Aujourd'hui: je veux de la magie (PV Ghanor Lonefury)

Même aux yeux du Terranide, la vente était bien loin de tout ça. Ce n'était plus une simple question de paiement, plus une simple question de remplir un quelconque contrat, mais simplement ce besoin brutal et pervers de combler ses plus bas instincts. Car cette belle petite femme les réveillait, elle rappelait au mâle ce besoin constant de copuler avec une femelle docile, et dieu qu'Astrid rentrait parfaitement dans cette case. Gémissant de plaisir, Ghanor profite ainsi de l'intimité trempée et étroite de sa partenaire, qui comprime délicieusement sa queue. Il sent chaque parcelle de sa chatte malaxer sa verge énorme, tendue, qui écarte avec violence sa fleur ouverte et gourmande. C'était si bon, bordel ! Sans même qu'il ait à commencer à bouger, voilà que la jeune femme se mettait d'elle même à bouger des hanches. Ainsi, pour le moment, le mâle décida de simplement observer faire sa docile petite salope de la soirée. Se léchant les lèvres avec envie et luxure, son regard bicolore brille de cette perversité sale, exprimant son envie envers elle. De légers gémissements s'échappent, bien que notre jeune ami les retienne, voulant profiter au maximum des plaintes d'envie lâchées par la petite bouche de la belle.

Désireux de reprendre le contrôle de l'acte, le loup s'attaque aux lèvres pulpeuses de la jeune femme. Il l'embrasse avec envie, violence, enfonçant de nouveau sa langue entre ses lèvres pour lui rouler une pelle particulièrement torride. Se délectant du goût sucré de sa bouche, une de ses mains prend en main sa douce croupe dodue pour la malaxer, palper sa chair épaisse, la sentir entre ses doigts. La saisissant ainsi, il s'en sert comme appuis pour entamer de lui même ses propres coups de reins. Violent, pervers, Ghanor fait aller et venir son énorme queue dans l'intimité trempée et offerte de la jeune femme. Il racle littéralement ses parois, le bout de sa queue gorgée de sang venant taper contre son col, tel un bélier tentant d'enfoncer les portes d'une forteresse qui semblait imprenable. Heureusement pour lui, briser les barrières rentrait parfaitement dans ses attributions.

« Bordel... t'es si serrée ma belle... mwh.. C'est un putain de régal... » Grogne-t-il entre ses lèvres, la tête légèrement en arrière.

Son regard se pose alors sur les seins opulents de sa partenaire. Deux gros globes de chairs qui vont de paire avec cette croupe dodue qu'elle déhanche sensuellement sur sa queue. Se léchant les lèvres avec perversion, il vient alors abaisser sa tête pour venir dévorer sa poitrine. Attrapant un mamelon tendu, il commence à le suçoter, à le mordiller, à l'emporter dans une douce danse perverse dont sa langue est le maître, avec envie, perversion, plaisir, tout en l'empalant plus perversement contre sa queue, dans un concert de bruit pervers dont le claquement de leurs corps était la percussion.

Sa langue accueillit  contre elle celle du loup. Dansant sensuellement l'un contre l'autre. Leurs lèvres restant soudées de façon tel que rien ne semblait pouvoir défaire le lien qui les unissaient. Si elle était serrée son membre lui la remplissait totalement et la pénétrait avec difficulté malgré les bruits de sucions causés par les fluides de son plaisir.

Son large membre mitraillait son antre comme une épée s'enfonçant en elle comme si son corps était le fourreau parfaitement adapté à lui. Se tenant à son large torse elle se cambrait pour lui laisser tout le loisir de venir s'abreuver à ses mamelles.

Raaahh oui mon beau.... Ne... ne t'arrête pas.

Le bruit que faisaient leurs basin à chaque rencontres mélangé aux bruits de leurs fluides corporelles rendait la situation encore plus perversement délicieuse. Astrid avait instinctivement accélérée ses mouvements de reins . Chaque fois qu'elle remontait sur la poutre du Terranide menaçant de sortir de l'intérieur de ses cuisses avant d'être ravaler aussi rapidement.
Trop rapidement au goût de la belle, son ventre se contracta sous un déferlement de plaisir déclenchant un puissant gémissement. Lentement, elle plongea son regard embrumé dans les yeux vairons de son amant.

"Tu sais t'y faire ..."

Non repus, son corps toujours stimuler au contact de son partenaire, et avouons le la nuit était encore jeune, Astrid reprit  de violents petits mouvements avec son basin. Elle voulait le rendre fou, elle savait qu'elle y arriverait.  Une lueur traversant son regard et sans crier gare elle  son mât de chaire et allant se planter à genoux devant lui. Sa dextre caressa la peau tendu alors que ses chaudes et humides lèvres allèrent se régaler. Elle l'avala profondément jusqu'à la garde alors que sa langue s'enroula à son vif. Elle leva ses yeux pétillants vers lui, analysant chacune de ses réactions.

Cette baise... Le mâle l'appréciait déjà énormément. Se léchant les lèvres, il se délectait clairement du moment. Gémissant d'envie, de plaisir, il allait et venait dans l'orifice étroit de la jeune femme. Ce n'était qu'une humaine, contrairement à ses autres amantes, elle avait ainsi plus de mal pour accueillir la totalité de son chibre. Conscient de cette différence, de ce fait qu'il était naturellement bien trop gros pour elle, Ghanor prenait son temps pour s'enfoncer, explorer chaque parcelle de sa petite chatte humide qui comprimait si délicieusement sa queue. Grognant, le mâle se délectait de ses seins opulents tout en s'enfonçant, sa main palpant ce cul divin et bien gros, comme il les aimait. Il y mettait même de petites claques, tellement cette croupe lui donnait envie ! C'était trop bon, putain. Il allait la sauter toute la nuit. En faire sa petite chienne, sa soumise, et la briser, mentalement et physiquement. Elle voulait payer cet anneau via son corps ? Bordel, elle allait le sentir passer.

Ces mots, lancés avec perversité, excitèrent de plus belle Ghanor. Dieu, qu'il adorait entendre les voix perturbées par la luxure de ses amantes, qui tentaient vainement d'aligner des phrases correctes, alors que le plaisir se sentait clairement dans leurs timbres de voix !

« Tu es... délicieuse aussi.. mwh.. bordel ! » Arriva-t-il à répondre, le sourire aux lèvres.

Malgré sa race, Astrid encaissait merveilleusement bien l'énorme queue gorgée de sang de son amant. Il sentait chaque parcelle de sa petite chatte comprimer, pomper délicieusement sa bite. C'était si bon, si bon ! Il pouvait le faire des heures durant. Accélérant ses mouvements, la baisant avec une perversité rare, il étira un sourire en la sentant jouir contre lui. Dans un puissant gémissement, le mâle sentit l'étau de chair humide compresser la totalité de sa queue, le comprimer à presque lui en faire mal. Premier orgasme ! Le mâle, lui, pouvait encore tenir, pour son plus grand plaisir. Mais au lieu de continuer de danser sur son membre, cette belle petite perverse préféra se mettre soudainement à genoux pour venir avaler sa queue. Dieu, merde ! Glissant sa main dans ses cheveux, le mâle commença à gémir d'envie, à adorer cette pipe soudaine. Elle savait y faire ! Il sentait l'organe buccal de son amante enrouler son chibre, jouer sur ses veines prêtes à exploser. Une véritable experte !

Cette chienne réveillait ses instincts. Putain, elle allait le rendre fou de plaisir !

« C'est.. putain.. tu suces divinement bien, Astrid ! »

D'un mouvement, il saisit alors sa tête et commença à imposer son propre rythme. Agrippant son crâne de ses doigts épais, il commença alors à baiser sa divine gorge. Enfonçant la totalité de sa queue dans sa bouche, jusqu'à la garde, il commença de violents mouvements de vas et viens, en gémissant d'envie. Il profitait de cette bouche gourmande, Ghanor étant particulièrement excité par ce regard torride qu'elle lui lançait. Cette chienne aimait ça, bordel ! Elle aimait se faire sauter la gueule comme un vulgaire objet ! N'arrivant pas à tenir, il retira soudainement sa queue de sa bouche, pour commencer à se caresser devant sa face. Oui, il allait lui venir dessus. Pour la rabaisser un peu plus, et voir à quel point elle était prête à lui être soumise.

« Ouvre la bouche.. tu veux être recouverte, hein ? Alors vas-y, montre-moi. »

Puis, dans un puissant râle, il eut son premier orgasme. Grommelant de plaisir, il laissa d'épais jets de sperme venir souiller son visage. Les premiers vinrent directement abreuver sa petite bouche gourmande, lui laissant le loisir de boire son jus crémeux, le reste venant la recouvrir, délicieusement. Putain, qu'elle était bandante ainsi ! C'était si chaud, torride. Mais la queue du mâle était toujours tendue à son maximum, et son regard vint même loucher sur ses gros seins... Il avait envie de voir ce qu'elle savait faire avec.

Depuis qu'Astrid avait découvert le sexe, elle ne vivait pratiquement que pour cela. Se donnant à chaque personne ayant un certain intérêt à ses yeux. Refusant le refus,  elle avait apprit à jouer de ses atouts, apprenant le jeu de la séduction, les caresses et les regards qui vous rendent fou. Elle refusait l'amour, mais ne refusait jamais de se donner et dès qu'elle sentait monter en elle l'envie de la luxure rien ne pouvait l'en empêcher. Sans raison, du moins croyait-elle, la brune avait eu envie de lui. Leurs jeux au café, ce qu'il dégageait, son attitude sur de lui... Bref, il avait réveiller ses hormones responsable du désir sexuel.

Elle prenait plaisir à le regarder lorsqu'elle avala son long et large pieux entre ses lèvres charnues. Voir le plaisir sur son visage, le voir perdre pied se laissant totalement aller au plus profond de sa gorge, lorsqu'il poussa violemment sa tête sur son membre.

Lorsqu'elle senti qu'il lâchait prise, elle redressa vivement sa tête, elle accepta l'invitation à boire son chaud liquide, la langue et la bouche offerte. Elle soupira de satisfaction prenant plaisir de sentir la foutre lui couler sur le menton. Le regard brillant, son corps tremblant, en redemandant.

Un sourire se dessina sur sur lèvres lorsqu'elle vit son regard loucher sur ses mamelles, elle se redressa légèrement, emprisonnant sa verge toujours au garde-à-vous entre elles. Elle se mit à monter et descendre en serrant toujours un peu plus son emprise. 

Tu aimes m'avoir ainsi à tes pieds n'est-ce pas mon beau....

Sa langue s'invitant  dans la partie caressant l’extrémité de son organe reproducteur lorsqu'il s'échappant de sa prison de chaire, avant de se faire emprisonner de nouveau. Elle sentait son propre corps réclamer de nouveau ses mains sur elle, ses caresses. Le laisser l'explorer, faire d'elle ce qu'il souhaitait. Après tout, elle était sienne pour la nuit, elle voulait répondre aux moindres de ses envies.. Même les plus perverses.



Tu veux que nous continuons ici... Ou tu m'invites dans ta couche?

Il devait avouer que pour une humaine, Astrid se débrouillait drôlement bien. C'était très certainement l'une de ses amantes les plus torrides, délicieuses, une femme qui restera comme l'une des humaines les plus perverses ayant partagé sa couche. Cette pipe de véritable experte qu'elle venait de lui offrir réveillait ses plus bas instincts, des envies sales, sans fins, de faire d'elle une femelle comblée. De la traitée comme un simple objet, un trou dans lequel il se videra durant toute la nuit et les suivantes. Voir son visage si pur, souillé par son sperme épais et odorant, rendait la scène bandante à souhait. Caressant ses cheveux sombres, de sa main puissante et touffue, le mâle a un regard perçant, pétillant d'envie et de perversité. C'est ainsi que qu'Astrid pouvait voir et découvrir l'endurance du mal, dont la queue épaisse restait bandée malgré l'orgasme. Chaude, tendue, sa virilité était gorgée de sang à son maximum, ses veines palpitantes, nervurant sa colonne de chair, la faisant vivre, tels des petits cœurs prêts à exploser à chaque instant.

Prête à montrer toute sa perversité, la jeune femme se relève alors doucement pour faire profiter à son amant d'une délicieuse branlette espagnole. Enfermant son glaive de ses seins dodus, elle commence à masturber avec dextérité le sujet de ses attentions. Et bordel, que c'était délicieux à sentir ! Gémissant de nouveau, la respiration irrégulière, Ghanor crispe légèrement ses doigts sur le crâne de la jeune femme.

« Oh que oui... C'est là où est ta place, Astrid.. A mes pieds, t'occupant de ma queue... »

Comme à son habitude, ces mots n'étaient pas totalement pensées, simplement lancés grâce au contexte, au moment, ne faisant qu'exprimer l'immense plaisir qu'il avait. Elle l'excitait tout simplement, le rendant fou, envieux, désireux de profiter de son corps longtemps. Elle y ajouta même sa langue, de quoi lui arracher de nouvelles plaintes de plaisir ! Astrid arriverait presque à le refaire jouir, en continuant ainsi. Mais non... il voulait bien plus remplir ses autres trous.

« Je vais te montrer la chambre... Je pense que tu vas beaucoup y rester après tout. »

Relevant son amante, il l'emmène alors avec envie dans la pièce nommée. Un endroit simple, légèrement en bordel tout en restant propre. Un lit basique, sommaire, trônait fièrement au centre de l'endroit. Sans attendre, sans même fermer la porte, Ghanor emporte la jeune femme contre le lit pour revenir l'embrasser, avec envie, perversité. Sans attendre la suite, il la retourne, plaquant le haut de son corps contre le matelas moelleux tout en malaxant sa croupe dodue et offerte.

« Allez... remue moi ce gros cul.. Donne moi envie de t'enculer comme une bête, ma belle.. »

La jeune femme prenait plaisir de se délecter des réactions de son amant. L'achat du précieux artefact était maintenant rendu loin dans l'esprit d'Astrid et totalement secondaire. Elle ne recherchait maintenant qu'atteindre encore et encore le plaisir et que son amant l’atteignent également. Ses gémissements et ses réactions corporelles ne mentaient aucunement sur la réciprocité de la chose.

Se laissant conduire à la chambre, faisant totalement abstraction de la décoration et du possible bordel de la pièce.... Elle n'était pas là pour la décoration. Ses lèvres s'accrochèrent à celle du Terranide alors que son corps se plaqua contre le sien comme s'il voulait se fusionner au sien.

Lorsqu'il la retourna et la plaqua sur la couche elle émit un léger couinement surpris. Il n'avait pas eu besoin de lui redemander une deuxième fois avant que son fessier se releva pour onduler lascivement, le regardant par dessus son épaule. Elle désirait le sentir de nouveau en elle, sentir son puissant pieux la labourer encore et encore. Sa croupe venant se frotter contre son basin dans une sensuelle danse. Le regardant légèrement provocatrice

Tu as réellement besoin que je te donne encore plus envie que maintenant?

Dieu, qu'il aimait cette sensation. Sentir cette envie, cette passion, ce plaisir émanant du corps de son amante. La voir se languir, n'attendre que ça : sentir le membre épais du mâle ravager chacun de ses orifices. Se mordant la lèvre, particulièrement heureux d'être tombé sur une telle petite perverse pour passer une voir plusieurs nuits, Ghanor était particulièrement satisfait. Son regard bicolore, perçant, de prédateur à l'affût de sa proie, observe, se délecte de voir ce cul dodu se dandiner devant lui, se frotter contre sa hampe tendue à son maximum. Bien sûr, le dominant remarqua tout autant le regard de sa soumise, qui se montrait provocante, pour donner encore plus envie au contrebandier. Il se perdait dans son regard, qui pétille d'envie, de plaisir, de luxure. Lentement, sensuellement, il place ses mains puissantes sur ses fesses à damner un saint, pour les malaxer. Il se délecte de cette peau douce, n'appelant qu'aux caresses, qu'à une attention toute particulière dont il comptait bien lui offrir en quantité.

« Comme ça, c'est parfait. » souffle-t-il, suave. « Tu sais comment donner envie, hein ? »

C'était plutôt facile à deviner. C'était visible qu'Astrid était habituée à faire naître l'envie dans l'âme de ses partenaires. Elle déhanchait parfaitement sa croupe, la frottant avec délectation contre l'énorme membre du Terranide qui frémissait à chaque caresse. D'un mouvement, le mâle cale alors sa queue contre les deux gros globes de chair de sa partenaire. Sans la prendre pour le moment, il se masturbe littéralement entre ses fesses, gémissant, appréciant le doux contact enserrant une partie de sa hampe. Une position plutôt agréable pour le mâle, tout en étant potentiellement électrisant pour sa partenaire : Astrid pouvait ainsi sentir la totalité de son mandrin viril frotter contre son cul. Sentir chaque parcelle de son chibre, chaque veine qui palpitait, pompant son sang pour faire naître ce véritable barreau de chair qui n'attendait qu'une chose : la sauter.

Pervers, envieux, il écarte alors sa croupe pour dévoiler son trou palpitant, cette rondelle étroite. Plaçant le bout de son membre contre, il commence alors à lentement s'enfoncer... Oui, lentement. À l'inverse de la baise de départ, il écartait cette fois délicieusement son trou avec une sensualité qui contrastait parfaitement avec la pénétration précédente. Pourquoi ? Parce que l'anus était un orifice bien plus délicat que l'intimité. Et malgré son expérience, cette petite chienne restait une humaine... Elle allait déjà avoir du mal à encaisser une telle queue, alors il devait y aller avec douceur pour ne pas la briser ! C'est ainsi qu'il écarta avec plaisir son orifice, enfonçant son membre dans un gémissement de plaisir bestial.

« Dieu.. Que t'es serrée, bordel.. »

Agrippant fermement son cul, il finit avec difficulté à enfoncer l’entièreté de son chibre, plaquant son bassin contre son cul qui formait un délicieux cœur, épousant les formes de son corps brûlant. Puis, dans un sourire pervers, il commence à la limer, au départ lentement, pour accélérer...

Le membre viril de Ghanor caressant sa rondelle, son fessier entier, un large frisson parcouru le corps de la jeune femme. Chaque parcelle de sa peau se délecta des caresses qu'il lui offrait avec son long et large membre gonflé par l'afflux de sang. Astrid en profitait...Profitait de ce corps qui lui est offert pour cette nuit et qui le sera surement quelques autres. Son basin se frottant, ondulant, comme si sa croupe voulait avaler ce membre comme  une boulimique devant un buffet à volonté. Le sourire dans le regard lorsqu'il confirmait ce qu'elle savait déjà: il avait autant envie qu'elle de faire durer leurs ébats.

On débute encore mon beau. La nuit est encore jeune..... je te ferais succomber à chaque fois que tu l'voudras..

La brunette le laissa découvrir, malaxer, se délecter de son fessier. Elle cacha la brève douleur qui lui barra le visage lorsque son viril membre la pénétra. Bien qu'elle n'était effectivement point novice en la matière, le Terranide n'était en rien un amant ordinaire. Son délicieux membre travaillant lentement l'entrée de son fessier, poussant toujours un peu plus loin. Lentement, lorsqu'elle reprit le contrôle de son corps, Astrid redressa sa croupe le laissant loisir de la posséder tout en profitant de sa peau.  Lorsqu'il accéléra ses pénétrations, le corps de la jeune femme se balança, ses mamelles se frappent ensemble dans un doux bruit de chaire. Astrid ferma les yeux s'abandonnant totalement aux assauts qu'il lui infligeait.

Raaaa me...de Ghanor oui. Sa respiration devenu plus saccadée elle se cambrant pour lui assurer de meilleurs mouvements. Bougeant lentement , sa rondelle se dilatant toujours un peu plus sous ce pieu qui la  maltraitait divinement.

Et ça, pour être serré, la belle l'était ! Certes, il s'enfonçait avec plus de difficulté, sa queue épaisse raclant littéralement l'intérieur de sa croupe gourmande, mais en contrepartie elle comprimait réellement sa queue, à un point bien supérieur à son intimité trempée. Une pénétration différente, plus sèche, plus brutale, plus animale. Et une pratique qu'il appréciait énormément. Son regard bicolore était planté sur son cul dodu, qui gobait littéralement sa queue. Voir chaque centimètre disparaître entre ses fesses bombées était juste grisant, une pure vision excitante qui continuait à l'exciter, à lui donner envie de plus. Plus, plus et encore plus ! La belle semblait d'ailleurs bien endurante, comme il l'aimait. Et c'était tant mieux ! Défoncer rapidement une femme et la voir tomber de fatigue après quelques pénétrations était particulièrement frustrant... Mais Astrid semblait bien prête à encaisser sa violence toute la nuit.

Parce que oui... il comptait bien se la faire jusqu'au lever du jour. Bon, surement pas en boucle.. Ils passeraient surement un peu de temps à rester l'un contre l'autre, à profiter du corps brûlant du partenaire. Peut-être une petite douche coquine, par exemple ? Oh, mais le mâle ne savait même pas s'il pourrait résister à de nouveau lui monter dessus en voyant son corps divin briller sous l'eau chaude ! Mais qu'importe. Il devait déjà se concentrer sur une chose : la sodomie particulièrement animale qu'il lui offrait. Et elle en gémissait, elle se balançait, tel un jouet entre les mains d'un enfant qui était ma foi plutôt doué.

« Mwhh.. ton cul est.. han! délicieux.. j'vais.. te le casser toute la nuit.. »

Et pas que son cul, était-il prêt à ajouter ! Profitant de la position perverse et bestiale, le mâle monte littéralement sur sa petite femelle. Il se met au dessus d'elle, offrant ainsi un angle de pénétration plus brutal, s'enfonçant avec une violence rare, qu'il gardait à ses meilleures amantes. Le fait qu'il la défonce sans même se préoccuper d'une éventuelle douleur était un signe qu'il prenait son pied, le plaisir outrepassant son humanité, réveillant ses pulsions de Terranide, de mâle en rut désirant engrosser son amante, une copulation animale.

Et pour en rajouter, il vient même attraper ses cheveux, pour tirer sa tête en arrière et l'obliger à cambrer son gros cul, offrant autant une meilleure pénétration qu'une meilleure vue.

Si Astrid était fatiguée et n'en pouvait plus, cela ne paraissait point. En effet, la brune aimait trop succomber aux nombreux plaisirs de la chaire pour tomber après avoir prit son pied qu'une seule fois. En fait plus son amant (ou amante disons le) semblait tout autant apprécier qu'elle la chose, elle ne pouvait s'empêcher d'en redemander encore et encore. Les larges mains de son amant posées sur ses hanches, gardaient la libido d'Astrid à son apogée.

Chaque pénétrations du mât tendu dans sa chaire la fit couiner de plaisir . Le bruit de ses chaires mammaires se frappant ensemble combiner à celui de sa croupe frappant le bassin de son amant sonnait comme une douce mélodie aux oreilles de la jeune femme.  Le Terranide, la possédait comme si elle n'était qu'un simple jouait entre ses mains. Son pieu stimulait chaque terminaison nerveuse de ses reins.  Oh oui elle avait bien envie qu'il la possède toute la nuit, voir même la suivante... et celle d'après. Même si elle n'avait jamais la seconde partie de sa commande, celui ne lui importait que peu... Tant qu'elle pouvait partager à l’occasion sa couche. Elle se sentit perdre pied encore, un large frisson remontant sa colonne vertébrale.

"Raaawww Ghanor. Je ... oui . J'ai bien dans l'idée de te laisser me casser et pas que cette nuit mon beau."

La jeune femme s'écroula sur le lit, tremblant de plaisir la respiration courte et saccadée. Le regard brillant elle le regardait , regardait son visage se tordre sous le plaisir.

Bordel, que le mâle adorait défoncer la belle ! Sa queue limait son petit cul avec perversité, s'enfonçant de manière délicieuse au fond de la belle. Son bassin claquait perversement contre sa croupe, avec plaisir, délectation. C'était vraiment une amante d'exception, rares étaient les humaines à réussir à tenir son membre dans leurs intimités, alors dans leurs rondelles... C'était encore plus rare. Elle encaissait en gémissant chaque coup de son énorme membre canin, qui écartait salement ses orifices à chacun de ses puissants coup de butoir. Se léchant les lèvres, le mâle était littéralement monté sur sa propre proie pour la démonter telle une bête, un véritable animal qui sautait et troussait sa femelle dans le simple but de l'engrosser. Certes, ce n'était pas réellement possible vu qu'il baisait actuellement son gros cul dodu, mais l'intention était tout de même présente ! Se léchant perversement les babines de nouveau, il ne pouvait qu'apprécier, adorer cette sensation sale et perverse de cette porte interdite qui s'écartait avec envie et plaisir sous ses puissants coups de butoir. Et comment ne pas apprécier ça, après tout ?

« Oh que oui... Je vais rester, longtemps... Mh.. j'vais te rendre totalement accro ma belle ! » Souffla-t-il, dans un soupire de plaisir.

Accélérant encore ses brutaux coups de butoirs, le mâle sentait petit à petit la limite être atteinte. Après tout, cette chienne comprimait salement sa queue, son cul étroit servant d'étau de chair particulièrement divin, bandant à souhait. Abattant une nouvelle fois sa main en une série de fessées violentes, il faisait littéralement rougir cette croupe dodu, marquant ainsi de sa main cette petite pute qu'il considérait actuellement comme acquise, sienne. Il aimait marquer ses chiennes, entièrement, qu'elles se souviennent à jamais de son passage. Une espèce de fierté qui le rendait généralement fou.

« Mwh.. prépare toi.. j'vais te remplir le cul ! »

Et dans un ultime et puissant gémissement de plaisir, le beau mâle vint se planter au fond de sa chienne pour gicler. Claquant une dernière fois son bassin contre ce cul rond, il se mit à jouir, dans un râle énorme, bestial, violent. De nouvelles giclées de sperme chaud vinrent remplir la belle, tapisser l'intérieur de sa rondelle, à la faire déborder.

Dieu, si elle croyait en lui, seul savait combien elle ne regrettait aucunement la transaction qu'elle avait effectuée précédemment. Les sensations procurées par chaque coups de reins perpétrés par son amant était divinement insupportable .  Elle ne voulait pas que ce moment s'arrête de peur de se réveiller d'un rêve qui n'avait jamais existé. Oh oui, il savait bien la rendre accro à son membre viril.

Bien qu'Astrid n'était pas une jeune première en la matière, le large membre du Terranide la brutalisait. Mais cela avait pour effet que d'augmenter le plaisir de la belle. Son corps redemandant encore et toujours plus de ce traitement bestial. Elle voulait lui appartenir et il lui démontrait bien son intérêt.

La chaude semence qui faisait éruption en elle produisit une décharge électrique  tout le long de son corps. Elle laissa le temps de reprendre leurs esprits et le contrôle de leurs respirations respectives.  Elle se détacha lentement, les jambes molles, le corps endolorie, elle se tourna pour lui faire face. Son corps plaqué contre sa puissante musculature, son souffle s'entremêlant au sien.

"Mmm j'espère que cet acompte te convient mon beau."

Ses lèvres caressèrent les siennes, alors que sa poitrine, toujours rebondie et volumineuse malgré la trentaine d'années d'Astrid, se frotta à lui. Prenant un regard de petit chat perdu, un sourire aguicheur aux lèvres:
Il se fait tard... J'ai peur du noir et du grand méchant loup.... Je peux rester dormir ici avec toi?