Il continue d e la besogner, cherchant plaisir et satisfaction. Comme elle le souhaite, il deserre un peu sa main mais y revint vite, trop desireux de marquer son empreinte sur elle . Il la fixe, la defie du regard, la nargue même . Il veut lui faire plaisir, mais en même , il veut qu'elle soit à lui de manière malsaine. Qu'au fond, il puisse la souiller et ne plus pouvoir regarder Quentin ou charlotte en face des yeux. Les deux langues s'unissant , il plongea dans son cou et une de ses mains continuait de lui caresser la jambe gainée par les bas. Il aimait ce contact,cette sensation, cette façon de pouvoir la toucher .
Et puis il bascula sur le dos, l'invitant à venir sur lui. Il avait envie qu'elle soit au dessus de lui, qu'il puisse la fixer quand elle prenait son pied. En se retirant, il souille les draps de son liquide séminale, laissant des gouttes . Mais il ne s'en souciait pas. Allait elle venir ? Oui il n'en doutait pas. Toujours dur il n'avait toujours aucune once de doutes ou de craintes par rapport à ce qu'il faisait . Est-ce que Charlotte allait se douter de quelque chose ? Non bien sûr. Elle ne le pouvait pas. Quant à Quentin il était loin.
Guettant donc qu'elle reagisse, il avait tout le loisir durant cette courte de pause de prendre la mesure de la situation. Il était ici dans la chambre de la femme qu'il désirait depuis si longtemps. Tout avait été vite, peut etre trop, mais il aurait tout le loisir d'atterir demain matin. Cette soirée et cette nuit était à lui, à eux.
Au même moment le portable se mit à vibrer et sonner dans le sac de la jeune femme. La sonnerie et la photo affichée ne laissait planer aucun doute. C'etait Quentin. Est-ce que cela allait la ramener sur terre ? Possible ou pas. Il etait clair que c'etait à elle de voir ce qui allait suivre et comment. La verge dure, tendue, dressée semblait l'attendre. Mais il y avait cet appel qui etait en quelque sorte l'appel de la raison et de la morale . Que choisirait elle ?