Au detour d'une ruelle. [PV Onishiru]

Pourquoi ? Pourquoi ce que Onishiru avait stoppé son acte. En général il demandait jamais rien et prenez ce qu'il voulait quand il voulait, voila même le fondement de son gang. Mais au moment où il voulait la pénétrer à nouveau il se stoppa comme si il attendait un action ou une autorisation de sa partenaire. Mine de rien cette belle femme imposait inconsciemment le respect.

Elle se mit soudainement à embrasser fougueusement le jeune homme et elle s'enfonça elle même sur le sexe de Onishiru et commença les va-et-vient toute en lui disant qu'elle aimait jouer. Sans perdre un instant, Onishir se mit à la suivre dans ses mouvements tout en essayant d'enfoncer son sexe plus profondément possible. Pendant cette série de va-et-vient, Onshiru se montrait plus bestial avec l'idée de lui montrer qui des deux devait dominer.

Onishir leva l'autre jambe de la jeune amante la forçant à s'agripper à lui. Ses coups de reins se faisait de plus en plus violent car il n'était plus qu'une question de plaisir mais aussi de force. Tantôt le jeune homme embrassait Eleindra, tantôt il s'attaquait à son cou. Il chercher à tous pris à lui créer le plus de plaisir possible.

Après un bon moment à donner des coups de reins à faire trembler la porte vitré, Onishiru descendit la jeune femme de lui et se retira de son sexe. Il retourna alors Eleindra et la plaqua à nouveau contre la même porte écrasant ses seins tous contre. Il agrippa ses fesses et enfonça son sexe dans l'anus de la jeune femme aussi violemment qu'avant. Il donner de violent coup contre elle tendit qu'une de ses mains l'enlaça et alla tiraille et jouer avec son clitoris et enfonçant deux doigt dans le sexe trempé de Eleindra. Onishiru voulait plus que la faire crier, il voulait vraiment qu'elle n'oublie jamais ce moment. Tantôt, Onishiru sentirais alors sa jouissance exploser, mais il espérait que Eleindra ait son orgasme avant lui.

Onishiru prit vite conscience de ce qu’il devait faire. Eleindra avait obtenue ce qu’elle voulait. Il reprit le contrôle des opérations. Il accentua les va-et-vient et Eleindra senti son membre profondément en elle. Onishiru était plus brutal comme s’il voulait prouver quelque chose à sa partenaire.

Le vagin d’Eleindra s’humidifiait de plus en plus, signe que la jeune femme appréciait ce que son homme était en train de lui faire. Au bout d’un moment il attrapa son autre jambe et Eleindra se raccrocha à lui. Elle répondait aux baisers avec enthousiasme. Les va-et-vient devenaient de plus en plus sauvage. Son corps tout entier s’enflammait et elle gémissait de plus en plus fort.

Alors qu’elle était tout à son plaisir, Onishiru stoppa ses actes et retourna violement sa compagne contre la vitre et s’enfonça sans ménagement dans son anus. C’était de bonne guerre, elle l’avait cherché. Elle poussa un cri mitigé entre la surprise et la douleur. Elle se mordit les lèvres afin de contenir d’autres cris. Dans un même temps il avait glissé ses doigts dans son vagin et titillait son clitoris. Elle concentra son attention sur les caresses qu’il lui prodiguait. Peu à peu la douleur laissa place au plaisir. La jeune femme recommença à gémir. Son corps s’emplissait d’une douce chaleur. Elle se cambra et ses hanches accompagnèrent les coups de reins d’Onishiru afin d’accroître son plaisir ainsi que celui de son partenaire. Elle sentait que le grand final allait bientôt arriver.

Elle poussa un cri bien plus fort que les autres. La jouissance était là, comme une multitude de papillons qui parcourait tout son corps. Elle sentait les spasmes contracter ses muscles anaux autour du sexe de son amant. Elle n’imaginait pas pouvoir ressentir un tel plaisir. Elle avait l’impression que son corps ne la supporterait plus.

Onishiru continuait ses puissants coups de rein dans l'anus de cette pauvre Eleindra qui avait passé des cris de douleur à ce de plaisir. Onishiru sentait clairement l'anus de la jeune femme s'adapter à son sexe plus les coups augmenter plus il sentait en lui le plaisirs l'envahir. Voila un bon moment que le chef de gang travaille cette amante. Aussi soudainement que violemment, un puissant orgasme venait de la dévaster, le jeune homme le sentait clairement en elle du à ses contractions de son anus et la seconde d'après se fut le tour d'Onishiru qui éjacula en elle.

Pendant que les deux amants reprenais leur souffle, Onishiru toujours après Eleindra se pencha et déposa un tendre baiser dans le dos de la jeune femme. Jamais l'homonculus avait eut une relation aussi puissant et jamais il avait apprécié autant faire l'amoure de la sorte. Doucement, Oni se retira de sa compagne et sorti de la douche. Il ignorait si Eleindra finissait de se doucher ou pas et a vrai dire il s'en fichait pas mal.

Onishiru se sécha et s'habilla, il avait des vêtements dans les meubles de cette chambres qui lui appartenait. Après avoir enfilé son pantalon et un nouveau t-shirt sans manche, il rentra dans la salle de bain et s'adressa à Eleindra.

-si tu désires enfiler un nouveau pantalon puisque le tien est un peu détruit, n'hésite pas à fouiller les armoire. À moi que tu veuille te balader à poile et c'est pas pour me déplaire.

Onishire termina avec un petit sourire. C'était vraiment bizarre de sa part de s'inquiéter autant de quelqu'un surtout pas de se qui devait être un de ses victimes à la base. Il ne chercha pas plus et de toute manière il eut pas le temps. Un de ses homme fit soudainement irruption dans la chambre. Cela énerva le chef de gang.

-que fais tu là?! J'ai pourtant ordonner de ne pas me déranger quand je m'amuse.

-toute mes excuse bosse, mais les force de l'ordre à pris d'assaut tous le bâtiment, ils vous cherchent.

Onishiru virra au rouge et commença à crier.

-comment sa ! Il peuvent pas faire sa, pas je suis en train de me détendre. Faite diversion et rendez-vous au lieux de la faille

Onishiru savait qu'il ne pouvait pas mourir ainsi mais il avait plus que horreur de se faire cribler de balle par la police. Il revint dans la salle de bain pendant que son sbire détallait comme un lapin. Il s'adressa à Eleindra avec un petit aire ironique.

-Eleindra chérie, on a un petit soucies. Mais t'inquiète pas j'ai un plan pour nous sortir de là.

Onishiru ignorait tous de la qualité combative de sa compagne et pensait à la sortir de la en utilisant les escalier de secoure tendit que ces homme faisait diversion en tirant dessus les forces de l'ordre.

Quand Onishiru eut à son tour son orgasme, il déposa un baiser dans le dos. Il était fais avec beaucoup de douceur en complète opposition avec l’acte. Un sourire naquit sur ses lèvres. Il sorti de la salle de bain la laissant seule. Elle en profita pour se laver un peu. Elle changea la température pour avoir  une eau plus froide. Elle avait besoin de remettre  un peu d’ordre dans son esprit et de se donner un petit coup de fouet. 

Le chef de gang passa une fois pour indiquer à sa compagne qu’elle pouvait se servir dans son armoire afin de prendre un pantalon. Mais bon, si elle préférait errer en tenue d’Eve c’était pas mal non plus. En fait elle n’eut pas l’occasion de choisir. Elle entendit la porte d’entrer s’ouvrir dans un grand fracas. Elle écouta attentivement le rapport que faisait le sbire à son patron. La police était là, ce qui n’arrangeait pas trop la jeune femme. Si elle tombait entre leurs mains, elle aurait des ennuis.

Elle coupa l’eau et sorti de la salle de bain en passant devant Onishiru, lui volant un baiser au passage.

- Dommage j’aimais bien la tenue d’Eve !

Même si la situation n’était pas enviable, elle prenait le tout avec le sourire. Elle chercha vite fait de quoi s’habiller. Elle transforma un de ses ongles en une sorte de cutter pour faire une découpe nette du pantalon trop grand. Elle se fichait de savoir si Onishiru remarquerait cette petite originalité. Elle se retrouva avec un nouveau short et remit son haut et ses jambières. Elle alla chercher dans son sac l’arme qu’elle avait achetée plus tôt et la chargea. Cela ne lui prit que peu de temps, elle avait l’habitude d’agir assez vite dans ce genre de situation.

- Alors, quelles sont les règles de ce nouveau jeu ?

Si le boss avait l’air un peu en colère, elle absolument pas et n’avait pas l’air de trouver la situation bizarre. Elle avait cependant noté qu’il avait parlé de faille, il était donc au courant pour Terra. Ou alors elle interprétait de travers ce qui était fort possible.

Eleindra donna un baisé à Onishiru tout en sortant de la douche et en plaisantant sur le faite qu'elle aimait bien être ainsi. Elle gardait le sourire et ce chercha un pantalon dont elle se mit à découper avec le bout d'un de ses doigts. Onishiru fut surpris par ce que faisait la jeune femme. Elle avait découpé le pantalon pour en faire un minishorte comme celui qu'elle possédait avait été déchiré par le soin du chef de gang. Cette jeune femme était plein de mystère mais c'est pas le faite qu'elle est découpé le pantalon avec son doigts qui étonna Onishiru le plus mais c'est le faite qu'elle gardait tous le long le sourire. Il était claire pour l'homonculus que Eleindra savait pour l'incursion de la police.

Elle sorti de son étui une arme de très bonne qualité et la rechargea et demandant qu'elle était la suite du jeu. La colère d'Onishiru tomba rapidement. Il se souvint de l'avoir aperçut à la sortie d'un revendeur d'arme et il se dit qu'il était tombé sur une sacré personne en abordant cette jeune femme. Onishiru s'approcha d'Eleindra et la prend dans ses bras, il s'adressa à elle juste après l'avoir embrassé.

-tu sais que je t'aime bien toi? Tu es pleine de surprise. La suite la voici, on va, toi et moi, passer par l'échelle de secoure à mon signal et on va courir de l'autre coté de la rue. Là, il y a un passage secret qui va nous amener directe dans un lieu où se trouve une endroit bien caché.

Onishiru se posait des tas de questions. Cette femme serait-elle en train de faire fondre la pierre qui sert de cœur à l'homonculus ? C'était en effet bizarre le faite que le chef de gang cherche à protéger quelqu'un. Plus le temps de se poser des questions, un violente détonation se fit entendre dans le rez-de-chaussez.

-ha !? C'est notre signal, la police est dans le bâtiment, vas-y passe en première,

Onishiru lâcha Eleindra et la laissa passer en première dans l'échelle et il descendit juste derrière elle. Une fois arrivé en bas, il guida la jeune femme jusqu'au bout de la ruelle et une fois arrivé dans un cul-de-sac. Il enlaça de nouveau Eleindra et la regarda droit dans les yeux juste avant de se faire tomber contre le mur.

L'action se passa très vite. Les deux amants venait de traverser une faille et d'atterrir dans le désert de des terres sauvages de Terra. L'homonculus ne laissa pas le temps à Eleindra de tous compredre et l'entraina dans une sorte de trappe caché à même le sol. C'était un dépôt d'arme et d'objet ramené de la Terre su Terra, son commerce. Il alluma une lampe à huile et s'exclama bien fort.

-bienvenue dans mon entre, tu es la première personne que j'amène ici.

Ils finirent leur chemins dans un sorte de grand bureau richement décoré. Il y avait un grande table de travail et un jolie canapé.

-installe toi, fais comme chez toi, tu veux boire quelque chose ?

Onishiru prit la jeune femme dans ses bras pour lui annoncer qu’il l’aimait bien et la suite des événements. Elle se laissa guider par son amant jusque dans la ruelle sans issue. Il l’entraîna dans une faille puis très rapidement dans une trappe.

Ils arrivèrent dans un sous-sol où était entreposer des armes. Elle en conclu qu’il faisait du trafic. Il lui présenta l’endroit comme étant son repaire secret où il n’avait jamais emmené personne. Finalement Eleindra fut conduite dans ce qui avait l’air d’un bureau. L’endroit était assez luxueux. Quand il lui demanda si elle voulait boire quelque chose elle secoua la tête négativement.

Il lui proposa de s’installer, elle avait le choix entre s’asseoir sur la table ou plus confortablement dans le canapé. Elle opta pour une troisième solution, les bras d’Onishiru. Elle passa ses bras autour de son cou et l’embrassa. Elle aimait être en contact avec lui.

- Je suis flattée d’être la première que tu conduis  ici…mais n’est ce pas dangereux pour toi ? Après tout, tu ne me connais pas ! Cependant l’inverse est aussi vrai. Il est sûrement temps pour nous de faire réellement connaissance.

Elle marqua une pause et déposa sa tête au creux de son épaule.

- Je vais commencer. Je suis donc Eleindra, mais ça tu le savais déjà, je suis une petite E.S.per avec un pouvoir assez simple, je vois dans le noir. Je suis ce qu’on appelle un tueur à gage. Je tue des gens pour vivre…n’est ce pas ironique ? Et puis je…non, à ton tours maintenant.

Elle voulait d’abord voir sa réaction, après tout il n’était pas obligé d’aimer les tueuses. Pas la peine d’aller plus loin si c’était le cas. Elle resserra un peu son étreinte, bizarrement elle avait peur qu’il la rejette.

Onishiru fut agréablement surpris quand la jeune femme l'enlaça et l'embrassa à la réponse de sa question précédente. Machinalement, le jeune homme pris Eleindra dans ses bras pour répondre à son baisé. Elle était touché par le faite que le chef de gang lui montre son repaire et laissa sous-entendre que c'était peut-être dangereux d'avoir fait sa. Cette remarque percuta dans l'esprit de l'homonculus. C'est vrai, il aurait du être plus méfiant que lui arrivait-il ? C'était pas dans ses habitudes de se comporter de la sorte.

Eleindra poursuivit en proposant de ce connaitre un peu plus et commença en se représentant. C'était une E.Sper qui avait la faculté de voire dans la nuit, elle avoua être une tueuse à gage et Onishiru pouvait presque parier qu'elle en avait des regrets dans la façon de montrer la chose. Elle voulut poursuivre mais elle s'interrompit et décida de laisser la parole à Onishiru. Ce dernier sentit l'étreinte de la jeune femme se resserré comme un enfant qui voulait empêcher quelqu'un de partir. Onishiru sourit et continua.

-très bien! Je me nomme Onishiru et je suis alcoolique anonyme!

Il termina sa blague avec un large sourire, mais il se rendit compte dans le regard de la jeune femme qu'elle était pas drôle du tous. Il s'éclaircit la gorge et repris plus sérieusement

-bon d'accord. Comme tu l'as surement remarqué, j'ai beaucoup de matériel et même des hommes, c'est simple, je suis le chef et le leader fondateur d'un gang. Je remarque aussi que tu as l'aire de connaitre terra et les failles, je me trompe? Et bien mon gang à son influence dans les deux plan. Tu peu pas savoir combien on gagne en revendant des choses qui viennent de terra sur terre et inverse.

Onishiru repris sa respiration et se lança dans un sujet plus complexe. C'était pas dans son habitude de dévoiler ce qui allait dire, mais spécialement il le ferai.

-tu est un tueuse à gage, une assassine ? J'aurai du m'en douter en voyant ton fusil, c'est exactement le modèle employer éliminer de loin une cible en silence. Tu es quand même pas là pour me tuer?!

Le sourire s'afficha au lèvre d'Onishiru en voyant la réaction de Eleindra.

-de toute manière c'est pas comme sa que qu'on peut me tuer. Je suis un peu spéciale, mais sa tas du t'en douter. Je ne suis pas un être vivant à proprement parlé, je suis une parodie de l'être humain, une horreur créé par la folie humaine. Et ouais, je suis un être artificielle, homonculus. Tous en moi n'est que mensonge. Ce corps, ce visage ne m'ont jamais réellement appartenu même mes sentiments ne sont que pure invention. Je suis censé ne pas en avoir du tous mais depuis très peut de temps j'ai une étrange sensation en moi.

Bon attention, je ne suis pas un robot, je suis un être de chaire et de sang. La seul différence c'est le manque d'organe et moi. Pas de foie, poumons ou encore de cœur. C'est une pierre qui le remplace. La preuve, si tu écoute mon torse il y a pas de battement, rien!

Onishiru posa la tête de la jeune femme au niveau de sa poitrine pour qu'elle écoute ses dires.

-mais toi? Tu es sur d'avoir tous dit? Alors c'était quoi ces ongle sabre-laser de tous à l'heure ? Sa serai pas sa ton vrai pouvoirs d'E.S.per et que cache tu encore?

Onishiru voulait tous savoir sur cette jeune femme qui était en réalité très mystérieuse. Pouvait-il la faire confiance ? Si oui serait-elle d'accord de rejoindre le Red-Snake? Si elle acceptait, elle pourrait devenir plus que son bras droit.

Eleindra écouta attentivement Onishiru lui répondre. Il commença par une blague qui lui valu un regard courroucé. Il reprit son sérieux et lui expliqua qu’il était le fondateur d’un gang dont la vocation était de faire commerce entre Terre et Terra des plus lucratif. Elle réalisa qu’elle devait, sans le savoir, être une de ses clientes par d’autres intermédiaires. Son argent était allé dans sa poche, bravo !

Il s’inquiéta de savoir si elle était venue le tuer lui, apparemment c’était ironique. Il expliqua qu’il n’était pas tout  à fait comme les autres, un être artificiel créé par les hommes. Il évoqua le fait qu’il ne pouvait pas être tué par une simple balle. Lui trancher la tête peut être ? Mais de toute façon elle n’avait pas l’intention de lui faire de mal. L’explication de l’homonculus surprit la jeune femme sur certains points. Il disait ne pas avoir de vrais sentiments et ne pas avoir d’organe mais une pierre. Il posa sa tête au niveau de son « cœur » pour qu’elle constate qu’il n’y avait que néant.

Onishiru demanda alors à sa compagne de se décrire plus avant. Il parla aussi de son ongle tout droit sorti d’un film de Georges Lucas. Elle se mit à rire, il n’avait pas tout  à fait tort.

- Tout d’abord, ne me dis pas que tu n’as pas de sentiments, ils sont palpable…

Elle se détacha de lui et recula d’un bon mètre en lui faisant signe de ne pas approcher. Puisqu’il n’était pas un humain normal, il pouvait donc voir ce qu’elle était.

- Si tu n’es pas un humain à proprement parler, saches que je ne suis plus tout à fait humaine non plus. La folie a aussi atteint les femmes et plus particulièrement celles de Tekhos. Je suis une ESper et mon pouvoir est bien celui que je t’ai dis, je peux voir dans le noir, qu’il soit dû à la nuit ou encore à la magie. Mon ongle est lui du à une transformation de mon corps. Mon bras gauche est entièrement robotisé et je suis capable de modifier sa structure pour en faire  une lame plus tranchante et résistante que ce que tu peux imaginer.

Elle marqua une pause et allongea son bras gauche devant elle. La peau synthétique qui le recouvrait disparu de son avant bras. A présent Onishiru pouvait voir un membre de métal noir. Ses doigt bougèrent un instants pour finalement se rejoindre et la jeune femme les fit fusionner pour en faire une petite lame. Elle laissa son bras reprendre sa forme normale et le rabaissa.

- Ce n’est qu’un petit exemple, la peau est aussi synthétique mais se conforme à la texture de ma véritable peau. – Elle soupira avant de reprendre – J’ai eut une formation militaire des plus avancée physique et cérébrale. Je suis devenue une bonne tueuse mais mon comportement laisse à désirer…j’ai tendance à faire des choses stupides, mais j’arrive toujours à mes fins. A cause de ça, le projet visant à faire de moi une machine complète a été avorté. J’ai eut des autorisations afin de pouvoir sortir de Tekhos et je me suis installée sur Terre. Je ne connais pas encore le prix à payer pour ça mais il doit y en avoir un…Depuis je suis une tueuse à gages sur Terre.

Elle s’arrêta de parler afin de voir si Onishiru avait bien comprit tout ce qu’elle disait. La demoiselle se mélangeait parfois les pinceaux et rendait les explications plus floues qu’elle ne le voulait. Elle s’assit sur la table attendant une autre question ou une remarque quelconque.

Eleindra fit une remarque sur les sentiments d'Onishiru comme si il se trompait dessus, avait-elle juste ? Puis, elle se décrocha des bras d'Oni pour se mettre un peu plus loin de lui tous en lui faisant signe de ne pas avancer. C'est à contre cœur que le chef de gang accepta sa requête et il observa la jeune femme qui lui expliquait que elle aussi n'était pas entièrement humaine. Elle tendit son bras en avant et après une explication elle le transforma en quelque chose que Onishiru n'avait encore jamais vu.

Juste après que son bras soit revenu à la normal, Eleindra s'assit sur la table et expliqua du mieux qu'elle pouvait ce qui lui ait arrivé. Onishiru eut du mal de tous comprendre sont récit, mais une chose qui était sur pour lui, c'était le faite que Eleindra était perdu, déboussolé. Onishiru s'assit droit à coter de la jeune femme et commença à lui parler.

-à ces Tékhanne ! Elles se croient les reines de Terra mais elle sont trop peur de sortir de leur ville-bunker. Toutefois, tu as beaucoup de courage de faire ce que tas fais.

Onishiru espérait de pas trop dire de connerie. Il plaça en suite ses mains sur les épaules de Eleindra pour appliquer un léger massage afin de pouvoir détendre la jeune femme.

-allons, ne t'en fais donc pas. Il existe une solution à ton problème. Rejoins le Red-Snake, vient avec moi faire partie de mon gang. Tu jouiras d'une très bonne protection et des tas de truc vraiment sympa.

Onishiru espérait vraiment qu'elle accepte son offre. Se laissant aller, Onishiru se mit à embrasser le creux du cou de Eleindra.

Onishiru vint s’asseoir près de la jeune femme et lui expliqua qu’il la trouvait courageuse. Eleindra ne voyait pas trop en quoi elle avait du courage. Si on y regardait bien, elle avait été poussée vers la sortie plutôt qu’autre chose. La tueuse senti les mains de l’homonculus lui masser les épaules. Chose étonnante et agréable pour la jeune femme qui n’avait jamais eut droit à ce genre de traitement.

Le chef de gang reprit son discours en lui disant qu’elle ne devait plus s’en faire et lui proposa de rejoindre son gang. Eleindra n’avait jamais pensé à ce genre de possibilité et pour cause, elle aimait travailler seule. Rien que le fait qu’il lui dise qu’elle bénéficierait d’une protection lui semblait des plus étrange. Il déposa alors ses lèvres sur son cou afin de l’embrasser. Elle soupira de contentement et remonta l’une des ses mains dans la chevelure du jeune homme.

- Tu triches mon ange ! Utiliser tes baisers pour me faire flancher…

Juste après avoir prononcé ces paroles elle voulu s’arracher la langue et la passer plusieurs fois sous de l’eau de javel. Venait elle vraiment de l’appeler « mon ange » ? Il n’y ressemblait pas tant que ça pourtant, c’était ridicule. Elle essaya de ne pas montrer son trouble et répondit à la demande d’Onishiru.

- Tu sais, je suis plus du genre solitaire, et contrairement à ce que tu sembles penser, mon travail de tueuse ne me gêne pas tant que ça. Il m’a permit de développer un certain réseau de connaissances, ma foi, fort utile. Et puis rejoindre ton gang, ce n’est pas que je sois contre mais je ne vois pas ce que je vais pouvoir y faire. De plus, si par protection tu entends me coller deux de tes sbires aux basques, c’est tout comme signer leurs arrêts de mort…

C’était un point sur lequel elle n’entendait pas discuter. Se faire suivre et par conséquent observer par deux types qu’elle allait de toute façon détester, c’est impensable.
Elle descendit de la table lâchant par la même les cheveux d’Onishiru. Elle se planta devant lui posant ses mains sur son torse. Le teint rosi fuyant légèrement son regard.

Onishiru fut extrêmement surpris par le déroulement de la situations. Eleindra c'était sans doute laissé aller par les douces attentions de l'homonculus et avais parlé sans réfléchir. Toutefois cela marqua fortement le chef de gang. « mon ange » il ignorait si il devait le prendre sa plutôt bien ou plutôt mal. Il avait jamais fais en sorte qu'on puisse le voir comme étant quelqu'un de bien et ce demandait si elle l'aurait surnommé ainsi si elle savait ce qu'il avait déjà fais et ce qu'il l'aurais fais à elle si elle aurait pas joué son jeu.

Il était près à la violer avant de la rencontrer et à présent il faisait en sorte de la protéger du mieux qu'il le pouvais. « mais que m'arrive-t-il? » se disait l'homonculus. Puis la jeune femme refusa au grand regret du chef de gang l'offre que ce dernier lui avait fait. Elle se leva et se plaça devant Onishiru tous en s'appuyant contre lui. Elle semblait ne pas vouloir le regarder en face, elle devait surement regretter ce qu'elle à dit précédemment.

Onishiru était toute de même triste qu'elle veuille rester libre de ses actes. Il ne pouvait pas la forcer, tous les membres de son gang acceptait volontairement de se joindre à lui. Il se mit a sourire et passa ses mains pour enlacer la jeune femme au niveau du bassin et la tira doucement contre lui.

-je vois ! Je comprend parfaitement et je respecte ton point de vu. Rien ne t'oblige à rejoindre mon gang. Mais sache une chose, n'hésite pas à t'adresser à moi si tu as des problèmes, je ferais en sorte qu'ils soient arranger pour toi. De plus sa serai avec un immense plaisir que je ferais des affaire avec toi.

Onishiru souriait, aussi curieux que cela puisse paraitre, il voulait absolument aider et protéger cette jeune femme. Voyant toujours son regard fuyant, Onishiru attrapa doucement le menton de Eleindra et la tourna pour qu'elle puisse lui faire face. Il se mit à l'embrasser passionnément et des que ses lèvres quittèrent celle de la douce femme il ajouta.

-Je sais que la vie d'un humain est courte, alors pas la peine de la gâcher avec des regrets et des reproche. Sourit profite de la vie, tu n'as tout de même pas n'importe qui dans tes bras.

Il chercha à accrocher le regard de la jeune femme et termina sa phrase.

-quand penses-tu si on allait voir ailleurs ? On peu aller au point de rendez-vous de mes hommes et ensuite on improvise.

Onishiru souriait, il ne s'était jamais senti aussi bien avec une autre personne.

Onishiru ne fit aucune remarque à propos du petit nom qu’elle avait lâché. Il n’avait pas du le remarquer, peut-être cela valait il mieux. En même temps ça voulait dire qu’il ne faisait pas attention à ce qu’elle disait, et ça c’était un peu vexant voir frustrant pour la jeune femme.

Onishiru rapprocha la demoiselle de lui avant de lui dire qu’il comprenait son choix. A bien l’écouter elle comprit qu’il pensait qu’elle venait simplement de refuser en bloc sa proposition. Pourtant ce n’était pas vraiment le cas. Elle n’avait pas dit oui, mais en aucun cas elle avait refusé. Voyant qu’elle tentait de se soustraire à son regard, Onishiru prit son menton dans l’une de ses mains et l’embrassa assez fougueusement. Peut-être pour la rassurer un peu. Il lui dit alors une chose qui sembla étrange à la jeune femme. Il plongea son regard dans le sien et lui demanda finalement si elle souhaitait aller voir ses hommes de mains. Elle se rendit compte qu’elle avait complètement oublié qu’ils avaient laissés derrière eux de pauvres types censés les défendre, peut-être étaient ils morts.

- Je n’ai jamais dis que je ne souhaitais pas rejoindre ton clan. Mon souci c’est que je suis actuellement mon propre patron. Personne ne m’oblige à faire quoi que ce soit, je suis libre de refuser un contrat. Alors même si je t’aime bien, me retrouver sous tes ordres et changer de vie une seconde fois, c’est un peu raide. Cependant, si tu acceptes, on peut faire un compromis. Un peu comme tu me le proposais à l’instant, si tu as besoin de moi tu peux toujours m’appeler je viendrais.

Elle lui souri, son regard toujours ancré dans le sien, avant de continuer dans un autre registre.

- Qu’entend tu par « la vie d'un humain est courte », la tienne est plus longue ?

Après tout Onishiru ne lui avait pas précisé qu’il était immortel. Elle ne releva pas le fait qu’il lui dise qu’elle était dans les bras de quelqu’un qui n’était pas n’importe qui, ne sachant pas trop si ça allait avec son statut de chef de gang ou celui de créature.

– Si tu veux qu’on sorte, j’en serais ravie. Comme ça je pourrais voir de quoi il retourne chez les Red-Snake ! Cela me fera peut-être changer d’avis…qui sait ?

Elle ferma les yeux et embrassa tendrement Onishiru avant de lui laisser l’occasion de répondre à ses questions.

Le deux amants d'un jours se regardait toujours dans les yeux. Eleindra expliqua à Onishiru qu'elle n'avait pas refusait mais elle se voyait mal d'accepter de changer de vie. On une chose semblait être sur, quel sera  le choix de Eleindra, l'un pourra compter sur le soutien de l'autre et c'était tous ce que qui pour Onishiru. Puis vint un moment ou elle posa cette question. La question sur la longévité de la vie d'un homonculus. Pourquoi il lui avait dit qu'un humain sa ne vivait pas longtemps?

Puis elle ajouta son désir de sortir de cette entrepôts. Elle fini par embrasser Onishiru de manière tendre et très enivrant. Puis elle le regarda comme si elle attendais une réponse. Onishiru savait qu'elle réponse elle attendait mais il fit comme si il y pensait plus. Un nouveau sentiments avait naquit en lui, un sentiments très désagréable, il ne pouvais l'expliquer mais c'était comme si il pensait que si Eleindra apprenait que l'homonculus ne périra jamais par la vieillesse. Oui il avait peur, un sentiments qu'il ne connaissait pas et il était sur qu'il ne l'aimerais jamais.

-alors on y va ?

Dit-il avec le sourire. Il passa un bras autour de la jeune femme et l'entraina avec lui vers l'échelle de la sortie, il en profita pour lui mettre la main au fesse, il le faisait pour s'amuser un peu. Une fois en dehors, Onishiru aida Eleindra à en sortir et lui dit tous en se rappelant d'un petit détail.

-a merde! Ce lieu de rendez-vous et à plus d'une heure et c'est dans le désert. Je ne crains que se soit trop risqué pour toi. Tu veux revenir sur terre? Je connais une faille qui te ramènera dans un endroit discret, loin des regard indiscret

comme Onishiru ne pouvais mourir, il pouvait supporter des conditions climatique très rude et il n'avais aucune envi de faire courir des risque à la jeune femme.

Onishiru éluda, encore une fois, sa question. Il devait avoir peur de quelque chose et surtout cachait de nombreuses choses à Eleindra. Elle pensa qu’il manquait très clairement de confiance en elle. Néanmoins cette dernière avait bien l’intention de connaître le fin mot de l’histoire. Il ne s’en sortirait pas toujours avec un sourire. C’est que la tueuse à un coté buté parfois.

C’est donc sans répondre à sa belle que le chef de gang invita Eleindra à sortir. Il l’entraîna vers l’échelle afin de la faire monter sans omettre de lui toucher le fessier, chose qui visiblement l’amusait. Elle ne put s’empêcher de sourire. Une fois à l’extérieur l’homonculus annonça à la demoiselle que le lieu de rendez vous était assez loin et qu’elle allait sûrement prendre des risque. Elle leva un sourcil avant d’avoir un petit rire léger.

- Ce n’est pas une heure de marche sous le soleil qui va me faire peur, tu peux remercier les Tekhanes pour ça. Mon organisme est plus résistant que celui des humains, ne t’en fait pas.

Elle commença  à marcher dans la direction du rendez vous. Au fur et à mesure qu’ils marchaient les traits de la jeune femme se durcissaient. Puisqu’ Onishiru ne voulait pas parler elle allait le faire pour lui, quitte à lui déplaire.

- J’aimerais savoir ce qui te fait peur chez moi pour que tu « oublies » de répondre à mes questions. Je vais donc faire un brin de Sherlock Holmes. Si tu penses que je suis suffisamment idiote pour ne pas savoir ce que tu avais l’intention de faire de moi au départ, tu te trompes. D’ailleurs vu comment cela s’est présenté je suis quasiment certaine que je n’étais pas la première. Etrangement, ça ne me gêne pas. Je ne dis pas que ça me plaise non plus…mais j’ai moi-même fais des choses peu recommandable, comme la torture sur mes pauvres victimes. – Elle soupira avant de reprendre – Passons à toi, tu es un être créé. Le fait que tu ne répondes pas à ma question sur la durée de vie d’un humain me porte à croire que la tienne est plus longue. De plus tu parles de ma souffrance face à cet endroit alors que pour toi tu ne mentionnes pas de souci particulier. Ton organisme est donc plus résistant ou alors tu as une bonne régénération.

Elle s’arrêta de marcher et le regarda droit dans les yeux.

- Alors dis moi, de quoi as tu peur pour ne pas me dire ce que tu es ? Je ne vais pas m’enfuir, sois en certain. Tu comprends moi…je…je suis…enfin tu vois, je suis…

Elle se retourna afin de cacher ses joues devenues écarlate.

- Je crois que…non je suis sûre de ça…je suis en train de tomber amoureuse de toi !

Finalement, elle avait envie de s’enfuir, loin, très loin. Mais elle resta là, figée, attendant la sentence d’Onishiru.

Pendant leurs marche, Eleindra s'adressa à Onishiru d'une manière déterminé. Ce qu'elle lui dit le toucha directement en lui. Elle voulait tous savoir et sa c'était pas très bon. Il devrait la tuer si elle continuait à toujours vouloir tous connaitre, mais cela Oni savait qu'il allait jamais y arriver, non seulement parce qu'elle était une coriace tueuse à gage mais il y avait aussi autre choses qui l'empêchait d'agir contre elle.

Eleindra fini par avouer ce qu'elle ressentait pour le chef de gang. Sur cette déclaration, Oni sentit une vive douleur à sa poitrine. La pierre qui lui servait de cœur était chargé d'énergie, comme si elle allait exploser. Il eut énormément de peine de cacher cette douleur face à la tueuse. Puis ce regard persistant était insoutenable.

-tu veux vraiment savoir ? Très bien.

Onishiru du se laisser tomber tant cette pierre le faisait souffrir.

-comme je te l'ai dit je suis un homonculus, un être artificielle et à ce titre je ne vieillit jamais, je suis en quelque sorte immortel. Il existe un moyen de me tuer et j'ignore lequel c'est.

Onishiru s'attrapa la poitrine, cette douleur était affreuse pour lui et elle voulait pas partir.

-attend deux seconde, je reprend juste mon souffle. ...ouf... mais c'est bien beau tous sa, je suis peut-être immortel mais il me manque quelque chose, et cette chose et une âme, il me manque une âme comme vous les humains. Ma vie est morne, je suis une enveloppe dont les sentiments et sensation son purement faux et inventé.

C'était ça qu'Onishiru voulait réellement cacher à Eleindra. Il avait peur ou il croyait avoir peur, que la jeune femme s'en aille.

-attend j'en peu plus, je sais pas ce que j'ai, mais j'ai trop mal. Aide moi je t'en supplie, la-bas il y à des grottes on peut se réfugier pour la nuit.

Onishiru montrait une chaine de montagne au loin, la nuit allait pas tarder à arriver. Onishiru se demandait pas si il était en train de mourir. Était-ce sa la façon de le tuer? Une femme amoureuse? Il était pourtant persuadé que seul un alchimiste pouvait le tuer.