Toute cette foutue journée avait parue bien étrange pour Chikako. Elle avait d'ailleurs commencée de façon bien étrange. Déjà, pour commencer, alors qu'elle avait passée des mois et des mois à chercher son ancien mentor Gouki à travers les pires lieux de Terra, c'était lui qui était venu la réveiller ce matin dans sa chambre. Ensuite, elle avait la meilleure note à une interrogation écrite qu'elle soutenait mordicus avoir lamentablement raté (bon, ça encore, ça passait...). Mais là... Alors que d'ordinaire elle se foutait royalement de ce genre de devoir, là, Chikako, avait décidée de se montrer studieuse et de bosser sur un exposé et elle avait investit les bancs de la bibliothèque pour ses recherches. Chose qui ne lui ressemblait vraiment pas. Surtout, à la bibliothèque... Elle ne trouvait rien de plus chiant que les bouquins ! Mais c'est surtout ce qui s'y passa qui était le summum de l'étrange. L'apothéose de la journée en fait. Il devait être 17h15 ou 17h20, à peu près, soit un quart d'heure vingt minutes après la fermeture de la bibliothèque. Chikako n'avait pas vue passer l'heure et était à l'étage quand elle entendit un son bien équivoque...
*Tiens, ça baise, par ici !*
Se retenant de rire, elle s'approcha aussi discrètement que possible de la rambarde pour voir qui s'adonnaient à de telles actes. Elle reconnut alors le responsable de la bibliothèque et une jeune élève. Mais le plus déroutant, c'était qu'une fille, planquée derrière une étagères, les observaient... Non, elle ne faisait pas que les observer ! A en juger par les brefs éclats d'aura qui émanaient de ses mains, il semblait bien que c'était elle qui inspirait au couple l'envie de forniquer. Chikako dévora la fille du regard. A prime abord, elle avait l'air plate comme une planche à pain, ce qu'elle aimait beaucoup. Après avoir observée la fille suffisamment longtemps, Chikako se décida à passer à l'action. Il n'était pas question que cette nana soit la seule à s'amuser. Et la lutteuse comptait bien avoir sa part de fun...
Elle descendis par l'escalier. Celui-ci se trouvant vers le fond du bâtiment, à sa gauche, elle pouvait aisément descendre sans se faire repérer par la fille. Elle s'avança aussi furtivement que possible d'elle, un sourire malicieux illuminant son visage. Elle attrapa alors la fille, une main plaquée sur sa bouche, une autre plaquée sur un de ses mignons petits seins plats qu'elle caressa. Elle lui murmura alors :
-- Tu devrais pas faire ce que tu voudrais pas qu'on te fasse, nenette...
Elle mordilla alors un de ses lobes d'oreille afin de l'exciter un peu...