Quelle délicieuse sensation que celle-ci !
Moi qui n’avais rien prévu d’autre de mon après-midi qu’un peu de repos bien mérité, au beau milieu du grand lac de la ville, me voilà les doigts enfoncés dans les grosses fesses d’une parfaite inconnue, le pantalon sur les chevilles et ma queue ridiculement grosse enfournée à demi dans sa petite chatte trempée.
À ce compte-là, il fallait reconnaître comme il était étrange qu’une femme aussi encline à sauter sur le premier venu, comme cela avait été mon cas, puisse être aussi étroite. Avais-je réussi à l’enfiler sur une bonne quinzaine de centimètres que je peinais désormais à faire le moindre mouvement supplémentaire.
Autant avait-elle beau gémir fort et ruisseler comme une véritable fontaine, autant mes mains qui poussaient sur ses fesses ne semblaient m’être d’aucun véritable secours.
« Hhhnnn… haa »
Malgré tout, malgré cette légère frustration qui me mettait sens dessus dessous, bourrer ainsi son petit sexe me comblait déjà d’extase et de plaisir. Son étroitesse me comprimant si fort, j’étais aux anges, ainsi enveloppé au creux de son petit nid douillet. Elle n’était pas en reste non plus, et cela n’attisait qu’encore plus l’ardent désir qui s’était emparé de mon bas-ventre.
Me mordant les lèvres face au spectacle de son corps bien fait, ondulant tout contre le mien, je me laissa faire sans peine et me délecta même de la sentir m’agripper soudain si fort. M’empoignant comme une désespérée, elle se tordit d’un coup, comme prise d’une transe des plus intenses, et je compris que le seul fait d’avoir pu la pénétrer jusqu’ici avait suffi à la faire jouir. Quel pied… sans vouloir me jeter de fleurs, je devais toutefois m’avouer bienheureux de savoir qu’à elle seule, ma queue lui faisait un tel effet.
Ainsi je ne doutais déjà plus que, avec un peu de bonne volonté, il ne me serait pas des plus difficiles de la rendre complètement folle. Son comportement profondément aguicheur m’ayant pas mal allumé, j’étais devenu bien curieux à l’idée de voir jusqu’où la luxure la mènerait.
Attendant quelques secondes à peine, qu’elle se remette un peu de ses émotions, je vins la regarder droit dans les yeux, légèrement amusé par sa réflexion. Ainsi donc cet orgasme soudain ne lui avait pas suffi ? Tant mieux pour moi… Après tout, j’avais, moi aussi, bien envie de me vider les couilles. Ç’aurait été horrible qu’elle se barre avant même de m’avoir laissé lui donner le moindre « vrai » coup de queue.
« Tu es bien sûre de toi ? »
Lui adressant un fin sourire plein de jeu et de défi, j’agrippais un peu plus fort ses deux grosses fesses moelleuses et m’arquait à peine vers l’avant pour doucement la faire toucher sol. Rampant presque au-dessus d’elle, sans jamais quitter son doux écrin, je l’allongeais au centre de la barque, les jambes bien écartées, et m’installais confortablement juste au-dessus, la queue bien enfoncée entre ses cuisses.
« Tout ce qu’il y a à faire… c’est d’enfoncer ce gros machiiin-nngggh… »
Une main remontant lentement contre sa fesse, je venais attraper l’une des jolies gambettes de l’inconnue pour la lever bien haut et écarter plus encore ses cuisses. Forçant de tout mon poids, les fesses serrées, je laissais mon énorme engin mener la danse, et bataillait pour l’imposer plus loin encore dans sa toute petite chatte.
À petits coups, millimètre par millimètre, je forçais le passage et bourrais l’énorme chibre tout chaud en elle. Le bas de son ventre commença à se déformer peu à peu, comme marqué d’une épaisse bosse sur son dessus, et je compris dans un profond soupir que nous avions fait la moitié du chemin. Presque vingt centimètres de viande trempée attendait encore son tour à l’extérieur, et commençait à s’impatienter…
« HMMMF!!! »
D’un long, très long mouvement, je me mis à reculer mon bassin. Centimètre après centimètres, j’extirpais tout doucement ma queue de son corps, pour lui laisser le temps d’en profiter pleinement… avant de revenir à la charge d’un coup sec, pour grappiller un tout petit peu de place en plus entre ses cuisses.
« HAN ! »
Desserrant l’étreinte de ma main, je laissais sa jambe reposer à sa place un instant. Ne pouvant rester ainsi, seulement à moitié en elle, j’ondulais doucement, à la recherche d’une idée… d’une position confortable, me permettant de la labourer comme elle me l’avait demandé… « comme jamais ».
« Tourne-toi. Allonge-toi sur le ventre et laisse-moi faire… si tu m’offres ton cul, je te promets de bien m’en occuper. »
Trop obnubilé par l’envie de faire claquer mes couilles contre ses deux énormes fesses, je ne m’étais même pas rendu compte que mon bassin n’avait su résister à l’envie. Tout seul, le voilà qui bougeait lentement, d’avant en arrière, pour offrir à la jeune femme de premiers mais énormes va-et-vient.