Le grand méchant loup n'est pas celui qu'on croit - ft Anna

Le Japon était un lieu que je découvrais pour la première fois. Petit à petit, allant dans des rues, des bars et des boîtes de nuits. Je faisais connaissance à droite, à gauche, améliorant mon réseau à la recherche d'objet de valeur, d'objet d'art !
Ne me prenez pas pour un voleur, pas tout à fait un collectionneur. J'achète, j'améliore et je revends plus chère.

Ici, il y avait, pour je ne sais quel raison, plus de personne non humaine qu'ailleurs. C'était étrange, mais fort intéressant, permettant des rencontres très enrichissante et de faire affaire différemment.

Aujourd'hui, j'avais entendu parler d'un lieu un peu spéciale, une maison close... Pour furry !
Je n'en n'avais rencontré jusqu'à la, que 2-3 et maintenant qu'il s'agissait d'un lieu remplis, j'étais des plus intrigués. La zoophilie ne m'avais jamais intéresser, alors un furry... Pour le moment je ne me l'imaginais guère, mais je restais curieux d'en rencontrer au moins quelques uns.

Je fus très surpris de découvrir que la maison close, était plutôt un bâtiment moderne, quelques peu à l'écart de la ville, pour la discrétion. Comme les furrys ne sont pas censé exister, c'était un endroit privé, on y allait qu'avec une invitation, sauf si nous n'étions pas humains. Pour ma part, j'en étais un. ... Si on ométtait ma magie runique. Toutefois, j'avais réussi à avoir un passe et pu entrer dans la propriété. Garant mon Aston Martin sur le parking, je pus rapidement voir des furrys un peu partout, se baladant, il y en avait de toute les espèces !

Encore surpris, j'avançais d'une marche dynamique, assuré, regardant ces êtres velus mais... Moins repoussant que je ne l'aurais crus. Certains regards se tournait vers moi, quand d'autres m'ignoraient.
Ne sachant trop comment m'y prendre, me guidait-on ? Ou j'interceptais une fille ?
Je me dirigeais vers un bar, jetant des coups d'oeils à droite et à gauche. Le barman était un furry caméléon, cela manqua de me scotcher sur ma chaise.

- Qu'est ce que je vous sers ?

- Une tekila s'il vous plaît. Restais-je de marbre, tandis qu'il prit ma commande.

Je ne savais pas si j'étais arrivé à une heure creuse ou bien si peu d'humain venais ici, mais je n'en n'avais pas tant croiser. Donc... On viendrai surement me saluer pour me guider en voyant que j'étais nouveau ?

Lorelyn, Lorelyn !

Je me retournais, c’était Tasha qui m’interpelais.

- Il y a un humain qui est arrivé, un nouveau, et il est plutôt pas mal…

Je souris. Si beaucoup de mes consœurs et confrères n’avaient aucun problème avec les humains, les trouvant trop fades à leur gout, ils préféraient généralement avoir à faire a d’autres furrys ou créatures surnaturelles.

Alors que moi, je les adorais au contraire. Était-ce leur quasi absence de poils les rendant bien plus sensibles que nous autres ? ou leur caractère parfois un peu plus brut, ou a l’inverse d’une grande tendresse, cela promettait très souvent des parties de jambe en l’air originales et inoubliable.

Il était donc devenu de notoriété publique que si un humain passait par la, on me le réservait, et il n’y en eut pas un que je ne parvins pas à charmer.

Je retournais donc à ma chambre et me rafraichit un peu, brossant ma longue chevelure blanche et lissant mon pelage doux de ma main léchée au préalable.

Apres une retouche au maquillage je décidai de porter un magnifique kimono blanc et prune, avec quelques touches de grenat, sachant que les humains aimaient généralement les dénouer. Un peu de parfum senteur vanille et je fus prête.

 Sortie de ma chambre je me dirige à nouveau vers Tasha pour qu’elle m’indique l’homme et… Ouaw, non seulement il est d’une grande beauté, que dis-je, sexy en diable, mais en plus il fait peut-être deux fois ma taille ? j’exagère à peine mais il doit avoir une sacré… Je déglutis, ma queue commençant à onduler de gauche à droite, signe que je suis attirée.
Je m’avance alors doucement vers l’homme, avec la grâce et la démarche d’un fauve, les oreilles attentives pointées dans sa direction.

L’entendant commander une boisson je m’adresse à la barmaid,

- Changeling ? deux s’il te plait je demande en souriant avant de tourner un regard charmeur vers l’homme. Il est triste de boire seul, permettez que je vous accompagne ?

Lorsqu'il accepta je fis mine de m'incliner et ajouta d'une voix chaude et douce.

- Parfait, je suis Lorelyn, pour vous servir .

L'homme se présenta, un magnifique sourire aux lèvres.

- Enchanté Masamune, en espérant que cette soirée soit un peu plus que ça… je fis un clin d’œil.

A ces mots je récupérais mon verre et fit le signe de trinquer. En effet, soit l’homme s’était perdu, soit il savait exactement ce qu’il était venu chercher, dans les deux cas le blabla importait peu.

- Puis je vous demander si vous êtes venu pour quelque chose de particulier dans notre établissement ? demandais je en minaudant.

Je sentis immédiatement la timidité de l’homme, ce que je trouva craquant vu sa carrure.
Je m’avançais alors doucement, la queue toujours basculant de droite a gauche dans un mouvement lent, presque hypnotisant.

- Bien… Alors trinquons ensemble, à une agréable compagnie…Et à une bonne soirée !

Je me sentais jaugeais, mais je restais de marbre, quand une forme arriva à mes côtés. Une silhouette blanche, plus petite que moi, d'une à deux têtes au moins. La furry était... une race auquel je n'étais pas sur, elle me souria charmeuse... je pense. Le visage restant assez proche des humains, je pense que je ne me trompe pas, mais c'est bien la première fois que je regarde de plus près un furry.
Elle avait l'air si douce, délicate et dans sa tenue, très raffinée. Franchement charmante !

- Mais je vous en prie, joignez moi, je cherchais justement de la compagnie. Lui avouais-je, sincère.

Tandis que je l'observais pour arrivé à deviner son espèce, elle se présenta.

- Enchanté Lorelyn, Masamune pour une... soirée douce. Je n'osais pas être trop explicité sur le sujet, malgré le lieux. Faudrait être un peu ahuri pour venir ici, se poser et... ne pas consommer disons.

Chose qu'elle n'hésita d'ailleurs pas à souligner, et entre son jolie petit minois innocent et son sous-entendu, cela me fit un peu d'effet. Ah sa y est, les nez court, une féline ! Laquelle... Je ne sais pas, je suis loin de connaître toutes les espèces !
Elle me proposa de trinquer, je prie alors mon verre, je bus une gorgée, qui enflamma doucement ma gorge avant de me questionner sur ma présence en ces lieux. Et avec ses sens, je suis persuadé qu'elle pu voir un petit frisson me parcourir à ses mots et mes oreilles rougirent un peu.

- Je... non, rien de "particulier". Simplement... de la compagnie.

Je ne savais pas comment mieux l'exprimer, je n'avais pas l'habitude de flirter ou de parler de ce sujet. J'étais un homme d'action et je n'avais connus que trois femmes de ma vie, mais surtout... Toutes étaient humaines ! C'est ce qui m'avait intéresser à venir ici, mais maintenant... L'assumer m'embarrassait, je ne voulais pas qu'elle se sente insulté, je ne voyais pas les furrys comme un spectacle. Alors je me sentais honteux, ce qui pouvait être pris un peu différemment.

Elle se rapprocha, c'est moi qui avais l'air timide et sa queue attirai mon attention par ses mouvements lents. Nous trinquions alors à la soirée. Je bus mon verre, et sentis mon corps se réchauffer. J'étais curieux, mais en même temps, j'avais l'impression de la juger si je lui parlais... Je me mordis la lèvre, l'alcool aidant sûrement à délier ma langue.

- Lorelyn, excuse moi, mais de quel espèce es-tu ? Je pense que tu es une féline, mais je n'arrive pas à savoir laquelle.

Elle m'apprit qu'elle était une chatte, remuant queue et oreille... ce qui attira un peu plus mon attention. Je fixais ses oreilles et tendit la main.

- Je peux ?

Elle accepta et se pencha même. je la remercia et vins caresser ses oreilles duveteuses, elles étaient vraiment douces, d'abord délicatement, puis je lui gratouilla l'arrière, avec un grand sourire. J'avais eu un loup qui m'accompagnait, il adorait ça et elle ?
Elle se mit à ronnronner, je continuais encore un peu, et voyant sa queue s'agiter, je me levas pour venir la caresser, sans lui demandé son avis. Mon loup détestait ça, les chats sont-ils différents ?
Sa queue vint s'enrouler autours de mon bras, elle était toute douce, j'en fus amusé et releva le visage vers elle, percevant alors un regard désireux. J'en fus honorer et... Embarasser, n'ayant guère l'habitude de ce genre de chose. J'hésite et réfléchit, comment y répondre sans être trop directe ou chien en chaleur... Sachant qu'il y a des chiens ici, j'ai presque l'impression de les insulter. Je me perdais en pleine réflexion.

La chatte se rapprocha de mon oreille pour me murmuer une question. Auquel je fus... Encore plus gêner et je m'en voulus. J'y réagis vivement.

- Non je...

Je me tape la tête avant de m'incliner en guise d'excuse, un peu confus sur la situation.

- Je ne voulais pas vous insulté. Oui, vous seriez ma première femme furry. Mais c'est surtout... Je n'ai eu que trois femmes, trois humaines dans ma vie. Mon amie d'enfance, ma fiancée et ma femme. Je n'ai pas vraiment... pratiquer les approches disons.

Je la regardais sincère, calme, mais les joues rouges. La différence entre ma fiancée et ma femme, fut la disparition de la première avant notre mariage. J'eus donc une seconde personne plus tard qui devint ma femme.
Je fus surpris de sa caresse mais me laisse faire, la fixant, rassuré de ne pas avoir commis d'impair et un peu frissonnant à ses propos puis sa queue. Je plongeais mon regard dans le sien avant de tendre la main

- Alors... pourriez vous me guidez, que l'on fasse... plus ample "connaissance" avec vos préférences ?

Ce qu'elle accepta, je la suivis, me laissant guider. J'en profitais pour observer les différentes espèces, ça m'intriguait franchement. Enfin nous arrivions dans une pièce, une sorte de chambre. Curieux, j'observais le décors, lorsqu'elle s'approcha de moi, parlant de la chaleur alors qu'elle retira ma veste. Je la laissais faire.

- D'accord.

Ce physique différent, tout doux, me donnait pour l'instant, plus envie de la caresser que de plus, mais je souris un peu amuser et intéresser à sa demande suivante. L'aider à retirer son kimono, et je sentais bien le genre qu'elle ferait...

- Oui bien sur.

Je tenais le noeud avant qu'elle se mette à tourner et lentement se dévoiler. par finir à poile... nue. Sa grâce par contre était attrayante et je me retrouvais assi sur le lit, elle sur mes genoux.
Ne pouvant m'en empêcher, je regardais sa poitrine "caché" ne voyant vraiment que ses courbes, que je vins caresser, toucher, c'était doux, délicat et peut-être plus chaud qu'une peau humaine. Je zieutais distraitement son entrejambe, curieux de voir le pellage sous toute ses "formes".

Alors que nous trinquions, je sentis que bien qu’il semblât se détendre un petit peu, l’homme était toujours extrêmement nerveux. Il prit tout de même la parole.

- Lorelyn, excuse-moi, mais de quel espèce es-tu ? Je pense que tu es une féline, mais je n'arrive pas à savoir laquelle.

-En effet répondis je, je suis une simple petite chatte.
 J’appuyais mes propos en remuant mes oreilles et ma queue de gauche à droite, ce qui sembla l’intriguer. Il fixa mes oreilles avant d’ajouter, tendant la main vers celles çi.

- je peux ?

-  Bien sur. Acquiesçais-je avenante, penchant la tête en signe d’acceptation, lui facilitant l’accès à mes oreilles.

Les humains étaient toujours fascinés par celles çi. Était-ce leur douceur particulière ou leur façon de se mouvoir en parabole ? je l’ignorais, mais c’était généralement la première chose qu’ils voulaient faire.
Me remerciant il approcha sa main, et commença par me caresser doucement et délicatement Puis il se mis à me gratouiller l’arrière de l’oreille, souriant largement, ce qui me fit rire, ne pouvant réprimer un bref ronron, appréciant véritablement que l’on me chatouille à cet endroit.

Masamune sembla prendre un peu d’assurance ensuite parce qu’il s’approcha de ma queue, profitant de son poil doucereux quand celle ci s’enroula malgré moi autour de son bras. En effet je ne la contrôlais pas à cent pour cent, celle-ci traduisant souvent davantage mes émotions animales, me trahissant même parfois, ce qui était un peu le cas ici. Je lançais alors un regard de braise à l’homme qui en fut visiblement embarrassé. Était je allée trop loin ? j’humais l’air, capable de sentir les phéromones et autres indicateurs émotionnels humains, tous pourvus d’odeur différentes et bien précise. Masamune semblait géné mais pas prêt à partir pour autant, et bien qu’elle fût encore relativement timide, ce fut bien l’effluve du désir que je sentais.

Connaissant déjà la réponse, je me penchai à son oreille et je décidais malgré tout de poser une question.

- C'est la première fois n'est-ce pas ? avec une créature telle que moi...

Sa première réaction fut de nier vivement mais il se reprit très vite, s’inclinant l’air désolé.

- Je ne voulais pas vous insulter. Oui, vous seriez ma première femme furry. Mais c'est surtout... Je n'ai eu que trois femmes, trois humaines dans ma vie. Mon amie d'enfance, ma fiancée et ma femme. Je n'ai pas vraiment... pratiquer les approches disons.
Je souris doucement alors, tentant de l’apaiser au mieux.

- Il n'y a aucun mal à ça, et sur bien des points les furry sont similaires aux humains, si ce n'est que nous aimons bien que ça soit un peu plus... Sauvage et animal dirons-nous 
Sur ces mots je rigole, d'un adorable rire de gorge sensuel avant de reprendre
- Mais je ne connais aucun humain qui soit venu s'en plaindre ...
Je termine ma phrase d’un regard coquin et envoie ma queue sciemment lui caresser la cuisse, ce qui semble faire son effet parce que je sens l'homme se détendre légèrement avant de me tendre la main que je ne me fais pas prier pour attraper.

- Alors... pourriez-vous me guidez, que l'on fasse... plus ample "connaissance" avec vos préférences ?

- Mais avec grand plaisir trésor… Dis je en l’entrainant avec moi, nous frayant un chemin jusqu'à ma chambre parmi les divers clients et "professionnels" du club.

Dans mon antre, tout respirait la douceur, mais aussi la chaleur et la luxure. Un magnifique spa de marbre blanc et argenté trônait dans un coin, entouré de grandes et belles plantes, donnant une atmosphère exotique au lieu.
Les mur, la literie luxueuse, les meubles, tout était d’un blanc crème, comme la couleur de mon pelage, mais parfois accentué de touches d’argent et de bleu, rappelant la teinte de mes yeux.
L’éclairage doux, fait de quelques lumières à teintes chaudes et de bougies apportaient à l’ambiance chaleureuse et apaisante, et ajoutez à cela des voilages, des coussins et tapis moelleux, tout respirait le luxe et l’intimité.

Le laissant s’installer je reste attentive à son ressenti et perçoit qu’il se sent un peu perdu. Prenant l’initiative j’entreprends de le découvrir et lui enlève sa veste, la rangeant soigneusement sur un cintre, consciente de la chaleur et l’humidité de l’endroit.

- Mets-toi à l'aise, il fait chaud dans cette pièce…
Puis, commençant à m’éventer, je minaude un peu.

- y verrais tu un inconvénient si je me découvrais un peu? je meurs de chaud... en disant cela  je m'approche de l’homme et désigne le nœud de mon kimono, l'incitant à tirer dessus

- D’accord. Fit il, avant de sourire, tirant posément sur le nœud qui s’ouvrit dans un glissement de satin.

Lentement je me mis à tourner sur moi même pendant que Masamune tirait sur le nœud, un peu comme un paquet cadeau qu'on découvre, révélant un corps de femme, néanmoins recouvert d'un fin pelage blanc à l'air soyeux. Le kimono au sol je m'avança de nouveau vers lui, de ma grâce féline et douce, puis je m'assis sur ses genoux, a sa disposition.  Ma queue s'agitant doucement de droite à gauche.

Il sembla en premier lieu intrigué par ma poitrine, qu’il caressa presque timidement, puis je vis son attention se tourner vers mon entrejambe, ce qui ne manqua pas de me donner chaud à mon tour.
J’écartais alors un peu les jambes, curieuse de voir s’il allait se laisser aller à la curiosité ou si je devrais me montrer plus explicite…

La furry se déshabilla, j'en fus surpris, je pensais qu'elle aurait peut-être des sous-vêtements mais non. Même si à bien y réfléchir, pourquoi un animal porterais des sous-vêtements, lorsque sa fourrure le protège déjà ? Enfin, je vois sa ainsi, le vêtement pour eux n'est qu'une tenue qu'ils aiment mettre et rien de plus.

Lorelyn se retrouva donc nue sur moi et, était ce parce que je ne voyais pas sa peau, caché par sa fourrure, mais je n'avais pas l'impression qu'elle était nue et donc n'était pas excité par cela. Bien que hésitant, je comprenais parfaitement ce qui se passait, ce qu'elle cherchait et moi-même curieux, vins caresser sa poitrine. J'avais l'impression de caresser un animal presque ordinaire... Presque car une poitrine "humanoide" malgré la fourrure n'est pas très "normal" chez un animal, me rappelant qu'elle était une race anthropomorphique proche de moi. Il fallait que je m'imagine touché une femme nue.

C'était une expérience curieuse, mais c'est elle qui m'immergerait dedans ou non. Elle dut suivre mon regard curieux, car elle écarta les cuisses, une invitation qui fut ma première bouffée de chaleur et me fit rougir un peu de honte.
Nous ne parlions pas spécialement, juste... présent, calme et dans l'expectation ?  Lentement, ma main touchant sa poitrine descendit sur sa cuisse et toucha, caressa son entrejambe. Ce qui ne la laissa pas indifférente, un doux soupire suave sorti de ses lèvres et m'alluma.

Sa voix était... tout ce qu'il y a de plus féminine, sensuel, ce qui commença à franchement m'exciter. Sa fémininité avait l'air presque plus douce et chaude que celle d'une femme normale avec sa fourrure autours, c'était naturelle et non épilé comme les femmes se sentaient obligés de nos jours. J'étais alors subjugués d'intérêt et la caressa avec plus d'envie de l'entendre soupirer, gémir, m'imaginant qu'elle visage elle ferait et quelle bruit sortirait de sa gueule si je la prenais... Une érection commença à naitre et une nouvelle question germa alors que je fixais ses lèvres.

Quel goût avait-elle ?
Lentement plus à l'aise, je vins l'embrasser, doucement, rien de presser, ni de langue à cet instant, juste le contacte de nos bouches.

Lorsque j’ouvrit légèrement les cuisses je fus rassurée d’enfin sentir une véritable effluve de désir venant de l’humain. Et cela me donnait chaud, tant que sans mon pelage il m’aurait vu rougir.

Sa main caressant ma poitrine glissa alors lentement vers mon bas ventre, presque maladroite, s’égarant sur ma cuisse avant de s’insinuer vers mon entrejambe, m’arrachant un petit gémissement de désir. 
Était-ce la douceur de mon sexe ou le son de ma voix, mais l’homme sembla s’enflammer davantage, pour mon plus grand plaisir. Plus ils étaient difficiles à convaincre, plus belle était la jouissance.

Semblant aimer ce qu’’il voyait, l’humain continua de me caresser, m’arrachant d’autres soupires de plaisir et je me mis alors à ronronner doucement, tout en remuant tout lentement le bassin, les yeux clos d’aise.

Son excitation s’insinua dans l’air, plus forte, plus vive, et je mis à désirer ardemment qu’il me prenne comme une chatte en chaleur. Mes phéromones commencèrent alors à être libérés, et si les humains n’y étaient pas aussi sensibles que mes congénères, cela avait toujours tendance à les émoustiller malgré tout.

Était-ce cela, ou la curiosité ? Masamune choisit ce moment-là pour m’embrasser. Délicatement. Le premier baiser avec un Furry était toujours un peu déstabilisant, mais jamais désagréable. Lui laissant le temps de s’acclimater, je luis rendis ses doux baisers, avant de lui lécher les lèvres, d’un coup de langue délicat, attendant qu’elles s’entrouvrent, m’accordant leur laisser passer.

Pendant ce temps, une de mes mains glissa entre nous et se posa sur son érection déjà bien gonflé et je feulai doucement de plaisir et d’anticipation. D’une main experte je fit sauter le bouton de son pantalon, et caressa son gland du pouce, faisant de petits ronds. Puis mon doigt passa dans son sous vêtement, cherchant a faire sortir sa queue pour pouvoir la prendre en main.

La furry se donnait entièrement à moi, c'était aussi plaisant que déroutant, ne connaissant pas vraiment la morphologie, ou du moins, les différences entre espèces. Mais c'est aussi cela qui m'excitait !

Je fus surpris de l'entendre ronronner, j'aurais pu m'y attendre, en tant que féline, mais fut un peu pris de court, amuser et me donnant un peu plus envie de la caresser.
Je ne m'en rendis pas non plus compte, mais son parfum plus fort et ses mouvements commençait à m'échauffer.

Ma main sur son entrejambe, se fit un peu plus curieux, titillant sa chatte et son clitoris. Je commençais à avoir envie de l'entendre miauler...
Je portais alors mes lèvres au sienne et l'embrasse délicatement, son petit minois était tout doux, peut-être un peu étrange... Mais quand je sentis sa langue caresser mes lèvres, j'ouvris la bouche et vins caresser la sienne pour un baiser plus langoureux, encore calme pour l'instant.

Puis soudain j'eus un frisson en sentant mon membre être un peu plus libre et un doigt dessus. Ce qui ne fit que grossir mon sexe et lâcher un petit gémissement. La féline continue son exploration et mon pénis trouve finalement la sortie et se dresse fièrement avant d'être pris en main, me faisant gémir plus ouvertement. Sa main était plutôt douce et ses mouvements délicats, je soupire en rompant le baiser.

- hmmm Lorelyn...

Comme pour lui rendre l'appareil, ma main entre ses cuisses, enfonça un doigt dans sa féminité. Et je fus plutôt surpris qu'elle soit bien humide, cela me fit rougir. Je ne tardais pas alors à rajouter un second doigt pour tourner en elle et tenter de toucher des points sensible.

La voir dans tous ses états commençaient même sérieusement à m'échauffer, je retirais alors mes doigts pour retirer mon haut et étant déjà le sexe à l'air, je l'allongeais sur le lit et retirais mon pantalon.

Mon phallus était alors pleinement en érection et je la regardais chaudement avec envie.

- Et si tu me laissais découvrir comment tu feule de plaisir ? En levrette. Lui indiquais-je alors que je me branlais un peu.