Le plus lâche des assassins, c'est celui qui a des remords || Logan De Barentorn

Eloïss guida ses partenaires le long des rues désertes. Sur terre, il faisait nuit noire et aucune étoile n'était parvenue à transpercer de sa lumière l'épaisse couche de nuage qui planait au-dessus de leurs têtes. La belle déesse déchue était la seule à pouvoir détecter les portails qui menait sur les terres de Terra aussi précisément.
A sa droite, la tête droite et le regard lointain, Abby semblait pensive. Elle avait reçue un message venant d'un homme important du Palais d'Ivoire. Un certain, Logan de la Maison De Barentorn. Elle finit par ouvrir la bouche pour poser une question :

- Tu sais quelque chose sur cet homme ?

Eloïss fit une moue et haussa les épaules.

- Plus ou moins. C'est bel homme qui est né parmi le petit peuple et qui a finit par apprendre que sa mère était la femme d'un grand homme puissant. Sauf qu'il était le fruit d'une tromperie parce que Madame s'était entichée d'un fermier. Alors forcément Monsieur de Barentorn est devenu furieux et du coup cette pauvre Dame a confié Logan à un autre couple de fermiers. C'était un type assoiffé de pouvoir qui a finit par se faire tuer... enfin bref ! Tu vois le genre. Logan de Barentorn a finit par apprendre toute l'histoire et a débarqué en trombe au Manoir pour finir par y être nommé à la tête de cette Maison. Il parait qu'il est un bon combattant.

- Comment tu sais tout ça ?

- Je te rappelle que je suis une Déesse et que ça fait plus de deux siècles que je veille sur les deux mondes. Alors j'ai eu le temps d'apprendre des tas de choses. Et puis... garde ça pour toi mais... en tant que Déesse de la chance, j'y ai mit mon grain de sel pour remettre de l'ordre dans cette maison.

- Quoi ? Tu veux dire que c'est grâce à toi si le père du demi-frère est mort et que Logan a put reprendre sa place ?

- Hey ! Je ne tuais personne, moi, si ce type est mort c'est seulement à cause de son caractère de chiotte et de son égoïsme. Mais j'ai simplement fait en sorte que Logan apprenne sa véritable nature.

- Hum... il te doit une fière chandelle alors. Ça pourrait nous aider à...

- Je t'arrête tout de suite Abby. Pas de chantage. Je ne suis plus une déesse alors tout ce que j'ai put faire autrefois est sensé n'avoir jamais existé, ok ? Logan ne doit rien savoir. Les êtres humains, les E.S.P.er, les terranides et autres créatures n'ont pas besoin de savoir ce que les Dieux font.

- Je comprends.

- On est arrivées.


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Le Portail était passé. L'équipe des Copines au grand complet se retrouvait désormais sur les terres de Terra, non loin de la Maison des De Barentorn. On entendit un gémissement poussé par Cléo qui s'étirait longuement. Ici sur Terra, la nuit n'était pas encore tombée, il faisait jour et le temps était agréable.
Elle reprirent leur marche, discutant entre elles sans trop de bruit. A quoi pouvait bien ressembler ce manoir et celui qui le dirigeait ? Qui devraient-elles tuer ? Est-ce que ce serait dangereux ? De toute manière, les miss adoraient le danger et peu importait ce qui les attendait là-bas. C'était très excitant !

Quelques minutes plus tard, elles ne tardèrent pas à se retrouver enfin face à la magnifique demeure de Logan De Barentorn. Un endroit très riche il fallait l'avouer qui valut un regard admirateur de la part des filles. Abby en tête, elles allèrent frapper à l'entrée et se firent accueillir par ce qui devait être un serviteur.

- Qui demande ? questionna l'homme.

- Nous sommes la légion des Coquines. Nous venons voir Sir de Barentorn.

Elle planta la lettre sous le nez du serviteur signé par son Maître et après un rapide coup d'oeil sur le papier et sur la troupe d'adorables demoiselles, il finit par s'effacer pour les laisser entrer dans le hall. Y avait pas à dire... c'était bourré de fric ici. L'homme leur demanda d'attendre ici le temps d'informer le Maître de leur arrivée. Seules dans la grande pièce, elles patientèrent. Diane s'approcha d'un vase inestimable et se pencha sur lui, scrutant avec intérêt l'objet qui devait valoir une véritable fortune. Gwen se glissa à ses cotés et souffla :

- J'adorerais avoir un truc de ce genre.
- Tu pourrais t'acheter n'importe quoi avec ça.
- Non, je ne le vendrais pas. Si j'avais un vase comme celui-ci... je le mettrais dans ma chambre et je ferais éjaculer tous les hommes de mes nuits à l'intérieur pour en boire dès que l'envie m'en prend ! Un peu comme d'autres font avec une bouteille d'eau ou...
- Gwen, c'est répugnant.
- Seulement pour les petite vierge comme toi, chérie ! Ricana la blonde.

Diane leva les yeux au ciel et préféra rejoindre Bryseïs qui aidait Flora à réajuster l'un de ses colliers.
Le serviteur ne tarda pas à revenir pour les prier de les suivre jusqu'au bureau de Logan. Elles allaient enfin pouvoir passer aux choses sérieuses. Difficile de ne pas être excitée à l'idée d'en apprendre plus.
Tout autour d'elle était agréable à regarder et elles laissèrent leurs yeux glisser sur tout et n'importe quoi pourvu que cela brillait un peu. Mais cela aurait été peu prudent de voler ne serais-ce qu'un chandelier.
Une fois devant la porte, les jeunes femmes reprirent un peu de sérieux et pénétrèrent enfin dans la pièce pour découvrir l'individu...

Logan tournait en rond, réfléchissant, étant dans une impasse... Les De Chantelieu lui mettaient des bâtons dans les roues... C'était un soucis à résoudre, il y réfléchissait donc... Envoyait un peu de ses troupes pour les arrêter, non, le Manoir devait être défendu, tout les hommes devraient rester ici... Hum... Que faire... Logan tournait autour de son bureau, tout cela le mettait hors de lui, pourquoi fallait-il que cette famille s'en prenne à lui ? Le dirigeant de cette maison voulait que Logan se marie avec sa fille... Logan avait refusé, la famille était encore trop pauvre et puis la fille... Argh... Hideuse...

A force de réfléchir, il avait trouvé une solution. On lui avait parlé d'une légion au nom bien original. Une troupe de femmes, faisant les moindres désirs de leurs clients si le prix est là. Tout cela tombait bien car l'argent n'étais pas un réel soucis pour Logan. Le temps d’écrire une lettre, demander à une servante de la faire parvenir à cette troupe... Logan attendait patiemment, tout cela était assez urgent, enfin, pas très urgent non plus, mais plus vite cela était réglé, plus vite il pourrait se sentir un peu plus en sécurité, car oui, la sécurité il l'avait. PLus d'une centaine d'hommes tomberaient avant lui et pour une famille comme les De Chantelieu, avant de tomber cent hommes, il faut qu'ils se lèvent de bonne heure. La porte s'ouvrait alors...

"Excusez-moi Monsieur. La légion des "Coquines" est là."

"Bien. Fais les rentrer."

Logan se relevait, regardant vers la porte. Il voyait entrer des demoiselles tout autant magnifique les unes que les autres ce qui le faisait sourire. Elles étaient entrées dans une grande pièce avec un siège que l'on pourrait presque juger de trône, siège de Logan donc. De l'autre côté du bureau, on pouvait voir huit sièges, presque collé les uns sur les autres pour ne pas prendre tout l'espace de la pièce non plus.

"Bonsoir charmantes demoiselles. Je vous en prie, asseyez-vous."

Logan regagnait donc son siège, regardant unes à unes les femmes s'asseoir. Une fois que tout le monde a gagné sa place, Logan prenait la parole pour commencer les explications.

"Je me nomme Logan de Barentorn, dirigeant, donc, de la Maison De Barentorn. Enfin, vous devez déjà le savoir. Je vous ai fait parvenir une lettre car j'ai un petit soucis, voyez-vous."

Logan fouillait dans un des tiroirs de son bureau et y sortait une sorte de photographie, la déposant sur le bureau, faisant en sorte que toutes les Coquines la voient.

"Je vous présente Eric De Chantelieu. Déjà, pour tout vous dire, cet homme, si vous voulez être payées, j'exige que vous le tuez. Sa tête fera une bonne preuve pour le contrat."

Logan souriant tout en parlant, regardant toujours unes à unes les jeunes femmes.

"La Maison De Chantelieu me menace, moi et ma Maison. Eric voulait que j'épouse sa fille... Malheureusement pour lui, sa fille est sans doute le pire boudin mal baisé qui existe dans cette région. Et vous vous doutez bien que ce genre de femmes de m’intéresse pas du tout, ni pour un mariage, ni pour autre chose. Donc, le père l'a mal pris et cherche à me tuer. L'avantage pour moi, c'est que ma Maison est supérieure à la sienne, si il tente une attaque direct de mon Manoir, jamais il ne passera, c'est du suicide et il le sait très bien. Pour me défendre, je ne peux pas envoyer mes troupes, si mes troupes sont envoyées et qu'il envoie les siennes par après, je suis foutu. Donc, ce que je vous demande, c'est de faire le boulot que mes troupes devraient faire si le soucis d'une attaque de l'ennemi ne me bloquerait pas."

Logan fouillait une nouvelle fois dans un des tiroirs de son armoire et y sortait une bourse, bien garnie apparemment. Il l'ouvrait et laissait le contenu de la bourse se déposer sur le bureau. Il y avait en tout dix pièces d'or.

"Je pense que vous vous doutez bien que question argent cela n'est pas du tout un soucis pour moi. Ces dix pièces d'or, je vous les donnes si vous partez. Pour acheter des équipements, ressources ou autres. Bien sûr, si vous me ramenez la tête d'Eric, je vous payerais beaucoup plus. Ne me donnez pas vos prix, je vous payerai beaucoup plus de ce que vous demandez habituellement."

Il rangeait ensuite les pièces dans la bourse et la déposait au milieu du bureau.

"Si vous avez des questions ou autre je vous écoute avant que j’approfondis mes explications."

Le bureau était à l'image qu'on pouvait se faire d'un lieu de travail d'un Maître de maison tel que Logan de Barentorn. Un vaste pièce, de quoi accueillir plusieurs convives et pour un lui, un grand siège semblable à un trône. L'ensemble était plutôt en ordre, riche et accueillant... rien à dire. Qui ne rêverait pas d'avoir ce genre de vie de château pour se prélasser toute la journée ? Oui... sauf que lorsqu'on est à la tête d'un domaine pareil, on a pas l'habitude de se tourner les pousses et les jeunes femmes s'en doutaient. Elles allaient même en avoir la confirmation lorsque le jeune De Barentorn reprit la parole une fois qu'elle se furent installer.
une maison voisine avait proposé la main de sa fille à ce cher Logan sauf que manque de peau, cette prétendante était laide, mal baisée pour reprendre ses propres mots... enfin bref. Inadéquate pour résumer, et les jeunes femmes n'allaient pas le contredire. Y a rien de pire que de devoir se marier à une vieille peau... et Bryseïs en savait quelque chose. Cette princesse de Grèce avait eut le même problème lorsque ses parents avaient voulu la marier à un gros ivrogne vindicatif et l'avait poussé à fuir son pays et son statut. Quelle humiliation ! Il était donc compréhensible d'éviter cela à Logan et de se débarrasser de cet Eric de Chantelieu.

Vu comme ça, ça ne semblait pas bien compliquer mais il ne fallait pas oublier que ce gars avait une armée. Ce qui rassurait Abby, c'était qu'elle était du bon coté, c'est à dire du coté des puissants. Si c'était ce Eric machin-chose qui leur avait demandé d'éliminer Logan, elles auraient été dans de sales draps. Mais mieux valait ne pas y penser ! Le prix qui leur serait donné si elles réussissaient dépasserait toutes leurs espérance et cela suffit à mettre tout le monde d'accord. Elles allaient signer ce contrat. Lorsque le Maître eut terminé ses explication et leur demanda si elles avaient des question, la leader ouvrit la bouche pour intervenir mais Eloïss, l'ancienne déesse, la devança. Avec un sourire bourré de sous-entendu tout en triturant le lacet de son corsage, elle regarda l'homme droit dans les yeux et lança d'une voix provocatrice :

- Moi j'ai une question. Est-ce qu'il vous arrive de payer... en nature Sir De Barentorn ? Je penses que certaines d'entre nous pourraient également être intéressées...

La plupart des demoiselles affichèrent un sourire amusé, sauf Holly qui rougit un peu, ainsi que Diane et Abby qui levèrent les yeux au ciel. En voilà des manières ! Enfin... Les Coquines n'étaient pas reconnues pour faire dans la dentelle de toute façon.

Logan regardait Eloïss, souriant en coin, répondant a ces sous-entendus.

"Je peux payer avec tout type de monnaie. A vous de voir quel sera le moyen de paiement... Mesdemoiselles."

Logan portait son regard sur toutes les femmes, qui était sans doute tout le contraire de la fille d'Eric. Par contre, elles étaient huit et si on n'en juge par les paroles, les regards, ... Elles portaient bien leur nom, les Coquines. Qu'allait-il donc se passer ? Les huit allaient se jeter dessus et c'est parti pour une journée et nuit de folie ou un autre moyen... Logan était un homme important, mais il se résistait pas plus qu'un autre aux charmes de autant de femmes.

"Et à vous de voir si je fais comme l'or... Un aperçu et le paiement en total si vous me ramenez sa tête. Bien qu'il y a pour des monnaies ou je peux payer tout de suite et en plusieurs fois..."

De nouveau un message rempli de sous-entendus. Logan jouait le jeu et y entrait volontiers, regadant un peu plus intensément chaques demoiselles présentes devant lui, regardant les courbes de chacunes sans aucune gêne.

"Mais, il va vous falloir décider rapidement pour la méthode de paiement. Tout ce que vous devez faire n'est pas pressant à la minute, mais il ne faudrait pas faire une réflexion d'une dizaine d'heure.

Logan ricanait, souriant ensuite, la malice se lisant sur son visage. Il était tout de même resté assis, attendant une réponse, regardant les Coquines les unes après les autres, voyant que la majorité semblait intéressée par cette méthode de paiement, enfin, à en juger des expressions de visages. Enfin, une semblait un peu mal à l'aise tandis que d'autres semblaient blasées. Nous verrons bien, chacune pourrait choisir son moyen de paiement si elle le souhaitait de toute façon.

"Alors, mesdemoiselles. Comment procédons-nous pour le paiement ?"

En même temps, ils s'attendaient à ce qu'une vienne. Personne n'entrerait, ils étaient tranquille dans cette pièce et apparemment, quelques esprits chauffaient, enfin, celui de Logan en tout cas. Cela se voyait, son regard, son ton de voix. Ils devaient leur expliquer d'autres choses, mais la méthode de paiement semblait bien plus intéressante d'un coup, on se demande pourquoi ! Allez les filles, Logan veut bien vous donner du bon temps avant que vous ne partiez à l'aventure !

Les réponses pleine de sous-entendues annoncées par le Maître sembla ravir plus d'une demoiselle dans la salle. Elles n'y étaient pas aller par quatre chemins en tous cas, n'ayant apparemment aucune pudeur lorsqu'il s'agissait de sexe à part une ou deux exceptions. Après tout pourquoi pas ? Ce n'était pas interdit et l'homme semblait même intéressé étant donné la façon dont il les regardait une à une et les mots qu'il leur adressait. Il n'y avait que Holly et Diane pour tourner la tête, malheureusement désintéressées et pour cause, elles étaient vierges. Et la belle bohémienne semblait être celle qui comptait bien garder sa virginité aujourd'hui. Quant à Holly, c'était une fille beaucoup trop sage et timide pour se lancer dans ce genre d'ébat. Ne restait qu'Abby, qui en tant que leader et femme excessivement compliquée à mettre dans son lit, regardait l'homme de Maison avec une certaine neutralité.
Inutile de dire que les autres demoiselles s'échangeaient des regards brillants à l'idée de ce genre de paiement. Oui mais l'or ? Elle pourraient d'offrir de l'équipements et de nouveaux vêtements alors... que faire ? Elles n'avaient pas des heures pour réfléchir comme leur spécifia Logan. Ce fut donc vers Abby que les regards se tournèrent, comme des enfants qui fixent leur mère en attendant avec impatience son consentement. L'assassin se leva alors lentement pur prendre la parole, regardant le Maître de maison droit dans les yeux.

- Nous avons besoin d'or, c'est incontestable.

- Oh Abby s'il te plaie ! Supplia Cléo.

- Par ailleurs, nous ne sommes pas venue pour prendre du bon temps et même s'il nous arrive d'apprécier ce genre de petite gâterie, notre travail reste notre priorité et passe avant toute chose.

- Mais nous..., commença Gwen.

- Cependant, la coupa la jeune femme, les filles ont fait du très bon boulot et se sont entraînées très dur ces derniers temps et je pense qu'elles méritent d'être entendue... et surtout bien traitée. J'ignore comment vous comptez vous y prendre pour satisfaire ces cinq brûlantes jeunes femmes mais cela ne devient plus mon problème. Si vous n'y voyez pas d'inconvénient, je propose une première partie du paiement dès maintenant et l'autre moitié à notre retour, une fois la mission effectuée. En revanche, nous seront trois à ne pas participer à cette délicieuse orgie, je veux donc que ce point soit pris en compte et qu'une partie du paiement nous sois versée en pièces d'or. Est-ce que cela vous convient, Monsieur ?

Au fur et à mesure du petit discours de leur chef, les demoiselles souriaient de plus en plus, alléchée à l'idée de cette affaire. Holly, Diane et Abby perdaient vraiment quelque chose ! Enfin... tant pis pour elles !
L'assassin décida qu'il était temps pour elle de quitter la salle pour aller préparer leur mission avec les deux autres. Elle prit donc respectueusement congé de leur commanditaire et quitta la salle accompagnée de la brune et la jeune rouquine. Ne restaient plus que cinq adorables créatures au regard pétillant de malice. Bryseïs se leva la première et approcha du bureau, effectuant une magnifique révérence avant de se présenter.

- Je suis Bryseïs Des Hellènes, Princesse de Grèce et fille du Roi Constantin II de Grèce sur Terre. Moi aussi j'ai connu la richesse et l'or et les bijoux commencent à me faire bien moins d'effet que certaines caresses. Vous permettez ?

Elle commença à défaire le long manteau blanc qu'elle portait pour afficher une tenue des plus... légère (http://img15.hostingpics.net/pics/919625Princesse.png). Elle grimpa sur le bureau avec des gestes presque félins et approcha son visage très près de celui du Maître De Barentorn. Elle glissa un doigt sous sa mâchoire, lorgna un regard sur ses lèvres, puis plongea son regard vert dans le sien.

- Avec une telle puissance et une telle beauté vous devez avoir toutes les femmes à vos pieds...

Elle ouvrit ses lèvres comme pour l'embrasser mais laissa simplement son souffle glisser sur celles de l'homme. Elle sourit avec un air provocateur et glissa sa bouche jusque dans le cou de l'homme pour y déposer quelques baisers sensuels.

Les autres jeunes femmes regardaient la scène avec intérêt. Elle se levèrent tour à tour et se débarrassèrent elles-aussi des vêtements superflus pour laisser voir leurs formes superbes et leurs atouts significatifs. Elles s'approchèrent un peu plus de lui et Bryseïs lui souffla d'une voix pleine d'excitations à l'oreille :

-Comment désirez-vous que l'on vous comble Monseigneur ? Nous sommes à votre entière disposition pour assouvir la moindre de vos envies et vos fantasmes les plus enfouis...

Cléo et Flora s’essayèrent sur le bureau, non loin des deux jeunes gens, fixant Logan avec gourmandise et intérêt. Quant à Eloïss et Gwen, la première vint glisser ses mains sur les cuisses de l'homme et la seconde glissèrent sur son torse. Elles attendaient avec impatience d'entendre ce que désirait le Maître.