Enlèvement diplomatique (pv : Ryujin)

Magikya soupirait devant le feu allumé de sa maison. Elle était épuisée, fatiguée, l'élaboration de ce village demandait du temps. Même si celui avait été déja construit, il fallait le fortifier, des palissades naissaient tout autour du village. Ces barricades de bois seraient temporaires, des murailles de pierre seraient ensuite établies, il fallait seulement plus de main d'oeuvre.
Malheureusement, c'était également un problème, tant de réfugiés venaient, il fallait abriter de nombreuses familles et guerriers qui avaient desertés. On comptait ainsi près de 200 nouveaux habitants pour le moment. Il y avait heureusement de nombreuses maisons, seulement, il fallait des vivres.
La chasse et la culture s'avéraient ainsi primordials ainsi que des échanges, du troc, avec d'autres villages. Et tout cela demandait un travail considérable !
La jeune femme venait de finir de lire tous les relevés que lui transmettaient Glabyän, un homme âgé, l'un des rares parmi les villageois à savoir lire et écrire, de plus, il était d'une loyalité des plus infaillibles.

La jeune femme finit par s'étirer, puis souffla sur la bougie de cette salle pour rejoindre sa chambre.

Celle-ci était petite, ne contenant qu'un lit, une armoire pour vêtements, et un miroir.

Magikya se regarda devant, elle portait une tunique rouge, celle de son armée, un pantalon de cuir (elle avait enlevée ses jambières et autres protections de métal, ainsi que sa cotte de maille). Elle était pieds nus, elle avait déposée ses longues bottes à l'entrée.

Elle se déshabilla après avoir pris soin de fermer les rideaux. Puis, s'habilla d'un haut long et large, rouge également. celui-ci s'arrêtait à la moitiée de ses cuisses et par sa taille faisait un grand décolleté. Plus d'une fois le lendemain matin, elle se retrouvait avec un sein qui dépassait.

Ses longues et fines jambes se glissèrent dans son lit. Elle ne mit pas longtemps à s'endormir après avoir éteint la bougie posée sur sa table de chevet.

Punition… ceux qui souillaient les eaux méritaient punitions !  Voilà ce que pensaient le maitre des eaux en cet instant et ça avait le don de l’énerver considérablement de voir travers à gué régulièrement des créatures qui n’avaient rien àn faire ici !  Alors il avait décidé d’agir, de punir le responsable !  Il fit venir à lui un de ses serviteurs les plus zélés, les plus discrets, le seigneur des êtres des eaux.

Ils ressemblaient à de gros lézards aux écailles luisantes, ils avaient des dents aiguisées comme des lames de rasoirs, ils avaient un long corps fin et élancé de couleur grosâtre et des yeux jaunes malveillants. Une fois la mission entendue ils se mirent en route. Ils étaient cinq… cinq ombres qui se glissèrent dans le camp où se trouvait la fautive…

Ces ombres se glissèrent chez elle… oh, elle était endormie… trop facile… ils se séparèrent, sortant leur matériel, chacun avait un tout petit paquetage qui contenait le nécessaire… :  de la corde, des baillons, des entraves magiques pour la couper de son don… cela ressemblait à des menottes individuelles en cuir.

Ils se jetèrent sur elle, chacun son rôle, bien vite les entraves furent passées et le bâillon glissé, l’un d’eux, voyant la jeune femme réveillée, fit claquer sa mâchoire sous la gorge de la jeune femme, menace évidente, ils ne savaient pas parler, ils ne parlaient pas le commun mais communiquaient de manière télépathiques via une conscience commune…. Tous synchronisés, ils se saisir de la jeune femme et se dirigèrent vers la rivière dans laquelle ils plongèrent… seul un sort d’une force inconnue empêcha Magikya de se noyer…

Au fond de l’eau se trouvait un palais dans lequel on pouvait respirer, c’est là qu’elle fut emmenée. Elle fut solidement attachée par les poignets au dessus de sa tête et le seigneur des eaux vint la voir, il n’était que colère.

« Qui es-tu ? Et comment oses tu souiller mon domaine, corrompre mes sujets par la souillure de la mort qui ne vient jamais ? »

Il tenait un fouet à la main.

Les évènements qui venaient de se succéder rapidement laissaient Magikya dans un état d'esprit hagard et brumeux. En à peine quelque minutes, elle avait été enlevée par ce qui semblait être des hommes-lézards ou elle ne savait trop quoi exactement. Elle n'en avait jamais entendu parler, ou du moins ne s'en souvenait pas, ce qui la terrifiait encore plus, que lui voulaient-ils ?

Elle leva la tête alors que des créatures commençaient à l'entourer. Des menottes au poignet, magiques semblait-il, accrochées à une corde qui s'élever jusqu'au plafond.

Elle avait froid, l'eau coulait sur son corps. Son haut lui collait au corps, dévoilant ses tétons qui pointaient à cause de cette eau qui gelait presque ainsi que se seins, d'une taille moyenne mais beau.
Des mèches de ses cheveux violets tombaient sur son visage, lui donnant encore plus de charme.

Magikya essayait de calmer sa respiration, de se calmer, bien qu'enlevée, elle avait un tatouage à l'omoplate, en forme d'arbre, celui-ci devait permettre à son second du village de la retrouver. Il lui fallait gagner du temps.
Elle mit un moment à retrouver ses esprits et à comprendre le sens de la question de l'homme en face d'elle, "la mort qui ne vient jamais", il ne pouvait s'agir que des morts-vivants qu'elle avait invoquer afin d'appuyer les efforts de son peuple. Désormais que les réfugiés étaient nombreux, elle n'en utilisait presque plus ou très rarement.
Alors qu'elle se dit que l'homme comprendrait cette facheuse erreur, elle vit le fouet qu'il tenait à la main et tout son corps se raidit. Cet homme devait être sévère, et surement violent, elle aurait du mal à discuter avec lui.

-Ecoutez, il s'agit d'une banale erreur, je n'étais pas au courant des dégats que cela pouvait occasionner, cela ne se passera plus ! Mon peuple et moi désirons la paix, nous ne cherchons aucune querelle et respectons la vie des votres !

Elle se débattit légèrement. Heureusement, le fait qu'elle est les mains tendues vers le haut empêchait son habit de dévoiler sa poitrine, mais cela dévoilait ses cuisses plus que d'habitude.

Doucement il s’approcha de la jeune femme et lui posa le fouet sur l’épaule, le remonta sous le menton pour lui relever la tête, plongeant ses yeux dans ses yeux… elle avait beau présenter des excuses, ça ne changeait absolument rien ! Les dégâts qu’elle avait fait étaient irréversibles, les souillures et les corruptions engendrées étaient une vraie plaie à enrayées.

« Non, tu n’es pas en mesure de me faire des excuses, petite, tu manie des forces que tu ne comprends pas, et pire encore, tu continues malgré tout à les utiliser, tu détruits et souille mes sujets de tes immondices et tu veux la paix ? Menteuse ! Pire, petite idiote ignorante ! »

Il lui donna un coup avec la partie repliée du fouet, pas trop fort, juste assez pour  lui faire mal et jeta le fouet plus loin. Il lui saisit la mâchoire avant de lui cracher au visage.

« Tu devrais être contente, regarde je te souille comme tu souilles mes eaux et mon peuple ! C’est le premier pas du pardon. Une fois suffisamment souillée à mon avis, tu repartiras, d’ici là, tu ne seras rien qu’une esclave à qui tous feront ce qu’ils veulent… s’ils veulent faire le concours de qui te fait crier le plus fort en te tordant les doigts, libre à eux, s’ils veulent te trousser, libre à eux, s’ils veulent t’engrosser, libre à eux… »

Il lui sourit et regarda la tenue qu’elle avait elle était sacrément moulante… il saisit une lame qu’on lui tendait et lacéra ses vêtements pour la mettre complètement nue… puis il lui plaça une bande de tissu qui faisait son vêtement sur les yeux… elle ne verrait pas ce qu’on s’apprêtait à lui faire. Enfin, on la détacha, ou du moins, on lui permit de toucher terre…

« Allez y… je m’amuserai plus tard… ah et je doute que tu puisses te servir de ta magie chez un dieu… »

Un des soldats lézards s’approcha et  vint frotter sa peau rugueuse et écailleuse contre elle. Il saisit un de ses seins entre une de ses énormes pattes et le serra entre ses griffes. Elle pouvait entendre la queue qui fouettait l’air derrière la bête alors qu’il commençait à caresser le corps de la magichienne avec l’appendice qui devait être le sexe. Il était froid et dur, on sentait les écailles de son phallus qui irritait la peau là où il la frottait.

« Chez nous, les esclaves ne parlent pas, sauf quand on les interroge et elle save ce que nous voulons, mais comme tu es nouvelle je vais te le dire, cet homme lézard a quelque chose d’assez particulier en tête… vois-tu, il estime que l’humuiliation de l’adversaire passe par le faire de se faire enduire de semence… alors tu vas sagement le faire venir, et ensuite il va étaler sa souillure sur tout ton corps… allez, trouve le membre pour le sucer ! »

C’étaient les dernières paroles du dieu en colère, quand il al possèderait elle comprendrait que les dragons sont les êtres les plus puissants qui soient et il la briserait… à elle de trouver le phallus en frottant son visage contre les écailles rugueses, à elle de faire en sorte de récupérer ce nectar glacé qui était en plus d’être collant, particulièrement nauséabond…

Magikya se retrouvait ainsi nue, à genoux. Elle ne voyait plus rien mais elle avait entendue le discours du dieu... Car en plus, son adversaire était un dieu, il ne lui pardonnerait rien, et la magie de la magicienne ne pourrait rien. Elle regrettait ainsi ce tatouage qu'elle avait, avertir autrui du lieu où elle se retrouvait était inutile, personne ne pourrait la libérer face à un dieu. Magikya ne pouvait qu'attendre -et espérer- que sa colère le calme afin que, par magnaminité, il la libère et la laisse regagner son village.

Elle bougeait et tendait son corps malgré que ses mains soient restés ligotés vers le haut pour essayer de trouver ce membre génital. Une tache difficile, et davantage encore car si le contact humain à toujours une certaine chaleur et que c'est de la peau, il s'agisseait là d'une créature sous-marine et écailleuse, elle était humide, sentant les marais, et les écailles qui recouvraient celle-ci. Elle put néanmoins, bien que ses yeux soient bandées, discerner les différentes parties du corps du lézard par le touché. Son dos, omoplates, épaules, etc. étaient, en plus d'être recouvertes d'écailles sales et brisées par endroit, couvertes de petits voir de longs piques qui pouvaient s'avérer êtres de véritables lames de rasoir. Heureusement, Magikya explorait cet étrange corps en douceur et lentement, ce qui lui évita de se blesser.  Les écailles de son abdomen semblait plus longues, mais toujours aussi sale et puantes, mais dénuée de tous piques, surement pour aider à la procréation.
C'est ainsi que Magikya réussie, tant bien que mal, à trouver un membre sortant de son entre-jambe, son pénis. Une fois qu'elle le trouva, elle ne voulut plus le lacher pour ne pas avoir à refaire cette exploration. L'homme-lézard semblait prendre appui sur Magikya, une de ses pattes avant posées sur l'épaule de Magikya, la deuxième restait toujours sur l'un de ses seins. La créature semblait prendre un grand plaisir avec ce sein doux et ferme, il ne devait pas en rencontrer beaucoup de telles poitrines si les femmes de sa race étaient comme les mâles.
Magikya faisait de petits et lents mouvements, de peur que la créature s'impatiente, elle en fit de plus grand, mais toujours aussi lent, elle joua donc beaucoup avec la langue, l'enroulant , léchant avec beaucoup d'attentions.
Au bout d'un moment, la créature retira son pénis, elle crue que le soldat du dieu allait éjaculer et ainsi que ce serait fait pour celle-ci, mais ce n'était qu'un liquide pré-séminale qui commençait à en couler et le lézard en essuya se qui sortait de son gland sur la poitrine de la belle avant de l'enfoncer de nouveau dans sa bouche. Cette fois, il mit une de ses pattes autour de la tête de la jeune femme, il se mit à enfoncer plus loin son membre, puis à accélerer instinctivement son bassin avant d'en sortir tout son membre -même si du liquide pré-séùinale avait de nouveau couler et cette fois dans la gorge de Magikya- et d'éjaculer en grande quantité sur la jeune femme.
Puis il s'écarta et laissa les autres soldats lézards s'occupaient d'elle. Onze en tout. Magikya avait mal à la langue et un peu à l'un de ses seins qu'ils avaient particulièrement appréciés. Elle sentait désormais mauvais, le liquide blanc collait encore davantage que du sperme. Magikya était épuisée, ses cheveux en bataille recouvers de sperme tombaient sur son visage.

Mais elle oublia tout épuisement en pensant au fait que des renforts allaient arrivés et qu'ils seraient accueillis par un dieu sévère, puissant et cruel. Et dans quel état d'ailleurs la retrouveraient-ils ? Leur dirigeante recouverte de sperme et nue...