Wah... ces lèvres qui entouraient ma verge étaient comme un nuage, doux, qui me transportaient dans un autre monde. Mes doigts se crispaient dans le sable chaud et je hoquetais de plaisir à m'en rendre folle... Mon dieu que c'était bon, je ne savais pas encore s'il s'agissait du talent de Shiro ou si nos envoutements communs jouaient des tours, mais j'avais l'impression que cette fellation était le sommet d'un plaisir auquel j'avais rarement accédé. Alors quand elle l'enfonça dans sa gorge, je commençais à me masser la poitrine, le sable filant sous mes doigts ne suffisant plus à me faire supporter cette pression. Mon coeur palpitait de manière irrégulière, mes yeux se révulsaient à moitié en atteignant très vite un orgasme puissant. Je remplissais sa bouche en criant mon bonheur à gorge déployais, je sentais la semence giclée loin en elle et remplir sa gorge qui avalait avec gourmandise le liquide sans reculer. Cela faisait aucun goute qu'elle ne mentait pas en me dévoilant ne pas être sa première futanari.
Ah... ah ah... si... si bon...
J'en avais du mal à trouver mes mots et je me rendais compte que ma poitrine était marqué d'un rouge vif à force de les avoir trop serrés. Quel orgasme, quel choc électrique qu'elle ne laissa même pas retomber en m'embrassant aussitôt. Le gout de ma propre semence en bouche était étrange quand nos langues se liaient mais je voulais bien l'accepter puisqu'il s'agissait de Shiro, impossible d'y voir une quelconque forme d'humiliation.
« Si Mélinda nous attrape, tu peux être sûre qu'on se prendra toutes les deux une grosse fessée. Mais moi, ça ne me gênerait pas. Et toi ? »
« Eh bien eh bien, ma chère Shiro. Je tourne le dos cinq minutes, et voilà que tu t'envoies en l'air avec une inconnue ? »
J'allais bien lui répondre que la fessée de la part d'une inconnue n'était pas trop mon truc, mais l'inconnue en question se présenta d'elle même et me fit sursauter dans les bras de Shiro, qui lui assura pouvoir tout expliquer. Je ne savais pas qui elle était mis j'étais sure d'une chose, cette Mélinda était une menace pour moi si je restais plus longtemps. Je ne m'octroya même pas le luxe de réfléchir plus longtemps, la seule option était la fuite.
Retiens ta respiration, Shiro
Après lui avoir murmurer ce petit avertissement, je lui serra la main et couru toute de suite à l'eau sans me retourner, y sautant et nageant de toute ma vitesse. Et heureusement qu'une sirène était capable de nager très vite ! Une petite voix en moi me murmurait qu'il le fallait mieux. Je ne m'arrêtais plus, je ne me retournais pas, et nul doute que j'aurais continuer encore un moment si Shiro n'étais pas avec moi, me rappelant que je nous éloignais quand même depuis un bon moment... C'est au moment ou ses joues se teintent de rouges et se gonflent comme celles d'un mignon petit rongeur, que je la serre dans mes bras pour crever la surface, libérant ses lèvres closes qui semblaient me quémander pitié, de les laisser respirer.
Désolée Shiro... ça... ça va aller ? Elle avait l'air sir effrayante que je voulais juste aller très loin. Mais elle nous poursuivra pas ici hein ?
L'océan était mon domaine et avec ma vitesse de pointe nous étions quand même sacrément loin maintenant. J'avais même un repaires sous-marins à quelques minutes d'ici, l'une de ces cavités rares aux parois rocheuses luminescentes. J'y avais stocker quelques trésors et babioles humaines, certaines étaient même des jouets sexuel volés des mains de dominatrices, qui avaient fait fausses route en pensant pouvoir me capturer et faire de moi un esclave. Autrement dit, il y avait de quoi s'amuser avec Shiro là bas... Mais nous étions tout aussi bien au milieu de l'océan pour le moment.
De toute façon elle ne pourras pas nous suivre au fond des océans... nous sommes tranquilles ici.
Je l'embrassais en battant des pies pour nous maintenir à la surface, et elle devait bien le sentir à chaque battements, ma verge n'était pas encore rassasiée, bien au contraire l petite gâterie m'avait encore plus excité et le bâton de chaire était toujours bien dressé, bouillant. Impossible d'attendre plus longtemps, je rompu le baiser pour me laisser couler et apparaitre dans son dos.
Je suis certaine que tu ne l'as jamais fait sous l'eau. Tu vas voir c'est délicieux de se laisser porter, de laisser son corps couler lentement sans avoir nulle part ou s'accrocher.... Juste nous, et le silence absolu.
Je coupais mes mots pour embrasser sa nuque, et une fois prêtes, j'enroulais mes jambes autours des siennes, et empoigna un de ses tendre seins pour la capturer dans mon corps. En arrêtant de battre des jambes ainsi, nos corps commençaient à couler sous la surface, lentement, toute les deux allongée le regard vers le haut. Le ciel s'éloignait à fur et à mesure que l'eau nous engloutissait, et durant toute la descente je malaxais sa poitrine d'une main, et la doigtait de l'autre en l'embrassant. De cette position, elle pouvait heureusement tourner la tête pour que nous puissions nous embrasser, ce qui lui éviterais la noyade. C'était donc la position parfaite pour stimuler tout son corps et explorer ses fesses avec ma verge de futanari, puisque les baisers permettaient de partager mon souffle.
C'est si bon Shiro, c'est si chaud...
Je faisais bien sure référence à son derrière dans lequel je donnais des coups de reins de plus en plus large, en la doigtant plus fortement pour augmenter son plaisir das ses deux trous. Ca aurait pu suffire, mais joueuse, je commençais à espacer les bouffées d'oxygènes, bientôt assez pour apporter cette teinte rouge à ses joues qui se gonflaient. Elle était adorable ainsi, elle semblait comme une mignonne petite proie à ma merci, et de plus je savais que le manque d'air apportait des sensations plus forte, une adrénaline puissante au moment de l'orgasme. Rien que de la voir dans cet état et d'imaginer les bienfait qu'elle pouvait éventuellement ressentir dans cette cruelle punition m'excita assez pour perdre à nouveau le contrôle.
Dans une décharge, les jambes tremblantes, j'éjaculais de nouveau en elle en donnant des coups de bassins biens plus larges, l'obligeant à se cambrer sous la première vague de semence chaude...