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Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

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Adelheid Friedrich

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 30 vendredi 30 juillet 2010, 02:26:59

   Totalement impuissante, elle devait se laisser faire en toute docilité. Le corps de la norvégienne commençait à être des plus excité, mais ça n'était que physique. En rien elle n'appréciait cette torture qu'on lui faisait subir et plus son corps semblait réagir, plus Adelheid se sentait mal. Elle tenta en vain de garder ses derniers gémissements dans sa bouche en vain, mais ils se firent entendre. Pas très fort, certes, mais ils étaient audibles. Ce torture termina au bout de quelques minutes. Cela soulageait la jeune femme, mais ces quelques instants de répit furent court. Trop court. Ce rire, Frig s'en souviendrait toute sa vie. Même fini il commençait déjà à la hanter. Humiliée. Elle laissa échapper un petit cri de surprise lorsque Franz lui asséna une claque sur la fesse droite. Etant derrière elle, il pouvait se permettre beaucoup de choses. Au moins, elle n'avait pas à voir son visage, c'était une bonne chose. Mais il pouvait faire bien d'autre choses horribles. Quelques perverses idées lui vinrent en tête, mais non, il n'oserait pas ? Mais non... Il ne peut pas être si horrible que...

   … ça.

   Si, il pouvait.

   Adelheid sentit un contact différent sur son intimité, il ne lui a pas fallut beaucoup de temps pour deviner que son ravisseur avait apporter avec lui un certain ami à piles. Elle priait pour pas qu'il n'aille plus loin avec ce gode, en espérant que quelqu'un écoute ses prières. Sans succès, puisque le polymorphe inséra le jouet dans toute sa longueur en elle. Les yeux de la scandinave s'écarquillèrent et cette fois-ci, elle ne put retenir ses gémissements plaintifs. Ses jambes tremblèrent. Elle était morte de trouille. Franz revint devant elle pour l'embrasser. Frig pouvait sentir son haleine, la chaleur se dégageant de son corps... Cela lui fit penser au premier jour où ils se sont rencontrés, lorsqu'ils se sont planqués dans ce local. Elle regrettant tant de l'avoir rencontré...Et il fallut que ça soit ELLE qui le rencontre. L'homme se rassit à sa place, lorgnant son corps mis à nu devant lui. Toujours, elle détournait le regard, mais son corps commençait à trépigner à cause de ce foutu jouet. Adelheid se pinça les lèvres pour retenir ses soupirs mais ils se faisaient trop fort pour ne pas être entendus.

   Maintenant, son ravisseur voulait qu'elle lui accorde quelques faveurs plutôt humiliantes et rabaissantes. Hélas la norvégienne n'avait pas le choix... Toute tremblante, elle s'approcha lentement et se laissa tomber à genoux devant lui. Cela se voyait qu'elle se forçait, sa couverture, son masque était brisé. Cependant, le geste y était... Et ça dégoûtait la jeune femme d'être obligée d'agir ainsi. Ses mains se dirigèrent vers la ceinture de Franz qu'elle défit lentement de ses doigts fins. Le bouton de la braguette, puis la fermeture s'ouvrirent. Ça y est, Frig se débarrassa de la dernière barrière de tissu, dévoilant enfin la verge gonflée d'excitation de son ex-ami-d'une-semaine qu'elle saisit de la main droite. Son cœur tomba dans ses entrailles. La voilà dans une position totalement humiliante... Sa main commença à effectuer un petit mouvement d'allé et venu tandis que quelques soupirs s'échappaient encore de ses lèvres. Cette chose enfouie entre ses jambes n'arrangeait en rien les choses pour elle... Le mouvement allait crescendo, mais Adelheid savait que ça ne satisferait pas la faim de vengeance de Franz. Elle approcha ses lèvres du membre de celui-ci pour commencer à passer sa langue sur le gland quelques instants. Et voilà qu'elle regrettait de ne pas avoir enlevé ses piercings ce soir là... Elle s'en voulait, beaucoup. La jeune femme ne tarda pas à prendre en bouche la verge de son ravisseur afin d'étouffer ses gémissements indécents que provoquait cette saloperie de jouet. Elle avait beau ouvrir sa bouche le plus grand qu'elle pouvait, son membre était d'une taille considérable. Quelques fois elle retirait le sexe imbibé de salive de Franz pour pouvoir reprendre sa respiration et pour donner quelques secondes de répit à sa mâchoire. Derechef en bouche, elle jouait avec sa langue et malgré elle son piercing, lui donnant ce qu'il voulait tant. La norvégienne luttait pour que ses larmes ne coulent, préférant s'adonner à cette fellation à laquelle elle essayait de s'appliquer afin d'éviter toute sanction. Son entrejambe était trempé, elle était toujours aussi honteuse. Elle n'en pouvait plus, elle commença à intensifier ses mouvements de manière progressive sans que ça soit trop rapide.
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Franz Nielsen

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 31 vendredi 30 juillet 2010, 14:28:06

Quel bonheur de voir cette jeune femme pour qui je ne suis « pas assez bien », s’approcher de moi entièrement nue, s’agenouiller comme une esclave, et commencer à ouvrir mon pantalon. Elle saisit mon membre avec sa main frêle, et inculque de doux vas et viens.
Je soupire de plaisir, alors que je sens ses lèvres fines, puis cette langue douce ornée d’un piercing, s’activer sur ma verge tendue près de son visage. Ce qui m’excite le plus c’est d’entendre ses gémissements de plaisir qu’elle a de plus en plus de mal à réprimer. Le contraste entre la chaleur et la tendresse de sa langue, par rapport à la froideur et la dureté du bout de métal, est vraiment incroyable. A peine s’est elle occupée de mon gland, qu’elle vient englober ma verge chaude dans sa cavité buccale. Un empressement certainement voulu pour étouffer ses gémissements, mais je ne rate pas l’occasion pour faire passer cela pour tout autre chose aux yeux de son petit ami.

OhMMH ! Regardes moi cette gourmande… A peine sortie elle ‘peut pas s’empêcher de l’engloutir… C’est vrai que ça doit lui changer de ton petit calibre.

Je finis ma phrase avec un rire sadique, alors que le petit ami d’Adelheid semble complètement anéantit, et ne sait même plus quoi dire, seul les larmes roule sur ses joues, et il y a de quoi, la femme qu’il aime, a en ce moment même le sexe d’un autre homme dans sa bouche. A cet instant, je ne sais pas si c’est l’envie d’en finir, ou bien l’excitation provoqué par le jouet qui bouge en elle, qui font activer la bouche de la Norvégienne sur ma verge. Elle tente de la prendre le plus profondément possible, m’arrachant des gémissements de plaisir, en sentant sa langue frotter contre ma peau chaude, et son piercing caresser ma hampe. Elle enchaine ses descentes, et retire mon sexe de sa bouche, pour reprende son souffle de temps en temps. Et c’est dans un de ses moments de répits que je profite pour lui demander de changer d’action, moi je compte bien faire durer ce plaisir le plus longtemps possible.

Allez… Caresses là, et vas te servir de ton piercing de catin plus bas…

Je lui demande assez explicitement de lécher mes bourses en masturbant mon membre, et heureusement pour elle, la copie humaine que j’ai faite de moi, est imberbe à ce niveau là, ce qui devrait lui simplifier les choses. Bien que si j’avais deviné qu’elle se jouerait de moi comme elle l’a fait, je me serais empressé d’incarner un humain tout ce qu’il y a de plus écœurant pour abuser d’elle, comme j’ai pu le faire avec d’autres de mes victimes.

Et après ça tu me feras du bien avec ta belle poitrine…

Bref, je voulais profiter le plus possible des atouts de Frig, qu’elle dégoute à jamais son petit ami d’elle, je veux briser leur amour et qu’elle souffre comme j’ai souffert. Pour accentuer d’avantage la douce mélodie des gémissements de ma victime, je monte d’un cran la vitesse du sextoy dans son vagin. Celui-ci remue du plus belle entre ses parois, les frottant, les faisant vibrer dans un rythme plus soutenu. Et a la deuxième vitesse un autre petit vibreur s’active au niveau son clitoris, y diffusant de douces vibrations.

Adelheid Friedrich

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 32 vendredi 30 juillet 2010, 18:34:07

   La jeune femme risqua un coup d'œil pour voir l'expression du visage de Franz. Une fraction de seconde lui suffit pour voir toute la perversité, tout le sadisme qui illuminait son visage en un rictus presque diabolique. Il était horrible. Un jour, elle se vengerait aussi. Elle savait que ça serait difficile, mais elle se vengerait, elle se l'était jurée. Frig entendait les gémissement de son ravisseur et cela la dégoutait profondément qu'il puisse prendre son pied dans une telle situation. D'ailleurs, elle le soupçonnait d'avoir déjà eu recourt à ce genre de chantage dans le passé, il avait l'air si... « professionnel » et sûr de lui, voir pire, habitué.

   La langue de la norvégienne s'activait autour du membre du polymorphe. Elle s'appliquait, il ne pouvait rien lui reprocher, à part qu'elle n'appréciait pas lui donner du plaisir. C'était beaucoup trop humiliant pour être appréciable. Un dernière fois elle enleva son sexe raide de sa cavité buccale, un léger filet de salive venant relier les deux organes. Adelheid reprenait son souffle en de fortes inspirations, sans accorder un autre regard à Franz, ça serait lui accorder trop d'importance... C'est à ce moment là que celui-ci lui demanda de ses services plus bas, tout en la traitant de cette insulte qu'elle détestait tant... Catin... Elle aurait bien voulu lui renvoyer l'insulte, mais cela n'aurait pas sûrement sonné aussi bien...

   Contrainte de lui obéir, la scandinave laissa glisser ses lèvres le long de la hampe dressée du jeune homme pour descendre jusqu'à ses bourses qu'elle commença à suçoter doucement tout en continuant ses mouvements sur sa verge de sa main droite. Qu'est-ce que des fois elle aurait tellement aimé être laide pour ne pas avoir à s'attirer de mauvaises rencontres.... et à subir ça... C'était tellement dégradant... Le pire, c'est qu'elle devait y mettre du sien... Sa main s'activait à une certaine cadence qui allait crescendo, s'imprégnant de sa propre salive qui avait servie à exciter sa verge quelques instants plus tôt. Sa langue faisait aussi le travail assigner avec une certaine délicatesse tout en jouant du piercing qui aurait mieux fait de ne jamais exister...

   Maintenant, Franz lui demanda de lui faire du bien avec sa poitrine, chose qu'elle n'avait jamais fait auparavant. Frig fut un peu plus réticente à ce niveau là. Cependant lorsque le polymorphe augmenta la vitesse du sextoy d'un niveau, elle ne put retenir un gémissement plus fort que les autres, ce qui lui convainc à user de sa poitrine. Se fiant à son instinct, la norvégienne se redressa pour pouvoir placer le sexe de son « partenaire » entre ses deux seins qu'elle empoigna pour commencer un léger mouvement circulaire, s'animant pour monter du bas de sa hampe jusqu'à plus haut. Elle ferma les yeux. Qu'était-elle donc en train de faire...?

   Malgré sa respiration saccadée et ses longs soupirs qu'elle poussait, Adelheid se força à lever une nouvelle fois son regard vers Franz. Son regard était presque aussi froid que la glace, même si ses yeux étaient au bord des larmes (quand elles ne coulaient pas déjà...).


- Pourquoi moi ?

   Souffla-t-elle dans un élan de haine. Elle ne savait pas vraiment comment Franz réagirait face à cette question si soudaine, mais elle voulait vraiment le savoir.
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Franz Nielsen

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 33 mardi 03 août 2010, 17:16:40

Je fixe le corps nu d’Adelheid, alors que ses lèvres glissent sur toute la longueur de ma verge, pour que sa langue puisse venir flatter mes bourses gonflées. Elle s’applique et je prends mon pied, aussi bien mentalement de la voir ainsi soumise, que physiquement par la dextérité de sa bouche, et se piercing qui n’en finit pas de caresser ma peau.

Puis elle exécute mon deuxième ordre, ses seins généreux viennent englober ma verge, et elle commence à les faire aller et venir le long de ma hampe. Je lâche de longs soupirs de plaisir, en sentant ses globes de chaires doux et fermes frotter contre mon membre chaud, alors qu’elle a l’audace de lever les yeux vers moi, et de me demander pourquoi je lui fais subir tout ça.

Pourquoi ?! Tu n’as pas cessé de m’allumer depuis qu’on s’est rencontré ! Tu m’as fait croire que quelque chose était possible entre nous ! Tu t’es joué de moi ! Tu n’as que ce que tu mérites.

Je vais peut être même réussir à lancer le doute dans son esprit… Son frère… Maintenant son ami… Peut être va-t-elle finir par croire qu’inconsciemment elle allume les hommes et veut ce qui lui arrive. Pour bien lui faire comprendre que je suis toujours seul maitre de la situation, j’appuie sur le bouton déclenchant des décharges électriques à son petit ami, et ne relâche pas la pression.

Petit ami : AhhhrrrHHHHHRRR !

Franz : Je ne relâcherai le bouton que lorsque tu m’auras fait jouir dans ta bouche.

Alors qu’il y a quelques jours, Frig faisait naitre en moi des sentiments jusqu'à lors inconnus, ceci se sont envolés avec l’espoir de construire quelque chose avec elle. Je n’ai de nouveau plus aucune pitié pour les humains, et bien que les décharges parcourant le corps du petit ami de la norvégienne soient encore faibles, elles n’en restent pas moins douloureuses et mortelles sur la durée. Adelheid va devoir se surpasser pour le sauver.

Adelheid Friedrich

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 34 vendredi 06 août 2010, 20:40:21

   Pour des personnes normales, il est inconcevable de prendre son pied dans de telles situations. Mais il existera toujours des gens manipulateurs et faisant preuve de beaucoup de sadisme dans ce triste monde. Il y a tellement d'autres manières de se venger, pourquoi fallait-il que Franz choisisse celle-ci ? Avec appréhension, Frig attendait la réponse de ce dernier, qui lui reprocha des choses dont la jeune femme ne s'était même pas rendu compte. Jamais elle ne l'avait allumé et jamais elle ne lui avait fait croire des choses possibles entre eux. L'incompréhension la cernait, elle ne comprenait plus rien. Bien sûr, elle aurait voulut rétorquer à ces fausses accusations mais elle n'en avait pas le courage. Puis ça n'aurait servit à rien. Elle n'aurait fait qu'empirer les choses, comme elle sait si bien faire. Frig ferma les yeux à nouveau. Elle se sentait tellement innocente, mais les faits étaient maintenant tournés contre elle.

   La réponse cinglante de Franz fut suivi d'un horrible chantage (encore...). Adelheid n'avait pas le temps de réfléchir, il fallait qu'elle fasse cesser la douleur de l'être aimé au plus vite. La jeune femme reprit la verge de son ravisseur en main, la portant derechef dans sa bouche. Ses mouvements étaient un peu plus maladroits mais la « volonté » y était. S'activant de sa main et de sa langue autour du membre gonflé d'excitation, la scandinave n'était pas moins dégoûtée de ce qu'elle était en train de faire. Le rythme oscillait, plus ou moins rapidement, afin de mettre fin à cette torture le plus rapidement possible. Peut-être qu'on finirait par lui enlever cette chose qui se logeait entre ses jambes depuis ces quelques atrocement longs moments. Mais il ne fallait pas rêver.

   Les ordres étaient très clairs. Franz arrêterait (normalement) d'appuyer sur ce maudit bouton si elle le faisait jouir dans sa bouche. Soit... Sentant le moment fatidique arriver, Frig ferma les yeux le plus fort qu'elle pouvait. Qu'à cela ne tienne, elle sentit sa bouche se faire inonder de la semence du jeune homme. Étrangement il déversa une quantité plus grande que celle d'un être humain normal. Ne pouvant se débarrasser d'une telle quantité de liquide, elle dut se forcer à avaler ce qu'elle pouvait, toujours contre son gré. Enfin, elle retira son membre de sa bouche tandis que du sperme coulait encore des commissures de ses lèvres. La jeune femme essuya sa bouche du revers de la main, avant d'implorer Franz du regard.
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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 35 samedi 07 août 2010, 17:30:38

Adelheid n’a pas le temps de réfléchir, face à mon pouce appuyant sur le bouton du mécanisme qui envois des décharges à son petit ami. Elle saisit à nouveau ma verge imposante dans sa main frêle, et vient la prendre en bouche, pour effectuer des vas et viens soutenus. Je gémis de plaisir face à cette langue qui caresse ma verge, et ses lèvres qui massent mon phallus sur toute sa longueur. Au bout de quelques instants sous cette cadence, mon corps se crispe sous le plaisir, et Frig à l’air de le sentir, vu que ses yeux se ferment  comme appréhender ce qui allait suivre. Je la fixe, alors que me corps se libère de sa tension, et que ma verge inonde sa petite bouche de longs jets de spermes. Vue la quantité qui se déverse sur sa langue, elle est contrainte d’avaler comme elle peut, et je vois sa gorge se déformer sous les goulées de sperme qu’elle ingurgite. De minces filets de semence s’écoulent du coin de ses lèvres, alors qu’elle retire mon membre de sa bouche. Et comme une deuxième jouissance, je vois le regard implorant de la Norvégienne se lever vers le mien.

Comme un roi accordant une faveur à une esclave, je lève mon pouce du bouton, stoppant les décharges qui faisaient crier de douleur son petit ami. Et celui-ci quitte la souffrance physique pour retrouver la souffrance morale, lorsque je saisis ma verge, pour passer doucement mon gland d’où perlait encore du sperme, sur les lèvres d’Adelheid.

Eh bien ta petite amie est une vraie gloutonne… Elle a tout avalé…

Je prends soin de couvrir de ma semence les lèvres de Frig, et tout en mettant le vibromasseur à pleine vitesse, je me redresse, et fait tourner ma victime en direction de son petit ami, pour qu’elle soit face à lui lorsqu’elle fera ce que je vais lui ordonner, et affronte ainsi son regard.

Lèches bien tes lèvres… Je suis sûr que tu ne veux pas gâcher ce précieux liquide ?

Tandis qu’elle s’exécute, je me retrouve derrière elle, et remonte son bassin pour qu’elle soit à 4 pattes. Je peux mieux voir le vibro en elle, remuer à pleine vitesse dans son vagin complètement trempé d’envie. Je prends le bout du god dans ma main, et alors qu’elle aurait pu penser avec soulagement que j’allais le retirer, je commence à le faire aller et venir en elle. En même temps, je frotte ma verge contre ses petites fesses pâles, et je ne mets pas longtemps à retrouver une belle érection, sous le contact de cette croupe, et en entendant les gémissements de Frig.

Au bout de quelques minutes je retire le vibromasseur de son sexe, et je frotte ma verge dure et chaude contre sa vulve humide. J’agrippe ses fesses, et je continue ce traitement, mon phallus glissant contre sa fente, je veux sentir tout son corps désirer que je la pénètre. Et après le traitement long et intense que lui a infligé le vibro, nul doute que son intimité maintenant délaissée, désire plus que tout ce barreau de chaire imposant qui coulisse contre elle. Au bout de quelques nouvelles minutes, je tire son bassin contre le mien, et fait le mouvement inverse avec le mien, mon membre pénétrant d’un coup en elle, frottant contre ses parois, jusqu’à ce que mon gland viennent taper au fond de son vagin. J’entreprends des mouvements puissants, ma verge allant et venant avec force en elle. Je plonge à nouveau Adelheid dans le dilemme entre les attentes de son corps, et les sentiments de son petit ami, qui ne peut que regarder alors que je la prends en levrette.

HMMM ! Tu es complètement trempée d'envie ! Ça à l'air de te plaire d'être prise ainsi ?!

Adelheid Friedrich

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 36 lundi 09 août 2010, 23:19:51

   Le pouls de la jeune femme se calma lorsqu'enfin le pouce de son ravisseur lâcha le bouton malgré ses paroles salaces qui la hanterons une bonne partie de son existence. C'était toujours un poids de moins à supporter en ces temps durs et même insoutenables. Hélas la tournure de la situation ne laissait pas de temps de répit, à personne. Sauf éventuellement à Franz qui lui profite bien des évènements. Il en profita par ailleurs pour placer Frig de manière à ce qu'elle se trouve dans une orientation ô combien compromettante pour sa vie de couple qui est de toute façon déjà détruite. Ainsi donc elle dû lécher ses lèvres couvertes de semence comme ordonné à son plus grand dégoût.

   Son ravisseur passa derrière la scandinave, maintenant à quatre pattes devant lui. L'aspect de la situation l'inquiétait plus que tout mais elle se rassura en se persuadant que c'était presque la fin. Presque. Ce n'est qu'un mauvais moment à passer et tout rentreras dans l'ordre. Enfin presque... Pour l'instant, Adelheid essayait tant bien que mal de calmer ses bouffées de chaleur de plus en plus intenses tout en retenant ses pleurs qui risqueraient d'être vraiment bruyant, proportionnellement au trauma provoqué par ces expériences pour le moins humiliante. Alors qu'elle sentait une main se glisser vers son entrejambe, elle eut l'immonde espérance qu'on lui retire cette horrible chose lancée à pleine vitesse entre ses jambes. Il ne fallait pas en demander tant puisque Franz commença à initier un mouvement d'allé et venu auquel elle ne s'y attendait pas du tout. Le premier mouvement lui arracha un cri mêlant surprise et excitation mais les suivants se firent avec plus de retenue et de honte. Surtout de honte lorsqu'elle sentait petit à petit sa verge contre elle reprendre toujours un peu plus de vigueur. Un frisson parcouru son corps sous ce contact la révulsant au plus haut point, mais elle devait faire avec. Jamais la norvégienne n'aurait crû que ce genre de « jouet » pourrait lui procurer de telles sensations. Encore une fois, elle avait honte. Et elle fermait les yeux, pour ne pas à supporter ce regard s'abattant si lourdement sur elle. Les yeux fermés, Adelheid avait moins peur. Même si ses soupirs s'étaient transformés en gémissements, ne plus sentir ce poids sur elle la rendait comme « moins coupable » de cette scène.

   Cette intense torture prit fin. Il était temps... Cela avait parut comme une éternité. Une horrible éternité. S'agrippant maintenant à elle, Franz pouvait la sentir trembler. Oui, elle tremblait, de tout ce qui était possible. Peur, excitation, honte, luxure... Même plus. Pour l'instant, il ne la pénétrait pas, se contentant de faire glisser son membre le long de sa fente. Un petit moment de sursit. Frig en profitait pour reprendre ses esprits puis pour respirer un bon coup, chose qu'elle n'eut pas encore fait pour le moment, et surtout elle espérait que ses parois vaginales se remettent du traitement intensif qu'elles ont subi. Encore quelques minutes de trêve... Encore quelques secondes de trêve... Et brusquement le jeune homme la pénétra toujours sans douceur. Un premier gémissement se fit entendre. Puis un second, un troisième, et une multitude d'autres soupirs (malheureusement pour la plupart) de plaisir. Ses assauts étaient violents, le tout se faisait bestialement, sans aucun sentiment. Juste celui de démolir la vie de quelqu'un. Et encore une fois le corps de Frig réagissait à sa place. Son « partenaire » était vraiment en train de la ravager de l'intérieur allant jusqu'à atteindre le fond de sa cavité, augmentant à petit feu ce brasier qui quand à lui ravageait son bas-ventre. Ses parois se trouvaient de plus en plus sensibles sous le contact de cette hampe de chair à l'épaisseur considérable. Comme chaque scène traumatisante d'une vie, elle vivait celle-ci avec une atroce lenteur même malgré la violence dont Franz faisait preuve. Mais c'était pire, puisque rongée par la honte et la crainte, les sensations étaient décuplées.

   C'en était trop. La jeune femme se sentait vraiment trop mal à l'intérieur. Elle se cambra, plaquant son visage et ses bras au sol mais laissant sa croupe à la merci de son ravisseur. Là elle mêlait les pleurs et ses plaintes pleines d'envie et surtout elle ne répondait pas aux provocations de Franz. Son corps se chargerait du reste, c'est à dire à donner du plaisir à cet immonde personne qui prenait son pied à la souiller de la sorte. La scandinave souhaitait tellement qu'on ne lui prive pas du moment qu'elle s'était octroyée. Cependant cela ne l'empêchait pas d'approcher de l'orgasme qu'elle essayait tant depuis tout ce temps de retenir. Malheureusement pour elle, son masque qu'elle s'était forgée depuis tout ces traitements allait se briser.
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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 37 mardi 10 août 2010, 18:28:26

Quel bonheur d’entendre ses gémissements de plaisir, mêlés à ses sanglots, alors qu’elle enfouit sa tête entre ses bras, pour les étouffer. Mes larges mains vagabondes sur ses fesses douces et fermes, alors que ma verge imposante continue d’aller et venir avec force entre sa fente humide. Sans doute que dans son esprit, il doit naitre des envies de vengeances, mais quand je quitterai cette pièce, je serai une toute autre personne. Et peut être même son frère adoré ? Son père ? Je souris au sentiment d’invulnérabilité que me procure cette situation.

Après plusieurs minutes à prendre en levrette Adelheid, je descends mes mains vers ses cuisses, et tout en laissant mon membre profondément en elle, déformant ses parois, je la soulève, pour plaquer son dos contre mon torse. Je recule pour venir m’asseoir sur un fauteuil, et j’en profite pour venir lécher le cou de Frig, alors que je jette un coup d’œil à son petit ami, et je remarque que son pantalon est déformé par une belle érection.

Eh bien regardes Adelheid… Comme ton fiancé est excité que tu sois prise ainsi… Il ne t’as sans doute jamais vue prendre autant de plaisir…

D’une main je viens agripper son sein gauche, que je masse avec désir, jouant avec son téton par moment, alors que de l’autre, je viens caresser son ventre, et je frotte du bout des doigts son clitoris.

Allez… A toi de jouer…

Je la laisse mener la danse d’elle-même, elle commence à mouvoir son bassin, de bas en haut, sur mon gros barreau de chaire. Des râles de plaisir s’échappent de ma gorge, et au bout de longues minutes, où je sens la jouissance parcourir mon corps, je viens saisir les cuisses d’Adelheid pour les soulever, et ainsi inculquer mon propre mouvement de bassin. Mon sexe commence à aller et venir à une vitesse effrénée dans celui de la Norvégienne, frottant contre l’intégralité de ses parois.

HMM ! HMM ! Je vais te remplir comme jamais tu l’as été !!

Je sens la jouissance envahir mon corps, alors je remonte mes mains sur le haut des cuisses de Frig, pour mieux venir plaquer son bassin fermement contre le mien. Ma verge dure et large est ainsi pressée entièrement par son vagin, et libère de longs et épais jets de sperme à l’intérieur. Le verrou que constitue mon phallus, empêche ma semence de ressortir et la contient en elle. Mon éjaculation dure de longues secondes, et j’espère pour Adelheid qu’elle n’a pas oublié son contraceptif aujourd’hui…

Je reprends doucement mon souffle, avant de soulever la Norvégienne, et de la laisser doucement retomber à terre. Mon sperme commence déjà à dégouliner de son vagin, alors que je me redresse, et me rhabille correctement. Je lance un regard sadique vers son petit ami, en reprenant mes affaires.

Eh bien… Ta petite amie c’est une sacrée petite garce…


Je me penche vers Adelheid, et tout en malaxant une dernière fois ses fesses, je murmure à son oreille.

A la prochaine…

Je me redresse, toujours avec la télécommande de la chaise électrique à la main, devant ses deux humains en pleurs, qui pensait que l’amour faisait le bonheur. Voilà ce que j’en ai fait de leur amour.
Je pourrais bien sûr, envoyer une décharge à la puissance maximale sur l’homme, pour le tuer, et faire de même avec Adelheid, mais ils souffriront beaucoup plus en tentant de vivre après ça. Et puis ce n’est pas comme si je risquais d’être arrêté par la police… Je me recule vers la porte, et juste avant de quitter l’appartement, je laisse tomber la télécommande à terre. Et comme à mon habitude, après m’être dépêché à quitter le couloir, je me transforme en petit vieillard inoffensif, et je quitte tranquillement les lieux.

C’est une bataille de gagner, dans la guerre que je mène contre cet amour que les humains aiment tant revendiquer. J’ai fait partir les sourires amoureux et les airs insouciants du visage de ces humains, et j’ai fait souffrir celle qui a presque réussit à m’écarter de mon but.
J’en ai finit avec Adelheid pour le moment, mais quand elle s’y attendra le moins, où elle aura repris espoir, qu’elle pensera avoir oublié tout cela, qu’elle fera de nouveau confiance aux hommes, en l’amour : Je serai là.

Adelheid Friedrich

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Re : Trop de signes, trop de mots. [Pv: Franz Nielsen]

Réponse 38 mercredi 11 août 2010, 22:40:15

   Qu'est-ce qui est plus humiliant que d'être obligée de se laisser souiller par un homme qui ne vous veut que du mal ? C'est à se poser la question. Ces minutes sont longues, interminables. Et elle se défilait. Adelheid continuait de pleurer, tandis que tout son bassin subissait les violents coups de rein de Franz, qui ne se fit pas prier pour prendre possession de sa croupe. Des frissons parcoururent son corps sous ce contact chaud et horriblement invoulu. Elle pouvait sentir la cyprine s'écouler de son sexe au fur et à mesure que le membre du polymorphe revenait dans celui-ci.

   Sans qu'elle s'y attende, son ravisseur changea de position et la norvégienne se trouva maintenant contre lui. Les yeux fermés, tout ce qu'il disait n'était que pur mensonge. Du moins, pour elle, car les faits étaient là. Maintenant elle était obligée de satisfaire à nouveau les désirs de Franz, elle s'exécuta, s'empalant tout le long du membre de ce dernier. Lui-même en profitait encore pour faire jouer ses mains sur son corps. Mais ce qui fut le pire de tout ces attouchements fut lorsqu'il s'attaqua à son cou. Horreur et damnation, Frig lâcha un gémissement plus fort que les précédents avant de se pincer les lèvres pour que cela évite de se reproduire à nouveau. Sa couverture était déjà brisée, mais coûte que coûte elle essayait de montrer que ce foutu rapport n'était absolument pas consentant malgré les diverses remarques qu'utilisaient Franz pour ponctuer ses faits et gestes.

   Les gémissement de la jeune femme accompagnaient ses mouvements de manière (trop) érotique. La fin était proche, dans les deux sens du terme. Pour son ravisseur aussi, qui pris les devants en s'emparant de ses cuisses pour donner plus de profondeur à ses gestes. La cadence s'accélérait et atteint un rythme effréné. Les yeux mi-clos, la bouche grande ouverte, Adelheid venait de rendre son dernier soupir, tous ses muscles crispés, tandis que le polymorphe comblait son vagin de sa semence. Elle rouvrit ses yeux petit à petit, sans vraiment regarder nul part. On la reposa au sol, puis elle ne bougea plus.

   Une fois le départ de son ravisseur, Frig se releva sur ses bras tremblants. Le silence pesait dans la pièce. Elle alla remettre ses sous-vêtements non sans gêne avant d'aller détacher son ex-petit ami.



   Devant la porte de chez elle, la scandinave se massa la joue. Qu'est-ce qu'elle lui faisait mal, bien que la douleur ait disparue depuis quelques minutes maintenant. C'était à l'intérieur que ça lui faisait mal. Elle poussa faiblement la porte de la maison avant de la refermer à clef. À cette heure-ci on devait dire bien du mal d'elle dans son dos, que c'était juste une grosse pute. Sans rien ajouter de plus. Tout le trajet elle avait réussi à garder le visage de marbre, mais les larmes brouillèrent encore ses yeux déjà rougis par la fatigue et ses précédents pleurs. Adelheid enleva doucement ses chaussures avant de monter les escaliers tout aussi lentement. De là elle erra tel un fantôme jusqu'à la chambre de son frère, déjà endormi, ou presque. Entrouvrant la porte, un mince filet de lumière envahit la pièce sombre. Sans demander la permission de Theodor elle entra dans sa chambre, s'installant à côté de lui sur le lit après qu'il lui ai fait une petite place. Frig fixait le plafond d'un air las, même si des larmes dévalaient encore le long de son visage. La voix tremblante, elle parvint cependant à prononcer dans son idiome maternel :


- Théo, j'ai un truc à te raconter.

   Cette nuit-là il lui fallut plus de la moitié d'un flacon de laudanum pour que Frig oublie qu'elle avait mal.
{ T h è m e } - { F i c h e }

Mens vinteren er stille hvit og mens våren er golden sollys
Den gamle vandreren går mens høsten er blodig rød, evig og evig





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