Je faillis exploser en entendant ces mots, mon regard se fige, mais j’arrive tout juste à me contrôler. Elle s’est fichue de moi depuis le début ?!!! Moi qui pensais avoir trouvé un être humain, qui mérite enfin qu’on s’intéresse à lui. Mais enfait, elle est comme tous les autres ! Comme ceux qui m’ont humilié toute ma jeunesse ! Comment ai-je pus penser une seule seconde arrêter mes activités, parce que je pensais avoir trouvé le sens du mot amour avec cette femme ? Ce n’était qu’illusion comme d’habitude ! Mais elle va payer, je vais lui faire payer tout ça !
Je prends une longue inspiration pour me contrôler, si je veux que ma vengeance soit totale il faut que je prenne le temps de la planifier. Je la regarde et essaye tant bien que mal d’étirer un sourire sur mes lèvres.
Oh… D’accord. C’est bien, tu dois être heureuse.Pff… Et ça ne t’empêche pas d’allumer le premier homme venu et de te laisser prendre par ton frère dans une cabine d’essayage ! Je fulmine intérieurement, ma haine pour les humains que je croyais éteinte, vient de se rallumer de plus belle.
Oh… J’ai oublié que j’avais un rendez vous ! Je dois filer ! On se voit plus tard !Je sors en vitesse du parc, et je rejoins mon appartement, pour trouver la meilleure des façons pour faire payer à cette garce. Et la nuit me porte conseil, vu qu’au petit matin, j’ai mon plan bien en tête. Je vais trouver son petit ami, et je vais l’attirer jusqu'à mon appartement en me faisant passer pour une de ses connaissances. Une fois à l’intérieur, je n’aurais plus qu’à l’assommer, puis je le ligoterais à une chaise, sur laquelle je placerai un dispositif d’électrocution. Ensuite, j’enverrais un sms depuis son portable à Adelheid, pour lui demander de venir à cette adresse. Et quand elle sera là… J’aurais une télécommande à la main, qui sera lié au dispositif d’électrocution. Donc soit elle fera tout ce que je lui demanderai, soit son petit copain en payera le prix.
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Le soir venu, tout est en place. Plutôt dans la journée j’ai suivit Frig sous une autre apparence et elle m’a mené malgré elle jusqu’à son petit ami. Ils ont l’air très heureux, et je cru sortir de mes gongs quand je l’ai vue l’embrasser. Je n’ai pas eut de problème pour l’attirer à mon appartement en me faisant pour une de ses proches, et une fois à l’intérieur je l’ai assommé, et je l’ai ligoté à une chaise. Et il se trouve que l’un de mes fidèles clients est un électricien chevronné et à pu me modifier une chaise pour qu’elle puisse envoyer des décharge de courant à celui qui s’assit dessus. Qui plus est, il ‘a confectionné une petite télécommande, qui me permet d’envoyer des décharges de plus ou moins grande énergie, et je l'ai accroché à mon poignet droit. Bref, ma vengeance va pouvoir avoir lieu.
Nous sommes installé dans le salon, moi je suis assit sur le canapé, et le petit ami de Frig est à quelques mètres de moi, et à une vue globale sur l’ensemble du salon. D’ailleurs l’homme en question semble revenir à lui.
Petit ami :
Hmm… Mais qu’est ce que je fais ici ?... Et qui êtes vous ?!Je pose mon attention sur lui avec un sourire sadique.
Franz :
Moi ? Je suis juste un bon ami de ta petite copine… Et je vais bien m’amuser avec elle.Petit ami :
Quoi ?! Vous n’avez pas intérêt à lui faire de mal ! Si vous touchez à un seul de ses cheveux je !Franz :
Tu quoi ? Ta petite Adelheid va me supplier de la prendre sous tes yeux dans même pas quelques minutes…Petit ami :
Que… Quoi ?! Salop ! Qu’est ce que vous manigancez !?Il n’a rien le temps d’ajouter, que le bruit de la porte se fait entendre. Adelheid arrive dans le salon, avec un sourire innocent, qui se brise à la vue de son petit ami ligoté.
Petit ami :
Frig nan ! Vas-t’en vite ! C’est ARGHHH !!!Je viens d’appuyer sur le bouton, pour lui envoyer juste une petite décharge électrique, mais qui est déjà très douloureuse pour le corps humain. Je fixe Adelheid avec un regard sadique, qui ne dois pas comprendre ce qui se passe, comment la personne si gentille qu’elle avait connu pouvait faire une telle chose, et surtout, pourquoi ?
Franz :
Ecoutes moi bien Adelheid… Ca ce n’était qu’une petite décharge. Si tu ne fais pas tout ce que je te dis. Ton petit ami mourra. C’est bien compris.Mon regard, le ton que j’emploi, et surtout la démonstration que je viens de lui faire, ne peuvent que prouver à Frig qu’elle n’a pas le droit à l’erreur.
Franz :
Maintenant viens au milieu du salon, et déshabilles toi lentement pour moi.Ma vengeance était en marche.