Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Le parc et son sous-bois => Discussion démarrée par: Shiro Ishimi le samedi 01 septembre 2018, 15:20:55

Titre: La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Shiro Ishimi le samedi 01 septembre 2018, 15:20:55
Dans la vie, il y a des périodes où tout va bien et d'autres où tout va mal. Et pour Shiro, aujourd'hui c'est une période où ça va mal. Depuis quelques temps, Tessia multiplie les longs voyages à l'étranger, la laissant sans nouvelle pendant des semaines, et quand elle revient enfin, elle ne reste que quelques jours avant de repartir. Dans ces conditions, difficile de bâtir une relation sérieuse comme elles le voulaient, et encore plus d'avoir un bébé. Et le pire dans cette situation, c'est qu'après avoir goûté au sexe avec une succube, toutes les autres amantes de l'infirmière lui semblent plus faibles et moins audacieuses. Heureusement, son travail d'infirmière au harem de Mélinda lui permet de garder un certain équilibre dans sa vie sexuelle. Entre la vampire et ses filles, elle a largement de quoi faire.

Un jour d'été, Mélinda propose à Shiro de l'accompagner, elle ainsi que plusieurs de ses esclaves, dans une petite sortie sur une plage privée lui appartenant. En plus du soleil et de l'eau, c'était aussi la promesse de voir des jolies filles en bikini, d'autant que la vampire encourage le topless sur sa plage. L'infirmière accepte avec plaisir, elle en profite même pour s'offrir un nouveau maillot (https://image.noelshack.com/fichiers/2018/35/6/1535802497-set-riodesol-velvet-fuchsia-1.jpg) pour séduire sur la plage.

A leur arrivée, les filles se dépêchent d'enfiler leurs maillots, allant du plus sage au plus érotique, et voir tous ces seins bien ronds et ces fessiers généreux emballés dedans fait vite chauffer l'infirmière. Les choses sont claires dans sa tête : avant la fin de la journée, toutes ces filles se baigneront nues avec elle. Mais d'abord, elle a envie de prendre un moment pour se relaxer et profiter de l'eau turquoise et du sable chaud. Après quelques minutes de bronzage, elle va se baigner et faire quelques brasses, laissant les jeunes s'amuser entre elles. Même si elle est heureuse d'être ici, Shiro n'en oublie pas pour autant ses problèmes. Après avoir bien nagé, elle décide de retourner voir les autres, mais là elle croit apercevoir quelqu'un nager près d'un gros rocher. Or, tout le monde est déjà sur la plage, alors qui cela peut-il être ? Curieuse, la jeune femme décide d'aller vérifier. Si quelqu'un est sur cette plage sans l'autorisation de Mélinda, ça risque de barder.
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Lyli le mardi 04 septembre 2018, 15:00:59
C'était une plage magnifique, un véritable paradis sur terre ! Cette petite baie de sable chaud, sur laquelle soufflait une rafraichissante brise maritime semblait appartenir à un autre monde. Pour cause, personne n'y foulait le pas, mystérieusement...  me rappelant presque les souvenirs de ces mers maudites lorsque j'étais encore une véritable sirène, sur lesquelles aucun marin n'osait naviguer. Aucune trace de pas ni d'activité humaines non plus, autrement dit c'était l'endroit idéal pour une sirène qui voulait se ressourcer seule. Je ne me posais pas trop de question du coups, surtout que les premiers jours avaient été idylliques, idéals pour se reposer, et personne ne semblait me faire de sermons comme quoi il s'agissait d'une plage privée. J'avais donc fini par établir une sorte de campement au milieu d'une clairière d'algues, non plus du bord, comme pour définir cette plage comme étant l'une de propriété. Grave erreur, j'allais bientôt découvrir que ce lieu ne m'appartenait pas... et pas de la plus mauvaise des façons qui soit !

Lors de mon dernier plongeon, j'ai l'impression d'apercevoir quelqu'un du coin de ma vision. Persuadé que ce n'est pas le fruit de mon imagination, je reste cachée sous l'eau, scrutant avec patience la surface jusqu'à ce qu'une silhouette se dessine effectivement. Elle n'est pas d'une taille très grande mais ses formes sont d'une harmonie rare. Son maillot est un peu plus violacé que le miens mais aussi moins large. Quant à sa chevelure, sa douce couleur et sa longueur vertigineuse me remplit d'une admiration débordantes... Ils sont magnifique, envoutant, et encadrent si parfaitement cette bouille d'ange que j'ai du mal à détacher mon regard. Je suis si admirative que je me rends compte bien trop tard de la proximité. je suis presque à ses pieds, tapis sous l'eau juste derrière un rocher. Il n'y a plus aucune raison de se cacher désormais...

Impossible de savoir comment elle allait le prendre, mais je décidais d'opter pour l'espièglerie en crevant d'un coups sec la surface. Une fois sur mes deux jambes, je crachote l'eau qui est maintenue dans mes joues rondes contre son visage, la mouillant abondement dans un petit rire amusé !

Ah ah ah ah, désolée, j'espère que je ne t'ai pas fait peur !

Et j'espère surtout qu'elle n'est pas là pour me faire du mal... Car de mon côté, le sourire amical bordant mes lèvres ne montre aucune animosité. Bien a contraire ! Je me sens même étrangement très charmée par sa présence. Quoi de plus normal avec une créature si mignonne ? Mais tout de même là... j'étais un tout petit peu plus attirée que la moyenne.

Maintenant que j'y pense, t'es la première personne que je vois sur cette plage depuis... ça doit bien faire 6 jours ! C'est une sorte de plage privée ou quelque chose comme ça ? T'es pas venue pour me virer j'espère ?

Je faisais un peu usage de mon charme tout en me pinçant les lèvres, comme si ça pouvait m'aider à subir mon de remontrances... juste au cas ou.
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Shiro Ishimi le jeudi 06 septembre 2018, 09:57:26
Arrivée au rocher, Shiro s'aperçoit qu'il n'y a personne, alors que pourtant elle aurait juré avoir vu une silhouette humaine. Pensant avoir halluciné, elle s'apprêtait à repartir en direction du rivage lorsqu'une personne émerge tout à coup devant elle, jaillissant des profondeurs sans crier gare. L'infirmière réagit à l'instinct et s'éloigne avant de se recevoir un jet d'eau sur la figure. Après s'être nettoyé les yeux, elle voit devant elle une superbe femme à la chevelure violette, vêtue d'un simple bikini, de gants et de collants. Une vraie beauté.

Ah ah ah ah, désolée, j'espère que je ne t'ai pas fait peur !

« Oh... eh bien... un peu oui... mais c'est pas grave. »

A ce moment, un tas de questions se bousculent dans sa tête. Qui est cette femme ? D'où vient-elle ? Que fait-elle ici ? Comment a-t-elle fait pour se cacher sous l'eau sans qu'elle ne s'en aperçoive ? En tout cas, à première vue, elle a l'air amicale. La femme lui explique qu'elle est la première personne qu'elle voit sur cette plage depuis six jours, et lui demande si c'est une plage privée.

« Euh... oui, c'est ça. La plage appartient à Mélinda Warren. »

Shiro essaie de rester concentrée, mais il y a quelque chose chez cette femme qui l'attire. Elle a un physique très avantageux, surtout aux niveaux des rondeurs féminines, mais il y a autre chose. Rien que de l'écouter parler est un plaisir. Mais l'infirmière n'en oublie pas pour autant de la questionner.

« Est-ce que je peux vous demander comment vous êtes arrivée là ? »

La plage n'a qu'une seule entrée, et elle est surveillée jour et nuit. Ou alors, elle vient de la mer, mais ce serait une sacrée nageuse. Écoutant sa réponse à moitié, Shiro ne peut pas s'empêcher de la reluquer tant elle la trouve canon, et sa frustration n'arrange rien. Elle est tellement absorbée qu'elle ne se rend pas compte que son interlocutrice lui parle.

« Oh... excusez moi. Je... j'étais en train de me dire que vous êtes très jolie. »

Quoi ? Mais pourquoi est-ce que je dis ça ?

C'était sorti tout seul, Shiro n'a pas réfléchi.

« Désolée... je ne sais pas ce qui m'a pris. »

L'infirmière sait qu'elle devrait aller voir Mélinda, lui dire qu'il y a quelqu'un sur sa plage, mais elle ne veut pas bouger. Elle veut rester avec cette femme et faire plus ample connaissance.

« Oh, je ne me suis pas présentée. Je suis Shiro Ishimi, enchantée. Et vous êtes ? »
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Lyli le jeudi 06 septembre 2018, 17:42:11
Cette humaine me rends toute chose, en est-elle vraiment une ? Ou serait-elle plutôt l'un de ces êtres magiques ? Ca n'as que peu d'importance, le charme opère et je m'y laisse volontiers prendre en soupirant, ricanant doucement. Même s'il s'agit d'un charme ça ne peut être plus puissant que celui des sirènes, j'imagine, et je suis donc confiante sur mes capacités à ne pas perdre le contrôle. D'ailleurs, elle est bien plus perturbée que moi et avoue à pleine voie que je suis jolie. Je lui plait, mais comment lui en vouloir ? Je n'y réponds que d'un sourire en me dandinant agréablement vers la jeune baigneuse.

Oh, mais c'est un adorable compliment ça ! Mais tu sais, toi aussi du es incroyablement mignonne... Surtout cette longue chevelure... je la trouve si parfaite !

Bien moins gênée, je n'avais pas besoin d'être envoutée pour dévoiler le fond de mes pensées, j'en jouerais même jusqu'à lui faire perdre la tête sans l'hypnotiser complètement. Il était plus amusant de voir ses proies craquer d'elles même. J'enroulais donc un doigts dans sa longue chevelure en pinçant ma lèvres inférieur pulpeuse et au gout salés entre mes dents. Ils sont doux et lisse, mais mes yeux ne suivent pas mes doigts qui serpente bientôt entre ses longs bruns violet, en les faisant glissé contre le gant. Non, mes prunelles étaient beaucoup trop concentrées sur ses magnifiques orbes de chaires à l'allure si tendre.

Alors tu vois, ce n'est rien un compliment ne t'excuses pas comme ça...

Je relâche ses cheveux et remonte contre sa joue, jusqu'à ce que l'index se glisse tendrement et droit contre ses lèvres comme pour lui suggérer de se taire.

Et aussi... je ne sais pas qui est cette Melinda... mais ça ira si tu ne dis rien n'est-ce pas ? Je caresse tendrement sa lèvre avec l'index et approche mon visage, bientôt assez à porter pour y souffler mon doux air marin contre sa peau. Elle n'est pas obligée de le savoir, ce sera notre secret.... rien qu'à nous deux...

Je ne sais pas qui était cette Mélinda, surement une riche femme d'affaire qui avait acheté un morceau de plage. L'argent faisait tourner la tête des humains, ils achetaient souvent tout et n'importe quoi pour satisfaire leurs égos. Enfin, peu d'importance, je rentrais dans l'eau en relâchant mon attention sur Shiro, comme pour dévoiler la dernière partie qu'elle n'avait encore pu voir de moi : mes fesses. Une fois l'eau ballotant à la taille, je retourne à demi mon visage vers elle.

Tu viens nager ? Il fait vraiment chaud... Et puis tu ne vas pas me laisser partir alors que je ne t'ai même pas dis mon nom, ni même comment je suis arrivée ici... Ca et... tous mes autres secrets que je ne t'ai pas encore dévoilé... ma petite Shiro...
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Shiro Ishimi le vendredi 07 septembre 2018, 18:51:16
Shiro avait envie de prévenir Mélinda de la présence de cette femme sur sa plage privée. Telle qu'elle connaissait la vampire, elle ne se fâcherait pas beaucoup, et vu que l'intruse est une belle femme, elle pourrait même lui accorder son pardon contre un paiement en nature. Mais pour une raison qui lui échappe, elle n'arrive pas à bouger. Elle se contente de fixer cette femme, de boire ses paroles, elle accepte même de se taire quand cette dernière pose un index sur ses lèvres, lui proposant de ne rien dire à Mélinda. Et très vite, elle se laisse convaincre et hoche la tête en signe d'acceptation.

Après tout, elle a raison. Ce qu'on ignore ne nous atteint pas.

A moitié plongée dans l'eau, la femme invite Shiro à venir se baigner avec elle, lui dit qu'elle ne peut pas la laisser partir sans avoir obtenu son nom et comment elle est arrivée ici, ainsi que d'autres secrets.

« Mais... si je ne reviens pas... Mélinda va s'inquiéter. »

Mais encore une fois, elle se laisse charmer par le côté envoûtant que peut avoir cette femme, sans lui résister le moins du monde. Elle se contente de la suivre dans l'eau chaude de la mer, nageant tout près d'elle en parcourant des yeux ses belles formes. L'envie de lui ôter son bikini se faisait de plus en plus pressante, et pour être sûre qu'elle se laisserait faire, elle décide d'utiliser ses propres charmes.

« Vous savez... maintenant que je regarde de plus près... vous n'êtes pas seulement belle... vous êtes sexy. »

Puisque les compliments ne semblent pas la gêner, Shiro ne va pas se priver. Et avec ses pouvoirs, chacune de ses paroles devient un puissant outil de charme pour envoûter la femme. Tout près d'elle, elle pose un doigt sur ses lèvres comme elle l'avait fait avec elle plus tôt.

« C'est vrai, tout est sexy chez vous. Votre chevelure... vos yeux... vos lèvres... votre peau... votre bikini... et surtout ce qui se cache en dessous. Je devine déjà... que vous avez... une superbe poitrine... et de très jolies fesses. »

D'habitude l'infirmière fait preuve de plus de retenue quand elle rencontre une nouvelle amante, mais là elle sent qu'elle a envie de se jeter dans le vif du sujet très vite. Elle décide même d'abandonner le vouvoiement.

« Alors... qu'est-ce que je dois faire... pour avoir votre... ton nom ? »

Puisque sa nouvelle amie la tutoie, elle le fait aussi.
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Lyli le dimanche 09 septembre 2018, 12:51:35
Quelque chose ne se passait pas comme prévu, j'avais vraiment un drôle de pressentiment au sujet de cette femme. Pas un sentiment de danger heureusement, il s'agissait plutôt d'une curiosité troublante, de celles qui donnaient irrésistiblement envies de connaitre la suite malgré tout. Qui était-elle au juste ? Même quand je pensais avoir enfin le dessus en jouant la carte du mystère et des secrets m'entourant, je me sentais peu à peu couler dans des sables mouvant, sans pouvoir bouger. J'étais captivé, j'avais l'impression de sentir son parfum en plongeant dans ses pupilles rosées... Une... autre sirène ?

Heu heu... merci, vous aussi vous êtes sexy, vous semblez.... avoir de jolis seins... bien moelleux...

Quoi ? J'avais vraiment dit ça à l'instant ? C'était comme si mon pouvoir se retournait contre moi. Mon coeur battait, j'écarquillais les yeux et au moment même ou je cherchait à parler mes lèvres n'arrivaient plus à bouger. Son doigt sur mes lèvres me rendaient muettes. Non pas qu'un index aurait suffit à me faire taire, c'était plus étrange que ça. Les mots tourbillonnaient dans ma têtes sans parvenir à trouver la sortie, une chaleur agréable papillonnait dans mon ventre. Bien trop vite, j'étais déjà dans un état dans lequel la conscience devint flou. Seul l'envie.. l'irrépressible envie de faire ce que bon me semblait... de faire chacune de mes idées même les plus perverses, réalité... Ca devenait plus fort que moi.

Alors quand elle demanda ce qu'elle devait faire pour avoir mon nom, je n'arrivais plus à jouer et capitula instinctivement, sans pouvoir me retenir.

Lyli ! Je m'appelle... Lyli

Je ne sais depuis combien de temps, mais je venais de me rendre compte que mes deux mains touchaient quelque chose d'agréablement moelleux... Quand ? A quel moment avait-je passé mes deux mains sous son haut de maillot, pour sentir entre mes doigts la douce chaire tendre de sa poitrine ? Puisque j'y étais, autant les malaxer avec tendresse maintenant... puis... avec plus de fermeté ensuite... Un cercle vicieux débutait. Si je peux les malaxer alors je peux les pétrir fermement.... si je peux les pétrir comme ça je peux bien m'y coller... et si je peux me coller pourquoi pas l'embrasser ? Chaque envie raisonnait vers une autre plus intense encore, si bien que dans quelque secondes, je finirais par lui faire sauvagement l'amour en ne laissant sur le sable que l'emprunte de nos deux corps agités... Avant que cela n'arrive, je réussit à me ressaisir, sa poitrine ancrée dans ma poigne et mes lèvres assez proche pour frôler la douce peau de son visage.

Soufflant mon expiration chaude contre ses joues, je me crispe un peu, capturant d'avantage ses deux orbes moelleuses.

Une sirène... C'est ça... Toi aussi Shiro... Toi aussi tu es une sirène... Tu partages le même secret que moi...

Et voila qui leva le voile sur mon secret. Je venais de me vendre toute seule en faisant en prime fausse route.
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Shiro Ishimi le dimanche 09 septembre 2018, 18:24:44
Sans savoir pourquoi, Shiro suit une parfaite étrangère dans l'océan, au mépris de la plus élémentaire prudence. Mais peu importe qui est cette femme, personne ne résiste éternellement au pouvoir de sa voix magique. Alors qu'elle s'attendait à devoir faire des pieds et des mains pour obtenir le nom de cette inconnue, voilà qu'elle le lui donne sans même essayer de marchander. Ainsi, Shiro sait qu'elle a désormais une emprise sur la dénommée Lyli.

« Eh bien... enchantée Lyli. »

Shiro a une telle emprise sur elle qu'elle a glissé ses mains sous son haut de bikini sans même s'en rendre compte. Elle est en train d'obéir à ses plus bas instincts, la rendant facile à commander. Une main sur sa tête et l'autre sur ses hanches, l'infirmière caresse son amante tout en murmurant à son oreille pour l'enfoncer de plus en plus profondément dans son envie.

« Vas-y Lyli... malaxe moi la poitrine... ne te retiens pas. »

Mais tout à coup, dans un élan de reprise de contrôle, la demoiselle se crispe et demande à Shiro si elle est une sirène comme elle.

« Moi ? Une sirène ? Mais non, pas du tout. »

Cependant, l'infirmière comprend pourquoi Lyli a pu croire qu'elle en était une. Son pouvoir lui vient de sa voix, qui lui permet de charmer les gens, et c'est un talent très semblable à celui que possèdent les sirènes.

« Alors tu es une sirène ? C'est pour ça que tu m'envoûtais autant. Ta voix est magique... comme la mienne. »

Leurs pouvoirs sont semblables, mais Shiro n'est pas une sirène.

« En tout cas... j'espère que ça ne change rien... à tes envies. »

L'infirmière glisse ses mains sous le haut de bikini de Lyli pour peloter ses obus de chair bien moelleux.

« Hhhmmm... quels jolis seins tu as. »

Elle vient ensuite murmurer à son oreille avec sa voix magique.

« A ton avis... laquelle de nous deux... a la plus grosse poitrine ? »
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Lyli le lundi 10 septembre 2018, 11:07:33
Si elle n'était pas une sirène quel genre de sorcellerie cela était ? Je ne devrais pas oublier de lui demander plus tard, quand la curiosité redeviendrait plus importante que le moment présent. Ce moment forgé dans sa généreuse poitrine et sa bouille d'ange. Un ange ? Plutôt une succube avide, elle me tentait de sa voix envoutante, me poussait au tabou, à la luxure. Quand ce genre de séduisante créatures vous invite, inutile de feindre vouloir sans aller ou même résister. Ma première décision fut de ne pas me débattre et de plonger tête la première dans ce piège délicieux. Qu'elle soit une sirène ou non n'avait aucune importance.

Ne dis pas de bêtises Shiro... j'ai retenue mon envoutement... sinon tu serais déjà sous l'eau à suivre tes bas instincts... même le danger de s'y noyer ne serait devenu qu'un lointain détail...

Puisqu'elle m'invite à malaxer sa poitrine sans retenue j'y met encore plus de fougue et la pétrit à pleine main. Pressée entre mes doigts et son propre corps, ces deux orbes de chaires tendres sont si aplatit et tirés dans tous les sens que je sens rouler ses tétons sous ma peau. Ils sont gros et tendre mais surement pas autant que les miens, ça se voit. Les tester de ses mains ne l'aidera pas à prouver le contraire alors pourquoi cette question stupide ? Encore un prétexte pour m'exciter de sa douce voix peut-être ? C'est réussit, j'en profite pour lui mordiller son autre oreille brièvement, en lui murmurant à mon tours avec magie.

Tu vas vite découvrir laquelle a la plus grosse poitrine... ma petite chérie...

Comme pour faire taire ses questions stupides, mes deux mains glissent hors de sa poitrine. Une d'elle se pose fermement sur ses fesses et l'autre à l'arrière de sa tête. Ainsi, je l'oblige à se presser contre moi et surtout à écraser nos deux paires de seins l'une contre l'autre. Elle va très vite sentir le poids de ma poitrine oppressante si elle veut jouer à ce jeu !

J'espère que tu as de l'endurance Shiro...

Mes deux mains poussent son corps contre moi, nos deux poitrines s'écrasent et se frottent l'une sur l'autre en s'aplatissant sous la pression. Je n'ai même pas eu l'esprit assez clair pour penser à retirer son maillot, et le baiser dans lequel je me plonge n'arrange rien. Nous sommes bien loin du tendre petit bisous sur le coin des lèvres, je suis sauvage, mes lèvres pulpeuses dévorent sa bouche avec une envie à m'en faire trébucher. Nous voila bientôt tombées contre le sable humide, avec la marée qui vient et se retire pour successivement engloutir nos corps sous l'eau et les libérés. Peu importe, je ne veux pas la relâcher sous aucun prétexte et enfonce ce baiser jusqu'à engouffrer ma langue. Je la tournoie dans sa bouche, cherche celle de ma succulente amante pour s'y enrouler et lui offrir cette danse.

C'est si intense que j'en ai du mal à reprendre mon souffle, et la pression de nos poitrines qui s'écrasant n'aide en rien à me laisser respirer convenablement. Elles se frottent et rebondissent l'une dans l'autre et quitte à l'avoir capturé ainsi, autant aller jusqu'au bout et enrouler mes jambes derrière les siennes.

Culottes contre culottes, je commençais à onduler délicieusement des reins. Allait-elle se laisser capturer ainsi contre mon corps ? De mon côté en tout cas, je ne décollerais pas ma peau d'un seul centimètre de la sienne, au contraire... Je cherchais constamment à étouffer d'avantage nos poitrine l'une dans l'autre, guidée par un seul désir : celui de ne pas me détacher de Shiro.
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Shiro Ishimi le mardi 11 septembre 2018, 13:06:01
La révélation de Lyli n'a rien changé au désir de Shiro. Elle s'est déjà envoyée en l'air avec des nekos, des vampires, et même des succubes, alors le fait que son amante soit une sirène ne fait que rajouter à son envie. Lyli la met en garde sur la puissance de son envoûtement puis se met à pétrir sa poitrine à pleine main. Le plaisir envahit le corps de Shiro, qui gémit en sentant ses tétons rouler sous les doigts de son amante. Les murmures de la sirène au creux de son oreille la rendent encore plus chaude, et laissent supposer que de délicieuses gâteries sont à prévoir.

« Hhhmmm... oh ooouuuiii... j'ai hâte... »

Les mains de Lyli glissent hors de sa poitrine pour venir se poser sur sa tête et sur ses fesses. Son corps pressé contre celui de la sirène, elle sent ses pointes de chair toutes dures frotter contre celles de son amante. Les choses commencent à devenir intéressantes, et Shiro est mise en garde : les choses ne vont faire que monter en intensité.

« J'aurai toute l'endurance... haaannn... que tu voudras. »

Imitant sa partenaire, l'infirmière vient poser une main derrière sa tête et l'autre sur son cul. Les deux femmes se lancent dans un délicieux baiser sauvage, se dévorant les lèvres l'une-l'autre. Shiro appuie de toutes ses forces avec ses mains pour coller le corps de Lyli contre le sien et peloter ses délicieuses fesses. Elle est aussi bien fournie en haut qu'en bas, de quoi faire saliver la femme qui la caresse. Elles se pressent l'une contre l'autre avec tant de force qu'elles finissent par trébucher et tomber sur le sable humide de la plage, mais sans se décoller d'un cheveu pour autant. Elles étaient scotchées l'une à l'autre par la bouche, et seule une urgence aurait pu les séparer.

« Hhhmmm... »

Allongée dans le sable, les vagues léchant sa peau, Shiro savoure cet intense baiser avec Lyli, où même leurs langues n'ont pas un instant de répit. C'est si intense qu'elle en a du mal à respirer, et avoir la poitrine de la sirène plaquée contre la sienne n'aide pas. Le moindre mouvement fait rebondir et onduler leurs orbes de chair, de quoi leur procurer encore plus de plaisir. Alors que les choses sont déjà très érotiques, Shiro sent que Lyli veut encore en rajouter en enroulant ses jambes derrière les siennes. A présent, leurs culottes sont aussi serrées l'une contre l'autre que peuvent l'être leurs poitrines, et la sirène s'amuse à onduler du bassin pour caresser l'intimité de son amante avec la sienne. Tout comme Lyli, Shiro n'a pas envie de décoller son corps d'un seul centimètre, elle cherche à raffermir son emprise sur la femme le plus possible et à continuer de l'étouffer avec son corps. Mais une chose la dérange, et après plusieurs minutes d'embrassades et de baisers gourmands, elle arrive à rassembler assez de motivation pour détacher ses lèvres de celles de la sirène pour lui parler.

« Lyli... j'adore être aussi près de toi... mais une chose manque. »

Elle vient murmurer à son oreille avec sa voix d'E.S.P.er pour être bien sûre que son amante pèse bien ses paroles avant de prendre une décision.

« Tu ne crois pas que ce serait... plus agréable... sans nos bikinis ? »

Leurs maillots ne couvrent pas beaucoup de peau, mais ils empêchent quand même d'accéder aux meilleures zones pour donner du plaisir. En plus, ces bikinis n'étaient là que pour exciter, ils n'avaient pas de raison de rester en place une fois que les amantes avaient décidé de se lancer pour faire l'amour.

« Oh... et encore une chose. On ne doit pas faire... trop de bruit... sinon... aaahhh... Mélinda viendra voir... et on se fera punir. »

Juste derrière la formation rocheuse qui les cachait, Mélinda et les filles de son harem profitent de la plage sans se douter de ce qui se passe tout près d'elles. Si jamais les deux amantes se font prendre en pleine action sur le sable, Lyli sera punie parce qu'elle n'a pas été invitée, Shiro sera punie parce qu'elle fait l'amour sans en avoir informé la vampire, et enfin elles devront toutes les deux servir d'esclaves sexuels à la maîtresse des lieux pour se faire pardonner de leur mauvais comportement.

« En tout cas... hhhmmm... tu as un corps délicieux. Tes seins... sont bien pulpeux... tout comme tes fesses. J'ai hâte... de m'étouffer dans ta chair moelleuse. »
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Lyli le jeudi 13 septembre 2018, 12:35:58
Pourquoi ? Pourquoi y met-elle fin ? Nous n'étions pas assez bien à son gout collées l'une contre l'autre ? La pression de sa poitrine manque déjà contre ma peau, comme si cette sensation était devenue partie intégrante de mon corps. J'expire un léger soupir de mécontentement et une moue presque boudeuse dessine mon visage, qui était si enjoué et rougit par l'excitation. Même si c'est pour retirer nos bikini, n'aurait-elle pas pu attendre ? Je ne vois pas trop pourquoi elle semblait si pressée pour un simple morceau de tissus mais soit, et puisque j'y étais j'allais même m'en servir pour faire taire ses craintes... au sens propre du terme !

Je ne sais pas qui est cette Melinda... mais je m'en fiche un peu...  parce que nous sommes bien ici.

Je commence par retirer ma propre culotte puis je la roule en une sorte de boule, entre mes doigts. Avec un sourire espiègle je viens la lui bloquer dans la bouche comme un bâillon en tissus... un délicieux bâillon au gout certes salé, mais aussi remplit de cyprine. Et voila... je venais de taire ses craintes comme promis, puisqu'elle ne pouvait plus m'en faire part. J'en profitais même pour masser un peu sa poitrine au passage, pour profiter de ses gémissements qui donnaient l'air d'une petite soumise. Ils étaient si bon et si moelleux que j'aurais pu les pétrir durant des heures s'en m'en lasser, j'aurais pu continuer jusqu'à ce que sa poitrine ne vire au rouge à force de se faire malaxer. Surtout maintenant que ses cris étaient étouffés.

Ne t'en fais pas je suis une sirène, ne l'oublies pas... si nous nous faisons repérés, je t'emporterais dans l'océan. Là bas personne ne nous dérangera, et nos perversion resteront secrètes... gardées par l'océan... à tout jamais...

Avant de lui retirer son haut, je dépose un petit bisous sur le bout d'un de ses téton gonflés. Enfin libéré de tout tissus entravant, j'en fais de même avec sa culotte en glissant une main sous le tissus, avant de la lui descendre et de la laisser glisser à ses pieds. Il ne reste alors plus que mon propre haut dont je me défait avec élégance, pour le jeter au loin dans l'eau, comme un vieux souvenir à présent inutile. Le petit jeu peut désormais reprendre, et je retire la culotte qui scelle ses lèvres pour la taire dans un baiser. Ce qui est bien plus agréable.

T'étouffer dans ma chaire moelleuse hein ? C'est bien ça que tu disais ? J'aime beaucoup cette idée... régale toi jusqu'à ton dernier souffle ma chérie...

Nos corps reprennent leurs étreintes à une différence prêt. Si nos poitrines se collent l'une sur l'autre d'abord, et que je fais tout pour la pousser contre le sol pour que l'ont soit plus agréablement installées, et aussi moins visible de loin, je glisse mon corps pour petit à petit enfouir son visage dans mes seins. Mes lourds orbes de chaires moelleux bondissent et fouettent agréablement son visage lorsque je bouge.

Et puis au moins, personne ne sera attiré par tes cris...

Parce que je comptais bien la faire jouir ! Ma main pressa l'arrière de son crâne pour ensevelir son visage droit dans la jungle de ma poitrine. deux coussins moelleux qui épousaient son visage et dans lequel respirer en deviendrait vite difficile. Son voeux d'étouffer dans ma chaire moelleuse allait s'exhausser, je sentais déjà toute les formes de son visage obstrués dans ma poitrine alors que ma main libre plongea entre ses cuisses pour commencer à la doigter tendrement. Puis plus vite, de plus en plus vite... Pourrais-je la faire jouir avant que mes seins ne l'étouffent pour de vrai ? Ce petit jeu risqué me faisait grandement mouillé, bien plus qu'il ne l'aurait du même, à cause de son envoutement.
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Shiro Ishimi le samedi 15 septembre 2018, 17:06:24
Shiro pensait faire plaisir à Lyli en lui proposant de finir complètement peau contre peau, sans aucun vêtement pour les limiter, mais c'est tout le contraire. La sirène ne voulait absolument pas se détacher de son amante, peu importe la raison. Elle se fiche même de Mélinda, elle trouve qu'elle est trop bien ici pour bouger, quelle que soit la raison. Et pour bien faire en sorte de le faire comprendre, elle retire sa culotte et la roule en boule avant de la fourrer dans la bouche de son amante. Un délicieux bâillon salé et imbibé de cyprine qui empêche Shiro de continuer à parler et l'excite grandement. Elle sent les mains de Lyli passer sous son haut de maillot pour lui peloter les seins avec force, et ses gémissements de plaisir sont étouffés par la culotte qui lui remplit la bouche. La sirène est en train de la dominer, et elle ne peut rien faire pour lui échapper. Cette dernière menace même de l'emmener avec elle au fond de l'océan pour que personne ne puisse les déranger.

« Hhhmmm... »

Que faire face à une amante aussi déterminée, à part laisser faire et profiter ? Après un gros bisou sur un de ses tétons gonflés, elle finit par lui ôter son haut de bikini et le jette sur le sable, puis elle lui baisse sa culotte jusqu'aux chevilles avant de jeter son propre haut à la mer. La façon dont elle bouge et dont elle exécute ses geste est un enchantement, et rend l'infirmière encore plus chaude. Ensuite, la sirène lui ôte la culotte qu'elle a dans la bouche, mais ne lui laisse pas le temps de parler avant de revenir sceller ses lèvres avec un baiser. Le goût de ses lèvres enivre Shiro, qui les dévore du mieux qu'elle peut. Elle sait que cette femme est en train de la mettre à sa merci, mais elle s'en fiche, elle veut juste continuer à s'enfoncer dans le plaisir avec elle.

Maintenant je sais ce que ressentent mes patientes.

Son corps se retrouve à nouveau étreint avec celui de son amante, mais cette dernière a décidé de prendre ses propres mots au pied de la lettre et vient coller sa plantureuse poitrine devant son visage. La tête enfouie dans les monts de chair de la femme, Shiro sent cette peau douce et moelleuse bondir à chacun de leurs mouvements, entravant sa respiration mais sans que cela l'empêche complètement de respirer. Elle sent ensuite les doigts de Lyli pénétrer dans sa chatte. D'abord lentement, puis de plus en plus vite. Ce petit jeu l'excite bien plus qu'elle ne l'aurait été si son amante n'avait pas utilisé de charme sur elle.

« Hhmm... Hhhmmm ! »

Shiro a beau se tortiller et se secouer dans tous les sens, elle ne peut pas échapper à l'étreinte de Lyli. Et de toute façon, elle n'en a pas vraiment envie. La sirène lui donne du plaisir et la domine avec talent, c'est une amante incroyable et son corps est une pure merveille. L'infirmière se laisse bercer par le plaisir et frotte son visage dans les orbes de chair de son amante, une délicieuse sensation. Elle a envie de s'y envelopper jusqu'à en étouffer. Même son instinct de survie est dépassée par la puissance du chant de la sirène.

Oui... vas-y Lyli... noie moi... dans ta poitrine. Fais-moi jouir... jusqu'à l'épuisement.

Finalement, Shiro a trouvé plus forte qu'elle au petit jeu du chant de séduction. Totalement impuissante devant Lyli, elle ne peut que la laisser faire ce qu'elle veut, mais sous l'emprise de l'excitation, elle trouve quand même l'énergie de passer ses mains dans le dos de la sirène pour aller palper ses petites fesses. Pressant et malaxant sa chair moelleuse, elle se régale d'avoir une sensation aussi douce sous ses doigts, et elle continue de jouer avec ce cul jusqu'à ce que les doigts de sa propriétaire ne finissent par la faire jouir. Dans un gémissement étouffé entre les seins de la femme, elle expulse un jet de cyprine et se cambre avant de retomber mollement sur le sable. Elle respire difficilement au milieu de la poitrine de son amante mais ne s'en soucie pas. Elle veut juste que ça continue.

Allez Lyli... ne t'arrête pas. Baise moi encore... étouffe moi dans ta chair... fourre moi ta culotte dans la bouche... traite-moi comme ton jouet.
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Lyli le samedi 20 octobre 2018, 13:18:11
Le corps de Shiro était parfait, sa silhouette rebondit décrivait mes plus grand fantasmes. Rajoutez à cette parfaite harmonie une bouille d'ange et vous avez le portrait d'une véritable sirène sur terre. Oui une sirène, ou une succube, quel que soit la comparaison son charme permanent m'enivrait d'une soif impossible à étancher. Plus je la serrait contre moi plus j'avais envie d'elle, plus mes doigts s'initiaient dans ses parties intimes plus je voulais aller en profondeur. La belle faisait l'effet d'une drogue semblable à mon pouvoir. Heureusement, mon charme semblait avoir prit un tout petit peu le dessus sur le siens, pour l'instant en tout cas... qui sait ce que réserverait le futur. Mais cette différence me permettait de jouer avec le corps de Shiro au point qu'elle ne se laisse sagement étouffée dans ma poitrine. Du moins partiellement puisque l'air pouvait toujours passer, même difficilement.

Oh oui ma belle... crie autant que tu le désires.... personne ne t'entendra dans ma poitrine...

Mais son corps se cambre déjà et un puissant jet de cyprine s'en échappe. Oh, elle est vraiment toute excitée et je ne sais pourquoi mais cela me donne envie de la serrer encore plus fort dans la jungle qu'est ma poitrine. La prise se resserre peu à peu, mes seins moelleux s'écrasent et s'étirent au fur et à mesure que son visage se presse à l'intérieur. Quelque chose me disait que cette étreinte violente et à la fois moelleuse lui plaisait, et je continuais jusqu'à la presser si fort que son visage perdue ne pouvait plus recevoir d'air, trop profondément ancrée dans la chaire. Allait-elle jouir d'avantage en lui proposant ce genre de jeux extrême ? S'étouffer dans ma poitrine était désormais bien plus qu'une simple métaphore, et avait quelque chose d'assez excitant pour moi je devais l'avouer.... mêler le plaisir au danger était un vrai délice. Pourtant...

Ne nous pressons pas vers les vilains jeux tout de suite ma chérie... je serais ton amante, ta vilaine maitresse... et peut-être même ton adorable soumise...

Lorsque son corps semble réclamer de l'air je la relâche avec un petit rire mais lui saute immédiatement dessus pour lui voler un langoureux baiser, ne lui laissant même pas le temps de reprendre son souffle.

Alors inutile d'aller.... si vite... que ce soit ici ou.... au fond de l'eau... on continuera jusqu'à ce que l'une de nous ne tombe... d'épuisement...

Entrecoupés par mes baisers et le souffle cours à cause de l'excitation un éclair me traverse soudainement l'esprit. Cette bouille d'ange est une amante dangereuse pour moi, si je venais à perdre le contrôle un moment elle pourrait elle aussi faire ce qu'elle veut de moi. Je sais qu'elle serait capable de m'éloigner de la plage si elle le voulait, j'avais donc le choix de fuir toute de suite, ou de l'épuiser la première pour ne pas perdre l'avantage. Le choix s'imposait comme une évidence : jamais je ne fuirais.

Ne t'en fais pas Shiro... ton visage va bientôt retrouvé sa place... dans ma chaire...

Mais ce n'est pas ma poitrine cette fois-ci. Mes fesses s'approchent peu à peu de son visage pour l'engloutir sous leurs poids. De ma nouvelle position je peux voir tout son corps, ses spasmes, et surtout malaxer tendrement sa poitrine pendant que je dandine mon fessier contre sa peau. Mon clitoris se frotte sur le bout de son nez, je sens son souffle cours et perdu s'expirer contre mon anus... s'en est déjà trop, excitée comme je l'étais et déjà à deux doigts de l'orgasme je me cambre et tante de retenir mes cris en tordant sa poitrine entre mes doigts. En vain, je jouis contre son visage, j'inonde ce joli minois d'un flot de cyprine chaude en criant mon plaisir sans retenue. Elle m'avait mise en garde je sais, et ça allait surement attirer l'attention mais l'océan était proche, on pouvait toujours y plonger pour s'y cacher au cas ou... Après tout, ici ou même à une dizaines de mètre de profondeur, ce n'était qu'un terrain différent pour lui faire l'amour de toute les façons possible...

D'ailleurs si j'avais opté pour cette position ce n'était pas que pour m'assoir contre son visage et lui jouir dessus. Surement pas avec ses belles cuisses à portée de main. Alors tout en dandinant la chaire de mes fesses contre son visage, je glisse peu à peu mon corps jusqu'à m'allonger sur elle, le visage entre ses cuisses. Dans cette position érotique basique et bien connue, je lui caresse délicatement l'intérieur des cuisses avant de les écarter d'un coups net, dégageant la vue sur son sexe tout humide et chaud.

C'est tout enflé.... tu as l'air en chaleur... laisse moi sucer ce délicieux bonbon...

De longs coups de langues félins nettoie la cyprine qui l'a déjà salit, et je ne résiste pas longtemps à la tentation d'aspirer tout ce jus qui est encore à l'intérieur.
Alors j'englobe ses lèvres intimes comme un bonbon et le suce avec gourmandise, en dandinant mes fesses toujours sur son visage. Elle avait de quoi faire elle aussi cette fois, avec cette intimité contre son visage.
Pour rajouter un peu de danger, je faisais bien en sorte de ne pas masquer mon plaisir, gémissant sans retenue quitte à nous dévoiler. Je voulais qu'elle en fasse de même et pour la motiver mes deux mains se rejoignirent sur ses superbes fesses, pour introduire leurs index dans son fondement.

Oh, je me sentais si excitée auprès d'elle...
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Shiro Ishimi le dimanche 21 octobre 2018, 18:14:12
Shiro n'aurait pas cru possible qu'une autre amante que Tessia ou Mélinda réussisse à la faire basculer dans les méandres du vice et de la luxure aussi vite, mais pourtant Lyli est y arrivé. Cette sirène, après l'avoir charmé avec sa voix, est maintenant en train de lui faire découvrir les joies de l'asphyxie érotique en l'étouffant dans sa poitrine. L'infirmière prend son pied en respirant difficilement, son visage coincé entre les monts de chair de son amante, qui continue à la soumettre grâce à sa voix magique. Pour autant, dès que le manque d'air commence à se faire sentir, l'instinct de survie de la jeune femme prend le pas sur son plaisir, et elle tente de libérer son visage de la poitrine de son amante pour pouvoir respirer. Heureusement, sa maîtresse est loin d'être un monstre, et elle dégage ses seins de sa tête pour lui laisser reprendre son souffle.

Ne nous pressons pas vers les vilains jeux tout de suite ma chérie... je serais ton amante, ta vilaine maîtresse... et peut-être même ton adorable soumise...

« Aaahhh... »

Cependant, Shiro n'a pas le temps de répondre car Lyli vient tout de suite coller ses lèvres aux siennes pour lui prendre un baiser. Les deux femmes se mettent à s'embrasser passionnément, leurs langues dansant ensemble dans un ballet frénétique. La sirène n'arrête d'embrasser son amante que pour lui faire entendre sa superbe voix et lui promettre plus de jeux érotiques jusqu'à ce que l'une d'elles ne tombe d'épuisement.

Oh oui... ce que j'ai hâte.

Shiro sait que Lyli va à nouveau l'étouffer dans sa chair moelleuse, mais cette fois ce n'est pas sa poitrine qu'elle veut utiliser. La sirène change de position et pose ses fesses contre son visage, l'engloutissant sous leur poids. Deux belles bosses tendres et bombées, que l'infirmière ne se prive pas de palper avec ses doigts pendant que sa langue va lécher ce qu'elle peut atteindre. En même temps, elle sent la sirène lui tripoter les seins, et le plaisir la fait se tortiller dans le sable, creusant peu à peu un trou tout autour de son corps. Après quelques minutes de caresses, elle sent les fesses de Lily parcourues de spasmes et l'entend gémir un bon coup avant qu'un jet de cyprine ne vienne éclabousser son joli minois.

J'ai réussi... à la faire jouir.

Shiro est toute fière d'avoir réussi à offrir un orgasme à son amante, et compte bien lui en donner plein d'autres. Mais pour l'instant, c'est elle qui va devoir faire face aux élans de libido de son amante. Cette dernière, toujours en lui noyant le visage dans son superbe cul, se met en position de soixante-neuf et lui écarte les cuisses pour pouvoir lécher son sexe humide et chaud. L'infirmière crie de joie dès qu'elle sent les lèvres et la langue de la femme contre sa vulve trempée de désir, mais sa voix ne franchit pas les monts de chair de la femme.

Oui... vas-y à fond Lyli... dévore moi le minou.

De son côté, l'infirmière ne reste pas inactive. Non seulement elle accentue ses caresses sur les fesses de la sirène en y ajoutant quelques pincements et fessées, mais en plus elle vient lécher sa fente intime, à portée de caresses buccales de sa part. Malgré la difficulté à respirer, Shiro ne se retient pas dans ses mouvements, et fait de son mieux pour donner à Lyli autant de plaisir qu'elle ne lui en donne en ce moment. Mais ensuite, elle sent les mains de la femme s'approcher de ses fesses et les écarter, puis ses doigts glissent lentement en direction de son entrée secrète.

Ne me dites pas qu'elle va...

Shiro frémit pendant de longues secondes avant d'effectivement sentir l'index de chaque main de Lyli rentrer dans son anus.

« HHHMMM !!! »

Cette fois, la voix de l'infirmière est si forte que même un fessier aussi généreux que celui de la sirène ne peut pas l'étouffer. Il est même possible que Mélinda et les filles à côté entendent son cri. Cette femme est en train de la rendre folle de plaisir, et il a suffi qu'elle lui mette deux doigts dans le cul pour la faire jouir presque instantanément. Shiro expulse sa mouille en se tortillant sur place, puis se laisse retomber contre le sable. Elle est presque étonnée d'être une telle salope et de jouir aussi facilement après avoir été l'amante d'une succube.

Pendant quelques secondes, la secousse du plaisir l'immobilise, mais ensuite elle se remet à jouer avec le corps de son amante, léchant sa fleur intime, attaquant son popotin avec ses mains, allant même jusqu'à lui mettre un index dans le cul comme elle l'avait fait avec elle. Désormais, plus rien n'a d'importance pour elle hormis le besoin de faire l'amour. Même la crainte d'étouffer dans cette vallée de chair moelleuse ou de se faire prendre sur le fait par Mélinda ne l'inquiète plus.

Je veux... faire l'amour... encore... et encore.
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Lyli le lundi 29 octobre 2018, 10:53:30
J'éprouve des difficulté à savoir ce qui m'étonne le plus, est-ce son index dans le cul qui me fait subitement sortir d'entre ses cuisses pour lâcher un cri presque mignon de surprise ? Ce même index qui oblige mon cul à se crisper et à faire un bon vers l'arrière avant de retomber lourdement sur son visage comme une punition ? Ou alors est-ce plutôt le fait qu'elle ait jouit juste en se faisant pénétrer l'anus par deux doigts ? Si son derrière était si sensible elle serait bien gâtée plus tard aucun doute là dessus, mais pour le moment présent je en voulais surtout pas abandonner cette position.

*J'espère qu'elle a une bonne endurance...*

Je serais en effet assez déçu de la voir s'épuiser au bout de 2 ou 3 orgasmes. Ce genre de choses pouvait en effet arriver à des humaines normales mais Shiro n'en était pas une n'est-ce pas ? En tout cas je l'espérais, je ne voulais pas la voir manquer d'énergie au point de précipiter les choses de peur qu'elle ne s'effondre avant. J'allais donc lui faire confiance, partir du principe que son endurance était très développée et donc reprendre ma position... Avec plus d'ardeur cette fois. Si deux doigts avaient pu la faire jouir et que je me délectais encore de sa cyprine partout entre ses cuisses et sur mon visage, voyons voir comment elle réagirait face à quatre.

*Elle tellement creusé le sable en bougeant... j'ai l'impression que... nous sommes en train de nous enfouir...

Nous enfouir dans le sable mais également un monde de bonheur et de chaire tendre. Car si sa poitrine moelleuse me manquait déjà ses fesses et ses cuisses avaient tout pour me distraire comme il le fallait. Un peu comme elle, qui pinçait et fessait la chaire tendre de mon cul depuis tout à l'heure, me déclenchant des sursaut de plaisirs et des battements de coeur intenses. Comme promis si elle voulait jouer à ce jeu je pouvais moi aussi être féroce et les doigts ancrés sur son cul, qui ne servaient qu'à prendre appuis, commençaient à se crisper pour tester l'élasticité de son derrière. Je le lui griffais légèrement comme une féline en chaleur, j'y enfonçait mes doigts avec une telle envie que mes dents firent de même. Oui, telle une tigresse je m'arrêtais occasionnellement de sucer son bonbon juteux pour mordiller l'intérieur de ses cuisses, cette chaire moelleuse et tendre qui se retrouvaient bientôt avec quelques marques de dents montrant clairement que je ne pouvais plus me canaliser. Je n'allais bien sure pas jusqu'au sang, on pouvait plutôt parler de petties morsures érotiques comme on en ferait à son amante dans le cou.

* Je... je peux plus me contenir... je vais devoir...*

Céder... Je n'en pouvais plus et mordilla encore une fois sa chaire pour essayer de me calmer mais rien n'y fait. Les fessées et surtout l'index qui procurait un plaisir coupable que j'avais du mal à taire eurent raison de moi. Elle avait du le remarquer, mais mon anus était très sensible et surtout très étroit. Rare étaient les amantes qui avaient eu le privilège de s'y introduire, je ne le permettais qu'aux femmes d'exception, qu'à celles envers qui j'éprouvais un grand feeling. Ce ne fut donc pas étonnant de me voir noyer son visage de cyprine, en relâchant la morsure pour crier sans aucune retenue. Au diable cette Melinda ou n'importe qui d'autre, si elles voulaient venir qu'elle vienne, mais je criais à gorge déployée mon plaisir en contractant mes cuisses autours de sa tête, pour être sure qu'elle reste bien en place et qu'elle ne perde aucune goutte de ma cyprine. L'orgasme est puissant et remplit aussi bien l'intérieur de sa bouche que le sommet de son petit nez. C'est une véritable vague que je décharge, que j'essaye de canaliser en crispant mes deux index loin dans ses fesses. Ca ne suffit pas, alors je tiens enfin ma promesse et y introduit aussi les majeurs pour élargir son cul de quatre doigts en même temps. Je n'y vais pas de mains morte, prise d'une grande frénésie jusqu'à ce que la jouissance retombe enfin en même temps que me cuisses ne se desserrent...
Quant aux doigts, ils restent eux bien à leurs places au chaud dans son fondement pendant que mon visage s'écrase entre ses cuisses en expirant fort et chaudement. Seuls quelques petits mouvement du bout du nez pour caresser son clitoris humide prouvent que je suis encore bel et bien consciente.

Je sais pourtant que je ne peux pas me reposer sur mes lauriers, nos cris et surtout les miens, vont bientôt trahir notre présence. Il faudra être prête à aller nous cacher s'il le faut.
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Shiro Ishimi le jeudi 01 novembre 2018, 16:56:51
En faisant cette sortie à la plage aujourd'hui, Shiro ne s'attendait sûrement pas à tomber sur une amante aussi passionnée que Lyli. La sirène vient juste de la faire jouir, et pourtant elle a l'impression d'avoir encore plus envie d'elle. La chaleur dans ses cuisses ne cesse de grimper tandis que sa partenaire lui fait de plus en plus de choses, comme rentrer plus de doigts dans son cul, lui palper les fesses pour en tester la fermeté et l'élasticité, et même lui mordiller l'intérieur des cuisses entre deux léchouilles sur son bonbon de plaisir bien gonflé.

Oh Lyli, quelle amante incroyable tu es !

Peut-être même était-elle meilleure que Mélinda. En tout cas, Shiro se voit bien dans un plan à trois avec ces deux femmes, prise en sandwich entre leurs corps tandis qu'elles lui font des choses inqualifiables. Mais pour l'instant, elle n'a qu'une amante et elle doit l'honorer. Tandis qu'elle lèche sa fleur intime dégoulinante de cyprine, elle lui rentre un autre doigt dans l'anus, une main toujours sur ses fessées pour lui mettre des claques sur le cul et la faire couiner. Et très vite, elle voit la cyprine de la femme inonder son visage.

Ouah, elle doit vraiment aimer ce que je fais à son anus.

Il est étroit et ses doigts progressent difficilement, c'est sûrement ça qui lui procure tellement de plaisir. Ce plaisir finit par la conduire à l'orgasme, et elle expulse son jus d'amour partout sur la figure de l'infirmière. Cette dernière, le visage coincé entre les cuisses serrées de la sirène, avale goulûment tout le liquide qu'elle peut ramasser avec sa langue, alors qu'elle sent les doigts de son amante s'enfoncer profondément dans son cul. La vague du plaisir noie complètement son amante avant qu'elle ne retombe mollement, inerte, et seuls les petits mouvements de son nez au niveau du clitoris de la femme lui font comprendre qu'elle est toujours consciente.

Dire que j'arrive à fatiguer une sirène. Tessia serait fière de moi si elle était là.

Shiro profite que Lyli soit sonnée pour reprendre son souffle, car même si l'obstruction de ses voies respiratoires par le fessier moelleux de son amante est très excitante, elle a quand même besoin d'oxygène pour rester en vie. De plus, elle va avoir besoin d'énergie car les cris de plaisir du duo ont fini par attirer l'attention de l'une des filles de Mélinda. Cette dernière, après s'être un peu caressée devant le spectacle, est allée prévenir sa maîtresse que l'infirmière s'envoie en l'air sur la plage avec une femme inconnue. Évidemment, en entendant ça, Mélinda se dépêche d'aller voir ce qu'il en est. Difficile de savoir si elle va se fâcher parce qu'il y a une intruse sur sa plage, ou parce que l'infirmière attitrée de son harem s'envoie en l'air sur sa plage sans sa permission.
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Lyli le dimanche 04 novembre 2018, 14:02:44
J'avais presque fini par oublié que nous n'étions pas en sécurité ici, je n'étais plus sur mes gardes et n'avais même pas remarqué la vilaine perverse qui nous espionnait. Si ça avait été le cas, peut-être que je l'aurait elle aussi charmé pour qu'elle nous rejoigne, bien que cela aurait été un peu trop gourmand... Shiro était déjà une amante qui réclamait une endurance à toute épreuve malgré sa mignonne petite bouille d'ange. Pour preuve, j'étais déjà un peu essoufflée, pas que j'en avais eu assez loin de là mais rester hors de l'eau me demandait déjà en temps normal un effort alors dans cette situation, mes ressources s'étaient épuisées plus vite et le besoin vital de retourner à l'eau ne tarderait pas.

Oh Shiro... tu es incroyable... ta présence est comme une drogue...

Sa peau, sa voix, les substances que dégageaient son corps de la moindre petit perle de sueur jusqu'à sa cyprine... tout semblait n'être qu'un merveilleux poison qui m'enivrait. Et plus j'y goutais plus j'en avait envie, qu'importe si j'en franchissait la dose létale... il fallait juste que Shiro ne s'éloigne pas de moi. Elle m'excitait d'ailleurs tant que mon corps commençait à réagir tout seul sans même que je m'en rende compte. Alors que je commençais à laper de longs coups de langues félins son intimité pour en récolter la cyprine, que je suçais ses délicieuses lèvres comme un bonbon acidulé jusqu'à en épuisé la substance... une bosse se forma au dessus de mon sexe féminin. Je ne m'en était pas rendue compte car généralement ma verge de créature hermaphrodite se formait seulement lorsque je le désirais de moi même. Alors qu'elle apparaisse ainsi sans même que je m'en rende compte montrait vraiment à quel point mon corps n'était plus guidé que par le plaisir, et non plus la raison.

Je pense que nos cris... ont du être entendu... Tu penses que c'est dangereux ?

Je posais cette question tout en me délectant de ses liquides , toujours inconsciente que la verge traçait son chemin. Comme je m'étais relevée pour que Shiro puisse respirer correctement, elle put au moins la voir se développer de toute sa longueur bien qu'encore à moitié molle. Sa taille n'était pas aussi monstrueuses que certaines futanari bien que plutôt long et large, il y avait donc largement de quoi faire sans lui procurer une douleur intense... Toujours est-il que je m'en rendais enfin compte lorsque je sentie l'appendice de chaire se frotter contre son visage. Dans un sursaut, sans réfléchir, je bondit sur le côté. Non pas par honte, ni par pudeur, mais plutôt par respect pour mon amante car à vrai dire je ne savais pas encore si j'étais la première futanari qu'elle rencontrait, peut-être était-elle sous le choc.

Dé...désolée Shiro j'étais trop excitée... mon corps a réagit tout seul. Mais si ça te gêne je peux toujours la faire disparaitre...

Elle pouvait en tout cas avoir une belle vue dessus, puisque j'étais assise sur le sable, les deux cuisses écartées en sa direction, expirant et soupirant de fatigue... mais surtout d'excitation.
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Shiro Ishimi le mardi 06 novembre 2018, 18:14:50
Juste après son orgasme, Lyli avoue à Shiro qu'elle la trouve incroyable, que l'avoir près d'elle est comme une drogue. Même essoufflée, elle continue à lui lécher les lèvres intimes et à boire sa cyprine, encore et encore, arrachant moult soupirs et gémissements à son amante. Au milieu de tout ce sexe, elle lui demande quand même si elle pense que leurs cris ont attiré l'attention des autres filles de la plage.

« Peut-être... aaahhh... mais je m'en fiche. Je veux juste... hhhmmm... continuer à te faire l'amour. »

Shiro aussi continue de dévorer les lèvres intimes de la sirène, lapant la moindre goutte de cyprine, lorsqu'elle voit une bosse se former au-dessus de sa féminité. Au fil des secondes, cette bosse devient de plus en plus longue et grosse, laissant deviner une forme que la femme connaît bien.

Un pénis ? Lyli est une futanari ?

Si elle est surprise, c'est aussi le cas de Lyli, qui sursaute dès qu'elle sent sa verge taper contre le visage de son amante. Elle s'excuse d'avoir jaillir sa queue, apparemment elle est si excitée qu'elle n'a pas pu s'en empêcher, et est prête à la faire disparaître si cela la gêne.

« Me gêner ? Mais pourquoi ? J'ai beau être une lesbienne, j'aime aussi quand il y a des verges dans le jeu. A condition bien sûr que cette verge soit attachée sur le corps d'une superbe femme comme toi. »

A genoux devant Lyli, Shiro approche tel une panthère en ondulant du bassin, et vient mettre sa bouche devant le sexe de la sirène, tendu et droit comme un I.

« Ne t'inquiète pas, tu n'es pas la première futa que je rencontre. »

Elle n'est pas non plus la mieux membrée, mais sa verge a de quoi plaire. Chaude comme la braise, l'infirmière vient lécher cette belle queue tendue, faisant couiner son amante de plaisir.

« Hhhmmm... je crois que tu as besoin d'être soulagée. Et pour cela, rien ne vaut une belle fellation. »

Aussitôt dit, la femme vient prendre sa queue entre ses lèvres, la faisant aller et venir dans sa bouche. De temps en temps, elle vient faire taper le gland contre le fond de sa gorge, de quoi rendre la gâterie plus savoureuse pour la sirène, qui ne cesse de gémir en demandant que ça continue. Hélas pour elle, son excitation est si grande qu'elle ne tient pas longtemps avant de tout lâcher dans la bouche de la femme.

« Hhhmmm ! »

Shiro, habituée à se faire remplir, avale presque toute la semence comme une grosse gourmande, sauf la dernière gorgée. Ensuite, elle se redresse et pose une main à l'arrière du crâne de Lyli pour venir l'embrasser. Un baiser fougueux et humide, durant lequel l'infirmière fait partager à son amante le bon goût de son jus crémeux. Quand elles se libèrent les lèvres, Shiro vient tout de suite placer une petite phrase bien coquine avec sa voix magique.

« Si Mélinda nous attrape, tu peux être sûre qu'on se prendra toutes les deux une grosse fessée. Mais moi, ça ne me gênerait pas. Et toi ? »

Et soudain, comme si le ciel avait entendu ses paroles, voilà que Mélinda débarque, posant son regard plein de luxure sur le corps nu de son infirmière et celui de l'intruse.

« Eh bien eh bien, ma chère Shiro. Je tourne le dos cinq minutes, et voilà que tu t'envoies en l'air avec une inconnue ? »

« Mélinda ! Je... je peux tout t'expliquer. »

Et heureusement qu'elle le peut, car face à Mélinda, mieux vaut avoir une bonne explication... ou courir vite.
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Lyli le vendredi 23 novembre 2018, 19:36:30
Wah... ces lèvres qui entouraient ma verge étaient comme un nuage, doux, qui me transportaient dans un autre monde. Mes doigts se crispaient dans le sable chaud et je hoquetais de plaisir à m'en rendre folle... Mon dieu que c'était bon, je ne savais pas encore s'il s'agissait du talent de Shiro ou si nos envoutements communs jouaient des tours, mais j'avais l'impression que cette fellation était le sommet d'un plaisir auquel j'avais rarement accédé. Alors quand elle l'enfonça dans sa gorge, je commençais à me masser la poitrine, le sable filant sous mes doigts ne suffisant plus à me faire supporter cette pression. Mon coeur palpitait de manière irrégulière, mes yeux se révulsaient à moitié en atteignant très vite un orgasme puissant. Je remplissais sa bouche en criant mon bonheur à gorge déployais, je sentais la semence giclée loin en elle et remplir sa gorge qui avalait avec gourmandise le liquide sans reculer. Cela faisait aucun goute qu'elle ne mentait pas en me dévoilant ne pas être sa première futanari.

Ah... ah ah... si... si bon...

J'en avais du mal à trouver mes mots et je me rendais compte que ma poitrine était marqué d'un rouge vif à force de les avoir trop serrés. Quel orgasme, quel choc électrique qu'elle ne laissa même pas retomber en m'embrassant aussitôt. Le gout de ma propre semence en bouche était étrange quand nos langues se liaient mais je voulais bien l'accepter puisqu'il s'agissait de Shiro, impossible d'y voir une quelconque forme d'humiliation.

« Si Mélinda nous attrape, tu peux être sûre qu'on se prendra toutes les deux une grosse fessée. Mais moi, ça ne me gênerait pas. Et toi ? »
« Eh bien eh bien, ma chère Shiro. Je tourne le dos cinq minutes, et voilà que tu t'envoies en l'air avec une inconnue ? »

J'allais bien lui répondre que la fessée de la part d'une inconnue n'était pas trop mon truc, mais l'inconnue en question se présenta d'elle même et me fit sursauter dans les bras de Shiro, qui lui assura pouvoir tout expliquer. Je ne savais pas qui elle était mis j'étais sure d'une chose, cette Mélinda était une menace pour moi si je restais plus longtemps. Je ne m'octroya même pas le luxe de réfléchir plus longtemps, la seule option était la fuite.

Retiens ta respiration, Shiro

Après lui avoir murmurer ce petit avertissement, je lui serra la main et couru toute de suite à l'eau sans me retourner, y sautant et nageant de toute ma vitesse. Et heureusement qu'une sirène était capable de nager très vite ! Une petite voix en moi me murmurait qu'il le fallait mieux. Je ne m'arrêtais plus, je ne me retournais pas, et nul doute que j'aurais continuer encore un moment si Shiro n'étais pas avec moi, me rappelant que je nous éloignais quand même depuis un bon moment... C'est au moment ou ses joues se teintent de rouges et se gonflent comme celles d'un mignon petit rongeur, que je la serre dans mes bras pour crever la surface, libérant ses lèvres closes qui semblaient me quémander pitié, de les laisser respirer.

Désolée Shiro... ça... ça va aller ? Elle avait l'air sir effrayante que je voulais juste aller très loin. Mais elle nous poursuivra pas ici hein ?

L'océan était mon domaine et avec ma vitesse de pointe nous étions quand même sacrément loin maintenant. J'avais même un repaires sous-marins à quelques minutes d'ici, l'une de ces cavités rares aux parois rocheuses luminescentes. J'y avais stocker quelques trésors et babioles humaines, certaines étaient même des jouets sexuel volés des mains de dominatrices, qui avaient fait fausses route en pensant pouvoir me capturer et faire de moi un esclave. Autrement dit, il y avait de quoi s'amuser avec Shiro là bas... Mais nous étions tout aussi bien au milieu de l'océan pour le moment.

De toute façon elle ne pourras pas nous suivre au fond des océans... nous sommes tranquilles ici.

Je l'embrassais en battant des pies pour nous maintenir à la surface, et elle devait bien le sentir à chaque battements, ma verge n'était pas encore rassasiée, bien au contraire l petite gâterie m'avait encore plus excité et le bâton de chaire était toujours bien dressé, bouillant. Impossible d'attendre plus longtemps, je rompu le baiser pour me laisser couler et apparaitre dans son dos.

Je suis certaine que tu ne l'as jamais fait sous l'eau. Tu vas voir c'est délicieux de se laisser porter, de laisser son corps couler lentement sans avoir nulle part ou s'accrocher.... Juste nous, et le silence absolu.

Je coupais mes mots pour embrasser sa nuque, et une fois prêtes, j'enroulais mes jambes autours des siennes, et empoigna un de ses tendre seins pour la capturer dans mon corps. En arrêtant de battre des jambes ainsi, nos corps commençaient à couler sous la surface, lentement, toute les deux allongée le regard vers le haut. Le ciel s'éloignait à fur et à mesure que l'eau nous engloutissait, et durant toute la descente je malaxais sa poitrine d'une main, et la doigtait de l'autre en l'embrassant. De cette position, elle pouvait heureusement tourner la tête pour que nous puissions nous embrasser, ce qui lui éviterais la noyade. C'était donc la position parfaite pour stimuler tout son corps et explorer ses fesses avec ma verge de futanari, puisque les baisers permettaient de partager mon souffle.

C'est si bon Shiro, c'est si chaud...

Je faisais bien sure référence à son derrière dans lequel je donnais des coups de reins de plus en plus large, en la doigtant plus fortement pour augmenter son plaisir das ses deux trous. Ca aurait pu suffire, mais joueuse, je commençais à espacer les bouffées d'oxygènes, bientôt assez pour apporter cette teinte rouge à ses joues qui se gonflaient. Elle était adorable ainsi, elle semblait comme une mignonne petite proie à ma merci, et de plus je savais que le manque d'air apportait des sensations plus forte, une adrénaline puissante au moment de l'orgasme. Rien que de la voir dans cet état et d'imaginer les bienfait qu'elle pouvait éventuellement ressentir dans cette cruelle punition m'excita assez pour perdre à nouveau le contrôle.

Dans une décharge, les jambes tremblantes, j'éjaculais de nouveau en elle en donnant des coups de bassins biens plus larges, l'obligeant à se cambrer sous la première vague de semence chaude...
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Shiro Ishimi le mardi 27 novembre 2018, 20:53:06
En voyant Mélinda, Shiro se met à paniquer. Elle riait bien à s'imaginer ce qui lui arriverait si la vampire lui mettait la main dessus pendant qu'elle baisait avec une autre alors qu'elle était invitée sur sa plage privée. Mais maintenant que la punition va tomber pour de vrai, elle a un peu peur de ce qui va lui arriver. Elle sait que jamais la femme ne lui fera de mal jusqu'à la blesser gravement, mais elle est quand même inquiète du genre de sévices sexuelles qu'elle pourrait imaginer. Heureusement, son amante réagit très vite et l'entraîne avec elle dans la mer en nageant à toute vitesse. L'infirmière se laisse gentiment tirer dans l'eau en retenant sa respiration, et quand ses joues commencent à gonfler à cause du manque d'air, son amante la fait remonter à la surface pour qu'elle puisse respirer.

« Aaahhh... aaahhh... »

Tandis qu'elle reprend son souffle, Shiro écoute Lyli s'excuser de l'avoir entraîné dans la mer aussi vite, lui expliquant qu'elle avait eu peur de Mélinda, et qu'elle avait encore peur qu'elle ne les suive jusqu'ici.

« Ne t'inquiète pas... ah. Mélinda a l'air méchante comme ça mais... ah... elle ne nous aurait jamais fait de mal. Au pire... ah... elle nous aurait juste sodomisé... ah... un peu sèchement. »

Elle ne le sait pas, mais l'infirmière n'avait pas encore vu tout le potentiel pervers de cette femme, et ne se doutait pas de tout ce dont elle était vraiment capable. Heureusement, elles n'ont pas besoin d'y réfléchir maintenant car elles sont bien à l'abri, ici, dans cette cavité rocheuse. Shiro partage un nouveau baiser avec Lyli, puis elle la regarde sombrer dans l'eau pour remonter ensuite dans son dos.

Je suis certaine que tu ne l'as jamais fait sous l'eau. Tu vas voir c'est délicieux de se laisser porter, de laisser son corps couler lentement sans avoir nulle part ou s'accrocher.... Juste nous, et le silence absolu.

« J'ai hâte de découvrir ça. »

A part peut-être pour le silence absolu, elle aurait bien aimé entendre la sirène couiner plus longtemps. Mais dès le premier baiser dans son cou, elle n'y pense plus. La sirène entoure son corps et l'entraîne avec elle au fond de l'eau, laissant le toit de la caverne s'éloigner peu à peu. La jeune femme retient sa respiration et se retient d'ouvrir la bouche pour gémir, ce qui est très difficile vu que la femme lui malaxe la poitrine d'une main et la doigte de l'autre. De temps en temps, son amante l'embrasse pour pouvoir lui remettre de l'air dans les poumons et éviter qu'elle ne se noie. Mais le coup de grâce arrive quand la futa vient planter sa verge entre ses fesses. A ce moment, Shiro se retient de crier pour ne pas se noyer, mais elle se sent à la limite de l'explosion. En plus, Lyli s'amuse à espacer de plus en plus les bouffées d'oxygène, de quoi la stresser encore plus. Son corps est envahi par de multiples décharges d'adrénaline, son instinct de survie lui crie de remonter à la surface pour respirer, mais le plaisir qu'elle ressent est si intense qu'elle n'a pas la force de se libérer de l'étreinte de son amante. Et c'est encore pire quand elle sent la queue de la futa éjaculer dans son fondement, l'obligeant à se cambrer sous l'afflux de semence chaude.

« HHHMMM ! »

A ce moment, Shiro sent le plaisir noyer son corps et elle jouit à son tour. Sa mouille vient se mélanger à l'eau de la mer, et elle se sent partir. Son corps s'enfonce encore plus dans la mer, entraîné par Lyli qui ne lui laisse pas une seconde de répit.

« Hhhmmm... »

Heureusement que la sirène est là pour lui donner son oxygène, sinon elle se serait déjà noyée. Pour l'instant, la seule chose dans laquelle elle se noie, c'est l'envie de continuer à faire l'amour. Le silence de la mer, la douce chaleur des corps nus serrés l'un contre l'autre dans une délicieuse étreinte, le sentiment d'impuissance... Bref, Shiro sait qu'elle ne peut rien faire sans l'accord de Lyli, et cela l'excite terriblement.
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Lyli le jeudi 27 décembre 2018, 14:43:57
Au fond de l'eau et ma bouche servant de réservoir à oxygène, Shiro continuait à ne prendre que du plaisir face à toute situation, même lorsqu'il s'agissait du danger de ce nouveau monde hostile. L'océan pour les créatures terrestres était un véritable piège effrayant, peu d'autres amante pouvaient se vanter d'y avoir fait face sans une appréhension profonde. Même lorsque l'air se raréfie, la belle et envoutante Shiro n'en tire que le bon et le plaisir découlant de cette adrénaline. Alors j'en profite aussi pour jouer sur cet aspect, l'essoufflant à petit feu pendant que ma verge se contracte et se laisse aller au fond de son derrière moelleux. C'est une véritable décharge électrique, ses réserves n'étant pas liées à celles de mon sexe féminin j'avais l'impression qu'il ne s'agissait que de ma première éjaculation. Elle me plongea dans un extase, les deux prunelles à moitié fermés de bonheur pendant que je donnais de grand coups de reins en criant de joie.

Bientôt, une petite bosse chaude alourdissait son ventre sous la vague impressionnante de semence, et nul doute qu'elle aurait été encombrante pour nager à pleine vitesse, surtout après une épreuve si éprouvante. Je caressait son bas ventre chaud un moment comme si ce geste mécanique pouvait être réconfortant, poussée entre l'envie de continuer à abuser de son corps ici même, sous l'eau, tout en sachant qu'au fond elle était totalement consentante. Pourtant, je me rappelais la promesse de cette grotte que je lui avait faite, et d'autres perspectives plus aguichantes montaient alors en moi. Car ce n'était pas n'importe quel caverne sous-marine, il s'agissait là d'un de mes repaires principal. Même mon garde du corps sous-marin résidait non loin de celui-ci pour le protéger en mon absence, dissuadant n'importe quel mauvais visiteur d'y pénétrer grâce à son apparence de kraken, bien que plus petit tout de même.

S'il était posté ici ce n'était pas pour rien, ce repaire principal était comme une sorte de demeure. Déjà car elle était la plus large cavité aquatique que j'avais découverte aux abord de Seikusu, avec sa grande cuve, sa longue berge, et son plafond haut. ( http://a51.idata.over-blog.com/1/48/02/03/NATURE/18-CUEVA-LOS-TRES-OJOS.jpg ) Mais aussi parce que j'y stockait les principaux " trésors " subtilisés aux humains. Il y avait de toute, de l'objet le plus inutile jusqu'au plus sexuel... Etudier leurs objets me permettait de mieux les comprendre mais aussi d'élargir mon stock de possibilités pour punir les vilaines filles ! Et Shiro dans son genre, était une vilaine fille qui, je n'en doutais pas, serait avide de jouer à se faire punir...

Je la serrait donc contre mon corps, lui procurant toujours de l'air dès qu'elle en avait besoin, une main restant agrippée à ses seins élastique. Le mini petit kraken comme à son habitude était là, tapis dans un trou avec seulement son long tentacule épais dépassant comme avertissement. Shiro pu surement le voir, mais aucune attaque ne se déclencha en ma présence et la surface de ce petit coin de paradis fut très vite gagnée.

Respirer librement devait être une aubaine pour elle désormais.

Ici nous sommes tranquille, personne ne viendra nous chercher. Le seul accès est sous marin et il est bien garder.

Une longue berge presque dégagée, arpentée de quelques rochers forment ce paysage aux parois éclairées par les reflets de l'eau. Il s'agissait en réalité de petits cristaux magiques incrustés dans les murs, qui renvoyaient la lumière de la surface et donnaient l'impression d'une magnifique luminosité naturelle. A  droite et à gauche, deux grand coffre en bois. L'un était totalement fermé, l'autre à moitié ouvert. Une robe moulante en dépassait, même pas à ma taille d'ailleurs... mais si elle avait le coup d'oeuil ça pouvait lui en dire long sur le contenu de celui-ci, réservé aux joueut sexuels et tout autres instrument de punition qu'affectionnaient certains humaines, celles qui se donnaient le nom de maitresse. Cordes, bâillons, et tout ce qu'ont peut espérer, ou ne pas espérer... s'y trouve. Le fruit d'une longue collecte guidée par la curiosité d'une sirène envers le monde humain.

Et puis, on a tout ce qu'il faut pour s'amuser ici... Tu peux aller vérifier si tu ne me crois pas... Dis-je en l'embrassant, en désignant le coffre à moitié ouvert, celui fermé renfermant ce qui nous était inutile...

[HRP] Si elle décide d'aller voir, part du principe qu'elle peut y trouver ce que tu veux ^^ [HRP]
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Shiro Ishimi le mardi 08 janvier 2019, 17:58:04
Une belle bosse déforme le ventre de Shiro tandis qu'elle essaie de garder l'esprit clair pour ne pas se noyer. Elle sent Lyli caresser son bas-ventre chaud, mais alors qu'elle s'attend à un nouveau assaut de la futa, voilà qu'elle la guide vers la surface en continuant de lui donner de l'oxygène par ses baisers, toujours avec une main pour malaxer sa poitrine. Sur le chemin, elle voit un long tentacule sortir d'une cavité rocheuse sans se poser plus de questions que ça. Elle a juste envie de continuer à faire l'amour avec la sirène. Cette dernière la guide jusqu'à une grande grotte avec un large espace de plafond, une grande berge et une grande cuve. Dès que la jeune femme brise la surface de l'eau, elle se libère de l'étreinte de son amante pour enfin respirer seule.

« Aaahhh ! Aahh... aahh... »

C'est quand on perd quelque chose qu'on se rend réellement compte de sa valeur, et Shiro le découvre en respirant librement à nouveau. Son instinct de survie la pousse à prendre de grandes inspirations pour remplir à nouveau ses poumons, mais la soudaine oxygénation lui fait un peu tourner la tête. Lyli la maintient pour qu'elle ne coule pas sur place et lui assure que personne ne viendra les chercher ici.

« Tant mieux. Au moins... personne... ne nous interrompra. »

L'infirmière observe la caverne d'un œil hagard, admirant la façon dont la lumière se reflète sur l'eau et les parois. La sirène la conduit sur la berge et lui indique ensuite un coffre en bois entrouvert duquel dépasse une robe moulante. Elle ajoute qu'il y a ici tout ce qu'il faut pour s'amuser, et qu'elle peut aller vérifier d'elle-même pour en être sûre.

« D'accord... je vais voir. »

Shiro est curieuse de ce qu'elle pourrait trouver. Elle commence par prendre la robe qui dépasse et la regarde. Cette robe est trop petite pour être celle de Lyli, et également trop petite pour elle. De toute façon, elle n'a pas particulièrement envie de remettre des vêtements pour le moment. Elle se met ensuite à fouiller dans le coffre, et découvre vite les goûts de la sirène. Ce coffre est rempli d'objets utilisés dans les rapports SM pour que les maîtresses puissent punir les vilaines filles. Et l'infirmière est une très très vilaine fille.

A force de fouiller, elle trouve finalement de quoi faire son bonheur : un plug anal (https://image.noelshack.com/fichiers/2019/02/2/1546966443-20180830175355-28571.jpg) avec un joli cœur et une cravache (https://image.noelshack.com/fichiers/2019/02/2/1546966442-caravache-main-tattini-rouge.jpg) avec une main au bout. Elle ne sait pas pourquoi ces objets l'inspirent, mais elle a envie de voir son amante les utiliser sur elle. Elle les sort donc du coffre et les lui tend.

« Lyli... ma chérie... j'ai envie... que tu utilises ça... sur mes petites fesses. »

Shiro se met ensuite à quatre pattes pour tendre sa croupe à la sirène. Elle espère que cette dernière sera sensible à sa voix d'ange lubrique et à la façon dont elle ondule du cul.
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Lyli le vendredi 01 février 2019, 15:11:43
Le plug anal était un choix qui ne m'étonnait pas tant que ça, la cravache par contre m'arracha un sourire joyeux qui s'étendit lentement le long du visage. Oh alors, elle aimait aussi qu'ont s'occupe d'elle des plus vilaines façons qui soit ? Voila qui attisait encore plus mon appétit, mon désir envers cette délicieuse créatures à la libido dignes d'une succubes, et à la beauté de sirène. Pour montrer la joie qui animait mon corps envers mon amante, je m'accroupis à son niveau pour passer une main sur son ventre très légèrement tendu de semence chaude, le lui caressant pendant que je viens déposer un brève baiser contre ses lèvres.

Tu veux que je sois vilaine avec toi ? Alors je ne devrais pas me limiter à tes petites fesses ma chérie...

Je prends d'abord le plug anal puis l'insère avec gourmandise entre mes lèvres juste devant elle, suçant l'embout jusqu'à le lubrifier de ma salive. D'un pas lent, digne et méthodique d'une dominatrice, j'approche ses fesses et les marques d'abord de mes propres doigts. Le son qu'elles produisent sous ma petite fessée est agréable, et la douce sentence marque sa peau tendre d'un ton rougeatre. Elles sont désormais mienne, pas à sa maitresse effrayante qui habite la surface... juste mienne. Je peux donc désormais m'introduire dans cet espace qui m'appartient et glisser le plug anal avec tout mon amour. Oh, comme j'aurais envie de cette position d'user de ma verge synthétique... de me coincer entre ces jolies fesses chaudes. Mais avec le plug impossible désormais.

Si tu veux être une bonne soumise il manque quelques éléments essentiel cependant.

Avec tout mon amour possible, la cravache longue de son mordant froid, la joue de la belle Shiro, sans fouetter celle-ci. Le but n'est pas de la battre, mais de procurer juste assez de douleur pour lui procurer de l'excitation... Alors loin de moi l'idée de la frapper avec au visage de toute façon. Par contre, je me redirige vers le coffre pour le fouiller et en sortir une jolie boule rouge relié à une sangle, en guise de bâillon. Ainsi qu'un mono-gant en cuir rigide.

Retournant lui caresser le visage, le bâillon trouve délicieusement sa place entre ses lèvres. Elle est vraiment à croquer à quatre pattes ainsi, sa longue chevelure s'étalant et la ball-gag scellant ses paroles en de simples murmures désormais. Ses mains aussi sont jointes devant elle pour qu'elle puisse continuer à se maintenir dans sa posture. L'une contre l'autre dans ce mono-gant qui l'entrave, ses mains ne peuvent même pas subvenir à la tentation de se donner du plaisir toute seule pendant que je m'occupe de ses fesses. Pour être sure qu'elle ne puisse les retirer, je lie les 3 sangles en cuir incrusté dessus, sans trop serrer pour ne pas lui couper la circulation.

Tu es adorable comme ça... j'ai hâte de t'entendre gémir de plaisir à travers ce bâillon...

Puis il vient enfin, le premier coup de cravacher contre ses fesses ! Après avoir sagement tapoter ses cuisses comme un aperçus, le cuir cruel raisonne contre sa peau avec parcimonie. Une fois à droite, une fois à gauche... Mais comme il serait dommage de se limiter qu'à ce côté, je prends plaisir à repasser devant quand l'envie m'en chante, pour faire rebondir sa poitrine sous la cravache, en regardant Shiro dans les yeux. Ils bondissent délicieusement, aussi bien lorsque je ne fais que les frotter du bout que lorsque le coup salvateur qu'elle désire tant s'envole. Ils sont si parfait que je ne me lasserait jamais de cette vision, j'éprouve toujours autant de désir à l'idée de les saisir entre mes mains pour les presser. Mais bon, il ne faudrait pas rendre ses fesses jalouses et je retourne à leur assaut en claquant le cuirs avec un peu plus de force.

Si tu es sages, toi aussi tu pourras jouer avec mon corps Shiro.

Le bout en cuir convoite le contours de son anus qui encercle le plug. Il y tournoie comme un vautour avant de glisser entre ses cuisses pour tapoter et caresser l'antre juteuse de son sexe. Un coup s'abat, les goutes de cyprines volent, et j'en viens à me demander s'il serait possible de la faire jouir de la sorte.

Avec cette idée en tête, j'alterne les coups de cravache entre poitrine, fesses et sexe. Pour ce dernier, je me perd même dans l'amusement de pénétrer ses lèvres intimes avec l'embout de cet instrument, réservées à toutes maitresses qui se respectent.
Titre: Re : La douce chaleur du chant des sirènes [Lyli]
Posté par: Shiro Ishimi le dimanche 03 février 2019, 14:20:37
Alors que Shiro s'attend à sentir les doigts de Lyli sur le derrière qu'elle lui tend, la sirène la surprend en venant caresser son ventre, là où la peau était déformée par l'afflux de semence en elle. Après un baiser, elle lui dit que quitte à être vilaine avec elle, elle ne va pas se limiter à ses petites fesses, toujours avec cette voie envoûtante qui donne envie à l'infirmière de se jeter sur elle. Elle la regarde lécher avec gourmandise le bout du plug anal pour l'humidifier de sa salive, puis elle frémit en la sentant poser ses mains sur son derrière pour commencer à le marquer avec quelques claques.

« Aaahhh ! »

C'est après ces fessées d'échauffement que son amante se décide finalement à lui faire entrer le plug dans l'anus. La tâche n'est pas très difficile, la verge de la futa ayant déjà bien dégagé la voie, mais cela procure quand même quelques frissons à la femme.

« Ooohhh... oui... plus profond... hhhmmm ! »

Une fois le jouet bien en place dans son fondement, Shiro regarde Lyli retourner fouiller dans son coffre à accessoires pour en sortir de quoi renfoncer la posture de soumise de son amante : un bâillon-boule et un mono-gant en cuir. L'infirmière ne pensait pas qu'elle pousserait la soumission jusque là, mais elle est quand même excitée de voir ces objets placées sur son corps. La voilà bâillonnée et dans l'incapacité d'utiliser ses mains, obligée de se pencher en avant et donc de bomber son petit cul pour mieux accueillir les coups de cravache de sa maîtresse.

Quand le premier coup tombe, Shiro sursaute et gémit, mais son bâillon étouffe sa voix. Une fois à droite, une fois à gauche, puis encore à droite... Et tout à coup, la sirène créée la surprise en allant passer l'instrument sur la poitrine de sa soumise. Cette dernière ne peut s'empêcher de remuer ses lourds seins, que ce soit quand le bout en cuir les caresse ou quand les coups tombent. Mais ce n'est rien à côté du plaisir qu'elle ressent quand la futa vient mettre la cravache entre ses cuisses pour mettre des petits coups sur sa vulve gonflée de plaisir. A chaque coup, la cyprine pleut et la femme couine.

« Hhhmmm ! »

Shiro a envie du hurler de tout son souffle pour que Lyli continue à la punir comme elle le fait, pour lui dire qu'elle adore ça, mais elle ne peut que laisser parler son corps. La sirène alterne les assauts entre poitrine, fesses et entrejambe, allant même jusqu'à pénétrer sa soumise avec le bout de son outil. Son corps se noie dans un torrent de plaisir inarrêtable et elle l'accueille avec bonheur. Elle se fait caresser et battre pendant de longues minutes, mais qui lui semblent encore trop courtes quand elle finit par jouir.

« HHHMMM !!! »

La mouille de l'infirmière gicle de son antre et elle s'étale ensuite sur le sol, toute secouée de cet orgasme. Son corps est couvert de marques rouges aux endroits où elle a été punie, mais elle est heureuse d'avoir joui de la sorte. Elle est toujours vulnérable et à la merci de sa nouvelle maîtresse, qui va sûrement se faire plaisir en continuant de se la farcir comme elle le veut.