Je voulais jouer à la femelle tentatrice, mais en même temps le laisser dominer. Deux envies assez peu complémentaires, et pourtant... J'arrivais à lui donner envie de moi, même si je n'étais pas forcément dominante. J'avais laissé son pantalon devenir lambeaux, mais il avait les moyens de s'en racheter. Et puis, j'avais eu une belle récompense à ça, voyant alors sa verge dépasser de quelques centimètres de son sous-vêtement. Je voulais m'amuser, je le caressais mais en me contentant de son tissu. Je ne le touchais pas peau contre peau, je voulais le faire languir et le rendre dingue de moi. Dès lors que la porte claqua, après que sa bonne l'ait informé qu'elle partait faire les courses, alors il changea de comportement. Il se fit plus hargneux, venant alors dévorer mon sein avec une envie grandissante. Il alternait, tantôt suçant mon téton, tantôt le mordillant, me rendant à chaque fois davantage dépendante de lui. Je savais qu'il en voulait plus, encore et encore. Et c'était aussi mon cas. Malgré le fait que ma main se frottait à son caleçon, le branlant à travers le tissu, je n'avais pas résisté longtemps à venir effleurer son membre qui dépassait. Du bout des doigts, légèrement, lentement. Il était chaud, bouillant, et je n'attendais qu'une chose : le sortir de son cocon de tissu. Je m'abandonnais aux gémissements de plaisir, ne cherchant plus à cacher que ce qu'il me faisait me plaisait. Je mordais ma lèvre, tout en continuant de jouer. J'avais envie qu'il continue, que ce moment si bon ne s'arrête jamais. Et justement, quand je sentis ses doigts bouger de nouveau, cela fut comme si il avait lu dans mon esprit. En effet, depuis tout à l'heure il passait ses doigts sur la surface de mon intimité, mais cela ne me suffisait pas. J'en voulais plus, encore plus, et il me donna ce que je désirais.
Il glissa alors ses doigts en moi. Cela m'arracha un cri de plaisir tellement j'en avais envie, alors qu'il découvrait mon intérieur. Inutile de préciser que j'étais encore pure de toute relation, mais plus pour très longtemps. Il bougeait à l'intérieur de moi, je ne savais pas comment c'était possible qu'il sache d'instinct comment me rendre aussi heureuse. Il gigotait ses doigts pour caresser toute mon antre, comme s'il découvrait quels endroits me faisaient le plus de bien. Et moi, je gémissais comme une folle, tout en glissant lentement ma main sous son tissu pour libérer son épée de chair. Je murmurais alors qu'il était tendu, et que je devrais peut-être l'aider. Et alors il libéra mon sein, venant répondre :
Oui... Je suis plus tendue que Jamais... et j'ai besoin d'un fourreau pour apaiser ma lance...
Ses lèvres vinrent se coller aux miennes, et je lui rendais son baiser en mêlant ma langue à la sienne. Je sentais l'excitation entre nous, comme si on attendait ce moment depuis des années sans se l'avouer. C'était probablement mon cas, même si je ne voulais pas me l'avouer. Mes doigts saisirent alors son membre dur depuis la base, avant de le remonter jusqu'au bout. Et je redescendais, lentement, répétant mon geste avec toujours autant de lenteur. Chacun s'occupait de l'endroit de l'autre, c'était assez bon. OK, c'était même carrément bon. Je vins alors stopper le baiser, sentant bien que j'allais faire quelque chose qui allait fortement lui plaire. Je me redressais sur mes genoux, retirant les doigts couverts de cyprine de Kai. Je laissais mon visage se glisser dans son cou, alors que je commençais lentement à m'empaler sur son membre. C'était un peu douloureux, mais je le fis entrer au plus profond de moi. Dès que je sentis qu'il était au bout, ce qui d'ailleurs m'arracha un cri de bien-être, je murmurais :
Je suis à toi...