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Disparition inquiètante [La meute de Kraks]

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Lizzie Carter

Humain(e)

Disparition inquiètante [La meute de Kraks]

samedi 08 juin 2013, 14:17:27

Après avoir passé un peu de bon temps chez une amie, je rentrais chez moi. Mes parents insistaient toujours pour que je rentre avant 19h, les rues étaient dangereuses après cette heure. Personnellement je ne partageai pas leurs inquiétudes, autre chose de bien plus important me préoccupait. Cela faisait plusieurs jours que je n'avais pas reçu la moindre enveloppe. Je devrais en être heureuse mais, j'avais le pressentiment que le malade mental à l'origine de tout ça préparait quelque chose de particulier. En tout cas, la seule chose qui était sûre c'est qu'il ne m'avait pas oubliée et qu'il ferait bientôt parler de lui à nouveau. Mais je me m'attendais pas à ce que cela arrive au détour d'une ruelle sur le chemin de la maison. L'un des gigantesques homme-porcs qui lui servaient d'hommes de main fit son apparition face à moi. La créature mesurait plus de deux mètres de haut et sous sa graisse proéminente des muscles puissants capables de maitriser n'importe quel humain. Paniquée, je me suis retournée pour m'enfuir, percutant de plein fouet le ventre gras d'un deuxième homme-porc. Ils m'ont attrapée et je me suis retrouvée avec un linge imbibé de chloroforme sur le visage. J'ai bien tenté de résister, mais je n'ai rien pu faire tandis que je sombrais dans l'inconscience.

Je me suis réveillée au milieu de nul part, j'étais au milieu d'une grande plaine dont je ne voyais pas le bout, sans la moindre trace de civilisation. La seule chose qu'on m'avait laissée était une enveloppe rose, ainsi que mon uniforme scolaire que je portais la veille. Malgré un intense mal de tête, j'ai rapidement déchirée l'enveloppe pour pouvoir lire la lettre à l'intérieur :

"Lizzie Lizzie Lizzie ... Tu ne met vraiment aucune bonne volonté ma chère Lizzie ! Je suis très en colère ! Tu ne fais strictement aucun effort pour sauver ton âme de l’abstinence et de la morale. Mais ne t'inquiète pas Lizzie, je comprends tes peurs. C'est pour cela que j'ai fais en sorte que tu disparaisse. Maintenant que tes parents ne sont plus toujours derrière toi tu seras libre, libre de t’adonner à la luxure la plus bestiale à longueur de journée. Pour information tu te trouve dans un monde parallèle nommé Terra, il est très différent de la Terre que tu connais. C'est pour cela que je ne te donne aucune mission, ce monde se chargera naturellement de ton apprentissage. Que tu le veuille ou non. Et si tu es très sage je te laisserai peut être revoir la Terre un jour. N'oublie pas de détruire cette lettre après l'avoir lue, je serais très en colère si quelqu'un d'autre était au courant de nos affaires."

Sentant la panique monter, j'ai directement plongé ma main dans ma poche pour prendre mes médicaments, mais ils n'étaient pas là. Je devais absolument garder le contrôle de ma respiration pour ne pas avoir de problèmes, donc je me suis allongée dans l'herbe le temps de reprendre mon calme. J'étais donc perdue dans un monde parallèle, les lettres n'avaient jamais menti jusqu'à présent donc je partais du principe que c'était la vérité. La première chose à faire était de me déplacer pour trouver un village où je pourrais avoir des informations, de la nourriture et de l'eau. Ensuite trouver un moyen de rentrer, si on m'avait amenée ici c'est qu'il y avait forcément un moyen de voyager entre ces deux mondes. Ne voulant pas perdre de temps, j'ai immédiatement déchiré la lettre avant de me mettre en marche avec une boule au ventre. Je ne savais pas du tout sur quoi j'allai bien pouvoir tomber et la lettre disait "ce monde se chargera naturellement de ton apprentissage" ce qui n'augurait rien de bon.

J'ai marché jusqu'à la tombée de la nuit, n'ayant trouvé aucun abris je me suis endormie dans l'herbe, puis le jour suivant j'ai à nouveau marché et ainsi de suite. Au final j'ai passé trois jours entiers à marcher sans relâche et à dormir à la belle étoile sans rien avaler. Alors lorsque j'ai vu cette petite ferme au loin je m'y suis précipitée sans réfléchir. J'ai frappé à la porte mais personne ne répondait, donc je suis entrée. La maison était totalement vide et il n'y avait plus de nourriture ou d'eau. Pourtant il y avait encore des vaches dans un enclos voisin, ainsi qu'un abreuvoir rempli récemment. L'idée m’écœurait mais je mourrais de soif, j'allai devoir boire dans l’abreuvoir des bêtes, je ne voyais pas d'autre source d'eau à proximité. Je suis entrée dans l’enclot, me suis mise à genoux dans la boue pour me pencher au dessus. L'eau puait, souillée par la bave des bovidés, mais après une grimace j'ai plongé mes mains dedans avant de la porter à ma bouche. J'ai bu tout ce que je pouvais boire, étanchant ma soif tant que cette eau était à disposition, il n'était pas dit que j'en retrouverai de sitôt. Puis je suis rentrée dans la petite ferme afin de m'abriter pour la nuit, je me refusais à tuer l'une des vaches pour manger, quelqu'un viendrait surement demain pour nourrir les bêtes et j'en profiterai pour renouer avec la civilisation.
Vrai nom : Lizzie Carter / Nom officiel : Aya Suzuki

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La meute de Kraks

Légion

Re : Disparition inquiètante [La meute de Kraks]

Réponse 1 samedi 08 juin 2013, 19:22:36

Ce ne fut pas pour nourrir les bêtes que quelqu'un vint, le lendemain... mais ce fut pour toutes les massacrer, une par une, mis à part quelques-unes qui furent enfermées et mise de côté pour... quelques expériences amusantes. Les créatures humanoïdes, mais avec une queue faisant penser à un énorme ver-de-terre, un museau aux dents proéminentes, et un pelage brun crasseux et puants, entrèrent dans l'enclos des bêtes... ils étaient six, chacun armé d'une lance en fer forgée. Les vaches avaient commencés à s'agiter seulement en sentant l'odeur de ces prédateurs... maintenant, elle courraient partout en beuglant, essayant de les fuir... mais ce qui ressemblait à trois énormes chiens, plus haut que des chevaux et au dos vouté comme celui des hyènes, s'occupèrent, en en frappant quelques-unes d'un bon coup de patte, de les rassembler et de les tenir immobiles. Pendant ce temps-là, leurs maîtres, les hommes-rats, les abattirent toutes une à une à coups de lance dans le flanc, se fichant de les rater au premier coup et de les faire souffrir.

Si Lizzie n'avait trouvée personne, en arrivant à la ferme... c'était parce que ses occupants s'étaient fais attaqués durant la nuit de la veille par la meute de Kraks, un groupe de skavens connue pour leurs méthodes brutales, pour leur cruauté et pour leur perversité. La ferme et ses habitants ne leur avait absolument rien fait... ils étaient tout-simplement sur leur passage, et là où les rats passaient, ils laissaient la mort, la destruction, aussi surement que les maladies qu'ils colportaient. Le père de famille avait été tué sans la moindre pitié devant les yeux des siens... si la jeune fille avait continuée un peu plus loin dans l'enclos après avoir bu à l'abreuvoir des vaches, elle aurait trouvée le corps démembré à coups de hache d'un vieil d'âge mur. Quand au reste de sa famille... ils avaient subis un sort bien pire que le sien. Les skavens les avaient "éduqués" toute la nuit à leurs jeux pervers, faisant perdre au passage sa virginité à la fille de la famille. Ils avaient été contrains de se soumettre, sous la menace du fouet. Le fils était mort, n'ayant pas supporté l'épreuve... après l'avoir sodomisé, l'énorme rat Grogra s'était endormi sur lui, emporté par les vapeurs d'une bonne bière, et l'avait étouffé sous sa masse. Aujourd'hui, la mère et la fille étaient dans la cage aux esclaves... elles allaient rester les jouets de la meute jusqu'à leur mort, comme tout ceux qui avaient finis entre leurs griffes.

Aujourd'hui, la meute était revenue dans le but de prendre ce qu'il restait de nourriture dans cette ferme... autrement-dit, les vaches. Tendis que la fille dormait dans la maison, la porte de la chambre qu'elle avait choisie s'ouvrit doucement en grinçant, et un skaven particulièrement grand, au poil blanc et aux yeux rouges, entra dans la pièce... ils avait senti l'odeur de la jeune-fille et l'avait suivi à travers la maison... une lueur de satisfaction s'alluma dans ses yeux dans il la vit, endormie... elle était si mignonne, cette petite fleur fragile, qu'il allait se faire un plaisir d'écraser sous sa poigne de fer et ses prises brutales... et un sourire pas très rassurant dévoila ses dents pointues et jaunâtres... ce skaven, c'était Kraks, le chef de la meute, et déjà qu'il n'était pas connu pour être tendre avec ses semblables... avec ceux des autres espèces, surtout les femelles, c'était pire.

Lizzie fut réveillé lorsqu'il l'attrapa par une bonne poignée de ses cheveux et qu'il la força à se lever et à le regarder bien en-face... l'haleine de charognard de la perverse créature lui fut soufflé au visage, tendis qu'il l'observa d'un air critique :


-Mh... mais qu'est-ce qu'on a là... ?

Sans plus se cérémonie, elle posa sa main sur un sein de la jeune humaine et serra fermement, le tortillant pour voir un peu de quoi il en retournait...

-Mh... bien rebondit, tout-ça... il fit la même chose avec une de ses fesses. Et bien ferme ! Parfait... tu as de la chance, mon trésor, tu m'as tapé dans l’œil. Je vais m'occuper de ton éducation, personellement... petite esclave.

La retenant toujours par les cheveux, il la traina et l'emmena avec lui hors de la pièce. Ils traversèrent ainsi le couloir ensemble, et arrivé devant la porte, il la jeta et l'envoya s'affaler dans la poussière... aux pieds des autres skavens qui la regardèrent avec de grands sourires.

-Nous avons une nouvelle invitée, annonça Kraks. Traitez-la aussi bien que les autres... une chienne n'a pas besoin de tout ces vêtements... déshabillez là, et mettez-là dans la cage. Je m'occuperais d'elle ce soir...

Et il disparut à-nouveau dans la demeure, sans-doute pour aller voir si il n'y avait pas d'autres égarés qui s'étaient cachés ici, tendis que quatre de ses hommes se dépêchèrent d'obéir à ses ordres. En seulement quelques secondes, les griffes des skavens lacérèrent et déchirèrent les habits de Lizzie, même son soutien-gorge et sa culotte, et elle se retrouva nue au-milieu du groupe. Tendis qu'elle se faisait déshabillé, un collier en cuir avait été passé et attaché avec un cadenas autour de son cou, avec une laisse en corde qui y pendait. Tirée par cette laisse, par les cheveux, et poussée par derrière, les skavens entrainèrent l'humaine. Au passage, elle dut subir les geste obscènes du reste de la meute, tendis que certains lui pinçaient les fesses ou les jambes, et que d'autres se touchaient sur son passage. A deux ou trois reprises, on lui lécha même le visage et on lui crachat dessus... les rats s'amusaient avec elle en se moquant, lui disant des phrases du genre "t'as de la chance d'être tombée sur nous, ma belle... c'est mal fréquenté, dans le coin.".

Elle fut menée face à une énorme bête humanoïde, un géant à la peau grise et granuleuse qui la regarda passer avec deux yeux noirs, porcins et idiots... c'était un troll. Il était arnaché à une cage sur roues où reposaient d'autres personnes nues, hommes et femmes mélangés, dont certains semblaient malades ou blessés... les skavens n'y allaient pas de mains mortes, lors de leurs fêtes du soir. On força à monter par une rampe sur la cage, au sommet de laquelle se trouvait une ouverture, et on la jeta à l'intérieur pour qu'elle tombe avec ses nouveaux camarades esclaves.

Lizzie Carter

Humain(e)

Re : Disparition inquiètante [La meute de Kraks]

Réponse 2 lundi 10 juin 2013, 11:47:44

Cette nuit j'avais rêvé d'une vie normale dont on m'avait privé. J'étais une lycéenne parmi d'autres, pas de lettres, pas de missions, juste des cours, des amies, des ennemis, des amours. Mais même dans mes rêves, l'histoire finissait toujours en rêve érotique, comme si mon cerveau cherchait à me préparer pour la suite. Ainsi, les élèves de ma classe commençait à me caresser, se dénudant les uns les autres tandis que l'homme de mes rêves m'embrassait langoureusement. Je rêvais d'une vie d'amour et de plaisirs, où j'aurai eu de nombreux enfants avec un homme exceptionnel et une vie épanouissante. Mais, brutal retour à la réalité, je me suis retrouvée hors du lit, tirée par les cheveux, examinée comme une bête. Au départ je n'ai pas compris ce qu'il m'arrivait, je n'étais pas réveillée du tout et subissais les événements. J'ai commencé à prendre conscience de la situation dans le couloir, quelqu'un me traînait dehors de force. J'ai bien essayé de résister mais, celui qui me tenait était si fort que j'aurai aussi bien pu ne rien faire. La porte s'est ouverte, le soleil qui nous faisait face m'aveugla et j'ai senti mes pieds décoller du sol avant de m'écraser lamentablement par terre. C'est là que j'ai enfin vu le visage de mes agresseurs, tandis qu'ils déchiraient mes vêtements. Je suis devenue toute pâle, terrorisée par ces choses, ces espèces d'homme-rats répugnants.

On m'a mis un collier de chien autour du cou, attachée à une laisse, puis on m'a traînée jusqu'à une grande cage commune. Dedans de nombreux esclaves étaient entassés, la plupart d'entre eux avaient le regard vide de toute expression, traumatisés par ce qu'ils avaient vécus. D'autres semblaient bien s’accommoder de cette vie et regardaient Lizzie avec des regards tantôt mauvais, tantôt intéressés. À peine entrée à l'intérieur, je me suis assise dans un coin de la cage pour me remettre de mes émotions. J'avais beaucoup de mal à respirer, fermant les yeux pour tenter de reprendre mon calme, mais rien n'y faisait, j'avais besoin de mes médicaments. J'ai senti une main passer dernière ma nuque et m'attirer tendrement sur le côté. Une femme qui avait l'age d'être ma mère s'était assise à côté de moi et avait amenée ma tête contre sa poitrine tout en me caressant les cheveux. D'un ton sévère elle m'avait reprise :

Calme toi ! Les esclaves qui paniquent ne vivent pas longtemps ici ! Déjà, oublie la liberté, tu ne t'enfuiras pas, d'autres ont essayés, ils sont tous morts. Mon fils a paniqué et a refusé la cruelle réalité, il est mort aussi. Tu n'as que deux choix. Endurer tout ce que tu subiras ici et tenter de survivre ou te suicider et je ne pense pas que tu veuille mourir. Tes chances de survie dépendent de deux choses. Ta capacité d'adaptation et la dilatation de tes orifices. Pour la première c'est à toi de convaincre les skavens que tu es une bonne esclave et que tu les adore. Pour la seconde je vais t'enfoncer un gode dans l'anus pour le dilater à fond, ce sera douloureux mais, c'est ce qui va te sauver d'une mort douloureuse. Oh et, un conseil, à partir de maintenant arrête de réfléchir et comporte toi comme un animal.

Je sentais une sévérité, une dureté dans ses paroles, mélangées à la tristesse d'avoir perdu son fils et à une certaine bienveillance. Étrangement, ses paroles m'ont à la fois choquée et calmée. Elle m'a prise sur ses genoux, je savais ce qui m'attendait mais j'ai fais comme elle m'avait dit, j'ai arrêté de réfléchir. Le gode surdimenssionné fut introduit brusquement entre mes fesses, tandis que la main de la femme couvrait ma bouche avec force pour m'empêcher de crier. Mon cri fut étouffée par sa main et les larmes commencèrent à couler le long de mes joues. J'avais l'impression que mon anus s'était déchiré sur toute sa longueur, heureusement ce n'était pas le cas et cette manœuvre avait justement pour but d'éviter que cela arrive. La douleur s'estompa lentement, trop lentement et la femme commença à m'embrasser dans le cou pour me détendre.

À côté de nous, une adolescente se réveilla, dit bonjour à la femme qui s'occupait de moi en l’appelant maman. La jeune fille s'approcha de moi et commença à lécher mon ventre et embrasser ma poitrine. Passive, je me laissai aller, je ne devais pas réfléchir, plus jamais. La mère me murmura à l'oreille :

Comment t'appelle tu ?

Lizzie madame …

Très bien Lizzie, je m'appelle Miko et voici ma fille, Chiyo. À partir d'aujourd'hui nous t'adoptons, considère moi comme ta mère et considère Chiyo comme ta chère petite sœur. Nous allons nous soutenir, nous aimer et survivre toutes les trois à cet enfer.

Grande sœur Lizzie !

J'ai souri, apaisée par le sentiment réconfortant que je n'étais plus seule dans ce monde. Une nouvelle famille unie pour survivre en enfer ? L'idée me plaisait bien, après tout, mes vrais parents n'avaient jamais remarqués mes problèmes, ne m'avaient jamais aidés. J'ai tendu mes mains vers l'avant pour enlacer ma nouvelle petite sœur, je l'ai ramenée contre moi et je l'ai embrassée langoureusement. Puis j'ai répondu :

Oui maman.

Par la suite nous avons fait l'amour toute la journée toutes les trois, ne nous arrêtant que pour l'infâme repas qui nous était servit, Chiyo et Miko me donnèrent une partie de leur gamelles. Je n'avais rien eu besoin de dire, elles avaient devinées par elles-mêmes que je mourrais de faim. Je me sentais comme l'heureuse propriétaire d'une parcelle de paradis au milieu des enfers, je sentais que je pouvais réellement compter sur elles. Puis vint l'heure d'aller servir les skavens, malgré la préparation et les encouragements de ma nouvelle famille j'étais terrorisée.
Vrai nom : Lizzie Carter / Nom officiel : Aya Suzuki

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La meute de Kraks

Légion

Re : Disparition inquiètante [La meute de Kraks]

Réponse 3 lundi 10 juin 2013, 20:52:29

-Allez, tout-le-monde dehors ! Cria Broscar, le dresseur de bêtes et d'esclaves de la meute, en frappant les barreaux de la grande cage-commune de son fouet en métal, tellement connu et craint parmi ceux qui avaient déjà ressentie sa morsure... d'ailleurs, on pouvait encore voir les traces rouges et les croutes de ceux et celles qui se pressaient le plus pour rejoindre leurs maîtres. Par revers, il en donnait même un coup sur les fesses de ceux qui traînaient trop à son goût. Faites ce pourquoi on ne vous a pas encore dévoré !

Tel des moutons suivant le bâton de leur berger, le groupe de femmes et d'hommes de tout âges et de tout-genres se dirigèrent vers le camp que les skavens avaient levé quelques heures plus tôt. La soirée c'était passée comme toutes les soirées, comme l'avait surement expliquée Miko à Lizzie pour qu'elle ne se fasse pas prendre par surprise : la meute avait voyagée toute la journée, et au couché du soleil, ils avaient montés leurs tentes... même si la plupart d'entre-eux allaient s'endormir sur place, épuisés par les vapeurs de l'alcool et la folie du sexe. Ils se nourrirent ensuite, commençant à dévorer les vaches qu'ils avaient tués à la ferme, certains grillés, et crus pour les autres... les feux de camps au-dessus desquels tournait encore des os et des morceaux de bidoches noircie étaient parsemés par-ci, par-là. Ensuite, durant environ une longue heure... peut-être pas assez longues pour les prisonniers, ceux qui n'avaient pas commencés à prendre du plaisir à leur sort, en tout-cas... ils burent de la bière. Les skavens tenaient mieux l'alcool que les autres créatures... cependant, c'était pour eux un excitant sexuel... et enfin, vint le moment où ils eurent assez d'alcool dans le sang pour qu'ils veuillent libérer les esclaves et s'amuser avec eux.

Un par un ou par groupe, par un seul skaven ou par plusieurs, chacun d'entre-eux fut pris par un rat et ceux-ci commencèrent à assumer leurs fantasmes sur eux. Certains de ces fantasmes étaient répugnants... on trouvait de tout, parmi la meute. D'autres était particulièrement cruels... les skavens étaient craints, et ils aimaient que cette réputation grandisse en prenant du plaisir à faire mal. On voyait là un petit skaven fouetter les fesses d'une esclave attachée à quatre-pattes sur un tronc avec une branche, et se mettre à bander rien qu'en entendant ses cris. Aucun esclave ne fut épargné, et durant des heures, ils allaient devoir supporter les ébats de ces créatures sales et puantes, et au moindre signe de rébellion... alors leur sort devenait encore plus douloureux qu'il ne l'était déjà, car les skavens étaient très imaginatif dans leurs punitions, et tout esclave là depuis assez longtemps savait qu'il leur fallait être irréprochable, car leurs maîtres cherchaient toujours la plus petite occasion de les punir.

Lizzie était parmi ces esclaves qui courraient partout, et pour le moment, Miko et Chiyo n'avaient pas été choisie... elles restaient donc près d'elle, la rassurant le plus possible par leur présence... si personne ne les touché, c'était parce qu'elles étaient déjà réservé, et qu'il ne fallait pas s'attirer les foudres de celui qui les voulait pour lui tout-seul. La laisse de Lizzie fut attrapée et elle fut violemment attiré contre le torse d'un rat très puissant... c'était Kraks lui-même. Il n'avait pas bluffé lorsqu'il lui avait dit qu'il s'occuperait d'elle ce soir : cette fille, pour son bonheur comme pour son malheur, car cela voudrait dire qu'elle ne passerait pas de mains en mains durant la nuit, mais qu'elle allait tomber entre celle d'un rat musclé qui pouvait se montrer très violent lorsqu'il était en colère, avait tapé dans l'oeil du chef skaven. Il allait falloir qu'elle se montre très docile, c'était le seul moyen pour elle de ne pas finir passée à tabac ou fouettée devant tout-le-monde. Mais avant, elle allait recevoir une bonne petite séance de dressage...

Kraks força la jeune-fille à lever le visage vers lui et à le regarder en-face en la prenant au menton... puis il sortit une longue langue rouge, lui lécha le cou et la glissa dans sa bouche. C'était sa façon à lui d'embrasser : pas de contact avec les lèvres, seulement un jeu de langues. Tendis que la sienne s'enroulait autour de celle de Lizzie, sa salive poisseuse se mélangea à celle qui était dans sa bouche. Il resta ainsi une longue minute... avant de finalement la relâcher. Il attrapa alors les laisses de Miko et Chiyo et entraîna les trois femelles avec lui. Oui, il avait également décidé de s'occuper de Miko et Chiyo, cette nuit, parce qu'elles faisaient partis des plus anciennes et des plus dociles esclaves de leur harem. De plus, le lien qu'elles avaient tissé durant toute la journée n'avait pas échapper aux yeux des skavens... il voulait qu'elle assiste à ce qu'elles savaient faire afin qu'elle apprenne vite, et qu'elle comprenne qu'elle ne pouvait pas échapper au destin qui l'attendait... il espérait que voir cela arriver à des personnes qu'elle aimait aurait plus d'impact sur elle.

La tente de Kraks où il les amenait étaient la plus grande de toute... en fait, c'était presque une petite maison. Il y avait le grand milieu, un côté où il y avait sa chambre, et de l'autre côté, on y trouvait même un lieu d'aisance... les skavens faisaient ça n'importe où, mais pour certains jeux et punitions, lui, il aimait bien en avoir à porté. A l'intérieur, on y trouvait toutes sortes de choses... en outre un tapis en peau d'ours que le rat avait tué à main-nue des années plus tôt pour affirmer sa place de chef, un bureau de travail, des chaises dont certaines étaient équipés de chaînes et de godes, un coffre remplis de toutes sortes de jouets sexuels... et enfin, un trône de taille impressionnante qui se trouvait au-fond. Il avait été fabriqué par un amoncellement soigneusement organisés d'ossements humains ou terranidiens, des cranes formants son sommets et les colonne vertébrale sa base. C'était une première manière pour lui de montrer ce qui attendait Lizzie si elle n'était pas sage : car des os pouvaient encore y être ajoutés... les cotes des cages thoraciques couraient le long des accoudoirs, et ils n'étaient pas là que pour faire joli... on pouvait y voir des traces de sang sur les bous pointus.

Kraks attrapa Lizzie par le collier et la jeta dans les bras d'un autre skaven, qui la regarda avec un grand sourire, dévoilant ses dents jaunes. Kraks lâcha simplement les laisses des deux autres esclaves et alla s'asseoir sur son trône... devant celui-ci se trouvait une autre femme-nue, à quatre pattes, sur laquelle il posa ses pieds... elle ne bougeait pas, elle ne semblait même pas respirer. Il ne fallait pas s'y tromper : elle était empaillée.


-Mets là en place, ordonna-t-il à Broscar, le dresseur. Et vous-deux, à quatre-pattes, tout-de-suite.

Miko et Chiyo s'exécutèrent et se mirent à quatre pattes tel des chiennes. Broscar força Lizzie à lever les bras et lui attacha les poignets à une corde qui pendait au-plafond... elle ne pouvait se tenir debout que sur la pointe des pieds. Ensuite, il lui attacha les chevilles entre-elles, afin de ne pas se prendre un coup-de-pied accidentel. Puis il sortit un morceau de tissus rose d'une sacoche attachée à sa ceinture et l’exhiba devant ses yeux... c'était la culotte de Lizzie, qui lui avait été retiré le matin-même. Broscar attrapa la mâchoire de la fille, la forçant à ouvrir la bouche, et la lui engouffra à l'intérieur, avant de la bâillonner avec un morceau de tissu crade. Kraks préférait entendre les gémissement de ses victimes plutôt que leurs hurlements.

-Très bien, les filles, dit le chef. Maintenant, montrez ce que vous savez faire à votre nouvelle camarade... je veux que vous lui appreniez ce qu'elle doit savoir faire pour survivre.

S'exécutant, Miko et Chiyo s'avancèrent de façon langoureuse de leur maître, toujours à quatre pattes, se frottant contre ses jambes comme des chates. Arriver au bon endroit, elles se dressèrent, et commencèrent à lécher et à branler le gros pénis rouge de leur maître. A différentes reprises, elles le mettaient dans leur bouche puis recommençaient à le lécher de haut-en-bas. Parfois, pour amuser Kraks, elles se lançaient dans un simulacre de bagarre pour que l'une soit la première à lécher... finalement, ce fut Miko qui fit une fellation à Kraks, prenant son sexe entre ses seins et suçant le bout. Chiyo repartit en arrière et se mit à lécher les pieds de son maître. Un sourrire satisfait éclairait le visage de Kraks... cependant, ses yeux ne quittaient pas Lizzie. Il posa sa grosse main sur la tête de sa mère adoptive et la força ainsi à accélérer le mouvement, et à l'avaler plus profond.

Broscar s'occupait, de son côté, d'éduquer la jeune-fille aux "plaisirs" de la meute : il avait enfoncé l'un de ses longs doigts dans l'anus, et un autre dans le vagin de Lizzie, et il s'amusait à la gratter à l'intérieur. Lorsqu'il sentait que l'un de ses doigts s'humidifiait, il l'essuyait sur le visage de sa victime, puis il l'enfonçait à nouveau, plus violemment et plus profondément. Si il la voyait fermer les yeux, il la giflait, puis lui saisissait le visage pour la forcer à regarder... il fallait qu'elle voit pour pouvoir apprendre.


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