Ainsi, la...chose s'était assise. Chose. C'est absolument dégradant de dire cela ainsi, mais dans la tête de Jessica, c'était également dégradant de se retrouver ainsi "violée" dans son intimité. Et que faisait elle dans sa loge ? Elle ne préférait presque pas savoir, mais dans son esprit qui était, pour l'heure, détraqué, elle n'avait qu'une envie, lui tirer les vers du nez. POURQUOI. Un souvenir ? Qu'avait elle prit ? Elle n'avait presque rien dans ce lieu, si ce n'est du maquillage qu'elle n'avait pas besoin d'utiliser et très peu de sous-vêtements qui lui servaient à faire celle qui était humaine. Alors quel genre de souvenir est-ce qu'elle pouvait bien trouver...cette...chose !
-Tututu...laisse moi finir ! " Elle lui avait claqué la bouche, restant derrière le dossier. Sa lourde poitrine offrait une sorte de coiffe à la malheureuse petite créature qui avait la malchance d'être arrivée dans cette loge." Donc. Une affreuse femme qui était, cela dit, d'une beauté vénéneuse." Sadique et arrogante dans cet état second."Quelle idée était donc passée par la tête de cette fouine ?! Une très...très très...mauvaise idée." sa voix emplissait la pièce, sensuellement, montant crescendo contre les parois. "car l'affreuse femme était un monstre de sadisme qui aimait faire hurler les petites fouines dans le genre de celle qui venait de s'introduire en elle..." Elle eût une pause, faisant le tour du canapé pour se montrer face à l'intrus " Ouh...j'ai dit en elle ? Non...chez elle..."
La toon passa sa langue sur ses lèvres pulpeuses, son regard emplit d'une lueur perverse. Elle tapotait son menton, cherchant ce qu'elle pouvait bien lui faire endurer.
-Disons que la suite, nous l'écrirons à deux...enfin...je l'écrirai pour deux...
Elle partit d'un rire glacial, sa poitrine rebondissant par à-coups à chaque soubresaut de son corps. Les mains sur les hanches, elle redevint sérieuse tout à coup. Jessica, la toon, s'offrait aux yeux de cette fouine qui ne méritait rien d'autre que la potence, toute entière, dans sa sexualité la plus...dirons nous...lubrique ? Ce n'est pas le mot. Alors...des plus déplacée pour une femme de classe qu'elle aurait dût être normalement.
Ses pas la portèrent vers une petite commode cachée dans un coin. Elle n'y était pas de départ, elle venait de la matérialiser. Un des avantages d'être une toon. cette commode dégageait quelque chose de malsain et se penchant, offrant exprès, semblait il, la vue de sa croupe moulée dans le latex rouge, elle se mit à farfouiller, jetant ça et là, des objets qui n'était pas pour rassurer le but de sa manœuvre. Une petite exclamation de joie sortit de ses lèvres, tandis qu'elle brandissait fièrement une corde de jute, qui n'avait pas l'air du tout agréable au contacte de la peau. Jessica revint ensuite trophée en main, vers la petite fouine tassée semblait il, sur le canapé.
-A la fin de cette séance, tu me supplieras de t'achever. Et crois le ou non, tu regretteras d'être entré...d'avoir eu, ne serait-ce, que l'idée de venir ici, prendre quelque chose. Et Moi, je saurai quoi. Tôt ou tard.
Elle fixa le sac un instant.
-Enfin. Je pourrais fouiner, mais je déteste ça. Contrairement à toi. Et où se situerait le plaisir ?
Et, lentement, elle se mordit la lèvre, concentrée à ajouter un élément à sa loge. Une sorte de poulie au plafond et une accrochée contre le mur. Tendant la corde en la faisant claquer entre ses mains gantées, la rousse sulfureuse s'avança, réduisant encore un peu la distance entre leurs deux corps tellement différents. Son visage si proche du sien, qu'elle pouvait sentir son souffle fruité de toon, contre ses lèvres. Mais elle se contenta de poser avec rudesse la corde à ses côtés et se releva pour reprendre le même manège, la commode, les recherche et se relever en brandissant cette fois-ci, une seringue remplie d'un liquide blanc et un martinet de cuir bien dur. Elle revint à nouveau vers le canapé et posa la seringue sur un petit coussin, s'assurant qu'il ne tombe pas, avant de se reculer.
-Lève-toi. " Elle avait claqué la cuisse du pauvre, car il allait trop lentement à son goût. Enfin. Du ? De la ? Elle n'aurait su dire sur le coup, bien que pour elle, et son sixième sens, il s'agissait bel et bien d'un mâle. "Grouille !" Elle sentait ses tétons durcirent d'excitation, rendant plus brusque et douloureux ses coups de martinet qu'elle portait toujours au niveau des cuisse ou du bras. " Et déshabille toi...lentement...je veux apprécier ce corps que je vais meurtrir et marquer.