Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Daily Work [PV]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Daily Work [PV]

5105 20

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 15 mercredi 31 octobre 2018, 12:32:51

Les trois jeunes informaticiens étaient foutrement excités à l'idée de baiser leur boss toute la nuit, dans son propre bureau. C'était quelque chose qu'ils s'étaient volontiers déjà imaginé bien entendu, Hitomi, leur boss, étant très fréquemment le sujet de prédilection pour leurs branlettes quotidiennes. Avant même qu'ils ne parviennent à pirater son ordinateur, et à mettre la main sur toutes ces sessions de masturbation sur du porno zoophile, les jeunes hommes avaient déjà eu l'occasion de prendre quantité de clichés en douce à l'aide de leurs téléphones portables, de son cul ou de ses seins, des clichés sur lesquels ils se branlaient et jutaient volontiers. Autant dire que la baiser, c'était un fantasme depuis la seconde où ils avaient été en entretien d'embauche avec elle. Maintenant elle était là, à genoux, alors qu'ils venaient tous les trois de lui juter généreusement sur le visage, et qu'elle adorait ça au point de récupérer leur sperme avec ses doigts pour ensuite les porter à sa bouche, et avaler ce délicieux nectar de jeunes mâles.
Puis, alors qu'ils la regardaient s'exécuter, Hitomi-san se mit à parler...et à leur lancer un défi, celui de la baiser en continu toute la soirée. Oh ils auraient pu la contredire sur la possibilité pour elle de les virer si ils ne s'exécutaient pas assez bien, mais étais-ce seulement nécessaire ? Que ce soit Rini, Juzo ou Atsuro, tous les trois avaient avalé au préalable une pilule de cette drogue sexuelle très en vogue à Seikusu, qui dopait et boostait de façon phénoménale l'endurance et la libido de ceux qui en consommaient...alors autant dire que la baiser tout le long de la nuit, à eux trois, c'était pour ainsi dire un faux défi. Surtout que la récompense semblait de taille, à savoir l'abandon volontaire d'Hitomi-san à ses désirs de faire d'eux ses amants réguliers. Celà aurait été de toutes façons les cas, vu qu'ils avaient largement de quoi la faire chanter, mais le fait était que leur boss acceptait de devenir leur "pute" de façon volontaire...ça changeait drastiquement la donne, et promettait de les motiver et de les exciter encore d'avantage.

Défi relevé boss...

On va vous baiser comme jamais vous ne l'avez été.

Pendant que Rinji et Atsuro commentaient, Juzo lui se déplaça derrière Hitomi pour la saisir par dessous les épaules, afin de l'aider à se relever, vu les hauts talons qu'elle portait. Une fois debout, la femme se trouva entourée par les trois jeunes hommes qui se pressèrent contre elle et sa tenue en latex. Juzo, qui était dans son dos, fourra volontiers sa queue tendue contre la raie de ses fesses, tout en allant lui mordiller le creux du cou, avec sa respiration lourde, digne de celle d'un buffle en rut. Rinji et Atsura étaient eux face à elle, et avaient droit chacun à l'un de ses seins, qu'ils s'amusèrent à presser au niveau des tétons pour que du lait en sorte, et ne coule entre sa peau et sa tenue très serrée.

On est désolés d'avoir du vous faire chanter comme ça mais...c'est de votre faute aussi, Hitomi-san.

C'est vrai, si vous étiez directement venue nous voir pour nous demander de vous baiser comme une truie, au lieu d'évacuer votre frustration sur nous, on aurait pas eu besoin de tout ça. Mais vous en faites pas, c'est fini maintenant, on va bien se charger d'accomplir le devoir conjugal de votre tanche de mari...

Rini aimait clairement faire référence au mari d'Hitomi, afin de lui rappeler sans cesse qu'elle était en train de le tromper, mais jamais sans quelque peu nuancer la "gravité" de la chose. Lui, tout comme les deux autres, n'en revenaient pas que leur patronne soit toujours vierge du cul, et il fallait vraiment être une "tanche" pour ne pas profiter d'une telle salope avec un tel corps. Eux, en tout cas, ne laisseraient pas filer pareille occasion. Rinji glissa alors l'une de ses mains jusqu'à l'entrejambe de sa patronne, et après avoir un peu tatoné, trouva ce qu'il cherchait. Ce harnais en latex était diablement sexy, mais collait tellement à la peau d'Hitomi que l'écarter était presque impossible, hors il allait bien falloir un chemin d'accès à leurs bites assoiffées pour se glisser dans la chatte et le cul de leur patronne. Fort heureusement, ceux qui avaient designé cette lingerie avaient aussi pensé à cet aspect là, en incorporant une petite fermeture éclair à l'entrecuisse, que Rinji ouvrit délicatement, libérant ainsi un accès vers l'intimité déjà trempée de leur boss.

Putain, elle est déjà toute trempée.

Ouais je vois ça, vous avez du attendre un moment que de vrais hommes, avec de vraies bites, s'occupent enfin de vous hein ?

Ils étaient volontiers injurieux, ce qui les excitait là aussi. Juzo se décolla alors du dos d'Hitomi, et de ses fesses, contre lesquelles il avait allègrement frotté sa bite en laissant des traces de liquide séminal dessus. Rinji en profita alors pour prendre Hitomi par les hanches, et la soulever pour la porter jusqu'à son bureau, sur lequel il la posa. Des trois, Rinji était plus ou moins le "chef", il avait toujours été le meneur de leur petite bande, et c'était en plus lui qui les avait poussé à oser aller jusqu'au chantage en organisant le tout, il était donc plutôt normal que ce soit lui qui aie le droit à la part du lion. Après avoir posée Hitomi sur le rebord du bureau, Rinji lui écarta les jambes sans ménagement, tout en la poussant pour qu'elle soit allongée sur le bureau.

Et on oublie pas les gars, de se retirer avant de jouir, faudrait pas qu'elle tombe à nouveau enceinte hein ? Comment elle pourrait expliquer ça à son mari alors qu'ils ne couchent plus ensemble ?

Les deux comparses rigolèrent, tout en grimpant sur le bureau, se positionnant à la gauche et à la droite d'Hitomi...qui allait vite se rendre compte que ses amants n'avaient nullement l'intention d'utiliser des préservatifs. Rinji tua d'ailleurs tout risque de protestation dans l'oeuf en s'enfonçant vivement, d'un coup, dans l'intimité chaude de sa patronne, qu'il commença à ramoner avec de furieux coups de rein? Quand à Juzo et Atsuro, il s'agenouillèrent à proximité de la tête d'Hitomi, en lui présentant leurs dexu grosses bites bien juteuses, bien dures, qui n'attendaient qu'une seule chose, qu'elle s'occupe d'elles. Qu'elle les branle, qu'elle les embrasse, qu'elle les suce...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 16 mercredi 31 octobre 2018, 19:36:35

Hitomi avait eu tout l’après-midi pour réfléchir, pour peser le pour et le contre de la situation. Elle était mariée, elle avait une bonne situation professionnelle, et, même si ses salariés la menaçaient, il ne devrait pas être trop difficile de contester leur preuve. Après tout, des informaticiens savaient faire des montages, non ? Sans compter que leurs preuves seraient irrecevables, et qu’Hitomi disposait de recours contre eux pour obtenir la suppression de leurs vidéos. Pour autant, c’était une autre idée qui s’était, peu à peu, insinuée en elle. Une idée qui avait fait son chemin au cours de la journée, et qui était liée à sa frustration sexuelle... Une frustration latente, qui l’amenait à travailler d’arrache-pied au boulot, afin d’oublier le vide affectif et sexuel de son couple avec Takeshi. Et là, voilà qu’elle avait sous le nez trois beaux garçons, trois pervers, qui n’avaient envie que d’une seule chose : s’envoyer en l’air avec elle. Un fantasme latent qui rappelait à Hitomi les fois où, seule dans son bureau, elle avait fait du dating sur Internet, recherchant des garçons pour des passes passagères. La prostitution était après tout réservée aux deux sexes, et il y avait bien plus de femmes demanderesses de gigolos qu’on ne pouvait le penser.

La jeune femme avait donc fini par franchir le pas, par s’offrir à eux sans défense. Il n’y avait plus personne dans la société à part le quatuor, et la porte était verrouillée derrière eux. Hitomi ne put que soupirer en les sentant s’approcher, leurs queues en érection se dressant autour d’elle.

« Oh, les garçons... » ne put-elle que gémir.

Ils étaient... Ils étaient si excités, si désireux, si... Si fiévreux ! Comment ne pas succomber devant eux ? La jeune femme frémissait en sentant leurs queues caresser son corps, rougissant benoîtement. Son émoi s’accrut encore quand ils lui rappelèrent ses devoirs conjugaux, Rinji rappelant que son mari était une « tanche ». Hitomi secoua la tête en se mordillant les lèvres, sentant néanmoins toute sa force et tout son caractère s’envoler, au fur et à mesure que son corps devenait fébrile, et qu’elle commençait doucement à succomber.

« Non, Takeshi-san est bon, c’est juste... Qu’il n’est pas un pervers comme vous ! »

C’est encore quelque chose dont elle essayait de se convaincre, mais les autres n’en avaient cure. Découvrant les fermetures Éclair de cette combinaison, ils mirent ses orifices à nu, faisant encore rougir la jeune femme, qui se retrouva ensuite contre le bureau. Transformée en une véritable poupée de chiffon, elle se retrouva assise sur son bureau, ses dossiers écartés sans ménagement, tandis que Rinji se campa devant elle. Dans un réflexe inutile et incompréhensible, Hitomi serra les cuisses, que le jeune homme écarta sans ménagement, et frotta sa belle queue contre son sexe. Elle observait ce membre en rougissant, ainsi que les deux comparses de Rinji, Atsuro et Juzo, qui se tenaient agenouillés sur le bureau, à droite et à gauche d’elle.

La jeune femme déglutit encore, et se retourna vers Rinji, en tremblotant des lèvres. Elle avait beau mouiller, elle n’était vraiment pas sûre de vouloir franchir le pas, et, à la réflexion...

« R-Rinjin, non, je... J’ai bien réfléchi, et je... »

Mais elle n’eut pas le temps d’achever ce qu’elle essayait de lui dire, car l’homme la pénétra d’un coup sec, coupant le souffle de la jeune femme. Elle se tut brusquement, et soupira ensuite, en sentant ce membre se planter en elle. Un coup sec, et la moitié de la grosse verge de Rinji avait disparu en elle, témoignant de la lubricité de la jeune femme.

« Oh, Ri-Rinji, haaaa... »

Ses mains se posèrent sur les sexes tendus de ses deux comparses, et elle commença à les masturber, tremblant doucement sur place, et se tortilla, en commençant à sentir le plaisir affluer fortement en elle...

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 17 jeudi 01 novembre 2018, 11:10:11

Elle essayait encore un peu de se rebiffer, ce qui à ce stade était parfaitement inutile. Non seulement Hitomi ne convaincrait personne, mais il était aussi beaucoup trop tard pour que les trois jeunes hommes puissent s'arrêter. La drogue qui coulait dans leurs veines faisait d'eux de vrais animaux, alors certes ils arrivaient encore à se contrôler, mais il était hors de question pour eux de se rhabiller et de repartir. Ils allaient baiser leur patronne, et cette dernière n'avait tout simplement plus son mot à dire. Rinji coupa d'ailleurs court très vite à ses débuts de protestation en s'enfonçant d'un coup sec dans sa belle chatte trempée, qui était un vrai délice.

Haaaaa ouais...oh merde cette chatte !

Il n'écoutait même pas, enfin si, il avait bien entendu les protestations d'Hitomi, mais n'en avait absolument rien à foutre. Quand à ses deux compères, Juzo et Atsuro, ils étaient agenouillés à la gauche et à la droite d'Hitomi, sur le bureau, en lui présentant leurs queues tendues...qu'elle ne tarda ensuite pas à aller branler à l'aide de ses mains.

Arrêtez donc de faire genre, Hitomi-san...hmmm...vous ne trompez plus personne.

Ouais, le coup de la sainte nitouche, ça marchait avant que vous n'enfiliez cette tenue, même les putes de la Toussaint ne portent pas des trucs pareils !

Il devenaient plus nerveux, plus impatients, et ne prenaient donc plus "non" comme une réponse acceptable. Rinji de son côté en arriva rapidement à enfoncer sa grosse queue dans le vagin de sa patronne, donnant de furieux coups de reins. Oh putain ce que c'était bon ! Son sexe coulissait tout seul contre les parois internes de cette chatte qui l'acceuillait visiblement avec grand plaisir, et il usa alors de ses mains pour lever les jambes de sa patronne, afin qu'il les fasse reposer chacune sur ses épaules, tout en posant ensuite ses mains sur les hanches d'Hitomi par après, pour la maintenir en place. Du latex, elle avait foutu des collants en latex cette grosse salope ! Rinji n'était toutefois plus vraiment en état de pouvoir faire ses habituels commentaires salaces, il suait et soufflait comme un boeuf, alors qu'il bourrinait la chatte de sa grosse pute de patronne. Atsuro et Juzo en revanche étaient plus aptes à le faire, surtout en constatant que leur camarade se perdait allègrement sans ce vagin...et qu'Hitomi semblait un peu les oublier.
Atsuro glissa alors l'une de ses mains dans les cheveux de la femme, qu'il empoigna alors fermement, pour amener son visage contre sa bite. Hitomi se trouva avec le nez fourré contre les testicules poilues du jeune homme.

Vous croyez peut-être qu'on va se contenter juste de ça ?

Alors que vous êtes la plus grosse salope qu'on aie vus de notre vie ? Oh non...

Allez espèce de sale truie, grosse pute, je le sais que ma queue est plus grosse que celle de ton mari. Arrête de te voiler la face, et suce moi, suce moi maintenant, allez !

Et tandis qu'Atsuro tirait sur les cheveux d'Hitomi, signe qu'il n'hésiterait pas à la forcer si nécessaire, Juzo lui en profitait pour glisser l'une de ses mains sur les seins volumineux de la femme, qui étaient très serrés dans ce harnais en cuir, et prenait un malin plaisir à les presser de sorte à continuer à faire couler le lait sous sa combinaison. Quand à Rinji, le jeune homme continuait à sérieusement lui bourrer la chatte, provoquant d'intenses bruits spongieux...allait-il seulement être capable de se rappeler qu'il ne portait pas de capote ?

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 18 jeudi 01 novembre 2018, 12:17:25

Jamais son mari n’avait été aussi énergique que ces trois-là. Takeshi ne l’avait jamais bourré avec autant d’emphase, si ce n’est lors de leur lune de miel. Leur relation n’avait hélas jamais particulièrement pu fleurir. Difficile d’en expliquer les raisons, mais c’était comme ça. Leur mariage était depuis lors bancal, purement virtuel, mais il n’y avait plus cette passion, cette sauvagerie masculine… Cette virilité qui se manifestait à travers les coups de reins de Rinji. Et la manière dont ils l’insultaient… Encore et encore ! La jeune femme rougissait de nouveau, tremblant sur place, avant de sentir Rinji la prendre encore, crispant ses mains sur ses collants. Ses mains se serrèrent sur les queues des deux autres hommes. Non seulement ils ne portaient pas de préservatifs (ce qui ne manquait pas de l’émoustiller, même si elle ne le disait pas), mais ils étaient… Si assoiffés, si impatients ! Las, vu l’intensité des coups de reins de Rinji, Hitomi avait bien du mal à réfléchir calmement. Chaque coup de reins de l’homme balayait les doutes dans son esprit, comme des vagues chassant les nuages.

« Haaaa… Hmmmm… !! »

Tout le problème était que, pendant ce temps, la jeune femme ne s’occupait pas des queues tendues d’Atsuro et de Juzo, ce qui n’échappa pas à Atsuro. Tout en l’insultant, l’homme fit tourner le visage de sa patronne, afin que ses lèvres se trouvent devant son sexe. Celle-ci se mit à frémir sur place, tremblant nerveusement, et entrouvrit les lèvres… Puis posa sa main sur la base du sexe de l’homme, et l’enfourna dans sa bouche, masturbant plus vigoureusement avec l’autre la queue de Juzo. Il avait aussi fallu attendre que la belle Hitomi s’habitue à cette situation, à ces trois hommes pervers qui tournoyaient autour d’elle… Et à leurs jurons continus.

N’arrivant plus à parler, Hitomi avança naturellement sa bouche, presque instinctivement, et pompa donc le dard d’Atsuro. Elle rougit encore, frissonnant de part en part. La fellation était une chose qu’elle pratiquait avec Takeshi. Le sexe oral était une pratique que Takeshi appréciait beaucoup, et il était très fréquent qu’Hitomi le suce, généralement au moment de se lever. C’était devenu presque une sorte de rituel, mais, là, ce soir, avec Atsuro, elle sentait chez lui une impatience, une fébrilité, un désir, qu’elle n’avait pas ressenti chez son époux depuis… Bien trop longtemps.

*Sa bite est si dure, si grosse, si tendue… Et c’est à cause de moi…*

Au-delà de tout le reste, des considérations morales et professionnelles, elle ne pouvait que constater combien elle était devenue, à leurs yeux, un objet de désir. Et cette réalité ne manquait pas de l’exciter, de la faire trembler sur place. Elle pompa donc longuement la queue d’Atsuro, et, trouvant peu à peu une nouvelle fidélité, retira sa bouche, et vint prendre celle de Juzo en elle, sentant l’impatience de l’autre homme. Rinji, de son côté, continuait à la bourrer sévèrement, et les jambes d’Hitomi s’étaient crispées autour de lui, serrant fortement, tandis qu’il continuait à la baiser.

« Hmmm-hmmmm… »

Sa salive venait abondamment recouvrir le sexe de ses partenaires. Elle aspirait l’air, creusant ses joues en les suçant, s’amusant également à les titiller avec sa langue, à les lécher et à les pomper longuement. C’était bon, c’était si bon ! Oh oui, comme elle pouvait aimer ça ! Se faire fourrer, sentir ces hommes libidineux la baiser furieusement, sans relâche, l’emporter dans une tornade fiévreuse de sexe et de stupre… Encore, encore ! Voilà tout ce qu’elle avait envie de leur demander…

Encore !

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 19 mercredi 16 janvier 2019, 12:50:33

Quelle grosse pute ! Quelle salope ! Jamais, avant de tomber sur ses vidéos, les trois hommes ne se seraient attendus à ce que leur patronne soit une telle soiffarde de bites. Elle était si sérieuse durant les heures de boulot, et même frigide, qu'ils la pensaient ainsi. Oh bien sûr, ça ne les avait pas empêchés de longuement fantasmer sur le corps de rêve d'Hitomi, mais jamais ils ne se seraient attendus à avoir une occasion en or comme celle là. Même maintenant, les trois jeunes hommes continuaient d'être surpris, agréablement surpris, par la façon dont leur patronne répondait à leurs avances. Rinji la bourrait bien fort, et elle répondait en mouillant volontiers le long de sa queue qui lui perforait la chatte, qui ne devait pas avoir du sentir de bite depuis un long moment. Juzo et Atsuro quand à eux n'étaient pas en reste, fort heureusement, car elle les suçait et les branlait avec...une certaine expertise.

Ooooooh ouaiiiis...oh merde H-Hitomi-san...

Atsuro, qui avait été le premier à réclamer une fellation, se tendait et se crispait de plaisir alors que sa boss lui suçait la queue...divinement bien ! Bordel de merde, pour une femme qui n'avait pas baisé depuis des mois au bas mot, il s'était attendu à quelque chose de bien plus approximatif, mais le fait était qu'Hitomi-san était une vraie pro ! Le jeune homme posa une main fébrile à l'arrière du crâne de la femme, qu'il crispa dans ses cheveux pour l'encourager à continuer, et à s'enfoncer plus profondément le long de sa bite dure. Il la retira toutefois lorsque Hitomi-san se retira pour tourner la tête, et aller sucer Juzo, qui lui aussi avait droit, et même sacrément besoin, de sentir les lèvres de sa patronne sur son sexe. En toute discretion, pendant que sa patronne ne le regardait pas, Juzo s'était d'ailleurs saisi de son téléphone portable pour commencer à filmer la scène. Hitomi-san, dans une tenue très provocatrice, qui suçait des queues tout en se faisant baiser, et surtout, surtout, qui prenait un pied d'enfer à se faire baiser par trois jeunes hommes en même temps. C'était autant pour le plaisir personnel d'immortaliser ce moment, que pour ajouter encore d'avantage de preuves à leur database concernant Hitomi qui, si elle devait changer d'avis et porter plainte, aurait à s'expliquer là dessus en prime avec son mari.
Mais pour le moment, c'était surtout pour le pur plaisir de filmer cette cochonne lui sucer la queue.

Wow...Ah...merde vous...vous sucez tellement bien Hitomi-san !

Et encore...hmmmmf...attends de goûter à sa chatte !

Car Rinji de son côté continuait à la bourrer avec grand plaisir, il sentait sa queue tremper dans cette chatte étroite, mais très humidifiée, et devait se retenir pour ne pas jouir trop rapidement. Non pas que ça l'aurait handicapé, lui comme ses deux compères avaient pris assez de dopant pour tenir toute la nuit même à ce rythme, mais il savait qu'en ayant un orgasme il serait alors de bon ton de céder sa place, hors il aimait beaucoup trop le fait de faire couiner de plaisir sa boss en la pilonnant, dans une pure relation adultère.

Oh ouais...votre mari...il en a de la chance...

Tu parles ! C'est un con pour laisser une telle salope dans son genre frustrée !

Ouais...le d-devoir conjugal hein ? Mais vous en faites pas patronne...on va largement compenser la petite bite de votre tanche d'époux...

Ils prenaient clairement un malin plaisir à régulièrement rappeler à Hitomi le fait qu'elle était, bel et bien, en train de tromper son mari, et qu'elle prenait son pied à le faire. Si les trois lui avaient initialement forcé la main, c'était elle qui s'était habillée comme une pute en les invitant dans son bureau, elle qui les suçait comme si sa vie en dépendait. Ce manège continua encore de longues minutes, mais à force, les trois jeunes hommesn commençaient à sentir la sauce remonter.

P-putain...je vais bientôt jouir !

Moi aussi ! Attends un peu...qu'on l'inonde de foutre...

Juzo souria à cette idée, et prit sur lui de se retenir encore un peu le temps qu'Atsuro et lui se...synchronisent. Rapidement, la tension monta, et Juzo posa alors sa main sur la tête d'Hitomi pour qu'elle se retire et arrête de la sucer. Les deux rapprochèrent alors leurs bites de sa bouche, et se branlèrent frénétiquement.

Ou-ouvrez la bouche boss, ça vient !

O-ouaiiis...Aaaaaaaaah !!!

Atsuro et Juzo vinrent presque en même temps, et avaient orienté leurs sexes de façon à cracher leur sperme droit dans la bouche grande ouverte d'Hitomi, en plein sur sa langue. Ils jouirent généreusement, remplissant cette bouche d'une bonne grosse couche de sperme, leur foutre respectif se mélangeant dans la bouche d'Hitomi, ce qui serait sans nul doute une vraie explosion de saveurs pour elle. Rinji avait spécialement ralenti le rythme de ses coups de rein pendant qu'Atsuro et Juzo se soulageait, et que ce dernier continuait à filmer leurs exploits pour la postérité...mais lui aussi allait bientôt cracher la sauce, et il se posait intérieurement une sérieuse question.
Allait-il prendre le risque, ou pas, de jouir dans la chatte d'Hitomi-san ? Il ne portait pas de préservatif, et il n'était pas sûr que sa patronne utilise un quelconque moyen de contraception, il y avait donc le risque qu'elle tombe enceinte. Pourtant, ils étaient venus avec un stock de capotes spécialement pour ça, mais Rinji ne supportait pas d'en porter, et préférait l'expérience au naturel. La raison voulait qu'il se retire, car vu qu'Hitomi ne baisait plus avec son mari, si elle tombait enceinte, ce con ne le serait pas suffisamment pour penser qu'il serait le père. Mais c'était pour cette même raison que Rinji était très tenté de quand même jouir dans sa chatte, de s'enfoncer bien profondément en elle pour lui donner ce petit cadeau, ce qui était d'ailleurs de plus en plus tentant à mesure qu'il sentait le sperme monter, prêt à être relâché.
Mais, au dernier moment, il parvint toutefois à se retirer. Immédiatement après, il posa sa main sur son sexe pour se branler, tout en collant son gland contre le corset en latex de sa patronne. Dans de longs soupirs, le jeune homme laissa filet de longues traînées de sperme sur cette lingerie sexy, qu'il tâcha avec ces marques blanches qui ressortaient d'autant plus que le corset était d'un noir profond.

Les trois hommes se laissèrent une pause de quelques secondes, alors que néanmoins, leurs queues étaient toujours bien dures, il laissèrent notamment à Hitomi le soin de bien avaler, gorgées par gorgées, tout le sperme qu'elle avait dans la bouche.

Allez, à la suite maintenant.

Atsuro et Juzo descendirent du bureau, tout en prenant Hitomi par les bras...et entreprirent de lui retirer son corset. Il était certes beau, mais il allait très rapidement les gêner. Ils tirèrent donc sur la fermeture éclair, sans laisser la moindre once de choix à Hitomi, qui se retrouva donc rapidement presque nue, puisqu'elle ne portait plus que ses collants, qu'ils lui laissèrent toutefois volontiers.

Ouais voilà, c'est mieux comme ça, avec vos gros lolos à l'air.

Je confirme, et maintenant Hitomi-san, on va faire ce que votre époux n'a jamais eu les couilles de faire, on va vous prendre par le cul.

Vu qu'on a qu'un stock limité de capotes, et qu'on est trois...va falloir mettre ce trou à contribution aussi, même si vous êtes encore vierge par là hein ? Mais c'est pas un problème, vu comment vous vous comportez comme une grosse pute, vous allez que pouvoir aimer ça.

Rinji faisait évidemment référence à cette fois, quelques heures auparavant, où il avait foutu un doigt dans le cul de sa patronne, et où cette dernière avait failli jouir sur place tellement elle avait aimée.

Allez, foutez vous à quatre pattes comme une chienne, et suppliez nous de vous prendre par le cul. Si vous êtes assez convaincante, peut-être qu'on vous foutra de la vaseline avant de vous enculer...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Daily Work [PV]

Réponse 20 mercredi 16 janvier 2019, 13:53:03

Hitomi était submergée, transcendée par l’appétit bestial et insatiable de ses trois amants. Dire que, auparavant, elle ne voyait en eux que de simples employés un peu lourdingues. Des informaticiens qui passaient leur temps à faire des blagues crapuleuses, obéissants quand elle leur donnait des ordres, mais souvent prompts à la paresse. Elle n’aurait jamais imaginé qu’ils puissent à ce point fantasmer sur elle, ni qu’elle pourrait se trouver là, sur son grand bureau, à sentir l’un des trois la pilonner dans la chatte, faisant crisser son corset, tandis que, devant elle, Juzo et Atsuro étaient masturbés régulièrement par elle. Oh, comme elle adorait ça ! Sentir leurs grosses queues, leurs virilités assoiffées, tandis que, dans son dos, Rinji y allait franchement. De solides coups de reins qui faisaient virevolter ses cheveux, l’amenant à gémir, à soupirer. Oui, oui, son corps avait eu tant envie de ça ! Pour le reste, même malgré sa frustration, le sexe était quelque chose d’inné. C’était comme le vélo, ça ne s’oubliait pas, et Hitomi avait des talents indéniables en la matière.

« Hmmm... !! »

La jeune femme continuait à soupirer, sentant les queues libidineuses de ces trois jeunes hommes. Ils étaient trop vieux pour pouvoir un jour être considérés comme ses enfants, mais elle aimait l’idée que des individus plus jeunes qu’elle fantasment à ce point sur son corps. Elle mouillait frénétiquement, et, quand elle prit vaguement conscience qu’ils la filmaient, elle n’en fut que plus excitée encore, enchaînant les coups de succion, les gorges profondes, enfonçant le vit de l’un jusqu’à taper contre sa gorge, faisant de même avec l’autre. Elle y allait donc, ne sentant pas les minutes passer, perdant à chaque instant sa décence et sa retenue, jusqu’à avoir un orgasme. Elle les sentit également jouir, et, quand ils présentèrent leurs queues devant son visage, Hitomi, les joues rouges, ouvrit bien grand la bouche en tirant la langue.

Elle sentit ainsi le foutre sur elle, et s’attendait à ce que Rinji jouisse en elle... Mais, au dernier instant, l’homme la frustra un peu en se retirant, et éjacula hors d’elle, éclaboussant ses fesses, son corset, le foutre remontant jusqu’à ses épaules, atteignant sa peau, et même certaines mèches de cheveux.

« Ooohh... »

Ils venaient tous les trois de jouir à cause d’elle... Et, comme elle, avaient envie de continuer encore. Ils avaient noté la faiblesse de la femme, tout en lui rappelant régulièrement Takeshi, son mari... Hitomi avait honte, honte de le tromper, mais surtout aussi honte d’apprécier autant cela, et d’avoir envie de continuer. Son corps avait de tels besoins, de telles demandes... Elle se maudissait de ressentir cela, mais ne pouvait faire autrement. C’était une force en elle, quelque chose qui la dépassait, et qui l’amena à trembler d’excitation quand ils annoncèrent qu’ils allaient passer à la suite.

Elle hocha la tête, et ne protesta que faiblement, presque pour la forme, quand ils défirent son corset. Se retrouvant nue, Hitomi exposait son corps aux formes généreuses, et esquissa un léger sourire, les joues rougies par le désir.

« Vous êtes vraiment incorrigibles, vous trois... Mais c’est moi votre patronne » leur rappela-t-elle.

Elle fléchit ensuite les genoux, et s’avança en avant, avant de se mettre à quatre pattes, et tourna la tête vers eux.

« Si je vois l’un d’entre vous enfiler une capote, je le vire ! Je veux sentir vos grosses queues en moi, bien naturelles. Et je veux... »

Hitomi reprit lentement son souffle, consciente que, avec ces trois amants, la nuit promettait d’être longue, longue et ardente. Elle enchaîna donc :

« Je veux que vous me défonciez le cul... Baisez-moi bien fort, comme tu l’as fait tout à l’heure, Rinji-chan... Mais jouissez en moi. Je veux sentir votre semence dans mon corps... Enfin, vous pouvez aussi jouir sur moi si vous n’arrivez pas à patienter, mais je ne veux pas que vous jouissiez ailleurs. En moi, sur moi... Et vous avez intérêt à me satisfaire au mieux, ou je vous vire tous les trois ! Vous ignorez à quel point j’ai faim, et, puisque vous vous amusez à chaque fois à me rappeler ma frustration avec mon mari, vous avez intérêt à assurer ! »

En soi, elle ne les suppliait pas vraiment... Mais Hitomi restait tout de même leur patronne, et, même si elle était perturbée par ce qu’elle ressentait en ce moment, le naturel finissait toujours par revenir.


Répondre
Tags :