de vraies responsabilités alors c'est différent... je te raconterais si jamais j'y vais !"

Elle termina sa phrase avec un petit rire, réitérant la caresse de son épaule sur celle du mâle, un peu plus appuyée cette fois. Ses joues étaient définitivement roses, et son corps réclamait un contact physique ; elle se laissa donc aller à jouer encore un peu et leva la main en direction du visage de Ketake.

"Je peux essayer tes lunettes ?..."
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le jeudi 20 juin 2013, 16:53:06
Hausse de température, regard légèrement déviant alors qu’elle me parlait de sa façon de gagner sa vie… Elle me mentait. J’avais à la base été conçu pour la recherche et destruction, mais on avait trouvé aussi que je pourrais trouver les traîtres, et on m’a ajouté une connaissance approfondie de la psychologie humaine, permettant une infiltration des clans rebelles parfaite en territoire Tékhan. Cependant, peu importe la raison qui la pousserait à me mentir, même si elle était une espionne tékhanne, je m’en fichais.

-Ouah, t’en a vu, du monde!

D’un petit sourire, elle réitéra son geste charnel, pour finalement me demander d’essayer mes lunettes. Je les avais presque oubliés! D’un petit sourire, je les retirai de ma tête pour les retourner face à moi, et les apposer sur le nez de la demoiselle, pour finalement glisser doucement les cheveux pris sous les branches des lunettes par-dessus.

-Elles te vont presque mieux qu’à moi!

D’un petit rire, je me laissai glisser dans l’eau jusqu’au dessus de la tête et, pour la première fois, je laissai sortir un véritable sourire sincère, terrifiant, le visage orienté vers le bas. Remontant à la surface, j’attrapai son pied.

-Il fait chaud, tu viens?

Bien que ma vision n’était pas à 360 degrés, je pouvais sentir le regard des quelques personnes à la piscine, probablement intrigué de voir deux personnes parler le russe, surtout en territoire japonais. Mon ouïe me permit même d’entendre deux enfants se chuchoter.

-Qui c’est, eux?
-Je sais pas, ils parlent bizarre.
-Ouais, genre Bleubleh bla bli bou!


Tout ce qu’un humain n’aurais pu entendre, ce sont les deux gamins éclater de rire, avant de fermer leur clapet de terreur, alors qu’ils virent que je les regardaient, un petit sourire aux lèvres.
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le jeudi 20 juin 2013, 17:33:55
L'homme venait de poser ses lunettes sur le nez de la jeune fille, profitant de l'occasion pour jouer avec ses mèches. Maelie quant à elle, profita du compliment pour jouer la coquette, tournant la tête sous tous les angles en riant, avant de lui mettre une petite tape sur les abdos, du dos de la main.

"J'espère que tu dis pas ça parce que t'aimes pas mes yeux, hein !"


Elle le regarde glisser dans l'eau et remonter pour lui saisir la cheville, tel un monstre marin qui voudrait l'emporter sous l'eau pour la dévorer. Cette idée la fait rire intérieurement. Elle adore ce genre de petits manèges ; "tu me touche, je te touche, plus tu oses, plus j'ose...". Elle a bien envie de se mesurer à lui, physiquement.

"Attend ! Tes lunettes !"

Elle se lève et s'en va d'un pas sautillant poser le bien de son nouvel ami sur la chaise longue qu'il occupait cinq minutes auparavant, puis revient pour se jeter à l'eau juste à côté de lui, se laissant couler jusqu'à ce que ses pieds touchent le fond. Elle prend appuie et se propulse vers le haut, agrippant les jambes de Ketake, dans le but de le renverser.

Son méfait accompli ( ou pas ), elle sort la tête de l'eau en lançant un sourire provocateur au professeur d'EPS. Y'aura-t-il des représailles ?...
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le vendredi 21 juin 2013, 21:50:22
Alors que je continuais à regarder les enfants de mon air le plus sadique possible, jusqu’au moment où je sentis ma cheville être entrainée par-dessus  mon corps, me faisant basculer vers l’arrière.

Complètement immergé, je secouai la tête histoire de reprendre mes esprits, quand je vis une paire de jambes gracieusement onduler, tenant leur propriétaire à la surface. Un petit sourire en coin. Elle voulait s’amuser ? J’allais aussi m’amuser…

J’attrapai soudainement ses deux jambes pour la tirer d’un coup vers moi, enroulant mes jambes autour des siennes, mes bras bloquant les siens. Même si j’avais bien envie de la noyer, l’empêcher de prendre une bonne bouffée d’air, l’humain en moi me disait que ce n’était pas une très bonne idée. Trop de témoins.

Donc, d’un sourire rassurant,  je nous laissai flotter jusqu’à la surface, la relâchant au moment où l’air emplissait nos poumons.  Reprenant un peu de distance entre nous deux, je laissai échapper un rire faussement gêné de mes lippes, faisant mine de souffler pour reprendre un souffle normal.

- Ha…ha…. Désolé si je t’ai fait peur! J’ai tendance à trop en faire, quand je m’y mets!

Nous restâmes quelques heures, à s’arroser, se tourner autour, jouer le jeu de séduction qu’est le chat et la souris… Quand le soleil fit place à la lune, temps pour moi de conclure ma chasse. Par ailleurs, mis à part les maîtres-nageurs, il n’y avait plus grand monde!

-Je suis content de t’avoir rencontré, Maelie…  Mais il se fait tard et j’entends déjà mon rat couiner pour avoir sa nourriture… Peut-être qu’on pourrait se refaire une journée comme ça?

D’un sourire, j’attrapai le dos de sa main, glissant mon autre contre la sienne prise, paume contre paume, mes doigts repliés entre ses jointures. Un doux baiser sur les joues, nos commissures de lèvres se touchant.
Je finis par quitter l’eau, prenant bien soin de regarder la jeune femme derrière mon épaule à quelques reprises. Je fis même exprès d’oublier mes lunettes sur la chaise, tellement mes esprits étaient ailleurs.

Le vestiaire des hommes, enfin seul. Étirant un sourire satisfait, je retirai mon maillot de bain en nylon, le tissu qui colle sur la peau, pour attraper  une serviette et une bouteille de shampoing-gel douche, qui traînaient avec mes affaires. Quelques secondes plus tard, j’entrai dans une grande pièce circulaire, faite entièrement avec du carrelage blanc et vert, ornée de plusieurs pommeaux de douche, à un ou deux mètres chacun des autres, sans panneau pour cacher les occupants. Après tout, nous sommes entres hommes… Enfin, grand mot, car j’étais seul.

Je me choisis un emplacement, laissai la serviette sur une petite étagère faite de grillage juste au-dessus du pommeau et actionnai l’arrivée d’eau, la bouteille de gel gisant sur le sol. D’un petit mouvement vers l’avant, je posai mes deux mains sur le mur, la tête entièrement sous l’eau, la grande majorité de l’eau de piscine, pleine de chlore, coulait de mes mèches et de mon visage dans un filet blanchâtre.

L’eau chaude laissait une fumée blanche s’élever au plafond… Enfin, une température confortable pour le sang froid de Zero.
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le dimanche 30 juin 2013, 21:08:40
La farceuse prit une bouffée d'air au moment d'être entrainée sous l'eau. Elle s'y attendait un peu. Elle se débattit alors que son adversaire l'entrainait vers le fond, mais celui-ci, plus fort et plus habile, prit facilement le dessus et la ceintura. Il la garda prisonnière sous la surface de l'eau pendant quelques secondes, et Maelie lui tira la langue d'un air de défi. Elle n'avait pas vraiment peur, bien que le jeune homme la maintînt depuis un certain temps sous son emprise et qu'il lui semblât distinguer une pointe de cruauté dans son sourire. Elle gigota les membres dans tout les sens en grimaçant, dans une imitation potache d'un asphyxie agonisant, avant de se détendre en laissant sa tête balloter, la langue pendante et les yeux révulsés. Elle cédait devant cette simulation de mise à mort qui faisait germer en elle un plaisir malsain.

Finalement son tortionnaire la ramena à la surface, et elle put à nouveau respirer. Quelques secondes de plus, et le manège serait devenu effrayant pour de vrai.

- Ha…ha…. Désolé si je t’ai fait peur! J’ai tendance à trop en faire, quand je m’y mets!
- Non non t'inquiète pas...


Elle avait répondu en riant, une main agrippant le bord de la piscine pour reprendre son souffle. Leur joute se prolongea encore quelques heures,  pendant lesquelles Maelie avait l'impression d'être une proie narguant son prédateur alors même que celui-ci est à deux doigts de la dévorer. A vrai dire cette situation  l'excitait au plus haut point, jusqu'à la rendre quelque peu fébrile dans ses gestes et ses paroles. Son corps hurlait de désir, et elle ne cessait de minauder, espérant qu'enfin il passe à l'action, qu'il l'embrasse, ou qu'il lui propose de lui faire visiter son appartement, comme ils finissaient tous par faire. Cela faisait au moins deux heures qu'elle lui lançait des appels tacite, et il ne semblait pourtant pas disposé à la soulager. Pourtant elle était sûr qu'il comprenait, vu la manière dont il jouait avec elle. Elle bouillonnait intérieurement.

-Je suis content de t’avoir rencontré, Maelie…  Mais il se fait tard et j’entends déjà mon rat couiner pour avoir sa nourriture… Peut-être qu’on pourrait se refaire une journée comme ça?


Il lui prit la main et l'embrassa sur la joue. Frustration.

-Oui... Je suis ici tous les samedis...

Bon, c'était la première fois qu'elle venait ici, mais elle reviendrait bien dans une semaine si elle pouvait le recroiser. Elle le regarda s'éloigner avec un sourire contrit. Et merde pourquoi ?! Elle était seule avec un maitre nageur occupé à ranger du matériel. Cédant à une impulsion, elle descendit la main jusqu'à son entre-jambe et pressa son clitoris à travers son maillot, avant d'y exercer quelques frottements en soupirant discrètement par le nez. Cet attouchement ne fit qu'intensifier son envie ; elle se forca donc à arrêter. Elle allait rentrer chez elle et elle pourrait se laisser aller ; c'était surement mieux ainsi. Elle se hissa brutalement hors de l'eau et se dirigea vers sa serviette qu'elle ramassa. Elle allait se diriger vers le vestiaire des femmes quand elle aperçut les lunettes de soleil posées sur la chaise. Elle hésita quelques secondes, le cœur battant ; c'était l'occasion de retourner lui parler.

Enfin elle se saisit de la pair et se dirigea d'un pas nerveux dans le vestiaire masculin. Elle pouvait entendre l'eau des douches couler : c'était forcement lui, les autres nageurs ayant quitté les lieux depuis un moment déjà.

-Ketake ! T'as oublié tes... OH !


Elle se retourna subitement, surprise par la nudité du jeune homme ; les femmes prenaient leur douche en gardant leur maillot de bain, en général. Il ne lui était pas venu à l'idée qu'elle pourrait le trouver en tenue d'Adam. Elle bafouilla gênée ;

- Désolée... t'as oublié t'es lunettes... au bord de la piscine... alors du coup... voilà.
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le lundi 15 juillet 2013, 21:41:06

Un petit cri de surprise me tira de ma rêverie. Me retournant d’un bon, je vis la jeune russe, les joues aussi rouges que ses cheveux,  une main me tendant ma paire de lunettes et l’autre cachant ses yeux.

Lentement, je pris ma paire de lunettes, ouvrit les branches et les posai devant mes yeux. Un petit sourire aux lèvres, je pris ses deux poignets, baissant tranquillement ses mains. L’une d’entre elle fit amenée à mon phallus, déjà semi-dur, et l’autre conduite à mes burnes, puis je laissai ses mains seules. Je savais très bien qu’elle n’aurait pas le courage d’aller contre ses envies.

-Tu n’as pas à être désolée… Tu peux sentir du bout des doigts comme je suis content que sois là! Et je suis sûr que tu es aussi heureuse de me trouver dans cette position…

Mes mains glissèrent le long de ses bras, jusqu’aux épaules, où je pris les bretelles de son maillot, les glissant chacune de leur côté, jusqu’à ce que le vêtement ne laisse apparaître les deux montagnes de plaisir.

Sans un mot, je glissai ma bouche à son cou, l’embrassant, le léchant, le mordillant, tandis que l’une de mes mains caressait un sein.

-On a assez joué dans l’eau, j’ai besoin de quelque chose de plus cru, désormais.
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le lundi 15 juillet 2013, 23:57:58
Maelie entendit Ketake s'approcher d'elle sans dire un mot. Les lunettes furent prises de sa main tandis qu'elle attendait, immobile, la suite des évènements, partagée entre la peur que la situation dégénère et... le désir qu'elle dégénère. Il se saisit de ses poignets, et alors que sa main quittait ses yeux, elle fixa, presque effrayée, le visage de Ketake qui souriait toujours d'un air carnassier. Elle tremblait littéralement de peur et d'excitation.

" Attend ! ..."


Il dirigea sa main vers son sexe qui commençait déjà à se dresser, et qu'elle pouvait sentir durcir un peu plus à chaque instant entre ses doigts. Elle perdit le contrôle de sa respiration, avouant malgré elle qu'elle était déjà à lui ; il était trop tard pour faire semblant de toute façon... il découvrit ses seins puis s'attaqua à sa gorge, et elle bascula la tête en arrière en soupirant de plaisir, passant sa main libre sur sa nuque pour l'encourager.

" Attend Ketake !... pas ici..."


Ses paroles et ses actes étaient quelque peu contradictoires ; sa main droite elle aussi commençait déjà des va et vient sur l'organe durcissant de Ketake... elle adorait cette sensation... cette verge dont la taille et la chaleur toujours croissantes témoignaient du désir qu'il avait pour elle. Désir qu'elle lui rendait au centuple ; elle le voulait, et elle le laisserait agir quoi qu'il fasse, ici ou ailleurs, maintenant ou dans une heure. Le pénis de son futur amant était maintenant presque totalement en érection, et elle le masturbait en haletant. Elle faisait une énorme connerie, elle le savait, mais elle ne pouvait pas s'arrêter. Comme une femme au régime qui ne peut s'empêcher de plonger la main dans le paquet de chips devant elle.

Elle n'avait pas envie de chips bien sûr... elle avait envie qu'il la baise, qu'il la dévore, qu'il l'écrase, de son corps contre le sien et de sa bite entre ses reins.
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le mardi 16 juillet 2013, 02:46:39
Ses agissements contrastaient avec ses paroles, ce qui me faisait bien sourire! Ses mains étaient habiles, rendant mon barreau bien dur et long, juste pour elle, dont le corps réclamait ce genre d’attention plus tôt, dans la piscine.

-Tu me dis de ne pas faire ça, mais ce n’est pas moi qui te force à faire ce que tu fais…

D’un mouvement soudain, sans être trop brutal, je la retournai dos à moi, avant de coller ses seins contre le mur le plus près. L’œil magique du pommeau de douche, détectant notre mouvement, fit actionner l’eau chaude, coulant sur nos corps, déjà bien humides et chauds.

-Les gestes sont souvent plus éloquents que les mots, chère Anasthasia!

Mon phallus glissait entre les cuisses de ma partenaire, caressant les lèvres intimes, cachées derrière le vêtement de natation, m’arrachant quelques soupirs de satisfaction. Une main sur sa hanche, l’autre contre sa nuque, je lui fis tourner la tête vers l’arrière pour l’embrasser goulument, violant l’intimité de sa bouche avec ma langue.

-Ose me dire que ce n’est pas ce que tu veux, de m’avoir en toi!

Soudain, des voix s’étaient élevées un peu plus loin.  Des hommes. Ils n’étaient pas encore dans les vestiaires, mais ça allait venir. Mes caresses de bassin s’arrêtèrent, alors que  je me mis à mordiller son lob d’oreille, lui murmurant en toute confidence :

- Tu veux continuer ça ici avec l’excitation du risque de se faire prendre? Ou tu préfèrerais qu’on continue ça  ailleurs?
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le mercredi 17 juillet 2013, 22:10:18
Maelie ne résista pas lorsque Ketake la fit pivoter et la plaqua contre le mur de la douche ; les gestes assurés et autoritaires de cet homme ne faisait qu'augmenter encore sont désir, tout comme l'imminence de la fornication. Elle porta les fesses en arrière, dans le but de les frotter au sexe dressé dans son dos. Le propriétaire de l'organe, ayant une intention similaire et compatible, glissa celui-ci entre les cuisses de la jeune fille. L'eau se mis à couler sur eux, arrosant le bas de son dos et sa queue de cheval, tandis que le haut de son corps, plaqué contre le mur, restait pour l'instant au sec. Le va et viens de la verge sur son entre-jambe caressait agréablement ses lèvres à travers son une-pièce ;  elle ne tarda pas à abaisser la main gauche et à la poser sous le sexe qui taquinait le sien, appuyant sur la verge et en accompagnant le mouvement, afin d'accentuer le frottement de leurs intimités. Sur la pointe ses pieds pour tenter vainement de compenser sa petite taille, le cul tendu, elle bougeait lentement les hanches, en rythme avec celles de Ketake. Les gestes étaient en effet plus éloquents que les mots.

Elle ferma les yeux lorsqu'il tira sa tête en arrière, pour se protéger du jet d'eau, et répondit à son baiser avec passion, le laissant pénétrer à sa guise dans son orifice buccal.

"Je... je veux t'avoir en moi..."

Elle avait prononcé cette phrase d'une voix tremblante qui mêlait provocation et timidité. Oui, elle le voulait, là tout de suite, plaquée contre cette parois de carrelage froid... des voix masculines la firent sursauter ; elle redressa la tête, tout son corps tendu, immobile, tel un animal aux aguets. Elle répondit finalement, d'une voix à peine audible où pointait la panique :

"Ils vont nous voir ! ... Il faut... une cabine..."
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le jeudi 18 juillet 2013, 00:56:57

-Une bonne idée... Malheureusement, il n’y a aucune cabine dans le vestiaire des hommes! Mais viens, on va aller chercher tes vêtements!

D’un petit sourire je la quittai, causant un léger manque au niveau du bassin, pour sortir la tête de l’entrebâillement de la douche, faisant un signe à Anasthasia d’attendre une minute. Un petit ‘’Salut’’  sortit de ma bouche, m’adressant à deux mecs qui passaient par là. Mecs qui s’arrêtèrent aux urinoirs, nous faisant dos.  D’un petit geste rapide, j’attrapai le poignet de la fille russe,  l’entrainant rapidement à ma suite et en silence, laissant les deux mecs évacuer en paix.

D’un rapide geste, j’attrapai ma serviette, l’accrochant autour de ma taille, pouvant ainsi cacher mon érection d’enfer… Laissant la jeune femme ajuster son maillot de bains, il faut dire que je lui avais découvert ses montagnes alors que nous étions seuls, je sortis des vestiaires,  marchant près de la piscine.

Alors que nous marchâmes côte à côte,  je glissai ma main dans la sienne… Un humain moyen aurait pu croire que j’étais romantique, mais il n’en était rien. La nature bestiale d’un animal doit toujours exposer ses trophées, mais aussi assurer sa dominance sur sa partenaire. Comment peut-on dominer en prenant simplement la main d’une femme? Simple : la main sur le dessus caractérise la domination, le pouce sur le dessus aussi… Et j’avais les deux positionnements du dominant.

Après nous être assurés de ne pas avoir été vus,  nous entrâmes dans le vestiaire des femmes. Vide. Après m’être assuré qu’il n’y aurait personne, fermé et verrouillé les portes, je me retournai vers la jeune femme, laissant tomber ma serviette au sol.

-Je crois que nous n’aurons pas besoin de nous cacher dans une cabine… Alors, où en étions nous?... Oh et une dernière chose...

Je m'approchai, retirant les lunettes accrochées à mon visage, je les retournai, les apposant devant les yeux de ma partenaire.

- Comme dit, je trouve qu'elles te vont mieux à toi!
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le jeudi 18 juillet 2013, 11:26:07
La jeune fille attendit que Ketake fasse les repérage, tout en remontant nerveusement son maillot de bain. Lorsque celui-ci l'entraina, elle s'élança derrière lui sur la pointe des pieds, et lorsqu'ils furent sortis du vestiaire, elle laissa échapper un rire de soulagement, repensant à la situation à laquelle ils venaient d'échapper. Ketake se saisit de sa main, et elle fut quelque peu surprise par ce geste empreint de douceur qui contrastait avec son attitude précédente. Elle s'y abandonna un peu, et tout en marchant au côté de son mâle, elle agrippa son bras à l'aide de sa deuxième main et déposa une série de baisers sur son épaule.

Une fois dans le vestiaire féminin, Ketake laissa retomber sa serviette, attirant le regard de la petite succube sur son sexe toujours en érection ; leur calme relatif à tous les deux donnait à la scène quelque chose de très simple et explicite. Maelie, elle, ne se découvrit pas ; elle aimait trop la sensation d'être mise à nue par des mains étrangères pour prendre cette initiative.

Ketake posa à nouveau les lunettes sur son nez, et elle se mit à glousser ; amusante référence à leur jeu précédent. Soudain, elle était prise d'une furieuse envie de sentir leurs lèvres se caresser : elle posa ses avants bras sur les épaules de son homme et se hissa pour embrasser ses lèvres, presque timidement, puis avec de plus en plus de fougue, alors que son désir s'embrasait à nouveau à ce contact. Elle se serra à lui avec force, et se mit à frotter le bas de son ventre sur le sexe en érection coincé entre leurs deux corps. Elle finit par rompre le baiser, et, se cambrant en arrière pour pouvoir le regarder, elle lança avec un sourire provocateur :

"C'est vrai, mais j'ai peur de ne pas me sentir vraiment nue quand tu m'auras déshabillée..."

Maintenant qu'elle se sentait en relative sécurité, son vêtement lui semblait plus que superflu : tout juste bon à atténuer les sensations de leurs corps glissant l'un contre l'autre et celle, délicieuse, d'être vulnérable face à l'homme qui allait bientôt la prendre.
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le mardi 23 juillet 2013, 17:09:50
Mes bras autour de sa taille, je rendis son baiser tantôt délicat, tantôt fougueux. Séparés, je ne pus retenir un soupir d’aise, alors que je pouvais sentir chaque veine de mon membre pulser sous la pression qu’Anasthasia  exerçait avec son bas-ventre…

Peur de ne pas se sentir nue à cause de mes lunettes? Je me mis à rigoler… En espérant que ce soit une blague, car elle se sentira très nue une fois que je lui aurai retiré son maillot, et ce sera beaucoup plus plaisant…

-T’inquiète, tu seras tout aussi nue, et ça ne changera rien au plaisir que tu vas ressentir!

Mes deux mains prirent les extrémités supérieures de son maillot, avant de les glisser vers le bas, doucement. À chaque morceau de peau découvert, je l’embrassai. Pour un humain, c’est doux, c’est plaisant, mais pour une bête comme moi, cette lenteur est l’équivalent d’enfoncer une épée rouge de chaleur dans la chair, rendant chaque douceur insupportable, tant le coït est la seule chose que je désirais.

Je m’étais arrêté au niveau des seins, les pétrissant, suçotant chaque mamelon pendant quelques secondes,  puis reprenant mon chemin de baisers jusqu’à ce que j’atteigne le pubis, passant ma langue dessus.  Par la suite, je laissai simplement tomber le maillot jusqu’aux chevilles.

Je me relevai et, sans grands efforts, je la soulevai, son vêtement retombant sur le sol sans bruit. Dans cette position, je pouvais sentir mon gland frotter contre l’intimité de la rouquine, mais je n’avais pas l’intention de la prendre ainsi… Enfin, pas pour l’instant.

Il y avait un banc en bois… Bon, rien de bien confortable, mais pour ce que nous allions faire, il aurait pu y avoir un tapis de clous remplaçant le parquet que ça serait aussi confortable. La déposant sur le dos, je glissai une nouvelle fois ma langue dans sa bouche, dans un nouveau baiser fougueux et bestial.

Je descendis d’un étage, me retrouvant au niveau de ses cuisses, écartant légèrement ses genoux. Un regard vers la jeune femme, un sourire amusé aux lèvres, je me mis à embrasser les cuisses, de chaque côté, histoire de la rendre folle d’impatience. Je glissai aussi ma langue sur les lèvres, de manière douce… La passant autour de son intimité.

Je pouvais voir qu’elle avait envie, elle avait de la difficulté à ne pas hurler qu’elle en voulait plus… D’un petit sourire, je passai un doigt sur le dessus de son intimité, pouvant constater que c’était déjà bien chaud et humide, ici bas…

-J’espère que tu n’es pas trop impatiente? Que veux tu que je te fasse? J’aimerais te l’entendre dire!
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le mercredi 24 juillet 2013, 15:37:14
Maelie abaissa ses bras le long de son corps pour permettre à Ketake de la dépouiller de son maillot de bain. Elle frémissait à chaque baiser qu'il déposait sur sa peau fraichement découverte, et lorsqu'il s'attaqua à sa poitrine, elle ne put retenir des soupirs d'excitation, fermant les yeux pour mieux sentir ses tétons aspirés. Lorsque son vêtements fut retroussé jusqu'à sa taille, elle put enfin libérer facilement ses bras pour aller caresser avidement la nuque et les épaules de Ketake : elle haletait et tremblait un peu plus à chaque centimètre suplémentaire qu'il dévoilait de son corps. Sa bouche se promena sur son bas ventre avant d'atteindre son sexe ; elle poussa un petit gémissement suppliant lorsque Ketake y passa sa langue avant de se retirer.

Il la souleva, et elle se laissa porter, nue à présent ; elle pouvait sentir son organe tendu par le désir frotter son sexe tandis qu'il la maintenait contre son buste puissant ; il la déposa sur un banc, et tandis qu'il l'embrassait elle l'enlaça à nouveau pour le serrer contre elle. Elle pensait qu'il avait l'intention la prendre tout de suite, et en vérité elle était prête à l’accueillir, mais il se dégagea de son étreinte pour jouer encore avec elle, se glissant entre ses cuisses pour les embrasser. La chatte offerte, elle le fixait à travers ses verres teintés, tandis qu'il embrassait ses cuisses, lui arrachant de brefs gémissements d'incitation. Il porta enfin la bouche au sexe de la jeune fille pour le provoquer à nouveau, sans vraiment en toucher les chairs sensibles. Le visage rosi par le désir, elle attendait qu'il se décide enfin à passer aux choses sérieuses, quelles qu'elles soient.

-J’espère que tu n’es pas trop impatiente? Que veux tu que je te fasse? J’aimerais te l’entendre dire!
-Je veux que tu me ... tu me..."


Ils savaient tous les deux pertinament ce qu'elle voulait, cependant, pour une raison étrange, le dire clairement était réellement intimidant. Elle n'osait pas terminer sa phrase, mais il continuait à la regarder en souriant et ne semblait pas avoir l'intention de céder.

-Je veux que tu me... lèche... la chatte...

Difficile de dire les choses autrement, à moins d'employer des tèrmes médicaux ; elle n'avait pas employé des mots aussi crus depuis des années, à une époque où il ne s'agissait que de blagues de récréé. Pourtant elle en retirait une excitation terrible, comme s'il continuait à la déshabiller alors qu'elle était déjà nue. Elle remonta la paire de lunettes au dessus de son front à la manière d'un serre tête : maintenant il pouvait voir ses yeux tendis qu'elle les plongeait dans les siens.

-S'il te plait... je suis à toi.

De sa main droite elle s'agrippait au banc pour ne pas perdre l'équilibre, tandis que sa main gauche, machinalement, s'était posée sur sa poitrine et commençait à la masser.
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le vendredi 26 juillet 2013, 16:16:47

-Que de mots crus pour une si belle femme....

Voilà comment faire un petit clin d’œil à la première fois qu’on s’est parlé, il y a de ça quelques heures.  Un petit sourire amusé aux lèvres, j’embrassai une dernière fois chaque cuisse. J’avais bien aimé l’hésitation à dire sa dernière phrase, la timidité qu’il y avait eut dans sa voix. Pour moi, symbiote, dire ce genre de chose n’est rien, la libido et la vulgarité d’un membre de mon espèce dépasse largement celle d’un acteur de films pornos.

-Bien, si c’est ce que tu veux!

Après avoir passé ma langue quelques coups sur ses lèvres, j’entrai dans le vif du sujet. Caressant les parois à l’aide de ma langue, je stimulai le clitoris avec mon index droit, pour mettre encore plus de rouge sur ses joues, et de mouille ici bas!

Désormais, elle ne pouvait plus voir ma langue, alors je lui fis gagner quelques centimètres, lui permettant d’atteindre une profondeur légèrement plus lointaine qu’une langue normale. La sensation devait être bonne pour la rouquine, car je la sentais se cambrer sous mes mains qui caressaient son abdomen.

De temps à autres, je sortais ma langue de son intimité pour titiller sa petite boule de chair orgasmique, passant le bout de ma langue dessus, ou encore en l’entourant de mes lèvres…

D’un coup, je me relevai quittant son entre jambe pour me retrouver debout, à côté d’elle. Je me penchai, l’embrassant de manière bestiale. Peut-être n’aimerait-elle pas le goût de sa cyprine, mais je m’en contrebalançais. Puis, après le baiser, je me relevai, brandissant mon barreau de chair à son visage.

-Tu as aimé ce que je t’ai fait? Maintenant c’est à ton tour de me donner du plaisir… Suce ma queue… S’teuplait?

Les formes de politesses n’avaient pas vraiment lieu d’être, mais j’aimais bien dire ça, histoire de mettre une note de légèreté, une plaisanterie qu’on dirait pendant un froid lors d’un dîner de Noël avec la famille.

Ma main droite avait glissé le long de son corps, pour se retrouver à caresser son intimité, particulièrement humide d’un mélange de salive et de mouille, qui me donnait envie de me foutre directement dedans… Mais tout viens à point à qui sait attendre, non?
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le vendredi 26 juillet 2013, 21:56:38
Il plongeait enfin dans son intimité ; elle laissa sa tête retomber et ferma les yeux, tandis que la langue de Ketake caressait l'entrée et l'intérieur de son sexe, lui arrachant des soupirs de bien-être. Un doigt stimulait son clitoris, tandis que la langue s'enfonçait de plus en plus profondément... comment ?... comment une langue pouvait-elle entrer aussi loin ? C'était la première fois qu'elle subissait une telle caresse, étrange et jouissive : elle ondulait légèrement les hanches en poussant de doux grognements pour manifester à son amant le bonheur qu'elle retirait de ses attentions. Celui-ci s'arrêta un peu trop vite à son goût, venant l'embrasser, lui faisant goûter à sa propre intimité, dans une attitude dominatrice face à laquelle elle s'abandonnait avec joie.

Il approcha son sexe fièrement dressé et, avant même qu'il ait prononcé le moindre mot, elle l'avait déjà saisi d'une main et s'était redressée pour poser ses lèvres sur le gland offert. Elle sourit à sa remarque et leva les yeux vers lui, sans répondre, à la fois trop intimidée et trop excitée pour faire de l'humour ; bien sûr qu'elle allait faire ce qu'il souhaitait. Elle ne voulait surtout pas le décevoir.

Elle sortit sa petite langue rose et la fit glisser sous la pointe de la verge, effectuant de petits aller-retours qui amenaient chaque fois le gland un peu plus dans sa bouche, jusqu'à ce qu'elle puisse le capturer entièrement. Elle referma enfin les lèvres, enrobant cette chair sensible le plus délicatement qu'elle pouvait, tandis que sa main commençait à masturber lentement la partie émergée de la verge. Tandis qu'elle le suçait avec précaution, elle sentait ses doigts la caresser à nouveau, et elle soufflait bruyamment par le nez, produisant des gémissements étouffés dans sa bouche par la queue qui obstruait la sortie. Donner du plaisir dans ces conditions était difficile : elle était en position précaire sur le banc, déconcentrée par les attouchements... elle décida de sacrifier son propre plaisir, et se mit à genoux en face de son homme, avant de gober à nouveau son sexe.

Elle ne devait pas être la plus douée pour ça, c'est vrai, car elle n'avait pas tellement d'expérience dans le domaine. Mais elle espérait bien compenser tout cela par la force de la bonne volonté ; elle le suçait avec dévotion, à l'écoute de la moindre de ses réactions, se délectant de sentir son gland gonfler lentement dans sa bouche. Tandis que la jeune succube, les yeux fermés, poussait de petits gémissements à peine audibles, elle même emportée par le plaisir qu'elle s'appliquait à donner, sa main bougeait de plus en plus vite, accélérant par à-coups avant de ralentir, pour repartir de plus belle.

Tout en s'activant, elle glissa amoureusement sa main gauche sur le buste de Ketake, jusque sous ses pectoraux, comme si elle l'invitait à s'en saisir.
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le mercredi 21 août 2013, 18:06:07

Un gémissement sortit de ma bouche aussitôt qu’elle se mit à lécher ma hampe. J’attendais depuis si  longtemps qu’elle me semblait beaucoup plus sensible qu’à son habitude. Cependant, quelque chose semblait tracasser la jeune femme; elle s’arrêtait fréquemment, poussant des gémissements étouffés, je pouvais même sentir son corps se balancer, comme si son équilibre n’était que plus ou moins stable…

Ce devait être ça, car elle quitta sa position sur le banc pour se retrouver à genoux, en face de moi, mon sexe toujours dans sa bouche. Elle se mit alors à reprendre sa besogne,  faisant des va-et-viens plus constants. Elle ne semblait pas avoir l’habitude de faire ce genre de chose, la technique était quelque peu brouillonne, mais elle y mettait tout son cœur, changeant de vitesse par moments aléatoires, me faisant pousser quelques soupirs d’aise.

Alors que ma main gauche était sur sa nuque,  je pus sentir sa main venir caresser mon abdomen, pour redescendre à mes cuisses. Mon regard s’orienta vers le visage de la jeune femme, où le sien était déjà vers le haut, le visage allongé et les joues creuses de la fellation pratiqué.

Elle se mit à caresser ses seins, toujours me regardant, pour m’inviter à m’en saisir, chose qu’elle ne me demanda pas deux fois! Ma main occupée libéra la nuque de ma partenaire, pour aller se poser sur sa poitrine, à l’aide de sa comparse. Je dus fléchir les genoux pour les prendre dans mes mains, pour finalement étendre les jambes, remontant les seins fermes d’Anasthasia.

Je les malaxais comme je pouvais, à bout de bras…  Certes, j’aurais pu allonger mes bras de quelques centimètres, mais ça n’aurait pas aussi bien passé qu’avec la langue, vu qu’elle ne l’a pas vu s’allonger, mais les bras…

-oh…oh… pas bon… J’vais venir!

Le visage crispé, je levai la tête au ciel, alors que mon barreau de chair relâcha l’épais liquide blanc, ma bouche sortant un gémissement. Alors que je baissais la tête vers la rouquine,  je lui souris, l’attrapant par les hanches pour la soulever, nos visages se rencontrant enfin une nouvelle fois.

-Désolé, j’ai foiré…

D’un petit mouvement vers l’arrière de sa tête, je murmurai au creux de son oreille :

-J’espère que ça ne t’as pas déplu au point que tu ne veuilles plus de moi?
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le lundi 26 août 2013, 10:02:30
La petite succube continuait son office avec plaisir, gémissant, du fond de sa gorge, en rythme avec Katake. Elle se sentait grisée par le plaisir qu'elle lui procurait, heureuse d'être la responsable de son bien-être, totalement dévouée à son homme et à ses réactions. Elle récoltait sur sa langue et avalait chaque goutte du liquide salé qui s'échappait de ce sexe turgescent comme le plus sincère de compliments...

Dans cette situation, une palpation mammaire effectuée avec délicatesse ne pouvait être qu'un bonus appréciable, et qui plus est, lorsque cette caresse nécessitait de sacrifier une position confortable pour une plus précaire, touchant. Le professeur d'éducation physique semblait lui aussi mettre un point d'honneur à combler la jeune fille, et celle-ci n'en était que plus disposée à s'offrir à lui de son mieux. Les tétons gonflés d'excitation au creux des paumes de son partenaire, elle se mit à accélérer ses mouvements de plus belle, plus fébrile qu'auparavant, comme si le temps lui était compté.

L’avertissement de Ketake vint un peu tard, et Maelie se laissa surprendre par le premier jet de semence, qui se déversa dans sa bouche ; elle se retira, par réflexe, l'orgasme du jeune mâle souillant son visage de sa substance chaude. Elle n'avait pas cessé de le masturber, et l'astiquait maintenant avec passion et frénésie ; elle avait dans un premier temps cédé à un réflexe d'hygiène en interrompant sa fellation, mais son amour du travail bien fait la rappela vite à son devoir, et elle goba à nouveau le gland qui déversait encore son liquide crémeux, accompagnant son amant dans ses derniers sursauts de jouissance. Elle voulait que cet orgasme soit le meilleur possible, qu'importe si pour cela elle devait avaler un peu de sperme - ce qu'elle fit sans trop de peine, malgré le goût et la texture peu encourageants, trop heureuse de sentir son amant jouir dans l'intimité de sa bouche.

Enfin elle relâcha son emprise sur la verge et se laissa relever, souriant à l'excuse de Ketake, émettant un petit gloussement en sentant son souffle sur son oreille. Elle ne lui en voulait pas, bien sûr. Elle même, prise dans le feu de l'action, n'avait pas tenu compte de son propre plaisir, même si une minute auparavant elle n'aspirait qu'à être saillie sauvagement. Maintenant elle était plus calme, un peu comme si elle avait joui à travers lui, mais son désir n'en était pas moins présent. Elle lui répondit sur un ton amusé :

"C'est pas grave... mais je suis toute sale maintenant..."

A vrai dire elle n'avait pas vraiment envie de voir à quoi elle ressemblait, avec ses larmes de pine sur les joues. Elle se pencha un peu en arrière pour s'essuyer la frimousse, avec autant de soin qu'il est possible de le faire en trois secondes et du revers des doigts, puis elle enlaça la taille de Ketake pour mieux se coller à son corps athlétique. Elle aurait menti si elle avait affirmé ne pas être légèrement frustrée, mais elle savait d'expérience que les hommes, après avoir lâché la sauce, n'étaient plus bon à grand chose pour un moment. Même lorsqu'ils tentaient de "terminer le travaille" avec la bouche ou les doigts, la jeune succube pouvait sentir que la passion n'y était plus. Mais elle ne comptait de toute façon pas laisser son prédateur lui filer entre les doigts ; elle en avait encore trop envie. Pour l'heure elle se contentait du contact de leurs corps nus en embrassant passionnément son cou, mais elle espérait bien qu'au final il la baiserait avec la sauvagerie qu'elle avait cru déceler en lui ; chez elle, chez lui, ou dans n'importe quel autre lieu approprié, peu importait.

"J'attend quand même que tu te rattrapes hein, dès que tu t'en sentiras prêt..."

Elle lui adresse un sourire joueur, avant de déposer un bref baiser sur sa lèvre inférieur, puis le fixe de ses yeux brillants de convoitise.
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le jeudi 31 octobre 2013, 06:52:31
Cette vision d’elle devant moi, dans un tel état  me rendait moi aussi dans un autre état  très différent de celui que j'étais plus tôt  c’était un tout autre niveau de luxure. Ce n’était plus que j’avais envie d’elle, j’avais besoin d’être en elle, a un point tel que tout mon être en tremblait.
 
Le problème, c’était que je ne pouvais pas la prendre maintenant; aucun homme normal n’aurait pu, après avoir joui autant, entrer en érection avant une bonne dizaine de minute, minimum. Autant cette envie pouvait être puissante, autant les chances de me faire prendre pour une simple imbécillité comme celle-la étaient grandes… Alors, bien que ce soit dur a réprimer  une érection  je devais faire en sorte qu’on degage d’ici, qu’on se retrouve seul, plus loin.
 
 
C’est a ce moment qu’elle m’offrit d’aller ailleurs, histoire de finir nos ébats  Merci, Anasthasia!  Un sourire étira mes lippes et une lueur reconnaissante alluma mes yeux, pour une pauvre fille qui ne savait pas de quoi j’étais reconnaissant, ni même qu’elle serait peut être sur ma carte des repas, et pas de la manière qu’elle voudrait… Mais ca reste encore a voir, si j’ai vraiment si faim.
 
 
-Bonne idée! Allons chez m…. toi. Si ce n’est pas trop loin!
 
J’allais vraiment l’inviter a venir chez moi, mais je me suis remémore la grande évasion de Scurry, mon rat expérience sur le symbiote… Je n’avais pas encore termine de réparer les murs défoncés qu’il avait fait… Restait juste a espérer qu’elle ne trouve pas mes paroles trop bizarres…
 
-Faudrait juste que j’aie chercher mes vêtements dans les vestiaires des hommes… Tu sais, l’endroit ou tu es venue me chercher pour qu’on s’amuse encore un peu?
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le mardi 04 février 2014, 15:24:15
"Oui ! Allons chez moi !"

Simplement, oui. Allons chez moi. Une phrase simple, ponctuée d'un baiser simple, pour réclamer la chose la plus primaire au monde ; Allons nous accoupler dans ma tanière.

Elle en profite encore un peu, tout de même, de son mâle. Elle ne le lâche pas immédiatement. Elle enfouit son visage dans son coup et l'embrasse sans but précis. Elle ne veut pas desserrer son étreinte, c'est tout, alors elle essaie de lui donner des raison de la garder encore un peu contre lui.

"Faudrait juste que j’aie chercher mes vêtements dans les vestiaires des hommes… Tu sais, l’endroit ou tu es venue me chercher pour qu’on s’amuse encore un peu?"

Elle relève la tête, la bouche en O, l'air à demi offusqué et plaque ses deux paumes sur les pectoraux du jeune homme pour le repousser en gloussant ( en fait, elle recule tout autant que lui, mais peu importe, après tout ).

"Tu parles ! Si j'avais su ce qui m'arriverait..."

Serait-elle venue quand même ?... Oui. En courant. Elle ne le précise pas, cela ne sert pas vraiment son propos...

"En fait, c'est toi qui a commencé..." ajoute-t-elle avant de lui tirer la langue d'une manière parfaitement mature. Et pour se donner un air détaché, elle lui tourne lentement le dos en roulant des hanches ; "Allez, file... je dois me laver et faire pleins d'autres trucs qui prennent du temps. Je suis une fille je te rappelle."

Elle jette encore un regard rieur par dessus son épaule et se dirige vers la douche sans se retourner. Ketake peut regarder ses fesses ou sa queue de cheval frétillante ( selon ce qu'il préfère ), pendant quelques secondes, avant qu'elle ne disparaisse derrière la cloison de la salle d'arrosage.

Arrivée là... elle se sent tout de suite moins maligne, ayant oublié de prendre son savon et son shampoing dans son casier. Pas question de se laver avec le savon qui pue de la piscine, surtout sachant ce qui l'attend après. Et pas question non plus de faire le chemin inverse sous les yeux de Ketake et d'avoir l'air d'une cruche. Elle appuie donc sur le bouton de la douche, pour faire comme si. Et puis elle attend une bonne minute, pour être sûre qu'il soit parti, avant de passer la tête dans le couloir du vestiaire ; la voie est libre. Son excitation n'est pas encore retombée, et c'est toute tremblante qu'elle va ouvrir son casier pour prendre ses affaires, puis retourne sous le jet.

...il faut bien frotter chaque endroit, surtout la tignasse. Que tout soit parfait. Rincer abondamment, relaver une deuxième fois, pour être sûre que cette odeur de chlore s'en va. Rendre au visage sa douceur, et au sein son gout original. Son cœur tambourine contre ses côtes. Dans une trentaine de minute ils seront chez elle. Ce sera comme une deuxième première fois, oui. Il y aura un jeu du chat de la souris, ils se tourneront autour, sachant très bien qu'à la fin... à la fin la souris se laissera attraper. Parce qu'elle n'a qu'une envie, depuis le début, c'est d'être mangée. Elle lui offrira chaque parcelle de son corps, et elle espère qu'il les traitera bien. Elle se savonne le ventre, imaginant que ses mains sont grandes et larges comme celles de son nouvel amant. Est-ce qu'il va aimer ce petit corps ? Évidemment, il y a déjà cédé la première fois. Elle sent déjà la bouche de son amant remonter le long dans son torse, depuis le nombril jusqu'à...

Oh putain, vite.


Elle frotte les moindre recoin de son anatomie avec frénésie, martyrise son cuir chevelu du bout de ses doigts, et se rince avec tout autant d'impatience. Ceci fait, elle use de son astuce habituelle : la téléportation. *Tchac* L’espace d'un dixième de seconde, deux jeunes filles se trouvent côtes à côtes dans la douche. L'une, de chaire et de sang, et l'autre, sa sculpture en gouttelettes, qui s'affaisse immédiatement et se désintègre sur le sol dans un *SPLASH*. Totalement sèche, elle se précipite vers son sac et en sort ses vêtements ; un short en jean près du corps, coupé en haut des cuisses , un débardeur blanc et une paire de sous vêtements assortis aux débardeur. Elle s’apprête à enfiler ces derniers, et puis... et puis non. Finalement, elle enfile la toile denim par dessus ses fesses nues, de même pour le débardeur, qui, en pleine lumière, pourrait laisser voir le rose de ses tétons à un observateur attentif. Heureusement, le jour commence à décliner, aucune des personnes qu'ils croiseront en chemin ne devraient s'en apercevoir... Un coup de peigne, puis elle refait sa queue de cheval en tirant tous ses cheveux en arrière, laissant uniquement sa frange lui chatouiller le dessus des sourcils ; on lui a souvent dit que cette façon de se coiffer lui donnait un air sexy... et sexy, c'est justement l'air qu'elle cherche à avoir. Enfin, elle enfile ses sandales à semelles plates ( elle va vraiment avoir l'air petite à côté de lui... ) et se précipite vers la sortie, les lunettes de Ketake accrochées par une branche dans son décolleté et le sac sur l'épaule. A chaque enjambée, le frottement du jean contre ses fesses et son pubis lui donnent la sensation qu'elle s'apprête à sortir de la piscine totalement nue... son rythme cardiaque s'emballe lorsqu'elle passe devant le guichet.

"Bonne soirée !
-Vous aussi mad'moiselle !"


Elle aperçoit le jeune homme à travers la porte vitrée ; elle pousse le battant et s'approche de lui, le rouge aux joues, en souriant comme une idiote. Lorsqu'elle arrive à sa hauteur, elle se met à tripoter ses poches du bout des doigts, hésitante, comme si elle avait peur d'avoir simplement rêvé leurs ébats d'il y a quelques minutes.

"Hum... je-j'ai récupéré tes... tes lunettes enfin tu les as laissées et-et les voilà. Hm. Onyvaenfinchezmoi ? C'est pas très loin. C'est euh genre, tu vois la rue qui fait euh genre...? Enfin non c'est bête j'vais te montrer. Huhu... Я глупый, чертов"
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le mardi 04 février 2014, 20:27:42

Alors que j’étais dans les vestiaires des hommes, je ne pus m’empêcher  de repenser à tout ce qu’on avait fait… Peut-être devrais-je aller moi aussi prendre une douche? Enlever l’odeur de sueur, de sperme et cyprine qui me caractérisaient, en ce moment. De plus, Anasthasia devait aussi aller sous la douche, et je n’avais pas vraiment envie de l’attendre trente minutes, sinon plus, juste devant l’entrée de la piscine municipale, alors aussi bien reprendre ce que j’avais commencé avant cet ébat…

L’eau coulait sur mes cheveux, et l’image de la jeune femme, nue, le corps légèrement satiné due à la sueur qui perlait sur sa peau, revint hanter ma tête. L’idée de la prendre me vint à l’esprit, sentir ses jambes enroulées autour de ma taille, ses gémissements de plus en plus rapprochés entrer en écho dans ma tête et, au moment de l’orgasme, mes dents noires lui déchirant la gorge… Le sang tachant les draps et les murs, mon corps entier galvanisé par cette sensation satisfaisante de remplir mon estomac avec de la chair fraîche… Mais aussi un sentiment de culpabilité, un sentiment humain restant, comme je n’avais pas réussi à encore me débarrasser de toutes ces émotions humaines.

Une fois bien rincé, le gel douche Axe Kilo aspiré par le conduit d’égout, je m’essuyai avec une serviette, avant de me rhabiller, et finalement quitter les vestiaires.

Quelques minutes plus tard Anasthasia sorti elle aussi  des vestiaires, saluant un employé de la piscine… Nous étions sortis du bâtiment, et la jeune femme tenta de me donner les indications de sa maison… Pour finalement ponctuer sur sa stupidité. D’un petit rire, je déposai un doux baiser sur ses lèvres.

- Нет, ты мило …

Lui tendant la main, un sourire rassurant aux lèvres, je me mis à marcher dans la direction qu’elle m’avait pointé

-On y va?

Une petite marche de santé plus tard, nous nous retrouvions devant sa porte.  Alors qu’elle s’affairait à chercher ses clefs pour déverrouiller la porte, je me permis d’être plus entreprenant; alors que ma main gauche était contre ses hanches, ma droite avait glissé sous son débardeur massant l’un de ses seins, alors que ma hampe à moitié dure était collée contre sa croupe… D’un petit air coquin, je lui murmurai à l’oreille avant de l’embrasser dans le cou.

-Aucun sous-vêtement? Tu ne dois pas avoir envie de trop faire traîner ça… Je me trompe?
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le mercredi 05 février 2014, 16:16:10
La succube se sent encore plus gênée à ces mots ; elle avait complètement oublié qu'il parlait le russe. Elle rit, un peu malgré elle, en grimaçant à moitié, détournant le regard.

"On y va?
-Oui !"


Elle prend sa main et se met à marcher avec lui, en direction de son appartement. La chaleur de sa grande main sur la sienne, le frottement de leurs bras l'un contre l'autre la font frissonner. Elle aurait voulu parler, mais sa gorge reste nouée, et à chaque fois qu'elle prend la parole pour indiquer la direction, elle ne peut empêcher sa voix de chevroter. "Par là...". Les battement de son coeur accélèrent, de même pour sa respiration : elle aurait du mettre des sous-vêtements. Un angoisse, à la limite de la panique, l'étreint à chaque fois qu'un piéton a le malheur de croiser leur chemin. Ce quidam , en les voyant, en la voyant elle, dans son état, rouge et essoufflée, au bras du jeune mâle à l'air si possessif... il ne peut que deviner ce qui se trame ; "cette fille... elle va se faire prendre dans deux minutes, c'est sûr. Elle n'attend que ça, je peux voir ses tétons pointer son son haut, même d'ici. Regarde comme elle respire. Il suffirait qu'il l'effleure pour qu'elle perde les pédales. Je suis sûr qu'elle porte pas de culotte. Elle doit être trempée, en dessous. Elle en rêve hein, de sentir un vrai mâle la prendre contre un mur. Elle adore ça, se sentir tout petite... salope."

Elle secoue la tête. Elle se fait des idées, il faut qu'elle arrête. Ils seront bientôt arrivés, tout va bien. Tout va très bien. Ses jambes semblent peser 200 grammes, elle flotte au dessus du sol. Elle ne cesse de jeter des regards timides à l'homme qui tient son bras, tandis que des bouffées de chaleurs inondent régulièrement son visage et sa gorge.

Enfin, ils y sont ! Ils se dirigent devant la porte d'entrée, et une main vient se poser sur la hanche de la jeune femme, qui cherche ses clefs dans une poche de son sac.

"Ah, les voi-"

Les phalanges de Ketake glissent sous son débardeur, et Maelie sent soudain son ventre se nouer. Elle jette des coups d’œil paniqués autour d'elle ; pourvu que personne ne voit ça, bon sang...

"A-attend..."

La main est déjà sur son sein, faisant remonter son haut et découvrant le bas de son ventre. Les hanches du mâles se retrouvent plaquées contre son postérieur. Elle en meurt d'envie, putain. Elle plonge la clef dans la serrure, tourne, puis se dégage brusquement de l'étreinte du jeune homme en bondissant en avant, poussant la porte dans son élan et courant quelques pas dans l'entrée du bâtiment, tandis que son rire nerveux et le claquement de ses sandales résonnent dans les couloirs. Elle se retourne et lui fait face, essuyant avec son index une goutte  de sueur qui commence à perler sur son front ; elle lui sourit, reprenant un peu sa contenance et son côté joueur.

"Pas de sous-vêtement... nulle part..." ponctue-t-elle d'un haussement de sourcils.

Et elle tourne aussitôt les talons pour s'élancer comme une flèche dans les escaliers. Elle va vite, mais elle ne doute pas que Ketake la suivra aisément, d'autant qu'elle n'habite qu'au troisième étage. Elle ne s'arrêtera qu'une fois devant sa porte, à moins que le fougueux séducteur ne la rattrape carrément et ne la stoppe en plein milieu des escaliers.
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le mercredi 05 février 2014, 20:05:11

Se dégageant de mon emprise pour entrer dans la cage d’escaliers, elle se retourna vers moi, son petit sourire alors qu’elle semble reprendre des forces, sa timidité s’évanouissant, et elle voulait jouer à nouveau… Elle lâcha alors une phrase qui me mit dans tous mes sens, avant de tourner les talons pour se mettre à monter les marches, quatre à quatre.

-Cours, au final je vais t’attraper et te dévorer!

D’un rapide mouvement de jambes, je m’élançai à sa poursuite dans les escaliers. Je ne devais pas aller trop vite, pour pouvoir faire durer le plaisir, mais grimper les escaliers m’exaspérait, et je devais lutter contre mes instincts pour ne pas me mettre à quatre pattes,  courir sur les murs irait beaucoup plus vite… Non, je devais lutter contre ce que je ressentais, mais juste assez pour avoir encore cette envie de jouer dans les yeux.

La moitié des marches étaient derrière Anasthasia, puis le trois-quart… Elle était tout juste à portée de la poignée de son chez elle, alors qu’un bras vint la saisir par la taille, la soulevant pour la ramener vers le corps de son propriétaire. D’un petit sourire, je lui soufflai à l’oreille :

-T’es rapide, mais on n’échappe pas si facilement à un prof de gym !

Elle réussi rapidement à se dégager de mon étreinte, c’était par ailleurs mon but, pour monter les quelques marches qui menaient au pallier de son étage, où sa porte trônait… Nous entrâmes en trombe dans son appartement où, à la suite de la rouquine je refermai la porte dans un grand claquement, digne de plaintes des voisins de la jeune femme… J’irai faire mes excuses demain!

La plaquant contre le mur du couloir, je posai mes mains à plat sur les feuilles de pierre, à la hauteur de ses épaules, lui arrachant un baiser, goulûment,  puis je soufflai, mes lèvres frôlant les siennes.

- Le chat a attrapé la souris… Est-ce qu’elle va encore essayer de se sauver?
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le mardi 11 février 2014, 10:59:47
Il l'attrape, la lache. Elle laisse un échapper un rire suraigue et s'échappe jusqu'à sa porte contre laquelle elle se jette, y inserant sa clef dans le même mouvement : en quelques secondes, il l'a suivie et a refermé derrière lui : ils sont seuls dans son appartement. Il la plaque au mur, tandis qu'elle cherche difficilement son souffle, riant toujours, au bord de l'asphyxie. Il appuie ses mains de chaque côté de la jeune fille, dans une pose autoritaire. Elle ne résiste pas le moins du monde ; elle l'a amené où elle voulait, elle est toute à lui, maintenant. Elle se laisse embrasser, même si elle manque cruellement d'air, et pose ses mains sur la poitrine de Ketake, caressant la dureté de ses muscles à travers ses vêtements.

" Le chat a attrapé la souris… Est-ce qu’elle va encore essayer de se sauver?
- Trop... fatiguée..."


Heureusement, à mesure qu'elle reprend son souffle, elle réalise qu'il lui reste quand même un peu d'énergie. Encore heureux, elle a encore tant à faire. Lui n'a pas l'air vraiment essoufflé. Visiblement, il n'est pas la moitié d'un sportif. Elle tend le cou pour embrasser à nouveau les lèvre du jeune homme, et lève le talon droit derrière elle, à la hauteur de sa cuisse pour défaire les lanières de sa sandale d'une main. Elle laisse tomber la chaussure sur le sol, puis elle inverse sa position et se effectue la même opération sur son second pied. Ses lèvres dévient de leur position et se perdent dans le coup du mâle. Elle l'embrasse le mordille, respire son odeur... elle se colle contre lui, écrase ses seins gonflés par le désir sur son torse. Ses mains glissent sous le haut de son amant, et elle provoque son dos du bout des doigts, faisaint glisser la pulpe et les ongles dans le creux de sa colonne.

Derrière Ketake se trouve une penderie, tandis que, sur le mur contre lequel il a plaqué la jeune fille, se trouve une porte qui mène à une petite salle de bain. Le petit couloir que forme l'entrée donne directement sur une salle à vivre, où chambre à coucher et cuisine se confondent. Le choix de la rouquine est vite fait ; elle a vu asez d'eau pour aujourd'hui, les festivités auront donc lieux dans la salle à vivre. Elle interrompt une seconde son baiser, et revient à l'assaut pour prendre la lèvre inférieur de son amant entre les dents. Elle commence à se déplacer, lentement, entrainant le mâle à sa suite. Depuis le temps qu'elle rêve de faire ça...

A moins qu'il ne résiste, elle l'entrainera jusqu'au milieu de la pièce, à côté de son lit deux places ( un de ces fameux lit à raz de terre, repliable pour former une banquette ) où une épaisse et moelleuse couette bleue ciel repose à demi enroulée sur elle-même. L'endroit n'est pas très spacieux, par ailleurs. Une cuisinière, un évier, quelques placard, un frigo, deux chaises et une petite table, c'est à peu près tous les meubles qui se trouvent en cet endroit. Sur la table, un ordinateur portable, à côté du lit, une lampe de chevet et une pile d'exemplaires de Full Metal Alchemist.

A condition qu'il se soit laissé faire et qu'il continue, elle le poussera sur le lit pour l'y faire tomber à la renverse, et se jettera à califourchon sur lui.
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le lundi 24 mars 2014, 02:32:14

Le plus excitant pour Zero était déjà passé, mais je ne sentais pas la lassitude si caractéristique quand je m'ennuie à jouer avec une proie, juste avant de la dévorer, sans laisser une goutte de sang m'échapper. Je pouvais sentir quelque chose en elle qui n'était pas humain, aucun humain ne m'avait donné une telle envie... Zero avait faim et aucune femelle humaine ne l'avait retenu dans sa faim très longtemps, n'importe quelle personne normale ne serait rendue si loin.

Elle m'avait entraîné à l'autre bout de son appartement, très simple et petit, mais convenable pour une personne seule, où elle me rejeta sur son lit... Lit d'un grand confort, qui me fit pousser un petit gémissement d'aise à peloter le molleton avant qu'Anasthasia ne se jette sur moi, à califourchon. Aussitôt, mes bras glissèrent autour de sa fine taille, alors que je lui retirai fébrilement son haut, découvrant sa poitrine nue. Ma bouche, alors occupée à l'embrasser le plus longtemps et goulûment possible, essayait de prendre quelques brides d'air. À vrai dire, jamais n'aurais-je cru que l’absorption d'un être externe aurait modifié un réflexe aussi basique à l'être humain que celui de respirer par le nez (Zero n'ayant pas de narine, hein, alors...)

Mes mains s'affairèrent alors à retirer les shortys en denim, mais la donzelle n'était pas en position de pouvoir retirer ces derniers, et je ne voulais vraiment pas la voir s'éloigner de moi, alors je déchirai ces derniers,  de la base jusqu'à la ceinture, me permettant ainsi de les retirer, et les lancer plus loin.

-Désolé, mais je t'en achèterai d'autres... Si tu veux prendre ta revanche...

Désormais nue sur moi, nous en étions presque au même point que lorsque nous nous sommes quitté à la piscine.... Mes mains caressant ses fesses fiévreusement, j'attendais qu'elle passe à l'action.
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le lundi 24 mars 2014, 14:12:07
Un petit cri de surprise lorsque son short en jean se déchire comme un nylon. Comment ?... Il a tant de poigne que ça ? En temps normale, elle se serait sûrement mise en colère, mais cette démonstration de force ne fait que nourrir son désir. Et puis, elle n'a jamais été très précautionneuse avec les vêtements, son pouvoir de téléportation la poussant à en semer un peu partout... le jean quitte ses fesses nues, emportant sur lui un peu de son fluide, la laissant presque totalement vulnérable contre son mâle, qui lui est encore habillé.

Sur son visage, la stupeur cède vite la place à un sourire gourmand, et, redressant son corps, elle s'assoit sur le bas-ventre de son bestial ami... ce dernier porte encore son pantalon, ce qui fait de ce corps à corps un combat un peu déséquilibré ; cela n'empêche pas la succube de se frotter lascivement à l'entrejambe encore emballée du jeune homme. Elle peut sentir, à travers la toile, la dureté de son sexe, qu'elle se plait à comprimer sous la chaleur de son intimité, soupirant par anticipation. Son regard envouté croise celui de Ketake, et s'y installe. Elle lui sourit, presque timidement, esquisse le début d'un rire nerveux. Elle se sent trembler de plus en plus, tandis qu'elle ondule sur lui pour jouer les tentatrices, vêtue uniquement de son débardeur, sur lequel se dessine la forme de deux mamelons en érection. Regarde Ketake, je suis à toi, maintenant... dis moi que tu me veux...

"Ça, c'est pas juste... je suis presque toute nue et tu es encore tout habillé..."

Comme pour décrédibiliser immédiatement son propos, elle attrape le bas de son débardeur et le retrousse au dessus d'elle, avant de l'envoyer rejoindre le cadavre de son short. Maintenant, la dissymétrie de cette situation est vraiment frappante. Elle décolle son bassin et se penche en avant, à l'horizontale, pour faire glisser son corps dénudé sur celui de son amant... ou plutôt au dessus, car elle le touche à peine, ne faisant que le frôler. Elle meurt d'envie de sentir leurs corps pressés l'un contre l'autre, la chaleur de leurs ventres se nourrir mutuellement... elle réprime son désir, préférant repousser la satisfaction pour jouer encore à être la souris.

Elle se balance nonchalamment d'avant en arrière et, à chaque fois que ses lèvres passent tout près de celles de son homme, elle le taquine avec douceur : tantôt un petit baiser brulant et humide, déposé en moins d'une seconde avant qu'elle n'écarte à nouveau sa bouche, tantôt un simple effleurement furtif. Elle reste à tout instant proche de lui, si proche qu'il peut sentir la moindre souffle qui laisse échapper au gré de sa respiration saccadée. Elle essaie de la contrôler, de la maintenir à un rythme régulier, mais il est évident qu'elle y arrive de moins en moins. Il est évident qu'elle se mettra à haleter fébrilement à la moindre initiative de son amant.

Une petite main de jeune fille fait sauter les boutons de braguette qui retenaient le membre turgescent, lui offrant un peu plus d'espace. Cette même main  se faufile lentement dans l'ouverture créée et sur l'organe érectile encore prisonnier de la finesse d'un ultime rempart de tissu. Elle glisse lentement, sur toute la longueur du barreau, de haut en bas, puis de bas en haut, pressant la pulpe de ses doigts sur le contour du membre. Ses phalanges s'insèrent sous l’élastique du sous-vêtement et, d'un geste courbe, font jaillir le sexe à l'air libre : elles l'entourent, le caressent, le saisissent, lui impriment un lent mais franc mouvement de va et vient... Cela ne dure que quelques secondes, car la succube abandonne la verge à son sort, préférant effleurer la forme des muscles abdominaux de Ketake avec sa paume, remontant lentement son t-shirt vers sa poitrine. Les lèvres de la rouquine rencontrent la joue du jeune homme et y laissent leur empreinte de chaleur, durant des succions de plus en plus lentes, progressant vers son oreille. Elle ferme les yeux respire son odeur, laisse son souffle effleurer le pavillon, tandis qu'un grognement de désir à peine audible quitte sa gorge. Le bout durci se ses seins viennent chatouiller les pectoraux du mâle à chaque fois qu'une bouffée d'air gonfle sa poitrine. Sa chair n'est plus que volupté et désir d'être saillie lors d'un corps à corps transpirant. Elle ferme les yeux et lui murmure à l'oreille, sur un ton presque suppliant ;

"Baise moi."
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le dimanche 30 mars 2014, 21:49:37

La souris avait justement terminé sa fuite, et maintenant elle demandait au chat de la manger toute entière… Et si le chat n’avait pas terminé de jouer? S’il avait encore envie de se faire les griffes contre le dos de la petite souris? Un petit sourire sadique vint sur mes lèvres alors que j’approchai d’un coup sec  sa tête contre la mienne, plaquant son front contre le mien, une seule pensée me vint en tête.

-Tu veux que je te baise?  Et si je préférais laisser la frustration monter jusqu’à ce que tu ne sois plus capable de te retenir?

D’un petit rire, je glissai mes mains le long de son corps, jusqu’à caresser ses cuisses pour revenir vers les miennes, où je déboutonnai mes pantalons, et les rabaissant, jusqu’à ce que mon chibre soit exposé à l’air libre, caressant  du bout du gland les lèvres inférieures de la donzelle. Les deux mains sur ses fesses, les écartant brutalement, je faisais bouger son bassin  de haut en bas, nos deux entre-jambes se frottant l’un contre l’autre.

-Allons, refais moi cette petite supplication…

Mes mains se trouvèrent plus aventureuses, glissant entre les jambes de la jeune femme, insérant de temps à autre un doigt dans son intimité, ce qui lui arrachait à l’occasion quelques gémissements, qui semblaient se montrer de plus en plus impatients, du moins à mon oreille de symbiote…

Jusqu’où pourrais-je l’amener à faire ce que je luis demandais, juste pour pouvoir la baiser?
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Maelie le samedi 05 avril 2014, 10:56:25
Elle ne s'attendait pas à cette réaction. Elle avait déjà subodoré son côté dominateur, mais le jeune homme soudain preuve d'une autorité bien plus brusque que précédemment. Qu'importe, du moment que ses mains la caressent comme elles le font. Ça n'est pas Maelie qui s'offusquera qu'on tente de prendre le dessus sur elle. Ca n'est pas non plus elle qui arrêtera de jouer.

« Pourquoi est-ce que ce serait moi qui céderait la première ?... »

Elle sourit et frotte leurs museaux ensemble. Deux secondes plus tard, c'est ses lèvres qui déposent un baiser sur le nez du jeune homme, puis qui pérégrinent jusque sous l’œil. Deux mains attrapent alors ses fesses ; les doigts du mâle pressent la chair tendre de son postérieur, écarte ses fesses l'une de l'autre ; un courant d'air vient caresser le sillon de ses fesses ; elle soupire. Il la force à bouger contre lui, faisant glisser leurs sexes l'un contre l'autre. Celui de Ketake est ferme, tendu, bouillant. Il s'attaque à son intimité : plongeant leurs regard l'un dans l'autre, elle gémit sous ses attouchements et se trémousse lentement au dessus de lui. Ses petites mains se posent tendrement de part et l'autre du visage du mâle, tandis qu'elle ondule au dessus de lui, laissant leur corps se frôler légèrement.

« Baise moi... s'il te plait, Ketake... je te veux... »

Parfois, un doigts entre en elle pour la titiller : la rouquine se met alors à geindre de plus belle pour en réclamer d'avantage. Malgré son envie, elle se se refuse à agir, préférant persévérer dans son petit jeu. L'effort que lui demande la lutte contre ses pulsions est perceptible à chacun des soupirs qui s'échappent par ses lèvres écarlates, chacun des tressaillements qui traversent sa chair. Elle colle son visage rosi contre celui de Ketake et l'embrasse avec lenteur, dévorant lentement ses lèvres, glissant avec tendresse le bout des doigts sur les joues et la mâchoire du monstre. Elle interrompt cette joute brulante et humide pour se reculer de quelques dizaines de centimètre et le dévisager, les pupilles dilatées par l'amour :

« En plus, tu avais promis... »
Titre: Re : Plouf plouf plouf [Ketake]
Posté par: Darkred Zero le jeudi 10 avril 2014, 17:32:42

La petite russe semblait bien aimer ce petit jeu dominateur-dominé, je pus même voir un petit sourire sur ses lèvres. Rien n’avait encore été dit, mais son corps ondulait contre le mien, et pas seulement parce que je la forçais à le faire; je sentais les mouvements plus tôt carrés à cause d’articulations rebelles devenir plus rond et gracieux, nous donnant à tous les deux un peu plus de sensations bienfaitrices.

Vint alors le moment tant attendu, où Anasthasia reprit sa petite voix, et me supplia de la prendre, comme la chienne qu’elle était. Un petit sourire satisfait, avec une pointe de sadisme,  apparut sur mes lippes, et je ne pus m’empêcher de fermer les yeux lorsque ses douces mains chaudes se sont posées sur mes joues… Puis, comme pour me provoquer, la rouquine me lança une pique, que je lui avais déjà promis. Promis quoi au juste? Bah de la prendre, jusqu’à ce qu’elle ait du mal à marcher pendant des semaines…

D’un brusque mouvement, je nous retournai, me retrouvant au-dessus de la jeune femme. Les deux mains sur ses cuisses, je me mis à l’embrasser dans le cou, remontant jusqu’à son oreille.

-Si je te l’ai promis, ce serait vraiment cruel de ma part de ne pas honorer une telle promesse…

Mon phallus, déjà sur le point de défoncer les barrières de l’intimité d’Anasthasia,  commençait déjà à pulser d’envie… Le jeu venait tout juste de prendre fin, et il était temps de passer aux choses sérieuses!

D’un brusque mouvement de bassin, j’entrai en elle, mon bras droit autour de sa taille, et le gauche autour de ses épaules. Nos deux corps étaient complètement collés, et j’en profitai pour lui arracher un bestial baiser. Un petit instant, je restai planté en elle, tel Excalibur dans son sceau de pierre, pour en apprécier la chaleur et l’humidité de sa belle petite chatte, avant d’entamer de vifs allers-retour en elle. L’attente et le jeux m’avaient mis dans un état tel que chaque coup de bassin m’arrachait un grognement…