Une Maîtresse à temps plein [PV Carmen]

Une fois n'est pas coutume, Riya était à l'heure actuelle en train de se faire sauvagement sauter par un client avec de très nettes tendances zoophiles... Celui-ci habitué à forniquer avec les animaux, avait trouvé en ce club un havre de plaisir avec la belle humanoïde Neko, qui était devenue la seule prostituée qu'il fréquentait au club. Pour sa part, la jeune fille aurait préférée tomber sur... comment dire ça avec tact ? Moins laid ? Bref, elle commençait à en avoir un peu marre de sucer un membre aussi difforme et nauséeux, mais même si il la dégouttait, la jeune chatte le faisait tout de même pour Sumiko, pour qu'elle ait de quoi manger aujourd'hui. Cela devait faire bien des années qu'elles vivaient dans cette ville assez étrange, mais quel meilleur endroit pour se cacher, qu'une ville aux meurs légères et avec des habitants moins humains qu'ils n'en ont l'air ?

La furry resta encore deux heures supplémentaires à se faire prendre par tout les orifices, avant de recevoir enfin sa paye, soit un pack de lait, quelques poissons en surgelés et deux ou trois fruits. En comptant les "croquettes" et les yaourts du club de la veille, il y avait de quoi tenir jusqu'au lendemain soir, ce qui était plutôt une bonne chose. Mettant ses vivres dans un sac à dos, elle le mit sur ses épaules et vérifia que personne n'était dans la sombre ruelle, avant de sauter jusqu'aux toits et de se mettre à courir à quatre pattes, sautant par dessus les rues. Le fait qu'il fasse encore sombre l'aida à passer inaperçue, sauf peut être pour des yeux attentifs.

Lorsque Riya arriva enfin à destination, ce fut pour se retrouver sur la terrasse d'un appartement délabré, où les meubles étaient plus ou moins déglingués. Sur un lit défoncé, sa petite sœur baillait à s'en décrocher la mâchoire, roulée en boule avec une pelote de l'aine entre les pattes. l'Aînée s'approcha doucement et lui lécha copieusement la joue.

- Nyûûû ~

- Coucou p'tite sœur... Je t'apporte le p'tit dèj ~

- Nyâ !

Celle-ci ne se fit pas prier et se jeta joyeusement sur l'une des bouteille de lait. Les deux furry prenait ainsi leur premier repas de la journée, lorsque quelques coups furent donnés contre la porte. Peureuse, Sumika se cacha aussitôt dans le drap, tandis que la Riya se dirigea à pas de velours jusqu'à l'entrée.

- Qui est là ? Laissez nous tranquille !

Il était 6h du mat. Le club était fermé et les derniers clients partis. Quand à moi... j'étais juste HS, comme d'habitude. Les rares employés débarrassent les tables avec moi avant de partir. il ne me reste qu'à donner un petit coup de balais, je ferai les comptes de la soirée avant l'ouverture de ce soir vu qu'il est déjà 6h du mat'.
Parfois il m'arrive de me dire que... ce n'est pas la vie que je souhaitais. Je me tue au travail. Certes j'ai ouvert un bar, c'est cool, c'est fun, y'a 5 nanas sexy au m2 quand c'est ouvert, je gagne plutôt bien ma vie mais le frisson n'y est plus.

*Il me faut quelque chose pour me changer les idées.*

Je mets du massive attack : Black milk histoire que l'ambiance colle avec mon humeur du moment. Il m'arrive parfois de me sentir... un peu... hors de la réalité. Ne plus marcher mais flotter. C'est peut-être simplement de ça que j'ai besoin ? m'évader. Je vais peut-être prendre des vacances... partir dans un coin chaud... honolulu ou bora bora ou un autre nom à la con qui se répète.

J'éteins tout et me prépare à partir. Je ferme la porte du bar et prends la direction de mon appart quand tout à coup je distingue un truc un peu bizarre droit devant. On dirait... euh... une sorte de chat géant avec un sac à dos. A la limite j'aurais pu croire à un déguisement mais... ce chat est en train de grimper partout à une vitesse vertigineuse. Quelques petits saut et il arrive à une terrasse.

Moi qui justement m'ennuyait, l'occasion est trop belle. Je suis curieuse de nature. Je compte les étages, le nombre d'appartements à partir de la gauche et le mémorise.

*J'ai envie d'aller voir ca.*

J'arrive devant la porte. Enfin je crois... je décide de toquer quelques coups secs pour ne pas montrer mon hésitation.

Une voix se fait entendre derrière, c'est bon signe, il y a quelqu'un qui est encore réveillé. Je veux voir de mes propres yeux cette personne.

Je recommence donc à toquer. Ce qui se passe dans cet appart' est étrange. Je décide donc de m'assurer de façon définitive que l'on m'ouvre la porte.

Ouvrez moi ou j'appelle la police.

Malgré sa demande, Riya n'obtient que de nouveaux coups en guise de réponse, suivi d'un ordre.

- Ouvrez moi ou j'appelle la police.

Ce qui eu pour seul effet de faire sortir les griffes de la furry. Non mais pour qui se prenait cette personne, à venir leur pourrir la vie ? Il leur avait fallut une bonne vingtaines d'années, à elle et à sa sœur, pour s'habituer à la vie d'ici, loin de Kyôtô et si l'intruse appelait effectivement la police, il ne leur restera plus qu'à allez s'installer ailleurs et tout recommencer depuis le début, sans doute même dans une situation encore plus précaire qu'à l'heure actuelle. Et de toute façon, que leur voulait cette personne ? Les adopter ? Les exploiter ? Les capturer ? Riya ne pouvait pas se permettre d'accorder la moindre confiance à une inconnue, pas tant qu'elle veillera sur Sumika.

- Pour quel motif ? Squatte d'un appartement délabré ? Vous n'avez toujours pas répondue ! Que nous voulez vous ?!

Derrière elle, dans l'encadrement de la porte menant à la chambre, la tête de la cadette dépassait à moitié, laissant voir le haut du crâne et les yeux de la petite, qui regardait timidement en direction de la porte.

- Et qui êtes vous d'ailleurs ?

Dans un coin de sa tête, la Neko espérais que l'intruse ne tente pas de défoncer la porte. Parce que la dite porte n'était vraiment pas très solide... Et cette personne risquait aussi de se faire assez mal en tombant...

La personne derrière cette porte a l'air assez énervée. Et vu ce qu'elle m'avait dit un peu plus tôt, elle n'est pas seule. La sagesse serait de s'arrêter là, il est tôt, de rentrer se coucher, de reprendre le cours de ma vie avant que je ne me lance dans cette petite escapade nocturne. Une petite voix dans ma tête me disait, c'est ce qu'il y a de mieux, fais le. Mais l'idée de retourner à mon train train quotidien sans profiter un peu plus longtemps de ce souffle d'adrénaline me déprime. Je veux voir les habitants de cet appartement.

Ecoutez, je ne vous veux aucun mal, j'aimerais juste pouvoir entrer et discuter avec vous. Je suis une simple euh... femme qui possède un bar un peu plus loin, je ne représente pas une menace mais je veux et je tiens à entrer un moment pour discuter calmement avec vous et s'il le faut je suis prête à faire venir la police pour n'importe quel prétexte bidon, ils vous forceront à ouvrir et je pourrai vous voir de mes propres yeux. Je reconnais que cela peut vous être un peu ennuyeux, c'est pourquoi il est préférable que vous m'ouvriez gentiment afin qu'on puisse converser... poliment ?

C'est assez inhabituel comme situation. Quelque part ca me gêne et en même temps... c'est grisant. Je veux de l'inconnu. Je reste donc bras croisés devant la porte en attendant que mon interlocutrice inconnue veuille bien m'ouvrir.

Riya écouta toute la tirade de cette femme et faillit bien tomber à la renverse en entendant une certaine partie du petit discours.

- ... s'il le faut je suis prête à faire venir la police pour n'importe quel prétexte bidon, ils vous forceront à ouvrir et je pourrai vous voir de mes propres yeux.

Il avait vraiment fallut qu'elle se fasse remarquer par se genre d'énergumène ? Sans blague, qui irait appeler les force de l'autorité juste pour voire une personne ? Mais ce qu'elle avait dit un peu plus tôt retint tout de même son attention. De quel genre de bar pouvait-il bien s'agir ? Malgré sa méfiance, la Neko devait avant tout penser à Sumika. Peut être que leurs conditions de vie pourraient nettement s'améliorer... Peu être... D'un regard, l'aînée fit signe à sa cadette de retourner se cacher, puis ouvrit la porte en restant derrière.

- Très bien, vous pouvez entrer, mais ne vous retournez que lorsque je vous l'autoriserais...

La furry la laissa donc entrer et vérifia bien que personne d'autre n'était avec elle, avant de refermer la porte et la verrouiller du mieux qu'elle le put. Puis pris une chaise et s'y assis, devant la porte, cachant ainsi son intimité un peu mieux.

- Vous pouvez vous retourner, mais je vous déconseille de prendre une photo avec votre portable, sinon celui-ci finira en miettes.

Plissant les yeux d'un air méfiant devant l'intruse, la Neko enchaîna.

- Maintenant, que voulez vous vraiment ? Je doute que ce soit seulement pour me voir... Je suppose que vous voulez savoir comment une telle chose est possible ?

Finalement, on m'invite à entrer. Je ne suis que moyennement heureuse bizarrement. En franchissant la porte je me sens... un peu comme Alice : perdue dans le terrier du lapin blanc. On m'oblige à avancer sans que je ne me retourne. Bon... c'est inhabituel mais ok. Si ce que j'ai cru voir un peu plus tôt dans la  rue est vrai, je peux comprendre.
Malgré tout, mon sang ne fit qu'un tour quand j'entendis le loquet qui verrouille la porte se fermer.

*Ok... garde ton sang froid, tout va bien se passer*

La voix féminine m'autorise à me retourner mais sans toutefois pouvoir prendre de photos et je vois donc... euh... c'est ce que les japonais appellent un néko ? Un furry ? J'hallucine un peu les premières secondes. Et puis... la poitrine de cette... chatte (?) me fait un peu tiquer. C'est si surprenant...

- Maintenant, que voulez vous vraiment ? Je doute que ce soit seulement pour me voir... Je suppose que vous voulez savoir comment une telle chose est possible ?

Je suis un peu prise au dépourvu mais je me ressaisi le plus rapidement possible. Ok euh... voyons.

Alors euh pour commencer oui effectivement. Et euh... enfin je suis désolée mais vous êtes... à poil ? Enfin nue quoi ?

Je secoue la tête pour m'efforcer à redescendre sur terre. Quelle drôle de soirée.

Vous êtes une néko ?! Mais comment vous faites pour vivre sans vous faire repérer ?! Y'en a beaucoup des comme vous ?!

Les questions fusent un peu trop vite dans ma tête et j'ai du mal à me contenir et en plus à réussir à faire le lien avec la parole. Tout cela est... renversant.

Bon, vu la tête que tirait la femme, au moins elle n'avait pas d'intention néfastes la concernant, c'était déjà ça. Quand à sa question, cela eu le mérite de la faire légèrement sourire.

- Alors euh pour commencer oui effectivement. Et euh... enfin je suis désolée mais vous êtes... à poil ? Enfin nue quoi ? Vous êtes une néko ?! Mais comment vous faites pour vivre sans vous faire repérer ?! Y'en a beaucoup des comme vous ?!

La Neko en question pris son temps pour répondre, cherchant la meilleure façon de présenter les choses. En même temps qu'elle réfléchissait, elle détailla du regard l'apparence de la femme... Une belle peau couleur pêche et de longs cheveux noirs... Sans omettre son opulente poitrine... A tout les coups, elle devait travailler dans un sex bar ou un autre truc du genre...

- Oui, je suis nue, parce que tout les vêtements que j'ai tentée de mettre se dissoutes à mon contact, raison pour laquelle je sors pas en journée. Quant à savoir si il y en a d'autres en ville... pas à ma connaissance... Avant d'être une Furry Neko, j'étais une humaine... Jusqu'à ce que je sois victime d'un accident de la route avec un camion citerne. Je crois qu'il transportait des produits chimiques légèrement radioactif... En me réveillant, je suis devenue ainsi.

Riya se leva de sa chaise et marcha jusqu'à la fenêtre brisée, réparée à la vas vite avec une bâche en plastique transparent. Dehors, les habitants commençaient à partir au travail ou à ouvrir les petits commerces. Tout en observant la ville se réveiller, la Neko balançait doucement sa queue, laissant apparents ses fesses et les coussinets de ses mains, croisées dans son dos.

- Depuis, je me cache et ne sors que la nuit, travaillant au noir contre un peu de nourriture. Il est hors de question que je termine dans un centre de recherche, surtout que c'est leurs produits bizarres qui m'ont fait ça. Il m'a fallut du temps pour m'habituer à cette vie et je ne laisserais personne tout foutre en l'air... sauf si ça améliore notre confort...

J'écoutais avec attention ce que cette femme chat disait. Alors c'était une humaine à la base. Tant mieux pour elle à la limite. Enfin... ca se discute mais au moins elle connait la vie. Désormais ne regarderai plus jamais les camions citerne de la même manière ! C'est vraiment une saleté les radiations. J'ai aussi eu un moment de stupeur quand elle m'apprit que les autres vêtements fondent à son contact. Par contre pendant qu'elle répondait à mes questions je me mis à détailler un peu l'endroit : je regardais un peu tout autours de moi et cet appartement... c'est franchement la zone ! Même la cave de mon bar est mieux aménagée. Enfin... j'en ai surtout fait un donjon pour mes jeux sexuels mais... malgré ca je crois que ca reste plus propre et moins froid qu'ici.

Mais euh... dans quel endroit il est possible d'employer une néko ? Je veux dire... c'est pas un truc que tu peux cacher facilement si ? Et tu travailles contre de la nourriture ?

Et puis d'un coup j'ai eu un flash ! Elle parle toujours à la première personne du pluriel. Et elle me dit qu'elle n'en connait pas d'autre comme elle. Y'a anguille sous roche.

- sauf si ca améliore notre confort...

C'est très étonnant mais cette phrase sonne comme... une proposition ? Je me vois mal embaucher une femme chat dans mon bar. En fait, je ne vois pas ce qu'elle pourrait faire tout court. Quoi que... lentement les morceaux du puzzle s'additionnent. Absolument tout le temps nue ? Serait-il possible que cette chatte se prostitue ? Mais comment fait-elle pour que cela ne s'ébruite pas ??

- Mais euh... dans quel endroit il est possible d'employer une néko ? Je veux dire... c'est pas un truc que tu peux cacher facilement si ? Et tu travailles contre de la nourriture ?

Riya soupira... Il fallait croire que les sous entendus et la gestuelle n'étaient pas suffisants pour lui faire passer le message. Mais si la Neko ne disait pas clairement se qu'elle faisait en réalité pour gagner de quoi survivre, c'était surtout à cause de sa petite sœur. La furry ne voulait pas que Sumika entende de quoi elles vivaient, pas devant elle.

- Je suis employée dans des clubs exotiques... le genre d'endroit où on ne pose pas de questions, tant qu'on est efficace. Et si je travaille contre de la nourriture, c'est bien parce que l'argent ne me sert pas à grand-chose, ne pouvant pas sortir de jour...

Du coin de l'œil, l'aînée vit sa cadette dans la même position que tout à l'heure, observant timidement la femme en ne montrant que le haut de sa tête jusqu'aux yeux, retournant se cacher complètement dès que l'intruse la vit enfin.

- Je suis prête à tout pour la protéger... Tant que je serais là, rien ne lui arrivera.

Des clubs exotiques... ouais je vois. Mais ce n'est toujours pas le cas de mon bar. J'imagine qu'il doit y avoir un mineur ou l'autre qui se glisse dans la clientèle avec une fausse carte d'ID mais à part ca, il n'y a rien d'illégal dans mon bar. Ceci dit... se prostituer pour de la nourriture. Vu son gabarit ca ne doit pas faire des tonnes de bouffe. Je me dis qu'il y a peut être quelque chose à faire de cette...

Tout à coup une autre petite chatte laisse dépasser le haut de sa tête et se re-cache immédiatement.

Euh... de ces petites chattes ?

- Je suis prête à tout pour la protéger... Tant que je serais là, rien ne lui arrivera.

Ah d'accord ! Je vois je vois. Elle c'est celle qui se prostitue pour que l'autre puisse bouffer. Hin hin... Peut être que si j'adoptais deux petits animaux domestiques que je rémunérerais avec un peu à manger je pourrais sortir un peu de ma monotonie ? Ca veut le coup d'essayer après tout, si ca ne marche pas, qu'est ce que je risque ? Devoir leur demander de repartir ? j'ai déjà vécu pire dans la vie.

Eh bien dans ce cas... j'ai disons... une annexe dans mon bar dont moi seule ait la clé. Ici elle pourrait être en sécurité et aussi beaucoup mieux hébergée. Quand à toi... je crois avoir quelques attractions à la cave qui pourraient de permettre de me dédommager pour la nourriture et l'asile que je vous fournirai. Bien sûr cela signifie que je vous adopte et qu'à partir de maintenant vous êtes à moi. Je suis votre maitresse.

J'essayais d'appuyer la phrase en regardant la néko prostituée pour bien lui faire comprendre ce que j'attends d'elle. Une seule petite chatte soumise me suffira amplement... pour l'instant.

Mais avant que je ne vous accueille chez moi il faudra... me prouver que je peux compter sur toi. Euh... peut être que ton amie pourrait aller jouer dans la pièce d'à coté pendant que nous discutons entre grandes personnes ?

Je comprenais très bien pourquoi elle parlait uniquement à demi-mot. Elle veut que son amie ne sache rien de tout ça. Faut il qu'elle soit assez naïve...

- Eh bien dans ce cas... j'ai disons... une annexe dans mon bar dont moi seule ait la clé. Ici elle pourrait être en sécurité et aussi beaucoup mieux hébergée.

En entendant cette affirmation, les oreilles de Riya se redressèrent sur sa tête et elle se retourna vers la femme. Avait-elle bien entendue ? C'était sans doute une bonne chose, mais la pièce était-elle suffisamment insonorisée ? Déjà qu'un tel lieu n'était pas l'endroit idéal pour une gamine, il ne faudrait pas qu'en plus elle entende tout.

- Quand à toi... je crois avoir quelques attractions à la cave qui pourraient de permettre de me dédommager pour la nourriture et l'asile que je vous fournirai. Bien sûr cela signifie que je vous adopte et qu'à partir de maintenant vous êtes à moi. Je suis votre maîtresse.

Maîtresse hein ? Patronne du club, c'est sans doute pas assez prestigieux pour cette femme, qui doit voir en elle une parfaite petite soumise.

- Mais avant que je ne vous accueille chez moi il faudra... me prouver que je peux compter sur toi. Euh... peut être que ton amie pourrait aller jouer dans la pièce d'à coté pendant que nous discutons entre grandes personnes ?

La furry soupira un bon coup, avant d'entrer dans la pièce. Mais avant de pouvoir dire quoi que ce soit, sa cadette lui sauta littéralement dans les bras en fourrant sa tête dans le creux du cou.

- Nyûûûûû ~

- Là, ne t'inquiète pas Sumika, cette femme va nous héberger dans un meilleur endroit...

- Nyû ?

- Oui, mais il faut que l'on discute des termes avant...

Riya berça sa petite sœur un moment, jusqu'à ce qu'elle s'endorme, avant de la déposer sur le lit et de refermer la porte. Puis, elle s'adressa de nouveau à la femme.

- Cette fille n'est pas mon amie, c'est ma petite sœur et elle n'a que 8 ans. Je veux bien travailler pour vous, mais à une seule condition. A aucun moment vous n'irez l'impliquer dans quoi que ce soit de sexuel ni même lui montrer "innocemment" des choses perverses et dégradantes. Dans le cas contraire, je considérerais le contrat comme rompu et vous le ferais payer. Ce n'est pas parce que nous ne sommes plus "humaines" que vous pouvez vous permettre de faire ce que vous voulez avec elle.

La néko a l'air d'accepter. Bien ! Alors on va pouvoir commencer à jouer. Elle accompagne sa copine à coté. Elle n'a l'air de ne savoir que miauler. On dirait qu'elle a été plus atteinte que la première.

- Cette fille n'est pas mon amie, c'est ma petite sœur et elle n'a que 8 ans. Je veux bien travailler pour vous, mais à une seule condition. A aucun moment vous n'irez l'impliquer dans quoi que ce soit de sexuel ni même lui montrer "innocemment" des choses perverses et dégradantes. Dans le cas contraire, je considérerais le contrat comme rompu et vous le ferais payer. Ce n'est pas parce que nous ne sommes plus "humaines" que vous pouvez vous permettre de faire ce que vous voulez avec elle.

Ah. Euh ok. Message reçu. Sa soeur ? Loin de moi de vouloir pervertir une pauvre petite gamine de 8 ans. Elle sera préservée de tout. Et puis... je sais pas. 8 ans ?! En fait ca ne me donne même pas envie.
Bref je me reconcentre. A la fin elle dit... avec elle ? Donc je peux faire n'importe quoi avec toi si je la laisse tranquille ? Ca me va.

Marché conclu. Crois moi, je pense pouvoir vous offrir une meilleur vie que celle que vous avez eu jusqu'à maintenant. Bien entendu il va te falloir faire de gros efforts pour le mériter. En fait...

Je commence à me déshabiller moi aussi jusqu'à me retrouver nue comme la néko... avec moins de poils.

Il va te falloir devenir une esclave sexuelle et docile. Tu vas devoir t'engager à obéir à chacun de mes ordres et faire de ma satisfaction et de mon plaisir tes 2 priorités. La 3 ème sera de devenir la plus chienne des petites chattes. Sans jeu de mot. Evidemment, ton intérêt réel et principal restera prendre soin de ta soeur mais ca et ce que je dis revient au même. Vous ne manquerez de rien.

Je m'assois sur une chaise en gardant les jambes assez écartées.

Si tu te sens de taille.