Nom : Lacroix
Prénom : Cécile
Surnoms : Catwoman, ou encore Petit Chaton.
Âge : 24 ans
Sexe : Féminin, vous en doutiez ?
Race : Humaine, avec quelques légères modifications.
Orientation Sexuelle : Strictement lesbienne, navrée mes chers matous, mais je n’ai guère d’yeux pour vous.
Expérience sexuelle : Mraaaaaw :3
Description physique : Une nouvelle Catwoman en ville, cela ne s’incarne pas en n’importe qui mes mignons. Alors comme ça vous souhaitez en savoir plus sur mes mensurations, petits pervers ? Allez, c’est bien parce que c’est vous, et ce n’est pas comme si vous pouviez espérer autre chose que ça. Je mesure un mètre soixante-quatre pour une cinquantaine de kilos, svelte et pas trop grande, c’est beaucoup plus pratique pour se dissimuler et entrer ailleurs que par les portes. Sans me vanter, car ce n’est pas dans ma nature, j’ai un corps bien bâti et athlétique. Des formes pulpeuses ? Non. Vous avez déjà essayé de sprinter avec des obus de chair en guise de poitrine ? Pas évident, certaines y arrivent, moi je ne me pose pas la question, et je n’ai de toutes manières aucun complexe d’infériorité à avoir. Et puis de toutes façons, Black Cat qui n’arrête pas de frimer avec les siens de seins, je suis certaine qu’elle est bien incapable de passer à travers une lucarne !
Hum…Je disais donc que je préfère la grâce pour ma part, de la part d’une ancienne danseuse classique ce sera peu surprenant me direz vous. Une grâce dont on m’a souvent dit qu’on la retrouvait dans mon visage. Encore une fois sans me vanter, il est vrai que ce compliment me va bien. Peau douce sans imperfections, un petit nez et des lèvres pulpeuses sans virer dans l’excès. Mes yeux aussi je les aime bien, verts, comme ma couleur préférée, ce doit être pour ça que j’ai un faible pour les émeraudes. J’ai les cheveux noirs naturellement, plus jeune je les avais longs et me tombaient jusqu’aux hanches, mais depuis quelques années je les ai coupés courts. C’est plus pratique pour les faire rentrer dans ma combinaison lorsque j’endosse l’identité de Catwoman, en contrepartie ils ont décidé de me le faire payer en étant impossibles à coiffer ou presque.
D’un point de vue vestimentaire ? Non vous ne saurez pas ce que je porte en dessous les amis, il n’y aura que certaines petites chanceuses qui le découvriront. Mais pour faire simple, disons que le jour je porte de quoi me fondre dans la masse, et que la nuit je me lâche bien d’avantage, surtout quand il y a du business à faire.
Caractère : La modestie, c’est un état d’esprit qui est bon pour les personnes qui n’ont rien à montrer de valable. Cela vous choque ? Vous entrez alors sans doute dans cette catégorie. On m’a plusieurs fois traitée de pute car je n’ai pas ma langue dans la poche, et que je me fiche bien de tout ce qui a trait à la morale. Non seulement je l’assume, mais en plus je vous emmerde.
Un peu plus sérieusement ? Mais je le suis. Vous savez grimper aux murs avec l’agilité d’un chat ? Sauter de plusieurs étages et vous réceptionner sans aucun muscle froissé ? Si c’est le cas alors très probablement que je montrerais moins venimeuse à votre encontre, du reste, vous ne m’inspirerez que du désintérêt, au mieux. J’ai une haute estime de moi-même en effet, sans me considérer comme étant la meilleure, car on trouve toujours plus fort que soi. Mais la modestie n’est pas dans ma nature, deal with it.
Mon ancien psy m’a diagnostiquée comme étant une kleptomane, voilà un défaut que je reconnais. Mais encore une fois je l’assume, à quoi vous attendiez vous d’autre de la part d’une Catwoman ? Voler, m’infiltrer dans un musée ou une bijouterie pour dérober des objets précieux m’excite, c’est un rituel, ma prière quotidienne, ma raison de vivre. Toutefois j’ai quand même quelques principes. Je ne tue pas, sauf si c’est nécessaire pour sauver ma propre peau, et je ne vole pas ceux et celles qui sont dans la galère financière. D’une part car je sais ce que cela fait de vivre dans la pauvreté, et d’autre part parce que ce n’est pas là qu’on trouve des émeraudes. Redistribuer le fruit de mes rapines ? Non, faut pas déconner non plus.
Il y a en revanche bien un type de créatures qui attire toute ma sympathie, ce sont les félins. J’ai tendance à adopter tous les chats errants que je peux croiser sur ma route, et je ne résiste pas à un miaulement plaintif. J’ai très récemment découvert ce que sont les Nekos d’ailleurs, et je dois bien admettre que je fond devant leurs petites bouilles mignonnes. Miaw.
Vous en savez suffisamment sur moi mes mignons, il ne faudrait pas que je me dévoile de trop. En somme je suis quelqu’un qui sait ce qu’elle vaut, et qui, sans être fondamentalement mauvaise, pense d’avantage à elle-même qu’aux autres. Ah et je suis pas une fan du couple au sens traditionnel du terme, alors rangez ces bagues de fiancailles et ces demandes en mariage, vous êtes ridicules.
Histoire : Avec un nom et un prénom tels que Cécile Lacroix, vous vous doutez bien que je ne suis pas une native de Seikusu ou même du Japon mes petits chats. Je suis une française, née dans cette belle ville de Paris, encore que cela dépends de quel point de vue on se place. Vous qui vouez un culte à cette ville, je vous conseille pas d’y aller sous peine de grosse désillusion, mais je m’égare. Je suis la fille unique de mon père et de ma mère, rien de bien folichon pour le moment, à ceci près que je n’ai jamais connue mon salopard de père, il s’est barré quand ma mère lui a annoncée qu’elle était enceinte de lui. Vous savez ce que c’est, il faut des années pour aller chercher un paquet de clopes au bureau de tabac du coin.
Ma mère ne m’a jamais parlée de lui, qu’est ce qu’il y aurait eu à dire en même temps ? Pour moi c’était un lâche qui nous avait abandonnées ma mère et moi, point final, pas besoin d’en rajouter. Pour ma défunte mère, j’ai un peu plus de respect, ne serais-ce que pour avoir résisté à l’envie d’avorter, et de m’avoir élevée du mieux qu’elle le pouvait. On vivait dans un petit studio dans le nord de la ville, ce n’était pas glorieux comme vie, ni très intéressant, mais c’était la mienne. J’étais déjà mâture pour mon âge, déjà en étant une petite gamine je trouvais les jouets comme étant une dépense inutile. Bien sûr, cela ne m’attira pas l’amitié de mes camarades à l’époque. Je n’avais jamais de vêtements à la mode, ni même le dernier jouet que tout enfant devait avoir sous peine d’être la risée de l’école. On me traitait de pauvre déjà, mon désintéressement pour mes semblables doit probablement venir de ces jeunes années de ma vie. Il y a un connard qui sommeille en chacun d’entre nous, et ce n’est que justice que je sois une pute avec mes semblables, personne n’est innocent. Personne.
Malgré la pauvreté on arrivait quand même à s’en sortir ma mère et moi, ce n’était pas toujours facile, il y avait des moments de doutes, mais je l’aimais et c’était réciproque, un état d’esprit qui nous a permis de tenir bon. J’ai fini par grandir, à aller au lycée, et à découvrir ce que l’adolescence signifiait. Ma crise d’adolescence me changea du tout au tout, de timide, j’étais devenue odieuse et provocatrice. Autant dire que mes résultats au lycée ne suivaient pas, tandis que je découvrais les joies de l’alcool et de la drogue avec certains de mes amis, les premiers qui ne me jugeaient pas quand à l’apparence de mes fringues.
Bien sûr un tel comportement ne plaisait pas à ma mère. Elle aurait voulu que je reste une gentille demoiselle, que je fasse des études longues pour m’en sortir, autant de niaiseries auxquelles je ne croyais pas. On s’est engueulées, souvent, durant certaines périodes c’était même systématique. Et plus je m’engueulais avec elle, plus je ressentais le besoin d’oublier, et j’ai commencée à prendre des drogues de plus en plus dures. J’ai dû perdre ma virginité quand j’étais défoncée, avec qui, je ne le sais toujours pas, et je m’en foutais à l’époque. Mais la drogue ça coûte cher, et à force de prendre crédit sur crédit, certains dealeurs avaient décidé un beau soir qu’ils allaient se payer à l’appartement de ma mère.
Je n’étais pas présente ce soir là, j’aurais dû. Ce n’est que le matin que je rentrais de la fête d’un ami, encore avec la gueule de bois. La porte ouverte de l’appartement m’avait bien sûr interpellée, et j’ai paniquée en voyant la serrure défoncée et le bordel monstre à l’intérieur. Mais ce qui était le pire, c’était la vision de ma mère allongée contre les pieds de la table de la cuisine, baignant dans son sang, et me fixant avec ses yeux vides, morte. La police déclara plus tard que c’était un cambriolage qui avait mal tourné, sans pour autant être capable de mettre la main sur les meurtriers. J’avais quatorze ans, et je me retrouvais orpheline, alors que la veille au soir je m’étais engueulée avec elle. Ce sentiment de culpabilité continue de me hanter aujourd’hui, mais j’étais résolue à faire ce qu’elle m’avait demandée, devenir quelqu’un, même si ce serait avec mes propres méthodes.
J’ai suivi une cure de désintoxication de plusieurs mois avant d’atterrir dans une famille d’accueil, et de rattraper mes conneries passées, même si j’étais convaincue que tout ça ne servirait pas à grand-chose. C’est le besoin d’argent de poche qui me poussa à commettre mon premier vol au lycée, un pickpocket improvisé, qui aurait tout aussi bien pu mal se passer. Mais plus que le besoin d’argent, la poussée d’adrénaline que j’avais ressentie à ce moment n’était aucunement comparable avec toutes les drogues que j’avais pu tester jusque là. Je n’étais pas encore une voleuse experte alors, et je ne pratiquais pas de façon régulière cette activité, mais je me rendis compte à quel point de l’organisation et un peu de jugeote pouvait me permettre d’obtenir ce que je voulais.
Sous le couvert de bonnes notes, ma famille d’accueil consentit à m’autoriser quelques loisirs, à titre de récompense pour ma bonne conduite. Gymnastique et danse classique furent mes choix, et je devins particulièrement douée dans ces deux disciplines. Je lisais aussi beaucoup de Comics, et sans en révéler de trop, c’est là que me vins le fantasme, puis l’idée pas si irréalisable que ça, d’incarner mon personnage favori, Catwoman. Plus qu’un personnage de Comics, c’était un modèle pour moi, il n’est pas impossible, au vu de ce que je suis devenue, que cela en est même devenu une obsession.
En parallèle de mes études d’informatique après avoir quittée le lycée, et décrochée mon Bac avec la mention Très Bien, sans me vanter hein, j’ai commencée à vraiment me faire la main en tant que voleuse. J’étais à Londres pour suivre mes études, et tout cela coûtait cher, et comme je n’avais pas envie de me nourrir uniquement de pâtes au sel, disons que le pickpocket s’imposa de lui-même. Je devenais douée, très douée même, tout en continuant à entraîner mon corps et à enchaîner les corps d’un soir, même si je me découvris très vite une nette préférence pour les femmes, jusqu’à ce que cette préférence devienne une exclusivité.
J’ai néanmoins fait preuve d’une trop grande confiance en moi quand, vers l’issue de ma formation, je me pensais suffisamment douée pour hacker des comptes bancaires. J’ai appris à mes dépends que c’était plus sécurisé que ça, et que dans ce genre de cas, les flics sont très rapides à la détente. J’ai dû fuir, me procurer une nouvelle identité, et quitter le pays. J’attendis clandestinement que les choses se tassent, et peu à peu on m’oublia. Je dois bien avouer que mon choix de m’exiler définitivement à Seikusu tient plus du hasard que du véritable choix, mais avec le recul, c’était probablement le plus gros coup de chance que j’ai eu de toute ma vie. Qui aurait cru que dans cette Métropole se trouve des portails menant à une autre dimension ? Pas moi, pour preuve j’en ai traversé un sans m’en rendre compte, et j’ai atterri dans une espèce de gigantesque ville futuriste. Naturellement, je ne tardais pas à me faire embrigader par des femmes dont je ne connaissais rien, mais qui avaient des flingues et un air menaçant, suffisamment pour me forcer à les suivre sans me poser de questions. Même si tout ceci est désormais clair comme de l’eau de roche pour moi, ça ne l’était pas sur le moment. Tout juste avais-je compris que si j’étais coopérative, je pouvais gagner gros, que mes empreintes digitales et mon visage étaient inconnus ici, et qu’elles voulaient s’en servir.
J’ai osée à ce moment là, et après un peu de réflexion, leur demander si elles pouvaient me donner des capacités semblables à l’héroïne du Comics que je tenais dans les mains au moment de traverser le portail. Elles ont dit oui, et moi, j’ai pas cherchée plus loin. Entrer dans un bâtiment, menacer un scientifique avec une arme en faisant fi des caméras de surveillance qui me filmaient, lui prendre une puce électronique sur la quelle il travaillait et me barrer en vitesse. C’est tout ce dont je me souviens à peu près, je préfère me souvenir de l’opération après, qui m’a rendue plus forte, plus agile, et de ce matériel, ce putain de matos. Je rentrais sur Terre sans comprendre comment, et je me décidais à tester ça immédiatement. Ma première bijouterie dévalisée, et avec ce que j’avais récupéré, suffisamment d’argent pour m’acheter un appartement et quelques chats.
Prépares toi Seikusu, il y a une nouvelle Catwoman en ville.
Autres : Je ne sais pas trop comment ces femmes étranges s’y sont prises, mais le fait est qu’elles m’ont sacrément boostée. J’ai des réflexes accrus, une vision et une ouïe plus perçantes, et une résistance corporelle bien plus grande qu’un humain lambda, ce à quoi on peut ajouter une maîtrise de quelques arts martiaux que j’ai appris d’une façon qui n’est pas sans rappeler Matrix.
Outre ça, j’ai aussi héritée de quelques jouets bien sympathiques. Ma combinaison tout d’abord, qui est en matière flexible mais très résistante, et avec des éléments d’armure au niveau des jambes et des bras. Elle possède des griffes rétractiles en acier renforcé dont je me sers pour grimper aux murs et pour me défendre. Des lunettes de mon propre design mais pas de ma propre fabrication, qui me confèrent un certain anonymat quand je les porte, en plus d’une vision nocturne, thermique, et à rayons X. Et enfin mon arme de prédilection, un fouet composé, à ce que j’ai cru comprendre, de nano-robots qui lui permettent de s’allonger de plusieurs mètres en quelques millièmes de secondes, c’est pas beau la technologie ?
Ah, et j’ajouterais que ceci est une doublette, merci à Alice pour m’avoir fait découvrir cette image de Catwoman. <3
