Kimberly a des miroitements pleins les yeux. La dernière minute avec Souta a été aussi intense qu'explosive. Les éjaculations successives du garçon accompagnées des pulsations de son sexe dans le ventre de la californienne ont comblées les attentes de cette dernière. Béate et accrochée au cou de sa cible, elle le laisse se retirer d'elle tandis que dans son dos, les coups sur la porte indiquent que le nouveau gardien n'est pas au bout de ses peines. Cependant, il a fait ses preuves et a montré qu'il dispose d'un potentiel élevé; il en aura bien besoin. Souta la ramène dan son domaine, puisque jusqu'à présent, elle n'est pas allée plus loin que le palier de la chambre. Kim récupère sa culotte et son short et les passe sur ses cuisses ruisselantes. Elle tire son top qui s'est relevé sur sa poitrine juste avant que Souta n'ouvre la porte de sa chambre. Kimberly affiche un sourire de triomphe devant les nouvelles venues. Elle a gagné, c'est elle qui a ouvert le score avec le garçon et elle sait déjà qu'il reviendra vers elle. Et juste avant de sortir en ricanant, elle vient se coller à son dos musclé pour lui murmurer à l'oreille.
Kimberly: "Dès que tu en as envie, viens me voir. Je suis à la 202. Tu pourras me faire ce que tu veux ..."
C'est comme une reine qu'elle ignore les deux filles et elle disparait dans le couloir.
Il est vrai que Kimberly a fait fort en mettant la main aussi vite sur le nouveau gardien. Mais que ce soit elle ou une autre, il était couru d'avance que Souta ne passerait pas l'heure sans que quelqu'un ne lui mette le grappin dessus. Comme le hasard avait bien fait les choses. La résidence regroupait un nid de salopes invétérées portées sur le cul avant tout autre chose. Non non, ce n'était pas un rêve mais bien une réalité. Les féministes pouvaient bien braillées, il n'en restait pas moins que la déviance ambiante était animée par un groupe de nénettes délurées prête à croquer tout ce qui leur tombait sous la main. Quels que soient les goûts et les couleurs, les occupantes de la résidence brillaient par leur diversité. Maison internationale, l'endroit offrait un panel de beautés qui comblait toutes les genres et attentes. Et en retour, ces demoiselles attendaient une attention particulière et un minimum de ... non, de rien. Juste un mâle.
Daniela et Ayame n'étaient pas vierges, loin de là. L'une et l'autre avaient goûté à l'ancien gardien et en gardait d'une certaine manière une grande frustration. Le pauvre homme n'avait pas été capable de leur apporter ce qu'elles aimaient aussi le prétexte de venir voir Souta à cause du bruit était un bon élément déclencheur. Elles étaient curieuses, tout comme les autres résidentes.
Kimberly avait fait son show, c'était typiquement dans les habitudes de l'américaine qui trainait sa réputation de salope où qu'elle aille; aussi, le garçon serait une seconde main d'un soir. Pas grave! Et d'ailleurs quand il ouvrit la porte, nu, transpirant, magnifique avec son sexe raide, ces considérations là furent instantanément oubliées.
Daniela: "C'était bruyant ..."
Elle avait le regard rivé entre les cuisses de Souta. Pas sauvage, son sang sud-américain le lui interdisait, elle saisit par dessous la hampe qui pointait vers elle et posa le gros gland sur son poignet. Bon sang ... presque aussi épais. Daniela était un petit gabarit mais quand même ...
A côté d'elle, Ayame manquait défaillir. Son kink à elle, elle le prenait de plein fouet. La japonaise salivait devant se corps trempé et odorant.
Daniela repoussa Souta dans la chambre, entrainant son amie avec elle. Le scénario se répétait quand la porte claqua sur le trio. Dans le même mouvement, la petite brune s'était agenouillée devant le garçon et le pompait maintenant comme une furie. Si sa bouche était petite, elle n'en était pas moins experte et Souta put tester de son exiguïté. Des deux mains, elle le branlait tandis que sa langue raflait au passage tout les restes de la sauterie précédente. La particularité, c'est que quand Daniela taillait une pipe, elle ne lâchait pas le regard de son partenaire, du début à la fin.
Ayame, elle, s'était collée au flanc du garçon. Elle n'avait pas le physique d'une bimbo et avait toutes les caractéristiques de la japonaise timide. Sauf que ... Quand les effluves de sueur de Souta frappèrent ses narines, elle fondit et leva le bras du garçon pour lui lécher l'aisselle. Elle en roula presque des yeux et sa petite langue s'activa ensuite partout où elle dénichait cet apport de musc viril. Elle serait surement la première à jouir.