Onishiru prit un malin plaisir à insinuer un doigt supplémentaire dans l’antre humide de sa compagne suite à sa demande. Le jeune homme revint ensuite l’embrasser avec véhémence avant de lui dire au creux de l’oreille :
- Je n'oublie pas comment tu m'as traité.
A ce murmure, la jeune femme eut un léger doute, voulait il dire par là qu’il allait se venger et lui faire du mal ? En même temps si elle s’était montrée douce et compréhensive, serait il sorti de sa léthargie ? Elle en doutait. Le chef de gang reporta son attention vers l’intimité de sa jeune proie. Il retira ses doigts pour les remplacer par sa langue serpentine juste après lui avoir annoncé que si elle en voulait plus, elle devait le supplier.
Il n’eut pas trop de mal à obtenir gain de cause, la jeune femme, sous l’effet du traitement particulier de l’homonculus, ne cessait de gémir de façon sonore. Ses doigts s’enfonçaient dans le sol jusqu'à avoir mal. Au bout d’un moment, probablement satisfait de l’entendre crier, Onishiru stoppa sa torture, retourna la jeune femme sur le ventre et la força à se positionner à quatre pattes. Eleindra sentit alors le membre de son amant, tendu d’excitation, au niveau de l’entrée de son antre ruisselante de cyprine.
- Je t'aime tu sais ?
La jeune femme fut autant surprise par les paroles que par l’acte qui suivit. Il s’enfonça en elle avec brutalité et se mit à faire des allers-retours montant crescendo en intensité. Toujours dans l’optique de se montrer dominant, l’homonculus tira la jeune femme par les cheveux la forçant ainsi à se coller à lui. Serrée au plus possible contre le torse d’Onishiru, elle accompagnait les mouvements de bassin au rythme imposé par son amant. Sa cyprine coulait le long de ses cuisses jusqu'à tremper le sol. Ne boudant pas son plaisir, elle criait sans gêne son bien-être accentuant les résonances de la grotte.
La jeune femme remonta sa tête jusqu'à la poser sur l’épaule de son amant et elle murmura au creux de son oreille :
- Moi aussi je t’aime…
Si elle n’avait pas eut déjà les joues en feu dû au plaisir, peut-être qu’Onishiru aurait pu voir qu’elle rougissait. Elle tourna son regard vers le sien et chercha à l’embrasser avec douceur, du moins si cela pouvait ressembler à ça au vu de la façon d’agir du chef de gang.