Mais... Oui !
Il rit un peu, tout en gardant une dignité noble, comme si rire était vulgaire, il s'en retenait un peu. Son côté prussien, sans doute, élevé dans la rigueur et la discipline. Le jeu et le plaisir ne sont pas des choses que l'on s'accorde si facilement, donc, il évite de rire à tout va. Oui, ce doit être ça.
Tu aimes souffrir, c'est bien ce que je disais ! Et moi, je me fais beaucoup de bien.
Il ressort le téléphone, et prend deux photos. La première, de dessus, les fesses de Nina à moitié couvertes par son slim déchiré, avec le chibre encore calé bien profondément dedans. La deuxième, il devra se retirer pour la prendre : Plan de face, anus dilaté et sperme qui en sort, avec le sexe ruisselant en gros plan, d'où l'on distingue le fil de l'oeuf qui sort et pend. Aussitôt le cliché pris, il se renfonce dans l'orifice où il avait établi domicile. Il s'y remet au chaud. On entend des tap tap sur le tactile, il fait quelques manipulations. Le moment pourra paraître un peu long. Pour la faire attendre, il ponctue le silence par quelques claques sur ses fesses.
Tu as un cul magnifique. Hmm.. Voilà. Avec l'une de mes adresses mails de réserve, j'ai envoyé ces deux photos à la liste des mails des professeurs. J'espère qu'aucun d'eux ne fera le rapprochement avec tes vêtements, sinon tu es mal... Demain, je collecterais les mails des élèves pour faire la même chose. Cette sodomie va devenir célèbre ! J'imagine le nombre de pervers qui se masturberont dessus.
Les boules de Geisha viennent remplacer son sexe, histoire qu'elle garde l'excitation anale intacte. Il la prend par le col d'un côté et le pantalon de l'autre pour la soulever, sa force prodigieuse n'ayant aucun mal à faire décoller, ce poids-plume, et il la jette tout simplement sur le plancher, la faisant s'écraser lourdement. Il lui donnera alors quelques coups de pieds bien sentis : La pointe de la botte dans le ventre, la semelle sur les jambes, il enchaîne en divers endroit, tout en sortant le plus calmement du monde, de sa poche de veste, une clope et un minuscule paquet d'allumette, le genre qu'on trouve sur le front. Puis une idée soudaine lui vient. Gardant la flamme entre ses mains, il vient se saisir d'une bougie sur une commode, qu'il allume et souffle l'allumette juste avant de se brûler les doigts. C'était moins une, disons. Ce petit bout de bois en cendre, il finira posé sur le cou de Neena. Ca fait très chaud un bref instant, mais rien de bien méchant. Par rapport au reste, j'entends. Il s'assied sur le ventre de la demoiselle, la tenant bien allongée sur le dos. D'ailleurs, bonjour les menottes à l'arrière qui doivent faire bien mal au dos.
Je n'ai jamais fait ce truc, avec la cire. Et toi ?
La bougie échoue sur le côté, tandis qu'il relève tout ses hauts jusqu'à sa gorge. Le soutien gorge finira coupé en son centre à l'avant par sa dague. Il libère ainsi sa poitrine. Et brandit la bougie au-dessus d'elle. Quelques secondes de tension... Et la cire brûlante s'écrase sur l'un de ses seins, en un point indéfini. La sensation est extrêmement désagréable sur le coup, mais cette piqûre venant d'en-haut s'adoucit bien vite. Il recommence sur l'autre globe, puis alterne. Tantôt, il vise le téton, tantôt il cherchera dans une zone plus large. Il lui en mettra dans le cou, sur le buste. L'opération sera longue et requiéra toute sa patience, mais cela ne le gênera pas. La voir se tortiller sous lui était un plaisir infini.
Sa queue était toujours sorti, d'ailleurs. Et, après de longues minutes à l'avoir ainsi traitée, il pose la flamme loin, pour prend ses deux seins, les presser malgré la cire dessus, et en faire un fourreau dans lequel, après avoir craché dessus, il se masturbe. Contenant cet agréable prise d'une seule main, il lui met des tartes de l'autre, prises avec beaucoup d'élan, espacées de quelques secondes pour qu'elle ait le temps d'en « profiter ». Mais le nazi a beaucoup d'envie, et ne jouira pas aussi facilement. Il l'enjambe pour passer immédiatement devant elle. Il soulève ses jambes et les met sur l'une de ses épaules, en les tenant bien, de sorte qu'elle ne puisse pas lui porter le moindre coup. Il ajuste l'oeuf vibrant, le calant bien en-dessous de son gland... Et il rentre en elle. L'effet de son sexe qui se fraye un chemin, poussant le sextoy contre la paroi de son sexe où se trouve, de l'autre côté, les boules de geisha, a un effet gênant et douloureux, mais en même temps très agréable. Pour Siegfried, c'est le pied total : Les vibrations se ressentent tout le long de sa queue au fil de sa pénétration, en-dessous de son engin, là où il est le plus sensible. Cette pression de l'objet en plastique lui fait un bien fou. Il n'hésite dès lors plus à être brutal, et commence déjà l'acte en donnant de puissants coups de reins, bien fort. Il soulève même le bassin de Neena du sol pour avoir plus d'emprise sur elle. Comme un jouet, dédié à son plaisir. Il la bourre sauvagement, en gémissant un peu, lui prodiguant toujours quelques efficaces fessées pour lui faire endurer encore quelques sévices. Le but n'est d'ailleurs pas qu'elle prenne du plaisir, mais qu'elle se sente honteuse et utilisée.
J'ai tellement envie de jouir dans ta chatte, que tu te sentes complètement souillée de l'intérieur... Aaah...
Mais non. Il sort d'elle, et colle sa puissante main dans la petite bouche de Nina, à l'intérieur de la joue, entre les gencives. Essayez, vous verrez : Non seulement il est impossibles pour elle de mordre, mais en prime, fermer la bouche file une grosse douleur aux gencives. Elle n'a d'autre choix que de garder la bouche entrouverte, tandis que lui se masturbe sur elle, avant de s'épandre sur son visage, d'une quantité insoupçonnée. Quelques gouttes coulent ses lèvres, mais c'est surtout sa face recouverte qui sera l'humiliation la plus forte.
Il essuie les résidus de semence sur son sexe en se le frottant sur ses seins, ainsi que la salive qu'il a sur la main sur les vêtements de Neena, puis se relève, refermant son pantalon où la verge sera compressée à mort, puis s'éloigne et remettre en place sa chemise devant le miroir.
Tu en veux encore ou sommes-nous parvenus à un accord ?