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[FINI] L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

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Asami Yamada

Humain(e)

Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

Réponse 15 jeudi 31 janvier 2013, 21:28:06

Asami était stressée par sa question, dont la réponse lui importait assez, ne voulant surtout pas perdre sa virginité ici. Bien qu’elle tenta un moment de se convaincre que c’était la preuve de sa réticence à faire des choses plus osées avec la vampire...Elle ne put même pas y croire ne serait-ce que quelques instants : Elle ne refusait pas grand chose, tout au plus ne faisait qu’offrir d’elle même et de plus belle qu’un peu moins, et encore, ce ne serait de toutes façons qu’une question de temps...Comme réponse, la lycéenne n’eut que la douce bien que regrettable sensation du membre de sa Maîtresse quittant les lèvres de son sexe, alors que celle-ci allait pour l’embrasser, ce à quoi la jeune fille n’eut comme réaction que d’avidement présenter ses lèvres, réalisant définitivement sa soumission, ou plutôt l’addiction dont elle était victime.

Mais ça ne dura pas longtemps, et bien vite, la vampire retourna à ses affaires, défaisant le restant des boutons de sa chemise, dévoilant son ventre et sa poitrine alors qu’elle rougissait, et finalement la faisant tomber de ses épaules, ne manquant pas d’au passage caresser la douce peau d’Asami. Elle était maintenant quasi intégralement nue, et, ce qui passait pour étrange, alors qu’elle ne portait plus depuis quelques temps sa culotte, tout le bas de son corps exposé avec la seule exception de ses jambes dont la finesse et la longueur étaient soulignées par ses collants, son soutien-gorge était encore en place. Ceci fait, la jeune femme ne profita même pas de tout ce terrain de jeu mis à nu, ce qui décevait presque Asami, et lui demanda directement de se retourner pour répondre à son offre et assouvir ses désirs. Sa voix était à ce moment autoritaire, témoignant peut-être d’une certaine envie de profiter de la lycéenne ainsi que, s’étant après tout montrée assez intentionnée, l’intention de la rassurer, mais elle restait douce, tant par son intonation que ses promesses exquises. Elle s’exécuta alors, sachant très bien ce que sa Maîtresse attendait d’elle, elle se cambra en avant, accompagnée des mains de celle-ci qui se posaient délicatement sur son corps, un contact très appréciable, et posa presque une de ses joues contre le mur, ne pouvant cependant regarder la vampire directement, elle en devinait du coin du regard les mouvements.

Elle sentit vite les mains de la vampire à nouveau se poser sur elle, cette fois dans le but résolu d’enfin profiter de son corps. Elle devait avoir vu juste en lui proposant de profiter de ses fesses, car elle ne s’attarda que sur cette partie de son corps, les massant longuement, ne faisant que cela : Elle devait y prendre un sacré plaisir, et Asami faisait de même, adorant le doux contact de ses mains ainsi que la façon dont elle était ainsi désirée, d’autant que, sans doute par habitude ou passion, ce toucher était orchestré d’une manière douce et sensuelle, caressant chaque parcelle de son fessier...Durant ces longues minutes, son excitation monta en flèche, la préparant à ce qui allait lui arriver alors que de la cyprine coulait lentement le long de ses jambes écartées et qu’elle gémissait parfois d’un long souffle. Finalement, la Maîtresse daigna poser ses lèvres sur son esclaves, dans son cou plus précisément, ce qu’elle apprécia sans retenue, fermant les yeux et se plaquant contre le mur, laissant échapper un soupir de plaisir, ouvrant ses lèvres sous cette sensation, prête à se plaindre de ne pouvoir les coller à celles de la vampire...

Enfin, ses mains laissèrent ses fesses en paix de même que ses lèvres la quittèrent. Ces deux actions étaient très regrettables, mais au moins elles annonçaient l’assouvissement prochain de son désir formulé tout à l’heure. Elle sentit vite son membre l’effleurer, la caresser, sans aucune véritable intention de la pénétrer : Sans doute était-ce un jeu de sa Maîtresse dont elle devait tirer un malin plaisir, malheureusement pour elle. Excitée comme jamais, son corps entier réclamait l’organe qui caressait ses fesses, et, aussi agréable que cela-soit, elle finit vite par supplier la vampire de mettre fin à cette attente, d’une voix étouffée par le plaisir et la soumission, mais emplie de désir et de douceur.

« S’il vous plaît...Je vous veux en moi... »

Cette déclaration l’emplissait de honte et ne faisait que confirmer sa déchéance, mais au fond elle s’y offrait bien volontiers. Peut-être grâce à cela, bien que penser qu’Asami avait une réelle influence sur celle dont elle n’était maintenant que l’esclave était osé, la jeune femme décida finalement d’aligner son membre avec l’orifice de la lycéenne. Il ne resta pas ainsi, simplement posé, très longtemps, et assez vite, la jeune fille put sentir une légère pression, bien qu’elle n’avait que peu d’effet, et, assez logiquement, celle-ci s’amplifia vite, le trou ne réagissant quasiment pas, s’ouvrant à peine et en aucun cas assez pour que ça ait une quelconque utilité.

Visiblement impatiente, soupirant longuement et lâchant des petits bruits d’agacement, la vampire posa une main sur les fesses d’Asami, s’y fixant, mais, cela ne suffisant toujours pas, elle posa aussi une main sur un des seins de la jeune fille, une pression qu’elle sentit quelques instants avant que son soutien-gorge ne soit littéralement arraché, tombant au sol. Se servant finalement de sa poitrine désormais libre comme appui, elle parvint enfin à élargir l’anus de la vierge, lui faisant pousser de forts gémissements alors que ses yeux restaient fermés sous l’afflux de sensations.

Lorsque l’orifice fut assez élargi, le membre  eut assez vite raison de sa résistance et s’enfonça rapidement en Asami, lui arrachant un gémissement si fort qu’il lui fit même craindre qu’elles ne soient découvertes par quelqu’un alors que l’à-coup avait fait balancer sa poitrine. La vampire n’avait pas tout de suite commencé ses va-et-vient, laissant son pénis enfoncé dans la jeune fille alors que le choc de la pénétration retentissait encore dans son corps. Elle sentait une douleur, mais celle-ci se laissait effacer par le plaisir et la chaleur qui l’envahissaient, d’autant qu’elle avait tant désiré cela qu’il était maintenant dure d’en souffrir, et son anus, se contractaient parfois, stimulait le membre de sa Maîtresse sans même un mouvement, de même que son sexe, qui lui expulsait désormais un flot ininterrompu de cyprine dont quelques gouttes commençaient à tomber par terre selon les mouvements de la vampire et les coups de bassin qu’elle infligeait à son esclave.

La bouche ouverte de plaisir, raisonnant encore de quelques gémissements, ses lèvres couvertes de salive puisqu’elle passait parfois sa langue dessus et se les mordait sous toutes ces sensations, Asami appréciait ce moment, où elle sentait sans même un mouvement de rein de sa Maîtresse toute la domination qu’elle exerçait sur elle et sa puissance, sa plus grande représentation d’ailleurs fichée au plus profond d’elle. Tout cela ne fut pas interrompu par l’instauration de doux va-et-vient par la vampire mais par une vive claque sur ses fesses qui lui permit de s’accaparer toute l’attention de la jeune fille qui entendit clairement sa question malgré tout ce qu’elle pouvait ressentir. Ne pouvant qu’être d’accord, et excitée dans une certaine mesure par le « Ma chérie », ne sachant cependant pas si c’était le nom dont elle était gracieusement qualifiée ou simplement la possession qui lui causait cet effet, elle répondit, sentant une légère brûlure sur sa fesse qui rougissait sous l'effet de cette fessée...

«  Oui...Maîtresse...Mais commencez à remuer, je n’en peux plus... »

Mélinda Warren

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Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

Réponse 16 vendredi 01 février 2013, 11:36:08

« Oui...Maîtresse...Mais commencez à remuer, je n’en peux plus... »

N’était-ce pas, dans un sens, formidable ? Mélinda avait suffisamment d’imagination pour imaginer que Yamada avait du subir une intense sodomie de la part de Theorem, une sodomie qui, visiblement, avait laissé des traces... Le sexe de Mélinda était enfoncé dans son anus, défonçant son fondement. Elle commença alors à faire plaisir à sa petite esclave, et, sans rien dire, avec un sourire qu’elle ne pouvait pas voir, commença à remuer. Elle posa ses mains sur les hanches de Yamada, s’en servant comme appui en remuant son sexe, se glissant dans les fesses de cette dernière. Sa queue frottait contre les parois internes et dilatées du postérieur de la lycéenne, témoignant que ce n’était pas sa première sodomie, et qu’elle avait déjà bien du être défoncée par là. Les mains solides et fermes de la vampire se raffermirent un peu plus sur les fesses de la jeune femme, alors qu’elle continuait à remuer son membre, la pénétrant de plus en plus fort, sa queue s’enfonçant de plus en plus facilement en elle.

Yamada avait, comme pour le reste de son corps, un fessier superbe. Une jeune fille timide, une petite fleur qui dissimulait un élan de perversion, un élan que sa goule avait pleinement su voir, permettant ainsi à Yamada de disposer de deux maîtres : sa goule, et la maîtresse du maître, qui venait voir la manière dont l’élève avait suivi les conseils du maître. Elle était l’inspectrice des travaux finis, se contentant simplement de prendre son pied... Et ça n’allait pas la déranger. Sa queue s’enfonçait joyeusement en elle, lui défonçant les fesses, remuant de plus en plus, jusqu’à s’enfoncer entièrement. Arrêtant brutalement ses mouvements, la vampire se plaqua contre le corps de Yamada, écrasant cette dernière contre le mur, sa queue fermement enfoncée. Elle gémit dans son oreille.

« Haaa... J’adore ton cul, ma petite pute… Huuunn… Te… Défoncer est… Divin ! »

Elle reprit ensuite ses mouvements, toujours plus rapides, se mettant à haleter, le corps de Yamada rebondissant, sous l’effet de la vitesse, contre le mur en face. Secouant la tête, faisant basculer ses cheveux, Mélinda continua à lui prendre les fesses, sentant combien la jeune femme adorait ça, combien elle aimait qu’on lui défonce les fesses. La vampire se faisait donc plaisir à la prendre ainsi, se mettant à grogner et à haleter. Sa queue glissait le long des parois internes, se frottant dans cette partie assez sèche. C’était douloureux, mais aussi... Tellement bon. Comme Yamada, Mélinda était une grande sodomite, même si son parcours avait du être différent. Elle qui, jadis, détestait la sodomie, était maintenant l’une de ses plus ferventes défenseuses. Elle prenait Yamada, la giflant parfois, sans chercher à lui faire mal, simplement pour se réveiller. Leurs cris et leurs soupirs, leurs gémissements, se mirent à remplir l’intégralité du couloir, filant tout le long de ce dernier, rebondissant contre les murs.

Le temps se mit ainsi à filer rapidement, au fur et à mesure que la vampire pénétrait la jeune femme, sans relâche. Plus le temps passait, et plus la sodomie était facile, permettant ainsi à la vampire de la défoncer avec plaisir. Ce petit cul semblait avoir tout simplement été conçu pour être pénétré. Autant dire que Mélinda ne comptait nullement s’arrêter en si bon chemin. Elle s’y enfonçait allégrement, déchirant la croupe de la jeune femme.

« Hum-hum-huuuuuuuuuuummmm... Tu aimes, ça, hein ?! Ohhhh, dis-le ! Dis-le, comme c’est bon ! Je veux que tu me le dises !! »

DC d’Alice Korvander.

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Asami Yamada

Humain(e)

Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

Réponse 17 vendredi 01 février 2013, 23:25:52

Asami attendait avec une impatience indescriptible que sa Maîtresse la gracie enfin de mouvements, lui permettant enfin de réellement apprécier ce qu’elle lui faisait au lieu de s’exciter sur la simple présence de son membre en elle. Non pas que cela était désagréable, à vrai dire légèrement douloureux, bien que, installé ainsi depuis quelques instants, cela s’estompait, mais sentir la chaleur de la vampire, sa puissance et toute sa passion au plus profond d’elle valait bien tout cela, et la lycéenne ne pouvait, à défaut de se plaindre, qu’apprécier tout cela, son corps la trahissant au premier regard. Elle gémissait parfois, son simple désir couplé aux fins mais ô combien appréciables soubresauts du membre en elle le lui ordonnant, son anus se contractant de même autour de celui-ci et quelques gouttes de la cyprine qui ruisselait le long de ses jambes giclant parfois au sol sous ses propres tressaillements. Elle n’attendait vraiment qu’une chose malgré tout cela : Que la vampire se mette à bouger en elle, à profiter autant qu’elle voulait de son anus, car malgré qu’elle n’avait jamais été pénétrée ainsi qu’une fois, Asami avait bien compris à quel point cela était agréable, et, encore peu encline à l’admettre, la simple soumission que cela représentait envers sa Maîtresse était en elle-même stimulante.

Enfin, faisant irrésistiblement sourire la jeune fille, son vœu se réalisa et elle put sentir le pénis doucement et encore un peu difficilement glisser en elle. Cependant, même si les mouvements étaient un peu douloureux, le plus difficile était fait, et les sensations qu’elle en tirait en valaient bien la peine, se bonifiant d’ailleurs avec le temps, la gêne s’estompant petit à petit, rendant décidément cette expérience délicieuse. En vérité, la vampire n’était pas tout à fait tendre, saisissant avec forces les fesses d’Asami et s’acharnant toujours plus fort en elle, mais ce n’était pas pour lui déplaire, car ces pénétrations n’étaient quasiment plus douloureuses et la force et la puissance qu’imprimait en elles la Maîtresse était aussi agréable que les « caresses » de son membre.

Les mouvements de la jeune femme se faisaient de plus en plus profond dans sa servante, exprimant sa domination sur elle comme jamais, l’utilisant plus qu’autre chose : Elle gémissait fortement, son corps tout entier se balançant au grés des pénétrations, sa poitrine y faisant magnifiquement écho, et son sexe réclamait de l’attention, expulsant à chaque à-coup quelques gouttes de cyprine qui commençaient à visiblement mouiller le sol sous la jeune fille, ce qu’elle ne remarqua même pas, gardant les yeux fermés sous pour mieux apprécier tout cela. L’intensité des coups de rein de sa Maîtresse se faisant de plus en plus fort, en même temps que plus profond, ce qui n’était pas pour lui déplaire, Asami s’approchait lentement du mur, ses jambes ne semblant qu’à peine avoir la force de rester debout, elles ne compensaient quasiment pas les mouvements en avant que lui imposait sa partenaire chaque fois qu’elle tapait fermement contre ses fesses, son membre entrant désormais presque entièrement dans la jeune fille.

Après quelques instants ainsi, la lycéenne fut surprise de sentir le corps tout entier de sa Maîtresse la plaquer contre le mur, au lieu de simplement son pénis. Sa joue comme ses seins s’écrasaient contre la paroi, et elle n’ouvrait les yeux qu’à moitié pour avoir une vague idée de ce qu’elle manigançait. Elle surprit le visage de la vampire à seulement quelques centimètres du sien, mais il ne venait pas pour l’embrasser ni même la gratifier d’une quelconque affection, du moins pas selon des critères normaux. Non, elle lui susurra, entre deux gémissements, qu’elle était folle de son cul qui, de mots d’experte, était particulièrement appréciable, et, ce qui la partagea entre l’apitoiement et le désir mêlé à la joie, qu’elle était sa « pute ». Asami ne sut quoi dire, acquiesçant de son silence, ou plutôt des quelques gémissements qui s’échappèrent de ses lèvres aussitôt les pénétrations reprises, à un rythme effréné il fallait dire. Ses jambes toujours pas décidées à faire autre chose que la tenir debout, elle restait ainsi plaquée contre le mur, ce qui en réalité ne changeait pas grand chose pour elle, toujours dans un état d’appréciation mêlé à la soumission, celle-ci peut-être renforcée à la rigueur.

Le rythme renforcé déliait cependant complètement la langue de la lycéenne, non pas en parole, non, mais bien en cris de plaisir, ceux-ci se mêlant d’ailleurs à ceux de l’autre jeune femme, quasiment à l’unisson puisque les deux voix répondaient aux pénétrations. Asami s’habituait au sentiment de chaleur qui l’envahissait, s’empourprant d’ailleurs progressivement avec ce sentiment, à la présence de sa Maîtresse en elle, à son rôle presque d’objet, bien qu’y prenant grand plaisir, dominée comme il se devait pour l’esclave qu’elle était, fonction qui en devenait presque enviable. Elle sentait cependant avec le temps ses jambes défaillir, la portant à peine, ses genoux devenant quelque peu douloureux, et ne tenant que par la volonté de la lycéenne à satisfaire sa maîtresse, et elle, par la même occasion, ces deux notions étant étroitement mêlées, comme leurs corps actuellement. Pour ne rien arranger, les pénétrations étaient aussi forte que rapides, Asami sentant le membre au plus profond d’elle alors qu’il harcelait son cul, en stimulant les parois à un rythme effréné et glissant en lui avec une étonnante facilité, sans doute était-il désormais élargi par les minutes de sodomie qu’elle avait déjà subies sans interruption.

Ne prenant même pas la peine de s’arrêter, ce qu’aucune des deux femmes ne voulait de toute façon, la Maîtresse s’adressa à nouveau à elle, bien que cette fois, toujours au milieu de l’action, la lycéenne ne put écouter que d’une oreille distraite par les sensations qui affluaient en elle. Cela était d’autant plus difficile que même la vampire ne pouvait contenir ses gémissements qui entrecoupaient du coup chacune de ses phrases.

« Hum-hum-huuuuuuuuuuummmm... Tu aimes, ça, hein ?! Ohhhh, dis-le ! Dis-le, comme c’est bon ! Je veux que tu me le dises !! »

Prenant quelques instants de réflexion, ou plutôt de concentration pour arriver à parler distinctement, Asami arriva finalement à parler, ses paroles cependant délicieusement interrompues par des gémissements incontrôlables.

« Oui...J’adore ça ! Ah ! Continuez Maîtresse, s’il vous plaît ne - Aaaah ! - vous arrêtez pas ! Défoncez mon cul, Ah, c’est tellement bon ! Aah ! »

Mélinda Warren

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Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

Réponse 18 mercredi 06 février 2013, 22:30:24

Asami passa de l’impatience aux gémissements, puis des gémissements aux cris. Elle était de plus en plus excitée, de plus en plus heureuse, ses fesses endolories rebondissant contre le membre de Mélinda, qui s’enfonçait ardemment en elle, affamé. Ses mains griffues étaient posées sur le corps de Yamada, et elle s’enfonçait encore en elle, sans relâche, avec toujours plus de vitesse, toujours plus de passion, son membre se perdant entre ses belles fesses rondes. Elle gémissait, cette brave lycéenne, cette petite timide qui, sous le contact de sa Maîtresse, devenait une espèce de nymphomane adorant qu’on la sodomise. C’est ce qu’elle mit à dire, faisant sourire Mélinda, un beau sourire qui révéla ses canines pointues :

« Oui...J’adore ça ! Ah ! Continuez Maîtresse, s’il vous plaît ne - Aaaah ! - vous arrêtez pas ! Défoncez mon cul, Ah, c’est tellement bon ! Aah ! »

Un tel dévouement, c’était jouissif pour les oreilles, et Mélinda n’allait pas décevoir les attentes de son esclave. La jeune fille gémissait fortement, presque en transe, son corps ressemblant à une petite chaudière sanguine. Peu importe l’angle auquel Mélinda se plaçait, tout n’était qu’excitation. Que ce soit ses oreilles, ses yeux, son sexe, ou même son appétit sanguin, tout était ravi. Ses doigts se plaisaient à serrer cette peau tendre et moite, travestie par la sueur, griffant cette dernière sous l’effet de l’excitation. Et, surtout, elle se plaisait à lui défoncer le cul, retrouvant ce plaisir commun propre à l’ensemble des mortels : l’excitation sexuelle, la danse langoureuse et éternelle des corps, cette danse simple, en quelques mouvements, mais plus épuisante que la plus complexe et la plus raffinée des danses. Cette danse-là, en effet, était très englobante, totalisant toutes vos forces. La vampire devait se forcer pour enfoncer son sexe dans le cul étroit de Yamada. C’était une partie étroite, la seule manière pour Mélinda d’y entrer était donc de forcer, en comptant sur la dilatation de son trou.

Pour le coup, elle était ravie de constater que Yamada adorait ça. Elle en venait même, entre plusieurs soupirs et coups de reins, si elle allait lui retirer sa virginité ce soir. La vampire comprenait sans doute un peu mieux pourquoi sa goule s’y était refusée. En un sens, c’était plus pervers de se dire que Yamada restait vierge, tout en ayant déjà fait l’amour un certain nombre de fois. Mélinda continuait à la prendre par les fesses, son membre ayant de plus en plus de facilité à passer par là. Elle était rapide, violente, agressive, ses seins s’enfonçant contre le dos. Leurs corps semblaient comme reliés, et le corps de Yamada se mettait à rebondir contre le mu, formant un spectacle assez fascinant. Haletant et soupirant, la vampire avait de plus en plus mal à hauteur de son propre sexe. La sodomie, c’était une expérience du plaisir à travers une douleur vive et intense. C’était aussi la preuve que la douleur était libératoire, qu’il ne fallait pas la craindre, mais, au contraire, l’apprécier pour ce qu’elle est : un indicateur de bonne santé. Mélinda souffrait, certes moins que Yamada, mais son membre était écrasé dans ce petit cul, et forcer le passage avait nécessité de le faire entrer vigoureusement, engendrant de la douleur. Une douleur bienvenue, qui excitait Mélinda, qui l’amenait à sortir ses griffes sous l’effet du plaisir, et à délicatement taillader les hanches et le bassin de Yamada. Il n’y avait pas de quoi la faire saigner, mais au moins la faire frissonner. Et les minutes, quant à elles, se noyaient, s’absorbaient dans cet élan de désir. Yeux clos, Mélinda soupirait, la tête légèrement relevée, ses lèvres s’écartant à chaque fois. Dans un film porno, on aurait probablement fait un gros plan sur son visage, car elle se voyait comme l’incarnation du désir féminin en ce moment. La modestie n’avait jamais vraiment été le fort de la vampire, surtout en ce moment précis, où elle prenait la jeune femme avec un élan fougueux.

Rouvrant les yeux, Mélinda continuait à la prendre, pendant de nombreuses minutes. La sodomie était plutôt longue, mais elle venait aussi de boire du sang. Il fallait bien qu’elle se dépense.

« Haaaa... » gémissait-elle.

De plus en plus, la position de Yamada ne lui convenait plus. Debout... Oh, c’était bien, mais elle voulait changer, la voir se mettre à quatre pattes, comme une chienne. C’était surtout le mur qui posait problème. D’une part, il restreignait les mouvements de sa petite pute, et, de l’autre, elle risquait de se faire mal. Secouant la tête, faisant virevolter ses longs cheveux bouclés couverts de sueur, elle se mit à agir. L’une de ses mains attrapa Yamada par le cou, et elle l’écarta du mur, son sexe s’enfonçant en elle.

« A... A quatre pattes, Yamada... Je n’en ai… Je n’en ai pas fini avec toi ! »

Elle haletait, son membre tendu et impatient, et réussit à mettre Yamada sur le sol, au milieu du couloir, avant de la baiser, son membre retournant jouer en elle. Oui, c’était bien mieux ainsi, et, en la voyant agenouillée devant elle, la Maîtresse ressentit un frisson furieux d’excitation.

« Oh ouiiiii, ouiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !! s’extasia-t-elle. C’est si bon de te voir ainsi, haaaaaaaaa !!! »

DC d’Alice Korvander.

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Asami Yamada

Humain(e)

Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

Réponse 19 jeudi 07 février 2013, 23:15:00

Asami était plaquée contre le mur, sa poitrine se déformant parfois lorsque sa Maîtresse la pénétrait particulièrement fortement, et elle gémissait fortement à chacune d’elle, ce qu’elle ressentait étant incroyablement fort. Elle sentait une certaine douleur, bien qu’elle s’était légèrement estompée avec le temps, et chaque va-et-vient semblait raviver le peu qui en persistait, mais la jeune fille n’en était pas pour autant insatisfaite, et elle n’aurait même presque pas voulu se débarrasser de cette douleur, qui était l’incarnation de la domination de la vampire, un symbole des sacrifices qu’elle devait faire pour elle, et, d’une certaine façon, la lycéenne se mettait presque à l’apprécier, à la savourer. Bien entendu, même sans compter cette accoutumance « malsaine », la jeune fille y trouvait bien son compte, la sodomie lui procurant bien assez de plaisir pour contrebalancer cette menue douleur, et son corps le reflétait bien, lui arrachant des cris, tâchant le sol de son excitation, et son anus comme son sexe se contractant au grés des pénétrations.

Cette « routine » - Car celle-ci était installée depuis déjà quelques minutes - fut brisée par un sentiment de brûlure sur ses hanches, pas bien douloureux, mais assez remarquable pour qu’Asami y accorde son attention malgré son occupation actuelle, soit profiter de ce dont sa Maîtresse la graciait. Ces faibles douleurs coïncidaient très exactement avec les doigts de celle-ci, et il ne fallait pas beaucoup d’imagination pour deviner qu’elle la griffait, cependant la raison était laissée à celle de la lycéenne. Était-ce simplement une sorte de crispation, le plaisir qu’elle ressentait étant sans doute au moins aussi délectable que celui que prenait sa servante ? Ou peut-être voulait-elle la réveiller, lui rappeler le rôle d’esclave qu’était le sien, et, le choix lui étant libre, c’est ce que choisit de croire Asami, car c’était en fait bien la version qu’elle trouvait la plus intéressante, elle se voyait bien comme son esclave, simplement son jouet, bien consentante, et elle prit réellement conscience de sa soumission, ou plutôt le plaisir qu’elle y prenait, et cette simple réalisation décupla tout ce qu’elle ressentait, lui faisant apprécier les ongles lacérant faiblement sa peau, la pression sur celle-ci, les pénétrations légèrement douloureuses, et bien entendu la force que lui implorait la vampire, la plaquant contre le mur.

Son plaisir montant en flèche, le temps lui aussi aidant, la lycéenne commençait à en montrer les signes, ses mains, placées au dessus de sa tête, ses bras la surmontant, posés contre le mur, se crispant alors que ses lèvres faisaient le contraire, se séparant toujours plus pour pousser des cris plus forts et ô combien délicieux tant ils exprimaient son plaisir. Son corps lui, ne pouvant faire plus, ne faisait qu’accentuer les signes de son excitation, ce que devait d’ailleurs savourer sa Maîtresse. Peut-être pour la même raison, la vampire ne cessait d’être plus violente, de mettre toujours plus d’énergie dans ses coups de reins, allant jusqu’à se plaquer contre Asami, la coinçant d’autant plus contre le mur et, intentionnellement ou non, la dominant exquisément pour son plus grand bonheur, leurs corps communiant presque, son souffle chaud et rapide caressant son cou. Celle-ci finit d’ailleurs par sortir des griffes - Ce qui n’étonna qu’à peine la jeune fille, étant donné ce qu’elle était en train de vivre, tant en étrangeté qu’en plaisir : au fond elle s’en moquait presque - qui se plantèrent alors immédiatement dans sa peau, lacérant les hanches de la jeune fille qui en gémit d’autant plus, la sensation de brûlure persistant bien plus cette fois, celle de plaisir l’imitant alors qu’une longue et délicieuse vague de tressaillement traversait son corps à chaque griffure.

Cette scène délicieuse dura de longues minutes, qu’Asami aurait souhaité pouvoir prolonger voire rendre éternelles, tant elle en savourait chaque seconde, chaque instant, mais sa Maîtresse décida d’en changer, et il était après tout peut-être temps, ses jambes commençant à faillir, même si pour rien au monde elle n’aurait laissé cette simple gêne la priver de tout cela. La main de la vampire vint entourer son cou, un signal qui la rappela immédiatement à l’obéissance qu’elle lui devait, et elle suivit docilement les mouvements du bras qui la saisissait, la jeune femme n’ayant au plus qu’à la guider pour la mouvoir. Haletante, et la lycéenne l’aurait sûrement été si elle avait voulu parler, mais elle ne souhaitait que profiter, d’autant que sa position de servante ne s’y prêtait pas réellement, l’hermaphrodite temporaire la jeta presque au sol, n’ayant qu’à légèrement incliner sa tête vers celui-ci pour que la jeune fille s’y précipite.

Ses genoux heurtèrent lourdement le sol, de même que ses avant-bras quelques instants après, mais le membre qui l’avait quittée ne suivit pas instantanément. Asami était ainsi, cambrée, son cul relevé, bien présenté à sa Maîtresse, son anus dilaté par les longues minutes de pénétration, palpitant sous le regard de celle qui l’avait élargi, alors que son sexe, un peu en dessous, faisait de même, de la cyprine coulant le long de ses fines jambes et perlant parfois avant de tomber en gouttes sur le sol. La posture de la lycéenne, maintenant plus acculée sur un mur, la plaçait bien plus dans la lumière : Sa peau renvoyait légèrement les traits du soleil, la sueur y perlant par endroit, et on pouvait voir les marques rouges des griffures de la vampire, bien que son sang, lui, ne coulait pas, bien qu’elle priait pour, car peut-être cela aurait pu lui attirer les faveurs de la langue avide de sang...Globalement, Asami était ainsi complètement soumise, ses fesses marquées de la sodomie présentées royalement à sa Maîtresse alors que son corps transpirait le désir et le plaisir, en plus de porter des marques de fatigue, suant, haletant, et bien entendu celles des doigts de la vampire qui avait ainsi marquée sa servante pour quelques jours, alors que l’empreinte des crocs de Theorem, encore relativement fraiche, était bien visible.

Mais ce calme tout relatif ne pouvait durer, surtout pas alors que la Maîtresse était excitée par de longue minutes de pénétration, et son membre retourna bien vite dans le cul de son esclave, lui arrachant un cri de plaisir qui rompit le bref silence qui avait régné jusqu’ici, et il ne reviendrait pas avant un moment, car Asami gémissait maintenant à chaque pénétration, soit très souvent. La tête de la lycéenne touchait presque le sol, ses cheveux ondulant au gré des coups de reins de la vampire, quelques mèches alourdies par la sueur qui y perlait. La jeune fille ne parlait pas, ses cris de plaisir signifiant bien plus que tout ce qu’elle pouvait dire, mais la déclaration de sa Maîtresse ne pouvait la laisser insensible et était sans doute un appel à son propre ressenti, aussi parvint elle à réprimer quelques gémissements pour lâcher :


« Moi aussi - ha~ - Maîtresse j’adore ça, ha~, continuez à m’utilis-HA~, je veux être votre jouet, ha~, profitez de moi comme, ha~n, vous voulez ! ha~ ! »

Mélinda Warren

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Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

Réponse 20 vendredi 08 février 2013, 15:34:15

A quatre pattes, dans une position de chienne docile et soumise attendant qu’on lui défonce les fesses, Asami était très désirable. Mélinda la regardait avec des frissons de plaisir, n’ayant qu’une envie : continuer à la défoncer. Elle observait les reflets du soleil sur son superbe dos, sur sa douce chevelure, voyait les gouttes de sueur, les plaques rouges qui témoignaient de l’effort que la jeune devait fournir pour suivre cette sodomie intense, cette sodomie qui s’étalait dans la durée. Elle voyait aussi les traces des griffes, que ce soit d’elle, ou de sa goule. Elle réalisait ainsi à quel point Asami était une soumise, à quel point, fondamentalement, elle aimait ça. Certaines personnalités étaient ainsi : nées, endoctrinées, dressées naturellement, pour être des dominées, pour suivre, en espérant tomber sur le bon meneur. Ce n’était sûrement pas au contact de Mélinda qu’elle allait changer, devenir une autre femme, une femme qui aurait confiance en elle. Mais, outre ce spectacle fascinant qui s’offrait à ses petits yeux ravis, Mélinda savourait surtout la suite de la sodomie. Sans le mur pour la gêner, et avec la possibilité pour Asami de s’appuyer sur ses quatre pattes, lui défoncer son cul serait bien plus facile.

Mélinda la pénétrait donc lourdement, retournant dans ses fesses, sa porte arrière ouverte comme la porte d’un moulin. Soupirant de plaisir, Asami lui demanda de continuer, l’implorant de se servir d’elle comme d’un « jouet ». La vie était faite de paradoxe, et l’un de ces plus beaux paradoxes venait à ce qu’on s’épanouisse en étant dominé, en étant un esclave. Mais c’était dans l’ordre des choses. Il existait deux types de personnes : ceux qui dominaient, et ceux qui suivaient. Ceux qui suivaient préféreraient toujours, fondamentalement, se laisser dominer, même en refusant de l’admettre. Ils étaient constamment nerveux du regard des autres, et, face aux êtres chers, ils se dévouaient naturellement. Ils souffraient d’un manque, et avaient besoin de quelque chose, un modèle, autour duquel se construire. Asami était ainsi, et se construirait autour de Mélinda, en petite esclave servile. Mélinda retourna la gifler, fort, adorant entendre ses claques résonner dans le couloir, glisser sur le petit cul bien rebondi de la jeune femme.

Plus elle la baisait, et plus le corps d’Asami sembla s’affaisser sous son propre poids. Sa tête penchait vers le bas, évoquant vaguement la position d’une femme tellement submergée par son plaisir qu’elle n’arrivait même plus à se maintenir en place. Mélinda continuait à lui bourrer les fesses, sans relâche. Son anus était bien dilaté, maintenant, la douleur et le plaisir devant, dans le corps d’Asami, se mélanger pour former cette espèce de sensation enivrante. Elle était comme un trophée soumis à la volonté de sa Maîtresse. Elle la pénétrait sans relâche, bourrant son petit cul. Les minutes continuaient à s’écouler, Mélinda continuant à haleter. Son sexe finit par cracher un orgasme, et, dans un long soupir, elle lâcha des giclées de sperme.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »

Ce fut tout ce qu’elle arriva à dire en s’abandonnant Elle jouit en elle, crachant plusieurs giclées de foutre, mais ne s’arrêta pas là, continuant à la prendre. Elle était une vampire, et venait de boire du sang. Sa libido était donc forte, et son cœur pouvait suivre. Elle continuait donc à la baiser, lourdement, remuant désormais son membre dans son sperme, ce dernier, soit s’enfonçant dans son corps, soit sortant, glissant le long de ses jambes. La vampire la pénétrait encore, grognant, ses griffes s’enfonçant désormais dans ses fesses, ouvrant légèrement sa peau, faisant couler son sang. De petites lignes de sang qui descendirent.

« Petite... Puuuuuuuuuuute-aaaaaaaaaaahhh... Huuuuunnnn... C’est... Booooooooonn ! Oooooh, c’est si booonnn, ma salooope ! »

Elle donnait de grands coups, retirant son sexe pour l’enfoncer d’un seul coup, faisant sursauter le corps de la jeune femme, l’enfonçant bien loin, avant de recommencer son numéro. Elle retirait encore son sexe, puis le remettait d’un coup sec. La vampire finit ainsi par avoir un second orgasme, et ferma les yeux, toute rouge, avant de relâcher Asami. Mélinda soupira, et retira alors son membre des fesses d’Asami. Elle posa un pied sur ses fesses, et appuya dessus, constatant, sans surprise, qu’Asami se laissa tomber complètement sur le sol.

« Reprends ton souffle, Asami. Je n’en ai pas encore fini avec toi, ma petite chienne. Couche-toi sur le ventre, que je vienne nettoyer un peu tes fesses. »

Il y avait en effet, sur son derrière, des petites traces de sang qu’il fallait nettoyer.

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Asami Yamada

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Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

Réponse 21 dimanche 10 février 2013, 19:18:02

Asami adorait décidément sentir sa Maîtresse en elle, sa domination se faisant plus forte alors que la douleur s’amenuisait avec la durée croissante de cette sodomie. Sa position semblait faite pour qu’on profite d’elle, qu’on la prenne, car elle ne pouvait rien y faire, sa poitrine touchant le sol alors que son cul était aussi haut qu’elle pouvait le porter, ses mains servant au plus à ce qu’elle ne se fasse pas trop mal, sa tête reposant dessus. Quant à elle, plus que cela, elle était la représentation même du plaisir, son visage l’incarnant, rouge de plaisir et d’endurance, ses yeux à demi fermés sous le même coup, sa bouche entre-ouverte et sa langue en sortant légèrement alors que s’en extrayaient à chaque instant des gémissements qu’elle ne pouvait contenir. Ses jambes commençaient à peiner à la porter, faillant un peu plus à chaque minute de sodomie, alors que ruisselait sur elles la cyprine sortant de son sexe et qu’une flaque du liquide transparent, témoin de son excitation, se formait entre ses bas, seuls vêtements que la jeune fille portait encore, des gouttes y tombant sous les à-coups que subissait le corps.

Peut-être à cause de tout cela, ou simplement parce qu’elle en avait le caprice, l’acte durant depuis de longues minute, poussant à l’impatience, la vampire ne cessait d’accélérer la cadence, s’enfonçant avec toujours plus de force et de vitesse dans son esclave, et, parallèlement, giflait le cul qui lui était présenté autant que possible, remédiant peut-être au fait que la douleur de la sodomie s’estompait, pour le plus grand et paradoxal plaisir d’Asami. La lycéenne se délectait de toute la force qu’exprimait sur elle celle qui la pénétrait, adorant se complaire dans sa domination, dans sa soumission, et acceptant comme des présents chacun des actes les plus dépravés dont elle la gratifiait, ses gifles la faisant gémir non pas de douleur mais d’un plaisir coupable et honteux qu’elle ne pouvait cacher. Ces claques traversaient le corps de la jeune fille, rebondissant sur ses fesses puis le corps entier qui se cabrait sous cette impulsion, celle-ci n’osant s’opposer à sa Maîtresse et ne le souhaitant de toute façon pas : elle aimait sentir sa tête rebondir sur cet à-coup, ses cheveux ondulant faiblement sous la force de la vampire que celle-ci ne prenait même pas la peine de retenir, marquant son fessier de rougeurs qui laissaient à la lycéenne, même lorsque la main de sa pénétrante l’avait quittée, un souvenir pas si doux de son passage qu’elle pouvait savourer.

Au bout de longues minutes, la vampire se mit à haleter légèrement plus fortement, alors que les deux femmes subissaient le coup de la fatigue, le cul d’Asami s’étant abaissé au fil du temps, seulement maintenu en l’air par les coups de reins répétitifs de sa Maîtresse et ses mains qui lui rappelait qu’elle ne pouvait se laisser aller, et son visage se complaisait dans le plaisir, ses yeux fermés d’appréciation et ses lèvres mi-ouvertes d’où ne s’arrachaient que des gémissements de plaisir. Les pénétrations de la femme s’étaient mises à, au moins pour ces longues minutes, rythmer le corps entier de la jeune fille, celui-ci ondulant au grés des coups de reins, et la lycéenne ne vivait plus que par ceux-ci, ne sentant qu’eux, s’étant abandonnée aux sensations que sa Maîtresse lui donnait et reniant toutes les autres, son souffle haletant constituant sa seule musique. Et c’est ainsi qu’elle perçut d’une manière divine son cri de jouissance et son sperme giclant en elle, sa chaleur l’envahissant en quelques vagues successives, lui donnant un sentiment agréable de récompense qu’elle lui aurait accordé, mais pour autant, elle ne s’arrêta pas là. Les pénétrations reprirent, de plus belle même, et la semence se mit à sortir au fil des va-et-vient de l’orifice d’Asami, coulant le long de ses jambes et se mêlant à la flaque de sa propre excitation s’étalant sous elle. La Maîtresse se mit aussi à ne plus simplement laisser son membre glisser dans le cul de son esclave, mais le faisait complètement sortir à chaque fois, laissant l’orifice ouvert et exposé à sa vue pendant quelques instants, avant de brutalement retourner en elle, lui arrachant un cri de plaisir qui devait raisonner divinement à ses oreilles. La lycéenne, elle, se sentait comme réveillée par cela, ses yeux rouverts par la douleur ravivée des pénétrations lourdes et subites, et elle sentit, ce retour la satisfaisant presque, les réelles griffes de la vampire s’enfoncer dans ses fesses, cette fois y perçant complètement la peau et faisant perler son sang sur ses formes, les gouttes tremblant à chaque coup de la vampire, ceux-ci plus violents que jamais.

Entre le sentiment de domination de sa Maîtresse qui se faisait plus fort que jamais et ses pénétrations qui avaient redoublé de force, Asami approchait dangereusement se l’orgasme, et lorsque la vampire la rabaissa comme jamais et jouit pour une deuxième fois en elle, la souillant à nouveau de son sperme, elle fit de même. Ses jambes faillirent lâcher, tremblant légèrement malgré les ongles de la vampire plantées en elles, et elle se resserra autour du membre enfoncé au plus profond d’elle, alors que son sexe expulsa en quelques petites giclées un liquide translucide sur le sol et que ses lèvres laissaient sortir un cri de jouissance. Se sentant presque délivrée, ce qui ne fut pas si faux une fois le pénis de sa Maîtresse hors d’elle, lui arrachant un long soupir et laissant son cul encore écarté expulser le surplus de semence de son ventre. La lycéenne était alors dans un état assez pitoyable, du sperme longeant ses jambes, son corps entier presque effondré sur le sol, rouge des claques et griffures de la vampire et recouvert de sueur après cet acte intense, son visage rendu l’incarnation même du plaisir, ses yeux à peine ouverts, la jeune fille préférant se concentrer sur les douces sensations que lui avait octroyé sa Maîtresse, et ses lèvres presque souriantes lâchant de longs souffles raisonnant encore de désir.

Ne cessant de vouloir profiter d’Asami, ce qui au fond ne la dérangeait pas tout à fait, la vampire posa son pied sur ses fesses, n’ayant besoin que d’une légère pression pour la faire tomber au sol, ses jambes s’effondrant et s’écartant à peine son ordre intimé, et, n’ayant pas fini de jouer avec elle, lui ordonna de se mettre en position pour qu’elle puisse récolter les quelques filets de sang perlant sur ses fesses, ne voulant sans doute pas gâcher le liquide rouge, sûrement précieux pour elle. La jeune fille heurta le sol assez lourdement, presque incapable de s’opposer à ce mouvement tant le bas de son corps était endolori et fatigué, et lorsqu’elle le fit, quelques gouttes de sperme giclèrent de son cul, rejoignant la flaque de divers liquides, fruit des excitations et orgasmes, dans laquelle baignait désormais Asami. Après quelques instants de repos que lui avait gracieusement accordé sa Maîtresse, elle joignit lentement ses jambes de manière à ce que ses fesses soient légèrement surélevées, présentées royalement à la vampire. Après tout cela, la lycéenne ne put s’empêcher d’ajouter, comme pour complimenter et remercier sa Maîtresse, du moins plus que ses gémissements de plaisir qui avaient déjà bien ce sens :


« Ha~... Merci Maîtresse... Faites de moi ce que vous voulez, c’est si agréable...Je suis ravie d’être votre esclave... »

Ces paroles dites, elle se détendit après ce moment intense, reposant les muscles de tout son corps, la douleur dans ses jambes d’évaporant, sa tête reposant sur ses bras croisés, les yeux fermés, soupirant lentement dans une sorte de calme d’extase.

Mélinda Warren

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Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

Réponse 22 lundi 11 février 2013, 01:53:10

Jouir était toujours aussi bon, un régal constant et permanent, surtout quand elle jouissait dans un joli petit cul comme celui de Yamada. Mélinda se sentait complète, libre, sereine, épanouie. Sur le sol, elle voyait une petite plaque de mouille. Yamada avait eu un orgasme à force d’être défoncée par l’arrière, et il y avait fort à parier qu’elle serait encore, à l’avenir, sodomisée ainsi. La vampire ne se priverait en effet pas de le refaire, connaissant son amour de la sodomie. La vampire pencha la tête sur le côté, voyant les jambes de Yamada se rabattre sur elle, relevant ainsi son postérieur. Elle était en sueur, et Mélinda avait griffé fort, lui ouvrant la peau à hauteur de son cul, faisant jaillir son sang. De délicates rivières qui attisèrent l’appétit de Mélinda, alors que cette dernière rétracta son membre masculin, devenu mou, inutile.

« Ha... Merci Maîtresse... Faites de moi ce que vous voulez, c’est si agréable...Je suis ravie d’être votre esclave... »

La vampire sourit, et fléchit les genoux, posant l’une de ses mains sur la fesse gauche de Yamada, la remuant lentement, avant de s’allonger à son tour sur le sol froid, sur le carrelage. Mélinda se mit alors à embrasser et à lécher ses fesses, avalant son sang, remontant sa langue le long des plaies, s’amusant à sentir le sang contre sa bouche. Elle continuait ainsi à la lécher, à s’attaquer à ses fesses, frottant son nez contre son anus, le long de son fondement. Son trou était dilaté, et du sperme s’en échappait parfois, tandis qu’elle continuait à s’y attaquer, lentement, prenant tout son temps, nettoyant le petit cul de Yamada. Il fallait aussi que la petite humaine se repose, dans la mesure où une sodomie, après tout, restait toujours une solide épreuve, rigoureuse et difficile. La vampire n’y allait en effet pas de main morte quand il s’agissait de donner du plaisir, et le résultat était devant ses yeux : Yamada était épuisée, mais heureuse. Objectif accompli.

Sans rien dire, elle continuait à la lécher, délicatement, posant ses seins sur ses jambes. La Maîtresse prenait soin de son esclave, et continua ce petit jeu, en retournant mordre Yamada, par les fesses. Elle enfonça ses canines dans ce cul parfait, et aspira son sang. Elle en prit peu, mais c’était surtout le caractère érotique et pervers de la chose qui l’intéressait. Mélinda, après tout, était repue, rassasiée de ce point de vue. La vampire continua à boire pendant un certain temps, avant de retirer ses canines. Elle avait en réalité bu assez de sang pour que les fesses de Yama ne saignent plus. Elle releva alors sa tête, et retourna sa belle esclave, l’allongeant sur le dos, où elle se mit à lécher ses cuisses. Elle écarta pour cela légèrement ses jambes, et lécha ses lèvres intimes, toujours sans rien dire, frottant son nez contre sa peau nue et tendre, sa langue s’enfonçant dans son intimité, alors qu’elle avalait la mouille qui traînait dans cette zone. Elle ne cherchait pas à la faire jouir, voulant simplement goûter à sa mouille. La vampire continua ainsi à la lécher, lentement, suçant son intimité, avant de se redresser. Elle embrassa le ventre tendre d’Asami, léchant son nombril, et remonta ainsi jusqu’à ses lèvres, lui offrant un magnifique baiser. Elle s’allongea sur elle, se posant entre ses jambes, et frotta son bassin contre le sien, leurs seins se caressant, tandis qu’elle lui roula une pelle pendant un certain temps. Sa langue se faufila dans sa bouche, Mélinda gémissant de plaisir, attrapant les cheveux de Yamada, et l’embrassa ainsi, sans arrêt, pendant plusieurs minutes. Ce fut un long, très long baiser, qui vibrait de passion. Mélinda rouvrait les yeux, afin de planter son regard vert dans celui de la femme, tout en respirant lourdement. Elle avait une bouche magnifique, tendre, délicieuse, sensible... Y goûter était un régal constant, et elle comprenait mieux pourquoi Yamada était tant accroc aux baisers. Quand on avait une belle bouche comme ça, il fallait bien l’honorer constamment.

Le baiser finit par se rompre, et Mélinda resta allongée sur le corps de son esclave, savourant ce dernier. Elle avait une peau chaude, un corps doux, et elle l’embrassa dans la nuque, délicatement, avant de commencer à se relever, attrapant en chemin les mains de la jeune femme, la relevant à son tour. Les deux mains de la vampire caressèrent les joues de la jeune femme, et elle lui fit un sourire :

« Il est temps d’aller chez moi, ma belle esclave. Ton corps est délicieux, mais je pourrais bien mieux le savourer chez moi. Rhabille-toi. »

Un énième baiser, et Mélinda se retourna, récupérant ses vêtements, se rhabillant dans le couloir. La seule trace de leur passage serait une tâche blanche sur le sol. Dans le fond, c’était toujours mieux que rien.

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Asami Yamada

Humain(e)

Re : L'innocence n'existe pas [Asami Yamada]

Réponse 23 lundi 11 février 2013, 21:51:06

Asami était allongée sur son ventre, dans un relatif calme, se reposant en attendant que sa Maîtresse daigne venir caresser ses fesses de sa langue, y collectant le sang qu’elle lui avait arraché. Y repensant, la jeune fille, entre ses longs soupirs, son cœur pas encore totalement remis de la sodomie qu’elle avait enduré, avait en fait apprécié cela, malgré la douleur sur le moment, et l’idée que c’était à cause de cela que la vampire allait bientôt lécher ses plaies bien situées ne faisait que renforcer cette impression. Son corps se délestant de toute ses pulsions sexuelles et cessant de lui donner une impression de chaleur intense, la lycéenne commençait à reprendre conscience du monde qui l’entourait, sentant l’humidité de divers liquides - la semence de sa Maîtresse comprise, une partie encore au plus profond d’elle - mouiller son bas ventre et ses jambes, et le bruit du souffle tout aussi haletant que le sien de l’autre jeune femme - Haletant pas seulement de fatigue, non, mais d’un plaisir dans lequel elle s’était donnée à fond - descendait à ses oreilles, lui signalant qu’elle aussi avait apprécié ce moment, ce qui la fit sourire. Ce petit ornement de sa bouche, arquant légèrement ses lèvres, ne faisait que compléter l’état de bonheur qu’elle avait atteint, sa tête légère reposant sur ses avant-bras, ses cheveux tombant sur ceux-ci et sur son dos en une belle cascade bleutée, et son corps presque entier touchant le sol, ses fesses seules légèrement surélevées pour accueillir comme il se devait les lèvres de la vampire, ses seins se pressant faiblement contre le sol, les déformant un peu.

Les yeux fermés, Asami ne pouvant de toute façon pas poser son regard sur la vampire sans une gymnastique qu’elle n’avait l’envie d’effectuer dans ce moment si agréable, la jeune fille sentit la main de sa Maîtresse se poser sur une de ses fesses, tressaillant l’espace d’un instant et lâchant un soupire de plaisir et de contentement à ce doux contact. Ses doigts massèrent lentement sa fesse, évitant soigneusement les plaies et les filets de sang pour ne pas gâcher le nectar rouge, sonnant pour la lycéenne comme une récompense et un remerciement à la fois, ce qui, venant de la vampire, la comblait. Cette main dont le toucher était déjà bien agréable fut vite suivie de douces lèvres et d’une langue avide, les deux caressant le cul de la jeune fille en une danse qui reliait harmonieusement toutes les traces de griffes faiblement ensanglantées qui parcouraient ses fesses, Asami laissant docilement cette valse s’effectuer, en appréciant chaque mouvement, chaque petit effleurement, son sourire s’accentuant à chaque centimètre de peau parcouru. Alors que ce prélèvement se faisait plus appliqué, les seins de la Maîtresse caressaient vite les jambes de sa servante, ce doux contact suffisant à renforcer le plaisir de celle-ci, mais ce délicieux sentiment eut à peine le temps d’être consommé que les crocs de la vampires s’enfonçaient dans ses fesses.

Cette morsure était au départ vive et douloureuse, le corps de la lycéenne se crispant sur les crocs qui le pénétraient, ses dent mordant ses lèvres et ses doigts de pieds se refermant du peu d’ampleur dont ils bénéficiaient. Mais très vite, et c’était littéralement surnaturelle, ces deux petits trous dans sa peau dont devraient s’extirper toute vitalité la firent vite fondre de plaisir, le doux sentiment de son sang filant dans la bouche de sa Maîtresse la poussant presque à lui en offrir plus et les crocs acérés de celle-ci ne devenant que le pont divin entre leurs deux corps, et ses lèvres eurent vite fait de se séparer dans un faible gémissement de plaisir alors que ses doigts de pieds s’écartaient maintenant d’extase. Après un bref moment, sonnant comme un déchirement pour Asami, les canines s’extirpèrent de sa peau, mais vite la vampire posa délicatement une main sur son flanc, lui intimant de se retourner, n’inculquant dans ce mouvement même pas une once de force, sachant pertinemment que son esclave ne complètement avec plaisir et soumission.  La jeune fille se posa sur ses coudes, de façon à pouvoir finalement contempler sa Maîtresse, appréciant son beau corps nu et la magnifique vue qu’elle en avait, mais celle-ci rompit vite le croisement de leurs regards pour faire caresser à ses lèvres les cuisses de sa servante, se dirigeant lentement vers son intimité. Sachant avec un délice et une impatience sans fin où se dirigeait alors cette bouche, la lycéenne ferma les yeux pour mieux apprécier ces effleurements gracieux, le plaisir qu’elle en tirait culminant lorsque la langue de la jeune femme vint se loger en elle pour en goûter l’excitation.

Ce doux contact ne dura que quelques instants, mais l’atmosphère calme ne se prêtait de toute façon déjà plus à l’épilogue de ce genre de chose, restant ici seulement des caresses éphémères, aussi divines soient-elles, et Asami sentit vite la langue de sa Maîtresse doucement remonter son ventre, l’appréciant tout autant, et ne rouvrit les yeux qu’à l’approche de son visage, appréciant ses traits fins avant d’en embrasser ceux qu’elles jugeait les plus beaux, ses lèvres. L’enchevêtrement de leurs corps était à ce moment divin pour la lycéenne, qui sentait à la fois toute la chaleur, toute la douceur et toute la sensualité de la vampire doucement la caresser, et celle-ci la chevauchant, reposant légèrement sur elle, affirmait délicieusement sa position délectable et incontestable, en réalité qu’elle ne voulait contester, de « Maîtresse ». Leurs langues se mêlaient délicieusement, valsant ensemble, témoignant de l’ardeur qu’elles avaient l’une pour l’autre, la lycéenne gémissant fréquemment, ces bruits à peine étouffés par leur embrassade, sentant la vampire aussi bien en elle par le divin contact de ses lèvres et de sa langue que ses caresses, sa main tirant faiblement ses cheveux pour lui rappeler la relation asymétrique qui les unissait pour son plus grand plaisir.

Le baiser s’arrêtant finalement, car il le fallait malheureusement bien, après quelques délicieuses secondes, et Asami en fut bien déçue, elle ne trouva la force d’enfin se mouvoir, malgré que la vampire avait couvert sa nuque de ses douces lèvres, que lorsque celle-ci lui saisit les mains pour la relever, accompagnant alors avec bonheur le mouvement. Ses doigts se posèrent ensuite sur les joues de son esclave, la gratifiant ensuite d’un sourire qu’elle ne put que rendre avec délice avant que de ses lèvres, plus qu’offrir une belle déformation aux yeux de la jeune fille, ne lui ordonnent de la suivre chez elle. Obtempérant, la lycéenne ramassa ses quelques habits, les remettant presque à la gâte, ceux-ci pouvant paraître presque aux yeux de n’importe qui en désordre, mais ce n’était pas ce qu’elle cherchait, elle souhaitait juste suivre sa Maîtresse. Elle ne s’inquiéta même pas des « traces » qu’elles avaient laissé, les trouvant à ce moment tout à fait insignifiantes, et de toute façon n’y pouvant rien ni n’ayant quoi que ce soit à en craindre. Elle marcha alors dans les pas de la vampire, doucement, se laissant guider vers sa demeure et les promesses qui l’accompagnaient.



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