Il y en a une qui boude ici. Kaori vient de se faire remettre à sa place, et en plus ses petits esclaves se sont trouvé des maîtres bien plus expérimentés qu’elle. Dur pour une dominatrice qui se lance, enfin j’imagine. Je préfère des jeux plus simples, surtout depuis que je suis en couple avec un gars qui a une double-vie. En tous cas Adramalech a raison : e suis toute humide. Mais sachant ce que je vais prendre, j’ai tout intérêt à mouiller comme les chutes du Niagara ! Je lis une très simple remarque dans les yeux des jeunes femmes qui découvrent l’imposant objet de mon désir : ça passera jamais !
Si la queue du démon ne tenait pas toute seule, je devrais la tenir à deux mains pour la garder droite. Je glisse la main entre mes propres cuisses pour la couvrir de cyprine. J’avais oublié ce que ça faisait de la poser sur un gland presque aussi que mon poing. Et ça fait quoi ? Ça m’excite, bien sûr ! Je joue des doigts le long de ce membre qui ne vole vraiment pas ce nom, et aussi sous les grosses boules que j’espère bien remplies. Je me décale pour arriver face à Adramalech, au bout de son sexe que je flatte avec envie.
Très vite le démon choisi sa petite friandise, et c’est l’occasion d’un petit aparté avec Kaori. Spoliée de ses soumis, K.O. technique au premier round, et maintenant délaissée par le chef d’orchestre. Elle s’appuie contre le bureau, toute défroquée, et croise les bras. Nobu-kun gémit de plaisir dans la bouche d’Haruna, et Sakura tout autant sous la langue du démon. Je rejoins la brune pour la prendre par la main.
« Ça te ressemble pas de glander en cours, Kaori-sama
- Sama... Arrêtez de vous moquer de moi, sensei. Je sais bien que je suis une bouffonne. »
Et la voilà qui renifle, c’est trop mignon ! Je la prends dans mes bras pour la réconforter.
« Une pétasse en string, une grosse bite et j’existe plus...
- Mais non, Kaori-chan. Tu prends tout de travers. »
Ok, je dois bien reconnaître que je suis gonflée de dire ça vu comme les deux autres sont en train de s’éclater. Je glisse un doigt sous le menton de la brune pour lui faire relever la tête.
« On a deux intervenants pervers de chez pervers, diaboliquement pervers, d’ailleurs. Dominants, esclavagistes sexuels et incestueux : la totale. On est encore à l’école, alors profites-en pour apprendre ! Et puis faudra bien que tu punisses ces deux traîtres, Kaori-sama. Tu crois pas ?
- Si... Vous avez raison. »
Elle sourit et sèche déjà ses larmes alors que je l’entraîne vers Adramalech, penché bien bas sur la fente ruisselante de Sakura.
« Je préfère ça ! T’as jamais été le genre qui se laisse vivre en cours. Maintenant à genoux ! On a une bite modèle géant, on va regarder ça de plus près !
- Mais il... Enfin vous... C’est vraiment rentré ?
- Devant et derrière. »
Et nous voilà en train de discuter, autour d’une énorme queue au lieu d’une tasse de thé. Impressionnant, mais tout est question de préliminaires. Bien sûr qu’elle aussi pourrait, ou Sakura. D’ailleurs j’ai bien envie de voir ce que ça peut donner sur une autre femme. La dernière fois j’ai eu l’impression que mon nombril me remontait entre les épaules. Et tout en papotant on palpe à pleines mains le paquet déballé. On tombe assez rapidement d’accord : pour l’avoir lâchée Sakura va y avoir droit ! Et Kaori-sama va faire falloir ses droits de maîtresse avec tous les doigts. Je lui fais signe de se pencher, tenant le membre au-dessus de nos têtes comme une encombrante, trop lourde, et longue... et grosse... et douce aussi... chaude... mais surtout grosse.
« La main entière.
- Carrément ?! »
La grosse branche retombe entre nos visages, et les masquent à moitié à l’autre. Je dois lever la tête, et m’écraser le visage sur les abdos de béton qui nous servent de plafond, pour saisir son regard.
« Carrément. »
On se redresse, et j’attarde une caresse sur la cuisse tremblante de Sakura qui prend un plaisir fou. Tant mieux pour elle, surtout avec ce qui l’attend. Et je donne mes consignes à la dernière élève qui suit encore. Des heures de colles qui se perdent, mais sans doute pas pour longtemps.
« La tienne : ça devrait aller. Moi, cette fois, je le laisse pas me la mettre avant.
- C’est pas rassurant de votre part, quand on connaît les rumeurs...
- Y’en a que la moitié de vraies, mais la vérité est sans doute pire. Au fait : mon petit copain est réel... Et je me suis jamais tapé le principal !
- J’en étais sûre. »
Un soupir de soulagement ? Je rêve ou j’ai une groupie ?
« Reste concentrée, Kaori-chan ! Sans vouloir sous-estimer Nobu-kun, si Sakura n’a eu que lui : elle est pas prête pour ça. Si tu t’y prends bien, Kaori-sama, elle t’en redemanderas.
- Intéressant...
- Tu la connais mieux que moi, mais passé les trois premiers doigts : faut vraiment être soigneuse.
- Les trois premiers doigts... En ligne ou... ? Vous savez...
- Les deux, tant qu’à faire.
- Mmmh, delicieux !
- Par contre il faudra lui laisser quelques jours pour récupérer, et reprendre en douceur. »
Déjà le colossal étalon démoniaque glisse sa main entre mes cuisses. Elle est vraiment si douce, ou c’est seulement moi qui la fais glisser ? Il donne ses ordres et on soupire toutes les trois l’envie d’obéir, chacune sur sa propre partition. J’esquisse un pas de danse un peu chancelant pour me laisser aller à demi assise sur le bureau.
« Hmmmmmm... Vous voyez comme je suis sérieuse, Monsieur l’Inspecteur ? La proximité avec mes élèves ne m’empêche pas d’être professionnelle. Même si mon expérience du sujet n’est pas aussi grande que je le voudrais. »
La tête qui se balance en arrière, les yeux mi-clos, je passe la langue entre mes lèvres avec gourmandise. Elle attire la pulpe sous mes dents, qui laissent filer lentement. Je suis en chaleurs, qu’est-ce que c’est bon ! En rouvrant les yeux je découvre quelque chose d’intéressant derrière le bras musclé du démon. Je hausse un sourcil et le coin de mes lèvres.
« On dirait que c’est la fin de la récré pour Yoshi-kun... »
Voyons un peu Haruna-sama à l’œuvre, pour m’échauffer encore plus.